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#rackham le rouge
vincentb95 · 1 year
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thewul · 3 months
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Du rôle des énigmes dans cette série? C'est un point important Professeur, il y a une continuation avec Le Secret de la Licorne, cependant nous plaçons la résolution de ces énigmes auprès d'autres protagonistes, Rackham Le Rouge dans Le Mystère de L'Aiguille Creuse, et également Rascar Capac dans Grantley Hall Voila, et quoi d'autre? Une diversification du rôle de principal protagoniste, oui ce sont les aventures de Tintin, mais nous avons d'autres personnages qui prennent le devant, en somme nous exploitons le capital que Hergé nous a légué, la bande habituelle est présente dans la plupart de ces albums, parfois elle ne l'est pas, comme dans Le Mystère de L'Aiguille Creuse vu le contexte historique de l'album Nous avons des albums ou ces autres personnages sont les stars absolues et elles le méritent, c'est la qualité des personnages de Hergé qui veut cela, Rackham Le Rouge, Rascar Capac, Mitsuhirato, Rastapopoulos, Omar Ben Salaad ou Abdallah ont de la matière, sont des personnages a part entière Et vous proposez 2 nouveaux personnages? C'est le challenge Professeur, Herr X et La Veuve Noire, ajouter a l'existant, que ce soit la diversification des personnages principaux ou l'introduction de nouveaux personnage cela n'est possible que dans le cadre de cette série, cela fait partie de ses chantiers Un autre chantier essentiel est de faire la liaison entre les nouveaux albums et les précédents, notamment au niveau des personnages secondaires, il faut exploiter de manière extensive la liste des personnages existants, pour les inclure ce qui crée une continuité entre la première série et la seconde Y en aura t il une troisième? On ne sait pas Professeur, réussir cette seconde série me paraissent déjà un chantier et un travail énormes, des scénarios fouillés de qualité issus d'un travail collégial, qui essentiellement continuent le narratif existant des personnages principaux et secondaires, des artistes de la ligne claire pour un rendu esthétique sans accrocs, un travail graphique de haute qualité car l'histoire et les planches, savoir créer les atmosphères qui sont également la marque de fabrique de Hergé, le danger, le mystère, l'intrigue, la découverte, le dénouement, les amitiés, les convictions, criminelles chez certains, les états d’âmes Mitsuhirato qui pleure de remords d'avoir sauvé Tintin dans Tintin au Japon, et alla barakati llah comme on dit chez nous Avec la bénédiction de Dieu! Par ou commencer? Excellente question Professeur, il y a des albums pour lesquels nous avons plus de matière c'est certain, cependant pour rester fidèles a l'esprit d'Hergé il faut tout mettre a plat, ces albums ne doivent pas être des épisodes isolés Il existe une trame a dégager entre ces différents albums, trame qui est la continuation des albums existants, cette trame doit devenir visible car tout découle de la Il nous faut dans un premier temps obtenir cette vue d'ensemble détaillée qui liste et fait intervenir les différents personnages, le comment et le pourquoi, qui continue les albums existants, donc par ou commencer, par tous, sans autres impératifs de temps ou de production que d'amener des albums dignes d'Hergé Bravo! Merci Professeur, notre storyboard concerne 12 albums, et par extension 24 albums, c'est pour cela que l'on parle du monde d'Hergé, c'est le sens de son oeuvre et la raison de sa réticence a ce que ces albums continuent, nous allons dessiner un nouvel album, l’exécution graphique n'est que la partie visible, il faut reprendre la trame des 12 albums existants, excepté peut être l'Alph Art pour aboutir, et cela Hergé ne l'a pas dit mais il fallait le comprendre
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litanumb · 3 years
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Fanarts of some characters from "Tintin".
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tintin-is-my-life · 4 years
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Edit - Sakharine vs Haddock from the movie
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buruzaitama · 4 years
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Random Red Rackham pencil sketch... *Don't repost *
.Red Rackham © Hergé
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tintinmistakes · 5 years
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Today I decided to color and translate some old advertisements for Red Rackham' s Treasure!
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alexar60 · 3 years
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Le galion
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« Cela faisait trois jours que je naviguais sur l’océan Atlantique ; trois jours tranquilles jusqu’à l’apparition soudaine d’une tempête. L’orage grondait, le vent était si puissant qu’il poussait les vagues par-dessus mon voilier. Je n’avais jamais connu une pareille tempête pire que les quarantièmes rugissants, je m’attendais à chavirer tellement mon bateau tanguait.
Tout-à-coup, plus rien ! Le calme régna sur la mer devenue brutalement blanche. D’ailleurs, un épais brouillard apparut. Je pensai me trouver dans l’œil d’un cyclone, là où il ne se passe rien. Sorti de la cabine, j’observai avec étonnement ce silence inquiétant. De plus, je ne voyais même pas à plus d’un mètre devant le bateau. Par contre, j’entendis un bruit étrange provenir de loin. En tendant l’oreille, je compris qu’un objet approchait à grande vitesse, le fracas sur l’eau se faisait de plus en plus pressant. Puis, il apparut comme en plein jour ! Il était là, à quelques mètres de mon voilier ! C’était un galion espagnol du temps de la grande armada. Il paraissait vieux, abimé en quelques endroits comme si il venait de subir quelques impacts de boulets après une bataille navale.
Je regardai le navire qui ne s’arrêta pas. Il voguait, ses voiles déchirées gonflaient alors qu’il n’y avait aucune brise. J’entendis quelques cris provenir du pont sans  remarquer de marins. Il continua sa route et dès qu’il disparut dans la brume, celle-ci disparut aussi. Il n’y avait plus de tempête, il n’y avait plus de brouillard, il restait juste mon bateau, le bruit de la houle contre la coque et la lune radieuse dans un ciel étoilé et magnifique. Fatigué, je m’endormis laissant le pilote automatique garder le cap. Je voulais atteindre le Brésil avant de tenter la traversée du Cap-Horn.
Le lendemain, après avoir vérifié que rien ne fut cassé durant l’orage, j’appelai mes proches. Malgré quelques grésillements, je pus discuter avec la famille et des amis qui suivaient mon périple. Ils racontaient mon voyage via internet et quand je pouvais j’ajoutais sur le blog crée à cet effet, des messages ou des petites vidéos présentant la nature, l’océan et mes rencontres. Il fut difficile de parler de ce galion. Toutefois, j’expliquai avoir croisé le chemin d’un navire ancien, certainement une expérience scientifique comme une reconstitution. Mais, je n’ajoutai rien de plus.
Au cinquième jour, je réalisai que je dérivais car mes outils de navigation étaient détraqués. Alors, reprenant la vieille méthode, je tentai tant bien que mal de retrouver mon cap. Et pour compléter mon malheur, la radio ne fonctionnait plus. Je n’avais plus aucun contact avec le monde extérieur. Je n’avais plus qu’à espérer rencontrer un cargo ou un bateau de croisière pour m’aider à rejoindre le littoral. Cependant, mon voilier avançait toujours au gré du vent.
Cette nuit fut marquée par une nouvelle tempête. Elle fut tout aussi atroce que la précédente avec des vagues de trente mètres de haut. Mon bateau tanguait de plus en plus, je crus même qu’il allait se couper et comme pour la précédente tempête, elle s’arrêta subitement.
Encore une fois, je découvris me retrouver au milieu d’une purée de pois. Le brouillard occupait toute la surface de la mer. Il se déposait presque sur l’eau tel un morceau de coton trop léger pour couler. Je cherchai à savoir par où aller puisqu’on ne voyait plus le ciel. J’espérai qu’il ne resterait pas trop longtemps. Soudain, un vacarme résonna au loin. Son écho approchait lentement au son des mouvements de la mer. Et puis, il est revenu.
Le galion est sorti de la brume à un rythme saccadé. Il n’y avait toujours pas de vent mais sa triste voilure gonflait le faisant avancer vers ce qui me semblait être le nord. Je ne comprenais pas comment il avait fait pour me dépasser à moins que ce soit un autre bateau. Je pris mon téléphone portable et filmait ce majestueux bateau fantôme. Il était toujours dans un piteux état, troué en plusieurs endroits. Une des voiles était si déchirée qu’elle pendait tel un pavillon de corsaire. Je filmais sans réaliser que mon portable ne marchait plus. Le bruit, les cris des marins me firent froid dans le dos. Ils parlaient un langage étranger mélange d’espagnol d’anglais et de français. Soudain, il s’arrêta à quelques mètres de mon voilier.
Je pouvais compter le nombre de canons sur les deux rangées qui se présentèrent à ma vue. Le bois semblait pourri, son aspect morbide reflétait dans l’eau qui vacillait ; la mer tremblait comme si elle avait peur du galion. Lentement, son apparence glaçait mon sang comme elle gelait l’océan qui devenait de plus en plus blanc se confondant avec l’épaisse brume. Le bateau prenait une forme de squelette et je commençais à avoir peur de ce qui pouvait arriver.
Une échelle de corde tomba brusquement le long du navire. Je ne remarquai pas que mon bateau avançait dans sa direction. Une fois au pied du galion, une tête apparut brusquement. L’homme m’invita à monter. Je refusai mais il insista signalant que je coulais. Effectivement, j’avais les pieds dans l’eau et déjà mon bateau s’enfonçait lentement laissant échapper quelques bulles. Dès lors, je me résignai et acceptai de grimper sur ce monstre de la mer qui pourtant, ne m’inspirait pas confiance.
Ils étaient nombreux à me regarder. Marins sans âge en tenue délabrée, certains ne portaient que des haillons, d’autres gardaient un aspect plus noble et plus récent bien que leur teint restait blafard d’un blanc vert qu’on trouve sur la peau des cadavres. Aucun ne me salua ni ne me souhaita la bienvenue. Je tournai la tête et remarquai au large le mat de mon voilier qui s’enfonçait dans la mer. Puis, plus rien… que du blanc autour du galion.
Depuis ce jour, je travaille sur ce navire à nettoyer constamment le pont ou à déployer la grande voile qui, malgré son aspect de lambeau, ne s’effondre jamais. Je travaille sans discontinuer. Je n’ai jamais sommeil, je ne suis jamais fatigué. Parfois, on s’arrête pour récupérer un naufragé ou un type tombé d’on ne sait où. Tout le monde fait la même chose que moi sauf le capitaine qui reste à conduire le gouvernail. Il ne bronche jamais, il ne parle pas non plus. Il se contente de conduire fixant la route vers l’horizon. L’eau, le gel glisse sur son habit toujours couvert de poussière. Son chapeau rappelant les pêcheurs de Bretagne ne décolle jamais au vent. Il regarde devant lui alors qu’il n’a plus d’yeux mais deux trous à la place. Pourtant, il sait où on va et pourquoi nous y allons. »
Quand Yann découvrit la bouteille sur la plage, il pensa à une chasse au trésor. Se souvenant des livres de sa jeunesse sur les pirates, il se voyait déjà partir en expédition avec quelques amis à l’instar de Tintin et du capitaine Haddock en quête du trésor de Rackham le rouge. Aussi, fut-il surpris de lire ce récit qui le laissa perplexe. Pendant ce temps, son chien restait assis dans le sable la langue pendante. Il attendait que son maitre reprenne son petit footing matinal.
De son côté, le sportif s’assit à son tour pour relire ce qu’il venait de trouver. Le papier était jauni sans datation précise. Il relit surtout la fin en repensant à une vieille légende qui court dans la région depuis que l’homme utilise un bateau, celle d’un vaisseau fantôme qui emporte les âmes des naufragés. Il se souvint qu’il y a cinq ans, un marin célèbre a disparu en tentant de battre un record en solitaire. Il se rappela qu’il avait parlé d’avoir croisé un étrange bateau lors de sa dernière conversation avant de disparaitre.
« Je prends le temps d’écrire ces mots et de les jeter dans une bouteille à la mer. Je ne sais s’ils seront trouvés. Mais dans ce cas, vous qui me lisez, sachez que la mort existe et que le chemin est très long avant d’atteindre l’autre rive. »
Alex@r60 – janvier 2021
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nael-opale · 4 years
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Kaamelott x Les Aventures de Tintin = le crossover qu’on attendait pas mais qui marche...bien ?! 😮
Un détournement du combat entre le Chevalier de Hadoque et Rackham le Rouge réalisé par Cedric Prat‎ et publié sur Neurchi de Kaamelott - NDKAA.
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@graduatedpillowmonster​ - j’ai pensé à toi parce que tu viens toujours mettre du Tintin sur mon dashboard ! ❤︎
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lefeusacre-editions · 4 years
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BOOKHOUSE BOY #56 | Nicolas TELLOP, homme de lettres et de cœur
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Les hommes-orchestres sont parmi nous, et ils ressemblent davantage à des Bob Dylan slalomant sur les routes harnachés de microphones, guitares basses et harmonicas, qu’à des businessmen affairés à rentabiliser leurs ubiquités. S’il est une seule chose que l’homme-orchestre Nicolas Tellop tente de rentabiliser au quotidien, ce sont ses émotions. Non pas en grattant du beurre et du narcissisme à chaque prise de plume ou de parole - il sait qu’un auteur est voué à faire gagner à sa passion ce qu’il perd en heures de solitude et en cheveux gris. Non, non. Plutôt en les communiquant avec empathie à ses contemporains, à la manière d’une télétransmission amoureuse : n’est rentable que ce qui peut être transmis. Essayiste, rédacteur en chef, enseignant, directeur de collection, chroniqueur et j’en passe, Nicolas Tellop est l’écrivain stéréophonique, celui qui vous fait aimer d’un même battement du cœur Snoopy et Pierre Salvadori, Astro Boy et Kurt Vonnegut, Jr ., Franquin et les courses-poursuites cinématographiques, Highway 61 revisited et Venise. Lien secret mais vivant entre des comités de rédaction et des éditeurs qu’a priori rien ne rapprochait, il trame au sein de la pensée pop-culturelle francophone quelque chose de neuf et d’ancestral en même temps, une chanson de geste composée tout à la fois pour les nonnes, les cow-boys, les savants fous et les enfants.
“C’est parce qu’en le lisant j’ai trouvé du talent à Israel qu’il est devenu mon ami. Ce n’est pas parce qu’il est mon ami que je lui trouve du talent.“, écrivait Claude Roy à la toute fin de sa préface à la traduction du Premier d’Israel Horovitz. Lisez les livres de Nicolas Tellop, il deviendra sans doute votre ami.
| Que trouve-t-on comme nouvelles acquisitions dans ​ta bibliothèque ?
Soyons sérieux quelques instants : si ce sont des nouvelles acquisitions, elles ne sont pas encore dans ma bibliothèque. Qui range ses livres dans sa bibliothèque sitôt qu’il les a achetés ? Il existe des gens pervers au point de faire des trucs pareils ? Je préfère l’ignorer. Donc, si la question s’entend en termes de derniers achats, je dirais Let’s talk about love – pourquoi les autres ont-ils si mauvais goût de Carl Wilson, Normal de Warren Ellis et Nymphes de Giorgio Agamben. S’il fallait parler des derniers livres à avoir été lus et à avoir rejoint ma bibliothèque, je dirais La Caverne aux Idées de José Carlos Somoza, Une Année sans Cthulhu de Thierry Smolderen et Alexandre Clérisse et L’Enfer et le Paradis de Charles Asselineau.
| Quels livres marquants a​s-tu découver​​t​s ​ à l'adolescence et que ​tu possèdes toujours ?  
Mon adolescence, c’est une espèce de trou noir. Je ne sais plus ce que je lisais à l’époque. J’étais trop occupé à survivre. En fait, j’étais resté attaché à mes lectures préadolescentes, que je me contentais d’entretenir. Je relisais avec application les mêmes bandes dessinées : Tintin, Blake et Mortimer, Spirou, Astérix et tous les titres qui gravitaient autour des éditions Dupuis… Elles possédaient – que dis-je : elles possèdent – des vertus hautement consolatrices. C’est aussi à cette époque que j’ai découvert Jérôme K. Jérôme Bloche, Théodore Poussin ou encore Soda, des titres qui n’avaient pas complétement rompu avec le monde de l’enfance mais qui possédait un ton plus grave, plus dur. Dans l’enfance, je m’étais aussi plongé dans Jules Verne, Sir Arthur Conan Doyle, Agatha Christie, S.A. Steeman, Pierre Véry, Edgar Allan Poe, Oscar Wilde, Robert Louis Stevenson, Edgar Wallace… J’étais passionné par les énigmes et l’aventure. À ce titre un auteur en appelait souvent un autre. Avant tout ça, j’avais bien sûr commencé par Le Club des Cinq d’Enid Blyton ainsi que sa série des Mystères, en plus de quelques éditions allégées de grands classiques par La Bibliothèque Verte. Mais il n’a pas fallu longtemps aux livres de grands, avec leurs titres mystérieux, pour qu’ils exercent sur moi une fascination à laquelle il ne m’était pas possible de résister. Histoires extraordinaires, Le Fantôme de Canterville, L’Île au trésor, L’Assassin habite au 21, Les Disparus de Saint-Agil… C’était et ce sont encore des sésames incomparables pour pénétrer le monde de l’imaginaire. Rien que le nom d’un auteur suffisait à me transporter ailleurs. Jérôme K. Jérôme, quel nom ! Trois Hommes dans un bateau : quelle merveille…  Ce n’était pas toujours facile à lire parce que j’étais très jeune. Je me souviens avoir eu un mal fou avec Le Tour du monde en 80 Jours. J’étais en CE1 ou en CE2. J’ai dû le recommencer plusieurs fois et cela m’a pris un temps considérable. Au collège, j’ai développé une passion pour Voltaire et le Siècle des Lumières. Je lisais ses contes philosophiques et j’étais mort de rire. Je n’avais donc pas beaucoup d’amis en dehors de mes livres. En tout cas, aujourd’hui, je garde auprès de mon cœur bien plus de Jérôme K. Jérôme que de Voltaire.
| Sans égard pour sa qualité, lequel de tes livres possède la plus grande valeur sentimentale, et pourquoi ?
Le Manuel Géant des Castors Juniors, parce que tout ce qu’il y a d’utile à savoir est là-dedans.
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| Lequel de​ te​s livres prêter​ais-​tu à quelqu'un qui te plaît ?  
Aucun. C’est courir le risque que ce quelqu’un-qui-me-plaît ne me le rende pas. Je préfère lui en offrir un. Généralement, ça ne coûte pas cher et ça fait partie des meilleurs cadeaux qui puissent se faire. Après, cette stratégie de séduction a-t-elle jamais fonctionné ailleurs que dans les films ou les romans ? J’ai offert L’Invention de Morel d’Adolfo Bioy Casares à la jeune fille qui n’était pas encore, alors, ma compagne. Ai-je gagné son cœur grâce à ce monument des lettres sud-américaines ? Certainement pas – elle ne l’a toujours pas lu. Un conseil, donc, à tous les néoromantiques : laissez tomber ces techniques fantaisistes inventées par un libraire au bout du rouleau, et entraînez-vous à faire des gâteaux au chocolat.
| Que trouve-t-on comme livres honteux dans ​te​s rayonnages ?  
Aucun, ce sont tous mes copains et ils ne me font pas honte. Bon, par contre, je dois avouer posséder un petit livre d’Alain Finkielkraut, publié par l’École Polytechnique : Philosophie et modernité. Il date du début des années 2000 : il n’était pas encore devenu complétement fou, je crois. En tout cas, ça m’avait intéressé et je l’avais trouvé bien utile. Toujours est-il que, si je le possède encore, il n’a pas le droit d’être dans ma bibliothèque. En plus, il est tout moche – je parle du livre.
| Quels livres a​s​-​t​u hérité de ​te​s proches ?  
Beaucoup de bandes dessinées, les classiques de la francobelge orientés plutôt « gros nez », mais aussi le plus gros de ma collection des Bibliothèque Rose et Verte. Il y a là-dedans des livres merveilleux. Les Trois Jeunes Détectives, de Robert Arthur Jr., alliés à Alfred Hitchcock, me passionnaient. Le Trio de la Tamise de Paul Dorval également : Dave, Ted et Cathy (sans oublier le chien Watson) s’apparentaient parfois à des détectives de l’étrange. Bref, même s’il m’est arrivé d’en compléter la collection, il s’agit de livres qui étaient à la maison avant moi.
| Le livre que ​tu as le plus lu et relu ?  
Ce serait une bande dessinée, sans doute. Il m’arrivait très souvent de les lire plusieurs fois d’affilée. Je n’ai pas tenu les comptes, mais le record doit être détenu par un Tintin, sans doute L’Île Noire, Le Sceptre d’Ottokar ou le diptyque Le Secret de la Licorne – Le Trésor de Rackham le Rouge. Sinon, il y a Le Réel et son double de Clément Rosset, que j’ai usé et que j’use encore. Et sans doute Sucre de Pastèque de Richard Brautigan.
| Le livre qui suscite en ​toi des envies symboliques d'autodafé ?  
Au lycée, j’aurais dit Balzac, parce que je le mettais dans le même sac que les réalistes que je ne supportais pas. Je n’arrivais pas à concevoir qu’un roman puisse avoir d’autre vocation qu’exalter l’imaginaire. Et puis, peut-être à 20 ans, à partir de ma lecture des Illusions Perdues, j’ai dévoré plein de Balzac. Happy end : je me suis rendu compte que c’est du génie pur. Si j’avais tout fichu au feu, comment aurais-je pu prendre conscience de mon erreur ? Je ne livrerais aucun livre à l’autodafé. Du moins, c’est ma réponse politiquement correcte.
| On ​te propose de vivre éternellement dans un roman de ton choix, oui, mais lequel ?  
Pas un roman, mais une bande dessinée : Il y a un sorcier à Champignac, de Franquin. Tout y est tellement beau que ça fait presque mal à lire. La bande dessinée de l’après-guerre incarne les lieux comme aucun autre récit n’est capable de le faire. Il y a là une puissance qui est folle. Dans L’anti-atome, j’essaie d’expliquer ce mystère que détient le monde miniature des cases. La vie y semble possible comme nulle part ailleurs. Sinon, ce serait sans doute un roman qui se passerait dans la campagne anglaise, comme par exemple La Maison près du cimetière de Sheridan Le Fanu.
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| Quel est l'incunable que ​tu rêves de posséder, ton Saint Graal bibliophilique ?  
Longtemps, j’aurais répondu Léonard ou les délices d’un bouquiniste de Pierre Véry, mais une récente réédition m’a enfin permis d’assouvir ce souhait.
| Au bout d'une vie de lecture, et s'il n'en restait qu'un ?
On verra.
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Propos recueillis quelque part en 2019.
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pauline-lewis · 4 years
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The things we did and did not do
Je touche du doigt la fin de cette année 2019. Je ferai mon bilan personnel et intime plus tard mais si je regarde le verre à moitié plein je crois que je suis contente : j’ai rencontré des personnes géniales avec qui j’ai lancé un magazine, on a commencé une petite newsletter d’interview ensemble, j’ai publié mon premier livre. J’ai tenu ce blog qui m’a apporté beaucoup de joie, j’ai tenu aussi Tailspin plus ou moins assidument, j’ai publié un petit zine avec tous les textes que j’écrivais ces dernières années. J’ai travaillé avec Aurore et c’était bien. J’ai tenté de surmonter mes peurs, j’ai essayé de produire des choses, autant que possible. Bien sûr il y a des regrets, des inconsistances, des choses que j’aurais pu faire et que je n’ai pas faites — quand le verre est à moitié vide j’écoute cette chanson de Magnetic Fields très fort.
En tous cas ! Avant de faire mon bilan sur Tailspin, j’avais envie de faire un petit top 3 des choses sorties cette année. Vues, entendues à des moments différents. Qui ont laissé des petits cercles sur ma peau. Les voici, les voilà !
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Trois romans
Souvenirs de l’avenir de Siri Hustvedt (paru aux éditions Actes Sud et traduit par Christine Le Boeuf)
Où je l’ai lu : Sur le canapé chez mes parents, en pyjama avec Newton le chien sur les genoux, entre deux parties de Mario Kart sur la Switch.
Pourquoi je l’ai aimé : Au moment de la rentrée littéraire j’ai lu les romans par paquets de trois et certains m’ont immédiatement transportée. Souvenirs de l’avenir raconte l’histoire d’une femme qui revient sur son passé à travers les mots. Elle revisite ses anciens écrits, elle replonge dans des souvenirs enfouis, elle fait remonter à la surface des traumatismes, aussi. Toujours portée par le rythme de son écriture. C’est un roman qui peut paraître difficile, mais personnellement j’ai plongé dedans la tête la première et j’ai eu l’impression pendant quelques jours de vivre dans le New York de la fin des années 70, entourée de sorcières, avec ce sentiment tellement bien retranscrit de vivre pour la littérature et d’avoir la vie devant soi. Quand je l’ai quittée j’avais le cœur brisé et c’est peut-être là la marque des grands romans à mes yeux.
Bonus : J’ai rencontré rapidement Siri Hustvedt à la maison de la poésie et elle m’a signé mon livre “To Pauline, fellow feminist”.
Son corps et autres célébrations de Carmen Maria Machado (paru aux éditions de l’Olivier et traduit par Hélène Papot)
Où je l’ai lu : dans mon lit un soir d’été.
Pourquoi je l’ai aimé : J’ai adoré, au moment de la rentrée littéraire, découvrir de nouvelles voix enthousiasmantes. Il m’a semblé que dans ses nouvelles Carmen Maria Machado arrivait à me surprendre à chaque page. J’étais vraiment émerveillée par tout ce qu’elle tentait, même quand j’étais moins convaincue par telle ou telle idée. Et bien sûr au cœur de cette année où il y a, encore une fois, eu tellement de colère, la première nouvelle du recueil a été un vrai choc cathartique. Un récit qui suggère aux lecteurs·trices les bruitages qu’ils peuvent introduire pour accompagner sa nouvelle. Pendant que l’on s’arrache les cheveux face à la violence faite aux femmes chaque jour, Carmen Maria Machado a mis des mots sur ma rage.
Tous tes enfants dispersés de Beata Umubyeyi Mairesse (paru aux éditions Autrement)
Où je l’ai lu : Sur mon canapé en pleine après-midi
Pourquoi je l’ai aimé : Parce qu’il est resté avec moi — ses phrases, son rythme, ses descriptions, sa manière de voir les relations, d’infuser de la profondeur dans le récit. J’aime les récits de transmission et celui-là, d’une arrière grand-mère à une grand-mère à une mère à son fils, a vraiment chanté à mes oreilles. C’est, je crois, le premier roman que j’ai lu cet été et il a voyagé en moi pendant plusieurs semaines. 
Bonus : C’était ma première interview pour la newsletter de Women Who Do Stuff !
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Trois BD
Saison des roses de Chloé Wary (paru éditions Flblb)
Où je l’ai lue : Dans mon lit un soir où j’avais un peu la louse
Pourquoi je l’ai aimée : Je suis vraiment tombée amoureuse du dessin de Chloé Wary : les traits au feutre qui se chevauchent, les ciels multicolores, le mouvement et le dynamisme qu’elle insuffle à chaque planche. J’ai aussi adoré la manière dont elle dessine les jeunes femmes du club de foot. Elle rend chaque expression, chaque goutte de sueur. J’ai trouvé qu’elle avait une manière très féministe de dessiner les corps dans le feu de l’action. Et bien sûr, il s’agit d’un merveilleux récit d’émancipation adolescente qui parle très fort à mon cœur sensible.
Bonus : J’en avais parlé pour Cheek dans une sélection !
La vie d’artiste de Catherine Ocelot (paru aux éditions La Ville Brûle)
Où je l’ai lue : Dans le RER immédiatement après l’avoir reçu (j’ai pleuré)
Pourquoi je l’ai aimée : J’en ai parlé à peu près partout (sur ce blog, sur Cheek, sur Women Who Do Stuff) et ceci prouve cela. Parce que cette BD a trouvé un écho particulier en moi, elle a parlé à mes incertitudes, les dialogues ont apporté des réponses à des questions complexes que je n’osais pas me formuler... C’est une œuvre qui contient beaucoup de poésie, de simplicité, d’humour, d’humilité. On en sort grandi eh oui.
Bonus : Je l’ai rencontrée au café chez Prosper à Nation et en arrière plan sur mon enregistrement on entend un homme qui parle très fort et essaie d’avoir un rendez-vous pour réparer son éléctroménager.
La rose la plus rouge s’épanouit de Liv Stromquist (paru aux éditions Rackham traduit par Kirsi Kinnunen)
Où je l’ai lue : J’ai commencé à la lire dans le train et je me suis rendue compte que j’avais oublié de réfléchir et du coup j’ai recommencé.
Pourquoi je l’ai aimée : J'avais en premier lieu peur que cette BD me déprime (puisqu’elle semble, de premier abord, parler de l’impossibilité du couple à l’ère capitaliste), et ensuite j’ai eu peur de m’emmêler entre ses pages (puisqu’elle est un peu moins accessible que ses précédentes) et finalement j’ai adoré cette réflexion extrêmement riche sur l’amour. Et aussi sur le fait qu’on n’existe pas en dehors de la société dans laquelle on baigne. Toute cette BD a été très salutaire pour moi. Et en plus Liv Stromquist dessine très bien Leonardo di Caprio. (et elle est toujours aussi drôle)
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Trois séries
Tuca & Bertie
Où je l’ai regardée : le midi chez moi puis pendant ma retraite à Plougonvelin pendant laquelle j’ai mangé des pizzas et écouté Joni Mitchell sur la plage
Pourquoi je l’ai aimée : Même si j’ai été un peu rebutée par le rythme effréné de la série pendant les deux premiers épisodes, Tuca & Bertie est l’une des séries qui m’a le plus emportée cette année. Parce qu’elle est politique, féministe, parce qu’elle parle de la trentaine comme aucune autre, parce qu’elle raconte l’histoire de deux amies dont l’une est terriblement angoissée et l’autre aime mettre des habits funky, parce qu’elle est foisonnante visuellement, parce qu’elle peut faire rire et briser le cœur dans un même mouvement. Et surtout bien sûr pour son épisode sur l’anxiété qui a mis des mots, des émotions et des images sur ce que je vis au quotidien depuis des années.
Bonus : De Plougonvelin j’ai fait cette interview de Lisa Hanawalt et elle était trop chouette.
PEN15
Où je l’ai regardée : Le midi en pleurant de rire dans mon dhal de brocolis.
Pourquoi je l’ai aimée : Il y a quelques temps je disais à un de mes amis que ça me manquait, le temps où on rigolait devant des séries — oui je parle désormais comme une vieille personne, laissez-moi. J’ai tellement ri devant PEN15 qu’elle a gagné absolument tous les prix dans mon cœur. C’est la première série qui raconte l’adolescence telle que nous l’avons vécue au début des années 2000 et c’est fait avec énormément d’intelligence et de sensibilité. En creux elle raconte aussi l’amitié, l’émergence d’Internet dans nos vies, le racisme au collège, les relations avec ses parents, Jim Carrey et l’éveil à la sexualité. Franchement si vous l’avez ratée rattrapez-la illico. Ceci est un ordre.
Bonus : Avant la fin de Retard j’avais écrit cet article personnel sur le fait que je me reconnaissais beaucoup trop dans cette série.
The Deuce
Où je l’ai regardée : Le soir sous un plaid au cœur de l’automne avec Olivier
Pourquoi je l’ai aimée : Parce que c’est la fin parfaite d’une série parfaite, tout simplement. Celle qui mène les personnages au bout de leur quête, qui explore la manière dont la vie de chacun·e se termine, ou se poursuit. J’ai aussi trouvé que cette saison explorait, encore plus que les précédentes, les divisions internes au féminisme sur certains sujets comme la prostitution ou l’industrie du porno. Elle ne donne aucune grande leçon, elle explore simplement des itinéraires, tous différents. Et elle compte son lot de scènes qui crèvent littéralement le cœur.
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Trois films
Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma
Où je l’ai regardé : Un matin au MK2 Bibliothèque avec ma sœur et mon mari, avant de manger un burger vegan à Season Square, dans un état émotionnel plutôt compliqué
Pourquoi je l’ai aimé : Je n’ai vu aucun film aussi beau, sur le fond et sur la forme, en 2019. D’ailleurs je ne suis pas sûre de voir mieux en 2020. Je ne veux pas utiliser des termes pompeux venus d'ailleurs mais j’ai trouvé qu’il s’agissait d’un geste artistique dont la limpidité m’a bouleversée. Et aussi d’un film salutaire à voir cette année, un film qui réfléchit frontalement à la place des femmes dans une histoire qui veut trop souvent les oublier. Portrait de la jeune fille en feu explore mille choses mais ce qui m’a le plus touchée c’est la thématique de la fluidité dans une communauté de femmes. Comment l’on peut devenir artiste et modèle, passer d’une classe sociale à l’autre, s’inventer de nouveaux rituels, faire passer de l’une à l’autre les fluides, les larmes, les chants, les vibrations. Qu’attend-on de plus d’un chef d’œuvre que d’être le film qu’il fallait exactement faire à ce point donné de l’histoire du cinéma ?
Midsommar d’Ari Aster
Où je l’ai regardé : À l’UGC des Halles avec Aurore avant de se faire refouler d’un restaurant et d’aller manger des falafels avec des frites et du ketchup.
Pourquoi je l’ai aimé : Au vu des réactions sur Twitter, je sais qu’aimer Midsommar est un peu une unpopular opinion et pourtant, force est de constater que c’est le film qui m’a traversée le plus violemment cette année. Je pense qu’il a été un peu cathartique pour moi, que j’ai retrouvé un peu de ma rage dans le sourire vengeur de Florence Pugh, que j’ai aimé tout ce que j’y voyais et aussi tout ce que je ne comprenais pas. Bonus : tous les hommes problématiques y connaissent une fin violente !
Sibyl de Justine Triet
Où je l’ai regardé : Je ne me souviens pas ! Incroyable.
Pourquoi je l’ai aimé : Comme les précédents (et je crois que c’est l’un de mes seuls critères), ce film m’est vraiment resté à l’esprit pendant plusieurs semaines. Majoritairement pour son ambiance mystérieuse. J’adore les personnages féminins de Justine Triet parce que je n’arrive jamais à les cerner, qu’elles m’énervent autant qu’elles me fascinent. Stromboli, l’écriture, la dualité, Gaspard Ulliel qui chante... Que demande le peuple ?
Bonus : J’avais interviewé Justine Triet il y a longtemps et on avait parlé de James L. Brooks mais surtout des personnages féminins antipathiques, et je repense très souvent à cette conversation.
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Trois albums
Purple Mountains
Où je l’ai écouté : Absolument partout, mais la première fois c’était sur le quai à Châtelet Les Halles en attendant le RER A, en rentrant de Brest
Pourquoi je l’ai aimé : J’ai beaucoup écrit sur David Berman, avant et après sa mort. Pour moi le disque de Purple Mountains est une perfection de A à Z, une merveille de mélancolie et d’humour. C’est un disque qui guérit et qui berce. Il se trouve aussi qu’il sera le dernier, et j’ai encore un peu de mal à l’accepter.
Bonus : Si vous voulez vraiment pleurer j’ai parlé de David Berman ici, là et là.
Big Thief, Two Hands
Où je l’ai écouté : Chez moi, en écrivant
Pourquoi je l’ai aimé : Pour la voix d’Adrianne Lenker, pour la noirceur du disque, pour cette forêt dense traversée de trous de lumière entre les arbres, pour cette odeur de mousse que je sens que je l’écoute, pour ses petits moments de sauvagerie, sa rage bien tenue qui ne peut pas s’empêcher d’éclater. Pour sa limpidité, sa beauté. Parce qu’il suffit d’une écoute pour l’aimer (et parfois j’ai besoin de ça).
Eerie Wanda, Pet Town
Où je l’ai écouté : Dans la rue parce qu’il me réchauffait quand il faisait froid
Pourquoi je l’ai aimé : Parce que c’est un petit disque de pop parfait, qu’il est plein de balades sautillantes. Moi j’aime sautiller quand j’écoute de la musique, danser mais légèrement, entendre un morceau et me dire qu'il rejoint immédiatement la longue liste de mes tubes personnels. C’est un disque qui me rend heureuse, tout simplement. Et ne me dites pas qu’on n’en a pas sacrément besoin.
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cassyhella-blog · 4 years
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(Mini) Aperçu Abrégé 1 : Le rouge
                                             ♣♣ Le Rouge : ♣♣
C'est à la fois le feu sacré et les flammes de l'enfer, l'amour vrai et le sang des crimes.
· Symbolisme :  L' honneur / La passion / Le pouvoir / La colère / La vitalité / Le feu ...
* Romain * :  Dans l'Antiquité, le rouge représente : le "Sud" , la "guerre", la "religion" (Mars) ...
* Egypte *  : ____________________ : le dieu "Seth", le "sexe" , la "vie" ...
* Hindouisme * :  Le rouge représente le 1er chakra : "Muladhara" ...
* Asie * : Le rouge représente : le "pouvoir", la "bonne fortune" , "l'été", le "mariage"...
* Afrique Centrale * : ________  : la "vie", la "santé" ... (la "mort", le "deuil ", dans d'autres parties )
· Pigments naturels : Ocre / Cochenille / Garance / Henné / Plomb rouge /  Murex...
· Personnages : - Jack "rackham" le rouge (pirate)
                             - Le chaperon rouge (perso de conte)
                             - Erik le Rouge (explorateur viking)
Le rouge est la couleur que l’œil perçoit et reconnait le + rapidement.  C'est pourquoi il est souvent utilisé dans la publicité  (panneaux "soldes/promo") ou  pour représenter : Le danger, l'interdiction et la sanction (les panneaux de signalisation, les cartons "rouge" du sport ,...)  
· Langage : - En russe, le mot rouge et synonyme de beau
                    - En latin ("coloratus"), en castillan moderne ("colorado") (par exemple) le mot pour "couleur" et                              pour "rouge" , est le même.
Anecdotes (utile ou pas) autour du rouge :
→ La tomate, arrivée en Europe au XVIe siècle, était utilisée comme plante ornementale.
→ Les "boites noires" des avions ne sont pas noirs, mais "rouge".
→ Le "Murex" (mollusque à coquille) fut tant utilisée par les romains pour la teinture (rouge pourpre) que l'espèce en fut quasiment éteinte.   ...
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thewul · 7 months
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Sire! Les joyaux! Sacrebleu! Maudiaille! Sire! Et la couronne? Mille Potences! Il faut une tête pour la porter!
Rackham Le Rouge voyant arriver la flotte Française
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"Les Aventures de Tintin : Le Secret de la Licorne" de Steven Spielberg (2011) - d'après les bandes dessinées "Le Secret de La Licorne", "Le Crabe aux Pinces d'Or" et "Le Trésor de Rackham le Rouge" d'Hergé (1943-58), février 2019.
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tintin-is-my-life · 4 years
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Red Rackham from the mobile game "Tintin and the Secret of the Unicorn" *^*
(Screenshots from the let's play on Youtube)
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buruzaitama · 4 years
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2011 Rackham is as sexy as his descendant *cough*... 😏💜😂 *Don't repost *
In my headcanon he uses a lot of earrings in each ear...
Red Rackham © Hergé
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und100 · 4 years
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Sébastien Célerin
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Aujourd’hui, je vous propose une interview backstage, celle de Sébastien Célerin, actuellement responsable d’édition chez Bragelonne Games. Son CV est aussi hétéroclite que long. Sébastien est issu de l’univers des jeux de rôle et il est notamment l’un des auteurs d’un jeu auquel j’ai beaucoup joué à l’époque : Retrofutur, aussi c’est un peu avec le cœur palpitant que j'écris ces lignes, ayant passé mes plus belles heures des MJ avec ce jeu. Sébastien a également participé à l’édition d’un jeu de figurines mythique à l’époque auquel j’ai joué des centaines d’heures : Confrontation.
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Salut Sébastien, tout d’abord merci d’avoir accepté cette interview et merci d’avoir pondu Retrofutur, ce jeu tellement atypique et Confrontation, un des meilleurs jeux d’escarmouche qui existe! Pour commencer cette interview, peux-tu nous résumer un peu ton parcours avant d’arriver à l’édition de jeux de société avec Bragelone ? J’ai commencé ma carrière à la fin des années 90 comme créateur de contenu pour des jeux de rôle de Multisim et des jeux vidéos de ses partenaires de l’époque. J’ai ensuite été recruté par Frédéric Weil comme assistant éditorial, puis j’y ai piloté les développements des univers de créations françaises (Nephilim, Agone, Guildes, Rétrofutur) alors que l’entreprise développait ses premiers jeux de société, dont Citadelles. J’ai ensuite rejoint Rackham pour diriger le développement du JdR tiré de l’univers de Confrontation, Cadwallon, et j’ai en outre participé à Cry Havoc, la revue de Rackham et AT-43, sans oublier Confrontation 3, Dogs of War et Rag’narok 2. Je suis ensuite parti travaillé chez Play Factory pour y superviser DD4E au côté d’Arnaud Cuidet (rédacteur en chef du mag Dragon Rouge) et de Guillaume Gille-Naves. Cela m’a permis de collaborer au développement de Dooble notamment. Par la suite, j’ai quitté l’entertainment car j’ai répondu à une annonce que j’ai alors trouvée insolite. Une agence de comm expert en Marketing RH recherchait des game designers rôlistes. J’ai passé quelques années à développer des jeux sérieux sur toutes sortes de thèmes (recrutement, médiation culturelle…). En parallèle, je me suis associé à plusieurs personnes pour continuer à éditer du jeu, du JdR notamment mais pas seulement car je suis l’un des XII Singes qui a coédite Hanabi. J’ai également collaboré à plusieurs adaptations d’œuvre, comme des romans depuis des mangas, des drama depuis des jeux vidéos… Tout n’a pas vu le jour, comme souvent dans l’audiovisuel, mais ce fut de riches expériences. On s’arrête peut-être là car t’imagines bien qu’en plus de vingt ans, on fait des choses. Ces dernières années, je me suis surtout consacré aux jeux de société : Arcana, The Adventurers, Attack on Titan: The Last Stand, Tokyo Ghoul: Bloody Masquerade, Fearz… Et maintenant des jeux de société chez Bragelonne Games.
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Tu as participé à l’élaboration de pas mal de jeux de rôles, peux-tu nous expliquer comment naît un jeu de rôle ? Oh ! Tu ne m’avais pas dit qu’on allait en fait travailler à un blog souhaitant faire le tour de cette question. Il y a plein de manières de faire, mais disons qu’il faut chercher à répondre à la double question suivante : qu’est-ce qu’on joue et pourquoi ? Sans une réponse claire à cela, tu peux développer un monde, ainsi qu’un système de résolution. Tu peux même proposer des innovations quant au dispositif, mais ce qui fait que nous jouerons un rôle dans toutes les acceptations du terme, ce sera la réponse apportée. Un personnage. Un rôle dans le groupe. Un rôle dans le monde. J’ai une question qui m’a toujours taraudé, as-tu une explication sur la chute assez brutale du jeu Confrontation ? C’est une question complexe. J’étais un collaborateur parmi d’autres. Nous étions plus de 80. Je crois que Rackham n’a pas su gérer la croissance de son activité et surtout la mutation de son statut juridique. Ce n’est pas rare. Avoir su créer une telle entreprise et un produit comme Confrontation, innovant sur un secteur dominé par une très grande entreprise mondiale, c’est déjà une prouesse entrepreneuriale. La développer, en faire une PME robuste qui attire les investisseurs, c’en est une autre. Et c’est ce que les fondateurs de Rackham, ont su faire. Ensuite, c’est sans doute un autre métier de piloter une entreprise détenue par des actionnaires aux attentes très diverses. Les capacités d’innovation sur les jeux Rackham ne sont pas en cause. Les dernières évolutions de Confrontation ont été saluées par la critique comme par sa communauté. AT-43 a marqué un tournant dans le jeu de figurines. J’en veux pour preuve qu’il n’est pas simple de se procurer les livres et les figurines produites à l’époque. Ceux qui les ont les conservent jalousement. Les idées nouvelles notamment en matière de jeux de société développées par bon nombre des personnes de mon équipe ont trouvé d’autres éditeurs. Jean-Baptiste Lullien et Nicolas Raoult ont pas trop mal réussi avec Zombicide au côté de Raphaël Guiton, co-fondateur de Rackham et sans doute le meilleur mondial en direction technique de production de figurines. Un Kickstarter a tenté de ressusciter la franchise, as-tu des nouvelles ? Aucune, mais il n’y a aucune raison pour que j’en aie. Je n’étais que salarié chez Rackham. Je peux simplement te dire qu’entre la fin de Rackham et le KS que tu évoques, d’autres projets ont été évoqués à propos de cet univers, dont un ouvrage pour rendre compatible les Wolfens et D&D. C’était en DD4E à l’époque. Une question pour l’éditeur maintenant, pourquoi Bragelonne, éditeur de romans, a-t-il souhaité se diversifier dans les jeux de société, y a-t-il un rapport avec la baisse des ventes de livre en général ? Les fondateurs de Bragelonne sont des joueurs. J’ai développé Agone au côté de Stéphane Marsan d’après l’univers de Mathieu Gaborit. Alain Névant, le patron de Bragelonne Games, a une impressionnante collection de jeux. Tu ne risques pas tes économies sur le développement de produits culturels sans y être profondément attaché, surtout quand ton secteur n’a pas la faveur des subventions. L’édition des littératures de l’imaginaire ou le jeu de société, c’est pas le cinéma ou le jeu vidéo. Quant à la relation avec l’évolution du marché du livre, si tu regardes le catalogue Bragelonne, tu verras qu’il a plutôt le vent en poupe. Les auteurs que publie Stéphane depuis 20 ans bénéficient aujourd’hui de jeu vidéo (The Witcher) et de série TV (Altered Carbon, Locke & Key). Si tu as cherché à acheter un livre à Noël dernier, tu as du voir bon nombre de ces titres en tête des ventes. Quelle est la ligne éditoriale de Bragelonne Games ? Est-ce qu’on se définie par un type de jeu ? Par un format de boîte ? Par un type d’emballage ? Un genre ? Un âge cible ? En nombre de joueurs ? Est-ce qu’on ne s’adressera qu’aux geeks ou aux joueurs réputés experts ? Bah, non, comme la plupart des éditeurs de jeux de société, en fait. Cela dit, nous sommes conscients que nous sommes attendus sur des adaptations d’œuvre que Bragelonne publie. Nous y travaillons et nous discutons des droits de quelques-unes. Quel est ton jeu préféré hors Bragelonne, Castelmore et Bragelonne Games ? Je sais pas si j’ai plus joué à Fief ou à Mare Nostrum, toute édition confondue… à Puerto Rico, peut-être. Hum… J’ai beaucoup joué à Pandemic et à Inca Empire. Mais ces dernières années, Azul a occupé pas mal de mes soirées (côté plateau gris). Et je m’amuse comme un petit fou à Rivière d’enfer. Mais celui qui m’a apporté le plus de plaisirs ludiques différents, c’est sans conteste Vampire: The Eternal Struggle dès Jyhad. Difficile de choisir… En fait, rien ne vaut l’animation d’un jeu de rôle pour des amis.
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As tu un scoop à nous partager ? Les amateurs du Off de Cannes savent que nous travaillons sur une adaptation de Légende de David Gemmel. Hum… Ce n’est donc pas un scoop. Nous publierons l’édition française de For The Queen ainsi que des déclinaisons de cette machine à histoires. Et nous publierons un jour du JdR, un jeu d’enquêtes sans hasard (sans dés, en fait) mais dépendant du temps qui passe autour de la table. Et sans doute une nouvelle édition pour jouer dans les Lames du Cardinal.
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Et si on sortait le jeu “Questions de merde” pour continuer cette interview ? Je tire 3 cartes, voici les questions : Voici les questions de la première carte À quelle époque aurais-tu aimé vivre ? Vivre ? Aucune. J’aurais bien aimé être le témoin de certains événements. Pas forcément très éloignés dans le passé. Être à un concert de Pink Floyd à leur début, ou voir les premiers concerts Death Punk ou la tournée de Kiss Me Kiss Me Kiss Me. Participé aux premiers tests de Vampire The Masquerade pour pouvoir dire « sérieux, vos histoires de difficultés relatives, ça ne marchera pas ». Quelle petite erreur est capable de te mettre dans une colère noire ? Une colère noire ? Aucune. Comment expliquerais-tu à un enfant, comment on fait des bébés ? Tout le monde se pose la question à ton âge. Quand tu seras adolescent, tu seras en mesure d’en faire, et on en reparlera. D’ici là, demande-toi si tu as envie d’en faire bientôt, et donc si tu es prêt à renoncer à tes jouets, tes copains, à la cour de récré, à toutes ses heures passées sur la tablette ou la console… Pour te consacrer à ses envies et ses besoins quand il en a envie. Le moment venu, je répondrai à toutes tes questions et tu pourras compter sur moi pour parler de tous les aspects du sujet. Voici les questions de la deuxième carte Si tu pouvais être mécène, que financerais-tu ? La lutte contre les violences faites aux femmes, l’adoption d’enfants de par le monde, la lutte contre la faim, la protection des animaux… Et si je suis un mécène, il doit m’en rester un peu pour une rédaction d’un média dédié aux jeux de société. Quel est ton point faible en matière de bouffe ? Un point faible ? Drôle de question. J’adore les piments, et cela peut te jouer des tours. Comment ferais-tu comprendre à un(e) ami(e) qu’il/elle n’est pas ton/ta meilleur(e) amie ? Drôle de question. Mon entourage sait qui est ma meilleure amie. Je crois que si je découvrais un rapport déséquilibré, j’essaierais de m’investir davantage. Voici les questions de la dernière carte Quelle est la meilleure activité de “team-building” ? Hanabi ! À quelle occasion as-tu été trop cruel ? Aucune idée. Je crois pas être capable d’être cruel, mais peut-être qu’il existe quelqu’un qui pense le contraire. Que faire d’une crotte de nez quand on n’a pas de mouchoir ? Si je n’ai pas de mouchoir, je la laisse dans mon nez tant que faire se peut. Sinon, je devrais trouver ce qu’il faut dans les premiers sanitaires venus. Question Bonus : Qui aimerais-tu que j’interviewe ensuite et quelle question lui poserais-tu ? Bah, toi. Mais… Tu n’auras pas les questions à l’avance. Merci infiniment Sébastien d’avoir répondu à ces questions ! Je te souhaite beaucoup de succès avec ta maison d’édition, Bragelonne Games et j’attends les prochains jeux avec impatience !
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