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#s'embrassaient
vhscorp · 1 year
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Nous ne faisions que discuter bien sagement, mais pendant ce temps-là, au-dessus de nos têtes, nos âmes s'embrassaient déjà…
V. H. SCORP
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onlylivingforwords · 7 months
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le lever du jour chassera le noir
qui reviendra pourtant
qui revient sans cesse
quand le soleil chasse la nuit
les ombres sont un refuge
pour des secrets
souviens-toi
de notre Méditerranée
des bougainvilliers
des agapanthes et du jasmin
des bleus parfaits
là où ciel et mer s'embrassaient
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04 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
- ÉCRASÉ SOUS LES PIEDS DES GÉANTS -
PARTIE PAR tidodore2
"Alors pédé, qu'est ce que tu décide ??? On t'abandonne attaché ici en plein désert, ou tu accepte ta place et tu deviens notre esclave "paillasson " nettoyeur de pieds ? Ouiii, voilà, je m'en doutais ! Bon choix toutou ! Fini de nettoyer nos pieds en les lechant et on te ramène à la maison pour ta nouvelle vie !"
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PARTIE PAR submissivegayfrenchboy
Dans un monde où les géants et les minuscules humains vivent en harmonie, être un pédé c'est être une proie. Le petit Madison était en adoration devant les très grands mâles mais il risquait souvent d'être écrasé par eux. Impressionné par la taille de leurs pieds qui faisaient le double de son corps, il se promenait dans des parcs pour échapper à la monotonie de la vie.
Du moins jusqu'à ce que deux géants frères blancs sublimes et musclés menacent de l'écraser.
Ayant refusé de lécheurs leurs immenses pieds, Madison fut obligé de les laisser l'attacher à un arbre, n'ayant pas assez de force pour résister.
Il avait accepté de lécher leurs immenses pieds, et les deux frères avaient tellement aimé le contact de la langue de Madison sur leurs semelles qu'ils l'avaient pris avec eux.
Or ils habitaient loin de chez Madison : il fallait traverser un désert. Ayant réussi à sauter de la voiture, il fut rattrapé et ensablé.
Les deux géants étaient impressionnants et très apeurants comparés au minuscule pédé qui mesurait moins de la moitié des larges pieds des frères géants. Ces derniers se mirent à s'embrasser sur la bouche avec la langue ! Ils étaient certes des homos et amoureux l'un de l'autre, mais ils étaient de toute façon des géants dominants et étaient donc supérieur en tout au pédé minuscule coincé dans le sable.
En larmes, le minuscule Madison implora la pitié du couple gay incestueux et se mit à lécher leurs semelles sous leurs rires cruels. Les deux beaux hommes blonds musclés trouvaient agréables de sentir une minuscule langue sous leurs pieds.
Finalement, ils ont retirés le minuscule pédé du sable et l'ont gardé comme lécheur de pieds. Jamais Madison ne fut retrouvé par ses proches, car il passa le reste de sa vie à lécher les immenses pieds de ses maîtres. Assis confortablement dans leur gigantesque canapé, les deux frères s'embrassaient en obligeant leur minuscule esclave lécher leurs pieds posés sur un reposepieds.
La majorité du temps, Madison vivait dans la chaussure de l'un des frères. Pendant que les frères géants dormaient amoureusement dans les bras musclés l'un de l'autre, leur minuscule lécheur de pieds dormait dans l'une de leurs chaussettes sales.
La vie de Madison ne serait plus réduite qu'aux pieds immenses d'un couple gay de frères géants.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇺🇲🇬🇧 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
- CRUSHED UNDER GIANTS'S FEET -
PART BY tidodore2
"So fag, what do you decide??? We leave you attached here in the middle of the desert, or you accept your place and you become our foot-cleaning slave "doormat"? Yeah, there you go, I suspected it Good choice doggie! Finished cleaning our feet by licking them and we'll take you home for your new life!"
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PART BY submissivegayfrenchboy
In a world where giants and tiny humans live in harmony, to be a faggot is to be prey. Little Madison was in adoration in front of the very big males but he often risked being crushed by them. Impressed by the size of their feet which were twice his body, he walked in parks to escape the monotony of life.
At least until two sublime and muscular white brother giants threaten to crush him.
Having refused to lick their huge feet, Madison was forced to let them tie him to a tree, not having enough strength to resist. He had agreed to lick their huge feet, and the two brothers had enjoyed the feel of Madison's tongue on their soles so much that they had taken him with them.
But they lived far from Madison: they had to cross a desert. Having managed to jump out of the car, he was caught and stuck in the sand.
The two giants were impressive and very scary compared to the tiny faggot who was less than half the giant brothers' wide feet. The latter began to kiss each other on the mouth with their tongues! They were certainly gay and in love with each other, but they were dominant giants anyway and were therefore superior in everything to the tiny queer stuck in the sand.
In tears, tiny Madison begged for mercy from the incestuous gay couple and proceeded to lick their soles as they laughed cruelly. The two handsome, muscular blond men found it pleasant to feel a tiny tongue under their feet.
Eventually they pulled the tiny faggot out of the sand and kept him as a toe sucker.
Madison was never found by his relatives, because he spent the rest of his life licking the huge feet of his masters.
Seated comfortably in their gigantic sofa, the two brothers kissed each other while forcing their tiny slave to lick their feet resting on a footstool. The majority of the time, Madison lived in the shoe of one of the brothers.
While the giant brothers slept lovingly in each other's muscular arms, their tiny toelicker slept in one of their dirty socks. Madison's life would be reduced only to the huge feet of a gay couple of giant brothers.
END OF THE STORY
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@tinygiant @giantxxx2 @giant-tiny-people @gianttinyboys @giantworshipper @macrophiliagayfr @inanimatetffantasies @innerpiratefun @lovefanfiction01 @gayhopefullove @awesomecrowdcontrol1 @leftprogrammingroadtripdean @torinya @feet2eat @soumispourdomi @rainykpoptravelcreator @bat-woodfeet-us @socklickersworld @jockfootstories
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Tactique du diable
(Lettres d'un vétéran de la tentation à un novice…)
W - Et comment as-tu fait pour amener autant d'âmes en enfer à l'époque?
S - Grâce à la peur.
W- Oh, oui. Excellente stratégie: vieille et toujours actuelle. Mais de quoi avaient-ils peur? Peur de la guerre? Peur de la faim?
S- Non. Peur de tomber malade.
W- Mais personne d'autre ne tombait malade à l'époque?
S- Si, ils tombaient malades.
W- Personne d'autre ne mourait?
S- Si, ils mouraient.
W-Mais il n'y avait pas de remède à la maladie?
S-Il y en avait.
W-Alors je ne comprends pas.
S-Comme personne d'autre ne croyait ou n'enseignait sur la vie éternelle et la mort, ils pensaient qu'ils n'avaient que cette vie. Et ils s'y accrochaient de toutes leurs forces, même si cela leur coûtait leurs affections (ils ne s'embrassaient plus, ne se saluaient plus, ils n'ont eu aucun contact humain pendant des jours et des jours!).
Leur argent (ils ont perdu leur emploi, dépensé toutes leurs économies, et pensaient encore avoir de la chance parce qu'ils n'avaient pas à gagner leur pain!)
Et leur intelligence (un jour, la presse disait une chose et le lendemain elle se contredisait, pourtant ils croyaient à tout!). Leur liberté (ils ne sortaient pas de chez eux, ne marchaient pas, ne rendaient pas visite à leurs proches... C'était un grand camp de concentration pour prisonniers volontaires! Ahahahahah!). Ils ont tout accepté, tout, tant qu'ils pouvaient prolonger leur misérable vie un jour de plus.
C.S. Lewis (1942)
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espresso-notes · 7 months
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20 août. 2023
Je me souviens d'un homme et d'une femme qui s'embrassaient doucement sur un quai de la Gare de l'Est et de leurs deux ombres enlacées, portées sur le train qui dans quelques minutes allait les séparer.
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nouvellesdedominique · 9 months
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Cendrillon
Il faisait nuit. Le ciel était brodé d'étoiles. Il faisait doux. Un vent soufflait dans le cyprès. Juste avant de rentrer dans la maison, elle se planta sur la mosaïque entre les deux bassins à poissons rouges. Les lilas et les roses embaumaient et ondulaient. Tout était silencieux dans le jardin et dans le quartier. Elle respirait lentement et essayait de reprendre ses esprits. Elle avait pris le bus pour se rendre à un bal où elle retrouva une amie. La musique abrutissait les lieux d'une chape sonore. La chaleur des lumières et le manque d'aération faisaient presque suffoquer. Elles dansèrent ensemble, rirent avec excès, s'amusèrent avec insouciance et insolence. Après une heure endiablée, elle approcha de la buvette, paya une verre de jus d'orange et sortit pour prendre l'air. D'autres jeunes gens prenaient le frais et se reposaient. Dans l'ombre des recoins, il y avait des couples qui se paluchaient et s'embrassaient. Un jeune homme la percuta de l'épaule, s'excusa de l'avoir bousculée et offrit de remplacer le verre qui s'était déversé par terre. Elle lui sourit et accepta. Il bégayait légèrement. Après avoir vidé leur verre, ils rentrèrent pour danser de plus belle.
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beatlesonline-blog · 2 years
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lesideesmoites · 3 years
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2014 - Manifeste adolescent.
Tous prenaient sens à être ensemble.
Se coulaient de belles paroles. S'aimaient à demi-verre, s'embrassaient à verre vide.
Sourires calmes et pleins au petit jour.
Éclats de verre sur un sol collant de cuisine, et de rires juste au-dessus.
Si les petites filles pleuraient, celles qui se sentaient grandir parlaient trop fort en agitant leurs cheveux. Les femmes doivent si bien savoir le faire, bouger leurs boucles (et capillaires, et de ceinture).
S'écouter était devenu trop simple, maintenant on se devinait en se devançant.
Coulez, tonneaux ! Et que la mer vienne nous prendre.
Nous, nous sommes déjà un radeau. On trouvera les voiles, larguez les amarres.
On croque le gâteau sec, et le ver qui est dedans.
Les joues rayées, les pulls rougis, on se titube à cœur ouvert
et en plein jour on sait s'aimer
à cœur perdu.
Les silences ont pris leur sens, ils l'ont trouvé le long des rives.
Nos souffles -hisse- et nos frissons -ého- parcourent l'échine des chevaux faibles et embrigadent les fourmis.
On chantera tous les étés, on dansera tous les présents.
Aussi tristes que des clowns bien maquillés, aussi sereins que les capitaines.
Voyez la robe de la belle Margot, elle a enchanté le cœur de tous nos hommes
- ils en reviennent fiers de tant de prouesses.
Ce qui est simple se déguste, ce qui est dingue s'extasie, et ce qui tombe va dans la sienne.
Assiette creuse et bien remplie, on sait jouer l'air de la nuit, les balançoires savent se taire à l'approche d'une telle armée.
Furie ! Tourbillon !
Dieu, qu'ils sont beaux ces petits frères.
Donner du sens à l'Être Ensemble.
Donner du goût à nos langues cendrées.
Se mordre les joues en présence des tiennes, tout ça c'est devenu la norme.
Norme des prés où l'on va se rouler, norme des flots où l'on peut que voguer, norme des rues qui toutes nous appartiennent.
Au clair de la lune on les entend chanter, tous ces petits êtres qui se sont trouvés
Mieux que des loups pire que des hommes, ils suivent le pavé comme une foule en liesse
Savent se taire pour mieux rigoler, et pleurer fort sur la bonne épaule.
Vide ta fiole et avale tout, pas de temps à perdre ici mon ami – car tout se gagne là.
La lune ronde sait nous attendre
et bien souvent nous accueillir
Nous sommes aussi chauves que des barbus
aussi silencieux que des amants – on débarque !
Grands.
Joie dans les estomacs, chansons dans les poitrines, les sexes s'enivrent d'une menteuse chasteté.
On croirait renaître à chaque regard.
De la confiance dans leurs pupilles, de beaux secrets, de terribles mensonges sous les dents – qu'on les arrache, nous ne dirons rien.
Solidarité ! Et à soi-même tout autant !
Les hommes rougissent et les femmes se grattent le cul
ici ni haut ni bas
juste l'éphémère infini qui nous enserre les côtes à nous faire tourner.
Encore une fois des fenêtres se ferment à leur passage, des plaintes tombent et « la maréchaussée vaincra ! »
Seulement tous oublient quelle est l'ampleur du phénomène : ce n'est pas humain.
Nous sommes ontologiques, essentiels, terribles et immortels.
Nous scellons ce qui n'a de cesse de se sceller.
Nous pactisons avec ce qui a été fait et ce qui adviendra – indubitablement :
la jeunesse, la joie.
Toujours le torrent trouve la faille.
Nous sommes élémentaires, nous créons le socle.
Amis, nous buvons le feu, respirons l'eau, creusons l'air – et c'est nous qui brûlons au centre de la Terre, ce qui fait qu'elle tourne.
Jules Verne est venu jusqu’à nous, ne nous lassons pas de nous laisser écrire.
Nous appartenons à ce temps parce que nous appartenons à ce qui vit et se déploie.
Tous prenaient sens à être ensemble, mais ils étaient seuls à l'avoir compris.
Prêchons, mes bons amis !
La bonne parole est dans le martini, mais surtout aux lèvres de ceux qui passent la bouteille.
Tant qu'ils tiendront debout, les braves seront l'âme, il n'est pas besoin de mourir pour la laisser s'élever.
Si nous avons l'air d'errer nous ne faisons qu'aimer :
tous, Hommes, nous prendront sens, Femmes, à être ensemble.
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dansmaconstellation · 3 years
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Journal de Bord n°3
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                                                       L’amitié    On n’a pas tous la même conception de l'amitié, On ne la vit pas de la même manière avec la même intensité et réciprocité....  Pourtant jusqu'a preuve du contraire l'amitié il faut que ça soit réciproque car on ne peut pas être ami tout seul... ?   Enfaite le problème vient de la.... Pour moi l'amitié c'est l'entraide, la fiabilité, la confiance en l'autre, de la bienveillance, quelqu'un qui est la quand on a un coup dur ou quand on doit prendre une décision importante. C'est pouvoir s'engueuler, et se dire les choses sans avoir peur que l'autre prenne la fuite. Je ne sais pas si un/une vrai(e) ami(e) pourrais et voudrais couper le lien à cause d'un désaccord d'une engueulade... Des désaccords et des engueulades on en a, on en a eu et on en aura... Cela à fait 5 ans que je suis parti à l'étranger, je suis revenu de manière définitive il y a 3 mois. Mais, après 5 ans d'absence, les relations amicales que j'avais avec les autres, sont-elles toujours présentes ? Tous mes amis sans exceptions, on une maison une femme et des enfants ce qui fait de moi le dernier célibataire de la bande. Nous n'avons plus les mêmes sujets de conversation, les même inquiétudes, les même besoins… Mais du coup étant donné que nos amitiés ce sont forgées sur nos points communs et la capacité de nous comprendre, somme nous toujours ami ?  Anne Vincent Buffault (Historiennes des sensibilités), explique ceci dans un de ces livres qui traite de l'histoire de l'amitié : Les nobles du 18ᵉ siècle n'avais pas peur d'exprimer leurs sentiments d'amitiés, c'était même choses courante à l'époque, ils envoyaient des lettres d'amitiés avec de belle déclaration, comme on le ferait avec des lettres d'amour.... J'ai remarqué que ce n'est plus le cas aujourd'hui, nous somme devenue peureux de nos sentiments, du regard des autres, de ce que les gens vont penser de nous si nous nous ouvrons. L'amitié serait t'elle un signe de faiblesse ? Elle explique aussi que les chevaliers du Moyen Âge, eux, s'embrassais sur la bouche avant la guerre pour symboliser leur amitié, c'était une façon de prouver qu'ils étaient prêt à donner leur vie pour sauver celle de leurs amis sur les champs de bataille... Bon je vous rassure ; En 2021 et en pleine période COVID... je ne vais pas aller embrasser à pleine bouche mes amis pour dissiper le floue, mais ce le lien que l'on retrouve du Moyen Âge a nos jours c'est la notion d'entre aide. L'amitié c'est donc s'entre aider, mais dans quel mesure ?  Alors oui....Jje suis légèrement obsessionnel, je me pause beaucoup de question. L'amitié n'as pas de cadre pas d'étapes délimitée et ça me perturbe, C'est pour ça qu’encore aujourd'hui il m'arrive de demander a des gens que je connais depuis des années si l'on est ami... La question surprend, étonne, et les personnes la trouvent même étrange... Le plus dur pour moi est d'accepter ce floue qui existe autour de l'amitié, quand une relation est forte, quel soit amoureuse ou amical on est sûr de rien, elle peut s'arrêter, c'est peut-être ça que je dois accepter.
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zelihatrifles · 3 years
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Mon cher ami, je t'ai dit que je veux pas savoir ce qui leur est arrivé. Que je ne veux que croire toujours en la magie de leur amour. Que je ne veux que me perdre tout à fait dans leurs intimes.
Pour moi, leur histoire, c'était finie au moment exacte où Elio, au face de son foyer, se souvenait de l'autre Elio. Après cela, ce n'est plus une histoire, c'est la réalité.
Son père, le meilleur papa qu'on puisse avoir, lui a dit qu'on est donné cette vie une seule fois. Je croyais que cette fois est déjà passée, quand les deux beaux gens s'embrassaient pour la dernière fois...
Ce que je rêvais c'était d'achever un jour leur intimité, d'être telle honnête, telle pure dans l'amour. Peux quelquechose tellement parfaite exister pour toujours...?
Beaucoup d'ans passent. Cela devient évident qu'on a jamais oublié les sentiments du cœur, les touchements du corps. On se parlait, on se rêvait tout le temps, dans l'esprit. Il y avait des autres - mais ceux qui seulement renforcaient le sens d'incomplétude. Parce que c'était lui, parce c'était moi.
"The world hadn't changed. Yet nothing would be the same."
Autant d'ans que les instants passés par l'amant en attendant l'autre ce minuit-là. Mais ce minuit est pas déstiné d'être tout entre les deux. L'avenir est encore ouverte.
On s'est trouvé. Trouve moi aussi, mon cher ami, je t'attends avec toute patience pour fermer les yeux.
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vhscorp · 3 years
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Nous venions de nous rencontrer et ne faisions que discuter, mais déjà, au-dessus de nos têtes, nos âmes s'embrassaient...
V. H. SCORP
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wawalu · 3 years
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Jane Birkin. ‘Ta sentinelle’. Enlacés Ces amants dans le parc, je les observais Alors qu'ils s'embrassaient chuchotant des secrets Leurs caresses furtives, en moi ravivent des plaies Alors que je gueulais, là dans dans ma tête Si vous saviez comme je vous envie Alors que je gueulais, là dans dans ma tête Comme je vous envie Tous ces amants me rendent malade J'suis devenue n'importe qui Pour toi, n'importe qui Donne moi un baiser comme dans le temps Et je ne t'emmerderai plus Promis, j't'emmerderai plus J'ai rêvé des journées d'enlacements comme au premier soir Des mouvements secrets pressés, des au revoir Des ouvertures de porte, ton odeur, ton pull rouge J'n'avais pas le temps d'enlever mon manteau Fallait que j'dorme à tes côtés Sinon t'étais pas calme  J'étais ta sentinelle désarmée Tous ces amants, je les maudis J'suis devenue n'importe qui Pour toi, n'importe qui On baise en silence, ouais, on en est là J'suis devenue n'importe qui Vraiment n'importe qui Juste un baiser comme dans le temps Et je ne t'emmerderai plus Promis, j't'emmerderai plus Juste un baiser comme dans le temps Et j't'emmerderai plus
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les-portes-du-sud · 4 years
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“Elle s'astreignit à se souvenir du froid glacial et du silence qui régnait, de cette sensation sans prix d'être les maîtres de la Terre, d'avoir vingt ans et toute la vie devant soit, de s'aimer en paix, grisés par l'odeur des bois et de l'amour, sans passé, sans avenir à sonder, avec pour seule et extraordinaire richesse celle de l'instant présent où ils se contemplaient, se humaient, s'embrassaient, se découvraient l'un l'autre dans le murmure du vent parmi les branches et la proche rumeur des vagues déferlant contre les rochers au pied des falaises puis explosant dans un tonnerre d'écume odorante, elle et lui enlacés sous un même poncho comme deux siamois dans la même peau, riant et se jurant que ce serait pour toujours, convaincus d'être les seuls dans tout l'univers à avoir découvert l'amour.”
 Isabel Allende
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frenchdrarry · 5 years
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Leur baiser était plus magique et fougueux qu'un je t'aime. Ils s'embrassaient à en faire rougir les statues et à en faire pleurer les romantiques. Le monde se résumait au contact de leur peau, et c'était beau.
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libidodesmots-blog · 5 years
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Les souvenirs peuvent s'enfuir,
Ne devenir alors que l'oubli,
Où un temps perdu, un temps à mourir,
Annonçant, ardu, que l'histoire est fini.
~
Tout peux s'oublier, alors ne me quittes pas,
N'oublie pas nos coeurs liés qui s'embrassaient,
Jaillissant dans nos bras.
Pour remplacer ou changer le passé.
~
Si il le faut je t'offrirais des coffres de bijoux,
Des étoffes d'amour, le sanguin de mes lèvres.
J'abjurerais tout les mauvais sorts, les courroux.
Je confisquerais les arbres de leur sève.
~
Je te ferais don de ces soleils qui ne s'épuisent jamais,
D'un feu éternel, flamboyant dans la forêt.
Je t'inventerai des qualités même incensées,
Je te vanterais par une éloge romancée.
~
J'assassinerais tout tes malheurs,
J'essayerais de garder la chaleur,
De ta braise, couverte de mes frêles mains.
Pour qu'elle devienne brasier au lendemain.
~
Mais pour cela ne m'abandonne pas.
Aime-moi, j'ai besoin de toi.
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go-poirier · 5 years
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J'ai mis du vent J'ai mis du vent sous mon chapeau J'ai mis du tango sur ma peau J'ai mis du son J'ai mis du silence et de l'eau J'ai mis du sens à tous les mots Tu vois Ça fait longtemps que j'me déguise Là-bas J'ai laissé tomber mes valises Y avait des cerfs-volants Qui flottaient sur la mer Au sud de Montevideo Quelques milliers d'amants Qui s'embrassaient par terre Et j'ai failli tomber de haut J'ai mis du temps Pour oublier que j't'aimais trop J'ai mis du temps à t'faire la peau J'ai mis du vent J'ai mis du vent sur ma moto J'ai mis du vertige et de l'eau Tu vois Ça fait longtemps que j'me fais peur Des fois J'me dis qu'j'vais m'enfuir avant l'heure Y avait des cerfs-volants Qui flottaient sur la mer Au sud de Montevideo Quelques milliers d'amants Qui s'embrassaient par terre Et j'ai failli tomber de haut Y avait des cormorans Qui fixaient les falaises Au sud de Montevideo Quelques milliers d'enfants Qui chassaient les sirènes J'ai dérivé jusqu'à Rio
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