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#Ma commande est prête ?
monannee2016etc · 1 year
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343 505 vues 1 déc. 2022
La riposte des "ubérisés" a démarré. Pas d'horaires, pas de congés, pas de couverture santé : ces travailleurs "indépendants", suspendus aux commandes envoyées sur leur téléphone, font face à la précarité partout en Europe. Regards croisés à Grenoble sur ce monde de la livraison de repas en pleine mutation. Reportage (2022, 31mn)
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ultra-violences · 5 months
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Bonjour ✨
J’espère que vous allez bien ? Je vous souhaites de joyeuses fête !
Je viens vous embêter car j’aimerais passer commande pour des avatars de Reneta Valliulina.
Je suis extrêmement nulle en technologie donc je comprends jamais rien au imgbox en ligne etc.
Toutefois je me permets de vous décrire mon personnage peut-être que ça vous aidera si vous acceptez ma demande 🤗
Elle est très classe mais à la fois très rentre dedans. Elle parle beaucoup, adore taquiner et remettre les gens à leur place. Elle est très spontanée, et prête à relever tous les défis. Elle est extrêmement dragueuse, beaucoup dans la séduction, très très sensuelle. En gros c’est un peu le « mood » d’une femme fatale. Je vois quelque chose de très provocateur en elle.
J’espère que ça suffira et que vous serez d’accord car j’adore votre travail, sincèrement
Je vous remercie, belle journée ✨🤍
Bonjour
Helas la galerie est obligatoire surtout pour des personnalités avec peu de ressources. De plus je ne souhaite pas grapher sur cette tiktokeuse qui a eu des positionnements contraires à mes valeurs.
Bonne journée !
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ernestinee · 2 years
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J-1!
Tout n'est pas prêt mais on ne se met pas la pression.
Sauf que.
1. Hier, le lave-vaisselle décide d'arrêter de fonctionner.
2. Le chauffe-eau aussi. Le technicien vient le 8 septembre. Mon côté optimiste a ri 30 secondes en disant "haha c'est le camping avant l'heure, y aura qu'à mettre la douche solaire dans le jardin" Puis mon côté réaliste lui a mis une grande claque dans la tronche. Le technicien viendra le 8 septembre POUR UN DEVIS. Même pas pour réparer. Pour commander au mieux les pièces de rechange,au pire un nouveau chauffe-eau qu'on voudra moins énergivore. Et donc attendre qu'il arrive. A vue de nez, on est partis pour de l'eau froide jusque fin septembre. Mes cheveux vont retrouver leur côté soyeux, ma peau va être top. Et mon côté réaliste met une nouvelle claque dans la tronche de ce foutu optimisme. Les capacités d'adaptation c'est bien, c'est sympa, mais c'est de l'inconfort que naît le mouvement et pfff. Je ne suis pas du tout prête à me lever pour filer sous une douche d'eau froide. Non. Mais vraiment pas. Mais je n'aurai pas le choix. Fin tout ça nous attendra au retour de vacances, pendant lesquelles, au risque de me répéter, on vivra avec une douche solaire de 10 litres pour trois + mes cheveux. Oui ça vaut une personne, il faut bien rincer sinon ça gratte, sorry hein.
3. L'homme s'est pété le dos. Il m'a déjà fait le coup le matin d'un concert de Stromae. On a revendu les places. Là il a fait un faux mouvement l'autre jour à Ostende en marchant dans le sable, et la position assise de cette semaine au boulot a amplifié le truc enfin résultat c'est qu'il marche comme un papy de 150 ans, qu'il se tient à deux mains pour descendre l'escalier, qu'il avance au ralentit et que la seule position qu'il tolère est horizontale. Voilà. Du coup j'ai fait la vaisselle toute seule, j'ai nettoyé toute seule, j'ai préparé absolument tout, toute seule, et ça continue demain avec les derniers détails, les dernières courses, les valises de vêtements, et mon côté pessimiste se réveille et me souffle dans l'oreillette que je vais probablement conduire les 1000 km jusqu'à Turin, et les 3000 km en van sur les 12 jours qui suivront. Et les 1000 km retour. Mon côté optimiste n'ose plus rien dire, de peur de se prendre une torgnole bien méritée.
4. Les chats sont chez ma mère. Ils ont hurlé �� la mort pendant le voyage en voiture, au point que l'ado est allé sur le siège arrière et qu'on les a laissés se promener dans l'habitacle. Finalement ils se sont couchés près de l'ado, rassurés. Bon, c'est des chats, ça s'adapte, tout va bien se passer mais cette horrible sensation de les abandonner, de ne pas pouvoir leur expliquer ce qu'ils font là, et qu'on va revenir. Enfin on a expliqué mais ils n'ont sûrement pas compris les détails. L'ado a eu une larmichette.
Voilà pour l'instant c'est pas vraiment des vacances.
Vivement le retour.
Ça vaaaa! Vivement Turin, allez ^^
En attendant j'ai déjà écrit un peu dans le carnet et j'ai ajouté des photos.
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On sera à Vérone le jour de nos 18 ans ❤️
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sofya-fanfics · 2 years
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À travers les univers
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Voici ma participation pour le Tropetember 2022. J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Le Docteur arriva dans la salle de commandes et fut surpris d'y voir une femme blonde qui lui tournait le dos. Il ne put s'empêcher de penser à Rose. Mais ce n'était pas possible. Elle était dans un univers parallèle avec son double. Vivant la vie que lui et Rose n'auraient jamais pu avoir. Il secoua la tête, chassant l'image de Rose. Penser à elle, ne faisait que lui faire plus de mal. Il avait aimé River, mais il savait qu'il ne pourrait plus jamais aimer une personne comme il avait aimé Rose.
Disclaimer : Doctor Who est une série de la BBC.
@tropetember​
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AO3 
« Rose, tu es prête ? »
Rose Tyler leva la tête de ses dossiers, faisant quelques dernières vérifications. Devant elle se trouvaient Jake et Mickey.
« Tu devrais me laisser y aller, dit Mickey. Tu es épuisée. »
Rose secoua négativement la tête. Se n'était pas la première fois qu'ils avaient tous les deux cette discussion.
« Ça va aller, dit-elle. J'ai pu me reposer quelques heures. Tu n'as pas à t'inquiéter. »
Mickey soupira et la regarda, peu convaincu.
« Rose….
-J'y suis presque Mickey. Je vais bientôt le retrouver. Je le sais.
-Et rien ne pourras te faire changer d'avis, dit-il en connaissant déjà la réponse. »
Rose s'approcha de lui et le serra dans ses bras.
« Ça va aller Mickey. Je vais retrouver le Docteur et tout ira bien. »
Mickey acquiesça. Il savait que si quelqu'un arriverait à retrouver le Docteur, il s'agissait bien de Rose, même si un univers les séparait. Mais il savait aussi que lorsqu'elle le retrouverait, elle partirait avec lui. Rose se recula et se dirigea vers Jake.
« Je suis prête. »
Jake acquiesça. Le canon s'activa et Rose disparut au bout de quelques secondes.
******
Rose ressentit comme à chaque fois cette drôle de sensation quand elle traversait les dimensions. Elle regarda autour d'elle et vit qu'elle était dans une petite ruelle. Elle fit quelques pas et remarqua qu'elle était sur Terre. Au moins, elle n'avait pas atterri sur une planète extraterrestre comme cela avait été plusieurs fois le cas. Elle continua à avancer, regardant autour d'elle et reconnut les rues qu'elle avait arpenté des centaines de fois. Elle était à Londres, dans son univers. Un immense sourire se dessina sur son visage. Elle avait réussi. Elle était bel et bien dans son univers.
Elle continua de déambuler dans les rues, espérant trouver une cabine de police bleue. Elle finit par arriver dans un parc qui était presque vide. Après tout, se dit-elle, il était encore très tôt dans l'après-midi. Rose entra dans le parc et le parcourut. C'est alors qu'elle le vit au bout de plusieurs minutes. Le TARDIS. Il se trouvait près d'un arbre où personne ne semblait y faire attention. Rose courut jusqu'au vaisseau. Elle posa sa main sur la porte et sentit les vibrations du TARDIS. Rose sourit et dit :
« Toi aussi tu m'as manqué. »
Elle prit la clé qu'elle avait accroché à une chaîne autour de son cou et l'inséra à l'intérieur de la serrure. Elle entendit le déclic et ouvrit la porte. Elle entra à l'intérieur du TARDIS s'apprêtant à appeler le Docteur, mais s'arrêta lorsqu'elle regarda autour elle. Le TARDIS ne ressemblait en rien à ses souvenirs. Est-ce qu'elle c'était trompée ? Est-ce qu'elle n'était pas dans le bon univers ? Non, elle ne s'était pas trompée. Elle était bien dans son univers, elle en était certaine. Alors, était-elle dans une époque où le Docteur ne l'avait pas encore rencontré ? Elle avança vers les commandes et y posa délicatement sa main. Elle inspira profondément. Elle ne devait pas craquer, ce n'était pas le moment. Elle devait garder le contrôle tant qu'elle n'avait pas retrouvé le Docteur. Elle regarda les commandes une dernière fois avant de se dire qu'il était temps de partir. Si elle était bien dans le passé, elle ne devait pas voir le Docteur avant qu'il la rencontre, elle ne savait pas quelles conséquences cela pourrait avoir sur le future.
Elle se retourna et sursauta lorsqu'elle vit un homme jeune, qui n'avait pas encore trente ans. Il avait les cheveux châtains, les yeux vert et la première chose que Rose remarqua en regardant son visage, était son menton. Il portait une veste en tweed, un nœud papillon et un pantalon trop court pour lui. Rose ne connaissait pas cet homme, mais pourtant, il lui était si familier. Était-il un compagnon du Docteur ? L'homme la regardait intensément et au bout de quelques secondes, Rose le reconnut.
« Docteur, murmura-t-elle. »
******
Le Docteur entra en courant dans le TARDIS et se dirigea tout aussi vite vers la bibliothèque pour y ranger un livre rare qu'il avait trouvé. Qui aurait pu croire que l'année 2015 à Londres lui ferait une telle surprise. Il rangea le livre sur une des étagères et se dirigea ensuite dans la salle des commandes. Il était temps pour lui de partir.
À chaque arrêt qu'il faisait à présent, il ne faisait que visiter et observer et surtout, il ne se mêlait plus des événements, quoi qu'il arrive. À vrai dire, il n'avait aucune envie de se mêler à quoi que se soit. Pourquoi aider l'univers, si l'univers lui prenait toutes les personnes auxquelles il tenait. Amy et Rory s'étaient retrouvés piégés dans les années 30 il y a plusieurs mois et River était décédée dans cette bibliothèque quelques jours plus tard. Le Docteur avait redouté ce jour depuis qu'elle lui avait annoncé qu'elle était devenue professeur. Et quand elle lui avait parlé de son expédition à la bibliothèque, il aurait voulu l'empêcher de partir. Mais il savait qu'il ne devait rien faire. Sa mort était écrite et il ne pouvait malheureusement rien changer.
Il arriva dans la salle de commandes et fut surpris d'y voir une femme blonde qui lui tournait le dos. Il ne put s'empêcher de penser à Rose. Mais ce n'était pas possible. Elle était dans un univers parallèle avec son double. Ils devaient probablement être mariés et avoir des enfants. Peut-être même avaient-ils des petits-enfants. Vivant la vie que lui et Rose n'auraient jamais pu avoir. Il secoua la tête, chassant l'image de Rose. Penser à elle, ne faisait que lui faire plus de mal. Il avait aimé River, mais il savait qu'il ne pourrait plus jamais aimer une personne comme il avait aimé Rose.
La femme blonde se retourna et sursauta quand elle s'aperçut qu'elle n'était pas seule. Le Docteur crut d'abord à une illusion. C'était impossible. Rose ne pouvait pas être dans le TARDIS. Ça ne pouvait être qu'une illusion. Ou peut-être que quelqu'un essayait de le piéger ? Non, ça ne pouvait pas être ça. Si c'était un piège, le TARDIS aurait empêché cette personne de rentrer. Alors si ce n'était pas un piège, peut-être était-il finalement devenu fou. Rose le détailla des pieds à la tête, se demandant qui il était. Puis, en quelques secondes, une lueur apparut dans son regard quand elle le reconnut.
« Docteur, murmura Rose.
-Rose, mais... »
Le Docteur ne savait plus quoi dire. Entendre la voix de Rose après  tout ce temps lui semblait tellement irréel. S'il s'agissait d'une illusion, il aurait voulu qu'elle ne s'arrête jamais. Un immense sourire se dessina sur les lèvres de Rose.
« Tu me reconnais ? Tu sais qui je suis ? Demanda-t-elle.
-Bien sûr. »
Rose se précipita vers lui et se jeta dans ses bras. Le Docteur écarquilla les yeux lorsqu'il réalisa qu'il ne s'agissait pas d'une illusion. Il enroula ses bras autour d'elle, la serrant plus fort contre lui. Il ne savait pas comment, ni pourquoi Rose était revenue, mais en ce moment précis, il s'en fichait. Tout ce qui comptait, était le fait qu'elle se trouvait enfin dans ses bras après tous ces siècles passés loin d'elle. Rose se recula légèrement. Elle posa délicatement sa main sur sa joue et détailla son visage.
« Tu t'es régénéré, dit-elle.
-Nouveau Docteur.
-New new new Docteur.
-Exactement, sourit-il. »
Le Docteur eut soudain peur que Rose n'aime pas sa nouvelle apparence, mais il fut rassuré lorsqu'elle lui sourit.
« Tu portes un nœud papillon, dit Rose.
-Les nœuds papillon, c'est cool, répondit-il en le réajustant. »
Il lui prit la main et leurs doigts s'entrelacèrent.
« Rose, comment est-ce possible ? Qu'est-ce que tu fais ici ? »
Rose le regarda avec inquiétude.
« Ça fait tellement longtemps que j'essaye de te retrouver. Il fallait que je te prévienne. Les étoiles disparaissent.
-Les ténèbres approchent, termina le Docteur. »
Il comprit alors que Rose venait de son passé, qu'elle voyageait à travers les univers pour pouvoir le retrouver.
« Je l'ai déjà vécu, dit-il.
-Alors ça veux dire que je suis allée trop loin dans le future. »
Le Docteur acquiesça.
« Lorsque tu vas me retrouver, je ne me serais pas encore régénéré.
-Si je t'ai retrouvé et si l'univers n'est pas détruit, ça veux dire qu'on a réussi, conclut-elle. »
Le Docteur sourit et acquiesça. Il était tellement heureux de revoir Rose. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas ressenti ça.
« Alors, dit Rose. Est-ce que je peux savoir où est la future moi ? »
Rose vit le sourire du Docteur disparaître pendant une seconde avant qu'il ne se reprenne. Mais elle le connaissait et savait que malgré son sourire, quelque chose n'allait pas.
« Docteur ? »
Le Docteur la prit dans ses bras et la serra contre lui.
« Tout va bien Rose, dit-il. Tu es heureuse, je te le promets. »
Rose écarquilla les yeux, comprenant ce qu'il se passait.
« Combien de temps Docteur ? »
Il sourit tristement, sachant qu'elle voulait savoir depuis combien de temps ils n'étaient plus ensemble.
« Un peu plus de trois cents ans. »
Rose le serra un peu plus fort, sentant ses yeux lui piquer.
« Ça fait longtemps que je ne suis plus de ce monde. »
Rose s'écarta de lui. Son cœur se serra l'imaginant seul à bord du TARDIS.
« Tu ne voyages pas seul n'est-ce pas ? Tu as trouvé quelqu'un ? »
La tristesse envahit le Docteur lorsqu'il repensa à ce jour fatidique à Manhattan.
« J'ai voyagé quelques temps avec les Pond, je suis sûr que tu les aurais aimé. Mais on a été séparé.
-Et depuis ? Demanda-t-elle en lui serrant la main.
-En ce moment, je voyage seul. C'est mieux ainsi.
-Non, ce n'est pas mieux. Tu ne dois pas rester seul. Promets-moi. Promets-moi que tu ne resteras pas seul. Que tu trouveras quelqu'un. Promets-le moi. »
Il leva la main de Rose vers ses lèvres et y déposa un baiser.
« Ne t’inquiète pas pour moi. »
Il ne pouvait pas lui promettre qu'il trouverait quelqu'un. Il ne voulait pas lui faire  une nouvelle promesse qu'il ne pourrait pas tenir. Il sourit et lui caressa la joue. Son cœur se serra. Il savait qu'il n'avait plus que quelques minutes à passer avec elle avant qu'elle ne disparaisse de sa vie pour de bon. Il se souvint alors de leur adieu sur la plage de Bad Wolf et il ne comptait pas laisser passer sa chance une nouvelle fois.
« Rose Tyler. Je n'aurais peut-être plus l'occasion de te le dire. Je t'aime. Quoi qu'il se passera, je t'aime.
-Je t'aime Docteur. »
Le Docteur sourit de plus en plus. Il rapprocha ses lèvres de celles de Rose et l'embrassa. Il se dit que peut-être, ce moment pouvait durer pour toujours, comme ils se l'étaient promis. Il pouvait lui demander de rester avec lui. Ils voyageraient ensemble et ils recommenceraient leur vie où elle s'était arrêtée. Il avait la chance d'être réuni avec la femme qu'il aimait et pour une fois, il voulait être égoïste. Il se dit que l'univers lui devait bien ça après lui avoir tout pris. Mais il savait qu'il ne pouvait pas demander à Rose de rester. Elle devait le retrouver dans le passé et vivre heureuse avec son clone. Avoir droit à la vie qu'il ne pourrait jamais lui donner.
Le Docteur s'écarta légèrement de Rose et lui murmura quelque chose à l'oreille. Elle écarquilla les yeux. Il s'agissait d'une langue qu'elle n'avait jamais entendu auparavant. La langue la plus mélodieuse qu'elle n'ait jamais entendu. Elle comprit alors qu'il venait de lui dire qu'il l'aimait dans la langue de Gallifrey. Le Docteur se dit qu'il aurait voulu lui dire tellement plus. Il aurait voulu lui dire son nom et il avait toujours cru quand ils voyageaient ensemble qu'un jour il partagerait ce secret avec elle. Mais l'univers avait décidé que celle à qui il devait dire son nom était River. Alors, il pouvait au moins lui dire ce qu'il ressentait dans sa langue. Il sourit et essuya les larmes qui coulaient sur la joue de la jeune femme.
« Il va falloir que tu partes, n'est-ce pas ? Demanda-t-il. »
Rose acquiesça.
« Je te retrouverai bientôt, dit-elle. »
Le Docteur sourit et l'embrassa une dernière fois.
« Au revoir Rose Tyler.
-Au revoir Docteur. »
Le Docteur fit quelques pas en arrière sans quitter Rose du regard et au bout de quelques secondes, la jeune femme disparut. Le Docteur ferma les yeux et soupira. Si seulement Rose avait pu rester un peu plus longtemps. Si seulement leur histoire avait pu se terminer différemment. Mais malgré tout, le Docteur sourit. Il avait pu revoir Rose et la tenir dans ses bras une dernière fois et surtout, il avait enfin eu le courage de lui dire qu’il l’aimait. Il se dirigea vers la console du TARDIS et quitta le XXIe siècle. Lorsqu'il arriva à sa prochaine destination, il découvrit les rues enneigées du Londres Victorien.
Fin
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mamie-soluce · 1 month
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♪⭑­ Episode 1 ­ - ­ L'air de la campagne
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・ Date de sortie | 26 janvier 2022
" Tu reviens à Amoris pour ta dernière année de fac, et pas que… Tu vas enfin pouvoir retrouver Lysandre, ton amour de lycée. Après tout, vous n’avez jamais mis un terme à ce que vous aviez.... La distance aura-t-elle eu raison de votre relation, ou reprendrez-vous là où vous vous êtes arrêtés ? "
・ Points d'action utilisés | 900 ~ 1 050 PA ・ Gold | 150$ ・ Nombre d'illustration | 1
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Sommaire ­ | ­ Episode 2 ­ | ­ Episode 3 ­ | ­ Episode 4 ­ | ­ Episode 5 ­ | ­ Episode 6
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L'épisode démarre devant l'Université Anteros avec Sucrette qui déblatère avec un long monologue sa vie universitaire avant de revenir en ville et expliquant comment s'est passé sa relation à longue distance avec le petit fermier Lysandre.
En attendant de pouvoir rejoindre son amour d'adolescence dans quelques heures, Sucrette décide de récupérer sa clef de dortoir et de déposer ses bagages dans sa chambre.
Vous avez le choix : ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ (Ch.1) ・ Vous décidez de faire un Unif-tour et de rencontrer d'abord Rayan dans l'Amphithéâtre 1, puis vous irez à la rencontre du sympathique - c'est faux - Responsable Administratif. ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ (Ch.2) ・ Vous allez directement au réfectoire pour rejoindre l'agréable - c'est faux - Responsable Administratif.
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Amphi 1 | Discussion facultative ­ ­ ­ RAYAN ­ ­ — ­ ­ J'espère que c'est en master d'art moderne.
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je devine que vous enseignez aux masters ? ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Pourquoi vous l'espérez ? Qu'est-ce que ça change, pour vous ? ( -5 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Effectivement, c'est bien ça… Je rentre en deuxième année de master. ( +5 )
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Réfectoire | Discussion obligatoire ­ ­ ­ RESPONSABLE ADMINISTRATIF ­ ­ — ­ ­ Et je n'ai même pas envie de le manger. C'est triste, non ?
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je… Oui, je suppose. Vous auriez peut-être dû tenter au poulet ? ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Si vous l'avez fait vous-même, il a quelque chose de plus… authentique, que les gnocchis, peut-être ? ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ (Je n'ai rien dit. Qu’est ce que je suis censée répondre à ça ?) ( /0 )
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Clé en main, Sucrette se dirige vers les dortoirs pour y déposez ces affaires. Une fois installée, elle décide de changer de vêtement.
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Une fois prête, il est l'heure de rejoindre Lysandre au café de la ville. Pendant qu'elle attend Lysandre, Sucrette fait la rencontre de Hyun et commande un café tout en guettant l'arrivé du fermier. Rosalya apparaît.
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Café | Discussion obligatoire ­ ­ ­ ROSALYA ­ ­ — ­ ­ [Nom Sucrette] ! Tu es là ! J'arrive pas à le croire ! Tu es magnifique !!!
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je… Merci, toi aussi, tu es très belle, tu… Tu as fait quelque chose à tes cheveux ? ­ ( +5 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Rosalya ?! Qu'est-ce que tu fais là ? ­ ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ (Sans réfléchir, j'ai bondi de ma chaise pour la prendre dans mes bras.) ­ (+10 )
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La belle dame lui apprend qu'elle est là au nom de Lysandre qui a eu un problème à la ferme et qu'il a dû emmener un animal chez le vétérinaire. C'est donc Rosalya qui fera le taxi jusqu'à la ferme.
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Café | Discussion obligatoire ­ ­ ­ ROSALYA ­ ­ — ­ ­ Pas plus que moi. Tu trouves que j'ai beaucoup changé ?
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Pas du tout ! Je t'ai reconnue rien qu'à ta démarche quand tu es arrivée ! ­ ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je sais très bien que c'est une question piège. ­ ( +5 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Quand même, oui ! Rien que ta coupe de cheveux, c'est pas rien ! ­ (/0 )
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Après avoir papoté longuement, il est l'heure de partir pour 4 heures de voyage avec Rosalya good taxi, qui abandonnera Sucrette dès leur arriver, pour plus d'intimité avec le fermier.
Aucun signe de vie du fermier, Sucrette décide alors d'explorer la ferme à la recherche de son Lysandre. Elle trouvera son téléphone sur le canapé.
­ ­ ­ ­ ­ ­ Trouver Tata ・ Cadeau : Chapeau de paille ・ Il faut retourner plusieurs fois dans la chambre lors de l'exploration. ­ ( 8 PA )
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Chambre | Monologue obligatoire ­ ­ ­ SUCRETTE ­ ­ — ­ ­ ( Ou alors, c'est qu'il y autre chose derrière cette porte... )
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ ( Peut-être une "salle de jeux", pleine d'accessoires en cuir… ) ­ ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­( Peut-être… un dressing ? ) ­ ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­( Peut-être juste un débarras ? ) ­ (/0 )
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Après être passée au moins une fois dans chaque pièce, Sucrette retourne dans le potager et se fait accoster par un petit lapin, nommé Rosa. Lysandre apparaît comme par magie sans même un bonjour.
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Potager | Discussion obligatoire ­ ­ ­ SUCRETTE ­ ­ — ­ ­ ( Il s'est légèrement redressé, son sourire s'est élargi. )
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ ( Je me suis jetée dans ses bras sans réfléchir. ) ­ILLUSTRATION ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ ( Le torrent d’émotions en moi m'empêchait de faire le moindre geste. ) ­ ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ ( J’ai avancé doucement vers lui, sans le lâcher du regard. ) ­ (/0 )
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Illustration - L'air de la campagne
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Potager | Discussion obligatoire ­ ­ ­ SUCRETTE ­ ­ — ­ ­ ( Je pense que les miens brillent aussi. J'ai battu rapidement des cils. )
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Tu… Enfin, ça fait un moment ! Tu… Tu vas bien ? ­( -5 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je… C'était… J'ai la tête qui tourne. Ça va ? ­ ( +5 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Tu as laissé tomber ton sac par terre. ­ (/0 )
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Après ces retrouvailles, le petit couple rentre à l'intérieur tout en continuant à discuter.
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Cuisine | Discussion obligatoire ­ ­ ­ LYSANDRE ­ ­ — ­ ­ D'ailleurs, tout s'est bien passé, avec Rosa ? Je suis vraiment désolé de ne pas être venu te chercher…
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Oui, tout s'est plutôt bien passé, il n'y a rien eu de particulier. ­( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je ne te cache pas que j'ai été vraiment déçue quand elle m'a dit que c'est elle qui m'emmènerait. ­ ( -5 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Ne t'en fais pas, tu avais une urgence, c'est normal. ­ ( +5 )
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Cuisine | Discussion obligatoire ­ ­ ­ SUCRETTE ­ ­ — ­ ­ ( J'ai saisi mon verre et l'ai levé devant moi. )
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je propose que nous trinquions à ta légendaire distraction. ­( -5 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ À notre santé, et surtout, à nos retrouvailles. ­ ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je pense que le moment est tout indiqué pour porter un toast. Aux biscottes ! ­ ( +5 )
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Cuisine | Discussion obligatoire ­ ­ ­ LYSANDRE ­ ­ — ­ ­ Et… Et moi ? Je veux dire, tu ne me trouves pas trop changé ?
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Rosa m'a posé la même question. Et je pense que c'est une question piège. ­( +10 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Pas du tout ! Je te retrouve… J'ai l'impression d'avoir à nouveau dix-huit ans ! ­ ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Je te trouve changé, évidemment. Mais pas trop, non. Juste ce qu'il faut. ­ ( +5 )
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Cuisine | Discussion obligatoire ­ ­ ­ SUCRETTE ­ ­ — ­ ­ ( C'est à lui de prendre une grande inspiration, maintenant. Il va demander si c'est la même chose pour moi. )
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ ( Je n'ai rien dit. Chacun son tour de faire un effort. ) ­( -5 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ De mon côté, quelques petites aventures, mais rien de très sérieux. ­ ( /0 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ Moi non plus. Il n'y a rien eu, avec personne. ­ ( +5 )
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Cuisine | Discussion obligatoire ­ ­ ­ SUCRETTE ­ ­ — ­ ­ ( Je n'ai pas dormi avec quelqu'un depuis... Depuis des années. )
­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ ( Je n'ai qu'une hâte : dormir de nouveau avec Lysandre. ) ­( +10 ) ­ ­ ­ ­ ­ ­ ・ ­ ( Et j'aimerais autant que ça reste comme ça. Je ne me sens pas prête. ) ­ ( -10 )
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Les deux tourtereaux vont se coucher. Il s'en suit encore une fois un petit monologue de Sucrette avant de terminer l'épisode.
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Sommaire ­ | ­ Episode 2 ­ | ­ Episode 3 ­ | ­ Episode 4 ­ | ­ Episode 5 ­ | ­ Episode 6
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christophe76460 · 1 month
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TA LOI EST LA VÉRITÉ!
Mathieu 5:17 à 20
Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé (IL NE PARLE DONC PAS ICI DE LA LOI PARFAITE ET ÉTERNELLE). Celui donc qui supprimera l’un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux.
Car, je vous le dis, si votre justice ne surpasse celle des scribes et des pharisiens, vous n’entrerez point dans le royaume des cieux.
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EN EFFET, YESHOUA LA FILS DE DIEU N'A PAS ABOLI LA LOI DONNÉE À MOISE SOUS LA PREMIÈRE ALLIANCE, CE, POUR SON PREMIER PEUPLE, POUR SA PREMIÈRE CRÉATION, LES DESCENDANTS DE ADAM;
TOUS CEUX QUI MARCHENT SELON LA CHAIR.....
1 Timothée 1:9
sachant bien que la loi n'est pas faite pour le juste (QUI EST EN JÉSUS-CHIST), mais pour les méchants et les rebelles, les impies et les pécheurs, les irréligieux et les profanes, les parricides, les meurtriers, les impudiques, les infâmes, les voleurs d'hommes, les menteurs, les parjures, et tout ce qui est contraire à la saine doctrine (LA VÉRITÉ, LA LOI DE CHRIST), -
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PAR CONTRE, AYANT ACCOMPLI LES PROPHÉTES PARFAITEMENT, YESHOUA A REMPLACÉ CETTE LOI D'UNE ORDONNANCE CHARNELLE ET D'UN MINISTÈRE PASSAGER, PAR SA LOI, LA LOI DE CHRIST, UNE LOI SPIRITUELLE, D'UN MINISTÈRE PERMANANT, CELUI DE L'ESPRIT, LA PAROLE DE VIE;
Hébreux 7:11-12
Si donc la perfection avait été possible par le sacerdoce Lévitique,
-car c'est sur ce sacerdoce que repose la loi donnée au peuple (DE LA PREMIÈRE ALLIANCE),
-qu'était-il encore besoin qu'il parût un autre sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek, et non selon l'ordre d'Aaron?
Car, le sacerdoce étant changé, nécessairement aussi il y a un changement de loi.
.
- LA LOI DE L'ESPRIT DE VIE QUI EST EN LUI, UNE LOI PARFAITE ET ÉTERNELLE SORTIE DE DIEU, QU'ANNONÇAIENT LES DITS PROPHÈTES, LONGTEMPS APRÈS MOISE;
Romains 8:2,10
En effet, la loi de l'esprit de vie en Jésus-Christ (LA VÉRITÉ) m'a affranchi de la loi du péché (DE SA PUISSANCE) et de la mort (SA CONDAMNATION).
Ésaïe 51:4-5
Mon peuple, sois attentif! Ma nation, prête-moi l'oreille!
Car LA LOI SORTIRA DE MOI, Et j'établirai MA LOI pour être la lumière des peuples (YESHOUA EST CETTE LOI).
Ma justice est proche, mon salut va paraître, Et mes bras jugeront les peuples; Les îles espéreront en moi, Elles se confieront en mon bras.
Ézéchiel 36:27
Je mettrai mon esprit en vous, et je ferai en sorte que vous suiviez mes ordonnances, et que vous observiez et pratiquiez mes lois (MA LOI D'UNE JUSTICE PARFAITE).
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ET DONT PARLAIENT LES PSAUMES PROPHÉTIQUES!!!
Psaume 19:7
La loi de l'Eternel est parfaite, elle restaure l'âme; Le témoignage de l'Eternel est véritable, il rend sage l'ignorant.
Psaume 23:3
Il restaure mon âme (YESHOUA), Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
Psaume 119:152 & 160
Psaume 119:142
Ta justice est une justice éternelle, Et ta loi est la vérité.
...
Le fondement de ta parole est la vérité, Et toutes les lois de ta justice sont éternelles.
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SEULE CETTE LOI D'UNE JUSTICE PARFAITE PEUT S'ACCOMPLIR EN NOUS, S'ÉCRIRE SUR NOS COEURS PAR L'ESPRIT, NOUS QU'IL A RACHETÉ DE LA LOI PREMIERE ET DE SA MALÉDICTION, NOUS QUI MARCHONS NON SELON LA CHAIR MAIS SELON L'ESPRIT D'ADOPTION, EN NOUVEAUTÉ DE VIE, AU MOYEN DE LA FOI, NOUS SA SECONDE CRÉATION;
NOUS QUI AVONS REÇU L'ADOPTION!.
Galates 3:12-13
Or, la loi ne procède pas de la foi; mais elle dit:
Celui qui mettra ces choses en pratique vivra par elles. Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois, -...
Galates 5:18
Si vous êtes conduits par l'Esprit, vous n'êtes POINT SOUS LA LOI (D'UNE ORDONNANCE CHARNNELLE).
Romains 8:3
Car chose impossible à la loi (D'UNE ORDONNANCE CHARNELLE), parce que la chair la rendait sans force,
-Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et cela afin que la justice de la loi (PARFAITE ET ÉTERNELLE) fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.
Galates 4:5
afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption.
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CE, PUISQUE POUR NOUS, PAR SA MORT, IL A ABOLI LA LOI D'UNE ORDONNANCE ANTÉRIEURE, LA CLOUANT À LA CROIX!
Hébreux 7:15 à 18
Cela devient plus évident encore, quand il paraît un autre sacrificateur à la ressemblance de Melchisédek, institué, non d'après la loi d'une ordonnance charnelle, mais selon la puissance d'une vie impérissable; car ce témoignage lui est rendu:
Tu es sacrificateur pour toujours Selon l'ordre de Melchisédek.
Il y a ainsi ABOLITION d'une ordonnance antérieure, à cause de son impuissance et de son inutilité,
- car la loi n'a rien amené à la perfection,
-et introduction d'une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu.
Romains 7:4
De même, mes frères, vous aussi vous avez été, par le corps de Christ, MIS À MORT en ce qui concerne la loi, pour que vous apparteniez à un autre (YESHOUA), à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu (LE PÈRE).
Colossiens 2:14
il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous (LA LOI MOSAIQUE & LA TORAH ÉCRITE), et il l'a détruit en le clouant à la croix;
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ELLE SEULE, SA LOI PARFATE, ROYALE, UNE LOI DE LIBERTÉ (QUI LIBÈRE), '' LA VÉRITÉ '', SURPASSE EN JUSTICE, LA JUSTICE DES PHARISIENS ET DES SCRIBES, SCRUPULEUX DE LA LOI MOSAIQUE;
Jacques 1:23 à 25
Car, si quelqu'un écoute la parole (LA VÉRITÉ) et ne la met pas en pratique (NE LUI OBÉIT PAS), il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel (SON IMAGE CHARNELLE), et qui, après s'être regardé, s'en va, et oublie aussitôt quel il était (UN PÉCHEUR).
Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté (LA VÉRITÉ QUI LIBÈRE), et qui aura persévéré (À LUI OBÉIR), n'étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l'oeuvre, celui-là sera heureux dans son activité (TRAVAILLER À SON SAUT).
.
ELLE PEUT DONC, NOUS JUSTIFIER, NOUS RENDRE JUSTE DANS LES FAITS, DE TOUT CE QUE LA LOI PREMIÈRE NE POUVAIT FAIRE!
Actes 13:38
Sachez donc, hommes frères, que c'est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé, 39et que quiconque croit est justifié par lui de toutes les choses dont vous ne pouviez être justifiés par la loi de Moïse.
Frère Thierry
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janelher · 2 months
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Chronique d'une odyssée à l'EHPAD
Face à un gigantesque incendie de forêt, l'on me confie un arrosoir dérisoire. « Tiens, vas-y ! », me lance-t-on. Je m'avance et commence à déverser l'eau de mon petit outil. Quand je vois quelques buissons s'éteindre, un sentiment de satisfaction et de fierté m'envahit. Je crois que la nature me sera reconnaissante pour cet acte. Je me retourne alors, pleine d'espoir, prête à encourager les autres à se joindre à moi pour former une chaîne humaine afin de transporter l'eau. Dans mon esprit, je vois les pompiers sauver, un par un, les êtres pris au piège des flammes. Mais quelle n'est pas ma surprise lorsque je découvre que je suis seule ; personne pour remplir à nouveau mon arrosoir, ni pour m'envelopper dans une couverture de sécurité. Le visage marqué par la suie, les joues irritées par les ronces, je lance un cri d'appel à l'aide.
À ma grande consternation, l'équipe s'est réfugiée dans un bunker non loin, m'observant à travers un périscope. Ils scrutent chaque geste que je fais : comment je porte mon arrosoir, si sa couleur correspond aux normes établies. Ils se demandent pourquoi je me résigne à m'asseoir, le désespoir aux poings, en lisière du bois, au lieu de continuer à lutter contre l'incendie. Déjà, dans leur esprit, je suis jugée coupable de lâcheté et d'incompétence, fuyant face à une telle catastrophe.
Les larmes m'envahissent en sortant de cet enfer. « J'essaie », me murmure-je. Profitant d'un court répit des flammes, suffisamment éloignée de la fumée qui comprime ma poitrine, j'analyse la situation. Je décide de ne plus appeler à l'aide, mais de préserver ma voix pour raconter les événements une fois au bunker. Après des heures de marche, exténuée mais rassemblant mes dernières forces, je demande à y entrer. Pas de réponse. Je les imagine, derrière la porte, confus et attristés, attendant mon rapport. Je leur relate alors : la terreur des compagnons venus à mon aide, le désespoir de ceux encore piégés au cœur des flammes. J'implore qu'on retourne les sauver, ou au moins leur apporter un peu d'espoir.
Tandis que je parle, une force inconnue me soulève. Je flotte dans les airs, et soudain, je réalise que je suis sur une plate-forme éjectable, activée par le haut commandement. Du haut des cieux, tout semble paisible, le silence est bienfaisant. L'horreur du feu, l'obscurité du bunker, tout paraît si lointain. Perdue dans l'immensité du monde, je décide d'oublier. Et là, parmi les nuages, je découvre mon vaisseau spatial, que j’avais laissé en arrivant. Je n’avais plus pensé que je pouvais m’en aller… Je me remémore mes gestes de pilotage, me rappelant pourquoi j'étais venue ici : pour le don de soi. « J'essaie », me murmure-je encore. « Allez, rentrons à présent ».
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pensssine · 3 months
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Troisième orgasme de la journée. Ma tête est pleine, prête à exploser. Je mate un plan à trois sur mon écran, et ma tête me dis, le trouple ça doit être géniale, on divise les charges mentales de la vie en générale, mais aussi la charge mentale du couple.
Je dois être cassé, je veux une vie sans limite ni barrière , je veux du sexe et du lâcher prise.
Aujourd’hui j’ai enfin compris le ressentie de « je veux lâcher prise et te laisser les commandes » . A chaque fois que je regarde les live de Alexandre Contart , je ne comprenais pas bien le sentiment de laisser l’autre nous contrôler pour notre bien. Je me sentais de l’autre côté du coup. Mais aujourd’hui je l’ai compris, et du coup je comprend mieux mon résultat « switch » tantôt dom tantôt sub.
Bref, est ce que je me serais pas remise moi même mes œillères après les fêtes de fins d’années , pour éviter de prendre cette décision de « tout plaquer » .
Avec le job en ce moment j’ai l’impression que l’univers m’envoie des signaux pour me faire comprendre quel que chose .. mais est ce « vaten quitte tout ou bien accroche toi c’est ta voie » . Je perd pied, ma tête réfléchis trop.
Les vacances arrivent à point nommées.
Ou pas .
Vue que je vais parler avec mon frère .. il va me dire de me barrer.
Bref , faut vibrer dans la vie ! ⚡️
01-03-24 16:14
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benlettres · 3 months
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Le bolide
En ce jour de ses sept ans, Simon devient un homme, il en est certain. Encore un petit homme peut-être, mais un homme quand même. Il est fier, tellement qu’il pense regarder son père les yeux dans les yeux.
Entouré de parents, d’amis et de cadeaux, Simon regarde surtout ces derniers. Et le plus beau de tous, c’est son père qui le lui a apporté. Un grand chariot muni d’une poignée rabattable vers l’habitacle de façon à pouvoir diriger le véhicule même en y prenant place. La carrosserie de métal rouge feu et les roues chromées lui donnent une allure de véritable bolide. L’inscription Meteor, en lettres de feu, atteste la puissance de l’engin.
Un après l’autre, tous les enfants présents à la fête ont droit à un tour de voiture. Léa, la petite sœur de Simon, en profite plus que les autres et se montre la plus exigeante de tous en répétant :
— Plus vite! Plus vite!
Une fois la fête finie, elle n’en a pas assez.
— On va chez ma tante Julie, commande-t-elle. 
— Non, c’est trop loin.
Simon n’a même pas eu le temps de demander la permission que son père avait tranché.
— Ta sœur a juste trois ans, c’est trop jeune pour traverser la rue.
Simon argumente. C’est une petite rue et après, il passera par le parc. Ensuite, il restera sur le trottoir jusque chez leur tante. Et sa tante pourrait les attendre dehors et rappeler à la maison pour confirmer qu’ils sont bien arrivés.
Son père n’est pas rassuré, mais il se laisse convaincre. C’est jour de fête après tout. Il finit par les laisser aller, mais avec un sérieux avertissement.
Les deux doigts pointés sur la poitrine de Simon, il le met en garde :
— Surtout, ne va pas trop vite. Fais attention à ta petite sœur. C’est toi qui es responsable.
Simon se met en route tout doucement, du moins au début. Et de plus en plus vite à mesure qu’il s’éloigne de la maison et de son père. Arrivé dans le parc, il est déjà convaincu d’être un chauffeur expert.
En sortant du parc, il prend à gauche sur le trottoir. En moins d’une minute, il voit sa tante qui les attend devant la maison. Avec elle, il entre dans sa cour. Comme à des grands, la tante Julie leur offre un verre de limonade.
— Après la route, un petit verre vous fera du bien.
La visite ne s’étire pas. Léa a déjà repris sa place dans la voiturette et est prête pour le retour. Avec l’aplomb d’un pilote automobile, Simon s’empare de la poignée et s’élance. Trop brusquement, cette fois. Léa bascule vers l’arrière. Simon entend sa tête cogner contre le pavé. En un instant, le sang se met à couler.
Figé par les cris de sa sœur, Simon regarde la tache rouge s’étendre des cheveux blonds de la petite jusqu’à son cou puis sur sa robe de fête.  Il n’a pas encore bougé que déjà le bleu du col se détrempe et se transforme en chiffon souillé. Et la petite hurle encore plus fort.
C’est la tante Julie qui la relève. Elle panse la plaie puis appelle les parents. Simon les voit arriver en vitesse. Sans même avoir regardé son fils, le père a pris Léa dans ses bras et est reparti pour l’hôpital. En silence, Simon revient chez lui avec sa mère. Même si elle lui parle, Simon, lui, n’entend toujours que les cris de sa sœur et ne voit encore que l’inquiétude de son père.
Il a fallu des heures avant que Léa et son père ne reviennent à la maison. Ils sont arrivés si tard que Simon était déjà couché. Il était éveillé, mais il a fait semblant de dormir.
Après, on a oublié l’accident. Personne n’en a reparlé. Ni le lendemain ni des années plus tard.
Aujourd’hui, c’est jour de fête. À dix-huit ans, Simon vient d’obtenir son permis de conduire. Tout excitée, Léa insiste pour que son frère la conduise chez une amie.
Leur père les regarde, hésitant.  Il n’a plus à interdire ou à autoriser. Mais, il peut encore s’inquiéter. Bien qu’il se sente rassuré par la confiance de son grand fils, il ne peut les laisser aller sans un sérieux avertissement.
Les deux doigts pointés sur la poitrine de Simon, il répète une injonction qui n’était jamais sortie de l’esprit du jeune homme :
— Surtout, ne va pas trop vite. Fais attention à ta petite sœur. C’est toi qui es responsable.
En un instant, Simon a, à nouveau, sept ans.
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Benoit Bolduc/février 2024
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yes-bernie-stuff · 6 months
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Daniel 9
Prière et confession de Daniel.
1 La première année de Darius, fils d’Assuérus, de la race des Mèdes, lequel était devenu roi du royaume des Chaldéens, 2 la première année de son règne, moi, Daniel, je vis par les livres qu’il devait s’écouler soixante-dix ans pour les ruines de Jérusalem, d’après le nombre des années dont l’Éternel avait parlé à Jérémie, le prophète. 3 Je tournai ma face vers le Seigneur Dieu, afin de recourir à la prière et aux supplications, en jeûnant et en prenant le sac et la cendre. 4 Je priai l’Éternel, mon Dieu, et je lui fis cette confession : Seigneur, Dieu grand et redoutable, toi qui gardes ton alliance et qui fais miséricorde à ceux qui t’aiment et qui observent tes commandements ! 5 Nous avons péché, nous avons commis l’iniquité, nous avons été méchants et rebelles, nous nous sommes détournés de tes commandements et de tes ordonnances. 6 Nous n’avons pas écouté tes serviteurs, les prophètes, qui ont parlé en ton nom à nos rois, à nos chefs, à nos pères, et à tout le peuple du pays. 7 À toi, Seigneur, est la justice, et à nous la confusion de face, en ce jour, aux hommes de Juda, aux habitants de Jérusalem, et à tout Israël, à ceux qui sont près et à ceux qui sont loin, dans tous les pays où tu les as chassés à cause des infidélités dont ils se sont rendus coupables envers toi. 8 Seigneur, à nous la confusion de face, à nos rois, à nos chefs, et à nos pères, parce que nous avons péché contre toi. 9 Auprès du Seigneur, notre Dieu, la miséricorde et le pardon, car nous avons été rebelles envers lui. 10 Nous n’avons pas écouté la voix de l’Éternel, notre Dieu, pour suivre ses lois qu’il avait mises devant nous par ses serviteurs, les prophètes. 11 Tout Israël a transgressé ta loi, et s’est détourné pour ne pas écouter ta voix. Alors se sont répandues sur nous les malédictions et les imprécations qui sont écrites dans la loi de Moïse, serviteur de Dieu, parce que nous avons péché contre Dieu. 12 Il a accompli les paroles qu’il avait prononcées contre nous et contre nos chefs qui nous ont gouvernés, il a fait venir sur nous une grande calamité, et il n’en est jamais arrivé sous le ciel entier une semblable à celle qui est arrivée à Jérusalem. 13 Comme cela est écrit dans la loi de Moïse, toute cette calamité est venue sur nous ; et nous n’avons pas imploré l’Éternel, notre Dieu, nous ne nous sommes pas détournés de nos iniquités, nous n’avons pas été attentifs à ta vérité. 14 L’Éternel a veillé sur cette calamité, et l’a fait venir sur nous ; car l’Éternel, notre Dieu, est juste dans toutes les choses qu’il a faites, mais nous n’avons pas écouté sa voix. 15 Et maintenant, Seigneur, notre Dieu, toi qui as fait sortir ton peuple du pays d’Égypte par ta main puissante, et qui t’es fait un nom comme il l’est aujourd’hui, nous avons péché, nous avons commis l’iniquité. 16 Seigneur, selon ta grande miséricorde, que ta colère et ta fureur se détournent de ta ville de Jérusalem, de ta montagne sainte ; car, à cause de nos péchés et des iniquités de nos pères, Jérusalem et ton peuple sont en opprobre à tous ceux qui nous entourent. 17 Maintenant donc, ô notre Dieu, écoute la prière et les supplications de ton serviteur, et, pour l’amour du Seigneur, fais briller ta face sur ton sanctuaire dévasté ! 18 Mon Dieu, prête l’oreille et écoute ! ouvre les yeux et regarde nos ruines, regarde la ville sur laquelle ton nom est invoqué ! Car ce n’est pas à cause de notre justice que nous te présentons nos supplications, c’est à cause de tes grandes compassions. 19 Seigneur, écoute ! Seigneur, pardonne ! Seigneur, sois attentif ! agis et ne tarde pas, par amour pour toi, ô mon Dieu ! Car ton nom est invoqué sur ta ville et sur ton peuple.
Les soixante-dix semaines
20 Je parlais encore, je priais, je confessais mon péché et le péché de mon peuple d’Israël, et je présentais mes supplications à l’Éternel, mon Dieu, en faveur de la sainte montagne de mon Dieu ; 21 je parlais encore dans ma prière, quand l’homme, Gabriel, que j’avais vu précédemment dans une vision, s’approcha de moi d’un vol rapide, au moment de l’offrande du soir. 22 Il m’instruisit, et s’entretint avec moi. Il me dit : Daniel, je suis venu maintenant pour ouvrir ton intelligence. 23 Lorsque tu as commencé à prier, la parole est sortie, et je viens pour te l’annoncer ; car tu es un bien-aimé. Sois attentif à la parole, et comprends la vision ! 24 Soixante-dix semaines ont été fixées sur ton peuple et sur ta ville sainte, pour faire cesser les transgressions et mettre fin aux péchés, pour expier l’iniquité et amener la justice éternelle, pour sceller la vision et le prophète, et pour oindre le Saint des saints. 25 Sache-le donc, et comprends ! Depuis le moment où la parole a annoncé que Jérusalem sera rebâtie jusqu’au Messie, au Conducteur, il y a sept semaines et soixante-deux semaines ; les places et les fossés seront rétablis, mais en des temps fâcheux. 26 Après les soixante-deux semaines, le Messie sera retranché, et il n’aura pas de successeur. Le peuple d’un chef qui viendra détruira la ville et le sanctuaire, et sa fin arrivera comme par une inondation ; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu’au terme de la guerre. 27 Il fera une solide alliance avec plusieurs pour une semaine, et au milieu de la semaine il fera cesser le sacrifice et l’offrande ; le dévastateur commettra les choses les plus abominables, jusqu’à ce que la ruine et ce qui a été résolu fondent sur le dévastateur.
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crashanddust · 8 months
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Chapitre 2 : Take me back to the night we met
C'est l'une de ces premières soirées d'été. À Londres elles sont précieuses. Je sirote ma caïpirinha tout en écoutant attentivement Louise qui nous raconte encore l'une de ses histoires à dormir debout dont elle seule à le secret. En plein milieu de sa phrase, elle lève les yeux pour dire bonjour au couple qui vient d'arriver. Mon regard suis le sien, et c'est impatiente de retourner à son histoire que je lance un 'hey, nice to meet you' rapide et désinvolte. Le soleil s'est couché depuis un petit moment maintenant, la chaleur de la journée accumulée par le béton commence à se dissiper. On enchaine les verres, on rigole, la musique du bar commence à se faire de plus en plus entrainante. Je revois ce jardin, les guirlandes de lumières, le mobilier coloré. J'entends encore les rires, le brouhaha des gens qui se retrouvent, se rencontrent, chantent.
La soirée avance, l'excitation monte, l'envie de continuer à profiter de cette belle soirée d'été nous pousse vers un autre bar qui lui à l'avantage de fermer encore plus tard. L'alcool continue de couler, la soirée bat son plein quand le couple qui avait interrompu Louise plus tôt disparait. Et puis tout à coup lui reparait, il est seul. Elle a disparu.
Une autre fermeture de bar, la nuit qui s'allonge, et l'envie d'encore continuer cette douce soirée. Julio propose d'aller chez lui. C'est dans un autre quartier d'East London, et à cette heure-ci pas d'autres moyens d'y aller que de commander un uber.
"Tu as l'adresse ? " me dit une voix à côté de moi. Je lève les yeux de mon téléphone. C'est lui. Celui du couple de tout à l'heure. Pour la première fois je prends le temps de le regarder. Il a les cheveux coupé très court, presque à blanc. Une barbe bien entretenue, un piercing à la lèvre, et des yeux rieurs.
"Oui, c'est du côté de Stratford. Le postcode c'est E153JQ".
"Super, merci!" Et il retourne vers son groupe d'ami.
Il est 3h du mat et Ève et moi on s'embarque dans cet appartement, chez ce mec qu'on connait depuis à peine 2h, entouré d'ailleurs de tous ces mecs qu'on ne connait tous que depuis 2h. Louise elle doit partir, elle travaille tôt demain.
Arrivée à l'appartement, l'ambiance de la soirée change. Pour la première fois de ma vie je vois des assiettes passer de main en main, dessus, de fines lignes blanches. La musique se fait plus forte, les discussion plus intenses. Ça fait cet effet la coke, mais ça je le saurais plus tard.
Et puis le mec de tout à l'heure est toujours là. La soirée avance, il est 5h. Je commence à fatiguer. Je m'assoie sur l'accoudoir du canapé, en attendant je ne sais pas trop quoi.
Et il s'assoit à côté de moi. Je ne sais plus ce qu'il me dit à ce moment là. Je crois que j'ai un peu trop bu. On commence à parler. De tout, de rien, de papa, de la vie. Il est drôle. Pas mon style, mais il y'a quelque chose. Il m'apprend que la fille de toute à l'heure ce n'est pas sa copine.
Si j'avais su. Si j'avais su que ces quelques minutes de discussion allait profondément changer le cours des mes six prochaines années. Que de ce garçon quelconque j'allais tomber follement amoureuse. Que pour lui j'allais être prête à tout. À tout quitter, à tout abandonner, même mes principes. Qu'à ce garçon j'allais tout donner, le meilleur de moi-même, peut-être même mes plus belles années... Et que malgré tout l'amour qu'on allait se porter, six ans plus tard, nos chemins allaient se séparer. Qu'est-ce que je ferais?
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mompreneuse-life · 8 months
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🚗 Sur la Route de la Richesse : Mon Voyage avec "L'Autoroute du Millionnaire" 🚀
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💡 Ça a été une aventure incroyable, mais je suis enfin prête à partager mon voyage sur "L'Autoroute du Millionnaire" de MJ De Marco. Ce livre m'a ouvert les yeux sur tant de choses, mais cela n'a pas été sans ses propres défis. J'ai dû le relire plusieurs fois avant de vraiment comprendre et d'être prête à appliquer ses précieux conseils. 📚✨
Depuis que j'ai enfin les deux pieds dans l'entreprenariat, j'ai finalement ouvert les yeux et compris l'essence même du message que l'auteur a souhaité transmettre 🤩 Mes proches peuvent témoigner : je passe désormais mon temps à citer des passages ou des notions que j'ai lu et enregistré au fil des pages ! (Oui S, je te remercie pour ta patience à chaque fois que tu as compris que je te citais De Marco 😘 )
L'Autoroute du Millionnaire : Un Résumé 🛣️
"L'Autoroute du Millionnaire", écrit par MJ De Marco, est bien plus qu'un simple livre de finance personnelle. Il s'agit d'un guide qui remet en question la notion conventionnelle du travail acharné en échange d'une retraite confortable à un âge avancé. De Marco propose une approche radicalement différente pour atteindre la liberté financière en parcourant une autoroute rapide vers la richesse. 🏎️💰
L'auteur met en avant le concept du "Fastlane" (autoroute rapide), où vous entreprenez des actions qui accélèrent la création de richesse plutôt que de simplement la cultiver lentement au fil du temps. Il détaille également les cinq commandements de la richesse et fournit un plan d'action concret pour quiconque aspire à quitter la "Voie Lente" (le chemin traditionnel) pour se lancer dans la "Voie Rapide" vers la prospérité. 🚀🌟
Mon Chemin vers la Compréhension et l'Application 🤔📝
Quand j'ai ouvert ce livre pour la première fois, j'ai été frappée par la franchise et la perspicacité de De Marco. Cependant, je ne vais pas vous mentir : ce n'était pas une lecture facile. J'ai dû le relire plusieurs fois pour vraiment saisir les concepts et les stratégies qu'il propose. Mais chaque relecture en valait la peine. 🔍🧠
La première chose qui m'a interpellée, c'est le concept de la "Voie Lente" dans laquelle la plupart d'entre nous sont piégés et fait beaucoup écho à la Rat Race mentionnée par Robert Kiyosaki. Travailler pendant des décennies pour peut-être atteindre la retraite avec un peu d'argent de côté, cela ne m'a jamais vraiment semblé être une stratégie gagnante. De Marco m'a montré qu'il existe une alternative, une "Voie Rapide", où la richesse peut être créée beaucoup plus rapidement. 🕒💡
Les commandements de la richesse de De Marco m'ont également profondément influencée. Ils m'ont incitée à repenser ma philosophie financière et à prendre des mesures audacieuses pour améliorer ma situation. Le livre m'a poussée à rechercher des opportunités entrepreneuriales, à investir intelligemment et à travailler sur des projets qui ont un potentiel de croissance rapide. 💼🚀📈
Pour conclure 🌟📊
"L'Autoroute du Millionnaire" de MJ De Marco a changé ma vision de la vie et de la richesse. Bien qu'il m'ait fallu du temps pour en comprendre toutes les subtilités, je suis maintenant prête et motivée à suivre la "Voie Rapide" vers la prospérité financière. Je vous encourage tous à prendre le temps de lire ce livre révélateur et à explorer les possibilités qu'il offre pour une vie financièrement plus riche et épanouissante. 💪💰🌅
Avez-vous lu "L'Autoroute du Millionnaire" ?
Sinon, vous pouvez le retrouver ici en format broché ou dématérialisé : https://amzn.to/44RCVnr
Et pour ceux qui l'ont lu...
Quels ont été vos moments de révélation ? Avez-vous du le lire plusieurs fois comme moi avant de comprendre ?
Partagez vos expériences dans les commentaires ci-dessous ! 📖🗣️
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L’impressionnante Polestar 2 et les rues de Laval
Le 15 mars 2023
Ce n’est pas la première fois que je conduis une Polestar. Je l’ai déjà fait au concours de la voiture de l’année de l’AJAC il y a quelques années de cela. Mais, à l’époque, Polestar était le nom d’un modèle de Volvo qui avait été modifié par la compagnie Polestar. Celle-ci, également suédoise, était à Volvo ce que AMG était à Mercedes-Benz. Sauf que tout récemment, Polestar est devenue la propriété du constructeur chinois Geely en même temps que Volvo mais, en titre de constructeur automobile. Qui plus est, c’est à Polestar qu’a été confiée la popularité des voitures électriques sino-suédoises. Et le modèle Polestar 2 en est le premier résultat probant. Mais, fort possiblement pas le dernier! Si vous jetez un coup d’œil dans le cadre de portière de la Polestar 2, vous y verrez l’inscription «Made in China»! Ouaip! La Polestar est donc une auto chinoise toute électrique. Préparez-vous! Si c’est un indice des choses à venir, les véhicules chinois seront à surveiller.
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La Polestar n’affiche peut-être pas le plus extravagant des designs, il reste que c’est une superbe berline à quatre portes. (Photo Éric Descarries)
Peut-être que le design extérieur de la Polestar 2 n’est pas des plus renversants. En fait, sa ligne est plutôt…classique. On y devine l’influence de Volvo. Mais peu de gens ne l’ont critiquée. Elle est plaisante à regarder avec son mélange de berline à quatre portes avec hayon et de VUM avec toit surélevé. Encore une fois, je me dis que c’est une question de goût et que c’est individuel. Quand même…
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Même de l’arrière, le design de la Polestar 2 demeure…discret. Mais il est toujours aussi réussi! (Photo Éric Descarries)
L’intérieur est encore plus étonnant. Tout comme la ligne extérieure de l’auto, il est sobre et discret. Mais, c’est un heureux mélange de design moderne et traditionnel sans éclat mais superbement bien fini. Regardez bien le tableau de bord. Ne vous rappelle-t-il pas celui des voitures des années soixante-dix…servi à la moderne? Pas besoin d’une instrumentation trop élaborée, il n’y a pas de mécanique thermique à surveiller. Toutefois, le compteur de vitesse et quelques autres éléments d’information y sont bien placés dans leur niche et surtout, facile à lire. Évidemment, il faut compter sur le grand écran d’ordinateur placé en plein centre de la planche de bord. Celui-ci est facilement manipulable grâce au système Google qui fonctionne au toucher. Peut-être un peu compliqué au départ, on finit par s’y habituer nettement plus rapidement que celui des Volvo de la génération précédente. Quelques commandes sont manuelles mais on en voit encore plus sur le volant! Celles-ci sont alors électroniques. Ironiquement, il n’y a pas de commande de contact au tableau de bord ou à la console de la Polestar. En effet, le «contact» se fait tout seul…comme par magie…dès que le conducteur (qui a la télécommande sur lui) prend place derrière le volant. Tout ce qu’il doit faire, c’est de passer en vitesse et le tour est joué. Pas besoin de tourner de clé. La Polestar est prête à rouler.
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Le tableau de bord est simple mais efficace et surtout élégant. Regardez bien les lignes. On dirait un tableau de bord d’Américaine des années soixante! (Photo Éric Descarries)
La sellerie de cuir de la Polestar y est aussi simple mais élégante. Les garnitures de portières affichent quand même un certain style discret mais remarquable. Les sièges avant peuvent paraître raides et peu accueillants mais c’en est tout à fait le contraire! Même sur un long trajet. Les places arrière sont tout aussi accueillantes avec suffisamment d’espace pour le débattement de la tête et des jambes. Dans le cas de ma voiture d’essai, celle-ci avait la sellerie optionnelle avec cuir Nappa. Un peu austère? Peut-être...Mais confortable! Évidemment, vu que le véhicule est à hayon arrière, son coffre est vaste. Et il le devient encore plus si l’on rabat les dossiers des sièges arrière. Presque une «station wagon»! Avec un grand toit vitré (mais pas ouvrant!).  Ah oui! À l’avant, sous le capot, on n’y voit pas de moteur…seulement un petit coffre utile que pour de petits bagages ou colis…
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Les places arrière sont surtout accueillantes et confortables. (Photo Éric Descarries)
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Le coffre, accessible par un hayon, est plutôt vaste. (Photo Éric Descarries)
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À l’avant…pas de moteur…seulement un petit coffre d’appoint! (Photo Éric Descarries)
Question technique, la Polestar 2 est une voiture électrique, je le répète. Selon le constructeur, il y a deux moteurs dans cette version cataloguée comme quatre roues motrices. Le premier moteur, situé à l’avant serait la force motrice d’importance pour la version à deux roues motrices, une situation qui va changer avec la version 2024 qui sera livrable, de base, avec le moteur à l’arrière seulement (donc à propulsion). Mais, dans le cas qui nous intéresse, ma Polestar d’essai était à quatre roues motrices, un atout en hiver. Les deux moteurs de la Polestar 2023 produisent ensemble 410 chevaux et 486 li-pi de couple (cet ensemble passera à 421 chevaux et 546 li-pi de couple dans sa version 2024). Évidemment, il n’y a pas de boîte de vitesses alors que la direction et le freinage sont à assistance électrique. Il est possible de régler la tension de la direction sur la Polestar alors que le freinage avec récupération d’énergie est aussi réglable avec aucun ralentissement ressenti ou que la moitié de cette friction ou encore toute la friction qui peut servir de freinage presque complet en décélération. La suspension est aussi réglable alors que les roues de 20 pouces (une option de 1500 $) étaient équipées de pneus d’hiver Michelin X-Ice Snow très efficaces.
Sur la route
Il faut que je vous dise…j’ai été impressionné par cette auto. Je l’ai aimée et j’ai surtout aimé la conduire. Non seulement l’ai-je utilisée pour mes déplacements locaux mais aussi, je l’ai conduite de Laval à Rawdon dans la région de Lanaudière empruntant alors l’autoroute 25. La voiture est silencieuse mais sa tenue de route est impressionnante. J’étais très heureux d’en tenir si facilement le volant qui offrait quand même une certaine résistance. Toutefois, cette résistance était rassurante même si la Polestar jouissait d’aide à la conduite (Pilot Pack Plus incluant la pompe à chaleur pour le confort des passagers).
À Rawdon, j’ai visité deux amis, Gabriel à qui j’ai confié une partie de la restauration de la Lotus Europa et Michel Pigeon, le constructeur de Cobra. Ce dernier ne s’est pas fait prier pour une petite balade en Polestar et tout comme moi, il a été impressionné par la puissance des moteurs à l’accélération…0 à 100 km/h autour de cinq secondes! Les reprises sont tout aussi étonnantes tout comme le freinage grâce aux énormes disques de la voiture.
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Le câble de recharge de la Polestar pour la prise à 120 volts est gros et lourd. Mais le chargeur est efficace! (Photo Éric Descarries)
Je n’ai que des prises à 120 volts chez nous. Malgré tout, j’ai été aussi surpris par la vitesse de recharge de la batterie. Il n’aura fallu que quelques heures (une nuit et un peu de la matinée) pour recharger celle-ci alors qu’il ne restait qu’une centaine de kilomètres de réserve. Après quelques reprises de recharge, j’ai fini par atteindre une autonomie de 410 kilomètres avec la Polestar. Comme d’habitude, j’ai trouvé la manipulation du câble embarrassant parce qu’il s’est rapidement sali sur le pavé uni de mon entrée de garage. Qui plus est, je l’ai trouvé lourd (surtout avec son gros chargeur avec clignotant très évident près de la prise). Mais le système a été efficace! Il faudrait huit heures pour recharger cette batterie avec le système à 220 volts et à peine 40 minutes pour obtenir 80% de la charge avec les chargeurs les plus puissants de niveau 3.
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S’il fait un peu froid, le système avertit le conducteur de la condition de la recharge. (Photo Éric Descarries)
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Un exemple d’une recharge quotidienne efficace. (Photo Éric Descarries)
Il y a quelques concessionnaires Polestar au Québec et ils sont combinés à une agence Volvo. Le prix de base de mon véhicule d’essai était de 58 950 $ auquel il faut ajouter 1500 $ pour la peinture spéciale Thunder, 5000 $ pour la sellerie Nappa, 4700 $ pour le système d’aide à la conduite Pilot et 5700 $ de plus pour l’ensemble Plus. Enfin, ajoutons aussi 1500 $ pour les belles jantes à cinq branches de 20 pouces et 2300 $ pour les frais de transport et de préparation ce qui nous amène à 74 950 $. Mais, nous au Québec, avons droit à 7000 $ de subvention du gouvernement provincial et 5000 $ du fédéral.
Pour le moment, la principale concurrence de la Polestar vient de la BMW i4, de la Tesla 3 et peut-être de la Ford Mustang Mach-e. Bientôt, nous devrions voir apparaître la Polestar 3 intermédiaire puis le petit VUS Polestar 4 compact. Il y aurait une version spéciale Polestar 5 GT à cinq portes en 2024 incluant une version 6 en 2026, un cabriolet devant concurrencer les Porsche 911. Enfin, il semble tout probable que d’ici ce temps-là, Polestar aura sa propre usine d’assemblage dans les Caroline afin de mieux profiter des avantages fiscaux chez l’Oncle Sam qui, jusqu’ici, ne semble accepter que les VÉ construits en Amérique du Nord. Ça ne fait que commencer pour Polestar…
Les horribles rues de Laval
Je demeure à Laval depuis…1960! J’y ai ma maison depuis 1978. J’ai donc vu construire plusieurs artères importantes de cette ville qui prend de plus en plus d’importance dans notre système économique. Laval n’est pas une ville pauvre, loin de là! Toutefois, ses rues et routes nous feraient croire que nous venons de subir un bombardement des Russes! Elles sont dans un état lamentable avec trous, bosses et dommages à tout kilomètre. Curieusement, dans les quartiers résidentiels, on retrouve depuis les quelques dernières années des dos d’âne à chaque école ou parc. Mais alors, si l’on dispose de tant d’asphalte, comment cela se fait-il que la Ville n’en ait pas assez pour réparer les trous ou, surtout, refaire la surface des rues qui ont l’air d’une mosaïque tant il y a des «patches» d’asphalte partout!
Mais cela, ce n’est rien comparé aux lignes blanches COMPLÈTEMENT effacées non seulement sur les rues de quartier mais surtout sur des artères d’importance comme le boulevard Saint-Martin (une route à trois voies où il est impossible de distinguer chacune de ces voies et où les conducteurs sont souvent confus par les allées de pavage qui se chevauchent sans respecter la véritable configuration des voies. Essayez de vous guider sur le boulevard Lévesque dans le quartier Saint-François dans la pénombre où l’on ne voit AUCUNE ligne blanche que ce soit pour indiquer les voies ou pour délimiter le rebord de la route…Évidemment, la Ville se défendra en spécifiant qu’elle n’utilise que des peintures à base d’eau moins polluantes...mais s’il faille repeindre deux fois par année, les camions qui seront affectés à cette tâche produiront autant de pollution! Et pourquoi l’autoroute 19 près de chez nous conserve-t-elle ses lignes malgré le nom de véhicules qui y circulent? Quelqu’un à Laval a-t-il demandé des conseils au Ministère des Transports? C’est-ti juste moué ou ben…
Enfin, quand il pleut ou neige, les camions qui sortent de la carrière sur le boulevard Saint-Martin entre le boulevard des Laurentides et l’autoroute 19 laissent toute une couche de boue sur la route ce qui salit les voitures irrémédiablement (ce qui est insultant pour ceux qui entretiennent leur voiture) et qui rend la route glissante. Oh! Il y a bien un arrosoir mécanique qui lave la rue en été…mais pas en hiver. J’ai vu, en l’an 2000, en Corée du Sud, une telle carrière et alors que les camions devaient en sortir, il y avait un jet d’eau qui lavait les roues avant que le camion ne  prenne la route. J’ai revu un système semblable au Viet Nam l’automne passé! Me semble que la carrière pourrait établir un tel mécanisme... c’est une question de respect après tout…Malgré mes plaintes écrites à la Ville, rien n’en a été fait. «Your tax money at work» comme le disent les écriteaux quand l’autoroute est en réparation aux États-Unis!...  
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tadorsa · 1 year
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Lettres/Journal de guerre - André à Suzanne
17 septembre 1914
Ma petite Suzanne aimée,
Rien reçu de toi aujourd’hui. J’en suis donc toujours à ma première lettre écrite par toi le 7 et terminée le 8 et reçue par moi le 16. Je t’ai déjà écrit deux lettres aujourd’hui (une lettre et une carte) aussi ne ferais-je partir celle-ci que demain mais je veux avoir toujours autant que possible sur moi une lettre toute prête, pour, au cas où je trouverais un moyen de te la faire parvenir plus vite que par la poste, en profiter.
Nous venons de passer une journée fort calme dans un gentil petit village d’un fort joli pays, malheureusement il a fait toute la journée un temps de chien, cela ne m’a d’ailleurs pas empêché d’aller me promener et promener mon cheval en compagnie d’un camarade le lieutenant de Roffignac qui commande les mitrailleurs. Le reste du temps, à part celui pris par ma visite et contre-visite, j’ai profité de ma chambre et fait trois ou quatre heures de lit dans ma journée. J’avais déjà cette nuit fait un tour de cadran presque complet, de 9h à 7h30 ce qui, dans un bon lit après un excellent (comme toujours) dîner a le don de vous remettre d’aplomb un homme qui a passé la veille une nuit blanche. J’ai trouvé ici une superbe voiture à quatre roues avec capote et je l’ai prise pour remplacer une de mes voitures à moitié démolie. Tu ne saurais te figurer ce que mes voitures et mes chevaux me donnent de tracas. Au lieu de trois voitures réglementaires, j’ai des voitures de réquisition mal appropriées à l’usage qu’on doit en faire et assez incommodes, il m’en a même fallu quatre pour ne porter que la moitié du matériel que je devrais avoir ; ces quatre voitures et mes quatre chevaux sont un cauchemar ; il y a toujours quelque chose qui ne va pas ; des harnais qui cassent ; des chevaux qui ne marchent pas ; des voitures qui menacent ruine, et étant seul il faut m'occuper moi-même de tout. J’ai heureusement des infirmiers assez débrouillards et en qui je peux avoir confiance aussi, pouvant faire rapidement, grâce à mon cheval, le tour d’un village avant que la distribution de cantonnement soit faite complètement je peux trouver des locaux assez confortables (oh combien relativement !) pour y installer mon infirmerie et mes infirmiers, c’est ainsi qu’avant hier ils avaient la salle d’honneur d’une mairie ou un bon poêle leur a permis de faire la cuisine, de se chauffer et de sécher leurs vêtements et aujourd’hui une école de garçons qui avait il y a quelque temps servi d’ambulance et où ils ont trouvé matelas, draps, couvertures et où pour mon compte j’ai trouvé de la lecture dans une bibliothèque assez bien fournie.
Le jour tombe et dans ce petit village pleins de soldats et épargné par la canonnade on se croirait facilement en manoeuvres, la différence c’est qu’on sait quand les manœuvres finissent et on peut prévoir le jour de retour tandis que maintenant on ne peut rien prévoir du tout. Dans ma lettre d’aujourd’hui je t’ai dit ce que je pensais au sujet de ton départ à Paris. Je te le répète et te le répèterai dans plusieurs lettres pour le cas fort possible où un certain nombre d’entre elles ne t’arriveraient pas. D’abord je remercie ma petite Suze d’avoir été bien obéissante et d’être restée à Lyon du moins jusqu’au 8 (jour d’où est datée la seule lettre reçue de toi). La situation maintenant paraît s’éclaircir, mais peut-on savoir, il se pourrait d’ailleurs que lorsque cette lettre t’arrivera elle se soit dessinée plus nettement encore dans un sens ou dans l’autre. Réfléchis bien ma petite Suze, au besoin demande conseil à Maman, ou à M. Richard, fixe-toi surtout sur le fonctionnement du télégraphe ou téléphone de Lyon à Paris et la rapidité des trains si tu crois qu’étant à Paris en 20 ou 24 heures tu peux recevoir un télégramme de Lyon et y arriver, va à Paris. Ce qui m’ennuierait surtout ce serait si j’étais évacué pour une raison ou pour une autre vers le Sud-est (Lyon, Valence, Marseille, Grenoble, etc.) de savoir que ma Suzanne ne peut être rapidement prévenue et ne peut rapidement venir. S’il me fallait attendre, 4, 6, 8 jours peut-être plus, comme je serais malheureux, tandis qu’il me semble que si je suis évacué, quelle que soit ma maladie ou ma blessure, dès que je verrai ma Suze et ma petite Jacqueline, j’irais déjà beaucoup mieux.
Jusqu’à présent je tiens bon et me trouve bien, peut-être cela durera-t-il jusqu’à la fin, mais il faut tout prévoir. Enfin ma Suze si les communications en France paraissent normales va à Paris bien qu’en de pareils moments tu trouveras près de ta mère un peu de réconfort moral mais si les communications sont difficiles et lentes, attends encore un peu ma petite Suze, demande à ta mère de venir, allez si vous voulez habiter Grenoble toutes deux, mais reste à proximité de la région où je pourrais être évacué en cas de malchance. Je m’arrête ma petite Suze, il est 6h30 et je n’y vois plus goutte, je prépare l’enveloppe et y mets cette lettre car je viendrai sans doute demain ajouter un petit mot si j’en ai le loisir. Je t’embrasse de tout cœur ainsi que ma petite Jacqueline. Je pense bien, bien, bien à ma Suze et prie bien le bon Dieu de vite me la rendre.
Je suis encore et toujours ton André.
#AN
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Cheeky Love - 04
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- Kim Ae-Ri, Yoon Cheol-Moo, je dois vous parler dans la salle des professeurs. Ceux qui sont notés sur le tableau, rangez le matériel !
- Oui monsieur !
          Ma meilleure amie m’indiqua de commencer à manger avant elle si son entrevue avec monsieur Kim tardait. J'acquiesçai d'un hochement de tête puis elle me laissa avec les autres.
          Je me retournai face au centre du gymnase. Je n'étais pas ravie d'être avec Jeon Jung-Kook et tout son groupe d'amis pour ranger le matériel. Comme d'habitude, ils allaient plus s'amuser que ranger, laissant les autres le faire à leur place. Heureusement, qu'il y avait Oh Se-Ra, - anciennement la fille la plus oubliée de la classe jusqu'à ce que nous découvrions sa relation secrète avec un des Princes du lycée.
         Les garçons de la classe ne se gênèrent pas pour lui donner en désordre leurs maillots d'équipe. La voyant en difficulté à tout porter, je décidai de venir l’aider mais Jeon Jung-Kook fût plus rapide que moi. S'il n'était pas venu me parler, il y avait deux semaines de cela, j'aurais pu penser qu'il n'avait pas un mauvais fond malgré son tempérament de playboy.
          Je me dirigeai vers les plots colorés pour les ramasser. Après en avoir pris assez dans mes mains, je m'apprêtai à me redresser pour aller les ranger dans le cagibi quand quelqu'un se cogna contre moi et tout un tas de maillots d'équipe me tombèrent dessus. J'entendis des éclats de rire puis, la voix de la personne qui venait de faire ça.
- Oh mince ! Désolé, j't'avais pas vu ! s'exclama Jeon Jung-Kook dans une pointe de moquerie.
“Lui…”
          Il était très clair qu'il l'avait fait exprès !
"Ne lui prête pas d'attention, ne lui prête pas d'attention"
          En essayant de garder au mieux mon calme, je ramassai les maillots et me tournai vers mon camarade de classe pour les lui rendre. Je me décalai ensuite sur le côté pour continuer mon chemin quand il se posa devant moi. Je me décalai alors sur l'autre côté mais il refit la même action !
          Je perdis patience.
- Laisse-moi passer, fronçai-je les sourcils.
- Non.
“Qu’est-ce qu’il-”
- Pendant combien de temps tu vas continuer de m'ignorer ?
- Hein ?
- Tu-
- Oh Jaykay, viens vite ! Y'a Sun-Mi qui arrive !
          Cette information attira vivement l'attention de mon camarade de classe qui ne tarda pas à aller à la grande entrée du gymnase pour parler à des filles. C'était définitivement un vrai coureur de jupon... 
          Plus tard, sans grande surprise, ce fut Oh Se-Ra et moi qui avions rangé la plupart du matériel de sport. Jeon Jung-Kook et ses amis n'avaient fait que parler et s'amuser avec d'autres personnes du lycée.
* * *
          Je posai mon crayon de papier sur mon cahier d'exercices d'arithmétiques. J'étais fatiguée d'essayer de résoudre le problème posé. Combien de temps est-ce que j'étais dessus ? En regardant l'heure sur mon téléphone, je vis qu'il était bientôt 23h. Cela faisait plus d'une demi-heure que j'étais dessus sans trouver la solution. Je décidai alors de faire une pause pour m'aérer l'esprit et parce que la faim commençait à me gagner.
          Je sortis de ma chambre. J'allumai les lumières du salon. Mon père n'était encore pas rentré du travail. J'imaginai qu'il devait avoir beaucoup de choses à faire en ce moment puisqu'il ne rentrait pas avant minuit, voire une heure du matin ces derniers temps.
         Je me dirigeai vers le frigo et l'ouvris mais constatai que nous n'avions plus rien à part un petit reste de jajangmyeon d'hier et un fond de riz dans le cuiseur. Cela ne me tenta pas. Je refermai le réfrigérateur. Il ne me restait plus qu'à commander. Qu'allais-je bien pouvoir manger... Du poulet frit avec du gamja jorim ? Du bœuf mijoté ? Hum... Non. J'avais plus envie de sucré que de salé. J'irai donc au CU en bas de chez moi.
- « Fermé pour cause de travaux » ? lis-je sur le papier informatif qui était scotché devant une des portes coulissantes de la supérette.
          C'était étrange, ce matin, le magasin fonctionnait parfaitement bien. Bon, tant pis. J'irai au GS25 qui était un peu plus loin. 
          Je levai le nez vers le ciel. Le temps avait changé par rapport à tout à l'heure. Il y avait de gros nuages marrons dus à la pollution de la ville. Le vent s'était levé. La fraîcheur était tombée.
          J'eus un frisson. Pourvu qu'il ne pleuve pas jusqu'à ce que j'arrive chez moi. J'avais oublié de prendre un parapluie et j'avais encore le retour à faire...
          En arrivant devant le GS25, je vis qu'il était également fermé. Je me demandai bien ce qu'il leur arrivait. C'était bien la première fois que je voyais ça. Je regardai autour de moi s'il n'y avait pas un deuxième konbini. Je n'avais pas envie d'aller faire plus de marche pour me prendre de quoi manger. Il était tard et je commençais à fatiguer. Si j'avais su, je n'aurais pas fait la fine bouche et me serais fait livrer un repas salé. 
          Ah, sur Naver Map, je vis un Ministop à un peu moins de 300m de moi !
          Mais la pluie s'abattit brusquement avant même que je puisse reprendre le pas. Je n'avais pas de chance...
          Vite, je cherchai du regard un endroit où je pourrais m'abriter sans avoir à dépenser mon argent.
          Ah ! Dans une ruelle, à quelques mètres de là où je me situais, il y avait un échafaudage de chantier d'une boutique qui avait cessé toute activité.
          Sans tarder, je courus jusque dessous. Un frisson me parcouru encore et au même moment, je vis un éclair. Un grondement s'ensuivit et la pluie s'épaissit brutalement, tombant plus fortement qu'il n'y avait quelques instants. Je me sentis vraiment idiote de n'avoir pas pensé à prendre un parapluie. A présent, j'espérai que cette pluie ne dure pas une éternité...
          Mon téléphone vibra. Plusieurs notifications sur le 2ème groupchat de la classe arrivèrent. Je ne les ouvris pas car j'étais généralement peu intéressée par ce qu'il se disait à chaque fois. J'imaginai que certains d'entre eux - sûrement le groupe leader de la classe - devaient parler de cette soudaine pluie en faisant des commentaires idiots, comme à leur habitude.
         C'est alors que je sentis quelque chose se frotter contre ma jambe droite.
“Un chat noir ?”
          Il miaula et continua de se frotter affectueusement contre moi.
- Hayan !
          Je tournai ma tête en direction de la voix masculine. Un garçon de taille moyenne, mince et aux cheveux décolorés était en train de venir vers moi. Je ne réussis pas à discerner correctement les traits de son visage à cause de sa casquette yankee New York et son masque noirs mais son uniforme scolaire m’indiqua qu'il allait au même lycée que moi. 
- Hayan, dit-il une nouvelle fois en s'abaissant à la hauteur du petit animal.
          Le chat vint joyeusement à lui et se laissa doucement porter dans ses bras. Quand le garçon baissa son masque, l’animal eut cette irrésistible envie d’y frotter sa tête contre sa joue. Il avait l'air de beaucoup apprécier la compagnie du lycéen au vu de ses forts ronronnements et de ses coups de museaux affectifs. Le garçon souriait avec tendresse. Il remit ensuite le petit animal par terre qui s’en alla manger des croquettes dans un petit bol en acier posé à quelques pas de nous et à l’abri de cette pluie. En même temps, je me fis la réflexion que le chat avait un drôle de nom par rapport à son pelage. 
- Tiens.
          J’eus un soudain temps d’arrêt. 
          La sombre ruelle où nous étions n’était que faiblement éclairée par un vieux lampadaire de rue mais elle suffisait pour que je puisse enfin voir un peu mieux qui se tenait devant moi. Pour une raison inconnue, ce garçon qui était en train de me tendre un parapluie jaune me semblait étrangement familier. Ces yeux perçants qu’il avait, pourquoi est-ce qu’ils me donnaient une vive émotion lourde à l’intérieur de moi ?... 
- Je crois que cette pluie n'est pas prête de s'arrêter alors prends-le pour rentrer chez toi, me dit-il en souriant gentiment.
- Oh… 
          Le fait qu’il me donna directement entre les mains son parapluie me rendit quelque peu timide.
- Il vaut mieux que tu y ailles maintenant avant d'attraper froid.
          J’hochai poliment la tête pour le remercier.
          Je m'apprêtai à sortir de l'échafaudage mais deux garçons bien plus grands que moi et aux fortes carrures me barrèrent le passage. Derrière moi, j'entendis un poids tomber sur le sol. Je me retournai et vis le garçon aux cheveux décolorés en train de se prendre des coups de pieds dans l'abdomen de la part d'un garçon maigrelet qui prenait du plaisir à le frapper. Quatre autres garçons arrivèrent à leur tour et celui qui avait une casquette verte Adidas s'avança jusqu'à moi en affichant un sourire malveillant aux lèvres.
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risiblesamours · 2 years
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YOU ARE MY FAVORITE ENTERTAINER
– FT YUNA                                                                 ✩ ○.⋆☽ ⋆.○ ✩
Elle est là pour remonter sa moyenne est t’es certain qu’elle réussira à le faire. Car elle commence déjà à comprendre Yuna, semble un peu moins perdue en seulement trois cours avec toi – et dieu seul sait que t’es pas le meilleur pour expliquer les choses sérieusement. Mais t’as saisie qu’il fallait jouer avec son intérêt à certains sujets pour qu’elle écoute les raisonnements, lui donner les bons exemples pour attiser sa curiosité alors tu parles d’achat de toile qu’on retrouve dans les plus grands musées tout autour du monde, lui expliques les conflits inter-sociétés dans un même pays en usant les prénoms de ses amies pour imager tes dires. Et en toute sincérité, elle n’est pas aussi nulle en la matière qu’elle l’imaginait finalement l’héritière Seon. Malgré ses dires, sa logique n’a pas à être remise en question il suffisait juste de comprendre comment s’y prendre avec elle.
Et aujourd’hui elle semble particulièrement à l’écoute, 
n’a pas l’air de vouloir décrocher son regard du cours.
Tu devrais en faire de même mais t’es juste trop fatigué, t’as certainement utilisé tes précieuses dernière minutes de sérieux en lui expliquant l’exercice qu’elle s’apprêtait à faire et qu’elle doit rendre demain à son professeur. Alors forcément que le petit diable en toi attise ton envie de la déconcentrer – juste pour aujourd’hui, la prochaine fois tu seras plus sérieux – question débile que t’en viens à lui poser à laquelle elle répond plutôt sérieusement avant de te demander d’enlever ton bras de sa chaise. Tu tournes alors un instant ton regard d’elle pour aller voir où ton bras s’est posé par pure mégarde. Effectivement ton bras n’a pas forcément sa place ici et pourtant t’as envie de le laisser, juste pour la faire chier. Mais très vite ton bon sens reprend le pas et tu te dis qu’elle n’a pas forcément envie d’une telle familiarité, pas envie qu’un autre garçon que son petit-ami agisse ainsi avec elle. Alors tu laisses ton bras glisser mollement et vient de nouveau t’étirer comme un chat sous ses yeux en répondant :
- Oui très chère élève, j’enlève mon bras ça va, ça va... J’ai pas fait exprès...
Yuna qui semble déjà prête à se replonger sur l’écran face à elle, sauf que t’as pas envie qu’elle t’abandonne dans ton moment de relâchement cérébrale alors tu lui poses une nouvelle question – en sachant pertinemment qu’elle ne pourra pas supporter les fleurs que tu essaies de te lancer. Et c’est exactement comme tu l’imaginais qu’elle finit par répondre, t’arrachant un sourire en coin tant c’était évident qu’elle se jetterait dans la brèche savamment creusée.
- Soit pas si mauvaise avec ton professeur de cours privé ... Puis c’est pas pour une fois que je te déconcentre que tout est gâché, loin de là.
Tu ne sais pas combien de temps ça va durer cette histoire de cours particulier mais t’imagines que vous en avez pour quelques semaines encore. T’en sais trop rien en vrai, ne sait pas jusqu’où tu peux l’aider en étant toi-même en difficulté pour la suite. Mais ça, tu ne préfères pas y penser, tu ne te mets pas de stress, t’en fiche même un peu de ne pas réussir à remonter ta propre moyenne. Ainsi, sans transition tu dis à voix haute que t’as faim et la brune assise à côté de toi se moque de toi en te demandant si tu n’as pas ramené un petit gouter avec toi, t’informe que tu peux toujours commander si la faim te torture à ce point-là.
- Non j’ai rien ramené mais par contre c’est très mal poli de ta part de ne m’avoir rien préparé. Après tout je prends de mon temps personnel pour t’aider... Ma sœur ramenait des petits gâteaux à son prof’ particulier...
Mais si tes souvenirs sont bons, elle ne faisait pas ça par pure bonté Seol-a. Elle s’était entichée de ce garçon plus vieux qu’elle de quelques années. Ces cours particuliers elle n’en avait même pas besoin c’était juste un prétexte pour l’approcher.
- Mais t’as raison j’peux commander puisque mon élève n’est pas assez attentionnée ...
Que tu rajoutes avec humour car tu sais très bien que jamais Yuna ne te préparera quoique ce soit. Alors tu sors ton portable après avoir baillé une énième fois, regarde ce que tu peux te faire livrer quand la voix de Yuna t’oblige à relever les yeux vers elle. C’est là que tu remarques qu’elle s’amuse avec tes lunettes de vues que tu te plais à porter uniquement les jours de tutorat. Elle te demande pourquoi tu portes ça à chaque fois, t’assure que ça ne te rend pas plus intelligent et du tac au tac tu réponds d’un air faussement surpris :
- Rien du tout ? Même pas un peu plus sexy ... ? Tu me fends l’âme... Moi qui pensais être à ta hauteur aujourd’hui...
Tu rigoles mais elle est vraiment jolie Yuna, aujourd’hui t’as du mal à te concentrer car la journée a été longue et éreintante mais aussi un peu car ses longues jambes dans cette mini-jupe sous la table ne font qu’attirer ton attention. Et là encore t’essaie de ne pas trop l’épiée, reprend la contemplation de ce que tu souhaites commander sur l’application.
- Puisque j’suis dans la commande j’te prend des gyozas ?
Tu n’attends pas sa réponse, en ajoute dans ton panier et paie la commande avant de reposer ton téléphone sur le bureau, la regarder en train d’encore et toujours triturer tes lunettes de repos.
- J’suis sûr elles t’iraient bien cette paire... Essaie pour voir ?
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