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#Une femme debout
fcllederage-moved · 10 months
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@wynterlanding said: 👗
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👗 for a moodboard about my muse’s fashion style
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artthatgivesmefeelings · 6 months
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Pierre-Paul Prud'hon (French, 1758-1823) Etude de femme nue debout, les bras appuyés à une branche, n.d. Musée du Louvre
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strictpunishedhubby · 6 months
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Ein Mann, der lustlos und mĂŒrrisch seine Hausarbeit schlampig verrichtet, muss von seiner Frau dazu motiviert werden, indem sie ihm grĂŒndlich die Leviten liest. Sie belĂ€sst es nicht dabei ihn auszuschimpfen, sondern sie wird mit einem Rohrstock heftig seinen nackten Po bearbeiten, und ihn vor seine verdienten zweiten Tracht PrĂŒgel eine viertel Stunde mit seinem nackten, versohlten Hintern in der Ecke stehen lassen, damit er sein untragbares Betragen bereut und merkt es wird von ihr in keinster Weise toleriert. Sie wird ihn zusĂ€tzlich weitere drastisch Bestrafungen nach seiner getanen Arbeit ankĂŒndigen. So motivierter sie ihn dazu, seine hĂ€uslichen Pflichten gewissenhaft nachzugehen und sein zukĂŒnftiges Verhalten zu verbessern!
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A man who listlessly and sullenly does his housework sloppily must be motivated by his wife by reading the riot act profoundly to him. She doesn’t leave it at that scolding him, but she will work hard on his bare bottom with a cane, and make him stand in the corner with his naked, spanked bottom for a quarter of an hour before his deserved second beating so that he regrets his intolerable behavior and realizes that she will not tolerate it in any way. She will also announce further drastic punishments after he has done his work. In this way she motivated him to pursue his household chores duties conscientiously and to improve his future behavior!
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Un homme qui fait son travail mĂ©nager d'un air maussade et apathique doit ĂȘtre motivĂ© par sa femme en lui lisant profondĂ©ment l'acte anti-Ă©meute. Elle ne s'arrĂȘte pas lĂ  pour le gronder, mais elle va travailler dur sur ses fesses nues avec une canne, et le laisser debout dans un coin pendant un quart d'heure avant sa deuxiĂšme fessĂ©e bien mĂ©ritĂ©e, pour qu'il regrette sa comportement intolĂ©rable et remarquera qu'il ne sera pas du tout tolĂ©rĂ© par elle. Elle annoncera Ă©galement d'autres sanctions drastiques aprĂšs qu'il aura accompli son travail. Elle l'a ainsi motivĂ©e Ă  poursuivre consciencieusement ses tĂąches mĂ©nagĂšres et Ă  amĂ©liorer son comportement futur !
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mote-historie · 10 months
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Henri Gervex (French, 1852-1929), Young woman standing, back view, in front of a window (Jeune femme debout, vue de dos, devant une fenĂȘtre).
Paris, musée d'Orsay, conservé au musée du Louvre.
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hellmouthheritage · 9 months
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RPG sur www.hellmouth.forumactif.com
FAITH LEHANE :
Cette maison me rappelle tellement de souvenirs. Mon tout premier Noël en famille, avec Joyce. La seule et unique femme à m'avoir fait aveuglement confiance. J'ai bien failli la tuer, je n'en reviens pas encore que j'ai menacé de mort la mÚre de Buffy, alors qu'elle était ma seule et véritable amie. Mon stress grandit à chaque pas que je fais vers la porte. Tant de choses se sont passées depuis la derniÚre fois que j'ai vu Buffy. J'ai changé, grandi, évolué, mais les souvenirs de notre passé me hantent toujours. J'espÚre qu'elle me pardonnera pour tout ce qui s'est passé. Mon poing se lÚve lentement, et je cogne à la porte. Le bruit résonne dans le silence de la nuit, et j'entends mon propre souffle s'accélérer. Les secondes semblent durer une éternité, et j'attends anxieusement que Buffy apparaisse devant moi. Soudain, la porte s'ouvre, et c'est elle. Buffy, debout là, les yeux écarquillés de surprise.
Hey, B Essayant de cacher mon propre Ă©moi derriĂšre un sourire timide. Ça fait un moment. J'ai entendu dire que tu avais besoin d'aide.
BUFFY SUMMERS : Ça ne faisait pas longtemps que j'Ă©tais rentrĂ©e Ă  la maison. La semaine avait Ă©tĂ© longue, mais c'Ă©tait enfin vendredi soir. Les week-ends, comment pourrais-je vivre sans ? C'est les seuls deux jours de la semaine oĂč je peux ĂȘtre libre de mes fonctions de policiĂšre. L'autre nuit, j'avais envoyĂ© ma fille, au Bronze, mettre Faith au courant de ce qui Ă©tait entrain de ce passer Ă  Sunnydale. Je me demandais ce qu'elle en pensait. MalgrĂ© notre passif assez agressif, elle est la seule alliĂ©e dans cette guerre qui est capable de livrer bataille avec la mĂȘme force et la mĂȘme expĂ©rience que moi. Je n'ai pas le choix de piler sur mon orgueil et de la faire participer Ă  cette guerre, malgrĂ© tout ce qu'elle m'a fait.
Ça cogne... J'ouvre, et devant moi se tient Faith. Mon cƓur bat fort, mais je n'arrive pas Ă  masquer ma mĂ©fiance. La voir ici, devant ma porte me fait ressentir encore plus cette plaie sur mon front entrain de cicatriser. J'avais eu de la difficultĂ© Ă  vaincre un Turok-Han, un peu plus tĂŽt. Je n'avais jamais rencontrĂ© de vampires aussi forts qu'eux. Ils sont presque invincibles et le pire dans tout ça, c'est qu'ils ne sont pas la plus grande menace, en ce moment. Nous avons la reine des enfers qui veut notre peau et celle de nos enfants sans oublier la grande annonce de @Willow Rosenberg, concernant des tueuses venues tout droit des enfers.
Je ne suis pas contente de la revoir aprÚs tout ce temps. Vingt-deux années dans une tombe ont fait remonter beaucoup d'émotions, y compris la rancune envers Faith pour tout ce qu'elle a fait par le passé. Elle s'est invitée dans ma famille, elle a essayé de me voler mes amis, ma vie, de tuer Willow et Alex sans oublier Angel. Cette fille, je la déteste, mais je dois admettre que je suis contente qu'elle soit là.
Faith... dis-je d'une voix froide, gardant mes Ă©motions sous contrĂŽle. Oui, vingt-deux ans pour ĂȘtre exacte. Lui lançais-je sur un ton sĂšche en hochant la tĂȘte sur la gauche. Aurais-tu pu choisir un moment pire pour revenir?
Je m'écarte de la porte légÚrement pour la laisser entrer et la suivre dans la cuisine. Faith n'avait pas changé. Sa façon de bouger, de parler... Elle faisait comme si elle était déjà comme chez elle. Mes yeux tournÚrent vers le plafond. Je prend place derriÚre le comptoir de la cuisine en sortant une bouteille de sauvignon blanc et deux coupes de cristal. Si j'ai à affronter une conversation avec Faith Lehane, je vais avoir besoin d'un verre et sans doute que elle aussi.
Oui, j'ai demandé à Aube de te parler des derniÚres nouvelles. Dis-je en gardant une distance émotionnelle. Mais ça ne signifie pas que je te fais confiance ou que je te pardonne pour tout ce que tu as fait.
Je sens le regard de Faith sur moi et ça me perturbe de la savoir ici, dans ma maison. Je sais qu'elle veut retrouver sa place dans notre Ă©quipe, mais je ne suis pas prĂȘte Ă  lui accorder rapidement. Le ressentiment est profond, et il faudra du temps pour le surmonter, si c'est possible. Je reste sur mes gardes, ne lui accordant qu'une attention minimale. Je sais que nous avons besoin de toute l'aide possible, mais cette fille, elle me travaille les entrailles. Chaque fois que je croise ses yeux, j'ai envie de lui en mettre une.
La guerre approche, et nous devons nous concentrer sur cette menace. Je suis prĂȘte Ă  mettre de cĂŽtĂ© mes sentiments personnels pour l'instant, mais je ne sais pas si je pourrai un jour te pardonner pour tout ce que tu m'as fait, Faith. La blessure est trop profonde. Je ne crois pas qu'un jour, toi et moi, nous serons amies.
AprÚs avoir versé le vin dans les coupes, j'en fais glisser une devant elle en levant mon verre pour qu'elle puisse le cogner contre le mien. J'ai la quarantaine, je suis capable de faire la différence entre une amie et une alliée. J'ai besoin d'elle dans cette guerre et je veux lui faire comprendre. Je cogne mon verre contre le sien et je bois une gorgée avant de la relancer.
J'ai entendu dire que tu es la nouvelle propriétaire du Bronze. L'ancien propriétaire est disparu, la police de Sunnydale n'a toujours pas retrouvé le corps. Je le sais, parce que j'en fais partie maintenant. Lui dis-je en sortant mon badge, pour regarder sa réaction. Faith était toujours recherchée par la police de Los Angeles. Je voulais qu'elle stresse un peu.
T'en fait pas Faith. Je garderai tes petits secrets.
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les-portes-du-sud · 2 months
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Une femme debout devant un miroir
Lieu: Arlington, Texas . USA
📾Tony Luginsland
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alexar60 · 9 months
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forĂȘt. AprĂšs quelques kilomĂštres, Johannes regretta d’avoir refusĂ© une assistance. Il regarda les arbres Ă  l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de rĂ©elle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitiĂ© pour sa vie.
Mais son inquiĂ©tude allait surtout sur les lĂ©gendes que la forĂȘt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prĂ©tendaient avoir rencontrĂ© un monstre, une bĂȘte au regard noir et Ă  la forme d’un loup. D’autres parlĂšrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forĂȘt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journĂ©es,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervositĂ©. Un lĂ©ger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-lĂ . Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiĂ©tant. Parfois, Johannes tournait la tĂȘte au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoquĂ© par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracĂ©e. Cependant, aprĂšs quelques heures, il s’arrĂȘta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. DĂšs lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bĂąton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cƓur dans un dĂ©sagrĂ©able fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas rĂ©veiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un Ă©niĂšme hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il rĂ©alisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tĂȘte, cherchant Ă  voir Ă  travers la brume. En fait, il espĂ©rait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, mĂȘme un monstre. Car le silence absolu Ă©tait la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forĂȘt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcenĂ©, provoquant en mĂȘme temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien dĂ©jĂ  trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit Ă  courir espĂ©rant retrouver son cheval le plus tĂŽt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairiĂšre.
EssoufflĂ©, fatiguĂ©, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tĂȘte et dĂ©couvrit un lac peu profond et pas trĂšs grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa prĂ©sence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sƓurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumĂ©e. Johannes se sentit gĂȘnĂ© de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempĂ©es ne cachaient rien de leur corps dĂ©sirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait ĂȘtre la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, rĂ©pondit-elle. Mais il ne doit pas ĂȘtre bien loin. Si tu veux nous t’aiderons Ă  le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider Ă  frapper ce linge.
Le marchand hĂ©sita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. DĂšs lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartĂšrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença Ă  le frapper sous les sourires des lavandiĂšres.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficultĂ©. Et une fois terminĂ©, une laveuse l’aidait Ă  plier correctement les draps pour les faire sĂ©cher. Il avait du mal Ă  empĂȘcher ses yeux d’admirer les formes gĂ©nĂ©reuses de ses coĂ©quipiĂšres du moment. Le tĂ©ton de leurs seins ressortant de sous la robe trempĂ©, Les pubis collant au tissu. Il dĂ©tourna le regard, dĂšs que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle Ă©tait Ă  genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrĂąt pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent Ă  leur tour. Le soleil commença Ă  dĂ©cliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalitĂ© pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
SoulagĂ© de ne pas Ă  traverser la forĂȘt en pleine nuit, Johannes accepta. DĂšs lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense rĂ©gnait.
Elles marchĂšrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention Ă  une racine au sol ou aux ronces sur le cĂŽtĂ©. Elles marchĂšrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres Ă©taient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumiĂšre dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois Ă©tait leur domicile. Mais invitĂ© par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. DĂ©cidĂ©ment, il faisait un grand effet auprĂšs d’elles. Il pĂ©nĂ©tra dans la grotte. Elle Ă©tait immense, Ă©clairĂ©e par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nausĂ©abonde empoisonnait l’atmosphĂšre.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
EtonnĂ©, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait ĂȘtre ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittĂ©es ? Il marcha toujours encadrĂ© par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et dĂ©jĂ , il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-Ă -coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantitĂ©, Ă  moitiĂ© putrĂ©fiĂ©s, des parties dĂ©vorĂ©es et dĂ©charnĂ©es, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il Ă©tait encore entier. L’animal avait la gorge arrachĂ© et exhibait ses cĂŽtĂ©s encore ensanglantĂ©es.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hĂŽtesses venaient de se transformer en griffes acĂ©rĂ©es. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlĂšrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dĂ©pecĂšrent, arrachant sa viande avec une telle monstruositĂ©. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dĂšs que les dames de la forĂȘt se sentirent rassasiĂ©es, elles jetĂšrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblĂ©es.
Ales@r60 – aoĂ»t 2023
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icariebzh · 2 months
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"Font leur pipi contre les murs Quelquefois mĂȘme sur leurs chaussures Pisser debout ça les rassure Les z'hommes Z'ont leur p'tit jet horizontal Leur p'tit siphon leurs deux baballes Peuvent jouer Ă  la bataille navale Les z'hommes
Z'ont leur p'tit sceptre dans leur culotte Leur p'tit périscope sous la flotte Z'ont le bùton ou la carotte Les z'hommes Et au nom de ce bout d'bidoche Qui leur pendouille sous la brioche Ils font des guerres ils font des mioches Les z'hommes
Ils se racontent leurs conquĂȘtes Leurs pĂ©ripĂ©ties de braguette Dans des gros rires Ă  la buvette Les z'hommes Ils se racontent leurs guĂ©guerres Leurs nostalgies de militaires Une lalarme Ă  la paupiĂšre Les z'hommes
VirilitĂ© en bandouliĂšre Orgueil roulĂ© en bandes molletiĂšres AgressivitĂ© en oeillĂšres Les z'hommes Ils te traiteront de pĂ©dĂ© De gonzesse et de dĂ©gonflĂ© À moins qu'tu n'sortes dehors si t'es Un homme
Z'aiment les femmes comme des fous C'est si pervers mais c'est si doux Enfin quoi c'est pas comme nous Les z'hommes Z'aiment les femmes à la folie Passives muettes et jolies De préférence dans le lit Des z'hommes
Au baby-room ou au boudoir À la tortore ou au trottoir Z'aiment les femmes sans espoir Les z'hommes ProstituĂ©es ou PĂ©nĂ©lopes ApprivoisĂ©es ou antilopes Toutes les femmes sont des salopes Pour les z'hommes
C'est en quatre-vingt-treize je crois Qu'ils ont tué la femme du roi Et la Déclaration des Droits De l'Homme C'est depuis deux mille ans je pense Qu'ils décapitent en silence Les femmes d'ailleurs et de France Les z'hommes
Z'ont abattu les Tibétaines Z'ont fricassé les Africaines Z'ont indigné les Indiennes Les z'hommes Z'ont mis le voile aux Algériennes La chasteté aux chùtelaines Et le tablier à MémÚne Les z'hommes
Excusez-moi mais elle me gratte Ma pauvre peau de phallocrate Dans la région de la prostate Des z'hommes Excusez-moi mais je me tire Sans un regret sans un soupir De votre mafia votre empire Des z'hommes
À chacun sa rĂ©volution Aurais-je seul'ment des compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme À chacun sa rĂ©volution Aurais-je seulement trois compagnons Qui partagent l'indignation D'un homme"
Henri Tachan
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jeanchrisosme · 5 months
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Ne craquez pas pour un homme qui vous aime pour votre beau visage ou les courbes sur votre corps.. Craquez pour un homme qui aime vos cicatrices. Craquez pour un homme qui comprend votre douleur. Craquez pour un homme qui voit les larmes que vous repoussez quand vous souriez. Craquez pour un homme qui respecte toutes les dĂ©cisions que vous avez prises afin que vous puissiez sauver votre dignitĂ© et tenir debout. Craquez pour un homme qui vous respecte pour les valeurs que vous dĂ©tenez et l'Ă©thique qui font partie de votre vie. Un vrai homme ne choisira pas une femme juste parce qu'elle a l'air sexy ou belle, il choisira une femme qui peut prendre position pour elle-mĂȘme, se battre pour elle-mĂȘme et se dĂ©fendre contre toute attente. La vraie sexy d'une femme rĂ©side dans la force de son caractĂšre et la compassion dans son cƓur...
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oldsardens · 2 days
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Henri Martin - Femme nue debout un bras levĂ© derriĂšre la tĂȘte
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wistfulcynic · 3 months
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savez-vous pourquoi on a les tournesols
i learnt about @ecclesiasticallatinfest um, yesterday, but i thought it was a great idea and wanted to participate so i knocked up a quick translation of my shortest fic. i'm an experienced translator but i always do french to english so going the other way was a challenge. Fortunately i knew exactly what the author meant by everything though she is a bitch for the flowery prose. i may have taken a few liberties with the french language, including disposing entirely with the passé simple because i cannot be arsed, so i hope gentle readers you will be kind.
original fic is here
translation is here
Stede Bonnet ressemble parfaitement Ă  un des hommes dans son tableau prĂ©fĂ©rĂ©. Un jour, il rencontre l'homme qui ressemble Ă  l'autre. Ça donne l'impression d'ĂȘtre destinĂ©.
(Il l'est.)
savez-vous pourquoi on a les tournesols
Stede Bonnet adore les musées. 
C’était toujours comme ça, depuis sa premiĂšre visite, lors d’un voyage scolaire. Un voyage qui Ă©tait, Ă  tous les autres Ă©gards, bien peu mĂ©morable. Les tourments habituels des jumeaux Badminton et de leur cohorte, la solitude habituelle de Stede, lui seul avec ses livres et ses pensĂ©es. 
Mais il se souvient du tableau. 
Il se souvient de ces deux hommes sur le pont de leur navire, si vivement rendus par touches d’huile qu’il avait l’impression de sentir lui-mĂȘme le vent qui fouettait dans leurs cheveux et gonflait les voiles de leur vaisseau. Il se souvient de la fiertĂ© de leur posture, l’absence total de peur. Il se souvient de leur unitĂ©, le fil de leur lien impossible de nier, palpable mĂȘme depuis une peinture et Ă  travers trois cents annĂ©es. Il se souvient du dĂ©sir ardent qui animait sa jeune poitrine. C’était ça ce qu’il voulait. Cette unitĂ©. Ce lien. Ce quelqu’un qui le regarderait du maniĂšre dont les pirates du tableau se regardaient. 
Personne n’avait jamais regardĂ© Stede Bonnet comme ça. 
MĂȘme aujourd'hui personne ne le regarde comme ça. Ni ses parents, ni son ex-femme. MĂȘme pas ses enfants. Il traverse la vie comme il traverse les rues de Londres, seul parmi les foules bouillonnĂątes des gens—familles, amis, amants. Mais pas pour lui. Jamais pour lui. 
Mais il adore toujours les musées. 
Il est aujourd’hui le conservateur de l’aile du XVIII siĂšcle de la National Gallery de Londres, un boulot de rĂȘves pour lequel il a travaillĂ© toute sa vie. Il devrait se sentir triomphant, et il l’est, vraiment. Mais
 doucement triomphant, et pour la plupart Ă  soi-mĂȘme. Le fait qu’il n’ait personne avec qui le partager ne fait rien, pas vraiment. Aller chaque jour au musĂ©e, savoir que c’est sa place, une place qu’il a mĂ©ritĂ©e, c’est ça qui lui rend heureux. Plus heureux qu’il n’a jamais Ă©tĂ©. Ça suffit. 
Lorsqu’il acquiert le tableau, le tableau, celui qu’il a vu pour la premiĂšre fois Ă  Auckland il y a tant d’annĂ©es, son bonheur est complet. Chaque jour il va dans sa gallĂ©rie et se tient debout en face de ce tableau et le regarde. Il se tient debout et il regarde et il ressent Ă  nouveau ce dĂ©sir presque douloureux dans sa poitrine. 
Peu à peu il se rend compte de quelque chose, une quelque chose trùs particuliùre dont il ne sait pas trop quoi faire. Un des hommes du tableau, celui du droit, l’homme blond à la barbe courte et pointue et à l’allure fringante, sa chemise blanche flottante et sa ceinture en soie turquoise autour de la taille, cet homme
 il ressemble à Stede. 
Exactement comme Stede. À tel point que c’en est bizarre. Il ne l’a jamais remarquĂ© autrefois, Ă©videmment, comment aurait-il pu? Mais maintenant qu’il est plus Ăągé—du mĂȘme Ăąge, semble-t-il, que l’homme du tableau—le ressemblance est indĂ©niable.
Il se laisse pousser la barbe, par curiositĂ© acadĂ©mique, il se dit. Juste pour voir si la ressemblance est renforcĂ©e ou entravĂ©e. Il se laisse pousser Ă©galement ses trĂšs courts cheveux, afin de mieux ressembler les boucles du tableau. Il introduit de la couleur dans sa garde-robe, les bleus vifs et les verts joyeux, mĂȘme un petit jaune impertinent, de temps en temps. Il dĂ©couvre qu’il adore la couleur, et la mode, et qu’elles l’adorent en revanche. S’habiller le matin devient un plaisir et non plus un corvĂ©e. 
Ne plus il se heurte les gens dans la rue parce qu’ils ne le remarquent pas. PlutĂŽt, les inconnus hochent la tĂȘte Ă  son passage et lui rendent ses sourires amicales. Ils arrivent mĂȘme de faire la bavardage dans les queues. Ils gloussent s’il tente une petite blague. Il commence Ă  faire des blagues exprĂšs. Les gens rient. Ils rient d’amusement et pas de moquerie. Pour Stede, ça change tout. 
Ce Stede avec plus de confiance, plus de couleur, dĂ©bordant d’une exubĂ©rance naturelle enfin libĂ©rĂ©e et tellement ravi de se ressembler si parfaitement Ă  l’homme du tableau, commence Ă  tourner plus frĂ©quemment envers l’autre. Cet homme que, mĂȘme enfant, il a trouvĂ© presque trop magnifique pour apercevoir. Cet homme grand, beau, tout vĂȘtu en cuir, sa barbe et ses cheveux longs fouettĂ©s par le vent et glorieux, qui contemple le doppelgĂ€nger peint de Stede avec le regard le plus doux qu’il n’ait jamais vu. 
Ce regard. La douleur dans sa poitrine devient insupportable lorsqu’il y pense, mais il y pense tout de mĂȘme, et frĂ©quemment. 
MalgrĂ© sa confiance en lui rĂ©cemment trouvĂ©, il n’existe toujours personne qui a jamais regardĂ© Stede Bonnet comme ça. 
--
“SacrĂ© tableau, n’est-ce pas, mon pote?” 
Stede se dĂ©tourne de sa contemplation matinale du pirate vĂȘtu en cuir, surpris et ravi d’entendre la cadence d’un accent familier. C’est rare qu’il rencontre un autre Kiwi Ă  Londres, mĂȘme si la ville accueille des gens venus des quatre coins du monde.
“Vous savez, c’est drĂŽle,” reprend la voix. Elle est profonde et rĂ©sonnante et elle caresse la peau de Stede comme du cachemire. “Je me souviens une fois, lorsque mon enfance en Nouvelle-ZĂ©lande, j’ai vu ce tableau. J’y suis restĂ© en regardant pendant une bonne vingtaine de minutes. Les autres gamins se sont partis sans moi et le prof a dĂ» revenir m’emmener pratiquement Ă  l’écart. Je me rappelle plus le nom du prof mais je n’ai jamais oubliĂ© ce tableau.” Il se tourne vers Stede qui peut maintenant voir tout son visage. “Peut-ĂȘtre que ça vous paraisse fou, mais diriez-vous—pensez-vous que cet homme, celui de la gauche
 vous pensez qu’il me ressemble?” 
Stede rest sans voix, bouche bĂ©e. Parce que oui, il dirait, oui. L’homme du tableau te ressemble vachement et s’il existe personne qui peut le dĂ©clarer avec autoritĂ© c’est Stede. C’est lui, aprĂšs tout, qui avait regardĂ© ce tableau chaque jour et tous les jours pendant tout de l’an dernier. L’homme Ă  son cĂŽtĂ© a la mĂȘme taille, les mĂȘmes cheveux longs et barbe magnifique. Et lorsqu’il se retourne et leurs yeux croisent, Stede a le souffle coupĂ©. Les yeux aussi se ressemblent, ce marron doux et chaleureux. Ils traversent le visage de Stede et ils s’écarquillent, signe de reconnaissance d’abord, puis d’émerveillement. 
“C’est toi,” il chuchote. “Cet homme, l’autre. C’est—c’est toi.”
Stede sait qu’il doit dire quelque chose, n’importe quoi, et donc il lance les premiers mots qui lui viennent de l’esprit. 
“Es-tu rĂ©el?” 
C’est une question de merde et il se sent ridicule pour la poser, mais les beaux yeux de l’homme se plissent sur les bords et il rit. Il rit d’amusement et non de moquerie. Le Stede d’aujourd’hui connait la diffĂ©rence. 
“Aussi rĂ©el que toi, mon pote. Je m’appelle Ed.” Il lui tend la main. 
“Stede,” rĂ©pond Stede, en la prenant. Un frisson Ă©lectrique parcourt sa peau, du point de contact jusqu’à l’extrĂ©mitĂ© de toute terminaison nerveuse qu’il possĂšde. Il retient Ă  peine son souffle. “Je suis le, um, conservateur. Du musĂ©e. Fin, pas du musĂ©e entier, seulement l’aile du dix-huitiĂšme siĂšcle, mais c’est pas important en fait, ce que c’est important c’est que moi aussi.” 
“Toi aussi?” rĂ©pĂšte Ed. 
Stede hoche la tĂȘte avec enthousiasme. “Moi aussi, j’ai vu ce tableau lorsque mon enfance en Nouvelle-ZĂ©lande. J’arrivais pas Ă  me dĂ©tourner, moi non plus. Et je—” 
“Ne l’a jamais oubliĂ©?” 
“Ne l’ai jamais oubliĂ©! Je l’ai acquis Ă  la premiĂšre occasion. Ce n’était qu’aprĂšs que je me suis rendu compte que, er—que l’homme dedans avait—” 
“Ton visage?” 
“Ouais.” Stede hausse lĂ©gĂšrement les Ă©paules. “Mon visage.” 
“C’est un bon visage,” dit Ed. La frisson Ă©lectrique s’intensifie. Il dĂ©couvre qu’il tient toujours la main d’Ed. 
“Sais-tu ce que j’aime le plus?” il demande. 
“À propos de ton visage?” 
“Non!” Stede proteste, avant de se rendre compte qu’Ed le taquine. Il sent ses joues rosir mais il continue. “Non, pas à propos de mon visage. Dans le tableau.” 
“Qu’est-ce que tu aimes le plus dans le tableau?” 
“C’est la maniĂšre dont ils se regardent,” dit Stede. “Ils sont si connectĂ©s et les expressions sur leurs visages, c’est—” 
“L’amour,” finit Ed. Sa voix est bourrue. “Ils se sont amoureux.” 
“C’est ça.” Les mots se coincent dans sa gorge. “En tant que garçon je ne pouvais pas le voir. C’est Ă  dire, je l’ai vu mais je ne savais pas ce que c’était. Tout ce que je savais c’était que je voulais quelqu’un Ă  me regarder comme ça. Mais personne ne l’a jamais fait.” 
“Jamais?” 
“Non. Pas—” Stede s’arrĂȘte, happĂ© par les yeux d’Ed. Ce regard lui coupe le souffle. 
Ed maintient son regard tout en relĂąchant la main de Stede, tout en entourant la mĂąchoire de Stede de sa main, ses doigts s'enfonçant dans ses cheveux, s'enroulant autour de l'arriĂšre de sa tĂȘte et l'attirant plus prĂšs de lui. 
"Pas jusqu'à ce moment,” murmure-t-il, puis ses lùvres se posent sur celles de Stede. 
Le baiser est d'abord doux, hĂ©sitant. Stede n'a jamais vraiment aimĂ© embrasser ; il est peu expĂ©rimentĂ© dans ce domaine et mĂȘme moins enthousiaste, malgrĂ© ses dix ans de mariage. Mais ce baiser, ce baiser, l'illumine de l'intĂ©rieur ; ce picotement Ă©lectrique travers sa peau et s’infiltre dans ses os. Il se retrouve penchĂ© sur le corps d'Ed, agrippant sa taille, poussant un petit gĂ©missement impuissant qui attire un gĂ©missement plus profond de la part d'Ed. Le baiser devient chaud, humide, tout Ă  fait inappropriĂ© pour un mardi matin pluvieux sur son lieu de travail, mais Stede s’en fout pas la gueule.
AprÚs, ils restent en se regardant, yeux écarquillés et haletants, et puis en unisson parfait ils se tournent comme tirés par un fil, vers le tableau. 
Les deux hommes leur sourient, leur sourient, il n’existe pas la moindre doute. Le sosie d’Ed leur fait un clin d’oeil, tandis que celui de Stede hoche sa tĂȘte avec un sourire fier et content. “J’étais sĂ»r que tu l’aurais trouver,” Stede entend dire sa propre voix, dans sa tĂȘte Ă©videmment mais les mots sont aussi clairs que comme s’il les avait dit lui-mĂȘme. 
Il se retourne vers Ed. “T’as entendu—” 
“Ouais,” rĂ©plique Ed. “J’ai entendu.” 
Ils regardent à nouveau le tableau, qui est précisément comme il a toujours été. 
“Viens dĂ©jeuner avec moi,” dit Ed, abruptement. 
“Il est dix heures et demie du matin!” 
“Un brunch, alors. Je sais un bon lieu, pas loin d’ici.” 
“Ah, oui?” Stede est tellement heureux qu’il a l’impression que son sang a Ă©tĂ© remplacĂ© par du champagne. “C’est oĂč ça?” 
“Mon restaurant.” Ed lui sourit. “Je viens de l’ouvrir. Blackbeard’s Bar and Grill, il s’appelle.” 
“Ooh, nom fabuleux. Et donc tu
 vises rester à Londres?” 
“Aussi longtemps que Londres veut bien de moi,” dit Ed, et Stede sait qu’il ne parle pas seulement de Londres. “Et bien. Brunch? J’ai de la marmelade.” 
Stede reste bouche bĂ©e. “Comment—comment sais-tu que j’aime la marmelade?” 
“J’ai eu de la chance,” dit Ed. Ses yeux pĂ©tillent, de chaleur et affection et interĂȘt et reconnaissance, et oui c’est enfin rĂ©el, ça se passe vraiment. Quelqu’un regarde Stede Bonnet Comme Ça. 
Ici au milieu de son musĂ©e bien-aimĂ©, devant son tableau le plus prĂ©cieux, le plus bel homme qu’il ait jamais vu, soit peint ou en personne, lui regarde de la maniĂšre dont il a si longtemps rĂȘvĂ© mais n’aurait jamais pensĂ© savoir. 
Et dans sa poitrine il se sent Ă  nouveau cette douleur mais ce n’est plus la douleur exquise. C’est la douleur d’une joie trop forte d’ĂȘtre exprimĂ©e. C’est le bonheur complet. 
C’est l’amour. 
“Le brunch serait super,” dit Stede. “C’est parfait.” Ça donne l’impression du dĂ©but de quelque chose de spectaculaire. 
Et c’est ça qu’il est.  
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homomenhommes · 4 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 68
Jean sous la douche, Xavier me demanda si je croyait possible que nous le fassions Ă  sa femme. Je lui dis que dĂ©jĂ  nous pourrions l'amener Ă  nous prendre ensemble dans sa chatte ça ferait une premiĂšre Ă©tape. Si elle acceptait ça, ça ne devrait pas ĂȘtre trop difficile de passer Ă  son cul. L'Ă©tape psychologique de se faire mettre par deux mecs avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© franchie lorsque nous l'avions baisĂ© ensemble un dans sa chatte et l'autre dans son cul. Xavier Ă©tait du coup impatient que l'on puisse avancer dans ce sens, persuadĂ© que sa femme serait d'accord.
Depuis la " rentrĂ©e ", je ne m'occupe plus du jardin des parents de Jean que pour superviser le travail. Je n'ai plus le temps et je leur ai fait un contrat d'entretien avec la sociĂ©tĂ© pour laquelle je bosse. Je n'ai plus qu'Ă  passer une fois par mois pour vĂ©rifier le travail. ;Quand j'ai annoncĂ© la nouvelle Ă  la mĂšre de Jean, ça s'est plutĂŽt mal passĂ©. Elle m'a accusĂ© de ne plus vouloir d'elle (ce qui n'est pas entiĂšrement faux) elle m'a proposĂ© d'augmenter mon " salaire " (mais avec ce que je me fais par ailleurs, je n'en ai plus besoin) mais j'ai tenu bon. Je lui ai dit que je continuerai quand mĂȘme Ă  passer une fois par mois et que si elle a suffisamment bien baisĂ© avec les copains de son fils et que ça m'a bien excitĂ© alors peut ĂȘtre que je la baiserais.
Par contre interdit formel de faire quoi que ce soit avec les jeunes jardiniers qui viendront faire le jardin.
Pour faire passer la nouvelle organisation, je la laisse me sucer et une fois bien dur, je l'encule direct debout, elle plié sur un dossier de fauteuil.
Je rejoins Jean dans sa chambre. Nous discutons du programme de sa semaine à venir. Il me montre les enregistrements qu'il a fait de ses potes avec sa mÚre. Quand je vois le nombre de fichier, je m'étonne. Il me dit qu'il avait profité des vacances pour augmenter la cadence des " visites " et l'enveloppe qu'il me tendit, une kraft, était bien épaisse. Il ajouta qu'il avait été obligé, pour garder ses " clients ", de laisser certains sodomiser sa mÚre mais qu'il avait alors appliqué un tarif double. Je lui dit qu'il avait bien fait, il avait eu peur de ma réaction, et lui confirmais qu'il pouvait l'autoriser à tous avec ces conditions là. Je visionnais rapidement quelques baises et transférais tout sur ma clé USB pour pouvoir les regarder plus tard.
En rentrant à la maison j'ai fait un détour pour aller chercher Ric. Je voulais que Marc voit son évolution. Le retour fut chaud, vu l'étroitesse de la selle passager de mon monster, il s'est accroché à mon paquet et s'est collé à mon dos qu'on n'aurait put glisser une feuille de papier à cigarette entre nous ! DÚs l'entrée, comme je retirais ma combi, je lui dis de se mettre en slip. Il portait un jock qui soulignait bien l'arrondi de ses fesses.
J ;"avais été impressionné pas le changement physique. Marc le fut aussi. Comme nous lui en demandions le pourquoi et le comment, il nous dit que son pÚre lui avait fait faire 4h de muscu et 4h de natation par jours pendant toutes les vacances car il aimait l'idée de soumettre un mec musclé.
Nous sommes descendus à notre salle de muscu. AprÚs une demi heure d'échauffements et une autre d'exercices nous avons vu qu'il y avait réellement pris de la masse. Je me suis fait l'effet d'une crevette à ses cotés ! je lui demandais si il devait prendre encore plus. Il me dit que cela suffisait pour son pÚre et qu'il n'avait plus qu'à entretenir. Comme je lui demandais si il avait pris des trucs illicites car en un mois il avait vraiment changé, il me dit qu'uniquement de la créatine (le truc des sportifs américains).
A vérifier ses nouvelles dimensions musculaires, nous bandions tous les trois. Les jocks distendus par nos bites laissaient sortir nos couilles sur les cotés. AprÚs une douche rapide, Marc me demanda de fixer Ric sur le sling et de le préparer. Une fois en position, les membres attachés aux chaßnes de suspensions, je lui ai préparé le trou. Moins profondément que lors du gang bang !
J'ai KpotĂ© Marc avant qu'il ne l'encule d'une seule poussĂ©e. PlacĂ© Ă  la tĂȘte de Ric, je bloquais le mouvement de balancier du sling en enfilant ma bite dans sa gorge. Chaque poussĂ©e de Marc propulsait mon gland derriĂšre la glotte de Ric. En me penchant un peu, j'ai pu lui attraper les tĂ©tons et les ai fait tourner entre le pouce et l'indexe. MalgrĂ© le bĂąillon de ma queue, il arrivait Ă  gĂ©mir de plaisir, c'est son point faible les tĂ©tons ! Ils font presque 1cm de long et sont tout raides et gonflĂ©s quand il est excitĂ©. Marc me dit que le cul de Ric est restĂ© trĂšs agrĂ©able Ă  sodomiser et qu'il sent bien sa rondelle serrĂ©e. Ric me fait signe qu'il veut parler. Je libĂšre sa bouche et il nous dit qu'il continu toujours Ă  serrer rĂ©guliĂšrement son anus sur un plug fin comme je le lui avait montrĂ©. Son pĂšre exige de lui un anus digne de ce nom et non pas une chatte molle.
Comme nous le descendions du sling pour le prendre à deux, je poussais un doigt dans son cul et lui demanda de serrer. J'ai pu en effet sentir une bonne pression alors que le diamÚtre de mon doigt ne fait qu'1,5 cm maxi. Je me suis couché au sol et Ric est venu me chevaucher. Les genoux de part et d'autre de mes hanches, il s'est assis sur ma bite. je l'ai attiré vers moi, écrasant ses couilles et sa bite sur mes abdos, nos pecs en contact, j'ai écrasé ses lÚvres sur les miennes. Nos langues en bataille, nous avons senti Marc pousser sa queue le long de la mienne. ;Sans que Ric et moi ne bougions, l'excitation est montée par le frottement du pieu de Marc. Ses 22x6 ont fait un malheur par leur massage de ma bite et la dilation du sphincter. Je passais les mains le long du corps de Ric jusqu'à ses fesses. Une dans chaque main, je les ai écartée pour que nous entrions encore quelques cm de plus. Soudés par nos lÚvres, j'ai ressenti sous ma langue et aussi par le " graissage " de nos abdos la jouissance de Ric.
Chaque éjaculation s'est accompagnée d'un resserrement de son anus, comprimant nos deux verges l'une contre l'autre. Ces massages répétés, nous ont fait jouir et nous avons copieusement remplis nos kpotes.
Marc s'est couchĂ© Ă  cotĂ© de moi. Avec Ric j'ai basculĂ© sur le cotĂ© et nous l'avons recouvert de nos deux corps et nous nous sommes fait un baisĂ© Ă  trois. Le calme aprĂšs la tempĂȘte, alors que nous menacions de tomber de sommeil, Marc s'est dĂ©gagĂ© d'un coup de rein et nous sommes aller nous laver mutuellement sous les douches. J'aime beaucoup c'est moments hyper sensuels qui suivent le dĂ©chaĂźnement des sens.
JARDINIER
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les voisins de mon fils apprennent la vie ensemble avec lui
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jloisse · 4 months
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100 jours :
Ce qui est presenté par le peuple palestinien et sa résistance devant le monde entier est un véritable exploit ou un miracle devant nos yeux.
VoilĂ  maintenant 100 jours qu’une toute petite portion de terre avec des hommes, des femmes, des enfants
 rĂ©sistent face Ă  une armĂ©e rĂ©guliĂšre des plus avancĂ©e technologiquement. Une armĂ©e incapable de parvenir Ă  ses objectifs face Ă  la stratĂ©gie des combattants palestiniens. Des tonnes de bombes Ă©quivalentes aux bombes nuclĂ©aires dĂ©versĂ©es sur des civils qui refusent le dĂ©placement et qui se tiennent debout comme un seul corps avec sa rĂ©sistance.
Une bataille incroyable avec des techniques de combats digne des films de science-fiction, les palestiniens enseignent l’art du combat Ă  toutes les armĂ©es sophistiquĂ©es du monde.
Des combattants sans uniforme ni Ă©quipements en claquette en petit nombre se dĂ©plaçant Ă  travers des tunnels et infligeant des pertes considĂ©rables Ă  des envahisseurs possĂ©dant toute les technologies d’une armĂ©e rĂ©guliĂšre.
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feelkindadizzy · 11 months
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[ID : Digital drawings of Cristal from Starmania, played by Lilya Adad who is a brown woman. 1. Cristal from the bust up looking in front of her with a little smile. She’s wearing her Starmania show sparlky outfit, and has mid-length blonde hair. The colors are vibrant and saturated. 2. The same drawing but her name is written multiple times on the left and on the right. 3. A digital painting of Cristal standing, raising her left hand while holding a mic with her right hand. It’s minimalistic and the colors range from yellow, to light blue, to dark blue, to purple. 4. Various sketches. On the top left she’s drawn in a simplistic artstyle, she’s looking right and looks curious. There is a Sun behind her. On the right she’s drawn with her Étoiles Noires outfit, a blue top with flowers. Her hair is cut and only the left side remains at mid-length. She’s holding a gun and looks determined. On the bottom left is a more minimalisting painting in which her hair is dark. On the bottom right there is a very quick sketch of her raising her arm. END ID]
[Description d'image: Des dessins digitaux de Cristal de Starmania, interprĂ©tĂ©e par Lilya Adad qui est une femme a la peau un peu foncĂ©e. 1. Cristal a partir du buste, qui regarde devant elle avec un petit sourire. Elle porte la robe a paillettes qu'elle a dans son Ă©mission Starmania, et a les cheveux mi-longs blonds. Les couleurs sont saturĂ©es et vives. 2. Le mĂȘme dessin mais son nom est Ă©crit plusieurs fois Ă  droite et Ă  gauche. 3. Une peinture digitale de Cristal debout, qui lĂšve son bras gauche tout en tenant un micro dans sa main droite. C'est minimaliste et les couleurs utilisĂ©es sont le bleu foncĂ©, le bleu clair, le jaune et le pourpre. 4. Plusieurs croquis. En haut Ă  gauche, une Cristal dans un style simple qui regarde Ă  droite avec curiositĂ©. Il y a un soleil derriĂšre elle. A droite, Cristal qui porte son costume des Étoiles Noires qui consiste en un haut bleu Ă  fleurs. La partie droite de ses cheveux est coupĂ©e. Elle porte un fusil et a l'air dĂ©terminĂ©e. En bas Ă  gauche il y a une sorte de peinture minimaliste dans laquelle ses cheveux sont noirs. En bas Ă  droite il y a un croquis trĂšs rapide dans lequel elle lĂšve le bras gauche. Fin de la description]
/ eyestrain /
CRISTAL STARMANIA YOU WILL ALWAYS BE FAMOUS!! ✹✹lilya adad has such a beautiful voice and we love how she talks about the character in her interview 😭😭"you can't play her cute or girly" YEAH EXACTLY also also her big number at the end of the first act??we will never recover from that WHAT 🎉🎉anyways we could talk about starmania for hours but that will be all đŸ«Ł
CRISTAL STARMANIA TU SERAS TOUJOURS FAMOUS!! ✹✹lilya adad a une si belle voix ouin et on aime trop comment elle parle du personnage dans son interview 😭😭"on ne peut pas la jouer cute ou girly" OUI EXACTEMENT et aussi et aussi son grand numĂ©ro Ă  la fin du premier acte??on va jamais s'en remettre OUIN 🎉🎉bon bref on pourrait parler de starmania pendant des heures mais ce sera tout đŸ«Ł
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fieriframes · 1 year
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[Who are you in the moonlight?]
V - La RĂȘveuse
LĂ , sur l'Ă©cran du portable de mon amie, le nom de la chanson. Les mots QUI EST LA RÊVEUSE? me regardant fixement. J'ai notĂ© l'artiste et l'album, remerciĂ© Christina pour sa magie technique et trouvĂ© une excuse pour conclure notre rendez-vous cafĂ©.
Une fois chez moi, j'ai jetĂ© ma veste par terre et j'ai couru vers l'ordinateur. J'ai trouvĂ© immĂ©diatement l'album ARCANA de MIDNIGHT CALLER et je l'ai Ă©coutĂ© du dĂ©but Ă  la fin. Juste 7 chansons et 17 minutes. C'Ăštait un album sombre, sinon un peu sinistre, avec les titres de chansons Ă©tranges ADROGUÉ, TERRA INCOGNITA, NUIT SANS FIN, HOƘČICKÝ, ADELMA, EL BARCO VELERO et, bien sĂ»r, QUI EST LA RÊVEUSE? Toutes les chansons Ă©taient dans le mĂȘme style que la derniĂšre mentionnĂ©e; des arrangements et mĂ©lodies simples qui semblent trop familiĂšres. Il n'y a pas de vraies structures, un peu comme si tu avais demandĂ© Ă  des extraterrestres d'Ă©crire de la musique de la terre.
J'ai Ă©coutĂ© QUI EST LA RÊVEUSE? en boucle tout en regardant dans le vide l'Ă©cran. Tout en regardant la couverture de l'album. C'Ă©tait un dessin en noir et blanc ou une gravure sur bois d'une femme debout dans les bois avec des montagnes au loin, regardant un double d'elle-mĂȘme. L'une d'elle avec les yeux ouverts, l'autre avec les yeux fermĂ©s. Travaillant sur une intuition, j'ai dĂ©cidĂ© de chercher quelques vieilles photos en ligne et, bien sĂ»r, c'Ă©tait elle. La femme sur la couverture Ă©tait Leonora Carrington. Et en fait aujourd'hui Ă©tait son anniversaire.
Je me suis perdu dans les chansons. Je vivais Ă  l'intĂ©rieur de la couverture. Je me suis promenĂ© dans ces bois, Ă  la recherche d'indices. Je me suis assis sur la colline et j'ai regardĂ© les Leonoras. Elles n'ont jamais cligner des yeux. Les jours passĂšrent. J'ai fait des rĂȘves ou je me suis rĂ©veillĂ© et je me suis retrouvĂ© dans un autre rĂȘve. Qui Ă©tait la rĂȘveuse? Était-ce moi? Les cartes avaient Ă©tĂ© une curiositĂ© mais c'Ă©tait maintenant une vĂ©ritable obsession. Avec les chansons qui jouaient toujours, j'ai passĂ© au peigne fin chaque dĂ©tail de la couverture Ă  la recherche d'un message. J'ai commencĂ© Ă  voir des formes dans les arbres dont je savais qu'elles n'Ă©taient pas lĂ . Le diable. Le pendu. Le fou. Quand tu cherches quelque chose, tu le trouves partout.
Je me suis Ă©loignĂ© de la forĂȘt et je suis montĂ© vers la montagne. Alors que le paysage changeait, j'ai remarquĂ© quelque chose d'inhabituel. Quelque chose que je n'avais pas cherchĂ©. C'Ă©tait hors de propos et contre nature. J'ai zoomĂ© sur la couverture autant que possible, mais ce n'Ă©tait pas suffisant. Je ne savais pas pourquoi je n'y avais pas pensĂ© plus tĂŽt, mais juste en cherchant le nom de l'artiste et de l'album, j'ai trouvĂ© une version plus grande de la couverture en ligne. Comme mettre des lunettes, soudain tout Ă©tait clair. L'artiste s'Ă©tait donnĂ© beaucoup de mal pour le cacher, mais j'avais vu ce motif un million de fois ces derniĂšres annĂ©es. Comme la plupart d’entre nous. CachĂ© dans la texture de la montagne, se trouvait quelque chose.
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lromarf · 1 month
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Chapitre II
Pima comptait ses cĂŽtes. AlignĂ©es, bombĂ©es, des lames de xylophone sur lesquelles elle glissait son doigt sans qu'une note ne s'en Ă©chappe. Elle regrettait de ne les voir que dans une certaine position, le torse tordu, les bras en l'air, le dos cambrĂ©. Debout devant son miroir en pied, elle Ă©tait dans sa chambre les rideaux tirĂ©s. Les magazines jonchaient le sol et sur les murs pendaient des sacs de luxe, Chanel, Dior, Prada, une collection qu'enrichissait le PĂšre NoĂ«l depuis se douze ans. LĂ  oĂč il y avait encore de la place, des collages de visages, de corps, de parfums s'entremĂȘlaient sur le papier peint Ă  motif fleuri qui avait disparu.
-Pima !
La voix de sa mÚre résonna dans le couloir.
-PIMA !
Elle avait doublĂ© de volume et atteignait cette note aigĂŒe qu'ont certaines voix fĂ©minines en colĂšre. Pima remit son pull ample et rejoignit sa mĂšre dans une cuisine immaculĂ©e rarement salie par l'usage. Ce jour-lĂ  pourtant il y avait de quoi dĂźner : une assiette de biscuits au beurre anglais siĂ©geait sur la table.
-Pima pourquoi y a-t-il des shortbreads sur la table ? demanda sa mĂšre en pointant du doigt l'assiette Ă©vitant de toucher les biscuits.
L'adolescente fut surprise de voir que sa mÚre reconnaissait ces biscuits bourrés de beurre, trop caloriques pour qu'elle les ait jamais mangés, achetés, ou préparés.
-C'est une amie de Papa qui me les as données, elle est sympa, non ? répondit-elle en détournant l'attention de sa mÚre sur un autre sujet sachant qu'elle l'énerverait en mentionnant son ex-mari.
-C'est adorable! s'exclama sa mĂšre sarcastique, vouloir t'engrosser! Tu la remercieras quand elle posera chez Madame Ă  ta place.
La vexation fonctionna, Pima se renfrogna. Sa mĂšre, ancienne mannequin dont la grossesse avait interrompu la carriĂšre, avait une tendance exagĂ©rĂ©e aux soupçons, prĂȘtaient en gĂ©nĂ©ral aux femmes des intentions malveillantes, et attribuaient aux gens les plus ordinaires un gĂ©nie stratĂ©gique dont peu eurent Ă©tĂ© rĂ©ellement capables.
-Elle ne sait mĂȘme pas que je veux ĂȘtre mannequin, donc impossible, rĂ©futa Pima.
-Enfin je sais qu'elle me déteste, elle veut que ma fille soit grosse, répliqua sa mÚre d'un ton péremptoire pour balayer l'objection de sa fille. -Ce n'est pas Carla, maman ! tenta à nouveau de corriger Pima. -Peu importe, elles me détestent toutes, soupira sa mÚre accablée par le poids de cette haine qui n'existait pas dans le coeur de ses ennemis mais n'en pesait pas moins sur ses épaules.
Cette fois-ci, Pima s'abstint de rectifier la fausse idée que se faisait sa mÚre des petites amies de son pÚre qui ne restaient pas assez longtemps pour élaborer des plans malfaisants contre l'ex-femme de ce dernier.
Sa mÚre interpréta son silence comme un aveu tacite, et s'approcha d'elle. Elle portait un ensemble beige, du cachemire, une sorte de tenue d'intérieure assez chic pour sortir à l'extérieur, et Pima sentit le parfum de crÚme chimique que sa mÚre appliquait sur sa peau réfléchissante plus rose qu'à l'habitude. Elle étreignit sa fille et l'embrassa sur la tempe.
"-Excuse-moi ma chĂ©rie, je suis trop mĂ©fiante mais je veux ton bien, tu le sais ça ?" Elle cherchait dans son regard un signe d'approbation. "Je ne veux surtout pas que tu fasses les mĂȘmes erreurs que moi", poursuivit-elle d'une voix douce en l'Ă©treignant, "je cherche Ă  te mettre en garde." Elle dĂ©gagea le front de sa fille d'une mĂšche qu'elle plaça derriĂšre l'oreille, "c'est pour toi que je fais ça ma chĂ©rie."
Ce geste agaça l'adolescente qui voulut se dégager, ennuyée par cette attention protectrice. La mÚre se raidit immédiatement et relùcha son étreinte blessée par l'agacement de sa fille.
-Je te dĂ©range peut-ĂȘtre ? J'imagine que je suis la pire mĂšre au monde pour vouloir essayer d'aider ma fille.
Découragée, Pima regarda sa mÚre les bras ballants.
-Mais maman!
-On ne m'écoute pas! personne ne m'écoute! et quand tu auras rater ta carriÚre ce sera ma faute parce que je ne t'aurais pas prévenue parce que je suis folle! Et ce sera aussi ma faute quand tu auras des poignets d'amour, qu'aucun magazine ne voudra de toi! Ce sera ma faute!
Sur cette funeste logorrhée, elle jeta les biscuits dodus et brillants à la poubelle et de colÚre envoya l'assiette avec.
-Si ton pĂšre veut t'offrir quelque chose, il peut te payer ton prochain stage de danse Ă  Berlin.
Pima retourna dans sa chambre se laissa tomber sur son canapĂ©. AprĂšs avoir fixĂ© son sac prĂ©fĂ©rĂ©, le Stam de Marc Jacobs, elle pensa Ă  celle pour qui il avait Ă©tĂ© crĂ©Ă©. Son idole Jessica Stam. C'Ă©tait son rĂȘve. Devenir si cĂ©lĂšbre qu'elle inspirerait Ă  un designer un sac qui porterait son nom. Elle pinça son ventre. Une technique pro-ana qu'elle avait repĂ©rĂ©e sur TUMBLR. Pima conclut que sa mĂšre avait raison. Elle les aurait mangĂ©s et elle n'en avait pas besoin.
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