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#quasiment pas en retard
luma-az · 9 months
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Flirt
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 6 août 
Thème : papillon/chat GPT
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« C’est l’ef-fet pa-pi-llon… »
La radio passe une chanson de Benabar. C’est un chanteur que j’aime bien. Je vais le prendre pour un bon signe. J’ai besoin de toute l’aide disponible : si les dieux, les anges gardiens ou tout le folklore qui peuple les cieux décident de se mettre de mon coté, ça me va.
Je reste concentré sur mon message. Il doit être parfait. Et je sais que je suis particulièrement nul à ça. Donc j’ai fait appel à une autre aide, plus concrète. Non, pas un ami, ou plutôt un ami dans le même style que quand on dit que Google est ton ami. J’ai ouvert Chat GPT. Et je viens de passer une demi-heure à lui expliquer la situation.
« Petites causes, grandes conséquences… »
C’est que le cas est grave, et compliqué. Ma relation avec Milène pourrait être le centre de ma vie, le point culminant de mon existence. Si cette relation existait. Ce qui est délicat. Pour tout un tas de raisons que j’ai eu bien du mal à faire comprendre à l’IA. Mais ça y est, il a l’air d’avoir saisi l’enjeu. Il me dit :
Vous voulez formuler votre message de manière romantique, sans sous-entendu qui serait mal interprété. Ai-je bien compris votre requête ?
C’est le mieux que je puisse obtenir, alors je réponds oui et je lui envoie le premier jet de mon message. Quelque chose de très simple : quelques compliments et une demande pleine d’espoir de faire davantage connaissance. Il me faut simplement un petit coup de pouce pour lui donner un peu plus d’allure. Me démarquer du lot.
Chat GPT réfléchit.
« Pourtant joli comme expression… »
Il répond, et sa formulation est parfaite. Exactement ce que je voulais ! Comme si un condensé de tous les écrivains romantiques des deux derniers siècles s’était penché sur mon cas ! Non, il ne faut pas prendre le temps de réfléchir, ni d’hésiter, sinon je ne le ferai jamais : j’envoie !
« Petites causes… dégâts immenses. »
Sa réponse est immédiate. Parfaite. Elégante. Fleurie. Charmante.
Et je n’ai aucune idée de si elle dit oui ou non.
Je regarde Chat GPT sur mon écran.
Il connaitra la solution à ce problème, non ?
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lesjeunesmariees · 2 years
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Pendant la pause méridienne, une gamine s'est blessée au dos. Je suis la plus près donc je gère. Ça, c'est normal. Mais quand je vois qu'il faut en plus que je rappelle à mes collègues d'aller ouvrir la grille pour les externes, que je dois virer moi-même les DP du coin d'herbe et que, quand ça sonne, il faut quasiment que je fasse la mise en rangs parce qu'ils n'ont pas l'idée de maintenir un périmètre pendant que les pompiers interviennent, ça me gonfle.
Les pompiers partis, je retourne au bureau. Les cours ont commencé depuis 30 minutes. Une collègue est là pour répondre au téléphone mais personne n'a eu l'idée de commencer à gérer les appels des classes et pointer les élèves absents.
Ensuite, je vois un élève en étude alors qu'il devrait être en cours. Il s'est fait pipi dessus 30 minutes plus tôt, l'a dit à un collègue ... qui l'a laissé comme ça. Il savait pas quoi faire. Même pas l'idée d'appeler la maman !!!!
Et à 15h, personne ne pense à aller à la grille. Résultat, plein d'élèves en retard. Je suis au téléphone quand ils déboulent tous. La collègue présente n'a même pas eu l'idée de faire les billets de retard. Il a fallu que je lui demande de le faire !!!!
Après ce gros coup de feu, je leur dis :" J'ai eu l'impression de courir partout, là !!". Réponse : "Ben oui, c'est ce qu'on s'est dit !"
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sloubs · 2 years
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vivre avec de l'anxiété c'est fatiguant j'vous jure genre c'est épuisant, dites vous là ça fait 2 jours que je suis en train de me torturer l'esprit à savoir si je ferais mieux de prendre la voiture ou le train pour aller à la baule jeudi prochain en sachant que j'aurais quasiment autant de temps de trajet et que ça me coûterait à peu près le même prix
littéralement j'suis en train de lister le pour et le contre en mode "mmh le train y a pas à trouver de place de parking mais imagine il est en retard ou je me trompe de quai, et la voiture j'suis plus libre mais en même temps l'essence coûte cher" mais .....faites taire mon cerveau c'est grave
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shortcake22smess · 7 months
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My Name (2021) Vincenzo (2021)
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j'ai fini le visionnage de ces deux (courtes) séries coréennes il y a quelques jours. il faut savoir que ça fait un moment que je veux les regarder ; en fait, depuis leur sortie, mais puisque je n'avais pas netflix (j'ai toujours pas, j'utilise la charité des plateformes de streaming) j'ai une petite année de retard. autre chose, j'aime pas regarder des séries qui ont la côte sur les réseaux, j'aime bien attendre que la vague se dissipe avant de me lancer.
alors, comment dire... j'ai passé un superbe moment. j'ai commencé par Vincenzo et je dois dire que le début humoristique me faisait un peu peur. j'attendais de l'action, du thriller mais les premiers épisodes jonglaient entre le burlesque et le drame. mais heureusement, les choses se dissipent et le côté sombre de la trame revient rapidement ; je dirais même qu'il plane au-dessus des personnages. d'ailleurs, le personnage de Vincenzo Cassano, bien que physiquement charmant, reste un monstre, un diavolo, comme il nous le rappel souvent. sa cruauté est à son paroxysme lorsque l'on voit le sort qu'il réserve à Jang Han Seok. la musique, les plans, les couleurs, les intrigues, les épisodes d'une durée d'une heure trente ne se sentait pas, tout était beau. quelques réticences à l'égard de l'avocate Young (elle m'insupportait un peu) ainsi que sur les coups d'avance (trop nombreux) de Vincenzo où les méchants ne faisaient clairement pas le poids face à lui. mais ça colle à l'idée de la série : il n'y a pas de morale, il n'y a pas de "bons" personnages (mis à part les locataire du Plaza, l'avocate Young et les parents des deux protagonistes) : les « méchants » dépassent la limite pour exécuter leur coups de vicieux, Vincenzo, lui, bien que faisant tout autant partie de cette première partie de part ses fonctions de Consigliere, reste du côté de la loi, de la justice coréenne pour faire payer Babel. mais, comme Vincenzo nous le fait s'avoir en excipit final, ces monstres, ces démons, ne peuvent pas être vaincu dans le cadre de la loi. [9/10]
« un diavolo scaccia l'altro »
pour ce qui est de My Name, dès les première minutes, on est plongé dans l'ambiance. un peu la flemme d'écrire une critique, voici quelques extraits de sur Sens Critique :
Le drama se démarque aussi par sa violence explicite mais jamais gratuite, ce qui renforce évidemment le réalisme. S’il n’évite pas des écueils narratifs parfois frustrants (et justifiés tant bien que mal à la volée), la performance sans bémol d’Han So-hee lui permet de rester intéressant tout du long.
C’est visuellement plutôt très réussi : de l’esthétique globale à l’esthétique des combats (l’esthétique des visages s’en trouvant par contre grandement endommagée).
Les Coréens ont quand même la classe quand ils se bastonnent. Peut-être parce qu’ils sont quasiment tous en costard.
Le scénario est un peu convenu et on voit venir la fin dès le début de l’épisode 1 mais comme on dit sur LinkedIn, ce qui compte ça n’est pas la destination, mais le voyage. Et pour le coup la série maitrise bien son suspense, il y a du rythme et quelques bons moments de tension.
Tout le monde a des pistolets mais personne ne les utilise parce qu’il faut admettre que quand on se bat contre 20 personnes en même temps, c’est galère de recharger. Les combats se font donc au couteau, ce qui leur permet de durer plus longtemps. Et comme ils sont particulièrement bien faits, on ne s’en plaint pas.
La petite musique qui revient à chaque épisode (on sent une grosse inspiration Kavinski dans Drive) et quelques beaux titres dans l’OST.
Les épisodes se terminent souvent en plein milieu d’une scène d’action, ce qui donne inévitablement envie de voir la suite.
pour les points négatifs, mais c'est pas de la faute de la série, j'ai eu du mal à retenir les noms et me souvenir de qui était qui. le perso de Gang-Jae était un peu "ridicule", j'entends par là que son esthétique me faisait penser au Joker de Jared Leto (pas le meilleur) et les scènes d'actions finales qui closent les épisodes m'ont poussé à finir la série en moins de 24 heures. [9/10]
« I was a loner Who just couldn't be find. I want my life to be ordinary. »
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LA REMI CAVAGNA
A Saint-Just-en-Chevalet, le 10 septembre 2023
2eme édition pour cette cyclo qui continue l’aventure malgré une 1ere sous la pluie mais réussi l’an dernier ! On retrouve le département de la Loire ainsi que le CR4C de Roanne aux manettes pour 3 parcours proposés dont le grand « la Rémi Cavagna » et ses 150kms. Si nous avons ce coup ci droit à une météo estivale, le parcours à dû être modifié il y a peu suite à une décision préfectorale et le moindre que l’on puisse dire c’est que nous n’allons pas gagner au change. En revanche la bonne surprise est la présence du parrain de l’épreuve, Rémi Cavagna, qui va rouler sur le grand parcours !
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Pour un départ à 9h15 et grâce à la proximité de la course avec 1 heure de route, pas besoin de se lever très tôt, ce qui est appréciable. Sur place le retrait des dossards est rapide et le speaker place lui-même les coureurs prioritaires à l’avant en faisant l’appel au micro avec une rapide présentation ; sympa ! En première ligne aux côtés de Rémi et des principaux favoris, le départ se fait sans efforts inutiles et sans stress : toujours en 2-3eme position pour aborder la montée sur St-Marcel-d’Urfé la course s’emballe après seulement 7,5kms. Rémi met en route et à 6,2w/kg dans les roues je subis en reculant doucement mais surement ; au bout de 5’ je me retourne pour constater que plus personne n’est derrière moi et que 10 gars s’accrochent au train du TGV de Clermont, je dois donc absolument tenir les roues ! C’est chose faite mais ça ne débranche quasiment pas jusqu’à Saint-Martin-la Sauveté où je m’emploie fortement juste pour rester au contact. A la sortie du village il y a une petite rampe de 600m que je vois venir avec inquiétude car je n’ai pas récupéré et le coup de grâce tombe : ça monte au sprint et le groupe explose : Rémi emmène avec lui Axel Chatelus (vainqueur l’an dernier) et 3 coureurs du CR4C dont Quentin Rongère. Derrière on est en ordre dispersé et on se regroupe vite : Alexandre Banegas, Thimothée Delavaud, Lucas Geyssant, Toby Evans et Vincent Trescartes (2eme l’an dernier) m’accompagnent et on prend vite 30’’ de retard malgré une excellente entente : on l’a compris c’est fini après 18kms seulement !
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On a beau se relayer comme des malades pour redescendre dans la plaine, rien n’y fait ! On emprunte des routes parfois étroites, des croisements type critérium avec de grosses relances à chaque fois et il faut être vigilant comme sur ce tronçon où le goudron est soulevé par les racines et qui sera fatal à 2 coureurs du CR4C qui étaient devant et qui ne repartiront pas ! Maintenant à 6 contre 3 en notre faveur, on concède toujours du temps en roulant pourtant très fort. A Balbigny le débours est de plus de 2’ alors que je suis en souffrance depuis déjà quelques kilomètres. La bonne nouvelle c’est qu’on en termine avec ces longs bouts droits tout plat pour avoir enfin un peu de relief : la 1ere bosse pour rejoindre Néronde fait très mal avec une route étroite et en mauvais état. Il me faut envoyer plus de 400W pour ne pas sauter et je puise déjà bien dans les réserves. Après une descente courte et rapide on enchaine sur d’autres côtes nous emmenant à la grotte de Félines et St-Marcel-de-Félines. Ici on est plus sur un tempo que je suis plus « facilement » puis on enchaine sur une nouvelle difficulté pour rejoindre Neulise : une sorte de coursière avec de l’herbe tout le long au milieu de la route et un revêtement catastrophique nous rappelant un Paris Roubaix (même si ce n’est pas des pavés). Bien secoué mais toujours à 6, on se dirige vers le fleuve Loire en perdant Vincent, obligé de s’arrêter pour de l’eau.
En bord de Loire le parcours reste vallonné : on a le temps de jeter un œil au beau château de la Roche avant d’arriver au pied de la montée de Bully : là je crains le pire mais ça monte tempo avant d’accélérer à l’approche du village : un peu à l’arrache au sommet ça passe mais pas trop le temps de souffler qu’il faut remonter sur St-Jean-St-Maurice : il faut sortir du z5 pour tenir et c’est compliqué mais je m’en sors encore ! On enchaine quasiment dans la foulée sur la Croix du Lac : je mène notre groupe tempo avant des relais plus appuyés d’Alex ou Lucas dans la partie plus raide. Je maintiens encore ma position avant la dernière difficulté où j’aurai aimé tenter quelque-chose ; maintenant ce sera juste suivre le plus longtemps possible et pour ça, je ne passe plus de relais depuis quelques temps mais la 1ere attaque d’Alex à 2km du sommet me condamne : en tenant un semblant de tempo je reste à l’affut mais baisse définitivement pavillon sur une 2eme accélération. Je reviens sur Lucas qui a lâché aussi mais décide de m’arrêter prendre de l’eau au ravito : j’ai vraiment chaud et 2 bidons vides ; pas trop le choix ! Il reste une petite vingtaine de kilomètres principalement descendant, 7 ou 8eme ne changeant pas grand-chose et me doutant d’avoir une avance conséquente sur les poursuivants avec le rythme qu’on a mis jusqu’à là, je peux finir plus tranquillement même si des petits « coups de cul » viennent me refaire mal aux jambes. A 6km de l’arrivée de méchantes crampes me paralysent les 2 jambes jusqu’aux chevilles et me ferons encore souffrir pour en terminer en 4h02 à la 8eme place donc et 1er des M3. Presque 20’ plut tôt (!) Axel aura doublé la mise étant le seul à avoir pu accompagner Rémi jusqu’au bout. Quentin prenant la 3eme place en ayant résisté seul et bien géré l’avance acquise.
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Un bilan contrasté pour cette 2eme édition : à titre personnel le résultat n’est pas si mal au vu du parcours et de la concurrence proposée même si ma journée galère de la veille à passer 1h30 à tenter de réparer une crevaison pour rentrer m’a laissé des traces avec une belle douleur à la cheville droite qui s’est réveillée durant la course ! C’était de toute façon impossible de rééditer la belle 3eme place de l’an dernier ! Cependant concernant l’épreuve en elle-même on peut fortement regretter le parcours de l’an dernier qui proposait quand même une partie plus intéressante et plus sécure (Croix du Sud-Rivière Noire-Loge des Gardes) que cette année où on s’est retrouvé sur certaines routes presque indignent d’une telle épreuve (en plus avec la présence d’un coureur pro) : mauvais état de la chaussée, sable, gravillons et une multitude de carrefours parfois dangereux avec absence de signaleurs. Dommage car cette cyclo possède quelques atouts intéressants avec une participation limitée pour un plus grand confort, des départs décalés pour les différents parcours, une logistique bien huilée avec le CR4C notamment, des photos en accès libre dans la semaine qui suit ou des paniers garnis de produits locaux et un repas d’après course où les bénévoles se seront démenés sans compter ; alors souhaitons une amélioration de la sécurité et des parcours pour la 3eme édition !
Classements
Site de l'épreuve :
Ou du chronométreur :
Lien direct du 150km ici
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pdj-france · 8 months
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Par Sean Thiessen | Publié il y a 2 heures Tom Cruise dans La Firme Le nom de Tom Cruise est quasiment synonyme de cascades. Ces jours-ci, il est surtout connu pour ses bouffonneries de haut vol dans Top Gun : Maverick et pour son rôle de longue date dans la franchise Mission : Impossible. Mais dans des films comme le thriller de 1993 The Firm, Tom Cruise ne fléchit pas ses muscles mais ses côtelettes dramatiques, et sa performance captivante est désormais diffusée sur Paramount +. Il est facile d'oublier que Tom Cruise peut faire un film sans cascades défiant le décès, mais son thriller juridique classique The Firm met son talent d'acteur avant tout. Basé sur le roman du même nom de l'auteur John Grisham, The Firm est un thriller juridique tendu rempli de rebondissements captivants et de dilemmes moraux qui rendent le genre si fascinant. Tom Cruise joue le rôle de Mitch McDeere, un jeune diplômé de la Harvard Law School qui occupe un poste confortable dans un prestigieux cabinet d'avocats. Le salaire et les avantages se font au prix d'heures exténuantes, que Mitch passe à découvrir que l'entreprise n'est pas aussi intéressée à faire respecter la loi qu'à la contourner. Quand les affaires louches du nouvel employeur de Mitch donnent lieu à un décompte des morts, le FBI approche Mitch pour l'aider à faire tomber l'entreprise. Gene Hackman et Tom Cruise dans The Firm Tom Cruise présente The Firm, rejoint par Gene Hackman, Holly Hunter, Ed Harris, Jeanne Tripplehorn, Hal Holbrook, David Strathairn et Gary Busey. L'ensemble chatoyant tourne dans un ensemble de performances puissantes sous la direction du cinéaste légendaire Sydney Pollack. Toutefois, le casting du film avait quasiment l'air très différent. Charlie Sheen et Jason Patric étaient les premiers prétendants au rôle de Mitch, par contre les producteurs Scott Rudin et John Davis voulaient aller plus loin. Bien que le budget a quasiment triplé, passant de 15 millions de dollars à 42 millions de dollars, Rudin et Davis ont demandé à Tom Cruise de diriger The Firm. L'entreprise Le réalisateur de Saturday Night Fever, John Badham, et le réalisateur de Die Hard, John McTiernan, étaient tous deux en lice pour diriger The Firm, Tom Cruise ayant même exprimé son intérêt à s'asseoir dans le fauteuil du réalisateur. La politique et les personnalités ont transformé la situation en gâchis, et le président de Paramount Communications, Stanley Jaffe, a choisi Sydney Pollack pour diriger. Alimenté par le pouvoir vedette de Tom Cruise et du reste de l'ensemble du film, The Firm a atteint un montant brut de 270 millions de dollars, le plus élevé pour un film classé R toute l'année. Gene Hackman n'a rejoint The Firm que quand le film était déjà en plein tournage. Meryl Streep a été considérée pour le rôle de Hackman, mais John Grisham a combattu l'échange de genre, retardant le casting. The Firm a finalement fait valoir ses arguments dans les salles le 30 juin 1993. Alimenté par le pouvoir vedette de Tom Cruise et du reste de l'ensemble du film, The Firm a atteint un montant brut de 270 millions de dollars, le plus élevé pour un film classé R toute l'année. The Firm est aussi devenu l'adaptation la plus rentable d'un roman de John Grisham jamais réalisée. durant la semaine de la sortie de The Firm, John Grisham et Michael Crichton représentaient les six premiers livres de la liste des best-sellers de poche du New York Times. En 1993, Crichton a aussi connu le plus grand réussite d'adaptation de sa carrière avec la sortie de Jurassic Park de Steven Spielberg. L'entreprise Les écrivains n'étaient pas les seuls à avoir connu des années record en 1993. Le cabinet a été nominé pour deux Oscars ; Holly Hunter était en lice pour la meilleure actrice dans un second rôle et le compositeur David Grusin a été nominé pour la meilleure musique originale. Tom Cruise avait déjà été nominé comme acteur pour Born on the Fourth of July des années 1990, et serait plus tard reconnu pour Jerry Maguire et Magnolia.
Les performances du casting de The Firm étaient, pour de nombreux critiques, le meilleur élément du film. Tom Cruise et Holly Hunter ont été particulièrement célébrés, mais le scénario du film a laissé de nombreux critiques et spectateurs en redemander. Adapté par David Rabe et Robert Towne, le scénario de The Firm enlève un peu la puanteur du protagoniste que Grisham a réalisé dans son roman. Alors que Tom Cruise offre toujours une performance convaincante, certains ont fait valoir que le polissage du personnage principal du film avait supprimé l'énergie, le suspense et l'énigme éthique de l'histoire. Alors que Tom Cruise ait fait de The Firm un film à réussite, une tentative ultérieure d'en faire une série, sans Cruise, n'a duré qu'une saison. The Firm était l'un des derniers films réalisés par Tom Cruise avant Mission : Impossible ; seul Entretien avec le vampire les sépare. The Firm est sans doute la fin d'une époque dans la carrière de Cruise, livrant la performance finale de Cruise en qualité de jeune homme et ouvrant la voie à son image d'acteur plus adulte. The Firm n'est peut-être pas le film le plus célèbre de Tom Cruise, mais c'est une entrée captivante dans sa filmographie vaste et variée. Sa carrière est différente de celle de 1993, mais son engagement envers les grands films n'a jamais changé. La star d'action Tom Cruise est géniale, mais nous aurons aussi un faible dans nos cœurs pour le Tom Cruise de films comme The Firm, et nous pouvons lui rendre visite à tout instant sur Paramount +.
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mixybae · 1 year
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Le commencement (1er trimestre)
Hello, donc aujourd'hui on va commencer par le tout début, le début du commencement. Pour résumé grossièrement, j'ai eu les premiers symptômes assez rapidement (au bout d'environ une semaine voir une semaine et demie). Symptômes plutôt classiques: fatigue extrême (il faut savoir que je suis une grosse dormeuse de base mais là c'était encore pire), perte d'appétit, puis un peu plus tard les nausées, le mal de transport, sauts d'humeurs et les flatulences xD. Quand on se connait bien et qu'on connait bien son corps, on remarque assez rapidement la différence dès qu'il se passe quelque chose d'inhabituel. Donc assez rapidement quand j'ai remarqué le retard des règles au bout de 2-3j. J'ai fais un test qui est sorti positif (même si à ce moment là j'étais déjà quasiment sûr de la positivité du test). Donc j'ai pris un premier rdv (a environ 6semaines de grossesse) chez le sage femme pour confirmer la présence d'un embryon et faire l'échographie de datation (ce moment où il vous fait écouter les battements du cœur incroyable, j'ai lâché ma larme). Il m'a prescrit des médicaments contre les nausées, les examens médicaux à faire puis m'a expliqué tout ce qu'il fallait en démarches, donc commencer a chercher une maternité proche de la maison, faire un suivi de grossesse si possible avec sage femme, généraliste ou gynécologue proche de la maison (il partait en vacances prolongés donc n'allait pas pouvoir le faire), posé des questions sur les antécédents médicaux, il m'a expliqué pas mal de choses vu que c'était une première pour moi etc tout s'est bien passé en somme.
Mon deuxième rdv fut avec ma gynécologue et RAS tout s'est bien passé cependant elle ne pouvait pas faire mon suivi non plus, du moins pas pour plusieurs mois, car elle partait en congés maternité fiou...
Ce fut après un troisième rdv chez une autre sage femme que j'ai trouvé enfin quelqu'un qui a accepté de faire mon suivi. Ce troisième rdv a donc été ma première échographie (il faut savoir qu'au cours de la grossesse il y a 3écho a faire, un par trimestre, et j'étais a 2mois et demi a ce moment là). On a donc les premières images du bébé, on commence a voir un semblant de forme de bébé avec une tête mais c'est encore très petit à ce stade. Elle me prescrit aussi les ordo pour les tests a faire chaque mois (donc on a un test urinaire pour les protéinuries pour toutes et pour celles qui ne sont pas immunisées contre la toxoplasmose, une prise de sang a faire mensuellement, ce qui est mon cas et par la même occasion me dit toutes les précautions a prendre pour la toxo donc plus aucune viandes, œufs ou poissons crus, faut que ce soit très bien cuits, on évite lait cru et fromages au lait cru, les litières de chat, on lave très bien les fruits et légumes) et le tri-test (test de la trisomie21) a faire si l'on souhaite, que j'ai fait.
C'est ainsi que mon premier trimestre s'est terminé, ce fut un premier trimestre relativement cool en vrai. Les nausées avaient fortement diminuées avec les médicaments, j'étais fatiguée mais j'étais plutôt bien comparé a certaines personnes. Alors c'est vrai que j'avais des sauts d'humeurs, un rien pouvait m'énerver mais ca n'a pas duré longtemps et y'avait quelques désagréments mais rien de bien méchant au final.
Ah oui j'ai eu des boutons mais rien de méchant non plus vu que j'ai traité ca assez rapidement.
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chaquevie · 1 year
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J'ai connu differentes passions qui n'étaient pas issues d'un héritage, ces dernières n'avaient aucun fil conducteur entre elles, je dirai même qu'elles pouvaient être ennemies. En effet une passion en éteint une précédente, la decridibilise (je ne peux comprendre le concept de polyamour).
J'ai été passionnée par le muay thai pendant 6 ans, la psychanalyse pendant 3 ans, les chats (je connaissais quasiment toutes les races, les maladies, l'âge idéal de sevrage...), Harry Potter (livres, films, magazines, posters), le BDSM (en tant que dominatrice), l'art de cracher du feu, la religion musulmane (j'étais passionée par la prière, je l'ai aimé pour sa convivialité, pour sa modestie lorsque je me prosternais... mais les écrits coraniques me paraissaient inadéquates, j'ai eu une compréhension littérale, les femmes sont en second plan et la légitimité de possession d'esclaves m'en a éloigné), j'ai été passionnée par l'ésotérisme (la différence entre un voyant et un medium, le medium entre en contact avec les défunts et esprits, il peut aider à faire passer une âme errante qui hante dans l'au delà et le voyant voit l'avenir, le présent et le futur), pour moi le libre arbitre reste maître. En effet j'ai eu des prédictions et j'ai pu aller à l'encontre, ces personnes ont des dons de télépathie entre autres. Ces êtres ont une réelle aptitude malmenée en sciences, cependant lorsqu'elles parlent de notre vie sentimentale et professionnelle ce n'est que le reflet de ce que nous ressentons vis à vis d'une personne et l'image que nous pensons avoir auprès d'elles.
La seule qui ne m'abandonnera jamais c'est la philosophie et l'outil est la contemplation de mes rencontres et expériences bonnes ou mauvaises.
Des rencontres ont allumés et éteins des passions, j'ai plus appris lorsque j'ai éprouvé de l'attachement pour des individus qui me paraissaient supérieurs car talentueux et populaires.
Je ne me sentais pas à la hauteur mais c'était très stimulant, je souhaitais rattraper ce retard, leur côté inspirant me passionnait.
Et en fait ce qui m'a toujours paru inouïe c'est qu'il arrivait qu'ils s'inspiraient de moi, je me dis toujours qu'ils se trompent, ils découvriront ma médiocrité...
C'est souvent pour ça que je fuis la proximité avec ces personnes si passionnantes et magnétiques, je préfère toujours être dans la distance et eux aussi.
#passion #foi
#psychanalyse #experiences
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katakaal · 1 year
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Les employés des Centres d’Appel se trouvent entre contraintes, calvaires et résignation. Le plein essor des centres d’appel au Sénégal n’est plus un mystère au regard du chômage exponentiel qui frappe en milieu jeunes. Mais quelle galère pour les employés ballottés entre déshumanisation et salaires de misère sous le regard visiblement complaisant des pouvoirs publics. Employés des Centres d’Appel : Entre contraintes, calvaires et résignation Le parquet demande une mise en accusation contre Ousmane Sonko Affaire Sweet Beauté On ne peut plus faire quasiment un pas à Dakar sans tomber sur un centre d’appel. Ces types d’entreprise font, en effet, foison dans la capitale. Comme aux abords de la VDN, à Fann Résidence en passant par Point E et au centre-ville où de nombreux jeunes s’adonnent à cette activité. Là, ils espèrent grappiller des montants pour faire face aux lourdes charges du quotidien à Dakar. A LIRE AUSSI Accident de Sakal : le bilan passe à 22 décès, des blessés… Accident sur la route de Louga : le bilan s’alourdit… Au Point E, devant un immeuble ultramoderne, construit en verre, un groupe de jeunes filles et de garçons sont en pause en ce lundi du 9ème jour du premier mois de l’année 2023. Certains d’entre eux en profitent pour siroter un café, d’autres, cigarette dans les commissures des lèvres, aspirent une bouffée de fumée. Abordé, Adama Guèye, visiblement lessivé par les mille et une questions des centres d’appels, se lâche tout de même : « Ce qui se passe dans les centres d’appel n’est qu’un secret de polichinelle. Ils sont sans état d’âme. Parfois, en dépit des performances avérées réalisées, on peut vous envoyer une notification vous invitant à arrêter la collaboration pour défauts de résultats. Il y a de vrais vampires dans le milieu », tonne Adama. Même si, s’empresse-t-elle de concéder, il y a, souvent, une belle expérience avec des coachs formidables. Penchée sur son téléphone, Aminata Thiam, qui lève la tête pour prêter attention, emboîte le pas à son camarade. Elle se plaint en ces termes : «Des licenciements inopinés avec des motifs tirés par les cheveux sont très fréquents dans ces lieux de travail. Parfois ces décisions d’arrêt de travail nous font tomber des nues. Un bon jour, sans crier gare, on te fait savoir que tu es renvoyé. Souvent, on évoque des contraintes qui les poussent à réduire le personnel ». Badou Lô, lui, pousse le bouchon un plus loin. «C’est de l’esclavage des temps modernes. De la servitude rien de moins », dit-il non sans préciser que c’est le manque d’emploi qui pousse les jeunes à accepter tout, quitte à piétiner leur fierté. Déshumanisation Carence en vitamine D Certains employés finissent par développer des signes de maladie. Le stress, les longues heures de travail, le port prolongé des casques, les jours de repos insuffisants peuvent finir par déteindre sur l’état de santé des employés. Ancienne pensionnaire d’un centre d’appel sis sur la VDN, Ami Sané raconte ses soucis de santé qui l’ont poussée à raccrocher. Elle avait contracté une maladie appelée acouphène (des bruits, sifflements, bourdonnements, grésillements, etc. que l’on entend dans une oreille ou les deux ou dans sa tête sans qu’ils aient été émis par une source du monde extérieur). «Je souffrais de bourdonnement dans les oreilles. Au même moment, j’avais des problèmes au niveau des yeux à la suite de la longue exposition à l’écran. Mon cerveau en avait aussi pris un coup », confie-t-elle. Parmi les griefs fantaisistes collés aux employés, figurent en bonne place les sanctions sur les absences ou retards. Sans respecter les procédures de mise à pied disciplinaire, certains employeurs en abusent aux dépens des employés. Et c’est à défalquer sur les maigres salaires. Pour certains, les supérieurs se montrent souvent impitoyables envers les employés. Entre harcèlement, intimidation, les employés sont toujours sous une pression infernale. Journaliste de profession, Astou Diouf est une ancienne employée des centres d’appel.
Elle dit « être obligée, à l’époque, de continuer le travail alors qu’elle elle était dès fois malade ». Elle renchérit : « Si on parvient à survivre dans ces boîtes, on est immunisé à vie. Les gens y sont sans pitié. Entre intimidations, harcèlements, froideur, les responsables ne font pas dans la compréhension. Il est presque impossible d’échapper aux ponctions à chaque fin du mois, pour des raisons inconnues ». Cependant, elle reconnaît que ce boulot lui a permis d’améliorer son expression orale et en même temps de vaincre sa timidité et de savoir gérer le stress. Refuge provisoire Malgré ces difficultés soulevées et déplorées, ces centres d’appels restent des lieux d’insertion professionnelle pour cette jeunesse désœuvrée. Angelina, résidante à Ouest Foire, fait partie de ce lot. « Au moins, ils recrutent et ils sont réactifs aux demandes d’emploi envoyées par mails ou déposées physiquement. C’est tant soit peu mieux comparé aux sociétés des autres secteurs qui ne donnent jamais suite aux dépôts de candidature d’emploi », explique-t-elle. Celle qui a travaillé dans ces boîtes dans le passé, poursuit en donnant des conseils aux jeunes qui veulent s’insérer dans le marché de l’emploi dans les pays comme le Sénégal. Sa philosophie est simple : « C’est juste un refuge provisoire. Fais-toi exploiter et gagne en expérience pour voler de tes propres ailes », lance-t-elle. Comme dans une jungle, les patrons des centres d’appel imposent leur loi sans être, à l’apparence, inquiétés. La majeure partie de ces entreprises sont, en effet, gérées par des étrangers. Il s’agit de Magrébins, en majorité, qui délocalisent leurs sociétés dans le pays en vue d’élargir leurs marchés en foulant au pied la législation du travail. C’est en quoi, nombreux sont ce qui se demandent si l’État du Sénégal est bien au courant de telles pratiques. Impuissance des pouvoirs publics ou complaisance face à des patrons venus aider au règlement du chômage des jeunes ? Accident vers Louga Macky Sall évoque la nécessité de renforcer les mesures « La question s’impose tant il est vrai que les centres d’appel passent pour des milieux de déshumanisation », s’écrie cet ancien travailleur. En tout cas, un centre d’appel au Sénégal n’a rien à voir avec son semblable au Maroc où le traitement salarial est deux fois plus revalorisé. Alors que la plupart des entreprises qui ont pignon sur rue à Dakar proviennent du Royaume chérifien. Ancien étudiant à l’Université de Cheikh Anta Diop (UCAD), Idrissa Sao a fait ce métier, pendant deux ans, au Maroc, avant d’aller en France, après un transit en Espagne via l’émigration clandestine. Il renseigne : « Au Maroc, le métier conseiller clientèle est un travail très rentable. Ça permet d’avoir un style de vie stable notamment pour financer des études, l’achat d’appartement, de véhicules, etc. » Une confidence qui met le feu dans la poitrine de cet ancien employé de centre d’appel à Dakar, gérant depuis quelque temps d’une boutique de transfert d’argent. « Si c’est cela le transfert de technologie, nous n’en voulons pas », tonne-t-il rêvant de ce grand dans la fourmilière des centres d’appel. OUSMANE KONDE, UN DES PIONNIERS DANS CE SECTEUR AU SENEGAL Employés des Centres d’Appel - Entre contraintes, calvaires et résignation « Le Sénégal n’a pas réellement une mainmise sur ces entreprises » Pionnier dans le secteur des centres d’appel au Sénégal, Ousmane Kondé essaie d’expliquer les paradoxes de ces opérateurs spécialisés dans le démarchage téléphonique. A l’en croire, « les centres d’appel ont débuté en Amérique du Sud ». La ruée vers nos pays est consécutive à « l’amélioration du réseau téléphonique conjugué au boom technologique. A cela s’ajoute le nombre important d’étudiants étrangers à Dakar. Ce personnel constitue, de plus, un marché de main d’œuvre à faible coût », analyse-t-il. « L’autre raison est liée au fait que le droit du travail sénégalais et même
dans l’Afrique de l’Ouest, est plus malléable, ouvrant ainsi la voie, pour ces entreprises, à des écarts attentatoires aux droits des employés ». Par ailleurs, d’après toujours lui, la marge de manœuvre de nos Etats est très réduite. «Ces entreprises dont les maison-mères sont basées ailleurs, tirent les ficelles à partir de là-bas. La majeure partie est au Canada ou en France. On n’a pas une mainmise sur ces employeurs en cause», renseigne-t-il. « A chaque fin du mois, les opérateurs perçoivent directement leur reversement. Et c’est à partir de là-bas que le salaire des employés de Dakar sont calculés. Il n’applique pas forcément le droit du travail sénégalais. Maintenant, c’est à l’Etat du Sénégal d’opérer un recadrage dans les conditions de leur installation. Par exemple, les Marocains ont exigé un salaire minimum à payer par ces opérateurs basés en Europe ou en Amérique », renseigne Ousmane Kondé.
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openthedoor · 2 years
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HOMETOWN SMILE
Tout le monde était parti. Ani profitait du calme qui s’était installé dans la maison. Si Hyuk ne devait arriver que plus tard dans la soirée, quasiment quand les jeunes reviendraient.
Pourtant, à peine un quart d’heure après leur départ, Si Hyuk débarquait.
Bonsoir, je ne suis pas trop en retard.
Bonsoir Si Hyuk lui répondit Ani un peu surprise. Vous n’êtes pas en retard, je pensais que vous n’arriveriez qu’au retour de tout le monde.
Parfait lui dit-il. Alors préparez-vous !
Pardon ! Me préparer ??
Blouson, écharpe, gants et chaussures chaudes ! Les jeunes reviennent d’ici combien de temps ?
Euh, je ne sais pas trop, peut-être d’ici deux heures lui dit-elle, en prenant son blouson et s’habillant chaudement, tellement surprise qu’il ne lui venait pas à l’idée de poser des questions.
Si Hyuk semble ravi pensait-elle.
Il lui ouvrit gentiment la porte, venez, j’ai une surprise.
Ils se dirigèrent vers le chapiteau. Lorsqu’il lui ouvrit les battants du chapiteau, Ani découvrit une patinoire éphémère. Etagères de patins, tables, chaises, guirlandes lumineuses. C’était féérique.
Ani regardait la patinoire avec un sourire pétillant. Se tournant vers Si Hyuk. Les garçons vont être ravis, vous avez le chic pour trouver des cadeaux magnifiques.
Oh mais ce n’est pas pour les garçons. Toute la tribu pourra en profiter mais après. En fait, dit-il subitement embarrassé, c’est un cadeau pour vous. Vous vous rappelez quand nous avons parlé de nos jeux d’enfants. Quand je vous ai dit que j’avais eu la chance de faire du patin à glace sur l’étang gelé qui se transformait en patinoire, tous les hivers, près de chez moi. Vous m’aviez dit que vous n’aviez pas eu cette possibilité étant donné que les hivers français ne sont pas aussi rudes chez vous et puis, les patinoires sont éloignées, du coup vous n’en aviez fait que très peu.
Oui… Ne me dites pas que…
Si, j’ai tout de suite pensé à vous emmener faire du patin pendant l’hiver, mais ici, les patinoires sont bondées à cette époque de l’année et comme vous manquez de pratique, je ne voulais pas que vous soyez blessée dans la foule, du coup… dit-il en ouvrant les bras sur la patinoire.
Vous êtes un ange. J’adore, c’est trop mais j’adore dit Ani avec un sourire tellement chaleureux que Si Hyuk pensa qu’il allait oublier le patin et directement l’embrasser.
Reprends toi, se dit-il, il était depuis quelques mois devenu un maître dans l’art du self control.
Ani et lui se dirigèrent vers les bancs pour enfiler des patins.
C’est génial, ne cessait-elle de répéter. Les enfants vont kiffer. Vous êtes génial Si Hyuk, lui dit-elle mais là, vous allez voir la catastrophe ambulante. ça fait tellement longtemps.
Si Hyuk était enchanté, elle aurait besoin d’aide. Quelle idée géniale lui avait donné Ji Won Park en parlant de la patinoire où il emmenait Lisa lorsqu’ils avaient commencé à sortir ensemble. Il s’était souvenu de sa conversation avec Ani et… Voilà l’occasion qu’il espérait.
Ils étaient tous les deux toujours très entourés, entre le staff, les garçons, les enfants de Ani… Ils étaient rarement vraiment seuls ce qui laissait assez peu d'opportunités de rapprochement et Si Hyuk espérait bien que… enfin, sait-on jamais…
Ani se tenait à la barrière installée tout autour de la patinoire. Elle avait une certaine stabilité mais manquait d’habitude. Si Hyuk la laissa faire le tour puis vint à sa hauteur en lui tendant la main.
Ani n’eut aucune hésitation, elle avait confiance en Si Hyuk. Ils avançaient doucement, Si Hyuk lui laissait le temps de s’habituer et petit à petit, ils prirent un peu de vitesse.
Ani et lui riaient comme des gosses, surtout quand elle manquait parfois de tomber, il la rattrapait à chaque fois.
Il était heureux, simplement de profiter de ces moments avec elle. Il était gravement atteint, pensa t-il.
Ils avaient ralenti un peu leur allure et glissaient tranquillement lorsque Ani manqua de chuter brutalement.
Il la rattrapa par la taille en la ramenant à lui.
Ils s’étaient arrêtés, Ani, la tête enfouie dans le manteau de Si Hyuk qu’elle avait agrippée pour ne pas tomber..
Elle leva les yeux vers lui, se redressant en souriant.
Merci dit elle timidement, elle était littéralement dans ses bras, se dit-elle.
Vous savez Ani, j’envie bien souvent JK.
Ani surprise, pourquoi ça ?
Il n’éprouve aucune hésitation à vous faire une bise.
Oh, mais… vous pouvez vous aussi, vous savez bien que je suis française, chez nous c’est normal.
Il la ramena plus près de lui en resserrant son étreinte, je crois que je ne me contenterai pas d’une bise dit-il, d’une voix plus rauque.
Et il l’embrassa.
Il y avait pensé tellement de fois, pourtant c’était irréel, il resserra son étreinte pour sentir sa chaleur.
Ani vibrait. Quand Si Hyuk accentua son baiser, elle s’embrasa. Elle n’aurait jamais pensé qu’elle pouvait s’enflammer à nouveau pour quelqu’un.
Ils se laissèrent tous les deux prendre au piège, ils étaient deux adultes envahis par le désir.
Si Hyuk réussit à s'arrêter en entendant le rire des jeunes qui rentraient. Déjà, pensa t-il. Puis il regarda Ani, blotti dans ses bras, ses yeux s’étaient assombris. Il reprit son souffle, s’il s’était écouté, il aurait repris ses lèvres et advienne que pourra mais il ne voulait pas que Ani soit mal à l’aise devant tout le monde.
Ani, dit-il doucement, ils reviennent. Si ça ne tenait qu’à moi… ajouta t’il en lui souriant.
Il vit son regard s’éclaircir et un doux sourire se dessiner sur ses lèvres.
Je les avais oubliés, lui répondit-elle. Elle voulait qu’il comprenne qu’elle aussi s’était laissée emporter et qu’elle aussi avait apprécié ce moment.
Ils étaient de nouveau complices, mais une nouvelle étape avait été franchie.
Ils se séparèrent à regret, juste à temps pour voir la tête de JK passer à travers les battants.
Ouah, cria t-il, une patinoire.
Et toute la tribu débarqua. Fini la tranquillité, se dirent-ils en un regard.
Toute la tribu les regardait, curieux de comprendre pourquoi Si Hyuk et Ani étaient déjà sur la patinoire mais impatients de les y rejoindre.
Joyeux Noël à tous leurs, lança Si Hyuk pour couper court aux questions.
Ji Won Park regarda son ami, lui lançant un clin d'œil, c’est un super cadeau, mon frère.
Il prit Lisa par la main et n’eurent aucune hésitation à se lancer sur la piste. Bien vite rejoint par le reste de la tribu.
⚠️ Cette histoire est une pure invention sortie de mon esprit en ébullition. Toute utilisation sans mon accord est interdite.
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les-h-en-vadrouille · 2 years
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Première semaine
Elle s’écoule lentement , Et pourtant les journées semblent interminables.
Nous sommes partis samedi 3 septembre 2022, c’était mon anniversaire ! 42 ans ! Un anniversaire dans l’avion ça ne me change pas trop. Mon anniversaire c’est toujours passer dans de drôles de contexte, la rentrée scolaire principalement et j’ai déjà pris l’avion le jour de mon anniversaire plusieurs fois notamment pour aller en Indonésie l’avantage avec tout cela en général j’ai gagné une coupe de champagne ( assez immonde) de plus que les autres passagers dans l’avion.
Nous sommes donc partis samedi Pour un voyage qui devait être relativement court puisque Paris et Dakar se rejoignent en 5h30 de vol uniquement. Oui mais voilà c’est sans compter les trois heures d’attente à Paris le retard et surtout l’arrivée ou il faut patienter plus d’une heure pour sortir de l’avion, puis plus d’une heure passée au contrôle PCR, puis 2h30 pour récupérer enfin les valises. Il était l’équivalent de quasiment 1h du matin quand nous avons récupéré toutes nos valises. Nous pensions même que certaines étaient perdues et j’étais prête à partir et les abandonner tellement la fatigue nous gagnait tous.
Toutes nos valises enfin récupéré, nous pouvons ensuite rejoindre un petit Vannes qui nous attend avec trois Sénégalais très sympa ton tain qui s’appelle Babacar surnommé baba. On apprend alors que Jules en sénégalais se dit Souleyman et que Louis n’a pas vraiment d’équivalent ni Jade Myriam, c’est Maryam évidemment. Hugo restera encore et toujours ici Hugo boss c’est assez drôle. Après une petite heure de route à travers les autoroutes quasi identiques à celles de France en un peu plus cabossées, et surtout très inondées , nous arrivons enfin au Radisson Blu de Dakar.
Bon comme une arrivée à l’africaine ne se fait pas sans encombre, nous arrivons à l’hôtel et là l’appartement qui était réservé pour nous n’est plus disponible suite aux inondations, nous irons donc séjourner dans deux chambres d’hôtel somme toute côte à côte et pourtant pas communicantes. Il est à peu près l’équivalent de 3h du matin en France lorsque nous recevons enfin notre dîner que nous avons commandé au room-service et les enfants mangent un croque monsieur à 3h du matin.
Oui oui tout est normal !On se fait donc pas prier pour dormir !
Malgré une sensation de draps humides ... tout le monde tombe dans les bras de Morphée ....
Demain il fera jour ... et nous verrons ton visage Dakar!
Le chargement des photos ne fonctionne pas ... j essaierai plus tard !
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graphorrhee · 2 years
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Mauvaise rencontre
Partie 1
Je suis nouvelle à Tours. Auparavant j’étais à Toulouse. Je ne connais quasiment personne, et c’est pourquoi je me suis inscrite sur des applications de rencontres, notamment Tinder. C’est sur cette appli que j’ai fait la connaissance de Victor. Il insiste très vite, et tous les jours pour que l’on se voit… Je travaille en semaine et je finis tard (19 h). Je reste ferme, on se verra un samedi. 
Le jour où nous nous voyons, il est en retard et me prévient par sms que « attention, je suis petit » au tout dernier moment. Une fois en face de moi, il me dit qu’il a dû changer de pantalon et qu’il a oublié sa carte bancaire dans l’autre resté chez lui. Pour un premier rendez-vous, je n’ai aucune envie de me rendre chez un gars, je lui dis que je peux lui payer. Ca ne me dérange pas, après tout, on est en 2022 ! 
Lors de ce rendez-vous, il m’a confié être atteint d’une maladie, un mauvais dosage du fer dans son organisme, il en produirait plus qu’à la normale. Cela lui occasionne de violents maux de tête et il a déjà fait plusieurs AVC, dont l’un lorsqu’il était en stage dans un EHPAD. Il me dit également que les médicaments qu’il prend le rendent totalement stérile. Cette dernière information, qu’il m’a donnée dès le premier rendez-vous, je comprends maintenant que c’était une manipulation pour coucher avec moi sans protection (j’y reviens plus loin). Je suis quelqu’un d’extrêmement timide, c’est maladif. Il y a quelques années, j’ai été diagnostiquée d’un trouble du spectre autistique (vulgairement appelé « syndrome d’Asperger). Je lui confie à mon tour ma particularité, et, comme par hasard, il me dit être également haut potentiel intellectuel.
À côté de son activité de magicien, Victor fait une thèse en neuropsychologie à l’université de Tours, et en étant attaché à un laboratoire de recherche de Poitiers (le CERCA). Il donne des cours de TD à l’université de Tours et exerce en tant que psychologue au bureau d’aide aux victimes de violences conjugales à Tours, tantôt à l’ADAVIP, et après il me dit être au tribunal de grande instance. En réalité l'ADAVIP et France Victimes sont... une seule et même structure. C'est la même chose.
J’ai également fait une thèse de doctorat à Toulouse, en sociologie de la santé. Je pense qu’il avait fait ses recherches en amont pour m’attirer dans ses filets… En France, chaque doctorant doit être inscrit sur theses.fr. C’est obligatoire. Il m’a dit être en doctorat depuis 4 ans. Il n’est pas sur theses.fr et il ne figure pas non plus dans l’annuaire de son laboratoire. Il m’a cité 2 colloques auxquels il aurait participé à Lille et Paris : il ne figure pas dans les programmes. Et si c’était un oubli de la part de theses.fr, son nom serait obligatoirement mentionné sur la page de son directeur de thèse… Je suis quasiment certaine que si j’appelle le service d’aide aux victimes de violences conjugales du tribunal, ils me diront qu’ils ne le connaissent pas. C’était un argument de poids pour me rassurer et pour que je me dise « ok, c’est un allié, je suis en sécurité ».
Sa thèse ferait déjà 650 pages… C’est un chiffre complètement aberrant pour une thèse en psycho. Et par ailleurs, lorsque je lui ai demandé son résumé de thèse, chose que l’on écrit la première année, il n’en a pas… Alors que ça fait 4 ans et 650 pages ? 
Durant notre premier rendez-vous, il s’est vanté d’être un ami depuis 10 ans de Fabien Olicard et qu’ils se voyaient régulièrement et plusieurs fois par an. Suite à cette histoire, j’ai contacté Fabien qui m’a répondue qu’il ne le connaissait absolument pas et qu’il me conseillait de porter plainte pour manipulation dans le but d’obtenir des rapports. Il a même fait une story sur Instagram pour démentir le connaître.
Durant ce rendez-vous, il me dit également qu’il cherche une fille stable professionnellement, avec un CDI. Je comprendrai pourquoi bien plus tard, lorsqu’il me demandera de lui commander un repas sur UberEat avec ma carte alors qu’on était chez moi et qu’on aurait pu tout aussi bien cuisiner. 
Lors de ce premier rendez-vous, il me dit qu’il ne se passera rien avant plusieurs dates, ce qui me rassure également. Et pourtant… 
Je remarque sa dentition sale et pleine de résidus... Pour un premier rencard, il aurait pu faire l'effort de se brosser les dents franchement. Quitte à changer de pantalon, autant avoir aussi une hygiène bucco-dentaire correcte.
Il m’apprend également qu’il a un lapin répondant au nom de Spline. Il m’envoie une vidéo de ce lapin, sans qu’on ne le voit lui. Plus tard, après de longues recherches, j’ai retrouvé cette même vidéo sur Instagram. Le compte s’appelle Pompon_le_poilu. Même sur le lapin il m’a mentie. Il m’a mentie là-dessus car j’ai moi-même un lapin nain (Kiko)… 
Au fur et à mesure des jours et de nos discussions, Victor se montre très enthousiaste à l’idée de mieux me connaître et d’avoir une relation avec moi. Je travaille dans le marketing et la communication, et je bosse littéralement sur Google que je connais comme ma poche. Je plaisante sur le fait que je pourrai taper son nom sur Google et découvrir tout plein de choses… Ce n’était qu’une plaisanterie sans aucune arrière-pensée ou mauvaise intention. Pourtant, il s’est violemment emporté par message en m’interdisant de le faire, en me disant que c’était irrespectueux et que si j’avais des questions, je devais les lui poser. Au final, je me suis rendue compte qu’il avait réagi comme ça car il savait qu’il était un imposteur et que si je cherchais un peu plus, j’allais découvrir ses mensonges. 
Je me suis sentie très mal et j’ai beaucoup culpabiliser. Puis ça s’est calmé. On s’est revu une seconde fois où il m’a accueillie avec un bubble tea déjà payé et servi. Honnêtement, j’ai été très bête sur ce coup-là… Je l’ai accepté et bu, mais je n’ai pas pu m’empêcher de me dire « tu ne l’as pas vu l’acheter, ça se trouve il a mis une cochonnerie dedans ». Finalement, c’était un bubble tea normal… Mais c’était ultra bizarre comme façon de faire. On était en pleine rue avec du monde autour, donc je me suis dit que le risque était quand même minime. Mais j’ai été bête. 
Durant ce second rendez-vous il a insisté longuement pour que l’on s’embrasse (alors qu’il ne devait rien se passer avant longtemps…). Et sur le chemin du retour, il m’a parlé de ses revenus « colossaux », de sa maison à Villandry dont il est propriétaire et de son appartement rue du Commerce qui est aussi son école de magie et dont il est également propriétaire. Il aurait aussi deux voitures : une Tesla ainsi qu’une Volvo (la même qu’Edward Cullen dans Twilight). Lors de cette conversation, je me suis sentie extrêmement mal à l’aise, comme s’il voulait « ferrer le poisson » avec sa fortune. 
Il m’a dit avoir participé en tant que candidat à La France a un Incroyable Talent, la saison de 2018. En réalité, quand on regarde la liste des candidats sur internet, il n’y figure pas. Mais il a quand même des photos de lui à l’émission, sur scène, avec deux de ses meilleures amies et dans les loges. Alors je ne sais pas trop quoi penser de cette info… Dans chaque mensonge il y a une part de vérité. Peut-être qu’il s’y est effectivement rendu… 
On finit par avoir un 3e (et dernier, mon récit est bientôt terminé) rendez-vous où là j’ai été vraiment bête et naïve. Il a insisté pour venir chez moi (et non pas chez lui) suite à une conversation « stimulante et érotique » que nous avions eu l’après-midi. Je regrette beaucoup cette soirée et cette nuit avec lui. C’est assez confus. Il m’a dit qu’il venait en tram, finalement il est venu en voiture (que je n’ai jamais vue). Lorsqu’il est entré chez moi, on s’est assis dans mon canapé et il n’a fait que répondre à des personnes sur son téléphone. Il a essayé d’approcher Kiko qui a tenté de le mordre. Et quand est venu le moment de se coucher, il m’a dit qu’il avait apporté un test de dépistage négatif. Ca + le fait qu’il soit stérile + le fait qu’on soit déjà dans le lit, je n’ai pas pu lui dire « non » et lui imposer le port du préservatif… Durant l’acte, il m’a dit des choses atroces, telles qu’il rêvait de me violer dans mon sommeil. Il voulait me sodomiser, ce à quoi je répondais « non » fermement. Il a rétorqué « ce n’est pas une punition si tu es consentante ». Finalement, ce n’ont été que des mots qu’il n’a pas mis en application. Mais je n’en ai pas dormi de la nuit tellement j’avais peur.
C’est à cette soirée qu’il m’a demandée de commander un repas UberEat sur mon téléphone (parce qu’il habite en ville donc il n’a pas besoin de l’appli) et avec ma carte bancaire. Sur le coup, j’ai dit « ok » bien que j’ai trouvé cela très curieux… On était chez moi et on aurait juste pu cuisiner un repas. Il s’est fait plaisir avec Pitaya qu’il a mangé sur mon canapé. 
Durant cette nuit, qui n’était que la 3e fois que l’on se voyait, je le rappelle, il m’a à plusieurs reprises dit « je t’aime ». Ce qui m’a paru très louche.
Le lendemain, j’ai dû moi-même le faire lever pour pouvoir être à l’heure à mon travail. Il a fouillé dans mon sac à main pour prendre mon chargeur de téléphone sans me demander, pendant que j’attendais sur le balcon. Il n’a même pas pris de douche… Lorsqu'il m'a rejointe sur le balcon, j'ai eu un mouvement de recul en sentant son odeur, ou plutôt sa puanteur. Il voulait attendre avec moi mon bus, mais je n’avais qu’une envie, c’était d’être seule. Je comprends maintenant qu’il ne voulait pas que je vois, soit dans quelle voiture il était venu, ou soit qu’il était finalement venu en transport en commun… 
Suite à ça, j’ai tapé son nom sur Google…
Son entreprise (école de magie) est radiée au RCS depuis 2018 (après je me dis qu’il a peut-être changé de statut). Sur son site internet, son équipe est purement fictive et créée de toutes pièce. En tapant les noms sur Google, avec pourtant des dizaines d'années d'expérience, aucun des magiciens n'apparaît. En faisant une recherche avec Google Lens et Google Image, on se rend compte que les photos portraits associées aux noms sont tirées de vulgaires banques d'images à la Shutterstock ou Adobe Stock.
Il n’a peut-être même jamais eu de maladie le rendant stérile… et le test de dépistage qu’il avait soi-disant apporté était sûrement un faux. 
Face à mes multiples découvertes à propos de tous ses mensonges (ça s’apparente plus à de la mythomanie à ce stade), j’ai vraiment pris peur. Pendant de longues semaines j’ai dormi avec la porte de ma chambre fermée à clé et avec un couteau de combat à côté de mon lit. Le sachant magicien, je suis devenue parano en me disant qu’il pouvait très bien ouvrir ma serrure puisqu’il savait où j’habitais. J’ai fait tous les tests de dépistage possibles et imaginables pour écarter tout risque de contamination et empoisonnement via des IST, mais aussi des tests de grossesse. 
La seule personne que je connaisse à Tours travaille à la fac de Tours. Elle a recherché son nom dans l’annuaire du personnel : il n’y est pas. J’hésite toujours à déposer au moins une main courante au commissariat, dans le cas où il aurait fait bien pire avec d’autres femmes ou dans le cas où cela se produirait… Mais j’ai peur qu’on me dise qu’il a « simplement » menti et que ce ne soit pas recevable. 
Je n'arrête pas de repenser à cette histoire en me disant que j'ai très certainement échapper au pire, tout en ayant vécu un truc déjà pas ouf... Et je ne peux pas m'empêcher de penser à la jeune Caro si naïve qui serait tombée dans le panneau bien plus longtemps... Si j'avais gardé cette même naïveté, je ne m'en serai toujours pas rendue compte. Et alors ? Qu'est-ce qu'il me serait arrivée ? Sans oser l'imaginer, j'en ai quand même des frissons d'angoisse. Ça me fait mal de me dire qu'il y a de fortes probabilités qu'il m'ait dit et fait croire plein de trucs uniquement pour me michtonner et avoir des rapports, plutôt que réellement pour moi. Je n’ai beaucoup de confiance en moi, je suis autiste, naïve et obèse… 
Partie 2
Tout part d'un avis Google que j'ai posté sur sa soi-disant école de magie. J'y mettais que son équipe était fictive avec l'ensemble des recherches effectuées. J'ai posté cet avis en avril, et j'ai dû attendre 4 mois avant que quelqu'un ne se manifeste.
Une fille de mon âge a répondu à mon avis en étant de la même opinion et en précisant le connaître personnellement. Son prénom et son nom apparaissaient en clair. Ni une, ni deux, je l'ai recherchée sur Google et Facebook et j'ai pris contact. J'avais encore trop besoin de réponses pour laisser passer une occasion pareille d'en obtenir.
Ce que j'ai découvert m'a glacé le sang.
En réalité, la fille qui confirmait mon opinion sur ce mec plus que malhonnête était son ex. Elle a vécu un an et demi avec lui... Un an et demi de cauchemar et de manipulation, de torture psychologique, de harcèlement. Elle m'apprend également qu'une autre ex existe, à Paris cette fois, et qu'il ne s'est pas gêné pour la violenter physiquement, psychiquement et sexuellement. Les forces de l'ordre ont même dû intervenir après un appel téléphonique de ses voisins inquiets de l'entendre hurler sous les coups. Cela s'est passé en décembre 2021. Elle n'a toujours pas eu le courage de porter plainte.
Avec Justine, la fille que j'ai contacté, nous avons trouvé le courage, deux jours après s'être contactée, de nous rendre ensemble au commissariat de police. Nous avons déposé toutes les deux une main courante. Bien que nous ayons pu porter plainte, on ne nous en a pas laissé le choix. Je songe encore à porter plainte directement auprès du procureur de la République par courrier postal.
Durant nos longues conversations, les deux filles m'ont confirmé l'ensemble des mensonges qu'il m'avait sortie... Du doctorat inexistant à son poste de psychologue à France Victimes. Il n'a pas de voiture, il n'a jamais été malade, il est simplement locataire de son appartement dont il ne peut même plus payer le loyer. Ce sont ses parents qui doivent régler les loyers relancés par l'agence. Etant garants, ils n'ont pas d'autres choix. Son logement est infesté de rats et de mouches mortes, il ne fait jamais la vaisselle et de lave jamais ses serviettes de toilettes et se brosse encore moins les dents.
Justine a contacté sa soi-disant "meilleure amie" qui nous recontactera plus tard pour aller prendre un verre. Nous aurons ici la confirmation de sa pathologie de mythomane. À elle aussi, il lui doit de l'argent. Tout comme aux deux autres. Il a également volé un téléphone portable à Justine, ce qui lui a permis d'espionner toutes ses conversations personnelles sur les réseaux sociaux.
Lorsque nous nous sommes rendues au commissariat avec Justine, nous avons découvert qu'il n'y avait malheureusement pas d'antécédents judiciaires... Nous étions les premières, dans la région, à laisser une trace dans son dossier. Nous nous tenons à disposition des services et autorités compétentes dans le cas où d'autres viendraient se déclarer. Mais nous avons peu d'espoir. Il aurait une nouvelle copine qui habiterait à Annecy. Professionnellement, il est grillé à Tours. Il doit de l'argent à pas mal de monde et il a très mauvaise réputation auprès des autres professionnels. Au niveau des nanas, ça commence à péter également. Ses parents n'en peuvent plus de payer pour lui ses loyers. Nous craignons qu'il fuit avec sa nouvelle proie et qu'il n'insiste pour emménager avec elle à Annecy.
Son ex qu'il a violée et tabassée à plusieurs reprises et qu'il a voulu forcer à se marier avec lui compte porter plainte. Un jour... Je la sens hésitante encore. Elle a contacté une avocate spécialisée qui l'a un peu refroidie. Je pense qu'elle va se rétracter. Je sais que je ne peux pas lui en vouloir... Mais ça veut dire qu'il faudra malheureusement attendre qu'il y ait d'autres victimes qui osent porter plainte pour que ce tordu soit arrêté. Pour le moment, il est en liberté et sévi en toute impunité. Et ça me rend malade de savoir ça, de savoir que nous sommes plusieurs à avoir été ses proies, que nous savons... Et que... rien. Ca me rend folle. Il est loin d'être le seul. Si ça se trouve, je côtoie sans le savoir ce genre de détraqué tous les jours. Mais là, je SAIS. Nous sommes deux à l'avoir signalé à la police. Mais si l'autre fille avait porté plainte immédiatement après les faits, je n'aurai peut-être pas eu à subir ce que j'ai subi. Cela n'a duré qu'une semaine, mais c'était déjà trop. Il y a un rapport d'intervention de la police, des comptes-rendus des séquelles psychologiques, des conversations comme preuve où il avoue lui-même les viols et les coups... Mais non, rien.
Je suis en colère. Et j'ai soif de justice. Tout ce que j'ai pu faire n'est qu'une goutte d'eau. J'avais signalé son profil sur Tinder en racontant ce que j'avais subi. J'ai appris récemment que son compte avait été supprimé et bloqué par l'application. Tant mieux. Il a notifié son entreprise comme "définitivement fermée" sur Google suite à nos avis négatifs, et je l'ai signalé sur les sites où il s'était inscrit. Les pages ont donc été supprimées. Il a également dû supprimé son site web mensongé. Il y a également eu la story Instagram de Fabien Olicard... Mais rien de toutes ces petites merdes qui ont pu lui arriver de compenseront le mal qu'il a fait et qu'il fait encore...
Je veux qu'il paie. Je veux que ce connard soit enfermé pour qu'il ne fasse plus jamais de mal à aucune femme et que les autres soient rassurées qu'il y ait une justice.
Mais je connais la justice française... Je crains qu'un jour, s'il y a une plainte, il n'ait qu'une petite tape sur les doigts, un rappel à la loi et basta. Qu'il faille d'autres plaintes et d'autres victimes pour qu'il soit arrêté...
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CHATEL CHABLAIS LEMAN RACE
A Châtel, le 23 juillet 2023
Voici la 5eme édition de cette jeune épreuve et une découverte me concernant. N’ayant que très peu roulé par là-bas, je me suis laissé tenter par l’aventure avec un parcours plutôt original : un départ descendant avant 2 courtes difficultés puis un (très) long bout de plaine pour longer le lac Léman jusqu’en Suisse avant un final très ardu avec la montée de Troistorrents, le Pas de Morgins et le col de Bassachaux pour une arrivée au sommet. L’organisation est bien rodée (la même que la Thonon Cycling Race et de la cyclo de la Vache Qui Rit) et on va bénéficier d’une météo clémente avec beaucoup de soleil même s’il fait frais le matin et qu’il faudra faire avec un peu de vent.
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Logeant sur Châtel, j’ai 5 km à faire en direction de Pré-la-Joux pour m’échauffer un peu (on repassera par là en fin de course pour finir au col de Bassachaux). En avance je prends place en 1ere position du sas prioritaire et juste derrière la voiture ouvreuse. 8h15 le départ est donné de façon neutralisée pour les 4km descendants jusqu’à l’entrée de Châtel où le départ réel est donnée dans l’élan avec un bon km bien pentu. En tête de paquet je contrôle sans trop de soucis et reste parfaitement placé pour la suite qui va être globalement descendante. C’est le 1er objectif du jour : rester à l’avant jusqu’au km22 pour éviter les chutes en roulant trop groupé (et c’est un bon plan puisqu’une chute collective se produira). Quelques-uns tentent d’attaquer mais seul un duo prendra un peu de champ : à plus de 50km/h ils ont de toutes façons peu de chance d’aller loin !
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Km22, c’est le début de la 1ere difficulté avec le col du Corbier (5,5 km à 7,2%) et mon 2nd objectif ; absolument basculer avec les meilleurs ! ça part très fort (5,5 - 6 w/kg) et j’ai plutôt de bonnes sensations alors j’en profite pour rester devant ; on revient sur le duo et l’allure baisse à peine tandis que je commence à ressentir les efforts à mi-pente. Je recule légèrement mais toujours au-delà des 5w/kg même dans les roues, je serre les dents sur la fin où je bascule dans les dernières positions d’un groupe encore très consistant (30-40 coureurs) malgré les 17’ d’efforts très soutenus. La descente qui suit est très engagée : avec déjà 10-15’’ de retard par rapport aux hommes de têtes en passant dans les derniers du groupe, le petit peloton s’étire, s’étire et fini pas casser ! Sur le bas on se retrouve à 7 et la configuration des lieux ne nous permet pas de voir la fin du groupe de tête qui d’après Strava avait à peine 30’’ d’avance : on roule bon train avec 2-3 gars motivés qui d’ordinaire nous aurait permis de rentrer mais sur cette route en faux plat descendant ça ne se relève pas du tout devant et comble de malchance une voiture nous bouchonne quelques peu dans une partie sinueuse. Après 50km la 2eme difficulté se présente et nous avons perdu du temps avec près d’une minute de retard pour l’aborder.
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Cette côte de Plan Fayet (3,5km à 6,8%) est plus courte que le Corbier mais sans savoir les écarts j’ai encore espoir d’un retour ; à 5,5w/kg on grimpe fort mais personne en vue (et pour cause on montera sensiblement à la même vitesse que les 1ers). Au sommet il y a la bifurcation avec le moyen parcours ; devant il vont se retrouver une vingtaine tandis que de mon côté on doit poursuivre à 5 seulement et là je comprends que ça va être compliqué : la descente sur Evian via Publier est magnifique puisqu’on a parfois l’impression de plonger dans le lac Léman et on rejoint les rives de celui-ci à Evian où la circulation nous freine considérablement nous désavantageant encore plus par rapport au groupe de tête qui doit avoir une moto pour ouvrir la route ! Je ne sais pas qui se trouve à l’avant (j’ai juste vu Alexandre Banegas et David De Vecchi ) et je ne connais pas mes 4 compagnons qui me semble très costaud !
En effet pour ces 45km pratiquement plat comme la main on va rouler quasiment aussi vite que le groupe de tête mais à quel prix ! En fait j’ai avec moi 2 suisses ; Vincent Wisard et Thomas Huwiler (vainqueur de la Thonon Cycling Race, j’étais arrivé avec lui pour la gagne !) ainsi qu’un américain Erik Levinsohn (qui va juste remporter la course d’ici quelques heures !) et je n’ai pas identifié le 4eme. En tous les cas on roule fort, Erik étant impressionnant, les 3 autres aussi, j’ai le sentiment d’être celui qui souffre le plus alors je m’arrange pour ne pas relayer derrière l’américain. On passe la frontière et nous dirigeons vers Aigle on l’on passe au Centre mondial du cyclisme qui accueille des stagiaires et les sportifs professionnels et abrite les bureaux de l'Union cycliste internationale (UCI) ! Ici ce tiens un ravito où je ne m’arrête pas et on se retrouve à 3 avec Vincent et Thomas pour finir cette partie de plaine jusqu’à Monthey. Peu avant, à la faveur de longues lignes droites, on a enfin aperçu le groupe de tête 1’20 / 1’30 devant nous : comme je le disais, on a fait jeu égal pendant plus d’1 heure de plaine et un second groupe plus conséquent ne nous a pas rattrapé !
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Après 111km avalés à 40,5 km/h de moyenne, nous voilà au pied des véritables difficultés avec tout d’abord la montée vers Troistorrents. Je mène notre trio avant le retour comme une balle d’Erik ! Il prend de suite les commandes et attaque. Un peu surpris je pense qu’on peu encore s’entraider à trois d’autant que je ne connais pas du tout le parcours ce dernier ayant été modifié en dernière minute. Je roule sur un bon 5w/kg sur le début et c’est fatal à Thomas qui décrochent rapidement, et c’est compliqué pour Vincent qui s’accroche mais cède mètres après mètres. Du coup j’ai toujours Erik devant qui ne creuse plus ou très peu mais je préfère conserver mon rythme et re-dommage car la suite est beaucoup plus facile avec du faux plat voir des petites descentes une fois passé Choex et pour arriver à Troistorrents. Par contre les choses sérieuses reprennent en s’engageant sur la route forestière menant au Pas de Morgins : J’ai perdu de vue l’American mais commence à reprendre des lâchés de l’avant alors que mon rythme faibli quelques peu : cela dit même sous les 5w/kg je fais aussi bien qu’Alex qui bataille devant sur cette route forestière : juste 10’’ d’écart sur ces 4,8km à 7.8% d’après strava ! La suite m’est par contre bien moins favorable ; la pente s’adouci nettement en même temps qu’un petit vent de face m’accueille à Morgins ; c’est là qu’on voit l’importance d’être en groupe. Mis à part ça la fin du Pas de Morgins se fait facilement et je profite de l’arrêt du chrono pour la descente sur Châtel pour me ravitailler un peu en compotes et coca. Je repars tranquille en direction de la station où je récupère un bidon de boisson électrolytes auprès de mes parents. Au bas de la descente le chrono reprend pour les 10kms du col de Bassachaux (avec les 6 derniers kms à 8%).
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Ne sachant rien de ma place mais me doutant bien qu’il n’y a plus grand-chose à espérer je manque vraiment de motivation pour monter fort et me faire mal, donc je conserve un petit tempo tout en dépassant bon nombre de concurrents du moyen parcours. De toute façon j’ai laissé énormément de force dans notre vaine poursuite, je ne risque donc pas de luter avec les plus costauds alors j’en profite pour admirer le paysage ! Le dernier km est plus facile et le panorama du sommet n’est pas mal avec une vue splendide sur le Lac de Montriond juste en contrebas ! Après quelques photos il est temps de redescendre pour prendre connaissance du classement : 14eme scratch et tout de même 3eme de la catégorie !
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Un mot pour résumer la course : frustration ! En effet il est rageant d’établir des records de puissance sur 3h10-3h30 juste pour espérer revenir dans le groupe de tête ! Je suis même tout près de mes records sur une large plage de 2h10 à 4h20 signe que la forme était là mais la course aurait été bien différente si j’avais pu être devant. En tous les cas je n’avais pas les capacités d’Erik Levinsohn qui malgré de gros efforts sur la partie plane à fait un finish à couper le souffle pour s’imposer en dépassant David (2eme) et Alex (3eme) dans les ultimes kms !
Classements
Sur le site de l’épreuve https://chatelchablaislemanrace.com/ ou directement sur ce lien
Strava
https://www.strava.com/activities/9505804563/
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reconnaitrans · 2 years
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Bonjour à toustes ! J'espère que les fêtes de fin d'années se sont bien passées pour celleux d'entre vous qui les fêtes et que cela n'a pas été trop dur à supporter pour les autres 💖.
Comme dit dans la précédente news, suite à des problèmes personnels j'ai accumulé du retard et je commence tout juste les envois cette semaine, et je voulais vous rassurer sur le fait que je ne vous ai pas oublié et que vous allez bien recevoir votre packs et tous vos goodies. Et justement j'en profite pour vous partager quelques photos "beyond the scene" pour vous donner une idée des quelques 900 envois et de leur mise en place : Sur la première photo vous avez mon bureau et mon salon pendant la mise en place des envois. Sur la deuxième sur la table il y a 384 exemplaires de ReconnaiTrans et de J'ai un'e ami'e Trans (sur 833), avec leur marques pages, carte postale, stickers, prêts à être emballés. Sur la troisième c'est le papier de calage qui va emballer chaque exemplaire avant d'être mis dans son carton (c'était un rouleau de 220M sur 1M, autant dire que ça à été fastidieux à découper :D ). Sur la quatrième ce sont les cartons à plier et assembler pour pouvoir les envoyer. Heureusement comme vous pouvez le voir sur la cinquième photo j'ai eu une aide précieuse pour une bonne partie de l'emballage des badges, lors d'un week end à nantes ! Sur la sixième et septième photo j'en ai profité aussi pour emballer des exemplaires des packs coeur (les plus nombreux). Une fois que tout sera emballé (900 et quelques colis), et que tous les noms et adresses seront marqués (plusieurs heures de travail en perspective), on mettra tout dans la voiture direction le centre de tri de Guérande ! :D - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Sur d'autres sujets : Je vais sans doute avoir de nouvelles dates de dédicaces à Nantes, Vannes, Lyon, et Paris dans les mois qui viennent. Je vous en dirais plus quand ce sera acté ^^
J'ai aussi continué à poster de nouveaux témoignages de ReconnaiTrans sur le tumblr du projet, mais aussi sur facebook et twitter. A terme (et surtout quand je trouverais le temps de le faire) tous les témoignages présent dans le livre papier seront disponible en libre accès sur ces plateformes.
Je prévois aussi de les rendre accessible pour les personnes malvoyantes en les décrivant oralement et en partageant ces enregistrements sur les réseaux sociaux. Mais ici aussi c'est encore une question de temps et d'énergie.
Et sur un tout autre registre : le livre jeunesse "Je m'appelle Julie" parlant d'une petite fille trans, édité chez On ne compte pas pour du beurre et sur lequel je travaille, devrais sortir en librairie ce printemps si tout va bien ! - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Je veux encore vous remercier de votre soutien et de votre immense patience face à ce qui à été pour moi un challenge assez ardu, et surtout une première ! Malgré les conseils d'un ami qui à l'habitude de faire des crowdfundings, j'ai sous estimé le facteur temps car je gère quasiment tout, tout seul. La pandémie n'a bien sûr pas aidé pour ce qui était de la production et des livraisons des goodies. Dans tous les cas j'ai beaucoup appris pour le jour ou j'aurais à refaire un Ulule ! Prenez soin de vous et des autres si vous pouvez, n'oubliez pas votre masque, les gestes barrières et de vous faire vacciner si vous pouvez 💛💛💛
A bientôt pour une autre news !
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clhook · 3 years
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Hello,
Je sais que tu n'es pas conseillère d'orientation mais j'aimerais te poser quelques questions quant à ton poste de médiathécaire, si ça ne te dérange pas. Je suis quasiment en fin d'études et j'ai réalisé un stage en édition qui ne m'a qu'à moitié convaincue et j'aimerais tenter quelque chose dans une bibliothèque (non universitaire) ou une médiathèque. Pourrais-tu me décrire les tâches quotidiennes que tu y effectues ? Les aspects positifs et négatifs de ce travail ?
Merci beaucoup si tu prends le temps de répondre à mes interrogations et une belle journée à toi !
Salut !
J'ai fait un résumé très grossier ci-dessous, n'hésite pas si tu veux d'autres précisions
Missions principales de toute l'équipe :
- Gestion d’une ou plusieurs collections (romans, documentaires, bd etc) : veille, commandes, traitement des documents, équipement, organisation du rayon
- Gestion des abonnements presse
- Animations comme heure du conte, accueil des écoles, conférence, projection, bricolage... : décision du programme, préparation en amont, préparation le jour-même, achat du matériel, accueil des gens etc
- Administratif : gestion du budget, des planning, des déclarations légales, statistiques, gestion des retards
- Commande de matériel (genre film pour couvrir)
- Communication : réseaux sociaux, articles dans la presse, newsletter, site internet
- Hors les murs : intervention dans d'autres structures comme les maisons de retraite
- Ouverture au public : prêt, retour, rangement, conseil. Préparation de sélections de documents pour les drive et les portages.
- Fonds patrimonial : traitement des documents, mise en valeur
- Bibliothèque départementale : formation, groupes de travail, prêt entre bibliothèques, échange de documents
Difficultés : les usagers relous, le manque de moyens, le manque de personnel
Avantages : les usagers gentils, le côté créatif et libre, je peux emprunter autant de livres que je veux en même temps
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