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#les préfets
empirearchives · 1 year
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Style of dress of the Napoleonic prefects. The prefect system was established by Napoleon in 1800.
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iweb-rdc001 · 8 months
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Éducation : L'EPST fixe l'opinion après la publication d'une "seconde phase" de résultats de l'exEtat 2023
Le pays a totalement été surpris d’apprendre que des résultats en faveur des élèves finalistes qui avaient déjà échoué sont sortis alors que la proclamation était déjà clôturée. Ceux qui se connaissaient déjà redoublants ont pu avoir la chance de décrocher leur diplôme dans ces circonstances que personne n’a su expliciter. Certains ont vu leurs résultats réapparaître avec des pourcentages…
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le-journal-catalan · 1 year
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Ce qui vous est interdit à partir d'aujourd'hui / Les Pyrénées-Orientales passe en « crise » sécheresse :
Le 27 avril s’est tenue une réunion du comité ressource en eau des Pyrénées-Orientales réunissant l’ensemble des partenaires impliqués dans la gestion de la sécheresse (collectivités, usagers, experts, associations et services de l’État). Ce comité a permis de confirmer, sur des bases objectives et partagées, une situation de sécheresse historique dont l’intensité et la durée n’ont pas…
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the-bibrarian · 1 year
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Hi! This is a very important petition against a uniquely brutal anti-riot squad. Only french citizens can sign it, but if it reaches 100,000 signatures our assembly has to examine it, and it already has more than 87,000!
Even if you can’t sign it, can you reblog this so it reaches as many french people as possible on tumblr dot com the website and app?? 
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todaysdocument · 6 months
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Original Protocol of the Delivery of Louisiana by Spain to France, at New Orleans on November 30, 1803
Record Group 11: General Records of the United States GovernmentSeries: Perfected TreatiesFile Unit: TS 86 AO: Treaty for the cession of Louisiana - English and French texts
[Handwritten] Pièces jointes à la depeche de Mr. Laussat n[']o 9. du 19. 7bre 1803. [Main body of document follows; French-language text on the left; Spanish-language text on the right (this pattern continues throughout the body of the document).] [French text follows -- first:] Les Soussignés : le citoyen Pierre Clement Laussat, Préfet colonial, commissaire du Gouvernement Français pour la reprise, au nom de la République Française, de la colonie ou Province dela Louisiane, des mains des officiers et autres agens desa Majesté Catholique, conformement aux pleins pouvoirs qu'il a reçus, au nom du Peuple Francais, du Citoyen Bonaparte, Premier Consul, en date du 17. Prairial an 11. (6. Juin 1803), contresignés, par le Secrétaire d'Etat Hugues Maret et pour S. E. le Ministre de la Marine et des Colonies Decrés et qu'il a tout présentement remis enpersonne aux Commissaires de sa dite M. C., conjointement avec l'ordre Royal daté de Barcelonne le quinze Octobre dix huit cens deux; Et les dits Commissaires [Spanish-language text follows (on right on original sheet/image):] Los infrascriptos Comisarios de S.M.C. D[']n. Manuel de Salcedo Brigadier de los R[']s Extos,.Gobernador Militar y Politico de las Provincias de la Luisiana y Florida Occidental, Ynspector de la Tropas veteranas y Milicias de ellas, Vice Patrono R[']l Juez, Subdelegado de la Superintendencia g[']ral [with tilde over the "r"] de Correos y c.[']a [?] y D[']n. Sebastian Calvo de la Puerta y O Farrill, Marques de Casa-Calvo Caballero del orden de Santiago Brigadier de los R[']s Ex[']tos, [with tilde over the "t"] y Coronel del Regimento de Ynfantería de la Havana, Comisionados por S.M. para la entrega de esta Provincia á la Republica Francesa, por R[']l. orden 18.. de Enero de 1803. El Ciudadano Pedro Clemente [full transcription at link]
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konrul · 1 year
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Former subprefecture building in Boulogne-Billancourt
A l'étage supérieur, l'appartement du sous-préfet doit être distribué autour d'un patio et s'ouvrira sur une vaste terrasse donnant sur la Seine. Un véritable hôtel préfectoral et non plus seulement une construction de fortune.
(Le Monde, 28 novembre 1973)
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lounesdarbois · 6 months
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"Ordure multipliée par merde" Céline.
L'affaire Crépol accumule tous les éléments de scénario rêvés par le pouvoir profond en France .
Des Français "font la fête" dans une salle polyvalente réservée pour l'occasion. En 2023 en pleine invasion on ne fait pas la fête. On ne vit pas sous occupation comme on vivait libre il y a 35 ans. "Faire la fête" c'est prendre le risque de voir rappliquer des intrus qui n'ont rien à perdre et tout à gagner. Les pires horreurs adviennent toujours parce que des cons font la fête, qu'ils ont avec eux des meufs et contre eux des prédateurs. Lire une page de faits divers de n'importe quel journal depuis les années 80.
Des intrus sont arrivés. Qui les a appelé ? Des meufs de la fête ? Si oui elles doivent en porter la responsabilité devant les parents des victimes et payer pour les conséquences ultérieures, elles en tout premier lieu, et les meurtriers en second. Celles qui ont de près ou de loin participé à légitimer les barbares se sont mises elles-même hors de la Civilisation et ne peuvent plus recevoir ni bienveillance ni protection.
Rieu et Bassem prennent des positions. Chacun a ses raisons mais chacun se garde bien de parler des intermédiaires qui se trouvent derrière. Rieu a Gilles-William et Bassem a David. Le jour où chacun congédiera son encombrant agent la vrai paix sur le terrain se fera entre les vrais gens de terrain. N'avez-vous pas étudié le processus libanais ? Ce sont les triangulations absurdes et les alliances contre-Nature qui ont détruit le Liban maronite et ismaëlite (pays jadis florissant), au bénéfice d'une troisième équipe. À E&R (dont la vocation profonde est d'empêcher la guerre civile) AS nous à toujours dit "surtout, n'appelez pas aux vengeances, et pour parler évitez les intermédiaires !"
Des natios organisent une contre-manif avec les pires slogans possibles. Qui a scandé ces mots le premier? Qui les ont fait reprendre ces slogans ? Pourquoi le seul terme qu'il fallait mentionner, et qui est "racaille", est-il absent des slogans?
La police manœuvre de manière curieuse sur le terrain. Rappel en actes pour ceux qui croient encore que la police protège les Blancs. Il est impossible que les services n'aient pu anticiper la venue de 80 jeunes natios sur les lieux. Voilà les méthodes du pouvoir et de ses préfets, commissaires-divisionnaires tous franc-maçons.
Les images tournent en boucle partout, avec leur effet désastreux, elles renforcent les médias, la troisième équipe, tous les prédateurs, tous les salopards. Tous les attentistes, tous les profiteurs se frottent leurs sales mains. On ne lutte pas contre la racaille en attaquant un château-fort à 1 contre 10 mais se retirant du terrain afin que le poids des racailles repose entièrement sur les bobos/FM/médias/canaille comme lors des émeutes de juin 23. La Libération du pays commence lorsque la canaille d'occupation supporte seule le poids de la racaille d'occupation sans aucune intervention des Français. Relisez Bagatelles pour un massacre.
Crépol est la contraction des termes crépu et créole, c'est là un signe qui nous rappelle la véritable menace qui pèse sur la civilisation: non pas l'ismaëlisme mais l'invasion crépue et la créolisation (métissage, abrutissement) au profit du sémitisme (ingénierie sociale de prédation sur les Blancs). Dans cette vraie lutte les femmes sont le vrai enjeu. Les hommes de bonne volonté qui connaissent l'Histoire savent ce qu'il convient de faire avec les femmes qui franchissent la ligne en période d'invasion aggravée. "Ils nous persécutent, ils nous tuent, tu leur ouvres ton cul? D'accord alors voilà ce qui va se passer..."
Il reste à attendre la prochaine "fête" d'imbéciles, les prochaines putes pour les livrer à la racaille, les prochaines racailles pour rafler les putes et poignarder les imbéciles, les prochains David et Gilles-William pour en tirer la sève dans les médias, tout le bordel de merde habituel puisque tout le monde aime cela et ne comprend jamais la leçon. En vrai tout le monde s'en fout et personne n'aime son frère. "May God help us all".
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bachassclub · 4 months
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Piochée ces derniers jours chez Éric Ciotti, cette image légendée comme suit : '…nous allons faire décoller notre ville '. Nice, bien sûr. Les chabeuillois connaissent bien ce mode de recours propagandaire et néanmoins tintinophile, l'emploi de la même fusée, support de la même métaphore du 'décollage'. Devenue donc un topique LR, quand les sondages, eux, refusent précisément de 'décoller' et que la situation politique de ce parti est justement celle-là : l'apesanteur.
LE COUP DE MOU D'ALBAN PANO. Mardi 23 janvier, le Conseil municipal de Chabeuil présentait ses voeux à la population. Du monde au centre culturel, et on semblait enfin revenu aux jauges d’avant Covid, quatre cent personnes aux premiers décomptes. L’an dernier, seule l’équipe majoritaire avait été invitée sur scène par le maire de Chabeuil et cette entorse à la démocratie représentative locale, une faute de débutant, avait été sévèrement jugée en son temps : correction donc en 2024 où l’ensemble du Conseil Municipal des chabeuillois avait été plus justement et décorativement disposé sur l’estrade. Seule absente sur scène, Cécile Trempil, représentante et singleton du Groupe Le Chemin des possibles, qui, en matière de voeux, avait préféré assister à ceux du valentinois Jimmy Levacher (LFI, qui lançait à Valence sa campagne municipale pour 2026), qui venaient d’avoir lieu. Autre absence notable, celle des services techniques, dont on ne repérait que peu de représentants, d’autant plus isolés que l’élu qui s’occupe d’eux dans sa délégation, Stéphane Planta, était absent lui aussi. Stéphane Planta a pris du champ avec l’action municipale, on en reparle plus bas… Pour le reste, le public habituel : corps constitués, sous-préfet, mirlitaires zà lavalières, associations chabeuilloises, fiers notables et pompiers divers et variés. Et Nicolas Daragon, bien sûr, qui a très sûrement son rond de serviette féodal (LR) à Chabeuil. Sans oublier Nathalie Iliozer, binôme d’Alban Pano au Conseil Départemental, qui y a ses pantoufles (LR) et sa tenue complète de chaperon. Bref de l’ordinaire, assez pauvrement ritualisé cette année, sans tambours ni trompettes, comme on dit.
Non, la surprise est plutôt venue du discours d’Alban Pano, terne, morne, et marqué tout du long par de nombreux bafouillages et glissements. Un discours ‘savonné’, qui suivait ensuite sa pente de clichés et d’images convenues, pour un maire pas en forme, ça se voyait et s’entendait, fatigué, loin de la pop’politique enjouée à quoi les chabeuillois commençaient à s’habituer, loin de cet habituel (souvent incongru, mais parfois emballant, voire charmant) optimisme insouciant qui faisait jusqu’alors la ‘marque’ Pano.
Chabeuil a affaire d'ordinaire à un jeune maire fluide et à l'aise, énergique mais ce soir-là la ville découvrait son Pano sans allant et sans joie de vivre, au discours qui ne décollait pas de cette tristesse empesée et des lourdeurs de style qui vont avec, prononcé gorge sèche et voix éteinte.
Intermezzo : un court film de réclame au montage rapide, bien rythmé, où crépitaient les images archibattues de fusées, de feu d’artifice, de biquettes environnementales, photogéniques, et brouteuses, de Tintin, de Tintin et encore un peu de Tintin, obstinément imposé comme signature visuelle de Chabeuil, sur fond d’infantilisation de la ville, encore et toujours.Alban Pano était fatigué, voilà tout.
Après que son petit clip touristico-tintinophile ait échoué à relancer la cérémonie, à lui redonner un peu d’élan politique et de ressort programmatique, il devait poursuivre sur le même ton. C’était censé évoquer des projets et mettre l’année 2024 en perspective, bref, donner de l’allant à l’année qui vient, mais rien, ou si peu n’attachait plus au fond de la gamelle :
-Projet Cuminal (une salle audiovisuelle dans l’enceinte de l’ancienne école de Chabeuil), mais sans les images montrées au dernier Conseil Municipal. Dommage. Et sans le montant global annoncé (Dans son compte rendu, le Dauphiné Libéré comblera cette information déficiente : 1,4 M€) : un peu court pour une première présentation publique d'un projet pourtant séduisant par bien des aspects.
-Une politique environnementale faiblarde, qui, les années passant, s’efface sûrement du bilan Pano et de son adjoint. Rien, hormis une nième (et très brève) mention du ‘relamping’ de l’éclairage.
-Mieux, au même chapitre, Alban Pano réalise le tour de force de passer sous silence les Points d’Apport Volontaires (PAV), pourtant la plus grosse affaire communale (entreprise par l’agglo…) de 2023, qui a d’abord pris du retard et qui, depuis l’installation des PAV en question, pétouille notoirement, exigeant des services des efforts répétés de nettoyages des alentours. Et ça tombe mal, parce ces fameux PAV sont du ressort du même évanescent adjoint à l’environnement, dont la délégation s’avère toujours plus faible : rien non plus sur le moustique tigre, rien sur le Canal des Moulins… Et rien de rien pour le traitement des déchets organiques pourtant obligatoire depuis le 1er janvier.
-Des ‘études’ pour l’école Cavalli, à Parlanges, sans plus de précision d’échéances (‘la fin de mandat’…) Rénovation de la salle des fêtes des Faucons, toujours sans beaucoup de précision.
-Ah si…la voirie, voilà la grande affaire, au moins budgétaire. Comme tous les ans. Le Dauphiné Libéré fait les comptes : 700 000 € en 2022 et 2023 et 900 000 € jusqu’en 2026.
-Ah si…on ne pouvait pas s’en sortir comme ça, sans Tintouin à Chabeuil, forcément Tintouin qui, en 2024 proposera de s’agiter autour des Cigares du Pharaon. Cette gaudriolante perspective [triompher à coup sûr (enfin!) de méchants trafiquants d’opium] rend un peu de sourire au maire de Chabeuil, qui annonce un programme de mobilisation citoyenne : ‘préparez vos babouches et vos cigares’. Un demi-clin d’oeil d’Alban Pano, avant qu’il replonge son discours dans la morosité d’une plainte très politique contre la loi Solidarité et Renouvellement Urbain (SRU) traitée sur le ton très facile de la démagogie antiparisianiste, contre une loi qui serait imposée d'en haut, à quoi on oppose un imparable slogan ‘ici, ce n’est pas Paris’. Mais sans bien sûr aborder le sujet au fond : le logement social, bien sûr, ni apporter les chiffres qu’il faudrait fournir sur les perspectives de l’équipe Pano en la matière. Une autre paire de manches.
Bref, on se traînait : Alban Pano avait besoin d’un dopant, d’une relance. Ça tombe bien, IL est là, assis au premier rang du banc de touche. IL se lève et se dirige vers le micro et annonce dans un demi sourire : ‘…je vais refaire le discours d’Alban’. Une vanne (on est entre amis, n’est-il pas ?), qu’IL veut sans doute sympathique, mais qui annonce trop lourdement la redite littérale qui allait suivre. Parce que redite il y eut, Nicolas Daragon (il s’agit bien de LUI,) ne faisant en somme que répéter le discours d’Alban Pano, sans trop de vergogne. Sous couvert de présidence de l’agglomération de Communes, le maire de Valence repassait ni plus ni moins, les plats du discours du maire de Chabeuil, et déroulait son menu d’actualités locales, à l’aise, chez lui, tout sourire…IL poussait même l'imitation jusqu'à escamoter LUI aussi des PAV qui sont pourtant de la compétence de l'Agglo, se privant d'une bonne défense et illustration, concrète, de son institution, à quoi ça sert, et combien ça ‘rapporte’ à la Commune. Raté.
Nicolas Daragon devait ensuite reprendre pesamment la marotte LR, cette très fameuse ligne argumentaire d'un ruissellement bénéfique Wauquiez-Mouton-Daragon-Pano (LR inc.). Soit une continuité de financement Région-Département-Agglo-Commune théorisée ce soir-là comme suit : '…notre vision commune (LR) permet de développer nos territoires…'
Nicolas Daragon ne se lasse pas non plus de répéter ‘mon ami Alban par-ci et cher Alban par-là, appuyant sans aucune pudeur sur le tutoiement, répétant et flagornant : ‘Alban est un maire comme on (LR) les aime…’
Marie-Pierre Mouton présidente du Conseil Départemental (LR) l’an dernier, Nicolas Dragon cette année, les parrains et marraines politiques et partisanes viennent meubler les voeux d’Alban Pano et étoffer ses prestations, masquer ses difficultés, comme s’ils prenaient leur tour de baby sitting dans la petite classe de Chabeuil. Dans quelle autre ville du quartier est-ce que ça se passe comme ça ? Nulle part. Partout ailleurs les maires sont seuls maîtres de l'annonce de leurs projets, et de l'exposé de leur bilan, bien assez grands pour rester maîtres du rapport démocratique avec leurs administrés. Parce que c’est vexant, à la fin, cette infantilisation (encore !) de Chabeuil. Quand Les Républicains du coin vont-ils enlever les roulettes du petit vélo du maire de Chabeuil, pour qu’il fasse enfin seul le tour de la piste de ses voeux et de son bilan ?
Cérémonie dans la cérémonie, Alban Pano remettait ensuite une médaille de ‘citoyen’ ou ‘citoyenne’ d’honneur à six personnalités chabeuilloises, bien connu.es en ville, chenu.es et blanchi.es sous le harnais de l’action locale. Pour l’’énergie nouvelle’ dont aime à se vanter Alban Pano, on repassera, mais ça mettait un peu de chaleur humaine dans la soirée. Notabiliser des notables, c’est pas vraiment une performance et ça a le défaut surtout de distinguer (en les flattant) quelques chabeuillois, laissant dans l’ombre les associations qui les portent. Alban Pano décorait ainsi la trésorière de l’association des amis du Canal des Moulins de Chabeuil, sans même mentionner le nom de son association. Oubli, négligence ou mesquinerie, on ne sait trop...
BRÈVES COMPLÉMENTAIRES, qui expliquent le passage à vide du maire de Chabeuil, tel que mis en évidence ci-dessus :
-Le poste de Directeur Général des Services (DGS) de Chabeuil est à nouveau vacant. Poste à pourvoir, roulez jeunesse, tournez manège, le 1er mars, pour cette pièce centrale de la machinerie communale. Le titulaire était en place depuis juillet seulement, après la foirade de l’embauche de Vincent Campens, premier DGS de l’ère Pano, indûment recruté ‘hors classe’. La préfète de l’époque avait toussé et posé un recours au tribunal administratif de Grenoble : Campens avait piteusement quitté la place. Son remplaçant n’a donc pas tenu longtemps à Chabeuil et le recrutement du remplaçant du remplaçant est en cours, annonce publique publiée le 25 janvier, et aussitôt signalée par le groupe d’opposition Le chemin des possibles dans sa publication (Facebook) dominicale.
-La Chambre régionale des comptes a procédé à un ‘contrôle simple’ de la Commune de Chabeuil, et doit rendre bientôt son rapport ordinaire, qui concerne la période 2018-2023. Ce qui devrait en ressortir, rapidement : les subventions aux associations posent un problème, et l’absence de critères d’attribution surtout.///La location de salles à ces mêmes associations et la mise à disposition de salles soulèvent quelques questions. Sur le même sujet, on note que Groupe le Chemin des possibles a posé un recours au tribunal administratif contre une ‘délibération fixant les tarifs pour l’utilisation des salles municipales’. Rapport, recours : il y a donc bien un sujet sérieux.///Plus largement, le rapport relève une absence de politique de recrutement dans les services, pas de Ressource Humaines à proprement parler.///Toujours dans les services : une prime importante devra être intégrée dans les salaires, la situation actuelle étant irrégulière. S’attendre à des secousses sur ce sujet, internes et budgétaires. De même facture : les heures supplémentaires sont trop nombreuses et devront être régularisées.///Trop de commandes publiques passent ‘en interne’. A revoir.///Pour le reste, et dans la mesure ou ce contrôle est dit ‘simple’ : la Commune est déclarée ‘bien gérée’.
-Les services techniques, encore eux : ils ont de fait boycotté les voeux du maire (aux services) début janvier. Ce qui n’est pas rien, et traduit un climat tendu entre les élus de la majorité et les services. Les causes d’après plusieurs témoignages, recueillis à des sources multiples : 1-L’élu en charge, Stéphane Planta, délégué aux services techniques est aux abonnés absents, occupé par une carrière professionnelle nouvelle et prenante. Les services se plaignent à qui veut les entendre de ce manque d’interlocuteur. La délégation ‘services techniques’ est maintenant vide : problème. 2-Les DGS passent et veulent laisser leurs marques dans les services de la Commune. On enchaîne les nominations, on esquisse des recrutements, on réforme les organigrammes et…on s’en va. 3-Le népotisme qui avait présidé aux recrutements opérés par Vincent Campens dans les premiers temps de l’ère Pano passe toujours aussi mal. Il avait mis en place des proches, notamment au service accueil de la mairie, et une telle disparité de traitement provoque de multiples difficultés.
-Changement de poste au périscolaire : une titulaire très expérimentée part à la MJC. D’après quelques témoignages, ça tangue, au moment où, devant les besoins manifestes, la Commune ouvre des places supplémentaires à Gustave André, quand les listes d'attente s'allongent, et où les coûts pour les familles vont semble-t-il augmenter.
-L'actualité nationale vient d'imposer à Alban Pano une présence soutenue en appui à son parti, au moment où celui-ci tentait de récupérer à toute force la colère des agriculteurs : très présent dans un soutien appuyé à 'nos' agriculteurs, comme il dit, comme dit LR. Présence sur le barrage de Bourg-de-Péage, photo et déclaration conclusive à Valence. Sur ce sujet aussi, l'intégration verticale et l'alignement strict d'Alban Pano sur les préoccupations politiques partisannes des Républicains, son absence d'autonomie, a un prix : il est en surchauffe, surexposé. En novembre dernier, il a été élu délégué LR dans la troisième circonscription de la Drôme (164 inscrits, 88 votants) et il doit maintenant remplir ce rôle partisan. Pas de problème, mais ça ne doit pas l’empêcher en quoi que ce soit de travailler pour sa commune, ni bouffer son temps ni l’obliger à imposer à ses administrés, à tout bout de champ, les cadres locaux de son parti. On comprend bien à la fin, le coup de mou du maire de Chabeuil : grosses difficultés dans les services, absence de Directeur Général des Services, et nécessité d'une présence partisane aux côtés d'un parti LR à la peine au plan national. C'est sans doute trop pour un jeune maire inexpérimenté, qui vient d'arriver aux responsabilités, dans une ville qui, au passage, n’est pas LR.
claude meunier
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bourbon-ontherocks · 11 months
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on a cheerier note, shoutout to céline’s double take at morgane’s outfit 😄😏 il lui en faut peu pour oublier ses problèmes avec le préfet… (while we’re at it, prayer circle she dumps fachoman sooner than later, c’est la saison des ruptures anyway 🕯️)
let’s also note it’s the outfit morgane shows up in at the date/debrief debacle. bourge coinços vibes much? 👀 loved how out of sync they were, adam was trying SO hard and morgane just couldn’t wrap her head around what was going on 😂😂 (meanwhile, ranir hovering around them, tu crois qu’il avait été briefé sur Le Date™ ? they weren’t seated at the usual table, iirc 🧐) ahh. the way they don’t fit together… delicious. without a case to fall back on they’re completely lost!!
Idk, I’m just a sucker for the contrast between the glimpses of vulnerability they let on and their general uselessness on the day-to-day. something about the miscommunications being trumped by a deep trust, yknow? 🥹 (and I kinda loved how they talked about ~décryptage. it has a blorbo débrief ring to it)
when morgane comes for adam’s help… gaaah. 🥲❣️ (the music had me think we’d get les démons 2.0, tbh) best interaction of the ep. and then she backs out because she doesn’t want to be a burden????? sign me up for that sweet sweet angst!!!! 😱 followed by "vous avez pleuré ?"--😭😭😭❤️💔 pfiou, my hearttt ⚰️ we need more of this healthy gut-wrenching stuff, don’t we? (ils nous doivent bien ça 🥲)
I can't wait to hear your thoughts on all of this, the good & the bad. thx for reading and bye til next time! 👋💖
Lololol, I love how Céline like... freezes whenever she sees a co-worker presenting unusually. Be it Adam without a beard or Morgane in fancy clothes, it never ceases to amuse me 😅 But yea, Céliane vibes all the way 🤗
Also let's not forget how Adam's eyes were falling out of their sockets when he saw Morgane climbing off the car (in his defense, she does look amazing in his clothes lol), so it's very likely that he really enjoyed that she came to the date in her "bourge coinços V2" outfit, this man probably has a kink and now I can't stop imagining the kind of roleplay they'd be into if they were a couple 🙈
The date was SO fun!!!! I've said this before, but a few months ago I had this idea of a disastrous date fic about them, and I just LOVE that the show went this way, it was just SO them, the out-of-sync-ness, le malaise absolu, "et sinon vous êtes allée au cinéma ?", "Ninja Warrior, c'est japonais ?", somebody puts them out of their misery already 😅😅😅, the fact that they only get their chemistry back as soon as they talk shop... Ranir awkwardly standing in front of the table after bringing the wine (btw, "Ranir, le Languedoc s'il te plaît", is it me or did they imply that Adam knows all of Ranir's wines list? This man takes ONE glass of wine at a housewarming and now he's a patented alcoholic I'm losing my mind here) was HILARIOUS, as was Morgane cheering with him out of despair 😆 Also I can't help thinking that Ranir has seen Adam bring all his dates here, he must bet with himself on how many times he'll see this one again, c'est sa télénovela à lui lol!
And I'm with you on the contrast between the deep connection they share, but also their absolute incompatibility regarding mundane things, that's the kind of stuff we want in this house!! 🥹🥹 The décryptage argument was a great moment too, especially when lit up with Morgane's bad faith (but also Adam's inability to call a date a date lol), ambulant disasters 😅
But also. I love SO MUCH that he tries again. He asked her out on a date, it was a complete mess and it would be easy to give up, but he doesn't. And he asks her out again because he believes in them while I turn into a puddle of goo 🫠🫠
Finally finally, Morgane knocking at Adam's door... 🥹🥹🥹🥹 Gah indeed! Bonus point for the implication that Adam listens to love songs while eating dinner alone 🤣 but the simple fact that she comes to him. And he lets her in without even protesting. And he SEES THAT SHE CRIED AND HE WON'T TAKE HER BULLSHIT ABOUT THE RAIN AND SHE'LL QUIETLY ADMIT IT AH BAH OUAIS EN FAIT IL PLEUT PAS -> we were THIS CLOSE to Morgane openly admitting to him that she cried and ugh, my heart 😭❤️
And then cue the case-solving where Adam BLATANTLY is only thinking about kissing Morgane, and they work her way (🥹) and end up in a post-orgasmic haze (it's been two episodes in a row where the final resolution sounds like they're having/just had sex, just saying) where he ASKS HER OUT AGAIN BE STILL MY BEATING HEART ⚰️⚰️
All of this was such a great scene altogether and I agree with you, we need more of this gut-wrenching angst of Morgane taking bad decisions not to be a burden and actually making things worse 😈 Something tells me 308 will deliver in that regard...😏
I honestly can't wish you a happy finale-watch for reasons that I've mentioned too many times already, but when the time comes I'll be happy to hear your thought if you have any. Stay strong, and see you on the other side anon 😘🫂
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D'après un des rééducateurs, je ne sais pas si c'est lui qui avait raison....
Monsieur jean était en 1983 ou le préfet de région Colonna ....
Ou alors le gouverneur militaire de Marseille si Gaston Defferre l'a écouté et a réussi à faire élire François Mitterrand à la place de Giscard....
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lepartidelamort · 3 months
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« Au début de l’année 1934, éclatait encore une fois un gros scandale financier de la Troisième République, l’escroquerie des Crédits municipaux, ayant, comme par hasard, pour principal auteur un Juif russe naturalisé, Stavisky. La complicité dans cette filouterie d’une justice putréfiée – ses personnages n’ont point changé – de la plupart des politiciens radicaux et maçons, n’avait jamais été plus flagrante. La presse et les organisations de droite s’en emparèrent, firent une campagne énorme. L’opinion suivit. Camille Chautemps, président du Conseil, le plus lourdement compromis parmi les protecteurs avérés du coquin juif, dut se démettre le 27 janvier. Son remplaçant, Daladier, apparut dès ses premiers actes comme le radical réputé "dur", chargé de sauver le parti et ses loges. Les manifestations de rues conduites par les troupes d’Action française se multipliaient et s’amplifiaient de jour en jour au chant du Ça ira.
L’extrême-gauche communiste amorçait une campagne parallèle. Le limogeage du préfet de police Chiappe, d’un arbitraire grossier, acheva de mettre le feu aux poudres. Le 6 février au soir, le rassemblement de plusieurs centaines de milliers de Parisiens, sur la place de la Concorde, prit rapidement l’aspect d’une insurrection populaire, ayant pour but immédiat l’Assemblée du Palais Bourbon. La police, fidèle en majorité au préfet éconduit réagissait mollement. La garde mobile créée par un ministère de droite contre les "rouges", défendait le pont. Le premier barrage fut forcé. La garde tira. Le premier mort tomba vers sept heures et demie. La manifestation, plus ou moins disloquée, devenue sporadique et qui, jusque-là, avait compris de nombreux curieux, se regroupa beaucoup plus serrée, et redoubla de violence à partir de dix heures. Les assauts des Parisiens, les fusillades de la garde se prolongèrent jusqu’à plus de minuit. La journée s’acheva avec le dernier métro…
La vieille République maçonnique demeurait maîtresse du terrain. Daladier, pourtant, était démissionnaire quelques heures plus tard. Paris vécut la journée du 7 pratiquement sans État, sous le contrôle des pelotons de la garde, dont on ne savait plus à qui ils obéissaient. Le soir, enfin, on apprenait l’arrivée au pouvoir d’un "conciliateur", Doumergue, dit par Léon Daudet "Gastounet le Brandadair". La démocratie était définitivement sauvée. Les vingt patriotes militants tombés dans la nuit du Six Février – exceptions les quelques curieux tués en dehors de la bagarre – ont leurs noms inscrits en tête du livre d’or de notre Révolution. (…)
Rien ne fut plus abject que la contre-offensive des Juifs, des Maçons, de la Ligue des Droits de l’Homme, des démocrates-chrétiens, de tous les humanitaires professionnels, tombant en transes pour l’exécution de quelque terroriste chinois, pour une touffe de cheveux arrachée dans le ghetto, et n’ayant que sarcasmes et rictus joviaux devant les morts français, les morts naïfs et purs de la Concorde. Jamais le bourreau ne fut plus cyniquement érigé en victime, et martyr désarmé mué en égorgeur. (…)
Nous avons longtemps traité avec beaucoup trop de pudeur et de réserve l’un des aspects pourtant essentiels de 1934. Nous avons porté rituellement de pieuses gerbes sur les tombes de nos camarades morts. Nous avons qualifié comme il convenait – nul ne l’a fait avec plus de puissance qu’Henri Béraud – les infectes et stupides canailles parlementaires qui les firent massacrer. Nous n’avons pas assez dit que nos morts furent aussi les victimes de leurs chefs. (…)
Le Six Février 1934, les chefs nationaux n’étaient pas sur la Concorde. J’y étais, aux minutes les plus meurtrières. Je ne les y ai pas vus, personne ne les y a vus. Ils étaient donc dans leurs postes de commandement. Ce pouvait être leur place. Je les y ai vus aussi, entre deux fusillades. Ils s’y tournaient les pouces, il s’y faisaient des mots d’esprit, ils se refusaient à croire qu’il y eût tant de morts que ça ! Ils n’avaient pas une consigne à distribuer, pas une idée en tête, pas un but devant eux. Les uns et les autres étaient moralement les obligés de la démocratie. Hors d’elle, ils n’avaient aucune raison d’exister. Sur ses tréteaux, ils assumaient le rôle obligatoire de l’opposant. Sautant sur une occasion assez considérable en effet, mécontents aussi du limogeage d’un policier indulgent à leurs frasques, ils venaient de se livrer au jeu classique de l’émeute, en forme de menace tartarinesque : "Retenez-moi ou je vais faire un malheur."
Mais pour ce petit jeu-là, ils avaient mobilisé des dizaines de milliers de jeunes hommes, de croyants ingénus, d’anciens soldats. Ils les avaient excités, fanatisés, chauffés à blanc. Au moment de l’action, la foule réapprit les gestes du combat et de la barricade, avec des morceaux de plâtre, des poignées de gravier et quelques lames Gillette fichées au bout d’un bâton. Les chefs, qui les avaient jetés poings nus contre les armes automatiques, s’étaient volatilisés, les uns sans doute par calcul (je pense à l’abject La Rocque), les autres saisis peut-être de vagues et tardifs remords, n’ayant plus guère qu’un souci : nier la gravité de l’événement qu’ils avaient criminellement engendré. Cette nuit-là, j’entendis Maurras dans son auto, parmi les rues désertes, déclarer avec une expression de soulagement : "En somme, Paris est très calme !" Oui, mais c’était le calme d’une chambre mortuaire.
La suite de l’histoire ne fut pas moins déshonorante. Les "chefs" de la droite firent un concert de clameurs. Certes, les "fusilleurs" étaient ignobles. Mais que leur reprochaient les "chefs" des ligues ? Ils leur reprochaient d’avoir triché en faisant tirer. Admirable politique de ces vieillards ! Incomparable symbole de cette bourgeoisie dégénérée, qui, pour n’avoir jamais eu la virilité de prendre les armes librement, de mettre sur sa conscience quelques cadavres nécessaires, aura été le complice de ses hallucinantes et imbéciles hécatombes, après desquelles le Six Février n’est même plus un fait divers en deux lignes ! Il eût fallu, en somme, que la République laissât aimablement bafouer et reconduire à coups de canne ses gendarmes, déculotter ses députés, envahir, saccager et brûler son Parlement, le tout représentant du reste, en l’occurrence, le chef d’œuvre de l’acte gratuit. Les ministres du Six Février, inutile de le cacher, avaient le droit de tirer. C’était même un devoir. (…)
Les chefs communistes, autres tireurs de ficelles, mais ceux-là, fort avisés, avaient lancé leurs fidèles sur le pavé pour profiter à toutes fins utiles du hourvari. Mais la majorité de ses fidèles ne s’en doutait pas. Pour la première fois depuis fort longtemps, les étudiants de Paris et les prolétaires rouges, armée traditionnelle de nos révolutions, manifestaient côte à côte contre la même corruption, avec la même sincérité, au même cri : "À bas les voleurs !" Les chefs de droite n’y comprirent rien, ils n’avaient rien prévu, ils ne savaient rien voir. (…)
Le Six Février (...) engendra certainement le Front populaire, favorisa en tout cas singulièrement sa naissance, en faisant figure d’une provocation énorme, passant de loin l’idéal de ce que l’adversaire le plus machiavélique pouvait rêver dans le genre. (…) Le Six Février démontra que l’armée d’une révolution nationaliste existait en France, mais que son erreur principale avait été de ne point faire d’abord sa révolution contre de pseudo-chefs.
Cette armée n’a pas pu s’anéantir en deux lustres. Éparse, elle existe toujours. Mais le "fascisme" français à la mode de 1934 n’était pas viable parce qu’il conservait trop d’attaches avec la vieille bourgeoisie de droite. Cette bourgeoisie accumula, dans ces heures fiévreuses de la dernière insurrection du type romantique, c’est-à-dire anachronique, les preuves définitives de sa caducité, de son aboulie, de son incapacité politique, de sa désunion, de sa légèreté cocardière. »
Lucien Rebatet, Les crimes du 6 février 1934, Je suis partout, 4 février 1944
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iweb-rdc001 · 8 months
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Éducation : L'EPST fixe l'opinion après la publication d'une "seconde phase" de résultats de l'exEtat 2023
Le pays a totalement été surpris d’apprendre que des résultats en faveur des élèves finalistes qui avaient déjà échoué sont sortis alors que la proclamation était déjà clôturée. Ceux qui se connaissaient déjà redoublants ont pu avoir la chance de décrocher leur diplôme dans ces circonstances que personne n’a su expliciter. Certains ont vu leurs résultats réapparaître avec des pourcentages…
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le-journal-catalan · 1 year
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Torreilles : L’usine Florette face au problèmes de ressource en eau
Le Préfet Rodrigue Furcy et le Maire Marc Médina se sont rendus à l’usine Florette (vous trouvez leurs fruits chez Mc Donald) installée à Torreilles, pour échanger sur le projet de développement du site, l’emploi local, les énergies renouvelables ou encore la problématique de la ressource en eau.Un moment d’immersion au cœur des processus de production de cette entreprise locale. Implanté à…
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leseffrontesfr · 9 months
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Bonjour Titiou, vous êtes oracle, poétesse lyrique et potinière au forum. Après avoir récité plusieurs harangues contre le mariage devant de nombreuses jeunes patriciennes, vous revenez avec un pamphlet intitulé Mon concubin et l’argent. Comment vous est venu ce réquisitoire ?
Dès l’enfance, les garçons reçoivent plus d’argent que les filles, auxquelles on offre plutôt des cadeaux : robes, bracelets, tuniques, esclaves… Par la suite, les hommes obtiennent des carrières rémunératrices : questeur, haruspice, consul, légionnaire, préfet, et cœtera. Leurs épouses sont obligées de se contenter des revenus du domaine, d’élever leurs enfants, filer la laine et se divertir. Il faut aussi compter tout le temps qu’elles doivent passer à superviser les serviteurs. On constate par ailleurs une tendance plus forte au concubinage, où l’homme reste libre de l’usage de son patrimoine. Ce système bénéficie toujours à celui qui a le plus.
Vous évoquez la « théorie du pot de yaourt » dans votre ouvrage. En quoi consiste-t-elle ?
Je prends souvent l’exemple d’Octavia et Marcus : Octavia n’a que la dot accordée par son père, elle en tire moins de rentes que Marcus ne touche de prébendes et, à l’arrivée du deuxième enfant, ils songent à changer de char. C’est Marcus qui achète le char et les chevaux ou les rembourse seul au prêteur. Pour compenser, Octavia lui prépare d’excellents yaourts au miel ou au garum. Au moment où ils se répudient, Marcus récupère le char qu’il a payé alors qu’Octavia n’a plus que les restes de sa dot, sa laine, ses domestiques et ses pots de lait caillé. Dans un couple, le plus petit revenu (la femme) est donc celui qui a le plus intérêt à s’assurer une sécurité économique : par exemple, pour l’achat d’un char, acheter les brides et les licols (quitte à moins faire de yaourts pour avoir le temps de choisir les bijoux équestres les plus luxueux possibles), afin de se constituer un petit patrimoine.
Selon vous, la nouvelle génération est-elle en train de casser les codes ?
À Rome, la situation des femmes va en s’aggravant parce qu’il y a un décalage entre la loi qui estime que les gens vivent selon les mos majorum, dans la communauté des biens, et la manière dont ils vivent réellement (en ne se mariant plus et en privilégiant le concubinage). L’écart entre les membres d’un couple continue de se faire au détriment des femmes. Les femmes font moins de tâches ménagères grâce aux esclaves mais ce sont toujours elles qui les prennent en charge. En revanche les mouvements comme #MeQuoque contribuent à une prise de conscience. Il faut déconstruire les stéréotypes virilistes !
Avez-vous constaté des contre-exemples à votre démonstration ?
En général, les concubines se reconnaissent beaucoup dans le théorème du pot de yaourt. Il y a évidemment des contre-exemples. Ma cousine Athenais m’a fait porter ce message : « Merci, je ne savais pas tout cela. Je vais hâter mon mariage. » Elle n’a pas compris... Je ne comprends pas.
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pureanonofficial · 1 year
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LES MIS LETTERS IN ADAPTATION - The Beginning of Repose, LM 1.6.1 (Les Miserables 1925)
That same night, Javert wrote a letter. The next morning be posted it himself at the office of M. sur M. It was addressed to Paris, and the superscription ran: To Monsieur Chabouillet, Secretary of Monsieur le Préfet of Police. As the affair in the station-house had been bruited about, the post-mistress and some other persons who saw the letter before it was sent off, and who recognized Javert’s handwriting on the cover, thought that he was sending in his resignation.
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empiredesimparte · 1 year
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Emperor Napoléon V reviews the National Guard and then receives at the Salon des Cerfs
Press Release - His Imperial Majesty, Emperor Napoléon V, received this afternoon the visit of the Mayor of Pierrefonds and the Mayor of Ourscamp. His Majesty discussed many subjects such as culture and education. The Emperor took note of files such as the closing of the school of Ourscamp wanted by the prefect of the region, and promised the mayor his intervention.
L'Empereur Napoléon V passe en revue la Garde Nationale puis reçoit au Salon des Cerfs
Communiqué - Sa Majesté Impériale, l'Empereur Napoléon V, a reçu cet après-midi la visite du maire de Pierrefonds et le maire d'Ourscamp. Sa Majesté s'est entretenue sur de multiples sujets comme la culture ou encore l'éducation. L'Empereur prend connaissance de dossiers tels que la fermeture de l'école d'Ourscamp voulue par le préfet de la région, et promet au maire son intervention.
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