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#illustrateurs du québec
artbynadine · 1 year
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Compte-rendu - Kael Mercader
Kael Mercader est un artiste en arts visuels, ainsi qu’un illustrateur venant de Québec. En effet, Kael a déménagé de Québec pour pratiquer son art à Montréal. L’artiste vend plusieurs de ses œuvres, souvent par la poste. Effectivement, par suite du confinement, Kael a appris à devenir autonome étant donné que son travail dans le domaine de l’alimentation ne permettait pas le déplacement. Ainsi, l’artiste apprend à utiliser le mode de déplacement de la poste en tant que mode de vente concernant ses œuvres. Aussi, son temps libre dû au confinement lui a permis d’agrandir son public et sa popularité sur les médias sociaux. L’artiste a donc eu l’opportunité de recevoir des contrats, de vendre ses œuvres et d’élargir son public. Pour ces raisons-là, Kael a changé de ville pour l’avancement de sa carrière. De plus, le jeune homme réclame qu’en tant que métier, la pratique de l’art a permis à l’artiste d’intégrer sa passion dans son quotidien puisque la plupart de ses œuvres se font créer à partir de son univers domestique, dont sa maison. Kael Mercader a toujours utilisé les médias sociaux, dont Instragram en particulier, pour exposer ses œuvres. En effet, sa passion pour l’art a fait son début lorsque l’artiste était très jeune. Ainsi, il avait l’habitude de dessiner en utilisant le programme de Microsoft Paint et de diffuser ses dessins sur Facebook, ce qui surprenait son entourage. Grâce aux médias sociaux, Kael a réussi à se procurer des contrats à Montréal, ce qui lui permettait de diffuser son art dans des expositions collectives et d’en faire profits. En outre, Kael Mercader pratique principalement la peinture, l’illustration et la performance artistique. Effectivement, l’artiste réclame qu’il n’a aucune préférence concernant les différents médiums pratiqués. Ainsi, Kael apprécie l’exploration de différents médiums et les choisis selon les circonstances et les coïncidences de la vie. Par exemple, l’artiste raconte qu’il a été intéressé à la sculpture depuis un long moment. Il a ensuite été exposé à en pratiquer lorsque l’oncle de sa copine lui offrait constamment de la terre glaise. Cela étant dit, malgré le fait que le dessin et la peinture ont été les premiers médiums appris par l’artiste, celui-ci ne s’attitre pas à des catégories spécifiques de l’art. Ainsi, Kael cherche à approfondir ses connaissances et ses techniques dans le milieu artistique. De cette manière, le jeune homme évolue continuellement en tant qu’artiste grâce à sa curiosité. Ce que j’apprécie beaucoup des œuvres de Kael Mercader est sa sélection des plusieurs couleurs vibrantes dans ses peintures. En effet, concernant ses expositions, l’artiste utilise les mêmes palettes de couleurs à travers toutes ses œuvres. Par exemple, selon La Foire en Art Actuel de Québec, les œuvres de Kael exposées sur leur site comprennent une répétition des couleurs rouge et vert dans toutes les peintures affichées. De plus, on peut apercevoir un thème récurrent dans cette même exposition, dont l’apparition de plusieurs personnages fictifs. Ainsi, l’artiste s’inspire de sa vie pour illustrer des personnages fictifs dans ses peintures à l’huile.
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Lino
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Alain Le Brun connu sous le nom de Lino est un artiste montréalais multidisciplinaire il est à la fois peintre, illustrateur, auteur en plus de graphiste. Après ses études en design graphique, à l’université de Québec à Montréal, il devient, en 2003, enseignant d’illustration et design à cette même université et également à l’université de Laval de Québec. Lino cherche à provoquer l’émotion chez les spectateurs avec ses œuvres. Il croit qu’il n’existe pas de sommet pour les artistes, il essaye donc de toujours expérimenter et repousser ses limites.
Lino a fait une série d’affiches pour L’amnistie internationale, une organisation non gouvernementale pour les droits humains. Ces œuvres fulgurantes montrent son l’indignation face aux injustices. Les affiches sont frappantes étant majoritairement noirs et blanches avec les touches de couleurs vives. Les messages déchirants qu’elles portent sont aussi forts que leur impact visuel, ils font appel aux sentiments du public en interpellant la pitié et l’empathie. Ce sont les émotions suscitées par ces affiches qui m’ont fait les choisir.
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mamusiq · 3 years
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Casse-Noisette - Un conte symphonique illustré 
Orchestre symphonique de Québec  
Revisitez l’histoire magique de Casse-Noisette dans cette production vidéo alliant narration, illustrations et musique symphonique!
Raconté par Widemir Normil, ce conte de Noël sera mis en image par Richard Vallerand, illustrateur de Québec, et dirigé par la cheffe invitée Mélanie Léonard. Des extraits musicaux de la Suite de Casse-Noisette de Tchaïkovski ont été soigneusement sélectionnés par notre collaborateur artistique Jean Letarte, pour s’arrimer à l’action du conte adapté et mis en scène par Bertrand Alain. Laissez-vous emporter par l’histoire de Clara, Fritz et l’Oncle Drosselmeyer et envolez-vous en famille vers le Royaume des délices et le Palais enchanté de Confiturenbourg. Magie et féérie seront au rendez-vous!
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juste-des-livres · 2 years
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René Lévesque. Quelque chose comme un grand homme
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Dans ce collectif, nous retrouvons 13 récits marquants sur la vie de cet homme. La BD regorge de talent et de travail de recherche. Nous en apprenons plus sur l’homme et sur l’histoire du Québec. À chaque histoire, nous avons droit à un illustrateur différent, ce qui nous fait découvrir plusieurs styles. Une ou deux histoires m’ont paru longues, alors que d’autres m’ont fort intéressée. Une mention spéciale au chapitre Roi de pique contre Roi de cœur qui relate son élection de 1976. Les dessins sont magnifiques et le texte est captivant. Bref, un très beau livre qui mérite d’être exploré.
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equipe · 7 years
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Le temps est enfin venu de vous dévoiler notre interview du mois et de vous présenter l’artiste montréalais Simon Leclerc. Dans son blog éponyme, il nous présente une série de ses plus beaux dessins et travaux personnels. Il a gentiment accepté de répondre à nos questions et de nous plonger dans son univers artistique à la fois créatif, habile et inspirant.
Tumblr – Pouvez-vous vous présenter rapidement à nos lecteurs ?
Simon – Je m'appelle Simon Leclerc, je suis un dessinateur et je vis à Montréal. Pour vivre, je fais des dessins pour des gens du secteur de l'animation, du jeu vidéo, de l'illustration etc. Pour moi, aussi, quelques fois.
T – D'où vient votre passion pour l'illustration ?
S – J'ai commencé à apprendre la peinture vers l'âge de 6 ans, puis j'ai découvert la bande dessinée grâce à mes parents, médium autour duquel j'ai articulé presque tout mon apprentissage du dessin. J'ai poursuivi des études en animation, à Montréal d'abord et en Californie ensuite. J'ai rapidement abandonné mes études aux États-Unis puisque je m'ennuyais trop à faire uniquement de l'animation ; je suis donc revenu au Québec, où j'essaie de varier les médiums et les projets le plus possible !
T – Parlez-nous de votre blog. Qu'est-ce qui vous inspire ?
S – J'essaie de réserver mon blog uniquement aux choses que je crée et que j'aime, pour une raison ou une autre. J'essaie de mettre peu ou pas de travail professionnel, car je passe une grande partie de mon temps à dessiner des choses pour des projets aux esthétiques différentes de mes goût personnels, ou simplement sur des contrats confidentiels. Je privilégie donc sur mon blog les expérimentations personnelles, les dessins plus ''lâchés'', les trucs qui me semblent faire partie d'une démarche plus grande et que j'essaie de raffiner ou de détruire à chaque billet. Dans les derniers temps, je partage beaucoup d'images de mon prochain livre, ''Idle Days'', qui paraîtra quelque part en 2018 chez la maison d'édition First Second Books. Graphiquement, cette bande dessinée est inspirée en grande partie par Dave Mckean, Taiyo Matsumoto et Manuele Fior. Plusieurs autres artistes m'inspirent. J’aime des illustrateurs de tous genres et tous styles, chacun pour des aspects différents de leur savoir-faire auxquels j'aspire : Bernie Fuchs, Chris Ware, Euan Uglow, Horace Pippin, Claire Wendling, Klimt, Schiele, Cuno Amiet, Toulouse-Lautrec, Bastien Vives, Lucian Freud, Marion Fayolle, Henry Darger, Alberto Mielgo, etc.
T – Quel a été le déclic pour créer ce blog et pourquoi avoir choisi Tumblr ?
S – Je ne me rappelle plus spécifiquement pourquoi je me suis créé un Tumblr. J'ai partagé un premier dessin et n'y suis plus retourné pendant assez longtemps. J'ai vraiment commencé à l'utiliser quand j'étais à Calarts, où j'ai découvert que c'était un site très fréquenté par les étudiants et professionnels en animation et illustration. Ça m'a vite semblé être le site parfait pour partager et découvrir de l'art, en plus d'offrir une belle visibilité pour de potentiels clients.
T – Quels sont vos trois Tumblrs préférés et pourquoi ?
@azertip : un classique, une incroyable référence pour des découvertes d'artistes connus et moins connus, peintres, illustrateurs, animateurs, bédéistes.
@eranhilleli : je travaille sur un jeu vidéo présentement, et le blog d'Eran Hilleli est la meilleure façon de me rappeler qu'il est possible d'imaginer des esthétiques différentes d'Assassins Creed ou Pixar pour le 3D.
@ingoraschka : je voulais mentionner @zilaifeng, mais comme elle a été mentionnée dans une interview précédente, je parlerai de Ingo Raschka, deux amis de Calarts qui ont un style très rafraîchissant, assez unique et dont les explorations m'inspirent beaucoup.
T – Merci beaucoup, Simon, et bonne continuation ! :)
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mathieubeaulieu · 6 years
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Oxfam: Public Awareness Campaign (2017)
The situation of women in the Democratic Republic of the Congo is alarming. Lack of access to contraception, poor health care and early pregnancy prevent young girls from going to school, which hampers the country's economic development. One in four Congolese teenagers does not complete school because of pregnancy. Brand : Oxfam Québec Agency : FCB Montreal Art Director : Sébastien Robillard Copywriter : Joël Letarte Illustrator : Mathieu Beaulieu
La situation des femmes en République démocratique du Congo est alarmante. Le manque d’accès à la contraception, les soins de santé déficients et les grossesses précoces empêchent les jeunes filles d’aller à l’école, ce qui nuit au développement économique du pays. Cette campagne visait donc à conscientiser les Québécois au problème et à faire partie de la solution. Client : Oxfam Québec Agence : FCB Montréal Directeur artistique : Sébastien Robillard Concepteur-rédacteur : Joël Letarte Illustrateur : Mathieu Beaulieu
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ecogitesmatagani · 4 years
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#Repost @ekonest.live(@repost_via_instant)Les @ecogite_matagami au nord du Québec, ecolodges ecoresponsable en pleine forêt boréale ! . . . #ecogites #ecolodge #graphisme #illustration #natureillustration #nature #graphicdesign #designer #illustrateur #plage #foret #boreale (à Les Écogîtes du Lac Matagami) https://www.instagram.com/p/CFsOEAqnNlT/?igshid=3snw93g34bza
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larucheanimation · 4 years
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October 9, 2018 I went to the Illustrateurs professionnels du Québec group meeting. It was nice to get some news from my friend and to meet professional artist and talk to them. A very nice evening. 9 octobre 2018 J’étais allé avec mon amie à la soirée organiser par les Illustrateurs professionnels du Québec . C’était agréable d’avoir des nouvelles de mon amie et de rencontrer plein d’artistes professionnels et leur parler. Une belle soirée.
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und100 · 4 years
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Pierô
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Aujourd'hui, j'ai l'immense plaisir d'interviewer Pierô, illustrateur de grand talent qui a déjà pas mal d’illus à son actif tels que Ghost Stories chez Repos Prod, Kero, M. Jack chez Hurrican, ou encore le dernier Last Bastion chez Repo Prod. Il est aussi dans l’édition avec Kyf Editions qui ont commis les excellents TV Show et Fou Fou Fou.
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Salut Pierô, merci beaucoup d’avoir accepté cette interview. Hello, avec plaisir pour l’interview, j’ai parcouru les questions vite fait, ça s’annonce rigolo. Je me souviens de notre première rencontre sur le stand Hurricane Games au PEL 2018 où tu dédicaçait Kero. Tu m’avais alors raconté une anecdote intéressante sur les demande de l’éditeur sur le style graphique de ses jeux, t’en souviens tu? Peux tu nous la raconter? En ce qui concerne l’anecdote, pour le coup, j’étais persuadé qu’on s’était rencontré à Cannes pendant le festival du jeu autour d’une table de « Tv show » mais bon, j’ai une mémoire de poisson. Pour ce qui est de l’anecdote, j’imagine que tu parles des demandes de « non violence » dans un monde Post-apo. Hurrican, avec qui je travaille depuis des années, est une maison d’édition suisse dont le patron, Yves Menu a une particularité : Il déteste les représentations de violence, de sang ou tout ce qui est lié à la mort (têtes de morts, armes etc). Quand le premier jeu que tu édites, c’est un jeu basé sur le premier serial killer répertorié (Jack l’éventreur), c’est compliqué. Mais comme on avait opté pour un côté assez cartoon, ça s’est bien passé. Pour Kero, l’éditeur me parle de son projet de jeux « post apo(calyptique) » dans un univers « à la Mad Max ». Le connaissant bien, je lui demande s’il a conscience de la « violence » visuelle inhérente à ce genre d’univers. Ce à quoi il me répond : « J’aimerais un univers coloré, un mad max un peu écolo et joyeux. ». Le genre de challenge qui me plaît bien ! Dans l’absolu, ça m’allait très bien. Je suis pas fan des armes à feu et de ce genre de choses, donc c’était un projet vraiment chouette à faire. Je crois savoir que tu aimes beaucoup les dédicaces, peux tu nous dire pourquoi? Les dédicaces, c’est presque la raison pour laquelle je suis illustrateur. Une des rencontres fondamentale dans ma vie c’est ma toute première séance de dédicaces BD. J’ai 13 ans et le dessinateur du « Soleil des loups », Arthur Qwak vient dédicacer dans la librairie où je viens acheter mes BD dès que j’ai des sous. Ce gars, ce grand punk, fait tout ce que je rêve et il incarne le fait que c’est possible. Je réalise quelques années plus tard que j’oriente toute ma vie pour y arriver à partir de là, et du coup, plus tard, l’envie de rendre la pareil est là. J’ai souvent dédicacé pour des familles ou un ado me disait timidement qu’il adorait dessiner et ça me fait marrer qu’autant, il deviendra dessinateur parce qu’il a réalisé, lui aussi, que c’était possible. Les dédicaces, c’est des rencontres, des moment forcément cools parce qu’on papote, on échange, c’est tellement bien de se nourrir de ça pour retourner t’enfermer dans ton bureau le reste de l’année. Après, c’est pas toujours génial hein… Il y a toujours ce moment de creux, de fatigue… Ou cette personne pas sympathique qui croit qu’elle te rend service en te demandant un truc « original » et inattendu… Mais dans l’ensemble, j’aime ça à la folie. Peux tu nous dire ton parcours, comment tu en es venu à l’illustration de jeux? Mon parcours est un peu celui d’un autodidacte. J’ai commencé très jeune les « beaux arts » en cours du soir et à m’orienter vers le dessin et les arts plastiques. Cependant, je me suis retrouvé à faire un mauvais choix après le bac et même si je le regrette absolument pas, j’aurais été un meilleur illustrateur et surtout, je l’aurais été plus tôt… Ou pas en fait.. Difficile à dire. Pour ne pas inquiéter ma mère, j’ai essayé d’être prof d’arts plastiques pour avoir un vrai métier. Donc Fac et Capes. Ayant une formation excellente depuis tout jeune tant en pratique plastique qu’en histoire de l’art, j’ai mon deug sans jamais ouvrir un livre ni même toucher un pinceau. Je m’amusais même à présenter des travaux fait aux beaux arts quand j’avais 10-12 ans et en mettant le speech adapté genre « arti » et je m’en sortais pas mal… Une honte quand j’y pense. Parallèlement, dès ma première année de fac j’ai dû bosser pour vivre et du coup, ça a clairement pris le pas sur des études qui ne me passionnaient pas du tout. A 20 ans, j’ai arrêté mes études pour travailler (libraire BD, vendeur de jeux vidéos, tenancier de cyber café…) et ce pendant 10 ans. Pendant ces 10 années, j’essayais de continuer à dessiner, monter des projets BD… Pis finalement, je suis rentré en contact avec Bruno Cathala et pis Poupouf… Le drame. Pour le coup, je suis devenu « illustrateur de jeux » parce que je suis joueur et que je voyais des François Bruel, Franck Dion ou des Julien Delval faire des trucs de fou… J’ai voulu faire pareil très vite. Quel est l’illustration que tu as le plus kiffé? De loin et sans hésitation la couv’ de « Kero ». J’y ai passé beaaaaaucoup de temps et chaque instant était un pur bonheur. J’adore les décors rocailleux, les déserts et les univers un peu fait de bric et de broc. J’adore mon perso féminin du premier plan que tout le monde prend pour un homme… Comme quoi, dès qu’on fait pas des pinups à gros seins… C’est une illustration dans laquelle je me suis beaucoup impliqué, j’ai même pris plaisir à faire des véhicules… C’est pour dire ! Quel est ton jeu préféré ? Pourquoi ?  Dans ceux que j’ai illustré ? Ou de façon générale ? En y réfléchissant un peu, de toutes façons, je pense que je répondrais « ghost stories ». J’aime les jeux coop’, j’aime les jeux qui me racontent une histoire tout en gardant une vraie mécanique. « Ghost » c’est aussi un jeu de vrai pote, Antoine Bauza et on s’est régalés à le faire ensembles. Je suis un gros joueur dans l’absolu, ma ludothèque dépasse les 500 jeux et je continue d’en acheter… A condition de donner ceux auxquels je ne joue plus. Parmi mes gros jeux de cœur, je citerais « mystères à l’abbaye », « les chevaliers de la table ronde », Le « gang of four » (et le tichu) et « Yspahan »… Ceux là, je m’en séparerais jamais.
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Si on sortait le jeu “ Questions de merde “ pour continuer cette interview? Je tire 3 cartes… Voici les questions de la première carte: Quel record du monde aimerais-tu battre? Alors je n’ai absolument pas l’esprit compétitif… Mais genre, absolument pas. Je ne vois aucun intérêt dans les « records ». Souvent, je les trouve cons et inutilement dangereux… Du coup, je ne saurais absolument pas quoi répondre. Comment démissionner avec classe? HmMMMmmm… démissionner, c’est un acte « classe » en soit je trouve. Quand tu es face à une situation intenable ou quand tu as une opportunité que tu imagines meilleure qui te pousse à « partir », c’est une prise de risque de tout lâcher pour aller vers du mieux ou du moins pire… Du coup, j’ai toujours trouvé que « démissionner », « partir », « envoyer chier », dire « non », c’est bien et classe… Je réalise… A des questions de merde, faut répondre avec humour ? Un peu n’importe comment ? Attends, je vais essayer de faire mieux après… Mais c’est pas trop mon truc… A quoi reconnaît-on le grand amour? HmMMmm… Quand tu rencontres quelqu’un qui te survit plus de 1 semaine au quotidien ? Voici la deuxième carte: Tu pars en lune de miel demain, où vas-tu? Québec, direct. Massif de charlevoix, dans une grande forêt entre deux lacs. Quelle taxe proposes-tu de créer pour renflouer les caisses de l’état? Heuuu… La taxe à la connerie, celle qui rapporterait le plus gros. Quel métier, désormais inenvisageable pour toi, te faisait rêver pendant ton enfance? Ben j’ai rêvé que d’une seule chose et depuis toujours et je le fait. Impossible pour moi de répondre à ça… Mais j’aurais bien aimé être parachutiste pro. Genre, travailler dans le milieu pour pouvoir sauter tout le temps et être un bon para… J’en ai pas rêvé enfant dans ces termes mais j’ai toujours voulu voler et comme j’ai pu réaliser ce rêve… J’ai qu’une seule envie, continuer… Mais j’ai découvert ça un peu tard. Et la dernière carte: Quelle est la conséquence négative de ta présence sur Terre? Bah, Brad Pitt paraît moins beau et sexy. Que faut-il faire pour profiter de sa jeunesse? Savoir ne rien faire. S’asseoir, les yeux dans le vague et s’imaginer plein de choses… Quel est l’endroit idéal pour une première rencontre? Des escaliers. Merci infiniment Pierô d’avoir répondu à ces questions! Je te souhaite beaucoup de succès avec ta maison d’édition, Kyf Editions et j’attends ta prochaine illustration avec avidité! Chers lecteurs, si vous avez aimé les questions, vous pouvez les retrouver dans le jeu “ Questions de Merde “ édité chez Le Droit De Perdre
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ravenjuices · 4 years
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Lineless Dragonite drawing. Open for commissions ! Simple characters or fanart. Artiste du Québec ouvert aux commissions. . . . #pokemon #dragon #dragonite #cute #graphicdesign #graphique #fanart #fanartist #art #artwork #openforcommissions #commissionsopen #pokemonfanart #digitalart #illustration #illustrator #illustrateur #poc #nativeamerican #native #womanartist #artistofcolor (à Quebec, Quebec) https://www.instagram.com/p/B8Ck3w0p41Q/?igshid=1p6m4fij2kshi
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universallyladybear · 5 years
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Acheter Balancoire Youtube
Dans le guide des illustrateurs du québec je connaissais stéphane poulin et simon dupuis deux illustrateurs vraiment très généreux de leurs temps qui m’ont expliqué le métier et aidée à.
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societeaffaires · 6 years
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C'est au Salon Urbain de la Place des Arts qu'aura lieu le dévoilement des 100 images de l'année en photographie et en illustration.
Les gagnants des Grands prix seront dévoilés dès 18h30. Seront ensuite remis les trophées des deux volets (photographie et illustration) de la 20ème édition du concours Lux. 
Les jurys 2018 ont été présidés par l'illustratrice et directrice artistique Mélanie Baillargé et la directrice photo Jessica Lee Gagné qui se sont respectivement partagé les volets illustration et photographie. 
Leurs jurys étaient composés de: 
Volet photographie Laura Ferrarelli, Aldo  John Londono, Le Consulat Steve Pépin, Cossette Elsa Rigaldies, Elle Québec Arthur Gaillard, Massivart Simon Roy, directeur artistique  Cindy Boyce, photographe
de gauche à droite: steve pépin, laura Ferrarelli, Arthur Gaillard, Elsa Rigaldies, Simon Roy, Cindy Boyce et John Londono
Volet illustration Ugo Varin Lachapelle, Caserne Chantal Gobeil, K72 Mathieu Lavoie, auteur-illustrateur Marie-France Simard, Comme des enfants Catherine Laporte, artiste visuelle
DE GAUCHE À DROITE: Ugo Varin Lachapelle, Marie-France Simard, Chantal Gobeil et Catherine Laporte
Des billets sont toujours disponibles sur la billeterie de l'événement.
*En couverture: Jessica Lee Gagné et Mélanie Baillargé. Photo: Sandrine Castellan, Shoot Studio
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bblsc · 6 years
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Denis Vézina, un homme aux multiples talents
Accomplir des vitrines thématiques est une des nombreuses choses que peut accomplir Denis Vézina. Celui qui se caractérise comme un peintre illustrateur se voit comme une personne autodidacte. «Il y a 17 ans, j'étais représentant pharmaceutique et j'avais fait le tour du métier. J'ai toujours dessiné et j'ai le goût de la création. J'ai eu une demande par mon neveu d'illustrer la vitrine de son commerce et cela a commencé de cette manière.»
Sans aucune formation (il n'y en a pas de toute façon), il a commencé à apprendre ce nouveau métier, dont le nombre d'artisans se compte sur les doigts d'une main à Québec. Cette passion s'est transformée en travail alors que sa compagnie Nicosim Illustrations a franchi l'impressionnant nombre de 13 000 vitrines réussies.
«Ce qui rend la tâche difficile est que le processus de création est le contraire d'une peinture sur une surface normale. Je commence par tracer au crayon, pour ensuite ajouter les ombres et les différentes lumières pour terminer avec les couleurs. Il faut aussi dessiner à l'envers en raison de la vitre», explique l'homme qui trouve cette situation tout à fait naturelle.
Un exemple d'une vitrine
La capacité à s'adapter est l'une des grandes qualités du Beauportois. «Ça arrive régulièrement que les demandes des clients changent en arrivant sur place, il faut rebondir rapidement et fort heureusement, je travaille rapidement.» Même avec une bonne vitesse de croisière, il faut en moyenne une durée de 4h30 pour terminer une vitrine d'une grosseur raisonnable.    
Polyvalent
Le secteur d'illustrations de vitrines correspond à environ 80% de la clientèle de l'artiste. «Je suis aussi caricaturiste d'évènements et je peins aussi des fresques», ajoute le père de deux enfants pour expliquer le restant de sa clientèle.
Comme le reste de ses connaissances, M. Vézina a appris à faire de la caricature en pratiquant sans relâche et en apprenant sur le tas. «J'ai écouté des vidéos sur le net pour m'inspirer et je me suis mis au boulot. J'adore faire de la caricature, je me sens comme un marchand de bonheur durant les festivals!»
Pour les fresques, l'homme a suivi une formation à la maison Michel Nadaï, qui est reconnue pour avoir peint des oeuvres pour la reine d'Angleterre. «C'est la seule préparation que j'ai reçue et j'ai appris beaucoup de choses techniques durant ce séjour en France. Je ne regrette pas d'y être allé», termine celui qui spécifie que le travail des vitrines est celui qu'il préfère en raison du caractère physique du labeur.
Voici une vidéo pour observer Denis Vézina durant son travail. Il est aussi possible d'en savoir plus en allant sur la page Facebook de Nicosim Illustrations. //www.youtube.com/watch?v=b2BMY1VQZq8
Un autre travail terminé
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victorcravello-blog · 6 years
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26 Novembre – Paul, de Michel Rabagliati
Les récits les plus ordinaires résonnent parfois chez moi avec beaucoup de force : c’est le cas de la série de bande dessinée Paul, autofiction qui se déploie sur six tomes. Michel Rabagliati, graphiste et illustrateur Québecois, y raconte des moments-clefs de la vie de son alter ego, Paul, garçon sans histoire né en 1961 dans la banlieue de Montréal. Dans Paul à un job d’été, on le voit animer une colonie de vacances, Paul dans le Nord raconte une année à la  « poly » (équivalent du lycée) Paul à Québec la mort de son beau-père… Si les procédés narratifs utilisés sont variés (un tome fonctionne par flash-backs successifs, un autre est très linéaire, un troisième est une succession d’histoires courtes) ses récits ont toujours la même efficacité. Je me suis souvent laissé piéger en librairie, ouvrant un album en plein milieu et me laissant happer sur plusieurs dizaines de pages. C’est que Michel Rabagliati, en plus de dessiner d’une manière simple et agréable, dans une version à la fois souple et incertaine de la ligne claire d’Hergé, possède un sens du découpage très aiguisé. Ses planches multiplient les angles de vues et guident le lecteur à travers le récit sans jamais lasser. Que ce soit dans les décors ou les procédés graphiques utilisés, jamais rien n’est gratuit. Chaque détail à son importance et nous dit quelque chose du lieu et de l’époque décrite. Les Paul gagnent ainsi en profondeur au fil des lectures successives, chacune étant l’occasion de découvrir un détail supplémentaire. L’ensemble des tomes s’imbriquent, et chaque nouvelle sortie est une occasion d’enrichir l’univers mis en place. Au delà des ces qualités graphiques et narratives, Paul me plaît pour sa description juste et tout en finesse des comportements humains. À travers des personnages très attachants, dans leurs qualités comme dans leur défauts, Michel Rabagliati nous parle des Québecois, de leurs espoirs et de leurs peurs, de la « souveraineté » espérée qui ne vient jamais. Son récit, bien que centré sur un seul personnage, touche à l’universel.
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lapatente · 6 years
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Alias Will James
Will James, de son vrai nom Ernest Nephtali Dufault, (6 juin 1892 à Saint-Nazaire-d'Acton, Québec - 3 septembre 1942) s'est surtout fait connaître comme écrivain et artiste illustrateur aux États-Unis.
Il passe sa jeunesse dans son village natal, commençant à dessiner dès l'âge de quatre ans sur le plancher de la cuisine familiale. À l'âge de neuf ans, il suit sa famille à Montréal, où son père achète un hôtel. Fasciné par l'Ouest américain, il part en 1907 pour la Saskatchewan, où il travaille dans des ranches. En 1911, impliqué dans une bagarre à Calgary, il s'enfuit aux États-Unis, où il travaille comme cow-boy du Montana au Nouveau-Mexique. En 1914, il est arrêté pour vol de bétail au Nevada et passe quinze mois dans le pénitencier de Carson City.
Il est ensuite cascadeur dans des films à Hollywood, sert dans l'armée américaine, étudie le dessin à San Francisco et fréquente Charles Russell, célèbre artiste du Old West. En 1920, il épouse Miss Nevada, Alice Conradt, sans rien lui dire de sa réelle identité.
En 1922, il vend son premier récit intitulé Bucking Horse Riders. En 1926, il publie son plus grand succès, Smoky, qui lui vaut la médaille Newbery pour le livre jeunesse en 1927 et qui sera porté à l'écran en 1933. Il écrit son autobiographie romancée, Lone Cowboy en 1930 (portée à l'écran en 1934) pour authentifier la vie inventée qu'il s'est fabriquée. Il publie son dernier livre, The American Cowboy en 1942. En tout, il écrit et illustre 24 livres.
Il passe ses dernières années à son ranch de Pryor Creek et à sa maison de Billings, dans le Montana.
Son abus de l'alcool écourte sa vie et il meurt en 1942, à l'âge de 50 ans.
L'autobiographie de Will James a été partiellement traduite en français et publiée aux Éditions du Boréal, en 1989, sous le titre L'Enfance d'un cow-boy solitaire, avec une préface de Jacques Godbout.
L'écrivain et cinéaste québécois Jacques Godbout a réalisé en 1988 un long métrage documentaire sous le titre Alias Will James qui relate sa vie sous l'angle du mythe américain.
L'auteur-compositeur Nelson Minville a écrit une chanson intitulée Will James pour la chanteuse Luce Dufault, qui est la petite-nièce d'Ernest Dufault.
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societeaffaires · 6 years
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La maison d'édition spécialisée en bande dessinée aura pignon sur Laurier Ouest, à Montréal, lieu qui permettra de mettre en vedette les créateurs par des expositions, rencontres, animations et autres activités.
Mise sur pied par Frédéric Gauthier et Martin Brault en 1998, la maison d’édition québécoise spécialisée en bande dessinée a publié plus de 230 titres. 
Cela faisait quelques années que les deux cofondateurs chérissaient l'idée, à titre d'anciens libraires, de retrouver un contact avec les clients. «L'objectif d'une telle ouverture n'était pas de concurrencer les librairies, mais bien de l'aborder comme une salle d'exposition pour donner la chance à toutes nos productions d'être consultées», précise Frédéric Gauthier. Il explique qu'il est rare que les gens puissent être exposés à toute la production, car les nouveaux titres sont souvent mis de l'avant.
«Toutefois, le volet galerie de l'espace était aussi très important, ajoute-t-il. Nous voulions mettre en valeur nos créateurs et valoriser leur travail, que ce soit par des lancements ou des conférences.»
Outre ces raisons, le 20e anniversaire était, selon eux, le moment parfait pour concrétiser cette idée. Dans la foulée de cette ouverture, Marilou Lauzon-Guay les épaulera et sera responsable de la promotion pour la boutique-galerie, en plus d'agir de concert avec les auteurs pour favoriser une diffusion optimale de leurs œuvres.
Du collectif Spoutnik 1 au Musée des beaux-arts de Montréal
Il faut dire que la maison d'édition a parcouru du chemin depuis son premier collectif, Spoutnik 1, publié en 1998 jusqu'à l'éclosion de Michel Rabagaliti et de sa série des Paul. Celui-ci a été le premier Québécois à remporter le Prix du public Fauve FNAC-SNCF au 37e Festival international de la bande dessinée d’Angoulême pour Paul à Québec. Il a contribué à générer un véritable essor de la bande dessinée au Québec.
Forte de ce succès, La Pastèque a réussi à se faire davantage connaître comme éditeur en 2005, avec la publication du livre L'Appareil, qui a gagné des prix internationaux.
Puis, en 2009, la maison d'édition a implanté un volet jeunesse marqué par l'album Harvey, dont les textes sont signés par le poète Hervé Bouchard et les illustrations par Janice Nadeau, et qui a récolté deux prix littéraires du Gouverneur général, une première dans l’histoire de ces récompenses.
«Un autre moment charnière a été une exposition de six mois au Musée des beaux-arts de Montréal. Cela a été pour nous une présence extraordinaire.» L'établissement a en effet présenté en 2013 une exposition originale qui mettait pour la première fois en vedette 15 bédéistes ayant fait le succès de l’éditeur au fil des ans. 
Promouvoir la programmation artistique
Outre les expositions, des produits uniques seront offerts en boutique, par exemple, des sacs Paul, de dérivés de Tout garni, etc. à partir de cet automne. «Ce volet sera développé dans les prochains mois, mentionne Frédéric Gauthier. Nous voulions d'abord mettre de l'avant la programmation artistique.» C'est ainsi que l'exposition sur Tout garni, qui regroupe les œuvres de 12 illustrateurs de La Pastèque, a lieu jusqu'au 15 mai dans ce nouvel espace. 
Ces expositions sont pour le moment réservées aux illustrateurs de la maison d'édition, mais des rencontres sont en cours pour penser à des collaborations, notamment afin de mettre sur pied des programmations croisées, dans diverses disciplines artistiques. 
La programmation comprend aussi des conférences, des ateliers et des rencontres toujours dans cette mission «d'ouvrir la maison à la communauté autour et démocratiser le processus de création». Les illustrateurs Michel Rabagaliti, Geneviève Godbout et Isabelle Arseneault y seront en résidence, justement pour favoriser cet échange avec les citoyens.
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PHOTO: CINDY BOYCE
Photo: Cindy boyce
Couverture: photo de Cindy Boyce. Frédéric Gauthier et Martin Brault
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