Tumgik
#karoshi au
yufiduspawn · 2 years
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ask me about my deltarune OMORI au, do it, do it you cowards
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drheartstealer · 2 years
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AU where doffy meets law in the underworld where they're partying it up and falls for him
Doffy is 17 when he died, but he has experience with his dads business so he buys up all the small discos and makes a large club as a monopoly
Law died of karoshi from working too much at the hospital 😂
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visionflou · 1 day
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Here we go again
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Critique de Comme un lundi, 2024, Ryo Takebayashi. Publié le 24 mai 2024.
Rébarbatif notamment depuis plusieurs années, le voyage temporel et notamment le concept de boucle temporel est représenté régulièrement au cinéma. Bercé par les codes donnés par Un jour sans fin, ce film japonais est une douce poésie comique dirigé par un symbole de pigeon. 
Vous n’allez pas être subjugué ou transformé pendant votre visionnage, car toutes les actions des personnages sont prévisibles et attendus, mais il se dégage une certaine douceur, vulnérabilité et camaraderie de ce petit groupe bloqué dans leurs bureaux. Le Japon est connu pour l’intensité de l’implication de ses travailleurs, menant fréquemment au karoshi (burnout). L’ambition de Takebayashi est ici de montrer un environnement étroit qui progressivement va s’ouvrir sur le monde, mais surtout sur les autres grâce à la boucle temporelle et la recherche de sa source. Comme un lundi est une expérience immersive dans les métiers de bureaux où la productivité prime sur la santé physique et mentale et où tout à chacun devrait faire attention aux détails.
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indra69 · 2 years
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Le Japon
Karoshi 過労死, soit, littéralement, de dépassement au travail.
Il faut remonter au Ve et VIe siècle et à l’adoption des doctrines shintoïstes et bouddhistes par la société japonaise, pour comprendre l’importance de la valeur du travail dans la société japonaise contemporaine. Ainsi ont été placés les fondements de la société nippone : le collectif prime sur l’individu, l’attention aux détails est essentielle… À cela s’ajoute le confucianisme, qui arrive de Chine à peu près à la même époque. Ce nouveau courant enrichit la culture japonaise de deux valeurs : l’humanité et le respect de la hiérarchie, notamment des plus âgés, dont l’importance se ressent encore aujourd’hui… À ces différentes influences, nous devons mentionner le rôle clé de Shosan Suzuki, qui va fortement participer à forger la culture du travail japonaise. Ce samouraï devenu moine bouddhiste, donne une nouvelle dimension à la philosophie zen. L’homme ne peut dorénavant se réaliser qu’en se donnant entièrement à son travail, de la même façon qu’il s’investit lors de la méditation zen. Il explique que c’est seulement de cette manière qu’il pourra alors donner le meilleur de lui-même. Il fait même du travail une mission sacrée, qui nous viendrait directement des dieux - le shintoïsme étant une religion polythéiste, n’est-ce pas.
Le travail devient donc le but ultime de la vie, et non plus un simple moyen de gagner de l’argent. « Chez les Japonais, le travail est devenu une voie spirituelle par laquelle l’homme peut réaliser son salut »
Le travail, permettrait aussi d’oublier son égocentrisme, car il met l’homme au service de l’intérêt général. Contrairement à ce que l’on peut voir en Europe à la même époque, avec l’émergence du capitalisme, le travail ne sert pas à démontrer sa réussite personnelle, mais à atteindre rien de moins que la paix intérieure. Notons qu’en 1868, soit le début de l’ère Meiji (l’ouverture du Japon à l’extérieur et à l’industrialisation, pour ceux qui auraient manqué quelques cours d’Histoire), le shintoïsme devient la religion d’État, et il est donc impossible d’y échapper !
« Chez les Japonais, le travail est devenu une voie spirituelle par laquelle l’homme peut réaliser son salut » - Etsuo Yoneyama
Toyotisme, productivité et heures supplémentaires
Procédons à une avance rapide jusqu’à l’après Seconde Guerre Mondiale : le Japon est ravagé par les deux bombes atomiques et se retrouve sous occupation américaine. Mais qu’à cela ne tienne : le pays est reconstruit en un temps record, tout comme son économie ! L’ardeur au travail, la volonté des Japonais et leur fameux système de production en flux-tendus, le Toyotisme, font leurs preuves, et sont érigés comme modèle à suivre. On parle même de « miracle japonais» qui dès les années 1960, devient la seconde puissance économique mondiale.
Nouveau bond en 2018 : la mondialisation, la troisième vague de l’industrialisation, et la crise de 2008 sont passées par là, mais pas la législation sociale du travail. Les grandes entreprises ne sont plus en mesure de garantir des emplois à vie, le Saint-Graal du marché de l’emploi nippon. Les places sont donc chères, et les jeunes salariés élus sont généralement prêts à tout pour les garder. D’autant plus que les promotions sont accordées à l’ancienneté ! Les nouveaux arrivants enchaînent donc les heures supplémentaires, soit parce qu’il y a trop de travail pour une personne
À cela s’ajoute que les contrats de travail sont souvent très flous, quant à la quantité horaire hebdomadaire souhaitée par semaine (censée ne pas excéder 40 heures, même si les heures supplémentaires sont autorisées) mais aussi quant aux missions qui seront attribuées au nouveau salarié.
Aux heures supplémentaires s’ajoutent tout un tas d’injonctions qui peuvent vite transformer une vie professionnelle en cauchemar : afterworks à répétition et presque obligatoires avec ses collègues, pour prouver son abnégation pour le collectif et son sentiment d’appartenance à sa “famille” d’entreprise, interdiction d’être obèse depuis 2006, injonction à rentrer dans le moule, autant au niveau vestimentaire qu’au niveau de son attitude : tailleur pour les femmes, costume-cravate pour les hommes, et pas question de hausser la voix, ni même de critiquer un collègue ou un supérieur hiérarchique… Des injonctions qui peuvent parfois être difficiles à appréhender pour un expatrié : celles-ci sont totalement implicites, et, la plupart du temps, réservées seulement aux Japonais.
Entre le stress, la fatigue et le harcèlement dans le milieu du travail, il est peut-être plus facile de comprendre les hikikomori, ces jeunes qui se coupent du monde en s’enfermant dans leur chambre. Se trouvant incapables de gérer la pression de la société japonaise, ils coupent tout contact avec la réalité, et vivent à travers leur ordinateur et Internet, loin du monde.
Les parlementaires semblent privilégier les actions symboliques : le dernier vendredi du mois, les employés sont encouragés à quitter leur lieu de travail à 15h et une loi vient d’être votée, limitant les heures supplémentaires à 100 par mois. Ces mesures font presque figure d’affront quand il a été déclaré que les risques de karoshi étaient décuplés à partir de 80 heures supplémentaires mensuelles, que les entreprises encouragent parfois leurs employés à mentir sur le nombre d’heures supplémentaires pour rester dans la légalité, et que les employés multiplient leurs heures pour compenser leur vendredi après-midi de congé forcé.
Certaines entreprises engagent aussi des actions surprenantes pour pousser leurs employés à rentrer chez eux le soir : extinction automatique des lumières à 22h, coupure d’Internet et/ou de l’électricité… Avec des résultats qui restent parfois mitigés : les employés apportent souvent leur routeur personnel ou une lampe frontale pour pouvoir continuer à travailler. Dernière expérience en date : une entreprise impose le port d’une cape violette aux employés qui ont fait le plus d’heures supplémentaires mensuelles. En somme, la version japonaise du “bonnet d’âne”. Dans un pays où le regard des autres reste très important, peut-être que c’est l’une des clés pour changer la société japonaise.
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i-bring-crack · 3 years
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Im having SO much fun(and pain) writting that Sabigiyuu Mulan fic which will take place in the sengoku era. (The war is fictional, since yes, but it does take place at the end of the sengoku era)
Honestly as much as there is a lot to keep track of, Ive decided to focus my inspirations from the battle of sekigahara as the climax of the story.
But i also draw a lot of inspirations from other tales and history.
For example, i will also include a lot of scenes(mostly romantic) to those of the 1964 film(which is a super awesome film but maybe im just biased bc I love watching black and white films) "Lady general hua Mulan" as well as sooo many more taiga films I have started watching to pass my time [currently watching 47 ronin, god bless youtube and subtitles].
Then I would also like to mix in a few words from the original poem of Mulan, maybe I might put a little bit of Toyotomi Hideyoshi's life into fem Giyuu bc... well it's Toyotomi Hideyoshi.
Honestly I would have loved to put some references to Yukibana no Tora but damn did they leave me with only 4 chapters ;-;.
So to check the list off I want to mash up elements of:
-Mulan(1998) (surprisingly similar to the 1964, and I've heard that it might have been inspired from that so...)
-Lady General Hua Mulan (1964) (There is so much more romance I swear-- It's soo good ;^; and even if I can see the pixels I love em- Why didn'twe see general Mulan flirt with Shang in the disney movie whyyyy-)
-Ballad of Mulan original poem(they have bunnies! So Sabito is referenced as a bunny at the end! This is ma fanfic I'll make the fluff worth it-)
-The battle of Sekigahara (If only there was a movie... a translated movie...) (also THERE WILL BE THAT MOVE- THERE WILL THAT PLOTWIST- I KNOW EXACTLY WHO IS MAKING THAT MOVE YEEEE--) (God I love it when history gets dramatic)
-Toyotomi Hideyoshi's rise to power(Oda = Being called the demon lord. Muzan=being a demon lord, I swear the juicy AU is right T H E R E--) (Fem giyuu won't be that powerful but the loyalty of Toyotomi to Nobunaga will be reflected on Sabito and Giyuu oks?)
-Some Taiga dramas(like heaven and earth(1990), 47 ronin[its 3 hours long but its ok James Cameron prepared me for this-] , the only taiheiki episode [:"v they had football(kemari), I wanna see Michikatsu and Yoriichi playing football (Kemari)], Masamune love and ambition... ect. ) Edit: I know now that 47 ronin in the edo period not the sengoku and Teiheiki is in the end of the kamakura period (:"D i am ashamed of myself, bury me please.) Will i still watch them? Heck yes imma binge, but ill just have to set my sights on a different set of films, (so that i can get the feeling, lately I have seen Eiji Yoshikawa's books and i am intrigued (because Taiko got me hooked and finally showed me what kind of drinks existed back in that era) . Also Shogun by James Clavel
This is too much for what apperantly is just gonna be 11 to 13 chapters... might have each one be 2k to 5k long, because I'm that bitch.
After this I might write an angsty Shinogiyuu fic inspired by the butterfly lovers( Liang Zhu) from China. (Commit Karoshi why don't ya-)
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bbnibini · 4 years
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Michael, the Avatar of Charity (To Combat Greed)
(ao3 version)
"Ara ara, MC."
Speaks like a grandpa despite being the "older brother type".
Likes bringing up Lucifer's "angel days" whenever he is in earshot. Unlike Simeon who does it unintentionally, he likes doing it simply because he likes teasing Lucifer. Just think of those playful aunts at parties.
He's so generous to the point that sometimes he seems to have a tendency to not prioritise himself. As long as he could offer anything, he'd give it all to the other person.
Avatar of Charity? More like Avatar of Karoshi
Being the leader of the angels and a sort of right-hand man to the G himself is no joke. He is assigned with so many jobs that only he could do. In fact, he's so good at it that everyone couldn't help but rely on him. Allocating his tasks to someone else would just lower Heaven's work efficiency. Whether it be the leader of the army of angels to being the angel of death that brings the soul of the departed to the afterlife, he hardly gets any breaks. He's already an angel and he probably doesn't need it anymore; nevertheless, please pray for this poor man.
Probably owns a stamp collection somewhere like some old people do. Since he's too busy to collect it himself, any letters In Heaven addressed to him required a stamp. It was MANDATORY. It's his only joy in life; so much that most of his subordinates go out of their way to give him a new or unique one every now and then.
Acts like a proper leader most of the time but has his airheaded moments like Diavolo does(but not as often). He likes taking care of the little cherubs and spoiling them rotten.
Doting Overworked Grandpa
Actually, he probably sees Luke as a grandson. Lucifer? Maybe a younger nephew along with his brothers.
"Ah, Heaven's Morning Star...how fares thee? Hast thou promised oneself to another already? A fine man thou art, t'is only fair. Thine maiden must be as lovely."
Is one of those pestering aunts at family get togethers that you see once in a blue moon, asking you VERY personal questions that makes everyone uncomfortable.
Even so, kids and animals love him. He has a kind aura that makes you feel like he understands you, or that he wouldn't judge you or resent you and see you for who you really are.
Which works to his advantage because cute things are a stress reliever for him. He likes watching over babies in hospitals or delivery rooms as their guardian angel. (His work, more often than not is also his form of relaxation. That's the only way he could really cope with the stress.)
There's actually a superstition in some countries about why babies laugh when they seem to be looking at nothing. In some Catholic countries at least, it is believed that their guardian angel is playing with them and taking care of them.
(is talking to a human baby)
"By mine order as Archangel Michael, I implore thee to present thy cheeks." *squeeeeeeze*
"Aye, a supple softness only the youth doth enjoy. I praise thee. Do persist on thine ways in maintaining good health. T'is a luxury even among the Heavens itself." (Probably internally screaming over how cute Luke and the little angels are in his own free time. Oh wait-)
Despite his mannerisms and speech, he has the physical appearance of a young man in his mid to late twenties.
Is a beauty that even rivals Lucifer himself. He has long and silky honey colored hair the cherubs take pleasure in braiding every day. His eyes are light blue, like a bright and sunny morning and his voice is clear like a starless sky. His eyebags...
...are plentiful and concealed that beauty. But the murals and paintings in the human world at least depicted him in his state of prime.
...please give him a break. He needs it.
Is probably only a side character in the AU given how he has so little time for even himself.
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monkeypressde · 5 years
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E-TROPOLIS FESTIVAL – Oberhausen, Turbinenhalle (16.03.2019) Zum neunten Mal E-Tropolis, zum sechsten Mal in Oberhausen – und wieder ein großer Erfolg für alle Beteiligten. Rund 4000 Menschen erlebten einen langen, aufregenden Tag mit flirrenden Synths und knalligen Beats. Von 14 Uhr nachmittags bis tief in die Nacht wurde getanzt, geklatscht, gejubelt und laut mitgesungen. Die frühen Stunden des Tages waren geprägt von Acts, die im vergangenen Jahr auf dem Amphi Festival für Furore gesorgt haben. So lag es nahe, ES23, Priest und Rroyce eine weitere Chance zu geben, das Szene-Publikum von den hauseigenen Qualitäten zu überzeugen. Das gelang vorzüglich. Es gab definitiv schon E-Tropolis-Festivals in der Turbinenhalle, bei denen zu Beginn um 14 Uhr weniger los war als bei ES23. Das Bochumer Projekt – das, wie die wenigsten wissen dürften, tatsächlich schon seit 14 Jahren existiert – sorgte mit seinem pumpenden Dark-Electro zwischen hart und zart für die ersten euphorischen Reaktionen des Tages. Es folgte ein Spannung erwarteter Gig. Denn für Priest war es der erste in aktualisierter Besetzung. Alex Högberg und Sänger Tom Asberg verließen die Band nur eine Woche vor dem Festival. so war es am neuen Mann, vorab nur „New Mercury“ genannt, zwei neue und acht alte Songs vorzutragen. Das schwedische 80er-Retro-Electro-Projekt übertrug Teile der Show auf Facebook – die Reaktionen der Fans waren äußerst gemischt. Von „Das ist nicht mehr meine Band“ über „Ganz ok fürs Erste“ bis hin zu „Großartig“ schwankten die Meinungen. Unsere Meinung: Solide Vorstellung, an den Höhen darf der gute Mann aber noch etwas arbeiten. Mal sehen, wie es mit Priest weitergeht. Zunächst erscheint am 29. März die neue EP Obey, deren Titeltrack hier seine Live-Premiere feierte. Setlist Priest 01. Tria Prima 02. The Pit 03. Nightmare Hotel 04. Obey 05. Populist 06. Private Eye 07. History In Black 08. The Cross 09. Neuromancer 10. Vaudeville Über jeden Zweifel erhaben ist derweil die Stimme von Rroyce-Fronter Casi. Die Dortmunder durften die zweite Stage eröffnen und schon einmal ausprobieren, wie es sich anfühlt, dort zu spielen. Denn am 8.November dieses Jahres wird das Trio an Ort und Stelle als Welle:Erdball-Support spielen. Den Publikumsreaktionen zufolge hätte man Rroyce vielleicht doch von vornherein einen längeren Slot geben sollen. Lautstark bejubelt wurde das Synthpop-Projekt, das bald sein drittes Album Patience auf den Markt werfen wird und mit neuen Songs wie der Single Parallel Worlds sowie vielen Stücken der Vorgänger-LP Karoshi durchweg überzeugte. Die auf Facebook einsehbaren Reaktionen von Band und Fans sprachen Bände. Prognose: In zwei oder drei Jahren sind Rroyce wieder beim E-Tropolis – dann mit einem deutlich späteren und längeren Gig. Setlist RROYCE 01. The Principle Of Grace 02. Who Needs 03. Parallel Worlds 04. Full Speed, Half Side 05. Pyroclastic Flow 06. Someone Else’s Life 07. My Dearest Enemy 08. Running With The Sheep 09. I Like It When You Lie 10. Malacoda Der späte Nachmittag-/Frühabendbereich stand – mit Ausnahme des gelungenen Auftritts der Supergroup Future Lied To Us, die sich auch von technischen Problemen nicht aus dem Konzept bringen ließen – klar im Zeichen der Cyber-Community. X-RX (bei bedenklich schlechter Akustik), Synthattack und Centhron setzen auf knallende Beats, gefaucht-gegrowlt-gebrüllte Vocals und mal mehr, mal weniger stumpfe Texte. In den letzten Jahren bekam man auf Goth-Szene-Events zunehmend das Gefühl, das die Zeit der Neonröhren und Plastikschläuche langsam vorbei ist – irgendwie fühlte es sich in der Turbinenhalle ganz anders an. Vor allem, wenn dann auch noch eine Underground-Legende wie Velvet Acid Christ zumindest partiell wenig Anstalten macht, anders zu klingen. Setzte das selten in Deutschland auf der Bühne zu sehende Projekt von Bryan Erickson in der ersten Hälfte seines 45-Minuten-Auftritts noch einige interessante musikalische Kontrapunkte zum restlichen Line-up – so zum Beispiel mit dem Trip-Hoppigen Slut oder dem nach typischem Nordamerika-Electro-Industrial klingenden Opener Fun With Drugs – , verloren sich die letzten vier Songs in deftigem Geballer und Gefauche. Dazu gab es das Gesamtbild ergänzende Klischee-Horror-Videos auf der Leinwand zu sehen. So dürften zumindest einige Zuschauer froh gewesen sein, als Solar Fake die Bühne betraten und somit nach einer gefühlten Ewigkeit mal wieder Melodien im Vordergrund standen. Die Live-Konzerte des aktuell aktivsten Projekt von und mit Sven Friedrich haben seit Ende 2017 deutlich an Dynamik gewonnen. Seitdem verstärkt nämlich Drummer Jeans das Duo, bestehend aus Friedrich und André Feller. So lieferten die drei 60 Minuten lang altgeliebte Hits wie More Than This, Parasites oder Where Are You – das zuletzt gern gespielte und bei den Fans beliebte Editors-Cover Papillon fiel diesmal zugunsten eigener Songs aber aus der Setlist. Nichtsdestotrotz: ein rundum überzeugender Auftritt, den das Publikum entsprechend zu würdigen wusste. Setlist SOLAR FAKE 01. Not What I Wanted 02. Under Control 03. Sick Of You 04. All The Things You Say 05. I Don’t Want You In Here 06. Reset To Default 07. The Pain That Kills You Too 08. Invisible 09. More Than This 10. Parasites 11. Just Like This 12. Where Are You 13. Observer Auf das gemäßigte Hüpfen in den vorderen Reihen folgte 30 Minuten später wilder Pogo. Kein Wunder, schließlich stand die Show von Suicide Commando an. Johan van Roy, vor drei Jahren noch mit einem Vintage-Set an Ort und Stelle vertreten, ließ den alten Kram diesmal beiseite liegen und haute einen Aggrotech-Hit nach dem nächsten raus. Zu u.a. Raise Your God, Bind, Torture, Kill und ganz zum Schluss Die Motherfucker Die gab’s die deftigsten Pits des Tages. Setlist SUICIDE COMMANDO 01. Mindstripper 02. The Pain That You Like 03. Death Lies Waiting 04. Raise Your God 05. Schiz(o)Topia 06. God Is In The Rain 07. Cause Of Death: Suicide 08. The Devil 09. Unterwelt 10. Bind Torture Kill 11. Love Breeds Suicide 12. We Are Transitory 13. Die Motherfucker Die Ärgerlich für viele war da höchstens die Überschneidung mit [:SITD:]. Der nach ES23 und Rroyce dritte aus dem Ruhrpott stammende Act des Tages konnte sich allerdings ebenfalls nicht über zu wenig Bewegung vor der Bühne beklagen – wenngleich natürlich alles etwas gemäßigter ablief als vor der Mainstage. Erstmals zu hören gab es neben vielen Klassikern auch Töne aus dem neuen, am 10. Mai erscheinenden achten Album Stunde X. Und zur Freude aller Beteiligten wurde auch bekanntgegeben, das [:SITD:] am 28. Dezember erneut in Oberhausen spielen – dann ein volles Set im Kulttempel. Setlist SITD 01. Lebensborn 02. Cleatrix 03. Code:Red 04. Dunkelziffer 05. Genesis 06. Olymp 07. Kreuzgang 08. Laughingstock 09. Rot 10. Richtfest 11. Snuff Machinery Auf der Mainstage zog sich die nun folgende Umbaupause ein wenig länger hin als geplant. Am Ende blieb den Krupps immerhin Zeit für ein Dutzend Songs, leider bei überwiegend ziemlich breiigem Sound. Anfangs bekamen die sonst an diesem Tag sträflich vernachlässigten EBM-Fans Grund zum Stampfen – der Dreier aus Germaniac, Schmutzfabrik und Der Amboss kam schon bei der Machinists Of Joy-Tour im vergangenen Sommer mit Front Line Assembly gut an. Überraschungen gab es leider keine, Engler, Dörper & Co. spielten das aus den Vorjahren gewohnte Set mit einer Mischung aus älteren wie neueren Hits. Kraftvoll wie immer, aber: Jungs, langsam wäre es Zeit für was Neues – oder den einen oder andere lange nicht gespielten Klassiker! Setlist DIE KRUPPS 01. Hi Tech Low Life 02. The Dawning Of Doom 03. Germaniac 04. Schmutzfabrik 05. Der Amboss 06. Fly Martyrs Fly 07. To The Hilt 08. Metal Machine Music 09. Robo Sapien 10. Nazis auf Speed 11. The Machineries Of Joy 12. Bloodsuckers Parallel dazu machte Welle:Erdball-Sänger Honey auf der Bühne von Halle 2 eine recht schockierende Zwischenansage. Kurz formuliert: Die Band stand ganz dicht vor dem Aus. Lady Lila stieg aus, Fräulein Venus wurde Mutter, Alf begleitete seinen Vater in den letzten Wochen und Monaten vor dessen Tod und ist leider immer noch nicht wieder mit dabei – so war der stets sonnenbebrillte Frontmann gezwungen, eine komplett neue Besetzung zusammenzustellen. Keyboarder C0zmo sorgt nun für die richtigen Tastentöne und die weiblichen Stimmen kommen von Miss Moonlight und Emma Peel. Die beiden Damen sollten in Hinblick auf die große Mumien, Monstren, Mutationen-Tour im Herbst allerdings noch ein wenig üben. In Teilen klang der Gesang doch noch recht unmelodisch und weit weniger überzeugend als bei den Vorgängerinnen. So wollte zu Beginn nach eher mediokren Versionen von Stücken wie 20000 Meilen unter dem Meer oder Die Liebe der 3. Art noch nicht so recht Jubel aufkommen. Das änderte sich jedoch nach zahlreichen Honey-Solo-Tracks wie FanFanFanatisch, Ich bin nicht von dieser Welt oder dem ewigen Schweben, Fliegen, Fallen – insgesamt konnten die Zuhörer mit der Übertragung ihres Senders doch zufrieden sein. Motto des E-Tropolis 2019: Das Beste kommt zum Schluss. Was Apoptygma Berzerk in ihren 90 Minuten ablieferten, war von vorne bis hinten einfach nur große Klasse. In der Euphorie rund um die neue Veröffentlichung SDGXXV – eine Remix-Platte des Debütalbums Soli Deo Gloria – packte Stephan Groth satte fünf Songs seines Erstlingswerks in die Setlist. Wann es das das letzte Mal gegeben hat? Vermutlich noch im alten Jahrtausend. Drumherum ein Hit-Sammelsurium, das wenig bis keine Wünsche offen ließ, guter Sound mit wuchtigen Drums, ein lautstarkes wie textsicheres Publikum und ein Jonas Groth, der bei Nearer und dem Non Stop Violence-Outro wieder einmal bewies, dass er der beste Sänger in der Band ist. Als Krönung bat Stephan Groth zum abschließenden Backdraft noch Überraschungsgast und Szene-Urgestein Thomas Lüdke von The Invincible Spirit auf die Bühne. Sinngemäß, hatte Lüdke das Stück für SGDXXV doch überarbeitet. Setlist APOPTYGMA BERZERK 01. The Sentinel 02. Love Never Dies 03. Burnin‘ Heretic 04. Deep Red 05. Non-Stop Violence 06. Nearer 07. Bitch 08. Something I Should Know 09. Shadow 10. Starsign 11. Mourn (Mesh Remix) 12. Eclipse (Ok Minus Remix) 13. Unicorn 14. Stitch 15. Kathy’s Song 16. You Keep Me From Breaking Apart 17. In This Together 18. Until The End Of The World 19. Backdraft (mit The Invincible Spirit) Dann war aber wirklich Schluss – es sei denn, man hatte nach elf Stunden Live-Musik immer noch nicht genug und tanzte auf der Aftershow-Party fleißig bis in die frühen Morgenstunden. Organisatorisch betrachtet lief beim E-Tropolis 2019 fast alles wie am Schnürchen – lediglich das Plastikbecher-Massaker auf dem Boden und die teils sehr langen Schlangen an so manchem Essens-Stand hätten nicht sein müssen. Ein, zwei „Fressbuden“ mehr und ein Pfandsystem würden wohl eine Win-Win-Situationen für alle Seiten herbeiführen. Aber irgendwo muss im Rahmen des Möglichen ja schließlich immer noch ein wenig Verbesserungspotenzial bleiben, nicht wahr? Jedenfalls dürften auch am 14. März 2020 wieder rund 4000 Personen in der Turbinenhalle vorbeischauen. Für die dann stattfindende zehnte Ausgabe des Festivals wurden bereits jetzt Covenant, Diorama, Solitary Experiments, Winterkälte, Grendel, Torul, Eisfabrik und Ruined Conflict bestätigt. Mal sehen, was da noch kommt … Fotos: Dietmar Grabs/Cynthia Theisinger © monkeypress.de - sharing is caring! Autor/Fotograf: Patrick Friedland Den kompletten Beitrag findet Ihr hier: E-TROPOLIS FESTIVAL – Oberhausen, Turbinenhalle (16.03.2019) http://monkeypress.de/2019/03/live/festivalberichte/e-tropolis-festival-oberhausen-turbinenhalle-16-03-2019/ https://www.facebook.com/monkeypress.de/photos/a.2159351380753921/2266028900086168/?type=3
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ao3feed-iwaoi · 7 years
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Karoshi
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by ccashmeree
Oikawa's dance partner quit. The dance finals is in one month. Oikawa needs a new partner that can meet his standards in dancing and fast.
A super gay Dance AU that everyone asked for.
Iwaoi *some side ships also*
Words: 3589, Chapters: 1/1, Language: English
Fandoms: Haikyuu!!
Rating: Explicit
Warnings: Graphic Depictions Of Violence, No Archive Warnings Apply, Rape/Non-Con, Underage
Characters: Oikawa Tooru, Iwaizumi Hajime, Hanamaki Takahiro, Matsukawa Issei, Kyoutani Kentarou, Yahaba Shigeru, Akaashi Keiji, Bokuto Koutarou, Kozume Kenma, Kuroo Tetsurou
Relationships: Iwaizumi Hajime/Oikawa Tooru, Hanamaki Takahiro/Matsukawa Issei, Kyoutani Kentarou/Yahaba Shigeru, Akaashi Keiji/Bokuto Koutarou, Kozume Kenma/Kuroo Tetsurou, Hinata Shouyou/Kageyama Tobio
Additional Tags: Fluff, Fluff and Angst, Smut, Eventual Smut, I Don't Even Know, Mental Health Issues, Mental Breakdown, Self-Denial, Implied/Referenced Self-Harm, Self-Hatred, Self-Esteem Issues, Everyone Is Gay, Everyone Has Issues, Oblivious Oikawa Tooru, Oral Sex, Alternate Universe - Dance, Karoshi IwaOi Dance Au, Sexual Tension, Love Confessions, Sexual Confusion, Homophobia, Headcanon, Headaches & Migraines, Healthy Relationships
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leconseildupeco · 6 years
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KAROSHI: la mort par surmenage au Japon
KAROSHI: la mort par surmenage au Japon
“Karoshi”, implique des employés qui se suicident ou souffrent d’insuffisance cardiaque et d’accident vasculaire cérébral en raison de longues heures de travail. La culture du travail au Japon est si intense, les gens dans les années 1970 ont inventé un mot qui se traduit par “la mort par surmenage »
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Le concept japonais du karoshi remonte à la fin de la seconde guerre mondiale. Au début des…
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ao3feed-kuroken · 7 years
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Karoshi
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Oikawa's dance partner quit. The dance finals is in one month. Oikawa needs a new partner that can meet his standards in dancing and fast.
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Words: 3589, Chapters: 1/1, Language: English
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Characters: Oikawa Tooru, Iwaizumi Hajime, Hanamaki Takahiro, Matsukawa Issei, Kyoutani Kentarou, Yahaba Shigeru, Akaashi Keiji, Bokuto Koutarou, Kozume Kenma, Kuroo Tetsurou
Relationships: Iwaizumi Hajime/Oikawa Tooru, Hanamaki Takahiro/Matsukawa Issei, Kyoutani Kentarou/Yahaba Shigeru, Akaashi Keiji/Bokuto Koutarou, Kozume Kenma/Kuroo Tetsurou, Hinata Shouyou/Kageyama Tobio
Additional Tags: Fluff, Fluff and Angst, Smut, Eventual Smut, I Don't Even Know, Mental Health Issues, Mental Breakdown, Self-Denial, Implied/Referenced Self-Harm, Self-Hatred, Self-Esteem Issues, Everyone Is Gay, Everyone Has Issues, Oblivious Oikawa Tooru, Oral Sex, Alternate Universe - Dance, Karoshi IwaOi Dance Au, Sexual Tension, Love Confessions, Sexual Confusion, Homophobia, Headcanon, Headaches & Migraines, Healthy Relationships
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ao3feed-hqrarepairs · 7 years
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Karoshi
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Oikawa's dance partner quit. The dance finals is in one month. Oikawa needs a new partner that can meet his standards in dancing and fast.
A super gay Dance AU that everyone asked for.
Iwaoi *some side ships also*
Words: 3589, Chapters: 1/1, Language: English
Fandoms: Haikyuu!!
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Warnings: Graphic Depictions Of Violence, No Archive Warnings Apply, Rape/Non-Con, Underage
Characters: Oikawa Tooru, Iwaizumi Hajime, Hanamaki Takahiro, Matsukawa Issei, Kyoutani Kentarou, Yahaba Shigeru, Akaashi Keiji, Bokuto Koutarou, Kozume Kenma, Kuroo Tetsurou
Relationships: Iwaizumi Hajime/Oikawa Tooru, Hanamaki Takahiro/Matsukawa Issei, Kyoutani Kentarou/Yahaba Shigeru, Akaashi Keiji/Bokuto Koutarou, Kozume Kenma/Kuroo Tetsurou, Hinata Shouyou/Kageyama Tobio
Additional Tags: Fluff, Fluff and Angst, Smut, Eventual Smut, I Don't Even Know, Mental Health Issues, Mental Breakdown, Self-Denial, Implied/Referenced Self-Harm, Self-Hatred, Self-Esteem Issues, Everyone Is Gay, Everyone Has Issues, Oblivious Oikawa Tooru, Oral Sex, Alternate Universe - Dance, Karoshi IwaOi Dance Au, Sexual Tension, Love Confessions, Sexual Confusion, Homophobia, Headcanon, Headaches & Migraines, Healthy Relationships
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ao3feed-haikyuu · 7 years
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Karoshi
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by ccashmeree
Oikawa's dance partner quit. The dance finals is in one month. Oikawa needs a new partner that can meet his standards in dancing and fast.
A super gay Dance AU that everyone asked for.
Iwaoi *some side ships also*
Words: 3589, Chapters: 1/1, Language: English
Fandoms: Haikyuu!!
Rating: Explicit
Warnings: Graphic Depictions Of Violence, No Archive Warnings Apply, Rape/Non-Con, Underage
Characters: Oikawa Tooru, Iwaizumi Hajime, Hanamaki Takahiro, Matsukawa Issei, Kyoutani Kentarou, Yahaba Shigeru, Akaashi Keiji, Bokuto Koutarou, Kozume Kenma, Kuroo Tetsurou
Relationships: Iwaizumi Hajime/Oikawa Tooru, Hanamaki Takahiro/Matsukawa Issei, Kyoutani Kentarou/Yahaba Shigeru, Akaashi Keiji/Bokuto Koutarou, Kozume Kenma/Kuroo Tetsurou, Hinata Shouyou/Kageyama Tobio
Additional Tags: Fluff, Fluff and Angst, Smut, Eventual Smut, I Don't Even Know, Mental Health Issues, Mental Breakdown, Self-Denial, Implied/Referenced Self-Harm, Self-Hatred, Self-Esteem Issues, Everyone Is Gay, Everyone Has Issues, Oblivious Oikawa Tooru, Oral Sex, Alternate Universe - Dance, Karoshi IwaOi Dance Au, Sexual Tension, Love Confessions, Sexual Confusion, Homophobia, Headcanon, Headaches & Migraines, Healthy Relationships
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occitaniejapon · 5 years
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La semaine de quatre jours testée chez Microsoft au Japon
La semaine de quatre jours testée chez Microsoft au Japon
Quand on parle de temps de travail au Japon, c’est souvent en terme de surmenage qui peuvent parfois entraîner des décès, le fameux karoshi. Du coté du gouvernement japonais par le biais de son Premier Ministre Shinzo Abe, la volonté annoncée est de remédier aux habitudes de travail au Japon qui consiste à beaucoup travailler toute l’année en prenant le minimum de congés possibles.
La société…
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erfigh · 5 years
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Foto: Pixabay
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A homestay in Oita, Japan - How to stay with a Japanese family | time travel turtle
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Kurokawa Onsen Town and Mount Aso: Staying in a Traditional Japanese Ryokan | Travel Dave
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Viajar a Japón (2019) - ¿Cuanto cuesta un viaje a Japón? | Mochileros en Tailandia
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Viajar a Tohoku: La residencia Aoyagi en Kakunodate | Japonismo
Floraison des cerisiers au Japon : où et quand profiter des sakura | Kowala PVT
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Castillo de Nagoya (2019) - Que ver, como ir y horario de apertura | Mochileros en Tailandia
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supportivy · 5 years
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L’impact de l’éthique du travail punitif au Japon - Rob Thompson - Medium
L’impact de l’éthique du travail punitif au Japon – Rob Thompson – Medium
L’impact de l’éthique du travail punitif au Japon - Rob Thompson - Medium … heure de pointe à la gare de Shinagawa. Remarquez le bras et la manche de l’homme: il a eu de la chance d’arriver dans le train. Mais au moins, il peut voir.
Le Japon est reconnu depuis longtemps pour son éthique de travail implacable. Il a même un terme spécial pour la mort causée par le surmenage - karoshi. Dans un…
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kemifatoba · 7 years
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Edition F | Burnout als Statussymbol? Wie wir uns auf der Suche nach Anerkennung krank machen
Freunde, die vor lauter Arbeit keine Zeit mehr haben und stolz darauf sind. Wer heute nicht „kurz vor dem Burnout“ steht, gilt beinahe schon als faul. Zeit für ein Umdenken.
Überstunden machen krank
Miwa Sado war eine Journalistin des japanischen Fernsehsenders NHK, die im Alter von 31 Jahren an Überarbeitung starb, nachdem sie in einem Monat 159Überstunden arbeitete. Ihr Tod machte Schlagzeilen, ist aber tragischerweise nichts ungewöhnliches, denn das Phänomen, an Überarbeitung zu sterben, ist so tief in der japanischen Gesellschaft verankert, dass es sogar einen Namen hat – Karoshi.
Obwohl es keinen nachweisbaren Zusammenhang zwischen längeren Arbeitszeiten und gesteigerter Produktivität gibt ist das Phänomen dort so ausgeprägt, dass einer von fünf Arbeitnehmern Gefahr läuft, an Überarbeitung zu sterben.
Die Situation in Japan ist extrem, aber unbezahlte Überstunden, verfallene Urlaubstage und Angestellte, die aufgrund eines Burnouts ausfallen, kennt man auch hier. Ein weiteres Phänomen hat sich in den letzten Jahren bemerkbar gemacht: die Glorifizierung diese Erschöpfungszustands.  
Burnout und Überarbeitung als Statussymbol
Die meisten von uns haben folgende Worte schon mal selbst gesagt, oder zumindest gehört „Ich würde dir gerne helfen, aber ich habe einfach zu viel zu tun“ oder „Heute hatte ich vor lauter Arbeit keine Zeit, um Mittag zu essen“ oder das berühmte „Ich bin kurz vor dem Burnout“.
So ehrlich sich diese Statements in dem Moment, in dem sie ausgesprochen werden, auch anfühlen mögen, sie suggerieren vor allem eines: Meine Arbeit ist wichtig(er). Seit Jahren warnen uns Zeitungsartikel, Ärzte und Kollegen, die bereits eines hinter sich haben, vor der „Volkskrankheit Burnout“. Anstatt besser auf uns selbst zu achten, glorifizieren wir diesen Zustand jedoch geradezu und übertrumpfen uns gegenseitig mit Geschichten der Selbstausbeutung und Überarbeitung. Die Person, die am längsten im Büro geblieben, den meisten Kaffee getrunken und am wenigsten geschlafen hat, gewinnt – aber was eigentlich?
In einer Studie, die sich damit beschäftigt, wie der Mangel an Freizeit zum neuen Statussymbol wurde, untersuchten die Autoren Silvia Bellezza, Neeru Paharia und Anat Keinan Reaktionen auf Facebook-Kommentare, in denen Überarbeitung und das Fehlen von Freizeit beklagt wurde. Sie stellten fest, dass die Kommentare sich positiv auf das soziale Kapital und damit den Status der Person auswirkten: Je mehr sich jemand über das Zuviel an Arbeit beklagte, desto eher stieg das Ansehen dieser Person.
Suchen wir nur nach Anerkennung?
Im Büro resultiert Überarbeit jedoch nicht in erhöhtem Ansehen der Kollegen, sondern in Frustration und einem toxisches Arbeitsklima. Oft gehen sogar diejenigen, die bereits ein Burnout hatten, und es daher besser wissen sollten, mit schlechtem Beispiel voran (die Rückfallquote von Burnouts liegt bei 50-70 Prozent). Trotz allem wird Erschöpfungparadoxerweise immer noch mit Erfolg gleichgesetzt und Kollegen, deren Work-Life-Balance intakt ist, leisten nach dieser verdrehten Logik einfach nicht genug.
Zu viel zu arbeiten, egal, ob aus Druck oder eigener Entscheidung, hat weitere persönliche und auch berufliche Nachteilen. Denn Kollegen, die immer zu beschäftigt sind und keine Zeit haben, um anderen zu helfen, werden nicht mehr als Mehrleister, sondern als ineffizient und unhöflich angesehen.
Sind wir wirklich so beschäftigt, dass wir keine Zeit haben, um eine Frage zu beantworten, Mittag zu essen oder unsere Urlaubstage aufzubrauchen oder erzählen wir anderen einfach nur gerne davon weil wir nach Anerkennung suchen und unersetzlich erscheinen wollen? Wenn zwischen tatsächlicher und gefühlter Überarbeitung nicht mehr unterschieden wird und Begriffe wie Burnout inflationär verwendet werden, passiert genau das Gegenteil und wirklich niemand ist beeindruckt.
Die Zahl der Menschen, die an Burnout und Überarbeitung leiden, steigt – aber die Anzahl der Überstunden, die in Deutschland gemacht werden, ist seit 16 Jahren kontinuierlich gesunken (von 1.106 Mio in 2000 auf 821 Mio in 2016). Nicht jeder ist also davon betroffen und auch die Diagnose des Erschöpfungszustandes erfolgt heute schneller als früher. Im Gegensatz zu Ländern, in denen Arbeitnehmerrechte tatsächlich mit Füßen getreten werden, haben wir jedoch Einfluss auf unsere Arbeitssituation. Wir suchen bewusst nach flexiblen Aufträgen, die uns Spaß machen und nehmen dafür in Kauf, dass die Grenze zwischen Arbeit und Freizeit verschwimmt. Oder wir entscheiden uns für Jobs, die besser bezahlt werden, aber dafür auch mehr Einsatz verlangen.
Wie weit willst du gehen?
Die Glorifizierung des Burnouts ist natürlich auch kulturell bedingt. Bellezza meinte dazu, dass Arbeit in den USA so identitätsstiftend ist, dass Angestellte bereit sind, für ein bisschen Prestige ihre wenigen Urlaubstage verfallen zu lassen, während man in Italien von Menschen, die ihren Sommerurlaub freiwillig aufgeben annimmt, dass sie „Verlierer sind, sich keinen Urlaub leisten können oder einfach uninteressant sind“.
Und wie sieht die Situation in Deutschland aus, wo die gefühlte Tendenz auch eher in Richtung Selbstausbeutung als Selbstverwirklichung geht? Sascha Nicke, Journalist und Dozent an der Uni Potsdam, sieht die Lösung in der Veränderung der ökonomischen Rahmenbedingungen: Eine Reduzierung der Arbeitszeit und die Einführung des bedingungslosen Grundeinkommens würden seiner Meinung nach allen Gesellschaftsmitgliedern die Möglichkeit geben, verschiedene Lebensentwürfe, Betätigungsfelder und Selbstbilder auszuprobieren. Bis das umstrittene Konzept jedoch realisiert wird, liegt es an uns, abzuwägen, wie viel wir bereit sind, für unsere Karriere zu opfern und wo wir die Grenze ziehen.
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