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#La Belle Assemblée
pastlivesfinery · 22 days
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La Belle Assemblée, 1811
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News/Announcements: BLEUFEU and SiriusXM Announce Toboggan Festival 2023 Lineup
News/Announcements: BLEUFEU and SiriusXM Announce Toboggan Festival 2023 Lineup @bleufeu_ @SIRIUSXM @quebecregion @Quebeccite @audibletreats @LoudLuxury @glowziiii @KlingandeMusic @djkaraba @Millimetrik1 @HighKlassified @meduzamusic
BLEUFEU is a Québec City-based event organizer and show promoter that presents festive and inspiring events, including the Festival d’été de Québec (FEQ), Toboggan — New Year’s Eve Celebrations and St-Roch XP, as well as hundreds of shows throughout the year at Impérial Bell and a new venue, which will be opening soon. The BLEUFEU team recently announced the lineup for this year’s Toboggan — New…
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th3lost4uthor · 3 days
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Les nouvelles expériences d’une vie sans fin (9.2/15)
La grande salle était baignée par le soleil de midi, l’aura dorée contrastant à merveille avec le vert des plantes alentours, les spores de coton voletant dans l’air ne faisant qu’ajouter à la féérie de la scène... Un décor aux antipodes de l’humeur de ses occupants.
          Maître Joris avait fait convoquer une assemblée extraordinaire dès que le Tofu messager s’était posé à la volière. La missive était relativement longue, fourmillant de détails que seuls des administratifs pouvaient trouver attrayants, mais l’on pouvait aisément la résumer en quelques mots. Des mots terribles…
« Bien, je vous remercie d’être venu aussi vite. Comme vous le savez très certainement, des nouvelles de Bonta nous sont parvenues il y a moins d’une heure… » Commença l’émissaire, l’air indéchiffrable tant sa capuche voilait son regard. « Et… Je suis au regret de vous... de vous annoncer que-
- Non ! »
          Adamaï s’était relevé de sa chaise pour frapper la table. Au coin des écailles bleutées, des larmes avaient commencé à se former.
« Ce n’est pas possible ! I-il doit y avoir une erreur, jamais il- !
- Ad’… » Son frère avait posé sa main sur la sienne. « S’il te plait… »
          Les yeux encore emplis d’une rage aveugle, le dragonnet se laissa choir à nouveau, laissant Yugo masser ses phalanges dans l’espoir d’en desserrer la terrible étreinte. Les autres membres de la Confrérie et de la famille Royale compatirent, chacun à leur manière, à la souffrance des deux plus jeunes qui venaient à nouveau de perdre quelqu’un de cher. De l’autre côté de la salle, là où Ruel l’avait fait s’asseoir après une marche éprouvante depuis le laboratoire, Qilby observait les jumeaux. D’après leur réaction, leur Wakfu ne semblait pas les avoir alerté de « la rupture »… Ou du moins, pas de manière aussi brutale qu’il avait pu en faire l’expérience. Tant mieux. Non pas qu’apprendre le décès d’un proche par la bouche d’un autre ne soit plus aisé, bien sûr que non, mais si cela avait au moins pu leur éviter la… la douleur… alors ce n’était pas plus mal. Soudain, son cadet croisa son regard, le forçant à se recentrer sur Maître Joris. Celui-ci reprit :
« Je… Je suis désolé pour votre perte. Je sais bien que cela ne représente que peu de chose en une période si… difficile, mais sachez que Bonta vous sera toujours reconnaissante. » Relevant la tête. « Et que je vous le serai également.
- Humpf ! A-au moins… ! » Tenta le dragonnet, désormais seul représentant de son espèce sur ce plan d’existence. « A-au moins d-dites nous qu’il est parvenu à… ! 
- O-oui ! » Renchérit Tristepin, qui s’était rapproché de son camarade d’entraînement, tout aussi ému. « Il l’a e-eu, ce Népharien, pas vrai ? Il a dû livrer la plus b-belle des batailles ! 
- Pinpin… » Murmura Évangéline. « Je ne sais pas si c’est le bon moment pour…
- Maître Joris ? »
          Tous se retournèrent à la question de la Princesse Amalia. L’intéressé ne répondit pas. Le scientifique commençait à goûter le fer : ses dents avaient entamé la chair tendre de ses lèvres.
L’antidote que vous étiez en train de concevoir…
Je suis un scientifique !
Même pas certain qu’il soit efficace…
Il y a toujours des chances que- !
« J-je ne peux rien affirmer avec certitude. Aucun… Aucun cadavre n’a été retrouvé aux côtés de… » Soupir. « … de Sir Phaéris. »
          Devant le silence, l’émissaire déplia le parchemin qu’il tenait, serti d’un sceau de cire frappé de l’emblème du chêne.
« À l’aube, la patrouille Bronze, en charge d’inspecter les prairies de Montay, a découvert le… Sir Phaéris, sévèrement blessé et… inconscient. Une fiole ouverte mais également brisée se trouvait à ses côtés. Des traces d’une lutte bestiale ont pu être relevée. De son acheminement par les équipes de secours à sa prise en charge par les Éniripsas disponibles, Sir Phaéris n’a pas regagné conscience. Les blessures physiques étaient larges, multiples et profondes, notamment une au niveau du torse et deux sur le flanc gauche… Des signes et symptômes d’une forte fièvre ont commencé à faire leur apparition une heure après son arrivée au poste frontière. Malgré toutes les tentatives du personnel présent ce jour, la… la « disparition » du sujet en un flux de Wakfu a été constaté peu de temps après… »
          Le vieil Éliatrope ferma les yeux, la simple luminosité ambiante, pourtant filtrée par les lianes tombantes servant de rideaux, lui donnait la nausée. Toutefois, quelque chose en son for intérieur le dérangeait : un détail du discours qui… ne collait pas. Un sentiment horrible qui lui irritait la peau. Un souvenir. Il lui fallait juste un peu de temps pour…
« Tout ça c’est de ta faute !! »
          Adamaï en avait décidé autrement. Sans avoir la chance de voir l’attaque arriver, le scientifique se retrouva projeté au sol. Il parvint à réprimer de justesse le juron provoqué par son propre côté endommagé, qui n’avait que peu apprécié le contact brutal avec le plancher, mais était désormais bien en peine de retenir la furie du dragonnet dans son état. Son unique bras valide tentait en vain de protéger son visage des assauts répétés de griffes.
« C’est toi qui a planifié tout ça, hein ?! L’antidote n’a pas fonctionné : tu l’as fait exprès !!
- A-Adamaï ! J-je te jure que- !
- Tais-toi ! Tu mens !! Tu n’as jamais cessé de mentir !
- Ad’ ! » Essaya à nouveau son frère qui le maintenait à présent. « Arrête ! Ç-ça n’arrangera rien !
- Il a raison, bonhomme. » C’était le mineur, qui aidait le savant à se redresser. « O-on va en discuter, d’accord ?
- Tout le monde ici sait que tu détestais Phaéris ! » Continuait-il d’asséner. « Ça serait vraiment si étonnant que tu aies voulu en profiter pour… ! Pour l’éliminer ?! »
          Ce furent les mots de trop.
« Suffit ! » Hurla soudain le scientifique, provoquant la stupeur générale. « Tu ne sais absolument rien de ce dont tu parles ! Comment oses-tu m’accuser de… ?! Après tout ce que j’ai fait pour vous !?
- Ce n’est pas comme si cela serait la première récidive. » Contra le Prince Armand.
« Et qu’est-ce que j’aurai à y gagner, hein ?! Phaéris et moi portons pas mal de différents, mais ce n’est pas comme si cela ne faisait pas déjà des millénaires que je les supportais ! Tout ça pour quoi, je vous prie… ? Risquer de retourner dans cet… cet enfer ?! »
Plutôt crever !
« Ouais, enfin… ça n’explique pas pourquoi la potion n’a pas fait effet. Ni pourquoi vous avez envoûté Évangéline en la forçant à venir vous voir tous les soirs… »
          L’attention se reporta sur le guerrier roux, alors resté en retrait du tumulte.
- Pa… Pardon ? » Interrogea le Prince, une once de violence dans la voix.
« Pinpin ! Je t’ai déjà dit que- !
- Oui, oui, je sais. » Balaya l’autre. « Mais rien ne prouve que tu n’es pas sous l’emprise d’un maléfice ou je ne sais quoi, et que tout ça ne sont que des excuses. Tu ne peux pas dire que tout ça n’est pas louche ! Pourquoi tu voudrais parler à ce… à ce… !
- Ce traître ! » Conclut Adamaï.
          La douce chaleur de la matinée avait été remplacée par un froid glacial. Dans son dos, Qilby sentait l’Énutrof osciller d’une jambe sur l’autre, visiblement indécis de ses prochaines actions. Un regard jeté vers l’archère lui confirma qu’il ne pourrait pas non plus compter sur le soutien de sa confidente : celle-ci était trop occupée à vouloir rassurer son futur époux de sa bonne foi… Chose qui semblait peine perdue d’après sa moue déterminée. Ne restait plus alors que…
« Yugo… ? »
          L’intéressé leva la tête. Qilby n’était pas, ou plus assez optimiste pour croire que son frère lui avait déjà pardonné tous ses méfaits : il avait beau être jeune, il n’en demeurait pas moins doté d’une certaine intelligence… ainsi que d’une rancune tenace.
          Cependant… Le script avait changé, non ? Combien de fois n’avaient-ils pas joué une scène différente de celles que sa mémoire lui avait fournies ? Combien de fois avait-il deviné le remord, la gêne, la compassion même, derrière ces grands iris noisette ? Voilà bien longtemps qu’ils n’avaient pas été aussi proches ; cela devait bien remonter à l’Odyssée ! Sûrement il-
« Eh bien… Je ne suis pas sûr… »
          Il fallait s’y attendre. Mais tout de même…
          Le Roi Sadida s’avança, écartant les querelleurs sur son passage, le regard soucieux. La « Grand Salade » n’était pas d’humeur à plaisanter dans les situations où son peuple était à risque.
« N’y aurait-il pas moyen de démêler cette histoire alors ? Bien que cette solution ne me plaise guère nous pouvons, si besoin est, perquisitionner la chambre de notre invité… »
          De la sueur froide commença à se former le long de l’échine du scientifique.
Tesla !
          Finalement, même s’il ne s’agissait pas de l’objet de leurs accusations, les autres n’avaient pas totalement tors non plus : il avait bien des choses à se reprocher ! Pourquoi avait-il fallu qu’il cherche à… ? Voulait-il toujours… ? Quoiqu’il en soit, si l’on découvrait quoique ce soit de compromettant, ne serait-ce qu’un misérable boulon au fond d’un placard, le moindre papier calciné au fond de sa corbeille, alors… !
« Si Sa Majesté me le permet… » Intervint subitement Maître Joris. « Il se peut que j’aie une meilleure solution à vous proposer. »
          D’une sacoche relativement imposante, l’émissaire sortit alors un bien curieux objet, comme nul autre en ce monde… Un prototype.
« Il se trouve que… Sir Phaéris et moi-même avons fait la connaissance d’un certain marchand lors de notre dernière expédition à la Foire de la Science. Ce-dernier nous a assuré que sa création permettait de « lire les souvenirs », d’où le nom de « Lectanima » qui lui a été donné. Nous n’avons jamais eu l’opportunité de le tester, et je pensais d’ailleurs l’envoyer bientôt chez un antiquaire de ma connaissance, mais… Le Seigneur Phaéris semblait persuadé que nous en aurons l’utilité un jour. » Le regard qu’il lança au scientifique était dénué de toute émotion. « Peut-être ce jour est-il arrivé…
- Et comment fonctionne-t-il ? » S’enquit le Roi, perplexe devant l’engin qui, à son goût, ressemblait un peu trop à un outil de torture.
« De ce que j’en ai compris… Comme un projecteur de souvenirs. Les lunettes à l’avant sont empreintes de magie Xélor :  elles permettraient de récupérer les images enfouies dans la mémoire des sujets.
- M-mais c’est sans danger ? » S’enquit la Princesse, également perturbée par l’appareil de cuir et de métal.
« Ça ne devrait pas l’être… » Répondit l’émissaire. « Pas d’après ce que nous en a dit son concepteur en tous cas… »
          La coiffe crème se retrouva centre de tous les regards. On attendait visiblement son aval, ou, a minima, sa pensée sur la chose. À partir du moment où le sujet acceptait de se soumettre à l’expérience, alors la responsabilité de cette dernière n’était plus du ressort du scientifique, n’est-ce pas ? Ou de celle du tortionnaire dans ce cas… Mais avait-il encore le choix ? Refuser serait perçu comme un signe de faiblesse… Une preuve supplémentaire. Un aveu. Et qui sait, peut-être pourrait-il garder un minimum de contrôle sur ce qui serait diffusé : l’objet pouvait peut-être lire dans les souvenirs, mais il en demeurait l’écrivain et donc le maître. C’était tricher, oui, mais toujours mieux que de laisser le doute planer.
Tout ça doit avoir un sens.
Je...
Je ne repartirai pas là-bas.
« Soit… Finissons-en. »
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               Les Lectanima étaient bien plus impressionnantes à observer qu’horribles à porter. Certes, le cerclage métallique aurait mérité quelques ajustements pour ne pas vous écraser les tempes et la sangle de cuir ne conviendrait pas aux plus larges têtes, mais la morphologie du scientifique lui permettait de s’y accommoder sans trop de mal. On aurait presque pu dire qu’elles avaient été conçues sur mesure… La pensée lui provoqua un soubresaut involontaire, arrachant par mégarde une mèche de cheveux prise entre deux boucles d’acier.
« Ne bougez pas autant je vous prie : le manuel stipule clairement que l’appareil doit être correctement fixer pour éviter toute-
- Comme si cela était de ma faute si son inventeur n’a pas été capable de prévoir que la plupart de sa clientèle n’était pas chauve ! » Préféra rétorquer l’Éliatrope.
          Cette remarque fit néanmoins s’arrêter Maître Joris un instant, celui-ci contemplant un peu trop longuement la tignasse brune qui venait une fois de plus de s’emmêler. À ses côtés, se trouvait toujours une paire de ciseaux à peine dégrossie ayant servi à débarrasser les différentes pièces de leur emballage. Qilby déglutit.
« V-vous n’oseriez pas... »
          Heureusement pour lui, l’archère Crâ, restée jusqu’alors en retrait avec le reste de la troupe pour installer la petite salle dans laquelle ils avaient décidé de s’installer, prit les devant. D’une de ses nombreuses poches, elle sortit un fin bandeau noir, un de ceux qu’elle utilisait elle-même pour attacher ses propres mèches blondes par le passé. L’émissaire la remercia sobrement avant d’aller superviser le reste des opérations.
          Dès son départ, Évangéline s’affaira à cette nouvelle tâche, prenant, pour les plus attentifs, grand soin de ne pas arracher davantage le scalp du scientifique. Profitant de l’agitation ambiante comme de leur mise à l’écart temporaire, elle se pencha à son oreille pour lui murmurer quelques mots. Sa voix trahissait une certaine inquiétude :
« Comment… Comment vous sentez-vous… ?
- À votre avis ? » Soupira-t-il.
« Écoutez, je ne sais pas ce que cette… machine du diable peut réellement faire, mais j’ai appris à me méfier des inventions Xélor comme de la peste. »
          Qilby émit un discret grognement affirmatif à cela. Il savait ce que son frère, Adamaï et leurs amis avaient dû affronter lors de leur rencontre avec Nox, le « Xélor Fou ». Plus qu’une bande de joyeux lurons, cette quête et ces batailles avaient demandé de véritables aventuriers…
« Pensez-vous qu’il… que Yugo pourra voir… ?
- Je ne l’espère pas. » Répondit-il, sombre. « Mais vous comprendrez que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’il-
- Hey ! Éva ! » Interpella soudain son petit-ami Iop. « T’as bientôt fini ?
- Je comprends. » Chuchota l’archère en finissant d’attacher les cheveux du savant en une queue de cheval lâche. « Sincèrement. Je… Bon courage… Major. »
          Elle se leva, visiblement en manque de temps… ou de paroles rassurantes. Lui dut se retenir de pouffer de rire à l’usage de ce titre ridicule : décidément, relater leurs campagnes d’extension sur leur planète d’origine avait eu des retombées déplorables. Enfin, au moins était-elle parvenue à le faire sourire avant le début de cette… « expérience » en somme. Toutefois, avant qu’il ne balaye à nouveau la pièce du regard, il eut le temps d’apercevoir celui du Roi Sadida, lui aussi observateur de la scène.
Merde…
          Les avait-il vu échanger ? Lui qui voulait éviter d’attirer les soupçons… Qilby n’eut néanmoins pas le loisir de réfléchir davantage que Maître Joris appelait au rassemblement de ceux encore libres de leur mouvement. La chambre privée était enfin prête, avec ses grands rideaux de lianes tirés, ses couvertures de soie blanche suspendues en lieu et place d’une tapisserie, ainsi que de plusieurs coussins et tapis étalés à même le sol pour ceux et celles qui seraient pris de fatigue durant « l’interrogatoire ». Étrangement, l’accusé serait tourné dans le même sens que les présupposées victimes… La seule différence résidant dans la rude chaise en bois, les lianes maintenant son poignet droit immobile contre son dossier, ce pour empêcher toute tentative de retirer les imposantes lunettes de métal durant la « projection ». Elles ressemblaient presque à celles qu’employaient les forgerons pour se protéger des étincelles et autres éclats aveuglants, mais possédaient cette aura malsaine que seuls les bourreaux et tortionnaires savaient vous instiller.
« Bien ! Nous allons commencer l’interrogatoire. » Enonça Maître Joris, protocolaire à son habitude. « Messire Qilby, avez-vous- ?
- Oui, j’ai bien compris mes droits et obligations, petit gardien de l’ordre. »
          Le dénommé leva un sourcil interrogateur sous sa capuche : il n’était pas dans les habitudes du scientifique d’en venir aux sobriquets et autres formules dégradantes, ce autant pour leur cible que pour leur créateur. L’Éliatrope était acculé ; le voilà à s’en remettre à de maigres attaques verbales. Intriguant. Dangereux…
« Et acceptez-vous toujours de vous soumettre aux questions que nous vous poserons ? » S’enquit le Prince Armand. « Jurez-vous de nous montrer la vérité, et seulement la vérité ?
- La vérité est un concept bien trop complexe pour des âmes aussi juvéniles que- !
- Doc’… » Grommela Ruel, une plainte silencieuse dans le regard.
          Tous s’étaient réunis au centre de la pièce. Maugréant, il finit par concéder :
« Disons que je ferai de mon mieux. Les souvenirs ne sont pas forcément quelque chose… d’aisé à plier à notre volonté. » Soupir. « Et les miens, aussi précis et justes soient-ils… n’y font pas exception.
- Ne vous inquiétez pas, mon cher. » Le Roi Sadida avait posé une main sur son épaule, prenant soin qu’il s’agisse de la bonne. « Je veillerai personnellement à ce que leurs limites soient respectées. »
          Cette dernière phrase, si elle fut appuyée d’une moue sévère à l’encontre du Prince, ne sembla pas apaiser le scientifique pour autant. Après tout, La Source ne connaissait pas de limites. Un puit d’encre infini dont les murs laissaient chaque jour s’envoler davantage de notes, parchemins et gravures vers Les Cimes, qui trieraient, numéroteraient… archiveraient. Ce pour les siècles et millénaires à venir.
« Qilby… ? »
          C’était Yugo, qui s’était enfin approché de lui depuis le début de ce procès infernal. Cela lui rappelait d’ailleurs… Non ! Il ne fallait pas y penser. Enfouir. Enfouir loin ! Il ne pouvait pas prendre le risque que celui-là resurgisse.
« Je… J’aurai préféré que l’on fasse autrement, mais… Mais j’ai peur que les autres ne parviennent pas à croire… » Ses yeux cherchaient ses mots. « … juste des paroles. Tu comprends, n’est-ce pas ? »
          Yugo, petit Yugo, naïf Yugo… Comme s’il n’y avait pas eu d’alternatives à cette farce. Aussi jeune soit-il, son frère n’en demeurait pas moins un membre estimé de la Confrérie du Tofu, un défenseur émérite du Monde des Douze. Eut-il ordonné que l’on offre le bénéfice du doute à son fou de frère, ne serait-ce qu’une enquête soit menée en premier lieu, les autres auraient bien été en mal de lui résister. Mais c’était là la différence majeure qui se tenait entre les deux Éliatropes :
Tu te croies toujours au service des autres,
là où, moi, fatigué de donner…
« Parce que toi, tu y croirais… » Demanda-t-il, un léger rire dans la voix. « … Mon Roi ? »
J’ai fini par exiger que l’on me rende la pareille.
« Bien sûr. »
          Son visage enfantin était ouvert. Déterminé. Ce n’était pas la promesse d’une foi aveugle, comme il avait pu l’avoir lors de leur première rencontre dans cette vie, c’était… Du temps laissé pour s’expliquer. Écouter puis juger. S’excuser, pardonner ou demander réparation si nécessaire. C’était… de la conf- ?
« Prenez place je vous prie ! Nous allons revenir sur les évènements des deux dernières semaines. Pour rappel, une fois la machine lancée, il n’existe pas de moyens de revenir ou d’arrêter le processus de lecture : soyez donc attentifs à chaque détail. Messire Qilby ? » L’intéressé releva la tête, désormais enserrée par le cuir, le métal et le verre. « Je vous sais assez intelligent, mais aussi animé par la curiosité, pour tenter de tester les limites de cette… création. Mais je dois vous informer que le Xélor nous a mis en garde : tenter d’aller à l’encontre du « flot mémoriel », comme décrit par son inventeur, pourrait mener à… disons, des souffrances inutiles.
-  Pardon ? » Les regards inquiets de plusieurs membres de la Confrérie vinrent seconder l’exclamation du Roi Sheran Sharm. « Il me semblait que vous aviez dit que la procédure ne comportait aucun ri- ?
- Elle n’en présentera aucun, Votre Majesté… Si la personne concernée se plie à son mode d’emploi. »
          « Si vous ne faîtes pas de vagues » fut l’implicite. La tentative de réassurance ne sembla pas convaincre le père des Sadidas, qui, s’il s’écarta raisonnablement pour laisser place à la « projection », demeura néanmoins à une liane de distance de leur hôte. Aucune torture inutile n’aurait lieu sous son toit… Du moins espérait-il qu’elle ne le deviendrait pas.
« Tout le monde est-il prêt ? » Demanda une dernière fois l’émissaire pour bonne mesure. « Bien, dans ce cas… »
          Dans sa nuque, Qilby put sentir un loquet se fermer, tandis que l’on tirait le cadre d’une chenille un peu plus haut. Contre le verre noir qui lui bloquait alors la vue, une lumière se mit à danser, créant un tunnel qui ne cessait de croître à mesure que le chaîne contre sa tempe déroulait ses maillons. Une vingtaine : un pour chaque jour que ses utilisateurs souhaitaient visionner. L’effet avait de quoi vous rendre nauséeux. Le cliquetis s’interrompit… Avant de reprendre de plus belle, mais cette fois-ci, dans le sens inverse. La lumière se rapprocha. Le tunnel rétrécissait. Encore. Encore… Encore.
Oh Déesse,
Faites donc au moins que cela soit cou- !
          Soudain… La lumière le frappa en plein cœur. En plein dans ses souvenirs…
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Hey ! Le Traître !
« Ah ! Ça commence !
- Apparemment, il s’agit d’une altercation entre les deux intéressés peu après notre retour de la Foire… »
Tss… Bonjour à toi aussi, Pha-…
Silence ! Phaeris n’a pas de temps à perdre avec tes paroles mielleuses, Qilby !
« Mais… ! Pourquoi… ?
- Chut ! On n’entend rien avec vos commentaires ! »
Le poison contre la créature : quand l’auras-tu terminé ?
Écoute, je ne sais vraiment pas ce qu’il te prend, mais saches que je ne pourrai pas t’en dire plus qu’à l’autre encapuchonné : le mélange n’est pas encore prêt, point final.
« Hum, outre la dénomination, voilà qui est intéressant. Alors il semblerait que Sir Phaéris ait reçu les mêmes informations que nous. »
Et pourquoi donc ?! Toi qui te vantes sans cesse de ton géni, comment se peut-il que cela ne soit pas déjà prêt ? Et ce pour une recette que tu connais déjà ?!
Ce n’est pas la formule qui fait défaut, imbécile, mais les ingrédients ! ! C’est comme si tout reprenait de zéro !
Essayerais-tu maintenant de rejeter tes fautes en plus de ton incompétence sur Phaeris, Traître ?
Ce n’est pas la peine de vouloir réendosser ton ancien rôle, Phaeris « le &X$*/+ », tu sais tout comme moi que je ne fais que dire la véri-Aaaartch ! »
« Que… ? Non…
- Hey, qu’est-ce qu’il a dit ? Phaéris le … ?
- Messire Qilby : n’essayez pas de résister au Lectanima.
- Cette… c-conversation est…
- Tout aussi importante que les autres. Merci de ne pas chercher à en supprimer des éléments qui pourraient se révéler clefs dans leur compréhension. »
Dans une d-dizaine de jours. Je devrai avoir fini dans une dizaine de jours…
Tu en es certain ? Tu n’as pas intérêt à vouloir nous berner !
Tu as intérêt à tenir ce délai. Nous ne pourrons probablement pas nous permettre d’attendre plus longtemps.
Que… ? Quelque chose est-il… ?
Contente-toi de remplir la tâche que l’on t’a confiée.
« Sire Phaéris savait. La rencontre avec le faux émissaire avait donc déjà eu lieu : les éléments concordent pour l’instant, n’êtes-vous pas d’accord Maître Joris ? »
Et pour le poison ? Pardonnez-moi de revenir toujours à notre problème initial, mais…
Je vous promets qu’il sera mis au point à temps.
« Ha ! Quand on parle du Mulou…
- Ruel ! »
J-j’y arrive pas !
Encore un effort : ouvre tes épaules davantage, ralentis ton souffle et-…
Ça marche pas ! Je vais jamais- !
Yugo, calme-toi, ce n’est qu’une question de temps avant que toi aussi tu ne-…
Non ! Tais-toi !!
« C-c’est… moi ?
- Messire Q- !
- Non, attendez. C’était… le jour de l’entraînement. Ceci est donc un… souvenir ? Peut-être que cette perspective, disons, « récente », a provoqué une vision plus ancienne ? »
Comme tu le sais très certainement, le Wakfu se nourrit des flux d’énergies traversant tous les êtres vivants, tels le sang, la lymphe, ou tout simplement l’eau…
Hey, Tristepin ! Intéressé par un petit match amical ?!
« Nous avons visiblement avancé jusqu’à l’après-midi. »
[ Quelque chose ne va pas.
Je pourrais jurer que… Mais non, ce n’est pos-
C’est comme lorsque…
Elle a su se rattraper : la chute n’a pas été violente. ]
Pourquoi donc t’es-tu interposé de la sorte ? Te rends-tu compte du danger que tu as provoqué pour Dame Évangéline ?!
J’ai dit. Regarde-la.
Il semblerait que Dame Évangéline ne soit pas en posture de continuer le combat. Nous ferions mieux de la laisser se reposer pour aujourd’hui et reprendre notre entraînement plus tard.
« Cet épisode était… particulièrement étrange.
- Il a été capable de voir que quelque chose n’allait pas donc.
- C’est pas un Doc’ pour rien : lui sait faire des observations utiles.
- Comment os- ?!
- Armand, assis-toi. »
Hey ! Je sais que vous êtes là !
Ah, vous m’en voyez vraiment désolé, ma chère…
« Voilà ! Le moment de vérité !
- Pinpin… »
Vous êtes un scientifique, non ? J’ai pensé que cela pourrait vous faire plaisir.
« …
- Maître Joris… ?
-Hum ? Non, rien… »
Le collier fonctionne. Je ne peux pas utiliser mes pouvoirs. Je suis simplement plus adepte à sentir les flux de Wakfu.
« Comme à la séance d’entraînement… »
Yugo est mon ami, j’irai même à dire que… je le considère comme un frère. Vous comprendrez donc que je ne peux pas vous laisser agir à votre guise.
Vous… Vous ne partirez pas… hum ?
« Je… Merci, Éva. 
- De rien, Yugo. »
Je suis contente d’avoir eu cette discussion : je vous remercie pour votre honnêteté.  J’aurai encore plusieurs questions à vous poser.
Malgré le plaisir de votre présence… je ne peux pas me permettre de délayer davantage mes travaux sur l’antidote. Mais peut-être seriez-vous intéressée pour partager une autre tasse de thé, disons… Après-demain, vers 15 heures ?
« Donc… Tu voulais juste le surveiller de plus près Éva ? Tu aurais pu me le dire quand même : tu sais quel mal j’ai eu à distraire les gardes durant tout ce temps !
- Pardon ?! Distraire les g- ?!
- Plus tard, Armand. Plus tard. »
Ad’ s’interroge beaucoup ces derniers temps… Il s’est rendu compte que… il, enfin nous – les Éliatropes et les dragons – avons des pouvoirs incroyables. Mais que cela signifie également que nous devons apprendre à les contrôler pour éviter des accidents… de blesser les autres.
« Hey !
- Je devais en parler, Ad’. Il fallait bien commencer quelque part… »
Eh bien, je vous remercie pour cet après-midi. J’espère, cette fois-ci, vous voir manger davantage qu’au diner d’hier soir. Vous ferez plaisir à Yugo en avalant plus que trois feuilles de salade…
Oserai-je voir du souci pour ma santé dans cette requête ?
Pensez donc à faire corriger vos lunettes…
J’y veillerai…
« Et toi qui doutais… »
Qilby ?!
Hum… ?  Oh, Yugo : c’est toi ! Déjà debout ? Je me suis simplement retrouvé à cours de thé et cette charmante personne s’est proposée pour m’accompagner jusqu’à la réserve !
Tu es disponible cet après-midi ?
Disponible est un bien grand mot. Je serai présent dans ma cellule jusqu’au souper si c’est que tu souhaites savoir.
Ah, Yugo ! Comment ça va aujourd’hui, gamin ? Et vous, Doc’ ? C’est rare de vous voir ici-bas dès le réveil ! Vous ne vous êtes pas trop fait mal en tombant d’vot’ lit j’espère ?
« C’était il y a une semaine. Le jour où… »
Sir Phaéris ne nous a pas encore rejoint ?
[ Hey ! Le Traître !
Le poison contre la créature : quand l’auras-tu terminé ?
Un Nephylis…
Dans une d-dizaine de jours. Je devrai avoir fini dans une dizaine de jours…
J’imagine certainement, à l’image de certains ici présents, que ceux-ci se sont lancés tête baissée dans la bataille, hum ?
La bête les as r-ravagées.
Or, il s’agit là exactement de ce que la créature désire…
.
Nous ne pourrons probablement pas nous permettre d’attendre plus longtemps.
.
.
Déjà debout ?
C’est plutôt moi qui devrais te faire la remarque ! ]
L’a-antidote. Phaéris est parti avec l’antidote.
« Il avait déjà compris avant nous ce qu’il se tramait. Mais cela demeure logique compte-tenu de leurs interactions passées. »
Combien de temps avant qu’il n’atteigne votre Cité ?
Un jour… Peut-être deux-
C’est beaucoup trop long. Et les Zaaps ? Vous n’en avez pas à disposition ?
Messire Qilby… ? L’antidote que vous étiez en train de concevoir, n’avez-vous pas dit que sa confection en était presque achevée ?
« Il…
- Oui, on dirait bien, Ad’. »
En théorie, oui. Mais il restait encore à réaliser les tests de contrôle : cette formule n’est pas la même que celle que j’avais pu développer à l’époque ! Tout était à refaire. Il pourrait y avoir un délai d’action à prendre en compte, voire même des effets secondaires ! Je ne suis même pas certain que… !
[ Même pas certain qu’il soit efficace… ]
Messire Qilby. Vous n’êtes pas responsable pour ce qui est arrivé aujourd’hui.
[ C’est moi qui étais responsable de… ]
« Ne serait-ce pas… Sir Phaéris ?
- Ooooh ! Il est vraiment adorable comme ça !
- Oui, mais… C’est une vision du passé, n’est-ce pas ? »
Et je suis certain que Sire Phaéris nous reviendra… Sain et sauf.
Je vais vous laisser… Messieurs.
Vous souhaitiez me voir… les garçons ?
Si les Éliatropes sont faits d’énergie, et que le collier la bloque, même de manière incomplète… N’y-a-t-il pas un risque que… ?
Ouais, et donc…  avec Yugo, étant donné que l’on n’a pas grand-chose de prévu pour aujourd’hui, on voulait te poser quelques questions concernant la langue draconique.
« Ah oui, c’est vrai que plus tard, on était allé lui rendre visite. Pour… tuer le temps. »
Tss… Bon tous les deux, on peut reprendre… ?
Les désirs de Sa Majesté sont des ordres.
Pah ! Touché !
« En tous cas, vous aviez l’air de bien vous amuser. Faudra qu’vous m’invitiez la prochaine fois ! »
Tu… Tu leur en veux ?
Le prix à payer aurait été trop élevé. Vous… Vous devez comprendre de quoi je veux parler, non ?
« Hum, Maître Joris, cette conversation me semble plutôt… privée.
- Nous arrivons bientôt à la fin, Vôtre Majesté. »
Dites doc’, vous allez finir par la poser cette fiole ?
Hum ? Pas tant que la décoction n’aura pas pris des tons orangés, non…
-oc’ ? Vous ê- là ? Doc’ ! Par les Douze, mais qu’est-ce qui vous a- ?
Pha-é-ris - il - Pha-éris est… Phaéris est mort…
« Alors c’était ça, ce qui vous arrivait ce matin, Doc’.
- L-les Éliatropes peuvent… vivre la mort des autres ?
- Comment ça se fait que nous on n’a rien ressenti ?!
- Effrayant… »
Bien, je vous remercie d’être venu aussi vite. Comme vous le savez très certainement, des nouvelles de Bonta nous s-
« Et voilà qui conclue notre histoire. »
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               Il pouvait à nouveau respirer. Il avait réussi. Ses premières tentatives pour modifier l’incessant flot de souvenirs avaient été grossières, perçues directement par leurs spectateurs. Toutefois, dès qu’il eut compris qu’il valait mieux les réarranger, quitte à déformer l’histoire originale, ce plutôt que les censurer, alors la projection avait pu se dérouler sans accrocs… Pour lui comme pour les intérêts qu’il se devait de protéger. Finalement, cela ne changeait pas de ce qu’il avait déjà eu à faire par le passé : ne pas dire la vérité, mais ne pas mentir non plus. Il avait masqué les entrevues avec l’archère par des sessions d’étude, celles avec Ayssla par des heures passées dans son laboratoire. Le scientifique espérait seulement que ses efforts seraient récompensés. Étrangement, il avait du mal à s’en convaincre.
« Bon, après ce visionnage… instructif, je pense que nous pouvons, sans trop nous tromper, rejeter les accusations initialement prononcées à l’encontre de notre hôte. » Le ton du Roi se voulait aussi diplomatique que ferme. « N’est-ce pas ?
- En effet. » Appuya l’émissaire de Bonta. « Je n’y vois pas d’inconvénients. Il paraît désormais très peu probable que Messire Qilby ait volontairement cherché à nous nuire. »
          Il aurait aimé leur rétorquer que le soupçonner en premier lieu avait été une aberration, qu’il aurait eu trop à perdre dans ce pari, que si la fin pouvait parfois justifier les moyens, il n’en était pas à sacrifier ses cartes par pur plaisir sadique… Mais après les évènements qui avaient suivi son premier retour, il se voyait bien en peine de jeter la pierre aux Douziens. Déesse, les rôles auraient-il été inversés, nul doute aurait-il réagi de la même manière.
Peut-être même aurai-je été pire qu’eux…
Très certainement.
« On… peut peut-être lui retirer l’appareil, non ? Maintenant que c’est fini. »
          La voix de son cadet lui fit presque chaud au cœur. Elle semblait si énergique en comparaison aux échos qu’il avait été forcé d’écouter ces trente dernières minutes ! La source conservait les faits, mais n’avait que faire des sens : rares étaient les souvenirs qu’il était encore capable de ranimer à leur plein potentiel. Il manquait toujours cette odeur de printemps, cette voix aux notes cristallines, cette caresse d’un vêtement fraichement repassé… Une pièce de théâtre où les acteurs se voyaient progressivement changés en mannequins dénués de toute expression. De toute vie.
« C’est vrai qu’on doit pas y voir grand-chose avec ce machin sur le nez ! » Déclara une autre, à n’en point douter son ami mineur à son accent tranché. « Bougez pas, Doc’, j’me charge de- ! »
          Très honnêtement, cette histoire aurait dû s’arrêter ici. On le libérait de cette machine du diable, le disculpait de cette affaire, voire, avec un peu de chance, lui présentait des excuses… Repas, tasse de thé, nuit blanche.
« Eh bien moi, je ne suis pas d’accord !
- Pinpin ? Qu’est-ce que- ?
- Éva n’est pas allée qu’une fois le voir et pourtant, on n’a vu qu’une seule visite ! Et on ne sait toujours pas ce que Phaéris et lui ont vu chez elle : il y a quelque chose qui cloche là-dedans et je vais faire la lumière sur toute cette affaire ! 
- Non, Messire Tristepin ! Il ne faut pas- ! »
          Tout ce qu’il sentit, ce fut la chaine partir, accompagnée de quelques mèches de cheveux sauvagement empoignées dans le mouvement… à la différence que les maillons ne furent pas soigneusement comptés. Le défilement métallique résonna comme une avalanche à ses oreilles, ne s’arrêtant qu’avec les cris d’alarme et les grognements des personnes à ses côtés, visiblement aux prises avec le guerrier Iop qui continuait de réclamer de savoir « pourquoi ».
          Et ô comme il allait être servi…
          Car là-bas, dans les entrailles de ces méninges retorses, il allait trouver toutes les réponses qu’il n’aurait jamais imaginé révéler… Et plus encore celles qu’il n’aurait jamais désiré voir.
.
.
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Celles que tu aurais préféré garder pour toi seul, pas vrai… ?
~ Fin du chapitre 9
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empirearchives · 1 year
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Empire style dress, 1805-1810, France
Source: V&A Museum
This muslin gown is a typical evening ensemble of the period 1800-1810. The embroidered design of flowers has been worked in cotton and silver thread with tiny gold spangles (sequins). It resembles fashion plates and descriptions from the fashion magazine La Belle Assemblée of 1807. A new development in dressmaking is the fastening of the gown at the back rather than the front.
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lupitovi · 11 months
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Shaka Ponk - Tout le monde danse 
Je sors à peine de la crise de nos quarantaines  Et je me traîne, j’me traîne. Les autres sont repassés sur le même thème Mais je ne suis pas la même, pas la même. 
Même si tout le monde danse en belle Assemblée et que le beat cogne Même si quelques-uns pensent à se rassembler et que les flics cognent 
Everybody dance Everybody dance 
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody 
Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Tu dis que l’amour existe et que le SYS t’aime Mais je suis ken, j’suis ken Tout le monde s’écrase, toute le monde rejoue la même scène Mais ça ne vaut pas la peine, pas la peine. 
Même si tout le monde danse pour ne pas penser (Ou ne pense qu’à dépenser) Même quand tous ces gosses pensent à tout balancer c’est du mineur en majorité. 
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody  
Tout le monde danse quand ces gens là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Je danse pas cet air, Je danse pas les fausses guerres. Je danse pas quand on me dicte tout et son contraire. J’danse pas quand ces gens là claquent des doigts. Les aiguilles de fer dans des clés de bras, j’danse pas . Je danse pas pour le beat qui s’agite dans le ministère Big Pharma, j’danse pas Quand la vie s’enterrent sous les carrières leurs messages d’amour pour la terre, j’danse pas. 
 Les badass qui t’défoncent, qui t’effacent, qui t’encrassent l’art,  la terre et les artères en fêtant des lois, votées au pas de l’oie, dans des orgies romaines , Paris 7éme. 
Je danse pas Et je prends pas la pose, pour qu’on nous fourre des doses sous hypnose médiatique les Trois Singes en laisse, pour une Presse en sbire Ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire 
J’danse pas Quand ces gens-là claquent des doigts,  Je pense pas, comme ces tâches qui croient que pour que rien ne s’effondre, il suffit de s’en foutre. Et ce cri de la Vie, que personne n’écoute. 
J’danse pas pour les mass médias, pour les putes à clic et les politiques qui s’échangent des gosses par millions de minois mijotés,  asservis pour les putes à lobbies sur insta. 
J’danse pas sur la peur, les coups bas, les muselières aux infirmières Les docteurs bannis des médias pour laisser les antennes aux promos de la haine d’un faux candidat. 
J’danse pas pour ces mioches au pouvoir  Des urnes fourrées au désespoir J’danse pas pour ces sales gosses ripous qui cassent le vivant comme un vieux jouet dont on se fout. 
J’danse pas Si on me prends pour une bonne J’danse pas Quand on me prend pour conne Je danserai toujours pour ma belle Daronne pour pas que sa Nature ne nous abandonne. 
Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Mais comme il suffit de ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Comme il suffit de ne pas s’en faire Comme il suffit de ne pas s’en faire.
Ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Il suffit de ne pas s’en faire Il suffit de ne pas se faire chier. 
Mais comme il suffit de ne pas s’en faire et se faire notre chère mer Comme il suffit de ne pas s’en faire Comme il suffit de ne pas s’en faire. 
Ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Il suffit de danser binaire Il suffit de ne pas se faire chier.
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody
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scotianostra · 4 months
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Christina Robertson, the Fife artist, was born on December 17th 1796 in Kinghorn.
She rose to prominence at a time when it was simply unheard of for women to create art in a male-dominated world.
It is unknown when she first started painting, and where received her education. In 1822, she married the artist James Robertson, and together, they settled in London. The marriage would produce eight children, four of whom would die in childhood.
Starting from 1823, Christina Robertson began participating in the annual exhibitions of the Royal Academy in London and Edinburgh. She also exhibited her works with the Society of British Artists and the British Institution (from 1833), and was frequently lauded by critics. In 1829, she was elected an honorary member of the Scottish Academy -- the first woman to ever receive this distinction. During the 1830s, she travelled to Paris several times.
Her portraits were frequently used as the basis for engravings for journals and magazines of the 1830s and 40s, including The Court Magazine, La Belle Assemblée, Heath's Book of Beauty and John Burke's Portrait Gallery of Distinguished Females. It was through these publications that her fame spread to the Russian nobility in St. Petersburg.
In 1837, Robertson travelled to Paris, and it was here that she painted the portraits of several Russian clients, any one of whom could've recommended the artist to the Imperial Court. This was a period of "Anglomania" in Russian high society, and anything British was very fashionable.
In 1839, Robertson participated in an exhibition at the Academy of Arts in St. Petersburg, to great critical and public acclaim. As a result, in 1840, she was commissioned to paint for two full-length portraits, one of the Emperor Nicholas I and one of the Empress Alexandra Feodorovna. Robertson received numerous other commissions from the Russian nobility.
In 1841, already after her return to Britain, the artist was elected an honorary free associate of the Academy of Arts in St. Petersburg.
Robertson's second visit to Russia, from 1847 to 1854, was considerably longer. This period was marked by growing tensions between Britain and Russia that would culminate in the Crimean War and, although Robertson was greeted with the same enthusiasm as before, the changing tastes of Russian high society would cause her several setbacks.
In 1849, she painted two portraits of the Emperor's daughters-in-law. One of these works was rejected outright, while the other was deemed by the Emperor to be "unsatisfactory." Despite this, Robertson continued to receive commissions from the Imperial family and the St. Petersburg court. In 1850, she painted several portraits of Grand Duchess Maria Aleksandrovna, the Emperor's daughter-in-law whose earlier portrait he had rejected, and her children. In 1852, she worked on a portrait of the Empress.
By this time, Robertson's health had begun to decline, and might have been running into financial difficulties, as there is evidence that several of her clients had refused to pay her.
Christina Robertson died in St. Petersburg, in 1854 and was interred in the Volkovo Cemetery.
Pics are a self portrait, Tsar Nicholas I Pavlovich Romanov and Empress Alexandra Feodorovna I of Russia
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just-a-half-cape · 2 months
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Quand ton frère te dis "Dis, est-ce que ça te dit de faire une robe pour Maman pour Noël ?", tu sais que tu vas galérer et que ça va être compliqué, mais tu aimes les défis, donc tu dis oui ! Et nous voici donc dans le dernier projet en date : une robe pour ma maman ! Mon frère a fait le design, et j'ai fait la construction. J'ai commencé par essayer de faire moi-même mon patron, une belle galère ! Mais qui m'aura appris beaucoup de choses, et grandement augmenté ma compréhension des patrons. Je me suis ensuite rabattu sur un patron commercial, que j'ai adapté pour pouvoir faire ce que je voulais. Patron adapté aux mesures de ma mère que j'avais récupérées. Ensuite, l'étape de la toile : vérifier les mesures du patron, mais difficile de faire plus sans le modèle ou un mannequin... tant pis, pas bien plus de temps, je passe à la construction finale. Tout l'objet du design c'est d'avoir un jeu entre deux tissus, avec un tissu transparent / à motif par dessus un tissu unicolore / texturé. Il aura fallut un peu de recherche pour trouver tout ça ! On atterrit sur un lin orange accompagné d'un tulle brodé de fleurs en 3D. Ensuite, il s'agit de plisser le tulle brodé sur le lin sur le haut de la robe. Pour la jupe, c'est plus simple, même pas besoin de patron, c'est une jupe cercle pour un maximum de volume ! Le tulle est coupé sur les 3/4 du cercles pour cet aspect fendu, et superposé au lin directement. Une fois le corsage, la jupe et la ceinture assemblées, je pose la fermeture éclair invisible. Bon, le résultat est pas tout à fait invisible. Le décolleté est fini avec une parmenture, et les emmanchures sont terminées avec un biais. Beaucoup de premières fois dans cette robe : la modification de patron, le plissage, la pose d'une parmenture, la pose d'une fermeture éclair, la finition au biais. Beaucoup d'apprentissage ! Et beaucoup d'essai-erreur... Et beaucoup de travail en rush avec la machine de maman juste avant Noël pour avoir un résultat potable xD. L'étape suivante : l'essayage et les retouches. #couture #robe
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shalomelohim · 8 months
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Jewish Music with Beautiful Views of Israel | Peaceful Relaxation (Instrumental)
Idéal pour préparer le repas du Shabbat !
Listen to authentic Jewish Music and watch beautiful views of Israel unfold before you including the Garden Tomb, The Temple Mount, Sea of Galilee and much more.
Écoutez de la musique juive authentique et regardez de belles vues d’Israël se dérouler devant vous, y compris le Tombeau du Jardin, le Mont du Temple, la Mer de Galilée et bien plus encore.
♥  ♥  ♥
Am Israël Haï !  Beaucoup d’événements prophétiques vont se passer en Israël. Il est regrettable que ce ne soit pas suffisamment dit dans les assemblées.
Voici un autre signe du Retour de Yahshua / Jésus :
Israël : 57 nouveaux immigrants de France ont fait l’alyah au mois d’août Les Juifs de France sont de plus en plus nombreux à vouloir, ou penser dans un proche avenir, à faire leur Alyah en Israël.
Israël : 215 nouveaux immigrants des Etats-Unis et du Canada font leur alyah Les nouveaux immigrants ont choisi de s'installer à Jérusalem, Tel Aviv, Ra'anana, Beit Shemesh, Haïfa, Afula et Modi'in.
Le salon de l'Alyah, présent pour Yom Hebron, veut relancer l'immigration des Français en Israël, en baisse de 40 % en 2022.
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notrebellefrance · 2 years
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Les Cévennes en automne
Les Cévennes, c’est un pays de granit et de schiste situé en bordure méridionale du Massif Central et sur le versant méditerranéen, entre les sources de l’Ardèche et de l’Hérault. Nature belle et rebelle, farouche et généreuse tout à la fois dont le paysage rasé fût entièrement redessiné par la main de l’homme Toits de lauzes
(pierres de schiste)qui y créa bancels, faysses, terrasses aménagées pour la culture de la vigne, des mûriers et des céréales. Et ceci avec un habitat tantôt de schiste, tantôt de granit, couvert de lauzes, qui se confond dans l’environnement.
Ce fût le pays des Camisards. Les Huguenots des Cévennes portaient la chemise blanche la nuit en signe de reconnaissance d’où le nom "Camisard".
Mais l’Histoire des Cévennes a eu ses heures sanglantes lorsque la révocation de l’Edit de Nantes en 1685, provoque l’interdiction de pratiquer la religion "réformée".
Telles des bêtes traquées, pourchassées par les dragons du Maréchal de Villars, bergers, cardeurs de laine, ramasseurs de châtaignes, les gens du peuple prophétisent au monde "la liberté de conscience".
Le relief accidenté, les montagnes et les vallées impénétrables mais familières, sont des abris naturels où se tiennent des assemblées secrètes... Quelques noms de chefs camisards : Roland, Jean Cavalier, mais aussi de martyre : Marie Durand.
Ces guerres de religions ont inspiré de célèbres écrivains, tels que J.P Chabrol, André Chamson, J. Carrière, Michel Jeury, de cinéaste:René Allio et poète: Marcel Pagès, mais aussi de villageois comme le bourgeois Durand de Massane dans son "Livre de Raison" (c'est-à-dire "livre de comptes").
D'autres auteurs, amoureux des Cévennes, s'en sont inspirés tel Jean Ferrat dans une chanson qu'il intitula La Montagne
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claudehenrion · 1 year
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Peut-on encore espérer ?
 Même si elle professe une forte préférence pour le pire, notre époque est, aussi, capable du meilleur, ce qui maintient en vie les optimistes. Un des problèmes les plus graves du moment, c'est que la Presse, néfaste et mortifère au delà de ses propres espérances, ne vante jamais que ce qui est à rejeter, à condamner, à refuser... mais que, par un biais inexplicable (mais permanent), elle présente comme le ''nec plus ultra'' d'une pensée qu'elle prétend bonne sur des critères --connus d'elle-seule– qui sont tous mauvais : plus c'est désespérant et plus elle le dit salvifique... ce qui  explique pourquoi nos contemporains (car cette pathologie est mondiale) croient que ce ''pire'' pourrait être une solution. C’est un mensonge !
Or il n'en est rien : à côté de ce qui constitue la trame sombre de notre (sur)-vie quotidienne revue et corrigée dans le sens du ''pas d'espoir'' (la ''no hope Society'' des 'ricains)-- il existe une vie, ''la vraie vie'', à l'extrême opposé de tout ce que nous racontent politiciens et journalistes, une fois de plus unis dans une entreprise inexplicable de destruction de toute société organisée –et plus particulièrement de notre civilisation judéo-chrétienne, dont toutes les valeurs –vraies, celles-là-- sont le contraire des anti-valeurs qui nous sont sans cesse présentés comme la nouvelle base d'idées qui devraient construire un monde nouveau. C'est un autre mensonge.
On a du mal à croire que quelques milliers de ''mal-pensants'' arrivent à maintenir 8 milliards d'humains la tête sous l'eau... biberonnés à l'eau du Léthé, pour oublier qu'il existe une ou des alternative(s)... Et pourtant, le 24 novembre dernier, a eu lieu, rue Saint-Guillaume, juste en face du cloaque contre-intellectuel, dé-politique et a-moral qu'est devenu ce qui fut Science-Po (devenu Science-Pipeau, affirment les ''anciens''), en plein cœur de ce quartier latin qui fut le lieu géométrique et le rendez-vous de notre belle jeunesse, l’ouverture d’ un ''Centre Saint Thomas d'Aquin'' (en abrégé : ''le CST''). Dans un beau discours inaugural, Eléonore de Noüel, sa Directrice, a déclaré que cette ouverture répondait à un authentique scandale : Thomas d'Aquin, un des plus grands penseurs de l'humanité, est quasi inconnu en France.  Ce mystère fait partie des préoccupations contre-civilisatrices qui font fonctionner –de plus en plus mal-- le moteur (arrêté !) de nos intellectuels en manque total de cerveau, de culture, de jugeote... et de solutions qui en soient.
Et pourtant Dieu sait (si j'ose !) si l'intention des pères de la scolastique était de tout faire pour réconcilier la philosophie grecque (et particulièrement l'aristotélisme), avec  la théologie chrétienne : la théologie et la philosophie, pour eux, ne sauraient conduire à des vérités opposées. ''Vaste programme'', aurait dit qui nous savons... d'autant plus que, pour en arriver à cet ambitieux projet, ils en appelaient à la médiation de Dieu, ce qui, évidemment, ne peut mener, aujourd'hui, qu'à accélérer la danse de Saint Guy des ''Wokistes'' qui ont fait de cet ex-haut lieu de la pensée française un bas-fond de la bêtise humaine, soumis à des aberrations sans queue ni tête... ni lendemains possibles. Et ces idées, contre toute intelligence et toute sagesse, sont reprises par nos gouvernants, vraiment pas à la hauteur de leur boulot et des défis qu'ils sont censés redresser. et qu’ils ne voient même pas
Pour Thomas (bien loin d'être Saint, in illo tempore), ''gouverner, c'est administrer la Cité d'après la vertu de Justice, en vue du bien commun''... notion qui ne saurait en aucun cas se confondre  avec les concepts, aussi vagues que flous, ''d'intérêt général'' ou –pire encore, puisque impossible-- de leur ''vivre ensemble''. Mais notre personnel politique ne sait plus compter au delà de ''49.3'', et notre Assemblée Nationale se déshonore dans de fausses querelles et de stupides invectives (car même leurs fausses indignations sonnent ''toc' … et le sont : on les sent fabriquées de toutes pièces, sans aucun fondement, mais exclusivement destinées à faire du ou le ''buzz'' (en français : ''des bruits incongrus'' ?). Nous vivons un temps où les ministres sont... les nuls que nous subissons, où les députés sont... les ravageurs de l'ex-LREM ou de la ''NUPES'', et où la vie intellectuelle... tourne autour de la sottise vulgaire d'un Cyril Hannouna, ce faux faiseur de faux rois d'une heure ! Dans des clashes d'une bêtise crasse, l'arène politique et la politique elle-même ne sont plus que des lieux où se déchaînent de fausses passions sordides, inutiles, et tout... sauf dignes du plus petit intérêt !
La dérive des idées-du-jour vers tout ce qui est ''franchement mauvais'' pour l'Homme, et celle de la construction européenne (un beau rêve assassiné par des idéologues sans foi ni loi) ont accéléré l'étiolement du principe d'identité nationale, voire, plus grave encore, de la Nation proprement dite, et ont invisiblement conduit trois générations de politiciens à ne plus faire reposer l'ordre dans la Cité que sur des ''droits de l'Homme'' (mal définis !)–ratatinés en ''droits humains'' sous la pression de harpies haineuses--, en supprimant l'ordre établi, les principes qui le régissent et tous les ''corps intermédiaires'' (famille, école, église, syndicats, partis, etc).   Or s'il n'y a plus d'intermédiaire entre l'individu et l'universel, l'idée-même que puisse exister un ''ordre collectif commun'' disparaît... et il ne reste, sur la table de négociations devenues impossibles, que des litanies de revendications venant le plus souvent de minorités qui se sentent exacerbées et qui se croient exaspérées.... ou qui veulent s'offrir la plus grande part possible du gâteau.
L'excellent Pierre Manent, dans son propos inaugural du ''Centre Thomas d'Aquin'' cité plus haut, a posé la question : ''L'ordre politique est-il rationnel ?'', et a répondu : ''Notre monde est devenu un monde de monades'' (NDLR : du grec μονoς, monos = un, l'unité. En métaphysique, on définit une ‘’monade’’ soit comme une Unité suprême – exemple : l’Un, Dieu, le Principe des nombres--, soit comme un élément spirituel minimal –exemple : le signe, le logo, le schéma. Pour simplifier, traduisons-le, ici, par ''Unité'')... ''un monde d'Unités, donc, où chaque Unité a le droit absolu de voir son désir satisfait ou son rêve réalisé... où chacun a le droit d'être un enfant infiniment capricieux''. Je ne sais pas si cette analyse dresse devant vous, comme elle le fait devant moi, le mur en construction de notre échec actuel et le spectacle de notre longue descente vers l'enfer, chacun croyant qu'il a raison contre la raison, l'intelligence, la réflexion… et l'Histoire de l'humanité. N'oublions pas Ezéchiel : ''Malheur à la Cité dont le roi est un enfant ''… un ''roi'' qui condamne, sans pardon possible, tous ceux qui, soignants ou pas, ne se plient pas à ses caprices puérils, pourtant scientifiquement et autrement démontrés injustifiables. Le prophète aurait été bienvenu d’ajouter un membre utile à sa phrase : ''Et malheur, aussi, au pays dont tous les sujets se comportent comme des enfants...''.
Il se confirme chaque jour (et plusieurs fois par jour, hélas!) que notre monde a perdu la raison. La seule existence d'un ''Centre Thomas d'Aquin'', le ''Docteur Commun'' devenu Saint entre temps, sera-t-elle suffisante pour redresser tout ce qui a glissé ''de traviole'' ? En période de disettes (et Dieu sait s'il nous en manque, des choses, dans l'enchevêtrement ''indé-chosable'' des crises que nous subissons !), ''mieux vaut quelque chose que rien...''. Quant à nous... tout ce que nous pouvons faire, à titre individuel, c'est l'espérer, et prier, pour ceux qui savent encore : en ce temps d'Avent plus encore que d'habitude, ça ne peut pas faire de mal !
H-Cl.
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pastlivesfinery · 1 month
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La Belle Assemblée, 1813
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gogmstuff · 1 year
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1810s dress (from top to bottom) -
1811 Contessa Anna Milanoaria Porro Lambertenghi Serbelloni by Andrea Appiani (Galleria d'Arte Moderna - Milano, Lombardia, Italy). From pinterest.com/paigeg102728/portraits/1810s/ 2000X2510 @144 4.2M.
1815 Family portrait by Orest Kiprensky (location ?)/ From tumblr.com/andrayblue 908X1138 @72 365kj.
1815-1820 Lady Emma Sophia Edgcumbe, Countess Brownlow (Blickling Hall - Blickling, Norfolk, UK). From nationaltrustcollections.org.uk/object/355520; navigational marks removed in upper and lower right and lower left corner 1986X2218 @144 4.8Mp.
1817 Katherine Hamilton, Lady Suttie of Balgone by Sir Henry Raeburn (auctioned by Sotheby's). From their Web site 2880X3722 @72 3.5M.
1817-1818 Carolina Ferdinanda von Osterreich by Johann Peter Krafft (auctioned by Dorotheum). From Wikimedia 3486X4511 @300 4.1Mj.
1818 Princess Augusta Wilhelmina Louisa, Duchess of Cambridge (1797-1889) Portrait from La Belle Assemblée, Jan-Dec. From ctgpublishing.com/princess-augusta-wilhelmina-louisa-duchess-of-cambridge-1797-1889-portrait 2454X3324 @300 3.1Mj.
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vicnormansstuff · 2 years
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Extraits de "Sécession, l'art de désobéir" :
"Si les sociétés traditionnelles avaient bien des défauts, la collectivité y primant par principe l’individu, il se trouve que, dans la pratique, elles n’étaient pas oppressantes et surtout nullement totalitaires, cette dernière caractéristique ne faisant son apparition dans l’histoire humaine qu’au XXe siècle avec le fascisme et le communisme. Bien que hiérarchiques et parfois autoritaires, ces sociétés, pour l’essentiel monarchiques, étaient largement décentralisées et permettaient aux individus de s’épanouir comme des fleurs sans avoir à s’expliquer régulièrement devant un représentant du pouvoir.
Dans ce type de société les pouvoirs des souverains étaient limités et, dans certains cas, spécialement restreints. Ainsi, à Venise, le doge (du latin dux, chef) était élu à l'issue d'un scrutin dont le tirage au sort constituait l'une des premières étapes. Il représentait et dirigeait la Sérénissime jusqu'à sa mort. Ses fonctions étaient strictement régaliennes (du latin, regalis, royal). Il contrôlait les affaires de l'État et décidait de la paix et de la guerre. Il dirigeait la République avec une assemblée élue, appelée le Conseil des Dix. Bien que chef de l'une des nations les plus riches de l'époque, ses pouvoirs étaient extrêmement réduits. Le doge devait dissimuler ses armoiries personnelles, ne pouvait accepter de présents, n'avait pas le droit de quitter ses appartements exigus du palais de la place Saint-Marc, sauf autorisation spéciale. Il ne pouvait se rendre dans son ancienne demeure, ni aller au théâtre ou au café, et il lui était interdit de quitter le territoire de la cité de Venise (7km/4km). Son épouse devait être vénitienne. Ni lui ni aucun membre de sa famille n'étaient autorisés à prendre part à une entreprise commerciale. Aucun de ses fils ne pouvait devenir doge à sa mort. Ses lettres étaient censurées et il n'avait pas le droit de communiquer en privé avec les ambassadeurs étrangers. Par-dessus le marché, il devait offrir des fêtes fastueuses sur ses propres fonds !
Dans la Sérénissime, toute sorte de dictature personnelle était aussitôt tuée dans l'oeuf, y compris par décapitation si nécessaire, comme ce fut le cas pour Maniero Faliero en 1355, qui avait voulu imposer son autorité par la force. Ce système bien huilé a duré mille ans et a contribué à faire de Venise la plus belle ville du monde et l'une des plus prospères.
C'est un certain général Bonaparte qui, au nom des sacro-saints principes de la Révolution française, y mis fin en 1797. Vint alors l'heure de la dictature, de la perte d'indépendance et du déclin !"
Via paul eric blanrue
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dj-ki · 4 days
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Turba & Turbo EP in indierockmag.com
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"Encore une très belle réussite pour l’Occitane Vanessa Jeantrelle qui continue de plier les codes de la techno dans son acceptation la plus large à sa patte organique et mélangeuse, ici notamment à coups de samples cinématographiques et de breaks à la tension feutrée sur Turbo, tandis que Mécanique des Fluides décolle pour le firmament sur un lit de synthés rétrofuturistes dont la mélancolie irradie de chaque motif arpégé."
Rabbit
"Porté par un superbe artwork signé Boutovitch, cet EP de l’excellente Dj Ki est un flash technoïde propre à mettre en orbite sans délai l’auditeur ou l’auditrice en quête de voyage immobile. Assemblés avec le goût que l’on connaît à l’artiste, ces trois titres parfaitement complémentaires créent un univers psychédélique aux multiples surprises. Avec sa Mécanique des Fluides, Dj Ki donne même à attendre un incroyable trip final. Un peu comme s’aventurer dans la dernière demi-heure de "2001, l’odyssée de l’espace" aux commandes du chasseur spatial de Buck Rogers."
Ben
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Buick Encore GS et quelques autres sujets...
Le 18 avril 2024
Dès son lancement il y a quelques années, la toute petite Buick Encore a connu un certain succès et plus encore lorsque sa version GX en a été mise en marché. Tout récemment, jouissant d’une sorte de renouveau de la marque, les designers de Buick ont reçu la commande de réviser cette sous-compacte originaire de Corée du Sud. En effet, c’est là que l’Encore GX est assemblée (du moins pour les véhicules destinés à l’Amérique du Nord alors qu’en Chine, là où la marque est encore plus populaire, voire même légendaire, elle est construite sur place). Le résultat, comme vous pouvez le voir, est assez réussi, merci!
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Le redesign de la petite Buick Encore GX est très réussi, n’est-ce pas? (Photo Éric Descarries)
En effet, la toute dernière Encore GX adopte le style New Look de Buick inspiré de la superbe étude de style Wildcat qui fut la vedette du Salon de l’Auto de Montréal l’année passée. En plus de ses phares effilés et de sa calandre agressive, la nouvelle Encore affiche le nouveau logo de la marque à l’avant. L’arrière est plus effilé que dans le passé et il contribue vraiment au look spectaculaire de cette « petite » auto (car, si on la compare à plusieurs de ses concurrentes et même de ses prédécesseurs, force nous est d’admettre qu’elle est plutôt imposante, cette « petite » auto!). Fait cocasse, plusieurs observateurs que j’ai rencontrés n’ont pu l’identifier immédiatement, certains pensant même que c’était un petit VUM Porsche, d’autres croyant que c’était un véhicule de marque coréenne! Bien entendu, je vous laisse le soin de juger par vous-même. Quant à moi, je persiste à dire que c’est un des plus beaux véhicules sur nos routes!
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Même de l’arrière, le redesign de l’Encore GX est remarquable! (Photo Éric Descarries)
Et le véritable renouveau de l’Encore GX se poursuit à l’intérieur du véhicule en commençant par un tableau de bord très moderne avec un grand écran qui s’étend du milieu de la planche de bord jusqu’à la gauche du poste de pilotage. Évidemment, le conducteur pourra profiter d’un groupe d’instruments et de commandes presque tous numériques (quoique j’ai trouvé l’indicateur du niveau d’essence un peu difficile à voir vu qu’il est très petit). Toutefois, petit bémol, pour respecter la loi canadienne de conduite diurne avec les phares allumés GM a choisi de « verrouiller » la commande des phares en position allumée ce qui diminue l’intensité de l’illumination de l’écran principal ce qui rend certaines commandes difficiles à retrouver (sauf le soir, bien sûr !).
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Le nouveau tableau de bord a également subi un redesign mérité. (Photo Éric Descarries)
Autrement, on ne peut qu’apprécier la qualité de la finition et de la sellerie de la Buick Encore GX y compris le design élaboré mais agréable à l’œil. On trouve entre les deux sièges d’avant une petite console avec un levier de vitesses qui comprend la possibilité de manipuler la boîte automatique manuellement. En fait, toutes les commandes sont d’opération plutôt simple.
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Les places arrière sont tout aussi belles mais on y est un peu à l’étroit. (Photo Éric Descarries)
Même si mon véhicule d’essai n’était pas de la variante haut de gamme Avenir (c’était un modèle Sport), la finition intérieure était agréable à regarder avec une sellerie qui affichait beaucoup de coutures fantaisistes. Les places avant sont plutôt confortables alors qu’à l’arrière, c’est plutôt accueillant même si c’est un peu serré pour le débattement des jambes. Malheureusement, la format réduit du véhicule ne correspond pas avec la présentation d’un coffre très volumineux. Disons qu’il est utile pour de petits bagages. Si un couple veut y faire un voyage plus long, le propriétaire devra abaisser le dossier des sièges arrière pour des articles plus grands. Enfin, le toit ouvrant vitré est une option intéressante si l’on veut plus de lumière à l’intérieur.
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Étant de catégorie sous-compacte, il ne faut pas s’attendre à ce que la Buick Encore GS nous propose un coffre très grand…(Photo Éric Descarries)
Du côté mécanique, sachez que les Encore sont mues par un choix de deux moteurs à trois cylindres (attention, certaines publications mentionnent qu’il y a un quatre cylindres optionnel au catalogue…pas vrai!), celui de base de 1,2 litres et 137 chevaux et la version de 1,3 litres turbocompressé de 155 chevaux. Les deux nous arrivent avec une boîte automatique à neuf rapports alors que mon modèle d’essai était à traction intégrale (ce qui explique la présence du moteur plus puissant). Les pneus qui équipaient cette Encore étaient des Continental ProContact TX 245/45-19 toutes saisons. L’auto affichait un poids de presque 3400 livres (à sec). Sa capacité de remorquage ne dépasse pas les 1000 livres.
Impressions de conduite
Au départ, je dois vous avertir. Quoique ce soit une petite voiture qui pourrait intéresser les amateurs de sportives, c’est plutôt une presque luxueuse avec peu de prétention à la performance. Le petit moteur n’est pas des plus rapides au monde alors que les accélérations de 0 à 100 km/h peuvent demander presque 10 secondes. De plus, le moteur est très grognon lorsqu’il est fortement sollicité mais, à sa défense, il est plutôt doux et silencieux en opération normale. Plus encore, il n’émet aucune vibration!
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Le petit moulin turbocompressé à trois cylindres de mon modèle d’essai à trois cylindres faisait 155 chevaux. (Photo Éric Descarries)
Avouons-le tout de suite, la Buick Encore GX se qualifierait plus comme voiture de ville que grande routière malgré que sa tenue de route soit appréciable. Toutefois, même sur les rues mal entretenues de ma ville ou de Montréal, on y constate une belle qualité de construction qui n’émet aucun son agaçant ni de bruits d’un assemblage bâclé. Néanmoins, cette Buick s’est avérée très agréable à conduire en toutes circonstances, Ce n’est pas une voiture excitante mais c’est une auto confortable et agréable. Incidemment, j’ai eu un peu de difficulté à y trouver des concurrentes avec un intérieur aussi beau! Oh! Même si elle est à traction intégrale, ce n’est pas une 4 x 4. Mais cette Buick devrait être très fiable et rassurante dans la neige et sur la glace si elle est équipée des pneus appropriés.
Question de consommation, j’ai été un peu déçu. Peut-être que ça s’explique par une majorité de déplacements urbains mais 10,0 l./100 km (alors que l’ordinateur de bord indiquait 9,1…), pour moi, c’est trop. Au moins, la fiche de General Motors affiche le même rendement, soit de 9,1 en ville et 8,4 sur route pour une moyenne de 8,8 l./100 km. Vivement les configurations hybrides.
Enfin, le prix m’a paru sensé au départ, soit 33 299 $ de base mais avec 1895 $ de toit ouvrant et autres fantaisies, 1295 $ de technologie dite de pointe, 495 $ pour le toit noir, 495 $ pour la peinture rouge, 195 $ pour le chauffe-bloc (moins 165 $ pour l’avertisseur de marche arrière retiré), 100 $ de cette stupide taxe supplémentaire pour le climatiseur (notre gouvernement vit toujours à l’ère 1974) et les 2000 $ de transport et préparation, on en arrive à un total de 39 609 $. Ouf!
J’ai bien aimé conduire et vivre avec cette petite Buick. Ce n’est certes pas un véhicule de performance ni, pour autant une grande routière mais, c’est peut-être le petit véhicule idéal pour celui ou celle qui désire se déplacer dans un certain luxe et confort en toute quiétude. Et pourquoi pas?
Et maintenant la plus grosse Buick, la nouvelle Enclave
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La Buick Enclave fait peau neuve pour 2025…(Photo GM)
Ironie du sort, alors que je profitais de la plus élégante petite Buick, son constructeur a choisi ce même moment pour dévoiler la nouvelle génération de sa plus grande voiture, soit l’Enclave 2025. Sans trop entrer dans les détails, on voit très bien que ce grand VUM à trois rangées de sièges est issu du même bureau de design que la plus petite Encore analysée ici, voire même que l’Envista dont il a été question dans ce blogue il y a quelques semaines. Et, aussi drôle que cela puisse paraître, il n’y a plus de V6 au catalogue des Enclave mais qu’un quatre cylindres turbocompressé de 2,5 litres à 328 chevaux…on s’en reparle plus tard!
La folie des Mustang
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Une Mustang Mach-e de police à San Diego. (Photo via Denis Lecavalier)
Vous avez certainement vu cet article dit « choc » d’un grand journal montréalais (trop spécialisé dans le hockey à mon goût) qui « dévoilait » que la Ville de Laval avait une dizaine de Mustang Mach-e électriques qui allaient rejoindre le parc des auto-patrouilles de police. « Gros scandale » alors qu’il y a un peu plus d’un an, ce même journal « célébrait » l’arrivée d’une Mustang électrique de police à Repentigny près de Montréal. Ironiquement, mon bon ami Denis Lecavalier, un Québécois qui vit depuis une dizaine d’années à San Diego en Californie (et qui m’envoie régulièrement des photos de « hot-rods » et « customs » de sa région) m’a, presqu’en même temps, envoyé la photo qu’un de ses amis a prise d’une Mustang de police affectée aux stationnements de San Diego…quelque chose me dit qu’on n’a pas fini de voir de telles Mustang, n’est-ce pas?
La preuve…!
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Où sont les lignes? (Photo Éric Descarries)
La semaine dernière, je me plaignais de l’effacement des lignes sur les routes et les rues de Laval (en passant, mon « expert » a voulu me corriger, ce ne serait pas une peinture « soluble à l’eau » mais basée sur l’eau). Je ne voulais pas attaquer la Ville mais plutôt souligner que cette manie d’opter pour le soumissionnaire le moins coûteux n’est pas toujours le meilleur choix. Et maintenant, pour appuyer mes observations, j’ai réussi à prendre des photos convaincantes sur le boulevard Saint-Martin à une intersection assez occupée où les véhicules arrivent à trois voies sur Saint-Martin et doivent composer avec la sortie de l’autoroute 19 et, en même temps, une piste cyclable à un coin de rue achalandé (de la Mauricie) où il y a également un très populaire poste d’essence (où les policiers doivent ravitailler leurs auto-patrouilles) …Regardez, plus de lignes! Tout pour causer de la confusion et…pas de danger, n’est-ce pas?
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Project2025 #CorpMedia #Oligarchs #MegaBanks vs #Union #Occupy #NoDAPL #BLM #SDF #DACA #MeToo #Humanity #FeelTheBern
JinJiyanAzadi #BijiRojava Les élections locales en Turquie confirment la montée en puissance du DEM, parti pro kurde
DEM Parti, le Parti de l’égalité et de la démocratie des peuples, ressort renforcé à l’issue de cette consultation électorale, en dépit des manipulations et tricheries en tout genre qui ont engendré de nombreuses contestations. DEM parti s’impose officiellement dans trois villes métropolitaines et de belle manière : non seulement il remporte les mairies métropolitaines de Diyarbakir, Van et Mardin, mais aussi 13 mairies de districts sur 17 à Diyarbakir, 6 sur 10 à Mardin et les 14 districts à Van. Il s’impose également dans sept villes chefs-lieux de provinces, cinquante-huit mairies de districts, dix mairies de petites et moyennes villes, soit 78 mairies qui vont être dirigées par un maire, homme ou femme, kurde. A cela, il faut ajouter les onze président-e-s des conseils provinciaux issu-es des élections régionales. Soit, au total, 89 assemblées locales et régionales dirigées par des Kurdes…
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