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#les mots parleurs
ruemorinpointcom · 3 months
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Objectif Scène
Dévoilement de la troisième édition de l’événement Les Mots Parleurs Continue reading Untitled
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roger taylor x french reader - fluff (sassy roger)
hi I wanted to post a snippet from a fanfiction we're writing on Queen with my best friend. but it's in french. (2205 words)
let me know if you'd be interested in me translating my work. :)
FR : pour ceux qui parlent français, j'avais envie de poster un extrait d'une longue fanfic qu'on écrit avec ma meilleure amie. Roger rencontre Jane pour la deuxième fois avant leur concert. (2205 mots)
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On se mit en route tout en appréciant le silence entre nous. Le truc avec Mac, c'est qu'on avait pas toujours besoin de se parler, on était pas gênées par le silence, il nous faisait du bien, surtout quand on passait beaucoup de temps ensemble. Après une dizaine de minutes, nous arrivions dans le quartier universitaire où nous croisâmes pleins d'étudiants marchant dans la même direction que nous. Le tumulte autour de nous, la musique qu'on entendait du bar, les gens qui parlaient dans un brouhaha , tout ça fit monter en moi une certaine excitation. On s'engouffrait dans le couloir étroit placardé d'affiches pour des fêtes et autres événements qui prenaient place sur le campus. Je croisais quelques personnes que je connaissais de vue et je leur fis signe avant de rentrer dans la salle d'où la musique provenait. À ma grande surprise, la scène était vide des musiciens de la veille. Je reconnaissais leurs instruments, surtout la batterie avec le sourire dessiné dessus, mais la musique provenait de hauts-parleurs.
Le pub universitaire n'était pas particulièrement rempli, il était encore un peu tôt. Molly m'entraîna jusqu'au bar où elle commanda deux bières qu'on trinqua ensemble. Accoudée au bar, une fille que je ne connaissais pas s'approcha d'elle et elle commencèrent à discuter. Je jetai un coup d'œil à la scène, puis dans la salle, mais aucun musicien en vue, pas celui que je recherchais en tout cas. Je posai ma main sur le bras de Molly pour lui faire comprendre que je m'éclipsais sans l'interrompre dans sa discussion et partis avec ma pinte en main.
Je présumais qu'ils ne devaient pas être bien loin et j'entendais une certaine agitation dans le couloir. En sortant, toujours aucune trace d'eux alors je m'approchai d'une des filles que j'avais croisée plus tôt.
- Est-ce que tu aurais vu le groupe, par hasard ? lui souris-je.
La fille aux cheveux châtains me répondit qu'ils trainaient souvent à l'arrière du pub, tout en me pointant une sortie au bout du couloir. Je la remerciais et me mis en route vers la sortie. J'entendais déjà des voix provenant de l'extérieur. Je pris une gorgée dans ma bière amère et poussai la lourde porte en bois qui me fit atterrir dehors où quelques personnes étaient en train de fumer et discuter sous les étoiles. Il ne me fallut pas longtemps pour trouver celui que je recherchais ; une tignasse blonde accoudée sur le capot d'un van, en train de lui-même fumer. Il discutait avec, je présumais, les deux autres membres du groupe.
Je m'avançais sans trop y réfléchir vers eux tout en prenant quelques gorgées. Ils étaient tous les trois en pleine discussion sur leurs chansons lorsque j'arrivai à leur hauteur. Sans m'attarder plus longtemps, je m'approchais du type debout, tout en posant ma main sur son bras, je levai la tête pour regarder le grand brun.
- Excuse-moi, tu n'en aurais pas une pour moi ? lui dis-je en pointant la cigarette à ses lèvres.
Il acquiesça gentiment et sortit son paquet pour m'en tendre une que je pris avec ma main de libre pendant que le guitariste continuait de parler avec animosité. Cigarette en bouche, bière dans ma main droite, je tenais la cigarette entre mes doigts pendant que le chanteur sortit son briquet pour en allumer le bout. Il bloquait le vent avec sa main pour que la flamme cesse de s'éteindre. Pendant ce court instant où il était pleinement concentré sur ma cigarette, mon regard dévia sur ma droite et je croisais les yeux de Roger, qui était déjà en train de m'observer. Accoudé sur le van, il expirait la fumée de sa bouche tout en maintenant le contact visuel, et ce fut moi qui le brisai lorsque le briquet s'éteignit et qu'en inspirant je ressente le tabac remplir mes poumons. Alors, je reportai mon attention sur le chanteur.
- Merci pour la cigarette, dis-je en expirant la fumée avant de me détourner d'eux, sentant toujours un regard brûler sur moi.
Je marchais avec l'intention de rentrer à l'intérieur, mais je ne pus m'empêcher de sourire lorsque j'entendis une voix derrière moi accompagnée de pas qui me rattrapaient.
- Excuse-moi, dit-il alors que je me retournais vers lui.
J'inspirais un coup sur le tabac et nos yeux se rencontrèrent une seconde fois. Il avait le même regard mystérieux et intrigué qu'il m'avait lancé à peine quelques secondes plus tôt. Je me rendais compte que c'était la première fois que je l'avais vraiment en face de moi. Il n'était pas très grand, on faisait sûrement la même taille mais je portais des talons aujourd'hui, cependant ça n'enlevait absolument rien à son charme. J'étais surprise de voir que sa chemise était boutonnée de façon conventionnelle. Ça me rappelait la veille et la façon dont il était assis sur la chaise à côté de moi, comme si elle lui appartenait, comme si le pub entier lui appartenait. Évidement, je n'avais pas oublié ses cheveux blonds qui lui arrivaient jusqu'aux épaules, la première chose que j'ai recherchée dans la foule aujourd'hui.
- Tu es bien rentrée chez toi hier ? me tira-t-il de mes pensées.
Je fronçais désormais les sourcils tout en esquissant un léger sourire, pas certaine de la raison pour laquelle il me posait cette question.
- Je crois bien, oui.
- Tu crois ? à son tour de hausser un sourcil. J'ai dû te supplier de prendre un taxi car tu ne voulais pas rentrer, ria-t-il sans méchanceté.
D'un coup, la chaleur me monta aux joues, je me sentis gênée et mes souvenirs s'éclaircirent enfin. Le pub fermait, on avait trainé longtemps. Je refusais de partir et c'est lui qui m'avait trouvé le taxi. Je n'aimais pas être aussi ivre, surtout quand je me rendais ridicule devant des inconnus. Je baissais les yeux et riais de gêne, ne sachant pas comment me comporter après avoir appris qu'il m'avait vue dans un état pareil.
- Désolée, j'étais venue avec une amie, mais on s'est perdues de vue, puis on a discuté et je n'ai pas vu le nombre de verres que j'ai-
- Hey, c'est rien, t'as pas à t'inquiéter, dit-il en posant sa main sur mon épaule pour me rassurer. Ça nous arrive à tous.
Je ressentais la chaleur de sa main sur celle-ci de longues secondes après qu'il l'ait retirée.
- Tu as quand même décidé de revenir ce soir, fit-il en souriant, incapable de garder son sérieux.
Il détendit immédiatement l'atmosphère et je me laissais aller à rire tout en relevant mes yeux vers le batteur.
- Merci en tout cas. Mais ne crois pas que je suis revenue pour toi, j'accompagne mon amie.
Il fit mine de regarder autour de moi.
- Tu parles de l'amie imaginaire d'hier soir ?
Il semblait amusé par ma mine à moitié agacée. J'eus un petit sourire en coin, lui aussi. Il rit un instant à peine et amena sa cigarette à ses lèvres.
- Je ne me rappelle pas que tu m'aies dit ton nom.
Pas un mensonge, puisqu'effectivement, je ne me souvenais pas l'avoir entendu me le dire.
- Alors, ça, ça m'étonne pas, ria-t-il, cette fois-ci plus fort.
Je le jaugeais du regard pendant quelques secondes. Il avait vraiment un beau sourire, mais je n'allais pas me laisser attendrir comme ça. Ne voulant pas réagir à sa moquerie, je tournai les talons pour marcher en direction de la porte. Je l'entendis marmonner, ce qui me fit bien rigoler et avant que je ne l'entende arriver, il me rattrapa et se posta devant moi, me bloquant le chemin et me tendant sa main.
- Roger Taylor.
- Enchantée Roger, lui répondis-je en serrant sa main. Jane Stonem.
Il hocha la tête, satisfait de ma réponse et lâcha ma main. On se regarda un instant, un instant où nos yeux étaient encore une fois braqués dans ceux de l'autre.
Du coin de l'œil, j'aperçus Brian arriver à notre hauteur et tapoter sur l'épaule de Roger pour lui faire signe que ça allait être à eux de jouer. Celui-ci lui répondit qu'il allait arriver.
- J'imagine que tu as mieux à faire que de venir nous écouter, alors.
- Si tu me vois dans le pub, c'est qu'on m'y a forcée.
Un autre rictus apparut sur son visage. Il me sourit une dernière fois avant de se retourner et de s'engouffrer à l'intérieur, en bousculant quelques personnes qui tentaient de rentrer. Je me souris à moi-même en pensant à l'échange étrange qu'on venait d'avoir en tirant une dernière fois sur ma cigarette. J'aperçus, au-dessus de ma tête, le ciel parsemé d'étoiles et j'écrasai le mégot sous mon pied pour rentrer à l'intérieur.
J'avais fini ma bière et je déambulais dans les couloirs avec une question en tête : où était Molly ? Mais je ne vis que quelques personnes accoudées au mur placardé d'affiches. La foule qui y était précédemment avait dû se réfugier à l'intérieur car, alors que je me rapprochais de l'embrasure de la porte, j'entendis des applaudissements, sifflements et encouragements, et l'instant d'après, le bruit de percussions qui résonnaient et une mélodie à la guitare électrique. En rentrant dans la salle tamisée, tous étaient tournés vers la petite scène, le son de la musique devint plus claire à mes oreilles. C'était une musique entraînante, mais pas agressive, qui jouait. Je fis balayer mon regard à travers le pub à la recherche de ma colocataire, mais elle n'était ni au bar, là où je l'avais laissée précédemment, ni dans la foule à priori. 
Appuyée contre l'embrasure de la porte, mon regard continuait à balayer l'endroit jusqu'à ce que je m'attarde sur le groupe sur scène. Je remarquais évidemment le guitariste et le bassiste qui étaient debout, mais mon regard était attiré par le batteur. Bien qu'il était en retrait, c'était sa présence qui était la plus remarquable. C'était lui qui menait la danse en réalité, le chef d'orchestre, celui qui dictait le rythme. Ça lui donnait beaucoup de charisme. En plus de ça, je remarquais la façon dont sa concentration se traduisait dans ses expressions faciales. Il avait l'air parfaitement à l'aise avec son instrument, mais il se mordait parfois la lèvre inférieure. Je le voyais froncer les sourcils tandis que le rythme de la musique s'accélérait, d'une part car il se concentrait, mais aussi par plaisir. Il vivait la musique jusque dans ses expressions. Il était encore plus séduisant lorsqu'il jouait.
Soudain, alors que j'étais en train de le fixer depuis quelques longues secondes, il tourna sa visage et posa son regard sur moi. Le fait que j'étais en train de le regarder le fit sûrement sourire car je remarquais un rictus prendre forme au coin de ses lèvres. Il avait l'air satisfait et reporta son attention sur sa batterie tout en lançant quelques regards aux musiciens et à la foule tandis que la musique se terminait. Le blond tapa une dernière fois sur son instrument et lança sa baguette en l'air avec sa main droite.
Après les applaudissements de la foule, je le vis faire un signe de tête au guitariste comme pour donner un signal et une musique qu'ils avaient interprétée hier se mit à jouer. Le rythme donnait envie de bouger et j'aperçus la foule se détendre et commencer à danser. Je voulais me joindre au public alors j'ai retiré ma veste pour la déposer sur une des chaises à ma droite, là où j'avais déjà laissé mon verre vide.
Je me frayais désormais un chemin entre les gens, voulant me rapprocher de ceux qui dansaient déjà afin de les rejoindre. La musique résonnait plus fort et le public au devant de la scène bougeait sur le rythme de la batterie. L'idée que c'était Roger qui contrôlait la cadence à laquelle nos corps bougeaient me donna envie de lui jeter un coup d'œil. Ma surprise fut plus grande lorsque je me rendais compte qu'il était déjà en train de m'observer, alors que j'étais en contre-bas de la scène, en train de laisser aller mon corps. Je soutins son regard tout en bougeant légèrement la tête. Son expression n'était plus joueuse, ni la mienne d'ailleurs. Il n'y avait pas l'ombre d'un sourire, juste une intensité dans son regard qui me rendait fébrile, bien que je continuais à le regarder comme si j'étais hypnotisée. Je fus la première à briser cet échange de regards en fermant les yeux, me laissant entrainer par la musique. Je sentais la chaleur des corps qui se bousculaient autour de moi et qui me donnaient encore plus envie de bouger. En rouvrant les yeux, son regard brûlait toujours sur moi, mais il le redirigea bien vite sur son instrument, tout en entre-ouvrant légèrement la bouche. La mélodie arriva à sa fin et mon corps, toujours bercé par la musique, ralentissait sa danse.
- Merci à tous d'être là ce soir ! dit le chanteur. Nous avons Brian May à la guitare, Roger Taylor à la batterie, et moi-même, Tim Staffel, à la basse !
Les cris et applaudissements furent francs. Je me souvins à l'instant que je n'avais toujours pas retrouvé Molly et je jetai un coup d'œil derrière moi. Je l'aperçus en train d'applaudir près du bar, un peu en retrait. Contente de la voir, je souris et me mis à marcher en sa direction, mais je jetai tout de même un dernier coup d'œil vers la scène, d'où Roger me regardait.
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waloli22 · 10 months
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Chapitre surprise :
Le train de o... entre en Gare. Il monte et se dirige vers la place qui lui a été réservée et s'installe.
Tout à coup il s'aperçoit qu'il est le seul passager dans ce wagon. Étonnant ! D'habitude pour cette destination il y a du monde. Il s'apprête à aller voir si il ne s'est pas trompé de train quand le haut parleur se met à raisonner. " départ dans quelques minutes pour Paris, ( Ce qui le rassure). La voiture numéro 5 à été réservé exclusivement pour monsieur O... ". Avant que O... n'est eu le temps de s'interroger à propos de cette réservation mystérieuse, les rideaux se baissent un à un et plonge le wagon dans la pénombre. Une silhouette arrive au loin, vêtue d'une guêpière rouge, porte jarretelle de la même couleur, bas et string noir, de splendide escarpins à talons aiguilles. Mais cette mystérieuse inconnue porte un masque qui l'a rend non identifiable. Elle s'assoit en face de lui, écarte les jambes et lui dit "as tu une langue suffisamment vaillante pour assouvir mon désir imminent ?" Ne sachant pas à qui il avait à faire il refuse catégoriquement. Un coup de cravache lui rapelle qu'il n'est pas en position de refuser. Timidement il s'agenouille, le string prévu à cet effet laisse le passage à cette langue qui exécute délicieusement se qui a été demandé. Au premier contact il devine de suite que c'est bien V... ouf !
Après avoir été habilement rassasiée elle se lève subitement et s'éclipse sans un mot. Surpris et malgré tout très déçu que ce moment soit aussi éphémère, Il regagne son siège en restant sur sa faim... les rideaux se lèvent laissant de nouveau pénétrer la lumière ce qui permet de voir que l'effet produit est bien visible, mais attention il a interdiction de se faire plaisir seul sans autorisation de sa maîtresse... bon voyage Mister O.
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Un enfant n’apprend pas le langage en grandissant ; c’est au contraire le langage qui le fait grandir. (…) Je dirais volontiers qu’un enfant, lorsqu’il conquiert le langage, reproduit en quelques années le parcours que les premiers « hommes parleurs » ont mis infiniment de temps à tracer. Ce sont dans leurs pas qu’il met les siens, ce sont les mêmes impasses dont il s’échappe, c’est la même ambition qui le porte. Chaque enfant, balbutiant ses premiers mots, célèbre le projet de l’homme d’imposer par le verbe sa pensée au monde. Créateur bien plus qu’imitateur, découvreur plutôt que suiveur, il construit sa langue et ne reproduit pas celle des autres. Bien sûr, il s’appuie sur le modèle d’une langue constituée mais, ce modèle, il ne le décalque pas, il le comprend dans ses finalités et ses mécanismes. Il n’obéit pas servilement à une programmation génétique, il répond à l’appel ancestral du verbe.
Alain Bentolila. Le propre de l’homme. Parler, lire, écrire. 2000
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pikmininaplane · 1 year
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Pour le "commentaire DVD des fics" 👀
J'ai bcp hésité au sujet de quelle fic demander mais je suggère Le Passe Muraille ? Parce que cette fic vit dans ma tête en ce moment
De "- Pas besoin. Le docteur Maison sait exactement où je suis. »
Jusqu'à "Sous leurs pieds, le monde n’était plus."
Voilà, je suis très curieux de voir tout ça :D
(Referring to this ask game)
Aslkjds j'avoue que j'ai été surprise que cette fic plaise autant X) Mais je vais pas me plaindre, hein, j'en suis ravi~
Par contre ça m'a fait réaliser que. 500 mots c'est vraiment un tiers de la fic 😭Mais bon, les histoires les plus courtes sont les meilleures ou whatever
- Pas besoin. Le docteur Maison sait exactement où je suis. »
La voix du docteur Holloway avait adopté un ton étrange, presque absolu, comme s’il ne doutait pas un seul instant de ses mots.
(L'idée ici c'était d'introduire la nature surnaturelle d'Holloway, de la suggérer sans être explicite, par le biais de Maison, que j'imagine soit être aussi surnaturel que son second, soit être conscient de sa nature ; d'ailleurs la ligne d'avant, où Marcello évoque Maison, est la dernière ligne de la fic que j'ai écrite, parce que j'avais du mal à trouver une formulation qui soit pas un peu forcée (vu qu'il me semblait pas naturel que Marcello mentionne Maison comme ça) mais au final j'ai. Abandonné et pris ce qui me passait par la tête 😭 C'était pas si important que ça isoké)
Marcello, qui ne l’avait pourtant pas vu sortir son téléphone, supposa qu’il avait dû être distrait et ne se questionna pas plus longtemps.
(Pareil, ici Marcello a un doute, mais il le refoule, que ce soit par tendance humaine à rationaliser ce qui se passe autour de lui ou à cause de l'aura d'Holloway...~)
« … Et vous ? » finit par lui demander le médecin, tout aussi maladroit que l’avait été l’italien avant lui. « Votre ami vous attend, c’est bien ça ? »
Ah ? Marcello baissa les yeux vers l’écran de son appareil, pour constater qu’en effet, Liam, bien loin de continuer à vaquer à ses occupations, comme le lui avait demandé son partenaire de crime, avait décidé de l’attendre à l’accueil de l’hôpital. « Ah… oui, on dirait bien, oui.
(Encore une fois, Holloway en sait plus qu'il ne devrait... :) Par contre je suis sûre à genre. 75% que partenaire de crime ne se dit pas en français (ptite traduction directe de partners in crime yk yk) mais je cherchais une autre expression qu'ami pour maintenir le "doute" sur la relation Marcello-Liam ici (ce qui. n'avait pas vraiment d'importance en vrai, surtout que j'utilise ami à la fin du texte, mais let's go hein X)))
- Il a l’air d’être… » commença Holloway, avant de s’interrompre, comme incertain du terme à employer, avant de souffler : « Un bon ami. »
(Les bons amis à la Miraculous, si vous voyez c'que j'veux dire 👀)
Marcello acquiesça sans un mot.
Le silence revint s’installer entre les deux hommes. Le haut-parleur de l’ascenseur restait muet ; personne ne semblait particulièrement motivé à venir les chercher.
Après un long moment, Holloway soupira.
« Monsieur Capone ? Est-ce que vous me faites confiance ? »
Oh. Il avait retrouvé ce ton qu’il avait plus tôt, cette voix sérieuse et solennelle, cette aura de calme prophète.
(Pourquoi prophète ? You tell me, ça sonnait bien c'était un peu mystique c'est tout X))
Marcello n’aurait déjà pas hésité à faire confiance au médecin en temps normal – il l’avait laissé lui recoudre un poumon dans la poitrine, après tout – mais à cet instant précis, il se sentait comme… envoûté. Comme prêt à suivre cet homme jusqu’au bout du monde. Comme prêt à mourir pour lui, s’il le fallait.
(Marcello à peine dramatique 😭 Mais il faut le comprendre, il est sous le charme d'un dieu, après tout~ D'ailleurs les tags de la fic disent "Somehow I wrote about these two and only mentioned the lung once" et c'est parce qu'à la base c'était "Somehow I wrote about these two and never mentioned the lung" mais en me relisant j'ai réalisé que c'était. Juste faux X'))
Il se contenta de hocher la tête.
« Et… » Le regard du docteur se fit plus ferme. « Est-ce que je peux vous faire confiance ? »
Oui. Jamais Marcello n’aurait envisagé de le trahir.
Il hocha à nouveau la tête.
Un sourire se dessina sur les lèvres d’Holloway.
« Bien. Dans ce cas, je vais vous demander de vous tenir à moi, de fermer les yeux, et de ne pas poser de question. Pensez-vous pouvoir faire ça pour moi, monsieur Capone ? »
Oui. Sans aucun doute.
Marcello fit un pas vers le médecin dans l’espace limité de l’ascenseur, et, fermant les yeux, entoura sa taille de ses bras.
Il ne réalisa qu’alors la nature de son acte. Qu’est-ce qui lui était passé par la tête ? Il avait agi comme malgré lui, avait succombé à une force qui lui était inconnue, et se retrouvait plus proche encore du docteur, son torse pressé contre le sien, son visage niché dans le creux de son cou. Il se savait plus qu’il ne se sentait rougir. Peut-être était-il encore temps de reculer, de s’excuser auprès d’Holloway, de–
(L'aura d'Holloway qui glisse juste assez pour que Marcello ait honte de son geste~ Probablement le seul passage 'romantique' de la fic, en vrai d'ailleurs– pardonnez-moi je suis trop aro pour ces bêtises 😔 /hj)
Holloway plaça un bras autour de sa taille.
Sous leurs pieds, le monde n’était plus.
(Téééléportation ✨✨ L'idée c'était que comme pour les bugs de GTA, ils se retrouvent sous la map/la map charge pas tout de suite donc ils sont un peu dans le vide, m'voyez,, d'ailleurs comme l'a commenté Hades, j'avais beaucoup En Apesanteur de Calogero dans la tête en écrivant cette fic, et particulièrement ce passage X))
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vabazeri · 9 months
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Jour 11
Red était plus calme depuis quelques temps. A force de lui répéter les choses, il avait fini par me lâcher un peu la bride, enfin, depuis que son nouveau médecin lui avait dit surtout...
Étonnant, par 3 fois les médecins qu'ils avait croisé lui avait chanté mes louanges quand au fait que je prenne "soins" de lui, lui faisant gentillement comprendre que je n'étais pas obligé mais que cela me coûtait de l'énergie et du temps... Du coup, il a pris du recul et me foutais plus la paix. Mais en me rappelant régulièrement au combien il était bien de me laisser respirer pour me reposer de m'occuper de lui...
Mais je m'en plaind pas, avec cette liberté naissante j'ai réussi à lui faire comprendre que j'avais vraiment besoin d'un numéro de téléphone fonctionnel, notamment pour l'administration et dans le but de pouvoir travaillé. C'est le minimum si je voulais reprendre une indépendance financière.
Petit à petit, je le laisser ce débrouiller seul avec sa main, je lui demandais aussi à dormir seule car des qu'il était là, je dormais pas avant 4-6h du mat... Bah oui, il faut une oreille pour l'écouter radoter et digresser... C'était insupportable, la maison était constamment emplie de blabla inutile que cela vienne de lui ou de ses vidéos des réseaux sur haut parleur.. Et quand t'as envie de dormir ou la migraine, c'est vraiment insupportable.
Mais voilà, ce fut de courte durée, il a fini par me capter à discuter avec Hades, s'en ai suivis une embrouille sans nom mais je j'ai réussi à calmer par je ne sais encore quel miracle...
J'en pouvais plus de cette situation... J'étais épuisé, seule et je n'avais plus d'espoir...
Dans un dernier cris d'agonie, j'ai envoyé un message à Hades...
"tu ne me dois rien, je ne te dois rien, on est pas ensemble"
Ses mots résonnaient dans ma tête comme un marteau piqueur me rappelant à la réalité. Tous ses moments passer ensemble n'avaient donc eu aucun impact ? Toutes ses fois où j'ai jouer avec le feu et fait tomber mon armure était donc vain...
Je déteste faire ça mais j'étais au plus bas, alors j'ai demandé si mon espoir était vide de sens...
Oui
Je le savais, j'y ai cru, vraiment... Ma vie ne sera donc qu'un enchaînement de malheur et j'étais voué à être malheureuse toute ma vie...
Déprimé, au bout de ma vie, j'ai fini par m'écrouler de fatigue, en larme...
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angellyslion · 1 year
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BioDadClarkKentxBioMumBruceWayne
J'ai découvert que les Dupain-Cheng ne sont pas mes parents biologiques après leur mort dans un incendie. Je suis sûre que c'est un coup de cette sale vipère de Lie-la. Le jour de l'incident, j'étais chez Chloé pour une pyjama party.Depuis que tout le monde est tombé amoureux des mensonges de Lie-la, tout le monde m'a tourné le dos. Sabrina a laissé tomber Chloé. La blonde s'est excusée et nous sommes devenues les meilleures amies.La lettre écrite en anglais disait
Bonjour aux heureux parents qui ont adopté ma fille, j'aurais voulu garder ma fille avec moi. Malheureusement, je ne peux pas le faire pour des raisons personnelles. Son père ignore tout de son existence. Je m'appelle Brianna, j'ai laissé mes coordonnées si Martha veut prendre contact avec moi. Je ne la forcerai en rien. Je peux comprendre qu'elle veuille que je ne fasse pas partie de sa vie. Et je respecterai ce choix. Après tout je l'ai abandonné. Si elle veut prendre contacte avec moi, elle peut m'appeler au numéro inscrit derrière cette lettre.
Amicalement Brianna
« Tu comptes faire quoi ?
-L'appeler et obtenir des réponses sur son abandon et savoir qui est mon père.
- Tu veux que je reste avec toi !
- Oui j'ai besoin de soutien.
- Il n'y a pas de soucis !
Je compose le numéro de téléphone en espérant qu'il n'a pas changé entre temps et le met en haut-parleur.
- Oui allô, comment puis-je vous aider ?
- Allô j'espérai pouvoir parler à une Brianna c'était pour parler d'une certaine Martha. Je réponds peu sûre de moi.
- Je suis son majordome je vais vous la chercher. Ne raccrochez pas.
- Bien sûr. Après plusieurs minutes d'attente, une voix féminine se fait entendre.
- Bonjour ?
- Bonjour, je me présente je m'appelle Marinette et jusqu'à peu de temps j'ignorai que j'étais adoptée. Je l'ai découvert suite à l'incendie qui a tué mes parents. Et j'ai découvert la lettre qui accompagnait mon landeau. Si je vous appeler c'était pour en savoir plus sur qui vous êtes et savoir qui est mon père. Durant mon petit monologue, j'ai bégayé sur certains points et j'avais du mal à trouver mes mots.
- Cela sera avec grand plaisir. Où habitez-vous ?
- J'habite chez ma meilleure amie au Grand Paris.
- Je serai là demain matin. Cela serait plus simple de se parler face à face.
- Ne vous donner pas autant de peine, la semaine prochaine, nous sommes en grande vacances.
- Je viendrai demain, j'ai un jet privé cela sera plus simple pour venir.
- Bien, je n'ai pas d'argument pour la contrer. En revoir et à demain.
- En revoir. Je raccroche.
Je ne pensais pas rencontrer ma mère aussi vite après la découverte. J'aurai espéré que nous apprenons à nous connaître avant la rencontre.
De l'autre côté du continent.
Brianna Wayne souffle. Elle a gardé une trace sur sa fille toutes ses années. Elle est son seul enfant biologique. Même si elle avait abandonné uniquement pour la protégée, elle aimait plus que tout et elle voulait la voir grandir.
Sa plus grande difficulté était de garder l'identité du père secret. Même si sa précieuse Martha était le fruit d'une soirée bien arrosée, elle avait aimé en secret le père de son enfant et elle l'aime toujours malgré la situation actuelle.
Elle sent une présence dernière elle se retourne pour tomber sur les yeux du père de sa fille.
- À qui as-tu parlé ?
- Cela ne te concerne pas Clark.
- Si ! Tu t'opposes à moi alors cela me concerne Brianna.
- Tu as imposé un régime de terreur. Tu as bafouillé les règles de la Justice League. Je n'ai plus rien à te dire !
- Tu as de la chance que je ressente quelque pour toi, car sinon tu serais morte depuis longtemps Brianna. Tu serais morte au moment où tu m'a défié la première fois. Seul l'amour que j'ai pour toi te protège d'une mort certaine. Maintenant tu vas répondre à ma question avec qui tu téléphonais. Ne teste pas patience.
- Ma... Notre fille Martha. La femme souffle. Elle a eu treize ans la semaine dernière. Et je la rencontre demain que tu le veuilles ou non.
- Comment ça notre fille !?
- Il y a quatorze ans après un gala que j'ai organisé dont je t'ai invité en tant qu'ami et journaliste. Nous avons beaucoup bu et nous avons fini par avoir une partie de jambes en l'air et lors de cette même nuit Martha a été conçue. Durant les neuf mois de grossesse, j'ai tout fait pour la cacher. Une fois née, j'ai fait des tests pour savoir si elle avait tes capacités et ce n'était pas le cas. Je l'ai placé dans un orphelinat en France je ne voulais pas qu'elle soit embarquée dans le monde des superhéros et je ne voulais aussi pas l'exposer à la presse. J'ai toujours veillé sur elle sans qu'elle ne le sache. J'ai aussi caché aux garçons. La seule personne qui était au courant de son existence est Alfred. Maintenant que tu as voulu ce que tu voulais, tu peux me laisser toute seule !
- Non ! Je vais t'emmener dans ta nouvelle maison et je vais aussi récupérer notre fille et toutes les deux vous ne me quitterez plus ! Je ne vous laisserai plus partir loin de moi ! Tous les trois nous serons une famille heureuse. »
L'homme d'acier endort la femme et la transporte dans sa tour. Demain il récupéra sa fille. Et tout sera parfait. Il aura une famille et c'est tout ce qu'il souhaitait. Il avait perdu la première qu'il avait, il n'allait pas perdre la deuxième chance que la vie lui donnait.Il devait juste trouver un plan pour récupérer sa fille. Et il avait moins de vingt-quatre heures pour le créer.
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lounesdarbois · 2 years
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Du rap à Netflix, l’américanisation de nos mentalités européennes est-elle pour vous irrémédiable ?
Cela dépend à quel âge. Le goût bien formé s’acquiert par l’éducation, il exige du temps, un apprentissage par essais et par erreurs. L’intuition, elle, est innée, elle nous aide à trouver notre vocation, à identifier nos « dégoûts très sûrs ». Hollywood et Wall Street flattent nos penchants faciles, cette fausse Amérique est une fabrique de snobisme, elle excite la volonté mondaine de se démarquer, de se montrer, de se faire valoir. Snobisme de mauvais goût comme vous le savez, mais relayé, célébré partout... Vaincre le snobisme suppose d’intimider les snobs, de leur faire honte avec plus fonctionnel, plus raffiné, plus charmant, en somme de les rendre ringard, de démoder la mode elle-même. C’est facile sur le long terme car le snobisme vieillit mal, mais le ridiculiser lorsqu’il est jeune et insolent, immédiatement, est une prouesse plus élevée. Regardez le rap de 2002 avec le XXL velours, les slips sur la tête, le style Fifty Cent et les autres... On croit rêver. Comment de tels déguisements ont-ils pu faire la loi ? Les modes s’évanouissent, le classicisme seul sort vainqueur de l’épreuve du temps. Il existe un classicisme du vêtement de sport, de la musique électronique, de l’immeuble d’habitation, de tout. C’est non pas une forme intemporelle mais l’esprit intemporel de la forme la plus adéquate à une séquence de long terme donnée, forme à laquelle on ne peut alors plus rien ajouter ni retrancher. Élie Faure, Pierre Fournier, Hédi Slimane et d’autres vous en diront plus !
Observateur de la vie à travers son expression quotidienne et urbaine, en quoi la « rue » a-t-elle changé en 30 ans ?
Un mot : féminisation, un livre : Vers la féminisation. Les filles, même voilées, sont féministes. « Le féminisme n’est pas une idéologie mais une ontologie » (Félix Niesche). Les racailles qui avaient le crâne rasé ont les cheveux longs et le visage épilé, ils foncent au sucre comme des odalisques de harem (Capri Sun, Nutella, Red Bull, Mc Flurry, etc), et aux nourritures néfastes à la virilité. Les jeunes vivent enfermés dans un triptique écrans/sucre/drogue, soit immobilité/calories sans emploi/sensations sans effort. Mais la « muscu » sous « protéine » est probablement l’écueil symétrique : le bip de portique, la salle climatisée, les écouteurs pour couvrir le tam-tam sur haut-parleurs, le bilan comptable protéines absorbées contre calories dépensées, le « programme » sur des « machines », le narcissisme du corps à « acquérir » qu’il faut ensuite « vendre » sur un marché type Tinder (et qui mène à l’homosexualité), ce sont des idées assez curieuses.
La rue n’a plus sa « street credibility ». Que peut bien signifier une notion comme l’underground aujourd’hui ? Les bandes qui traînent par désœuvrement en cherchant « s’il y a moyen de gratter » sont crédibles jusqu’aux années 1990 mais guère plus loin, pour des raisons technologiques. Un « mec de rue » smartphone en poche avec 30 applications dessus sera éventuellement un singe connecté à un robot central mais certainement pas un prolétaire qui a faim ni un bonhomme. Toute cette connectivité fébrile pue l’angoisse du face-à-face solitaire avec la vie. « Rue », cela évoque la vieille pierre, les intempéries, la débrouille virile. La rue est devenue l’antichambre de la clinique esthétique. C’est un paddock pour hommes qui attendent que l’on mise sur eux en attendant de délivrer une performance entièrement domestiquée. Dans la métaphore de la comédie humaine comprise comme un hippodrome, qui sont les maquignons ?
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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sports-100-buzz · 1 month
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Ndiaganiao ! Voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye. Une contrée qui d’un coup nous devient familier. Notre voyage débute à la gare routière de Mbour. Une âcre fumée jaillit d’une vieille carlingue dit 7 places. Sa couleur blanche ne l’est plus que de nom. A l’intérieur, l’état des sièges vous donne la nausée. Une peau de banane goulûment mangée jonche le pose pieds de siège. La ferraille ! Ah ! Encore renseigne sur l’âge de l’engin. Ndiaganiao : voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye Distillant des chants religieux à l’aide d’un haut-parleur, ce vendeur de pièces détachées interpelle,” vous allez où “ ? A Ndiaganiao “, ‘nous rétorquons. « Bon voyage et nous voulons Diomaye comme Président » ajoute t- il. « Alors ! On y va », nous lance, le chauffeur, nous prenons place. Le pied sur l’accélérateur. La ferraille crache encore une âcre fumée et c’est pour un voyage au royaume d’enfance de Diomaye. Coalition Diomaye Président tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités 1 →A lire aussi Révélations des premiers mots de Diomaye Faye : «Que ce soit Sonko ou moi…» Un chemin rude et cahoteux des arbres épineux défiant la rudesse du climat. Une végétation de steppe défiant vent et chaleur. Ah ! la chaleur. Qu’il fait chaud ! De loin se dégagent des nuages de poussière s’effritant au fur et à mesure que l’on s’approche. Des chèvres errantes. Bassirou Diomaye Faye, Hannibal Djim et Seydou Nourou Ba face au Juge d’instruction ce mardi Un cabri en chaleur désespérément tente de s’accoupler avec une femelle. Qui n’en voulait pas. Acculée sous un épineux arbuste, elle finit par s’échapper gambadant de toutes ses forces vers une autre direction. Tout rappelle, le caractère rural de la contrée. Des vaches beuglant, un cheval hénissant, un chien qui aboie et engage une course poursuite dernière ce vieux engin. Bassirou Diomaye Faye admis au 2e tour du contrôle de Parrainages →A lire aussi Mesures draconiennes contre Bassirou Diomaye : la coalition « Diomaye Président » tire la sonnette d'alarme sur l'insécurité de leur candidat et averti les autorités Avant, d’oublier, le chauffeur lui aussi, usé qu’il est. Conduit dangereusement son vieil engin. Le tout dans un nuage poussière. Le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue Caravane de la Coalition Diomaye Président 2024 en direct 1 Une piste sablonneuse s’offre à nous. Elle semble interminable. Une piste en chantier et des dunes de sable s’agglutinent. Des baobabs éparpillés s’abreuvant de poussière. L’air est poussiéreux. 12h. 25. Notre voyage continuant sur le chemin de Ndiaganiao dans les méandres de la steppe têtue et aride. Une piste sablonneuse et une autre en latérite en construction le rouge et le gris se côtoient. Ils sont parallèles. Au loin un nuage de poussière. Ndiaganiao voyage au royaume d’enfance de Bassirou Diomaye Faye OK →A lire aussi Libération de Bassirou Diomaye Faye : Macky Sall a pris position « Il y a à faire dans cette contrée s’exclame le vieux sexagénaire », à bord. Une végétation et un climat déroutant vous agace. Subitement, une fraîcheur. Une oasis en plein désert. Ndiaganiao s’ouvre infiniment à nous. Nous laissant le choix de narrer une histoire celle de leur fis. Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
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reussir-a-tout-prix · 1 month
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ouyander · 1 month
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naantokhi · 1 month
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katakaal · 1 month
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ka9oukeuktakal · 1 month
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