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#Le bête humaine
filmnoirfoundation · 4 months
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NOIR CITY 21 Day 3
NOIR CITY returns to Oakland's Grand Lake Theatre with a double feature of THE HUMAN BEAST / LA BÊTE HUMAINE and HUMAN DESIRE both based on Émile Zola's novel. Full festival schedule, tickets and Passports (All-Access Passes) available at NoirCity.com
Sunday • January 21, 2024  DOUBLE FEATURE
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THE HUMAN BEAST / LA BÊTE HUMAINE
1:30, 5:30, 9:30 PM
In the 1930s, Jean Gabin brought a gallery of doomed anti-heroes to life with a blend of poetic fatalism and blunt proletarian defiance, becoming the first global icon of the noir spirit. He personally selected Jean Renoir, after their collaboration on the classic La Grande Illusion (1937), to direct La bête humaine, adapted from a novel by Émile Zola. Untrammeled by Hollywood censorship, they stayed true to Zola’s disturbing conception of Gabin’s character: a decent working-class man whose “hereditary flaw” causes violent psychotic episodes, mostly aimed at women. When he falls in love with the wife of a railway official (Simone Simon), herself damaged by a history of abuse and exploitation, they are on track for inevitable tragedy. Renoir gives the film a gritty, neorealist flavor (Gabin, a train enthusiast, learned to drive a locomotive for his role) and instills the bleak story with unsentimental empathy.
In French with English subtitles
FRANCE (1938) Dir. Jean Renoir. 100 min.
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HUMAN DESIRE
3:30, 7:30 PM
Following the popular success of 1953's The Big Heat, Columbia Pictures reteamed Glenn Ford and Gloria Grahame with director Fritz Lang for this Americanized adaptation of Le bête humaine, smuggling the sordid tale of adultery and murder past the censors. Gloria Grahame gives a bruised and beleaguered performance as the abused woman who wonders if murdering her loutish husband (Broderick Crawford) is the only way out of her domestic hell. DP Burnett Guffey adds noir panache to Lang's cruel and suffocating depiction of the eternal noir triangle.
UNITED STATES (1954) Dir. by Fritz Lang. 91 min.
TICKETS FOR SUNDAY MATINÉE DOUBLE FEATURE STARTING AT 1:30 PM
TICKETS FOR SUNDAY MATINÉE DOUBLE FEATURE STARTING AT 3:30 PM
TICKETS FOR SUNDAY evening DOUBLE FEATURE STARTING AT 5:30 PM
TICKETS FOR SUNDAY evening DOUBLE FEATURE STARTING AT 7:30 PM
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gringolet · 1 year
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rating whether polyamory would solve famous love triangle plots
Arthur/Guinevere/Lancelot (Arthuriana): no because Mordred and Agravaine would not be let in on the mutual consent and would still try to catch Guinevere cheating
Tristan/Iseult/Mark (Tristania): absolutely not because Mark is Tristan’s uncle
Tristan/Iseult/Palomides (Tristania): absolutely yes because between Palomides and Iseult all of Tristan’s most unhelpful impulses would be balanced out
Peeta/Katniss/Gale (Hunger Games): polyamory alone cannot defeat an authoritarian dystopia
Cyrano/Roxanne/Christian (Cyrano de Bergerac): solves every problem in the first 3 acts, solves no problems in the 4th
Wesley/Buttercup/Humperdink (The Princess Bride): while Wesley would be happy living as buttercups side piece, the problem is no amount of mutual consent will fulfill prince humperdinks emotional need to be at war. so no
Orsino/Viola/Olivia (Twelfth Night): most of it yes as long as Sebastian fucks that pirate
Heathcliff/Catherine/Edgar (Wuthering Heights): Technically yes but they all have so many emotional issues that new problems would immediately arise and Catherine would still die of being stressed out by the whole thing
Mark Antony/Cleopatra/Caesar (Antony and Cleopatra): well vibes-wise they were probably all fucking in real life and clearly polyamory alone did not save the Roman Republic
Menelaos/Helen/Paris (The Iliad etc): polyamory alone CAN stop the Trojan war as long as the Greeks know Menelaos tops
Florence/The Russian/Svetlana (Chess): polyamory alone cannot stop the Cold War
The Dutchman/Sente/Erik (The Flying Dutchman): solves every interpersonal problem but would actively damn the Dutchman to wander the seas forever
Mathilde/Julien/Mme de Renal (The Red and the Black): a rare case where polyamory would make everything WORSE! Fucking two people at the same time would make poor asexual Julien even more miserable and more people would die. Mme de Renal’s guilt would be even more destructive. Mathilde would suicide bait everyone else involved.
Raoul/Christine/Erik (Phantom of the Opera): probably not but i want to say yes because its such a funny concept
Jacques/Severine/Roubaud (La Bête Humaine): no! Jacques would just sexually commit TWO murders
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pommunist · 22 days
Note
Chère Pommunist,
Merci pour ta patience, ta nuance et ta gentillesse à toutes épreuves. J'espère que tu prends soin de toi car même si les gens ne t'envoient pas de haine, ce type de situation peut devenir rapidement épuisant.
Je tiens à t'informer que dans un climat grandissant de mauvaise fois assumée et d'une incapacité à lire inquiétante du beau site qu'est tumblr – où il est toujours de bon goût de poster "si j'ai bien compris, le syndicat veut que Q MEURT 😨" plutôt que de relire les phrases lentement et avec le doigt qui suit la ligne – je résiste à l'envie terrible de laisser un message passif agressif d'explications en anon en ton honneur.
En effet, alors que je tapais un long message sarcastique et un peu méchant dans mes notes pour l'effacer ensuite comme j'en ai maintenant l'habitude (ça permet d'extérioriser...), m'est venue l'idée saugrenue que peut-être, sans doute, ça ne ferait pas trop de mal de poster ce message dans les asks d'une personne particulièrement obtuse... et je me suis dit que Pommunist, rayon de soleil de tumblr, symbole de patience à toute épreuve et de gentillesse sans faille dans l'adversité, n'approuverait pas. On a tous des moments de faiblesse je suppose, mais je suis contente de ne pas avoir suivi le mien, et c'est grâce à toi que ça a été possible.
(Je continue d'être aigrie cela dit. Mais aigrie selon les principes pommunistiens de respect et de tolérance.)
Bref continue comme ça, t'es incroyable, j'en deviendrait presque parasociale (/j)
(Mais entre nous........ parfois ce message ultra sarcastique dans les notes du téléphone démange les doigts........ je sais pas comment tu fais pour garder ton calme tout le temps mais j'admire........ Mais plus sérieusement, continue d'être quelqu'un de super (autant que possible, tu reste humaine !!), parce que je trouve ça vraiment cool que ta gentillesse m'ait inspirée moi et peut-être d'autres à ne pas écouter la petite voix dans la tête qui donne envie d'être méchant parfois. Dans une situation déjà tendue ça n'aiderait à rien mais parfois j'ai envie de m'énerver quand même. Bref, long message mais voilà, je t'envoie beaucoup de force et d'amour, prends soin de toi !!)
Franchement j’ai fait la paix avec le fait que certaines personnes ne savent juste pas lire quand j’ai vu un tweet qui répondait à la trad qu’on a fait de l’interview de léa en demandant quand s’etait passée l’interview (c’est literallement dans la première phrase du doc, tout en haut, écrite en gras 🫡). Et je pense que y’a beaucoup de gens qui sont tellement attachés à Q ou au serveur qu’ils vont inconsciemment chercher la moindre petite bête dans les discours d’en face pour les discréditer et se dire que tout va bien se passer, force à eux mdrrrr
Et vraiment c’est pas l’envie qui me manque des fois de passer en mode full français vnr full gilet jauné ambiance bien on brûle des poubelles dans la rue mais bon déjà qu’on galère à faire passer le message si on garde pas calme ça serait encore pire mdr
Mon astuce c’est juste de ronchonner en parlant à mes chats pour rester zen (ils captent rien ils doivent penser que je leur exprime mon amour et good for them franchement)
En tous cas trop doux ton message, merci beaucoup et plein d’amour en retour !!! Par contre, attends, t’as dit parasoQUOI ?????
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/jjjjj
Je rigole dsl ça fait trop longtemps que j’avais cette image sans pouvoir l’utiliser car j’ai le malheur d’avoir la chance de pas recevoir de haine en anon 😔✊✊
Et on oublie pas que les valeurs pommunistiennes sont certes le respect et la tolérance mais aussi les droits des travailleurs, la grève, la RÉVOLUTION DRAAAAA (now playing l’internationale)
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freddieraimbow74 · 9 days
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De Bohemian Rhapsody à Live Aid : Plongez dans le monde énigmatique de la personnalité de scène de Freddie Mercury et son impact profond sur des millions de fans.
Freddie Mercury était l'un des plus grands showmen de l'histoire du rock. En tant que chef de file de Queen, il a commandé la scène avec une énergie et une présence captivantes. Mais la personnalité de scène de Mercury était plus que de simples costumes et théâtraux flashy – c'était une combinaison puissante de facteurs qui lui ont permis de nouer des liens profonds et universels avec des audiences du monde entier. À travers son style flamboyant, sa présence sur scène, sa capacité à transmettre des émotions à travers la musique, le défi des stéréotypes et sa vulnérabilité authentique, Mercure a transcendé les barrières linguistiques et culturelles pour résonner profondément avec des millions de fans divers. Ses performances intemporelles et sa musique ont permis à son héritage de vivre avec les nouvelles générations.
Flamboyant et théâtral
Mercure a adopté la théâtralité d'une manière qui enfreint les conventions des personnalités typiques de rockstar. Il n'a jamais eu peur de repousser les limites avec des costumes et du maquillage audacieux et flamboyant. Que ce soit en portant un simple débardeur et un jean chez Live Aid ou une tenue extravagante comme son fameux unitard blanc et sa couronne, Mercury a apporté un spectacle visuel frappant à chaque performance. Ce flair théâtrale a ajouté un élément de surprise, d'excitation et d'amusement qui a maintenu l'engagement du public.
Ses costumes lui ont permis d'habiter différents personnages et personnages sur scène. Pour des chansons comme « Bohemian Rhapsody », il pourrait devenir le chanteur d'opéra tragique. Des ballades comme « L'amour de ma vie » l'ont vu se transformer en crooner romantique. Des hymnes à haute énergie comme « We Will Rock You » ont fait ressortir son alter-ego rockstar. À travers ces transformations visuelles, Mercure a donné vie à chaque chanson de manière vive.
Son style flamboyant s'est séparé des normes plus masculines généralement associées à la musique rock à l'époque. En embrassant son individualité sans s'apologer, Mercure a défié les conventions et a inspiré les autres à faire de même. Son expression audacieuse a résonné profondément chez ceux qui se sentaient comme des étrangers dans la société.
Présence de la scène de commande
Au-delà des costumes, Mercury possédait la scène grâce à sa physique dynamique et à ses prouesses vocales. Il rôdait sur scène avec grâce et puissance féline, en gyrant ses hanches, en tombant à genoux et en jetant tout son corps dans chaque performance. À travers des pas de danse complexes, des sauts flashy entre les camarades et des poses climatiques, il a attiré l'attention totale.
Mercure a également été intimement connecté avec le public par le contact visuel, les expressions faciales et les gestes animés qui ont donné vie aux chansons de manière vive. Il n'avait pas peur d'être bête, joueur ou même outrageant parfois pour garder son énergie haute. Que ce soit en chantant pour un fan ou en menant tout un stade d'armes, sa présence charismatique a attiré les gens.
Vocalement, Mercury possédait une gamme de quatre octaves qui lui permettaient de s'attaquer à tous les styles, de l'opéra au rock en passant par Il a mis tout son être dans des performances émotives et nuancées qui ont laissé le public en admiration. Grâce à sa voix et à sa physique puissantes, Mercury a transformé la musique en un véritable spectacle. Le public a été captivé par son énergie scénique et son talent de spectacle.
Connexion universelle à travers la musique
Bien que des barrières linguistiques existent, le langage universel de la musique permet aux connexions émotionnelles de les transcend Les chansons de Queen ont résonné auprès du public mondial à travers leurs mélodies hémiques, leurs paroles explorant des thèmes humains universels et la livraison passionnée de Mercury. Des chansons comme « Bohemian Rhapsody », « We Are the Champions », « Don’t Stop Me Now » et « We Will Rock You » sont devenues des classiques modernes adorés à travers les cultures.
Mercury a amplifié l'impact émotionnel de la musique de Queen à travers ses performances animées. Il a versé tout de lui-même – joie, chagrin, rébellion, passion – dans chaque note. Le public a ressenti ce qu'il ressentait. Cette expression émotionnelle authentique est ce qui a permis à Mercure de nouer des liens personnels profonds avec ses fans malgré toute fracture linguistique. partout, les gens pourraient comprendre les sentiments exprimés par la musique de Queen et la livraison de Mercury.
Briser les stéréotypes
Dans son style flamboyant et son rejet des normes masculines du rockstar, Mercure a remis en question les attentes de la société en matière de sexe et de sexualité. En étant lui-même sur scène, il a inspiré d'innombrables fans qui se sentaient comme des étrangers à embrasser leur vrai moi-même. Son message d'individualité a résonné fortement, surtout auprès de la communauté LGBTQ qui a vu en lui une figure pionnière de l'acceptation de soi.
Mercure n'a jamais confirmé ni ni nié publiquement sa sexualité. Mais à travers sa personnalité flamboyante et ses paroles abordant les relations en termes ambigus, il a laissé de l'espace pour une interprétation ouverte. Cela a probablement contribué à son attrait général – il a donné la permission aux gens de tous horizons de se voir en lui et de trouver une communauté grâce à la musique de Queen’s. En brisant les stéréotypes, Mercure a transcendé les barrières et a réuni plus de types de fans.
Vulnérabilité et authenticité
Malgré la théâtralité de ses performances, Mercury a également transmis une véritable vulnérabilité. Il a chanté des ballades émotionnelles comme "Love of My Life" et "Bohemian Rhapsody" avec une passion brute qui a mis son âme à nu. Le public pouvait sentir sa connexion émotive authentique à la musique. Cette profonde vulnérabilité est ce qui a permis de créer des liens aussi profonds entre l'artiste et les fans.
Mercury n'a jamais parlé longuement de sa vie personnelle, mais ses performances en disent long. Les fans sentaient qu'ils le connaissaient vraiment à travers la façon dont il s'exprimait ouvertement et authentiquement en musique Cette intimité qu'il a formée avec le public, combinée à son talent et à son charisme, l'a élevé au-delà d'un simple artiste – il est devenu un ami et une idole pour des millions de personnes dans le monde Son authenticité a cimenté son héritage.
Musique intemporelle et héritage
La musique de Queen et les performances de Mercury ont transcendé les époques pour rester aimé dans le monde entier. Leurs opéras rock anthémiques comme « Bohemian Rhapsody » et « Une nuit à l'opéra » ont enfreint les conventions mais ont toujours l'air frais aujourd'hui Les chants émotifs de Mercury et les mélodies accrocheuses de Queen garantissent que leur musique continuera à trouver de nouveaux fans.
À travers le biopic de 2018 « Bohemian Rhapsody » qui a rapporté plus de 900 millions de dollars dans le monde, l'histoire et le talent de Mercury ont inspiré une nouvelle génération. Ses messages d'individualité, de passion pour la musique et d'étreinte des étrangers sont tout aussi pertinents aujourd'hui. En étant authentiquement lui-même et en déversant son âme dans des performances, Mercure a créé des liens profonds et universels qui ont maintenu son héritage vivant pendant des décennies après sa mort tragique. Son art et son influence intemporels continueront sans aucun doute à inspirer pour les générations à venir.
En conclusion, le personnage de la scène de Freddie Mercury était bien plus que de simples costumes ou de la théâtrale. C'était une combinaison puissante de facteurs – flair théâtral, présence commandante, capacité à transmettre des émotions à travers la musique, défi des stéréotypes et vulnérabilité authentique – qui lui ont permis de transcender les barrières et de résonner profondément avec des millions de personnes dans le monde. À travers des performances passionnées qui ont mis tout son être dans chaque note, Mercury a créé des liens intimes avec divers fans et a cimenté son statut d'une des plus grandes icônes du rock. Ses messages de passion, d'individualité et d'inclusion continuent d'inspirer les gens dans le monde entier à travers la musique et l'héritage ♥️
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une-valse-pour-rien · 8 months
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La Bête Humaine revisitée (Paris-Le Havre) X20
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alexar60 · 9 months
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Monstres
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Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées,  le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait.  Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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mrlafont · 10 months
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Une vidéo d’une jeune fille qui expose son point de vue à propos de la nudité de la femme en public. Elle trouve que c’est absurde que les seins soient considérés comme un “objet sexuel”. Que les seins ne servent qu’à nourrir le nourrisson. Certes, certes. Ce qu’elles doivent comprendre, ces femmes, ces jeunes femmes, et les hommes qui tiennent le même discours, c’est qu’il existe chez l’être humain quelque chose qui s’appelle l’instinct de reproduction et que cet instinct est un des plus puissants, si ce n’est le plus puissant. Pourquoi les attributs proprement féminins de la femme, les seins, les fesses, les cheveux, et tout ce qui représente l’altérité, sont générateurs de tant d’émotions pour le sexe opposé ? Un homme excité à la vue d’une belle poitrine, d’une belle croupe, ou de tout autre attribut, l’est car le génie de son espèce y reconnait ce dont il a besoin pour tendre vers son idéal de vitalité. C’est déjà une chose, un phénomène qu’il faut comprendre. Ce n’est pas moi qui l’invente, il faut relire Schopenhauer, ou simplement observer les faits. Nos préjugés et nos mœurs, aussi arbitraires qu’ils semblent, cachent une vérité qu’il faut découvrir. Tout, tout a une explication. Hommes et femmes, les deux recherchent et désirent la même chose chez l’autre : la beauté. La beauté qui n’est autre chose que la vitalité. Vitalité qui s’exprime de différentes façons : mais toujours en ce qui agit pour, en faveur de la vie, tout ce qui l’empuissante. La femme est attiré par la virilité, l’homme la féminité... Mais ce qui plait pour l’une dans la virilité et ce qui plait pour l’un dans la féminité est une seule et même chose : il s’agit de tout ce qui promesse et signe de vitalité, signe de force donc, de puissance. C’est d’ailleurs ça qu’on appelle “beauté”. Seins nus en public... Il faut comprendre que cela ne peut pas être sans conséquences, qu’inévitablement cela engendra des regards et certains comportements. Inévitablement, il y aura tentation, désir. Alors quoi ? Éduquer les hommes ? Les désensibiliser ? Taire, tarir l’instinct ? C’est folie. Il me semble bien, à moi, que la pudeur est le garant d’une certaine paix sociale, aussi superficielle soit-elle. Mais la pudeur est peut-être ce qui nous éloigne de notre bestialité. La pudeur, ce produit de l’intelligence de notre instinct de survie, ce raffinement qui est sûrement né de notre couardise face à la violence qu’engendre la compétition. Il faut savoir ce qu’on veut. Il y a autre chose qui vient expliquer les différences de comportement entre les hommes et les femmes. Une chose logique, biologique. Il faut neuf mois à une femme pour enfanter. Il faut deux minutes à un homme pour l’ensemencer. La femme est forcément plus exigeante et prudente quant au choix du partenaire. C’est un réflexe très profondément ancré dans sa biologie de femme. Et ce fait explique la réserve naturelle de la femme, sa prudence, sa méfiance instinctive. L’homme, qui ne risque rien à enfanter, a forcément une autre psychologie que celle de la femme. Il est, forcément, plus exubérant, plus bête. La peur rend plus sensible. D’où une certaine délicatesse chez la femme. On comprend donc bien pourquoi le fait qu’elle veuille aujourd’hui se montrer seins nus puissent outrer certains. Car nous, êtres humains, nous savons, davantage instinctivement qu’intellectuellement, que quelque chose pose là problème. D’ailleurs, je pose ça là, mais toutes celles qui aimeraient pouvoir se balader seins nus (pourquoi d’ailleurs ?) : ce ne sont généralement pas des femmes qu’on veut enfanter : elles sont, physiquement, soit indésirables, soit psychologiquement dépravée. Le génie de l’espèce n’y voit rien de bon. On en tirera les conclusions qu’on veut.
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girafeduvexin · 23 days
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Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient.
Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère. - Et je l'ai injuriée.
Je me suis armé contre la justice.
Je me suis enfui. Ô sorcières, ô misère, ô haine, c'est à vous que mon trésor a été confié !
Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit toute l'espérance humaine. Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait le bond sourd de la bête féroce.
J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant, mordre la crosse de leurs fusils. J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable, avec le sang. Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie.
Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot.
Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point de faire le dernier couac ! j'ai songé à rechercher le clef du festin ancien, où je reprendrais peut-être appétit.
La charité est cette clef. - Cette inspiration prouve que j'ai rêvé !
"Tu resteras hyène, etc...," se récrie le démon qui me couronna de si aimables pavots. "Gagne la mort avec tous tes appétits, et ton égoïsme et tous les péchés capitaux."
Ah ! j'en ai trop pris : - Mais, cher Satan, je vous en conjure, une prunelle moins irritée ! et en attendant les quelques petites lâchetés en retard, vous qui aimez dans l'écrivain l'absence des facultés descriptives ou instructives, je vous détache des quelques hideux feuillets de mon carnet de damné.
Arthur Rimbaud - Une saison en enfer.
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Matchs de Poule
Bonjour à tous.tes, on a reçu énormément de suggestions, c'était super. En tout on a 160 livres et BD pour le tournoi ! On va donc commencer par des poules, pour ne garder que 64 livres. Les groupes sont notés ci-dessous (on ajoutera les liens pour les votes au-fur et à mesure qu'ils seront publiés), il y en a 32. Les deux livres recevant le plus de votes de chaque groupes seront séléctionnés pour la suite du tournoi.
Groupe 1 Le Château d'Anne Hiversaire ; Le Petit Prince ; Les Chants de Maldoror ; La Geste des Chevaliers Dragons ; L'Incal
Groupe 2 Les Furtifs ; Un Jacques Cartier Errant ; Même pas Mort ; Yoko Tsuno ; Les Trois Mousquetaires
Groupe 3 Un Sac de Billes ; Malpertuis ; Vango ; Mémoires de Louise Michel ; Les Schtroumpfs
Groupe 4 Femmes d'Alger dans leur appartement ; La Quête de l'Oiseau du Temps ; Bérénice ; La Rose Ecarlate : Vingt Mille Lieues sous les mers
Groupe 5 U4 ; Le Jardin, Paris ; La Passe Miroir ; Romancero aux étoiles ; L'île mystérieuse
Groupe 6 Les 4 As ; Les amis inconnus ; Tobi Lolness ; Persepolis ; Le Jeu de l'Amour et du Hasard
Groupe 7 Vendredi ou la vie sauvage ; L'Autre ; Oh boy! ; Julie, Claire, Cécile ; Le Journal Tintin
Groupe 8 Etudes et Préludes ; Lou! ; Sur les Terres d'Horus ; L'élégance du Hérisson ; Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants
Groupe 9 Lancelot-Graal ; Les Fleurs du Mal ; Chien Blanc ; Mélusine ; Une Tempête
Groupe 10 La Métaphysique du Vampire ; Pot Bouille ; Les Mémoires d'Hadrien ; La bête humaine ; Le Misanthrope
Groupe 11 Tara Duncan ; Trois Oboles pour Charon ; Gaspard de la nuit ; Le Pacte des Marchombres ; Sambre
Groupe 12 Kid Paddle ; Père Castor ; Dom Juan ; Ces Jours qui Disparaissent ; Le Message
Groupe 13 Astérix ; Les animaux dénaturés ; Fantômette ; Germinal ; Mathieu Hidalf
Groupe 14 Le Cid ; Les Carnets de Cerise ; Tant qu'il le faudra ; Rhinoceros ; Dans la Nuit Blanche et Rouge
Groupe 15 Thorgal ; L'arbre à soleils ; Les Faux Monnayeurs ; Alcools ; La Mécanique de Cœur
Groupe 16 Aya de Yopougon ; Chat Noir ; Blake et Mortimer ; Le Survenant ; Le Deuxième Sexe
Groupe 17 Au Bonheur des Dames ; Nadja ; Mille francs de récompense ; Le tour du monde en 80 jours ; Le Butterlyland
Groupe 18 A comme Association ; La Nuit des Temps ; La Guerre de Troie n'aura pas lieu ; Quatrevingt-treize ; Une Famille aux Petits Oignons (Histoires des Jean-Quelque-Chose)
Groupe 19 Le forçat innocent ; Phaenomen ; A la mystérieuse ; Le Livre des Etoiles ; Le Livre de Perle
Groupe 20 L'écume des jours ; Max et Lily ; Petit Ours Brun ; Les Dingodossiers ; Cyrano de Bergerac
Groupe 21 Thérèse Desqueyroux ; La fin du monde ; 47 cordes ; Garin Trousseboeuf ; Oksa Pollock
Groupe 22 Le Grand Secret ; Lucky Luke ; L'Illusion Comique ; Pardonnez nos offenses ; Les Liaisons Dangereuses
Groupe 23 Un Secret ; Fortunes ; Querelle de Roberval ; Manuel de savoir-vivre à l'usage des rustres et des malpolis ; 38 mini westerns (avec des fantômes)
Groupe 24 Les Misérables ; Magarcane ; Frangine ; Les Eveilleurs ; Archives des Anges
Groupe 25 Le Dit de Vertigen ; Spirou et Fantasio ; Antigone ; Le Prince Eric ; Les Colombes du Roi-Soleil
Groupe 26 Cédric ; Sept Jours pour une Eternité ; La Petite Fille de Monsieur Linhl ; Gouverneurs de la Rosée ; Gaston Lagaffe
Groupe 27 Corps et Âmes ; Claudine ; L'œil du loup ; Boule et Bill ; Le Dernier Jour d'un Condamné
Groupe 28 Les Fables de La Fontaine ; La Dame Pale ; Chansons ; Marsupilami ; Les Aventures de Loupio
Groupe 29 L'Enfant de la haute mer ; Du Domaine des Murmures ; La Bibliothécaire ; Ondine ; Dieu n'a pas réponse à tout
Groupe 30 Le Horla ; Réparer les Vivants ; Freaks' Squeele ; De Cape et de Crocs ; L'automne à Pékin
Groupe 31 Ouragan ; Contes des cataplasmes ; Le Monde, Tous Droits Réservés ; Vipère au Poing ; Comment Wang-Fo fut sauvé
Groupe 32 Les Derniers Contes de Canterbury ; Le Compte de Monte-Cristo ; Storm ; Manifeste Assi ; Les Lumières d'Oudja
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calimera62 · 3 months
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I've been tagged by @flo-nelja, thank you!
If you want to do it, tagging @naehja, @istadris, @saemi-the-dreamer, @modocanis, @amethystsworld, @garnetrena and @andersssandrew
1 How many works do you have on AO3?
100. Most of them are OS and I still have to publish fics I've posted on tumblr and ffnet.
2. What’s your total AO3 word count?
397,865
3. What are your top 5 fics by kudos?
Der Vampire, my multichapter Tanz der Vampire fic (195 kudos)
Baise-main, a Kaamelott OS Arthur&Perceval. Not my best work so I'm surprised it has been liked so much (152 kudos)
Die Fledermaus, a Tanz der Vampire OS and self-indulgent bat!Krolock fanfic (139 kudos)
La Marque, my platonic soulmate AU Kaamelott OS between Arthur and Perceval (132 kudos)
Couronne, my first and last Arthur/Guenièvre OS that I wrote after KV1 (128 kudos)
4. Do you respond to comments? Why or why not?
Yes, I try to, though it can take me a long time to do so ^^;;
5. What’s the fic you’ve written with the angstiest ending?
Hum... difficult question. I don't usually write angst. There's a Van Helsing OS but I haven't posted it on AO3 yet. I do love to write certain characters turned as vampire against their will, a lot, but I can't say which fic about that trope is the angstiest... Maybe My Blood in Offering, a Krolfred OS, or even La bête humaine (Harry Potter, a Beast of Gévaudan AU, kinda). I can't say for sure...
6. What’s the fic you’ve written with the happiest ending?
LOL, most of my fics are happy fics so it will be hard to choose which one I consider to have the happiest ending. Maybe Auld Lang Syne or Sleeping Arthur, two Kaamelott OS with Arthur and Perceval.
7. Do you write crossovers?
Rarely, but it happened. I once wrote a Makai Ouji/Black Butler crossover Nevermore, and I would like to try writing for this crossover again. I also wrote a Harry Potter/Charlie and the Chocolate Factory crossover where Willy Wonka was a wizard (Le Procès de Willy Wonka), I had fun writing it!
8. Have you ever received hate on a fic?
No and I hope it won't happen in the future.
9. Do you write smut? If so, what kind?
I did (two Krolfred OS: Behind closed doors and L'abîme des songes), not very ambitious since I'm not used writing smut but it was an interesting challenge. I also have two Grindeldore OS (À fleur de peau and Nos rencontres éphémères) but the sexual content is really non-graphic.
10. Have you ever had a fic stolen?
Not that I know.
11. Have you ever had a fic translated?
Yes! Le Soleil Levant (Francis&Napoléon, Hetalia) has been translated into Polish; also two Tanz OS (Behind closed doors and My Blood in Offering) translated in Russian.
12. Have you ever co-written a fic before?
No and I'm not interested in doing it.
13. What’s your all-time favorite ship?
Aaah it's a difficult choice. How can you expect me to choose?
Though, if I see the amount of works on my AO3, I've written for Grindeldore (Gellert Grindelwald/Albus Dumbledore) the most.
Most of my fics are mostly about platonic pairs than romantic ones.
14. What’s a WIP that you want to finish but don’t think you ever will?
Uuh... Maybe L'Alouette (a FrUK OS) or L'ennemi de mon ennemi (a Van Helsing multichapter fic)
15. What are your writing strengths?
Good question. I love getting into the characters's head, writing their thoughts and feelings, as well as writing platonic pairs, but I don't know if it's a strength of mine.
16. What are your writing weaknesses?
I'm so bad at describing places and clothes and furnitures D:
17. What are your thoughts on writing dialogue in other languages in a fic?
You mean adding words or sentences in another language when I'm reading fics in my own language or in English? Well... I don't mind if it's a couple of words in a sentence (and if the author adds the translation, though I found it annoying to have to go in the author's notes, at the end of the fic, to go check the translation)
18. What was the first fandom you wrote for?
Harry Potter.
19. What’s a fandom/ship you haven’t written for yet but want to?
No fandom comes to my mind, but I would love to write Alfred/Sarah (Tanz der Vampire), though Krolfred is my OTP, I have a lot of fondness for this ship and I would like to try writing about them. Same thing, I would like to write a Arthur/Francis/Ludwig fanfic (Hetalia) one day. I also wish to write about César/Astérix one day and not just them as a platonic pair
20. What’s your favorite fic you’ve written?
Ouch hard to decide again. I'm still proud of La Marque as well as Sleeping Arthur regarding my Kaamelott fics. Regarding Tanz, I really love A New Perspective and Die Fledermaus. For Makai Ouji, I still love Innocence and Curiosity, though The Witching Hour is very self-indulgent hehe. I'm also fond of some fics from Gauloiseries (Astérix); but I really can't choose, between these fics, which one is my absolute favourite.
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jeux-geekeries · 1 month
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Humains Rebelles, Deadzone
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Reprise de la peinture de figurines avec ces 2 Humains rebelles pour Deadzone. Figurines Rebs obtenues dans la Crazy Box 2023.
J'ai un peu débordé sur certains coup de pinceau mais cela me fera l'affaire pour l'instant.
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C'était la deuxième fois que je peignais les bras et le corps séparés.
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Ce qui est assez bête, c'est que j'ai déjà assemblé des Veer-Myns et maintenant, je me dis que je n'aurais pas dû assembler certains. Mais en attendant de m'y mettre, assemblage de quelques figurines.
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mmepastel · 4 months
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Rholala ! Premier énorme coup de cœur cette année !
C’est ma libraire préférée qui me l’a déniché… elle commence à me connaître… elle m’a tendu ce livre qu’elle n’avait pas encore mis en rayon avec un air entendu…
BINGO ! En effet, c’est une belle pioche.
Tout d’abord, qu’est ce que j’ai ri ! L’autrice suédoise a un humour assez décapant, et un langage fleuri.
Faire connaissance avec ces sept sœurs finlandaises crasseuses et mal éduquées c’est comme une collision brutale et frontale. On les découvre à la foire, rare lieu où elles daignent frayer avec leurs semblables (quoique… elles semblent en effet faites d’un autre bois), dégoûtantes, provocantes, grossières, analphabètes et gouailleuses ; elles vendent framboises sauvages, peaux de bêtes -d’ours notamment. Bien obligées si elles veulent acheter bière, gnôle, cigarettes et essence pour le quad, saucisses et chips.
Johanna, Tania, Tiina, Simone, Aune, Laura et Elga ont toutes un caractère bien distinct, même si elles font corps pour survivre depuis qu’elles sont orphelines. L’ainée, Johanna, voue un culte à son père décédé, célèbre chasseur d’ours, et applique ses règles : se méfier de la société des humains et particulièrement des hommes, du pasteur, des assistantes sociales, de l’école, des huissiers. Elles sont hors registres, complètement sauvages dans la forêt, en autarcie. Et elles vont fuir encore plus loin, pour être sûres de ne pas risquer d’être embêtées, pour vivre à leur façon, la seule qu’elles connaissent à vrai dire. Elles rotent, pètent, pissent debout, se bagarrent sans cesse, jurent comme des charretiers.
L’entente entre elles, une force, une nécessité mais aussi une limite, se complexifie lorsqu’elles s’isolent complètement dans un endroit reculé de la forêt, et qu’elles font face à la faim et au froid. La rudesse de l’aînée, son radicalisme, empêchent certaines des plus sensibles de s’épanouir, comme par exemple Elga qui rêve de lire et d’exploiter ses fraîches connaissances en la matière, ou Laura qui n’aime rien tant que de sculpter des petits figurines malgré ses yeux de myope.
On lit ce livre avec le nez, et les odeurs ne sont pas toujours ragoûtantes. Ça ne sent pas que le sapin ou l’écorce de bouleau. Ce ne sont pas des grandes fans de savon, ni de ménage, et les peaux d’ours écorchés corsent l’affaire. On suit leur cheminement avec passion tant l’immersion est totale dans cet univers brut et sauvage, en s’émerveillant des reparties salées qu’elles se servent mutuellement, avant de se cogner jusqu’à faire valser des dents. Mais cheminement, il y a. Je n’en dis pas plus car le roman, inspiré d’un conte finlandais racontant les aventures de sept frères, est turbulent et haletant de bout en bout. Vont-elles survivre dans le froid ? Comment vont-elles échapper à la ville qui semble être le seul salut possible ? Ne vont-elles pas s’entretuer ou sombrer dans la folie ?
J’ai adoré cette histoire et le ton. Ces sœurs sont de vraies dures à cuire, des âmes bouillonnantes qui font jaser toute la région. Leur évolution est habilement menée, et leur amour de la forêt et de la liberté ne se trahit pas. On assiste à l’éclosion de leurs natures profondes. Il s’en est fallu d’un cheveu pour qu’elles y parviennent seules. Un conte féministe oui, assurément, avec de vraies héroïnes fortes et courageuses, un récit au verbe haut, débordant de vie et culotté. De la dynamite.
Je suis un peu dépitée de l’avoir si goulûment dévoré, aussi goulûment que Tiina aurait bu sa flasque de whisky, je ne crois pas que ce type de livre coure les rues. J’espère que d’autres romans d’Anneli Jordahl seront traduits, je suis addict de son écriture rigolarde et irrévérencieuse.
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e642 · 4 months
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Je suis allée au ciné tout à l'heure pour voir the old oak. Et j'ai pensé beaucoup de choses via le film et via le reste de ma vie. Quand je suis arrivée dans la salle y'avait un mec de mon âge. Il m'a souri et je me suis surprise à penser que j'adorerais voir des films moins légers, plus engagés, plus vrais avec mon mec. Et j'ai à nouveau pensé que peut-être que oui, faudrait pas que j'accepte une telle différence entre nous. Faudrait peut-être que je rencontre quelqu'un réellement en phase avec moi. Qu'on fasse des trucs qui me font du bien durablement, qui me font réfléchir, qui me font grandir. Puis ensuite le film a commencé. Le personnage principal a perdu son chien qu'il adorait et moi j'ai pensé à quand je perdrai mon chat adoré et j'ai pleuré vraiment fort sur cette scène. Ensuite j'ai arrêté et le film a continué. Mais j'ai recommencé à pleurer parce que bien qu'il ait une teinte d'espoir ce film, un beau message, il soulève les horreurs du monde. Les guerres. Le racisme. L'intolérance. La souffrance. Le deuil. La pauvreté. Et je me sens profondément affectée par tout ce qu'il se passe et s'est passé dans le monde. Ça me brise le cœur toute cette répugnante peine causée par les humains. Ça m'a en fait démoralisée parce que j'ai pensé à toutes les choses infâmes que vivent les gens et je me suis sentie profondément égoïste de me plaindre depuis des années. Je sais, c'est pas comparable mais pendant 1h40 je me suis sentie comme une pauvre merde. Et même ça c'est égoïste parce que j'ai ramené ça à moi. On est sortis et je suis rentrée. Mon mec m'a pris la tête en faisant une crise de jalousie et en me prenant pour une débile. Et des fois, j'ai envie de lui dire ses 4 vérités, de le blesser si fort qu'il aurait un déclic. Mais j'ai juste soufflé. J'ai soufflé et j'ai allumé une clope en pensant que je perdrais juste du temps. Et que du temps j'en avais plus pour les partiels. Ouais les liens sont bancals (pourquoi on nous fait chier avec festivals et pas bancals, j'ai cru jusqu'à pas longtemps qu'on disait bancaux et banaux putain jsuis conne ça m'énerve ça aussi). Et jme suis rappelée que si je ratais je serais vraiment une bonne grosse bouffonne. Et je suis rongée par la peur de l'échec mais encore plus maintenant que j'ai fait chier tout le monde pour aller en psycho et réaliser après que j'aimais pas non plus. En fait j'crois que j'aime pas juste le système universitaire pas forcément les enseignements. Et là jsuis dehors et vraiment jme sens ridicule. Genre je pleure bcp en ce moment, c'est rare. J'ai passé des mois voire des années à avoir le regard sec et froid. Maintenant il est larmoyant et pitoyable. Je sais pas comment on fait pour sortir de ces cercles vicieux. Jdonne des conseils mais en fait, j'en sais rien. Je sais rien du tout. Et un bon gars disait la seule chose que je sais c'est que je ne sais rien. I feel it. Vraiment. Je comprends rien. Je sais que je suis pas foncièrement débile mais dernièrement (depuis bien un an), j'en doute un peu plus chaque jour. Est ce que je ne suis pas profondément bête pour constater mais jamais rien acter.
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aurevoirmonty · 7 months
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Quelques phrases intéressantes du livre saint des Juifs, le Talmud :
Sanhédrin 59a : « Tuer un goy (un goy est toute personne qui n'est pas juive) est comme tuer un animal sauvage. »
Baba necia 114, 6 : « Les Juifs sont des êtres humains, et les autres nations du monde ne sont pas des hommes, mais des bêtes. »
Aboda zara 26b : « même le meilleur des goyim devrait être tué. »
Nidrasch Talpioth, p. 225-1 : "Jéhovah a créé les non-Juifs sous forme humaine afin que les Juifs n'aient pas à utiliser les services d'animaux. c’est pourquoi les Gentils sont des animaux à forme humaine qui sont condamnés à servir les Juifs jour et nuit."
Yebhamoth 11b : « les rapports sexuels avec une fille sont autorisés si la fille a 3 ans. »
Schabouth hag 6d : « Les Juifs peuvent faire de fausses promesses comme excuses. »
Hikkoth akum x1 : "Ne sauvez pas les goyim en cas de danger ou de mort. ne montrez aucune pitié aux goyim."
Choschen hamm 266, 1 : "Un Juif peut avoir tout ce qu'il trouve si cela appartient à Akum (goyim). Celui qui restitue la propriété (goyim) pèche contre la loi, augmentant ainsi le pouvoir des contrevenants."
Szaaloth-utszabot, le livre de jore dia 17 : « un Juif peut et doit jurer de mentir lorsque les goyim demandent s'il y a quelque chose contre eux dans nos livres. »
Siméon Haddarsen, fol. 56-d : « Quand le Messie viendra, chaque Juif aura 2800 esclaves. »
Tosefta aboda zara b5 : « si un goy tue un goy ou un juif, il doit en répondre, mais si un juif tue un goy, il n'a aucune responsabilité. »
Schulchan aruch, choszen hamiszpat 388 : « Tous les biens des autres nations appartiennent à la nation juive, qui a donc le droit de jouir de tout ».
Seph. jp., 92, 1 : « Dieu a donné aux Juifs le pouvoir sur les biens et le sang de toutes les nations. »
Schulchan aruch, choszen hamiszpat 156 : "Si un goy doit de l'argent à un juif, un autre juif peut aller voir le goy, lui promettre de l'argent et le tromper. De cette façon, le goy fera faillite et le premier juif prendra possession de ses biens conformément à la loi."
Schulchan Aruch, Johre Deah, 122 : « Il est interdit à un Juif de boire du vin dans un verre touché par un goy, car son contact pourrait rendre le vin impur. »
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Un livre.....une histoire 📚
Saisir une nouvelle chance... au risque de tout perdre ?
Seule dans le manège face à Furtivo, Tess prend son temps. Pas de longe, ni de stick. Juste son regard et ses mots pour amadouer ce pur-sang effarouché. Elle patiente, ça ne la gêne pas. De la patience, elle en a à revendre.
Cela fait quinze ans que Tess et Manuel essayent d'avoir un enfant. Unis par une même passion pour les chevaux, ils ont appris à dompter leurs sentiments aussi bien que leurs bêtes. Cependant au fond de Tess, le doute s'insinue : à quoi bon continuer ?
Alors quand se présente une opportunité professionnelle au Parc des Légendes, véritable institution en Vendée, elle commence à entrevoir une autre vie, dans le monde du spectacle équestre. Au risque de s'éloigner définitivement de Manuel, mais n'a-t-elle pas déjà trop attendu pour laisser passer cette chance ?
******
J'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver la plume de Delphine Giraud. Dans ce roman, le thème de la maternité à une place tout aussi centrale que celui du monde équestre.
Avec beaucoup d'émotion et de sensibilité, l'auteur nous immerge dans la vie d'un parc équestre, au milieu des chevaux à dompter, à apaiser, à aimer.
Au coeur de la problématique de conception d'un enfant, la transmission prend une place importante. Ce qu'une mère transmet à son enfant, ce qu'un humain transmet à l'animal et ce que nous transmettons à notre propre corps via nos émotions.
Les émotions peuvent entraîner des répercussions importantes sur notre propre santé, c'est ce lien que l'auteure met en évidence dans son roman.
Un roman tout en douceur et en émotion qui nous fait nous interroger sur notre propre patrimoine génétique.
Bonne lecture ! 📚
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ma-pi-ma · 1 year
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Le silence des bêtes est la double expression de leur dignité et de notre déshonneur. Nous autres, humains, faisons tant de vacarme.
Sylvain Tesson
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