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#Podcast santé bien-être
fitnessmith · 2 months
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Les glucides et la beauté du visage, les céréales et le pain
NOUVEAU PODCAST EN LIGNE 👉 Les glucides et la beauté du visage, les céréales et le pain. Lien en bio @fitnessmith ou sur mon site.
Dans ce podcast, nous allons parler de pain, de céréales au diner, de beauté et des glucides. Nouveau ! Stopper les crises de boulimie ( ou d’hyperphagie ) Rejoignez notre espace VIP et sculptez votre corps et votre esprit grâce à des programmes exclusifs, des sujets avant-gardistes et un soutien constant pour une transformation sans effet yoyo !   Sommaire du podcast : Pain millénaire Dans le…
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ecouterradio · 3 months
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Ca va Beaucoup Mieux #RTL #podcastRTL
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omagazineparis · 3 months
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Tout savoir sur le développement personnel moderne
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La quête de soi est un voyage éternel, une danse entre ombres et lumières, entre ce que nous sommes et ce que nous aspirons à devenir. Le développement personnel moderne se présente comme une boussole dans cette aventure, une invitation à plonger au plus profond de notre être pour en émerger transformé, éclairé, épanoui. Dans ce monde en constante évolution, le développement personnel est plus pertinent que jamais. Imprégnez-vous de sa magie et découvrez les nuances de cette démarche contemporaine. Définition : l'éveil de l'âme Le développement personnel moderne est une fusion entre des méthodes ancestrales et des techniques innovantes, toutes visant à améliorer la connaissance de soi, le bien-être émotionnel, les compétences sociales et professionnelles. C'est un processus continu d'apprentissage, de croissance et de transformation. Techniques contemporaines : les outils du XXIe siècle Grâce à la technologie et à la science, des méthodes comme la méditation guidée, les applications de pleine conscience, la programmation neuro-linguistique (PNL) ou encore le coaching en ligne offrent des avenues modernes pour la transformation personnelle. L'importance de l'authenticité : l'âme à nu Dans un monde saturé d'images filtrées et de vies idéalisées, être authentique est un acte de courage. Le développement personnel nous invite à embrasser notre véritable moi, avec ses forces, ses vulnérabilités, ses rêves et ses peurs. L'apprentissage continu : l'horizon infini Le savoir est omniprésent, dans les livres, les podcasts, les ateliers en ligne. Le développement personnel moderne prône une éducation perpétuelle, un désir insatiable de croître, d'apprendre, de se réinventer. La communauté : ensemble, nous sommes plus forts Jamais auparavant n'a-t-il été aussi facile de se connecter avec des âmes partageant les mêmes aspirations. Les groupes de soutien, les forums, les réseaux sociaux dédiés offrent un espace pour partager, s'inspirer et progresser ensemble. La résilience : la flamme intérieure Le monde moderne, avec ses défis et ses turbulences, exige de nous une force intérieure inébranlable. Le développement personnel nous enseigne à puiser dans cette résilience, à voir les épreuves comme des opportunités et à rebondir avec grâce et détermination. A lire aussi : Réveillez-vous : le manque de sommeil détruit-il votre santé mentale? Le développement personnel moderne est bien plus qu'une tendance passagère. C'est un phare dans la tempête, un chant d'espoir dans le chaos, une boussole pour ceux qui cherchent leur chemin dans ce monde complexe. C'est une invitation à vivre pleinement, à aimer passionnément, à rêver audacieusement. Dans cette quête, chaque pas, chaque découverte, chaque moment de réflexion nous rapproche de notre essence, de notre vérité, de la magie de l'existence. Embrassons cette démarche avec tout notre cœur et permettons au monde de s'émerveiller devant la splendeur de notre transformation. Read the full article
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harriet-de-g · 4 months
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Ressources autour de la gestion de la douleur.
Cette Bibliographie est issue du zine "Toujours mal quelques part" sortie en janvier 2024. Les catégories reprennent les différents chapitres de celui-ci. La liste est régulièrement mise à jour et complétée. N'hésitez pas à partager vos propres ressources pour la faire évoluer!
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C’est quoi la douleur ?
L’Institut national de la santé et de la recherche médicale a un dossier qui reprend des informations générales sur la douleur.
La douleur, quelle chose étrange, Steve Hains & Sophie Standing, livre, 32p.
La douleur chronique perturbe l’équilibre cérébral, Rev Med Suisse, 2008/145 (Vol.-6), p. 493a–493a.
Lien entre douleur et trauma
Le Trauma, quelle chose étrange, Steve Haines & Sophie Standing, livre, 32p.
Le corps n’oublie rien. Bessen Van Der Kolk. Il existe une version résumée en zine nommé « Ressources sur le traumatisme » (Morgan.e).
Comment les traumatismes d’enfance impacte la santé tout au long de l’existence (« How childhood trauma affects health across a lifetime ») Nadine Burke Harris.
Qu’est ce que le trauma? L’auteur de le corps n’oublie rien explique («What is trauma? The author of “The Body Keeps the Score” explains,) Bessel van der Kolk.
Childhood exposure to violence and lifelong health: clinical intervention science and stress-biology research join forces. Moffitt, T. E., & Klaus-Grawe 2012 Think Tank (2013). Development and psychopathology, 25(4 Pt 2), 1619–1634.
Mécanismes d’adaptation 
Pain-determined Dissociation Episodes, David A. Fishbain, R. B. Cutler, H. L. Rosomoff, R. Steele Rosomoff, Pain Medicine, Volume 2, Issue 3, September 2001, Pages 216–224.
Trop à l’aise avec nos diagnostics, zinzinzine,
Et toi, tu fais quoi dans la vie ?, Harriet de G, brochure, 4p.
Quand tout va bien
Une introduction en français à la technique du pacing.
Laziness Does does not exist, Devon Price, livre, 256p.
La culture du Valide Occidental, Zig Blanquer,
Les thérapies alternatives
A claire voie : manuel de savoir être fou en société, zine, 91p. Comporte un chapitre spécifique pour les premiers entrevus avec un·e thérapeute (dans un cadre psychiatrique).
Pour les proches
La théorie des cuillères, article wikipédia.
The spoon theory (La théorie des cuillères), Christine Miserandino, essai.
Soutien mutuel : les bases
Paillettes Toxiques et Sérum Phy : des pistes pour repérer des dynamiques de pouvoir dans nos relations (pas cis hétéro), zine, 275p.
Point drogue
Une carte interactive pour savoir où tester ses produits
Relation entre tabagisme et douleur : revue narrative de la littérature scientifique, D. Balayssac, Revue des Maladies Respiratoires, Volume 38, Issue 3, 2021, Pages 269-277.
Se faire mal : comment prendre soin de toi lorsque tu ressens le besoin de te blesser, Icarus Projets, zine, 56p.
Alternatives à l’auto-mutilation, Traduction de Choose recovery par Dandelion Guide pour décrocher des médicaments psychotropes en réduisant les effets nocifs, zine, Icarus project, 70p. Tumer Fue : Une méthode libre pour en finir avec la clope, Robin, zine, 80p.
Toxicophobie mon amour, Pour déconstruire ses préjugés sur l'usage de produits.
Pendant la tempête
Le manuel de sevrage des psychotropes, livre, Soutien Benzo, 196p.
Aider ses ami.e.x.s qui ont parfois envie de mourir à ne peut-être pas mourir, traduction par ezekiel and the weirdos, zine, 33p.
Le mouvement death positiv tente de réduire les tabous autour de la mort et d’explorer les façons de préparer sa fin de vie sereinement.
Living with depression, Kat Amarië, vidéo (traduite).
Dépression comment te quitter, Luks, zine, 20p.
En vrac :
Chroniques des chroniques : une émission autour des maladies chroniques (douloureuses), radio rageuse.
La souffrance: que ressent-on quand quelqu’un nie notre douleur ?, podcast Emotion.
The Cancer Journals (Journal du cancer), Audre Lorde, livre, 96p. Fragments, Fatou S, livre, 150p.
Guide de navigation en eau trouble : se fabriquer des ressources quand on vit une crise ou un moment pas cool, zine, 40p.
Les ateliers groupe soin, volume 1, 2 et 3, zines, groupe soin. Du partage de savoir et vulgarisation de concepts médicaux issus de rencontre en groupe pour s’autonomiser.
My Body Is a Prison of Pain so I Want to Leave It Like a Mystic But I Also Love It & Want it to Matter Politically, Johanna Hedva, vidéo et transcript.
Hollow, Mia Mingus, Traduction d'Emma Bigé et Harriet de g, zine. De la science fiction avec des handi·es autonomes.
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buzzesante · 2 years
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MedShake Studio et Buzz E-santé publient le premier baromètre du podcast en santé
MedShake Studio, agence de podcast spécialisée dans la santé, et Buzz E-Santé publient le premier baromètre dédié aux podcasts santé. Découverte. MedShake Studio édite www.podcast-sante.com, une plateforme qui répertorie et catégorise les podcasts francophones de haute qualité autour de la santé, des soins et du bien-être. Podcast Santé sélectionne des podcasts pour les patients, les…
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virtchandmoir · 4 years
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sophiegregoiretrudeau: I can share some exciting news today: After more than a year of preparation and story-sharing with inspiring Canadians, and on the first day of Mental Health Week, we are launching the WE WELL-BEING podcast. As we go through this pandemic and these uncertain times together, it’s important to reflect on our mental health and be there to support each other. Two remarkable women who understand the importance of that kind of reflection help us start the series: @tessavirtue17 and @mitsougelinas. To hear our talks and to subscribe to future episodes, click the link in my bio. Between you and me, it’s my sincere hope that you’ll take these conversations (and others in the weeks to come!) to heart and have more conversations on your own, with your friends and loved ones... because that’s how we will overcome our personal struggles and break down the stigma associated with mental health challenges. I can’t wait for you to listen and share your thoughts. 💗🎙 Je peux partager de bonnes nouvelles aujourd’hui : après plus d’un an de préparation et d’entrevues avec des Canadiennes et des Canadiens inspirants, et en ce début de la Semaine de la santé mentale, j’ai le plaisir d’animer le tout nouveau balado : UNIS Bien-être. Durant ces temps troublants de pandémie, on doit prendre soin de notre santé mentale et s’offrir du support. Deux femmes remarquables qui comprennent l’importance de ce type de réflexion nous aident à débuter la série : @tessavirtue17 et @mitsougelinas. Pour entendre nos discussions et vous abonner aux futurs épisodes, cliquez sur le lien dans ma bio. Entre vous et moi, j’espère du fond du cœur que ces conversations vous toucheront et que vous aurez de telles conversations, vous aussi, avec vos amis et vos proches... parce que c’est comme ça qu’on va réussir à surmonter ces moments difficiles et à combattre les préjugés. J’ai vraiment hâte que vous soyez à l’écoute et que vous me donniez vos commentaires.
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Le sol de la cuisine (exil chez soi)
Il y a trois semaines environ. Je regarde fixement – et dans le vague en même temps – le sol carrelé de ma cuisine. Je me laisse coloniser par des images sans queue ni tête dans une sorte de décollement temporel qui me fait quitter le présent, et choque entre eux des moments dispersés. La cuisine s’impose à moi comme un lieu de passage où se croisent souvent les très proches, les invités, les étrangers, les attendus, les intrus. Hier avec une poignée d’amis on a dansé sur ce carrelage jusqu’à aujourd’hui – et ce matin je scrute, diminuée dans mon énergie, les indices de leur passage. Une toute dernière bouffée d’affects joyeux partagés à quelques-uns avant l’isolement forcé. Dans les circuits embrumés de mon esprit, j’ai l’impression de comprendre subitement, à la « faveur » d’un problème sur lequel je me cogne depuis quelques semaines, pourquoi jusqu’ici je ne pouvais pas simplement « devenir féministe ». Je me sentais trop désinvolte à ce propos, et sans doute trop imprégnée de culture (universitaire) masculine. Je ne suis ni exercée ni assez avertie sur ces questions, ni "naturellement" intéressée peut-être, je dois l’avouer. Au vu de mon caractère défensif, je n’aurais pas pu devenir sensible aux questions de genre par conviction, par principe, par solidarité, par programme, par mission ou par vigilance. Je ne pouvais y accéder que par surprise, dans mon dos, malgré moi, par la bande. Par le choc d’une expérience. Par l’entremise d’un morceau de réel que je ne parviendrais ni à avaler ni à métaboliser. Comme un saut de chaine qui ferait dérailler toute la machine. Et j’y étais.
Aujourd’hui. La cuisine – le foyer du foyer – concentre désormais de nouvelles tensions, et alimente d’autres négociations, qui se surajoutent aux négociations habituelles de la vie quotidienne à quatre. La cuisine est devenue une pièce saturée. La cuisine est d’ailleurs l’endroit de la maison où l’on crie le plus, où naissent les orages (l’œil du cyclone). La cuisine est au carrefour de nos déplacements et de nos activités, on s’y outille en permanence : prendre de l’eau, trouver les ciseaux, un Bic, un briquet, recharger les piles du micro musical (si je vous jure), allumer le poêle, chercher un taille-crayon, prendre une pomme, se servir une bière, jeter les chutes de papier. On n’y est plus jamais seul. La cuisine sert de chambre d’écho aux sollicitations constantes des enfants, à leurs soupirs et à leurs désirs. On mange quoi, on mange quand, quelle heure il est. Quoi ? mais on mange tout le temps des légumes, donne-moi un mouchoir, oui donne-moi un mouchoir s’il-te-plait, je peux faire de la plasticine, il est où papa ? Je peux regarder des écrans maintenant, qui a pris ma robe d’espagnole, c’est bientôt qu’on est jeudi, mais tu m’avais dit, tu m’avais dit, tu m’avais dit.. Désormais ça tourne : davantage de repas que d’ordinaire, on dresse vite fait quatre assiettes sur un coin de table, on sort les choses, puis on les remet, on s’embrasse on s’embarrasse on débarrasse. On recommence, on remplit, on vide, on balaie le sol, on rejoue la scène plusieurs fois. La cuisine accumule toutes les traces et tous les restes ; elle réclame sans cesse table propre. La cuisine pour les adultes sert de quartier général, on s’y distribue les tâches domestiques, et selon les jours, on s’y engueule ou on s’y sourit. La cuisine peut aussi accueillir pour une heure ou deux un bureau volant, parce qu’un bureau n’est plus seulement une pièce, mais un ordinateur qu’on déplace d’un coin à l’autre, pour espérer échapper au bruit, avoir une meilleure connexion, éviter les enfants, participer à une réunion, faire un podcast. Malgré ces phénomènes de saturation, je n’ose pas faire mine de me plaindre, ce serait indécent, ma cuisine est toujours un espace où l’on danse, où l’on s’aime, où l’on mange bien, et assez. Je le sais mieux que jamais. Mais je me sens prise à la gorge quand je quitte en imagination mon confort. Je vois d’autres cuisines, d’autres femmes, d’autres économies domestiques. Je ne sais pas si je me projette dans ces situations par culpabilité par panique ou autre chose. Je décrypte des détresses dans la presse et sur les réseaux sociaux. J’étouffe en pensant au confinement de certaines femmes dans des espaces réduits, mansardés. Sans jardin, sans issue, sans vélo, sans possibilité de relais si elles sont seules. Je vois le risque pour la santé mentale, quand l’isolement s’ajoute à des réalités déjà lourdes. Et pire que la solitude, j’ai peur pour celles qui sont repliées dans des enfers domestiques au contact de sourdes et invisibles violences. Je me demande comment vont tenir celles sur qui repose une charge mentale décuplée, parce que leurs conjoints ne sont pas des alliés. Je me sens oppressée par l’absence de silence, de douceur, de soutien – qui doit être le lot de beaucoup. J’ai honte des pressions à bien-faire-malgré-tout, de l’injonction à « prendre soin » qu’on leur impose, collectivement, culturellement. Je vais vomir sur le sol.
Dans quelques mois. J’aurai relu "Une chambre à soi" de Virginia Woolf. Je me serai plongée dans les histoires de femmes qui réclamaient – puisque le talent reste toujours soumis aux conditions matérielles – un espace propre pour écrire, un espace qui ne serait pas traversé par les réclamations pressantes des uns, par les attentes des autres, un espace qui ne serait pas enclavé dans l’espace domestique, un espace pour penser et inventer hors de la cuisine. J’aurai continué la lecture des romans d’Hélène Lenoir, découverte dans la thèse de Manon Delcour (une thèse sur les dispositifs de l’habitation défendue par hasard la veille de l’injonction au repli chez soi). Je serai rentrée dans la subtilité de la description des pièges tendus aux femmes par le monde patriarcal. J’aurai même peut-être lu deux fois "Son nom d’avant" ou "Pièce rapportée" ou "Bourrasque" – ces histoires de fuites désirées, parfois avortées, puis tentées à nouveau. J’aurai dégusté son humour noir, son pessimisme, la justesse des situations décrites. Je ne sais pas si j’aurai lu "Chez soi" de Mona Cholet. Plus certainement j’aurai avancé dans la pensée de Carol Gilligan – que m’a mise dans les mains une collègue, au bon moment. J’aurai compris pourquoi ce n’est pas ridicule d’avoir une morale, et pourquoi certains essaient de nous le faire croire. J’aurai continué à faire exister en moi l’idée que la violence n’est souvent qu’une forme triste d’impuissance. Et peut-être que je serai capable d’assumer que je suis devenue – malgré mes (non-)intentions mais forcée par le réel – féministe. Ou peut-être pas. Mais j’écrirai et je parlerai autrement quoi qu’il en soit. 
(Hony, 27 mars 2020)
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WELCOME TO OUR BUSINESS & SOCIETY BLOG
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This blog is an exchange platform between INSEAD alumni
We want to share our best practice on business impact. We want to inspire each other to take action. Also, given the context, we want to reflect on the role of business in tomorrow’s world.
This blog will cover a wide range of topics on Business for Good … based on the Sustainable Development Goals. You’ll read posts on Access to quality education, Environmental sustainability and climate change, Diversity, good Health and Well-being, Social Impact, Tech for Good or Wealth Inequality.
Thank you to our alumni contributors  … who have volunteered to start the debate, whether by sharing their insights on inspiring projects, thought leadership pieces, expert advice, book reviews or startups with impact, via an article, an interview, a podcast or a video, in French or English. A variety of contributions reflecting our immense diversity.
This is a fixed term summer blog …  to keep in touch over the holiday season. From 1 July to 4 September 2020, the blog will keep the conversation going. Contributions were called for in the Spring and the blog is now full but do react to its publications!
A short term to engage in the conversation! Please follow our blog to read each post as published, at a pace of 2 or 3 per week. Do comment the articles and take part in discussions. We will regularly send you emails with the week’s production. We will relay the posts on LinkedIn and Facebook. Please follow us there too! This blog will be full of summer surprises! Don’t miss any of its posts! Share, like and comment!
Happy Summer for Good!
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A PROPOS
Bienvenue sur notre Blog de l’été « Business & Society » ! Ce blog est un lieu d’échange d’idées entre alumni.
Nous voulons partager les meilleurs pratiques de nos entreprises à impact. Nous voulons susciter curiosité et envie d’agir. Et puis… étant donné le contexte, nous voulons repenser le rôle de l’entreprise dans le monde de demain.
Ce blog abordera une grande variété de sujets … couverts dans les Objectifs de Développement Durable. Vous lirez des publications sur l’éducation de qualité, l’environnement durable et le changement climatique, la diversité, la santé et le bien-être, l’impact social, la technologie, la production et la consommation responsables, la réduction des inégalités, etc.
Merci à nos Contributeurs !  … qui se sont portés volontaires pour lancer le débat, soit en partageant leurs projets inspirants, réflexions documentées, conseils d’experts, revues d’ouvrages, ou leurs startups à impact, par un article, un interview, un podcast ou une vidéo, en français ou en anglais… Une diversité qui reflète notre communauté d’alumni de l’INSEAD !
Ce blog est éphémère C’est le Blog de l’été, pour rester en contact pendant les vacances. Du 1er juillet au 4 septembre 2020, continuons la conversation sur nos projets à impact ! Les contributions ont été appelées au printemps. Le blog est maintenant complet, mais réagissez aux publications !
Prenez part aux débats ! Suivez notre blog pour en lire chaque post dès sa publication, 2 à 3 fois par semaine. Commentez les articles et discutez ! Nous adresserons régulièrement un mail, avec la production de la semaine. Nous relaierons des posts sur LinkedIn et Facebook – « Likez » et commentez sur les réseaux aussi !
Ce blog sera plein de surprises estivales ! N’en manquez pas une seule !
« Likez », transférez, répondez !
Bon été à impact positif !
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Annie Kahn, MBA INSEAD 83J Administratrice, DELFINGEN
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Sophie Boyer Chammard, MBA INSEAD 97D VP Business & Society, Deputy Director, IAAF
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Hicham Aber, MBA INSEAD 19D Startup Advisor
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INTERVIEW #QUEEROFCOLORS - KELSI PHUNG  Réalisateur·ice et Illustrateur·ice non-binaire
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Kelsi Phung est un·e réalisateur·ice et illustrateur·ice non-binaire d’origine vietnamienne. Iel sort diplômé·e en 2018 du département cinéma d’animation des Gobelins, à Paris. Son travail s’axe aujourd’hui autour de la reconnaissance des luttes queer et décoloniales qu’iel cherche à mettre en lumière à travers ses projets créatifs et militants.
Peux-tu nous raconter ton parcours et tes activités artistiques ?
Je suis réalisateur-ice de films d'animation et illustrateur-ice. En 2018, j'ai réalisé avec Fabien Corre le court-métrage "Les lèvres gercées" qui raconte l'impact du manque de communication intrafamilial pour une jeune personne trans. Nous travaillons aujourd'hui sur l'écriture d'une série animée autour des portraits croisés de personnes transgenres et non-binaires.
Tu es artiste non-binaire, quel pronom souhaites-tu que nous utilisions et en quoi est-ce important pour toi de le visibiliser  ?
J'utilise le pronom "iel". Le pronom ne fait pas le genre, mais j'espère et j'aspire à le voir utilisé de plus en plus dans les médias afin de reconnaître et de visibiliser les personnes non-binaires qui l'utilisent.
Quatrième portrait de la série dédiée aux Queer of Colors sur le site de Support Your Local Girl Gang…. Kelsi a répondu a notre interview !
Quand es-tu "tombé.e" dans la réalisations de films et l'illustration ?
A la base, j'étais plutôt attiré-e par la bande-dessinée, je passais mon temps à la bibliothèque pour dévorer tous les rayons qui en contenaient. Je pense que je suis arrivé-e à l'animation grâce à l'impact que les films en prise de vue réelle ont eu sur moi à une époque où il m'était difficile de m'accepter en tant que personne queer. 
Je suis tombé-e alors amoureux-e de la puissance de la transmission que peuvent créer les films, et mon amour pour le dessin m'a fait vouloir mêler ces deux médiums.
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Crédits : Kelsi Phung, Matthieu Garcia
Y a-t-il des artistes qui ont compté.e.s dans ta carrière ?
Je pense que le cinéma de Xavier Dolan a eu énormément d'impact dans ma vie. Je n'apprécie plus autant son cinéma qu'avant, mais je me rappelle avoir ouvert la discussion sur mon orientation sexuelle avec ma mère grâce à son premier film, "J'ai tué ma mère", qui l'a fait pleurer tant elle nous reconnaissait à travers les personnages. 
C'était un moment plus que marquant pour moi, à partir duquel je me suis dit que je voulais pouvoir recréer ce lien, permettre de communiquer grâce aux films quand on n'en a pas forcément les mots. 
Les retours que nous avons reçu autour de "Les lèvres gercées" m'ont profondément touché-e en ce sens : Certaines personnes m'ont raconté avoir fait leur coming-out grâce à notre film et réussi à briser une forme de silence qui les rongeait au sein de leur famille ou de leur entourage proche. C'est un cadeau unique d'avoir réussi à transmettre cette force à mon tour et je ne veux plus jamais m'arrêter de le faire.
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Crédits : Kelsi Phung, Matthieu Garcia
Tu as récemment crée le hashtag #LaChargeDeMaCreativite pour dénoncer le racisme, la queerphobie, le gaslighting lors de tes études, peux tu nous en dire sur ce qui t'as poussé à (re)prendre la parole ?
J'ai mis du temps avant de pouvoir en parler publiquement. J'ai été rongé-e par la dépression à ma sortie de l'école, je n'appréhendais pas bien à quel point les dynamiques oppressives dans ma classe avaient pu m'impacter au point où je n'arrivais plus à dessiner, à penser par moi-même. Quand on enchaîne les deadlines, on peut être à bout mais on essaie de minimiser tout ce qui se passe autour, et qui s'ajoute sans cesse. Mais quand tout s'arrête, on se retrouve face à soi-même, et tout nous revient à la gueule, on ne peut plus ignorer nos traumatismes.
J'ai mis du temps à sortir la tête de l'eau, mais j'ai rencontré des personnes queer et racisées merveilleuses à la fin de mes études et par la suite, qui m'ont fait me sentir moins seul-e. Je pense que la solidarité liée au récit de nos expériences respectives m'a donné-e le courage de m'assumer de plus en plus et de m'engager à mon tour sur les réseaux sociaux pour utiliser ma colère et la transformer en outil de lutte et de sensibilisation. 
On m'a donné l'opportunité de participer à des podcasts comme "Extimité" par Douce Dibondo et Anthony Vincent, que je ne remercierais jamais assez pour m'avoir permis de poser des mots, de vive voix, sur la construction de mon identité en tant que personne non-binaire d'origine vietnamienne.
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Crédits : Kelsi Phung, Matthieu Garcia
Quand j'ai appris qu'une des personnes de ma classe était de passage dans ma ville, j'ai été paralysé-e par tous les souvenirs traumatiques qui se sont alors mis à tourner dans ma tête en boucle. Je ne voulais plus me cacher, j'avais appris à m'accepter, à commencer à mettre en place des projets dans lesquels je me retrouvais et à m'entourer de personnes respectueuses de mes combats, de mon identité, auprès desquelles je n'avais plus à me justifier. Alors j'ai voulu poser des mots sur ces années passées dans mon école, dans cette classe où les LGBTIphobies, le racisme ont été gravement banalisés, où au nom de l'humour ou de l'ironie, iels étaient prêt-e-s à sacrifier l'intégrité des minorités.
J'ai souhaité que la création du hashtag #LaChargeDeMaCreativite serve à relayer l'expérience d'autres personnes minorisées dans les écoles et entreprises liées à l'audiovisuel, pour qu'on parle de la charge raciale, de la charge que les personnes queer, handicapées, neuroatypiques ont à endurer dans des espaces à majorité cis, hétérosexuelle, blanche. Malheureusement, la pression de la hiérarchie dans les écoles fait que la plupart des témoignages que j'ai reçus n'ont pas été rendus publiques. Beaucoup m'ont écrit par message privé pour me raconter leur expérience, par peur des retombées. C'est aussi pour ça qu'on ne doit pas attendre que ce soit les élèves minorisé-e-s qui expriment leur détresse, et que des dispositions doivent être impérativement prises de la part des responsables des écoles et des entreprises. 
Suite à mon témoignage et à un appel que nous avons eu, l'école des Gobelins promet la mise en place de conférences obligatoires autour des discriminations, un suivi psychologique des élèves, une sensibilisation concrète des étudiant-e-s en début de cursus et le rétablissement des toilettes mixtes à chaque étage. Tout cela reste à suivre, mais ce sont ce genre de remises en question associées à des mesures concrètes que nous devons voir fleurir, pour que la santé mentale des personnes minorisées soit une priorité, à l'école et dans le milieu professionnel.
On parle souvent de lgbtqi+phobies et queerphobies dans le milieu artisqtique, en quoi est-il important pour toi, à travers notamment le choix de tes sujets, d'ajouter une visibilité queer à tes travaux ?
Je trouve qu'une vie à créer des œuvres artistiques engagées, c'est trop peu, surtout dans le domaine de l'animation où cela peut prendre des années pour qu'un projet sorte sur nos écrans. Alors j'ai l'urgence de représenter des personnages auxquels j'aurais adoré pouvoir m'identifier plus jeune, des personnages queer, trans, non-binaires, racisé-e-s, qu'on ne résume pas à des fantasmes misérabilistes ou de l'essentialisme. 
Je veux pouvoir faire briller mes adelphes, montrer à quel point notre solidarité peut être salvatrice, à quel point nous pouvons rayonner lorsque nous sommes nous-mêmes.
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La mise en lumière des artistes queers a bien évolué en quelques années. Comment perçois-tu cette nouvelle vague, qui secoue un peu les choses ?
Quand je vois toute la haine que se reçoit Bilal Hassani rien que pour le fait de passer à la télévision française, je me dis qu'il reste encore énormément à faire pour démocratiser la simple idée qu'un homme cisgenre racisé peut ne pas se conformer aux stéréotypes de genre. 
Quand je vois le procès que l'on peut porter à Nick Conrad pour "racisme anti-blancs", je me dis qu'il y a énormément à faire. Mais oui, le coming-out non-binaire récent de célébrités outre-atlantique comme Sam Smith, Indya Moore, Janelle Monae me donne beaucoup d'espoir. 
Nous avons besoin de cette visibilité, nous avons besoin de faire bouger les codes que nous impose depuis trop longtemps l'hégémonie cis hétérosexuelle blanche.
Tes artistes préféré.e.s du moment ?
Alok Vaid-Menon, qui a joué un énorme rôle dans l'acceptation de ma non-binarité et le pont qu'iel fait entre le genre et les luttes décoloniales, Travis Alabanza, Amandine Gay !
Avec quel.le artiste aimerais-tu collaborer?
Toutes les personnes que j'ai citées plus haut !
Une punchline / citation ?
"I want you to know, before you step outside, that there are other's stepping too.That people have stepped before us, with us, and will step after us.That the pavements can feel so lonely, but I know that I have stepped there too.That we have existed before, and exist in the present, and will exist in the future.We come from a line of warriors. We did not choose to fight. But we know how to survive." Travis Alabanza.
Que penses-tu de Support your Local Girl Gang  ?
Merci à toute l'équipe de m'avoir permis de donner suite à mon témoignage, et merci pour la visibilité que vous apportez aux artistes minorisé-e-s à travers votre travail précieux !
Les lèvres gercées - Animation Short Réalisateur / Director : Fabien CORRE, Kelsi PHUNG 
vimeo
Kelsi Phung FACEBOOK | INSTAGRAM | WEBSITE
Emeraldia Ayakashi - Support Your Local Girl Gang 
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Vendredi 20 mars 2020
Cinquième jour de confinement.
Nous sommes descendus à la plage à pied. Il faisait humide, mais nous n’avions pas peur.
Quelques rayons de soleil se trouvaient là pour nous rassurer, jouant des coudes parmi les nuages avec courage, comme nous avions joué des coudes, quelques jours plus tôt, pour nous extirper de Paris.
Il nous a fallu croiser un certain nombre de gens, mais encore une fois nous n’avions pas peur. Nous n’avons pas cherché à croiser leur regard, ne souhaitant pas y lire de jugement. J’ai horreur des gens qui sont dans le jugement.
Nous avons décidé de faire preuve de la même insouciance que les petits, avec leurs bottes en caoutchouc qui battaient la mesure sur les planches, leurs petites mains nues qui s’agrippaient aux poignées des agrès de l’aire de jeux près du manège et de la piscine, tristement fermés.
J’avais vraiment besoin de cette sortie à la plage.
Car j’ai encore très mal dormi la nuit dernière. Henri s’est mis à pleurer en plein milieu de la nuit. Cela m’épuise. Il est grand pourtant, il a cinq ans, et il lui arrive encore souvent de se réveiller ainsi alors que tout va bien. Et là, en plus, Dolores s’est cogné le pied dans la grosse commode du couloir en se précipitant à son chevet, alors ça m’a réveillée pour de bon et j’ai mis un temps fou à me rendormir.
Quand je me suis réveillée le matin, Victor dormait à poings fermés à côté de moi. Un rayon de soleil venait lécher le grain de beauté que j’aime tant sur son épaule gauche. Dans le jardin, les enfants jouaient à se courir après, et le bonheur d’entendre leurs rires compensait à peine l’angoisse permanente qui m’habite désormais.
J’espère que je parviendrai à m’en défaire lorsque tout cela sera derrière nous.
Mais les mots de mon bien-aimé Camus me reviennent en mémoire. En écoutant les cris d’allégresse de mes enfants qui montaient du jardin de la résidence, je me sentis un instant dans la peau du docteur Rieux, ne pouvant m’empêcher de penser que cette allégresse serait désormais à jamais menacée. Le bacille du Covid-19 peut-il, comme celui de la peste, rester des années dans nos iPads, nos vestes en cuir vegan et nos trench coats, nos montres automatiques et nos fripes de créateurs chinées dans les ventes privées du VIème arrondissement ?
Nul ne peut le dire. Moi, en tout cas, j’ai emmené Albert avec moi, ainsi que toute une pile de livres pour avoir de quoi lire. Samedi dernier, quand j’ai senti que les librairies ne rouvriraient pas lundi, je m’y suis ruée.
Certains sont allés goûter une dernière fois au soleil dans les parcs envahis de gentils enfants sales, d’autres sont allés s’entasser, dangereux inconscients, dans des endroits sordides pour s’enivrer d’alcools bon marché, d’autres, enfin, ont acheté du papier hygiénique.
Moi, j’ai acheté du papier intelligent.
En prenant mon temps, déjà consciente, avant les autres, que ce serait la dernière fois avant longtemps. En contemplant les illustrations des couvertures, en écoutant la musique des titres, en passant mes doigts sur les couleurs et les pages, en épluchant les quatrièmes de couverture.
Lire de la vraie littérature, pour moi, c’est comme écrire. Ou sentir l’odeur des embruns.
C’est vital.
J’ai été tellement émue de voir les gens supplier que les librairies restent ouvertes pendant le confinement ! Oui, monsieur le Président. Oui ! Les librairies sont des commerces de première nécessité. Les librairies sont indispensables à la santé intellectuelle, morale et récréative du pays, une santé primordiale, si ce n’est plus, que la santé physique.
Nous sommes descendus à la plage et nous n’avions pas peur, car nous avions nos livres avec nous et qu’avec un livre, on a la certitude que tout ira bien. Avec Victor, nous avons marché main dans la main sur les planches, à contempler l’horizon en riant de nos esprits rebelles, comme si nous avions encore dix-sept ans, cet âge où l’on n’est pas sérieux.
Puis nous nous sommes posés dans le sable pour lire un peu, emmitouflés dans nos parkas, face à la mer, cette mer dont nous pensions qu’elle nous engloutirait la première, bien avant les pandémies. Victor était plongé dans le Voyage autour de ma chambre de Xavier de Maistre, et moi, dans L’Élégance du hérisson de Muriel Barbery, ce chef d’œuvre que j’étais heureuse de pouvoir enfin relire.
Pendant ce temps, les enfants prenaient leur goûter et s’amusaient tranquillement à faire des pâtés. À clapoter des bottes dans les petits bains de pied. À passer du sable ou de l’eau dans un récipient puis dans un autre. Je suis sûre qu’il y a quelque chose de hautement éducatif à cela, bien plus que dans les salles de classe sombres où des enseignants incultes leur imposent des exercices étriqués. Avec leurs poignées de sable, leurs seaux d’eau, leur soleil bienveillant dans le ciel, ils sont à la fois Newton, Archimède et Thalès.
Matières.
Éléments.
Gravité.
Géométrie.
Mécanique des fluides.
Que de poésie dans les connaissances humaines.
Les enfants – les miens en tout cas – en apprendront bien plus pendant ces quelques semaines à la maison qu’à l’école. Il n’y a rien de tel que l’école de la vie.
De retour, quand nous avons poussé le grand portail du jardin, ma mère était sur un transat à profiter soleil. Évidemment, les garçons ont couru vers elle pour lui sauter dans les bras.
J’ai hurlé.
Ils se sont stoppé net.
Elle avait l’air désolé mais je suis sûre qu’elle l’a fait exprès. J’ai pris sur moi. Discrètement, j’ai fait des exercices de respiration pour me calmer. Heureusement que je suis là pour la protéger. Je me dis qu’il faut que je la pardonne, car elle ne sait pas ce qu’elle fait.
Dans la maison, Dolores avait préparé le dîner, et faisait du ménage “tout en écoutant un podcast”, me dit-elle, avec son fort accent Colombien et son sourire irrégulier. C’est drôle, cette génération qui ne lit pas. Enfin Dolores a vingt-huit ans, donc on est quasiment de la même génération.
Mais moi en tout cas, je ne l’ai jamais vue lire. C’est peut-être culturel.
Est-ce qu’il y a des librairies, en Colombie ? Je ne sais pas. En France, on parle très peu, sûrement pas assez, d’un pays comme la Colombie. Quand on parle de la Colombie, on parle des FARCs. Quand on parle de Colombie, on parle des prises d’otages, des problèmes de drogue.
D’où cette question : est-ce qu’il y a des librairies, dans son pays ? Bien entendu, je suppose que oui. Mais est-ce qu’on lit, en Colombie ?
Et je pourrais poser la question de la même façon en France. Est-ce qu’on lit en France ?
Aujourd’hui, on répond : de moins en moins.
Et je pense que le Covid-19, cette pandémie qui nous aura pris par surprise, aura sur la lecture une influence majeure, dans un sens ou dans l’autre. Soit notre population en aura repris le goût et ne la quittera plus, soit, à cause de la fermeture des librairies, elle l’aura abandonnée à jamais.
Je suis à peu près sûre d’avoir raison. —Ludivine de Saint Léger
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chaglt · 4 years
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Ma semaine sans réseau social
Article un peu plus perso, que je ne partagerai pas sur Facebook (hence the title, pas sûre que "hence" soit la préposition adaptée). J'ai effacé Facebook de mes applications ce matin et j'ai l'intention de ne pas y trainer d'ici samedi matin prochain (nous sommes le 15 novembre, dans 5 semaine je suis back en Belgique !! ☺️).
J'ai toujours voulu écrire un article du type "7 jours sans pester", "5 jours de gratitude".. qu'on peut voir dans certains magazines (féminins, I know. #sexism). Comme ce blog est à mwaa et qu'il contient beaucoup de "hihihi", "hahaha" comme dirait ma mummy chérie (maman, pas momie), mais aussi une "critique" littéraire que j'aime particulièrement et un article plus reposant relatant un voyage, pourquoi ne pas y ajouter ce type de contenu. De toute façon, personne ne me lit hahaha (Rire jaune, pas le youtubeur, l'autre).
Bon, l'idée de cette semaine : éviter de trainer sur Facebook (quand je suis fatiguée j'y passe beaucoup trop de temps, à regarder beaucoup de bêtises) et sur insta. Je n'ai pas insta et j'y vais quand même, la puissance ! Inutile de vous préciser que c'est souvent pour y regarder des choses peu intelligentes, même s'il y a parfois du contenu assez sympa (j'adore le compte insta "on s'en bat le clito" par exemple, belle dose de fraîcheur par rapport à la sexualité féminine - "par rapport" est-elle la préposition adaptée ?).
Bref, je pense que ça ne peut me faire que du bien, encore plus si j'y inclus YouTube, sur lequel je peux également passer un nombre d'heures effarant. Bon allez je l'inclus, mais c'est bien parce que c'est vous.
Je viendrai faire quelques petits comptes-rendus par ici de temps en temps :)
* Jour 2 (samedi) : prise de conscience, j'ai vraiment des réflexes à aller cliquer sur des applications (comme Facebook et insta sont virés de mes possibilités, je me retranche sur les E-Mails, WhatsApp et Messenger). Le positif c'est que les applications qui me restent sont beaucoup moins chronophages, du coup je laisse vite tomber une fois que j'ai répondu à mes quelques messages (qui ne sont pas si nombreux étant donné que je ne suis pas très message) et je m'occupe autrement ☺️ Autre point positif, ça ne me manque pas (elle est mignonne elle après 48h). J'ai passé une super soirée avec Javivi hier, mais de toute façon avec lui je n'utilise pas, ou très peu, mon phone-tele (wesh). Siesta time maintenant, sans craindre de passer plus de temps à scroller mon fil dactu Facebook qu'à me reposer per se. La bise ♥️
* Jour 3 (dimanche) : contextualisons d'abord quelque peu. Je suis dans mon lit, une légère barre de fatigue au front. Il est 14h30, la siesta time donc. J'ai eu une chouette matinée à appeler Mum et Arnaud, à écouter des podcasts en allemand sur les relations (j'adore : Paarologie, recommandé par une Allemande rencontrée à Séville, et Beste Freundinnen. La fille de Paarologie s'appelle Charlotte en plus, prononcé à l'allemande (= trop cute). Continuons) et à faire le ménage #proud. J'ai mangé des canellonis pas mauvais du tout, avec un petit dessert des familles en prime. J'ai même bavardé un petit peu avec Elsa qui est revenue d'un week-end dans une ville sympa dont je n'ai pas trop compris le nom. Ce soir j'ai une soirée danse de prévue, et avant je vais peut-être voir Jacob. Après ma sieste j'appelle ma cousine d'amour. Qu'attend-elle donc pour dormir me direz-vous! Et bien je suis gluée à mon téléphone, avec l'envie irrépressible (mais que je represse parce que je suis une WARRIOR - et parce que je me suis engagée ici) d'aller me perdre dans les méandres de Facebook et d'Instagram. Alors que j'ai Simone de Beauvoir qui me fait de l'oeil. Bon j'ai cette chance d'être plutôt venue faire un compte-rendu ici, je vais donc aller me reposer telle le princesse que je suis, pour ensuite passer un reste de journée doux et agréable ♥️ Saloperies de réseaux, mais jolie prise de conscience ☺️ I'm glad I started this. 🧜
* Jour 4 (lundi): contextualisation, dans le salon. Premier "craquage", je suis allée voir les nouvelles Google. Heureusement pour moi, comme c'est de la bonne shit des familles, je n'y suis pas restée longtemps. Je me rends compte que j'ai beaucoup de temps libre, que je vais essayer d'apprendre à mieux gérer. Je suis revenue de l'école (contente de moi en plus car j'ai bien avancé dans mes quelques prépas, et contente tout court parce que j'ai eu un we magique pour la confiance en moi) mais je ne savais que faire, je n'avais pas faim mais j'ai quand même dîné, je suis partie dans mes pensées et finalement je me suis retrouvée devant les nouvelles Google a grignoter des galettes de sésame-chia (y a pire comme grignotage me direz-vous 😂). Une conclusion qui pourrait être tirée ici, c'est que je suis davantage attirée par les bêtises sur mon téléphone quand je suis désoeuvrée. Setting an intention for the day would help me I think :) Mais je suis quand même contente, j'ai réussi à couper le cycle pas trop tard en mettant un podcast et en rangeant la cuisine. Bon autre mini contextualisation, je ne dors pas vraiment bien pour le moment, et j'ai fait une insomnie hier. Ce qui n'excuse rien, mais qui peut expliquer mon petit "dérapage". Programme du reste de la journée : mettre sécher, me reposer et aller chez l'ORL. Avec le bouquin de Deepak Chopra ☺️ La bise! (Bon finalement c'est sympa ce glissement, ça met un peu de piment dans mon article)
* Jour 6 (mercredi): petit point avant d’aller au théâtre (première fois que je me repose correctement avant d’y aller, sereinement). Au fait, je suis allée 2 minutes sur Youtube mais c’est parce que c’est Pauline qui m’a envoyé un lien donc ça compte pas <3
- Je suis beaucoup plus en contact avec mes proches. Ayant beaucoup plus de temps à disposition (bueno, mieux utilisé serait la palabra mas correcta), j’envoie plus de messages, je prends plus le temps de téléphoner... et ça fait beaucoup de bien <3
- J’ai découvert Spotify, beaucoup moins chronophage que Youtube. Je peux écouter ma musique, mes podcasts magiques.. ENFIN, me diront les plus techologiques d’entre-vous!
- Je suis de meilleure humeur, plus sereine. Même si j’ai des petits soucis de sommeil pour le moment, je prends le temps de me reposer, et je ne passe plus des heures à traîner sur des comptes Instagram / sur mon fil d’actualité Facebook sans beaucoup d’intérêt qui ne me faisaient pas de bien.
- Je médite plus (prononcer “plusse”) :) Est-ce nécessaire de vous dire que ça fait du bien?
- J’écoute les nouvelles (bon ça fait deux jours, mais quand même!). J’ai découvert l’assistant Google à qui je dis “bonjour” le matin et qui me dit les nouvelles du jour, ce qui est assez sympa :) Je vais essayer de le configurer pour avoir les nouvelles dans d’autres langues aussi.
- J’écoute beaucoup plus de podcasts, en allemand et en anglais :)
Et je n’invente rien, je vous jure que tout est vrai. C’est vraiment bizarre mais cool à la fois :) Time to go to the theater! Byyye <3
* Jour 7: Qu’est-ce que je m’ennuie bon sang! C’est le premier jour durant lequel je ne fais rien (je n’ai pas donné cours à Sheila aujourd’hui avec les examens) et je m’ennuie, je suis grave :) Du coup je suis ici. A 21h30 je vais chercher mon tout premier colis “too good too go”, WOUHOUU!
J’aimerais bien traîner un coup sur Youtube mais je ne peux pas. J’avoue j’y suis allée pour terminer la vidéo de 8 minutes envoyée par l’amour de ma vie (ma soeur me manque, oui). Et je suis aussi allée sur Facebook quelques minutes pour vérifier la durée d’un événement. Et j’ai aperçu 24 notifications je pense. Parce que oui, pour les événements Facebook est assez cool :) C’est d’ailleurs grâce à Facebook que je suis allée voir le Joker avec des Américaines bien sympas :)
Bon alors si on reprend mon défi de la semaine, je pense que ça me fait du bien (confer hier), et que je me rends maintenant compte que j’ai beaucoup, beaucoup de temps libre. Heureusement que je donne des cours particuliers et que j’ai théâtre le mercredi! Ce sont les soirées qui sont parfois longues. Ici je suis à l’appart depuis 16h (il est 19:52). J’ai essayé de faire une petite sieste, mais comme j’ai dormi 9h30 la nuit passée ça n’a pas marché. J’ai un peu exploré Spotify (purée j’adore cette application), entamé quelques audiobooks, quelques podcasts... Je pense qu’il y a juste des moments où ça fait du bien de se perdre sur Youtube, de couper son cerveau et de profiter. Je n’avais même pas envie de venir vous raconter ma vie ici, c’est vous dire!
Comment je me sens? Une petite barre au front. Il faut dire que mon sommeil a été pas mal perturbé ces derniers temps. Là j’ai une musique de guitare douce de Spotify en fond, ça fait plaisir :) Mais sinon je suis contente, je prends vraiment conscience de l’effet que les réseaux sociaux peuvent avoir sur moi (et sur d’autres gens je présume). Ce qui est cool, ce que je m’ennuie mais que je n’ai pas envie d’aller sur Facebook ou Insta. Juste de me matter une série ou des vidéos un peu con sur Youtube. 
- Découvertes so far:
* Spotify
* Le plaisir d’écrire (redécouverte dans ce cas-ci)
* L’assistant Google pour avoir un bref aperçu des nouvelles le matin
* La satisfaction (redécouverte dans ce cas-ci), je sens clairement les effets de la non-comparaison (inconsciente, mais d’actualité quand j’utilise les réseaux sociaux, surtout insta de mes deux. Bien contente d’avoir jamais créé de compte d’ailleurs).
* Que j’ai énormément de temps libre, et que je peux en faire ce que je veux :)
* Ce que c’est que de s’ennuyer. Ça faisait longtemps, vraiment longtemps que je n’avais pas reçu l’ennui comme ça. C’est bon pour la santé il paraît :) Allez, je vous mets un article sur “S’ennuyer c’est bon pour la santé” juste ici:
http://www.slate.fr/story/171981/ennuyer-bon-esprit
Oh. Wow. Je viens de tilter sur la citation suivante de l’article:
“Pour que ça marche, il est crucial de se déconnecter. Sandi Mann explique que nos smartphones détruisent notre capacité à nous ennuyer et empêchent un vrai divertissement: «Nous essayons de balayer et de faire défiler l'ennui, mais en faisant cela, nous nous rendons plus enclins à l'ennui, car chaque fois que nous sortons notre téléphone, nous ne laissons pas notre esprit vagabonder et résoudre notre problème». Ne reste peut-être plus qu'à créer une appli pour s'ennuyer...”
Je me reconnais beaucoup là-dedans. Et c’est vrai que ça fait deux nuits que je fais beaucoup de rêves, un peu guérisseurs comme ça. J’ai rêvé de bébé (maman ne lit pas cet article), j’ai rêvé de Javi, de pas mal d’autres choses aussi dont je ne me souviens pas tellement. Mais vous savez, cette sensation au réveil de “résolution” de certaines choses? Ça faisait bien longtemps que ça ne m’était pas arrivé, j’avais au contraire un sommeil assez peu réparateur ces derniers temps. Et quand ils disent “Nous essayons de balayer et de faire défiler l’ennui”, c’est tellement ça. Je me plonge/ plongeais dans ces réseaux en faisant défiler les fils d’actu. Oui, le temps passait. Mais je ne me sens/sentais pas bien après. Du tout.
Bon là je pense que mon corps se remet des émotions que j’ai eue depuis septembre, mais en ce qui concerne ma non-utilisation des réseaux sociaux depuis 7 jours (nous sommes le 21 et j’ai commencé le 15, plutôt 6 jours mais soit), ce n’est que du positif. Et s’ennuyer c’est assez sympa, ça me permet d’écrire, de découvrir des applications (et des artistes!) vraiment chouettes, d’écouter les nouvelles (qui l’eut crû!), de méditer un peu plus... Et puis je me sens reposée. Et ça c’est gai. Même si je ne dors pas bien.
Le jour qui m’a le plus marquée c’est hier. Insomnie la veille, je serais rentrée de ma grande journée à l’école de mauvaise humeur et je me serai plongée dans Facebook, sans vraiment me reposer avant d’aller au théâtre. Ici je suis rentrée, j’ai pris le temps de me poser, j’ai laissé les émotions couler (yes j’ai chialé bouuh), j’étais épuisée. Et j’ai fait une sieste de laquelle je n’ai pas réussi à me réveiller tout de suite. Et je suis allée sereinement au théâtre, car je me suis réveillée 1h30 avant, j’ai pu appeler ma Mutti (seuls les Allemands comprendront), me faire à manger... Un monde de différence. C’est chouette, il y a définitivement un mieux. Un bien mieux même :)
Je m’attendais à ce que l’expérience soit positive, mais à ce point-là! Et faire le point régulièrement me permet de voir tout ça, c’est vraiment gai :) Ça me donne envie de faire d’autres articles du genre, ça me donne une motivation héhé.
La semaine prochaine, je vous écris un article “ma semaine sans respirer”. On verra ce que ça donnera :D J’ai hâte!
Bisouus!
À samedi prochain ! (Oui je me vois déjà dans Flair ou autre 😎)
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fitnessmith · 7 months
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Sucre en rayon, testostérone, oméga-3 et sommeil
NOUVEAU PODCAST 👉 Sucre en rayon, testostérone, oméga-3 et sommeil. 🎙️ Découvrez notre dernier podcast ! 🎧 Du nouvel étiquetage alimentaire au Mexique face à l'obésité, aux mystérieux effets du Covid sur la testostérone, en passant par une révolution dans la mesure des oméga-3, l'impact du sommeil sur la santé cardiaque et les secrets des régimes réussis... Plongez dans ces 5 sujets brûlants qui façonnent notre santé et notre bien-être. Ne manquez pas cette dose d'infos essentielles ! 👉 Écoutez maintenant et enrichissez votre quotidien.
Dans cet épisode, nous allons discuter des sujets suivants : Sucre en rayon, testostérone, oméga-3 et sommeil Nouveau ! La fin des régimes qui échouent : 15 erreurs cruciales à éviter Rejoignez notre espace VIP et sculptez votre corps et votre esprit grâce à des programmes exclusifs, des sujets avant-gardistes et un soutien constant pour une transformation sans effet yoyo !   Sommaire du…
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ecouterradio · 3 months
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Ca va Beaucoup Mieux #RTL #podcastRTL
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omagazineparis · 3 months
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Tout savoir sur le développement personnel moderne
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La quête de soi est un voyage éternel, une danse entre ombres et lumières, entre ce que nous sommes et ce que nous aspirons à devenir. Le développement personnel moderne se présente comme une boussole dans cette aventure, une invitation à plonger au plus profond de notre être pour en émerger transformé, éclairé, épanoui. Dans ce monde en constante évolution, le développement personnel est plus pertinent que jamais. Imprégnez-vous de sa magie et découvrez les nuances de cette démarche contemporaine. Définition : l'éveil de l'âme Le développement personnel moderne est une fusion entre des méthodes ancestrales et des techniques innovantes, toutes visant à améliorer la connaissance de soi, le bien-être émotionnel, les compétences sociales et professionnelles. C'est un processus continu d'apprentissage, de croissance et de transformation. Techniques contemporaines : les outils du XXIe siècle Grâce à la technologie et à la science, des méthodes comme la méditation guidée, les applications de pleine conscience, la programmation neuro-linguistique (PNL) ou encore le coaching en ligne offrent des avenues modernes pour la transformation personnelle. L'importance de l'authenticité : l'âme à nu Dans un monde saturé d'images filtrées et de vies idéalisées, être authentique est un acte de courage. Le développement personnel nous invite à embrasser notre véritable moi, avec ses forces, ses vulnérabilités, ses rêves et ses peurs. L'apprentissage continu : l'horizon infini Le savoir est omniprésent, dans les livres, les podcasts, les ateliers en ligne. Le développement personnel moderne prône une éducation perpétuelle, un désir insatiable de croître, d'apprendre, de se réinventer. La communauté : ensemble, nous sommes plus forts Jamais auparavant n'a-t-il été aussi facile de se connecter avec des âmes partageant les mêmes aspirations. Les groupes de soutien, les forums, les réseaux sociaux dédiés offrent un espace pour partager, s'inspirer et progresser ensemble. La résilience : la flamme intérieure Le monde moderne, avec ses défis et ses turbulences, exige de nous une force intérieure inébranlable. Le développement personnel nous enseigne à puiser dans cette résilience, à voir les épreuves comme des opportunités et à rebondir avec grâce et détermination. A lire aussi : Réveillez-vous : le manque de sommeil détruit-il votre santé mentale? Le développement personnel moderne est bien plus qu'une tendance passagère. C'est un phare dans la tempête, un chant d'espoir dans le chaos, une boussole pour ceux qui cherchent leur chemin dans ce monde complexe. C'est une invitation à vivre pleinement, à aimer passionnément, à rêver audacieusement. Dans cette quête, chaque pas, chaque découverte, chaque moment de réflexion nous rapproche de notre essence, de notre vérité, de la magie de l'existence. Embrassons cette démarche avec tout notre cœur et permettons au monde de s'émerveiller devant la splendeur de notre transformation. Read the full article
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tricart · 2 years
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Dans cette époque qui pourrait plus joyeuse, en tant que papa d’idées, je suis fier d’annoncer, la création de ma chaine de podcast : Cap sur l’humour ! Ces podcast ont pour vocation de placer l’humour au centre de votre quotidien, de votre bien-être, de votre efficacité, même de votre santé morale et physique. Avant - En savoir plus...
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Guerre psychologique
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Guerre psychologique, usine à peur, ingénierie sociale, domination technocratique... Le grand Plan pour le contrôle et la manipulation des masses Les gouvernements utilisent la peur pour contrôler et manipuler leurs citoyens. C'est ce que viennent d'admettre les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B), un sous-comité qui, au Royaume-Uni, conseille le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE). Ils sont bien placés pour le savoir, car ils ont plaidé en faveur de ce projet et déclarent aujourd'hui que c'était une regrettable erreur. Tactiques de peur.
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Comme le rapporte The Telegraph, le 14 mai 2021 : Les scientifiques membres d'un comité qui a encouragé le recours à la peur dans le but de contrôler le comportement des populations pendant la pandémie de Covid ont admis que leur travail était « contraire à l'éthique » et « totalitaire ». Dans un nouveau livre sur le rôle de la psychologie dans la réponse au Covid-19 du gouvernement, les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behavior (SPI-B) ont regretté l'usage de ces tactiques . Le SPI-B a averti en mars de l'année dernière que les ministres devaient augmenter « le niveau perçu de menace personnelle » représenté par le Covid-19 étant donné qu'« un nombre important de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement ». Gavin Morgan, un psychologue de l'équipe, a déclaré : « Il est clair que le recours à la peur comme moyen de contrôle n'est pas éthique. Cette pratique est empreinte de totalitarisme. Une telle position au sein d'un gouvernement moderne n'est en rien éthique. Bien que je sois une personne de nature optimiste, tout ceci fait que j'ai aujourd'hui une vision plus pessimiste des gens. » La guerre psychologique est réelle The Telegraph cite plusieurs membres du SPI-B, qui sont tous également cités dans le livre récemment publié, A State of Fear : How the UK Government Weaponised Fear During the Covid-19 Pandemic, écrit par Laura Dodsworth : Un scientifique du SPI-B a déclaré à Laura Dodsworth : « En mars , le gouvernement pensait que les gens ne voudraient pas être confinés et était très préoccupé par leur soumission . Des discussions sur le degré de peur nécessaire pour encourager cette même soumission ont eu lieu, et des décisions ont été prises sur la façon d'accroître cette peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique. L'utilisation de la peur a été sans aucun doute discutable d'un point de vue éthique. C'était comme une expérience bizarre. En fin de compte, cela s'est retourné contre nous parce que les gens ont eu trop peur » L'un d'entre eux a mis en garde contre le fait que: « les gens utilisent la pandémie pour s'emparer du pouvoir et imposer des mesures qui n'auraient pas été adoptées en temps normal . Nous devons faire très attention à l'autoritarisme qui gagne du terrain Un autre membre du SPI-B a déclaré qu'il avait été pendant la pandémie « stupéfait par la militarisation de la psychologie comportementale les psychologues n'ont pas semblé remarquer le moment où ils ont cessé d'être altruistes pour devenir manipulateurs. Ils ont trop de pouvoir et cela les enivre. » Steve Baker, vice-président du groupe des députés conservateurs Covid Recovery, a déclaré : « S'il est vrai que l'État a pris la décision de terrifier le public pour obtenir le respect des mesures prises, cela soulève des questions extrêmement sérieuses sur le type de société que nous voulons voir émerger. Si nous voulons vraiment être honnêtes, est-ce que je crains que la politique du gouvernement d'aujourd'hui ne joue avec les racines du totalitarisme ? Oui, bien sûr, c'est le cas. » La fabrique de la peur Pendant près d'un an et demi, les gouvernements du monde entier — à quelques exceptions près — ont continuellement nourri leurs citoyens d'un régime à base d'informations effrayantes. Pendant des mois, il était impossible d'allumer la télévision sans être confronté à l'affichage d'un bandeau détaillant le nombre d'hospitalisations et de décès. Même lorsqu'il s'est avéré que les gens ne mouraient pas vraiment en nombre excessif, les médias grand public nous ont abreuvés de mises à jour continues sur le nombre croissant de « cas », sans jamais remettre ces chiffres dans leur contexte ou expliquer que la grande majorité d'entre eux n'étaient que des faux positifs. « les gens n'aiment pas se faire embobiner et ils ne veulent pas vivre dans une atmosphère de peur. Lorsque quelque chose ne va pas, nous devrions peut-être faire preuve d'un peu plus d'audace pour réagir plus rapidement. » ~ Laura Dodsworth Les informations qui auraient permis de contrebalancer les mauvaises nouvelles — comme les taux de guérison et le nombre de soi-disant « cas » qui n'en étaient pas, car ils n'ont jamais présenté le moindre symptôme — ont été censurées et supprimées. Ils ont également refusé de replacer les données dans leur contexte, par exemple en examinant si le nombre de décès différait réellement de manière significative par rapport aux années précédentes. En lieu et place, chaque nouveau cas a été traité comme une urgence et le signe d'un désastre imminent. Ne soyez pas déconcerté — La contradiction est une tactique guerrière Outre le déluge de données contenant uniquement des mauvaises nouvelles — qui, soit dit en passant, ont été manipulées à outrance et de diverses manières — la peur et l'anxiété vous maintiennent aussi dans un état de confusion. Selon Laura Dodsworth, recourir à des recommandations contradictoires et à des instructions vagues vise, de manière intentionnelle, à vous maintenir dans un état de vulnérabilité psychologique. Dans une interview du 20 mai 2021 dans le podcast « Planet Normal », elle déclare : « Lorsque vous créez un état de confusion, les gens deviennent de plus en plus dépendants aux messages. Au lieu de se sentir en confiance pour prendre des décisions, ils finissent par attendre les instructions du gouvernement. » Un exemple fourni par Laura Dodsworth sont les mesures de pandémie mises en œuvre à Noël 2020 : « Les Noëls en famille étaient permis, puis interdits, puis à nouveau permis, puis à nouveau interdits. Quelqu'un serre la vis, puis la desserre, puis la serre à nouveau. Comme dans un scénario de torture. » Note du traducteur : Il s'agit véritablement d'un scénario de torture : Manipulation de masse et torture psychologique avec Jean-Jacques Crèvecoeur « Pandémie » mondiale et opération « Dark Winter » — Un scénario écrit de longue date ? Mais ce n'est pas tout. Comme l'explique le psychiatre Peter Breggin, en ajoutant la confusion et l'incertitude à la peur, il est possible de plonger un individu dans un état tel qu'il ne peut plus penser rationnellement. Une fois conduit dans ce mode de pensée illogique, il est facile de le manipuler. Je ne doute pas que l'objectif principal de la plupart des informations contradictoires que nous recevons consiste à placer les gens dans un état où la logique et la raison ne fonctionnent plus. L'usine de la peur Dans son livre, Laura Dodsworth détaille les méthodes de guerre psychologique utilisées par un certain nombre de structures gouvernementales britanniques dans leur interaction avec le public. En plus du SPI-B, il y a L'équipe de la BVA Nudge Unit, un organisme gouvernemental semi-indépendant qui applique « les connaissances comportementales pour informer les politiques, améliorer les services publics et obtenir des résultats positifs pour les personnes et les communautés ». Cette équipe conseille également les nations étrangères . L'Unité de recherche, d'information et de communication (RICU) du Bureau de l'Intérieur, une composante de l'Office for Security and Counter-Terrorism du Royaume-Uni qui conseille des groupes fantoches déguisés en organisations publiques « populaires » sur la manière de « manipuler secrètement les pensées des gens ». L'Unité de Réponse rapide, lancée en 2018, qui opère à travers le Bureau du Cabinet britannique et le bureau du Premier ministre (familièrement appelé « Number 10 » comme dans l'adresse physique, 10 Downing Street à Londres) pour « contrer les mauvaises informations et la désinformation ». L'Unité travaille également pendant les crises avec l'Équipe de communication de la Sécurité nationale pour s'assurer que les « informations officielles » bénéficient d'une visibilité maximale. La Cellule de lutte contre la Désinformation, un service du ministère du Numérique, de la Culture, des Médias et des Sports, qui à eux deux surveillent les médias sociaux et combattent les « fake news » portant sur la science en général et le Covid-19 en particulier, les « fake news » étant tout ce qui contredit les directives de l'Organisation mondiale de la santé. Le Quartier général des communications du Gouvernement (QCHQ), une organisation de renseignement et de sécurité qui fournit des informations au gouvernement et aux forces armées du Royaume-Uni. Selon Laura Dodsworth, le personnel du QCHQ, et même des membres de la 77e brigade, ont été recrutés en tant que « sockpuppets » et « trolls » pour combattre les messages anti-vaccins et anti-confinement sur les médias sociaux. Selon Laura Dodsworth, ces structures seraient bien plus nombreuses. Dans son livre, elle affirme qu'il existe au Royaume-Uni au moins 10 ministères différents qui collaborent avec des « équipes spécialistes de la psychologie comportementale » pour manipuler le public. Nous ne voyons qu'aujourd'hui ce qui existait déjà avant Il est important de noter que le recours gouvernemental à la psychologie comportementale ne constitue pas un phénomène nouveau qui serait apparu lors de la pandémie. Depuis des années, et pour une myriade d'objectifs de relations publiques, ces tactiques sont utilisées et quand bien même la pandémie soit en train de se résorber, Laura Dodsworth souligne le nombre croissant d'embauches de spécialistes de la psychologie comportementale. « ne cesse de croître encore et encore. En ce moment, j'ai l'impression que nous sommes dans un maelström d'exhortations. Par le passé, des appels ont été lancés pour consulter le public sur l'utilisation de la psychologie comportementale, et ces appels provenaient des spécialistes du comportement eux-mêmes. Et pourtant, cela ne s'est pas produit. Nous n'avons pas encore été consultés sur l'utilisation de techniques subconscientes qui nous privent effectivement de nos choix J'espère sincèrement que ce livre va inspirer une conversation indispensable sur l'utilisation de la peur, non seulement dans le cadre de l'épidémie, mais également dans la manière dont nous utilisons la psychologie comportementale en général. C'est pire que si nous avions juste délivré le génie de sa lampe. C'est comme si nous avions libéré une Hydre et que peu importe le nombre de fois où on lui coupe la tête, les différents départements du gouvernement continuent à employer davantage de ces scientifiques comportementaux. C'est en grande partie ainsi que le gouvernement fait désormais des affaires. C'est le business de la peur Je pense qu'en fin de compte, les gens n'aiment pas se faire embobiner et ils ne veulent pas vivre dans une atmosphère de peur. Lorsque quelque chose ne va pas, nous devrions peut-être faire preuve d'un peu plus d'audace pour réagir plus rapidement. » La peur est contagieuse La peur est depuis longtemps l'outil des tyrans. Elle est profondément efficace, en partie parce qu'elle se propage d'une personne à l'autre, comme un virus. La contagion de la peur est le sujet de la vidéo de Nova intitulée « Gross Science » ci-dessous, diffusée initialement à la mi-février 2017. Chez les animaux, les réactions de détresse émotionnelle sont transmises par des phéromones émises par diverses sécrétions corporelles telles que la sueur et la salive. Comme l'explique la vidéo, lorsqu'ils rencontrent ce qui est perçu comme une menace sérieuse, les animaux dotés de fortes structures sociales, comme les abeilles et les fourmis, libèrent une phéromone d'alarme. Cette odeur attire les autres membres de la ruche ou de la colonie pour les inciter à attaquer la menace de manière collective. Les êtres humains semblent posséder une capacité très similaire. Lorsqu'ils sont effrayés ou stressés, ils produisent des signaux chimiques et, même si vous ne reconnaissez pas consciemment l'odeur de la peur ou du stress, elle peut avoir un impact inconscient et vous amener à éprouver vous aussi de la peur ou du stress. Les êtres humains ont également tendance à imiter les sentiments de ceux qui les entourent, et — pour le meilleur ou pour le pire — ce phénomène constitue un mécanisme supplémentaire par lequel une émotion peut dans une communauté ou une nation entière se répandre comme une traînée de poudre. Les psychologues comportementaux le désignent par le terme de « contagion émotionnelle », et il se manifeste aussi bien pour les émotions positives que négatives. Par exemple, lorsque vous rencontrez quelqu'un qui vous salue en souriant, vous êtes susceptible de lui sourire en retour, en imitant son expression faciale et son comportement. Si quelqu'un vous jette un regard noir, vous pourriez bien vous aussi éprouver une colère soudaine, même si vous n'étiez pas en colère déjà avant et que vous n'avez aucune raison subjective de l'être, si ce n'est que cette personne ne vous a pas regardé de manière « bienveillante ». Cependant, si les émotions positives et négatives sont contagieuses, certaines se propagent plus rapidement et plus facilement que d'autres. Les recherches citées dans le rapport Nova ont révélé que les émotions qui contiennent un « niveau élevé d'activation » — telles que l'émerveillement (émotion positive fortement active), la colère ou l'anxiété (émotions négatives fortement actives) — sont plus « virales » que les émotions à plus faible niveau d'activation, telles que le bonheur ou la tristesse. Le rapport Nova souligne également que les chercheurs ont exploité les données de Twitter et d'autres médias sociaux pour mieux comprendre comment les émotions se propagent et quels sont les types de messages dont la propagation est la plus rapide. Cependant, ils ont ignoré les principaux coupables, Google et Facebook qui tous deux volent vos données privées et les utilisent pour manipuler votre comportement. À l'époque, en 2017, ils ont déclaré que ces informations étaient récoltées et utilisées pour développer des moyens d'éviter les messages publics qui pourraient inciter à la panique de masse. Mais la pandémie de Covid-19 suggère tout le contraire. De toute évidence, les experts en comportement ont été occupés à développer des moyens de générer un maximum de peur, d'anxiété et de panique. Comment s'immuniser contre la contagion négative ? À la fin du rapport, Nova cite des recherches détaillant trois moyens efficaces de se « vacciner » contre les contagions émotionnelles négatives. Distanciez-vous de la source de la contagion négative — Dans le cas de l'épidémie de peur mise en œuvre de manière globale, cela peut impliquer de ne pas lire ou écouter les médias mainstream qui, depuis un an, se sont montrés incapables de faire preuve de pondération . Projetez vos propres émotions positives sur la source de la contagion négative — Si vous parlez à quelqu'un qui a peur, il pourrait finir par « attraper » votre optimisme plutôt que l'inverse. Exprimez-vous — Si quelqu'un répand involontairement des « ondes négatives », le fait de lui expliquer ce qu'il est en train de faire peut l'aider à comprendre les implications de son comportement — toutefois, cela ne fonctionnera pas si la source répand sciemment et à dessein la peur ou l'anxiété. La pandémie de panique Dans un récent tweet, Ivor Cummins, un ingénieur biochimiste qui étudie les causes profondes des maladies chroniques, a partagé une courte vidéo qui décrit en détail la cause profonde de l'actuelle pandémie de panique. Pourquoi le monde entier semble-t-il devenir fou de peur ? Selon Ivor Cummins, le niveau démesuré de la peur publique est le résultat d'un système de boucle de rétroaction catastrophique dans lequel les figures politiques et les médias mainstream véhiculent la peur auprès du public, les craintes du public alimentent ensuite les médias mainstream — la peur fait vendre — ce qui incite les figures politiques à prendre des mesures, ce qui génère d'autres messages de peur. Et ainsi de suite, la boucle est bouclée. Néanmoins, il arrive un moment où ce moteur de la peur commence à s'essouffler. Afin de faire perdurer le pandémonium de la pandémie, on a fait appel à des universitaires porteurs de prédictions apocalyptiques dont le rôle est d'effrayer les politiciens et de fournir aux médias toujours plus de tambouille pour alimenter la peur. Ces universitaires sont soutenus en coulisses dans leur mission — voire encouragés ouvertement — par des organisations non élues et non démocratiques telles que l'Organisation mondiale de la santé, le Forum économique mondial, les Nations unies, le Fonds monétaire international, la Fondation Bill & Melinda Gates et Big Pharma (pour n'en citer que quelques-unes), qui toutes soutiennent ces prophéties d'apocalypse. Toutes les organisations mentionnées par Cummins font partie d'une élite technocratique et non élue qui prend des décisions pour le monde entier. Si nous pouvions d'une manière ou d'une autre désactiver ce moteur secondaire qui alimente le premier, la folie mondiale commencerait probablement à diminuer. La question étant de savoir si cela peut être fait. Robert F. Kennedy Jr. a comparé notre situation actuelle à « une bataille apocalyptique », car nous sommes confrontés à de formidables forces antidémocratiques disposant de ressources financières apparemment illimitées, d'une influence politique et d'une capacité à contrôler le contenu des communications mondiales. Nous sommes confrontés à un programme globaliste dont le but ultime est d'obtenir un contrôle total en supprimant les Droits de l'homme et les droits des pays, et pour justifier tout cela, ils ont recours à la « biosécurité ». Mise en lumière du grand Plan Comme l'explique le journaliste James Corbett dans son « Corbett Report » du 16 octobre 2020, la Grande réinitialisation est un nouveau « contrat social » qui lie chaque personne au moyen d'un identifiant électronique lié à son compte bancaire et à ses dossiers médicaux, et d'un identifiant de crédit social qui finira par dicter toutes les facettes de votre vie. Il s'agit de se débarrasser du capitalisme et de la libre entreprise, et de les remplacer par le « développement durable » et le « capitalisme participatif », des termes qui démentent leurs intentions néfastes et anti-humaines. Comme indiqué dans le livre Technocracy : The Hard Road to World Order : « Le développement durable est une technocratie Le mouvement du développement durable a pris des mesures minutieuses pour dissimuler sa véritable identité, sa stratégie et son objectif, mais une fois le voile levé, le voir comme avant ne sera plus possible. Une fois sa stratégie démasquée, tous les éléments commencent à s'emboîter. Read the full article
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