Tumgik
#site de ses grands morts
soeurdelune · 9 months
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(il semble que je sois désormais condamnée à faire un post par semaine pour me plaindre de tumblr mais oh well)
tumblr live. qu'est-ce que comment pourquoi? les onglets s'affichent maintenant sur l'appli et sur le site, et apparemment on ne peut pas les désactiver définitivement, il faut le faire tous les 7 jours. j'ai pas envie d'avoir des onglets constitués de 90% de porno amateur sur mon dash à chaque fois que j'ouvre tumblr mdr.
si quelqu'un a une astuce pour désactiver tumblr live de manière permanente je suis preneuse.
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praline1968 · 8 months
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Et maintenant …
Tout n’est plus que jardins désertés par la lune,
Les fleurs que tu aimais sont mortes une à une.

Le ciel est sans espoir les anges l'ont quitté,
Les cygnes ont fui cet étang d’antiquité.

Qu’il est désespéré ce grand bras qui s’étire,
Arbre qui mille oiseaux aux grands chants plus n’attire.

Et toi nocturne ami étrange visiteur,
Messager d’au-delà noir annonciateur.

Tu t’es perdu noyé dans les bruits de la ville,
O silence de l’âme ô musique immobile.

Et peu à peu les frais brouillards se sont levés,
En laissant éplorés les pays délavés.

Et la nuit est partie par une grille ouverte,
La nuit panthère noire aux yeux de lune verte.

Arbre désert sans cris jardin de bas-côté,
S’est défleuri tout ce qui fut de sa beauté.
Poème d’Avraham
Source : site La Passion des Poèmes
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cricxuss · 2 months
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COMME LA MORT, IL FAUT REGARDER LA SEXUALITE EN FACE SANS FERMER LES YEUX !
Suis-je un poète pornographe ? Si c'est le cas, je m'inscris dans une longue tradition si j'en juge par le recueil "Anthologie de la poésie érotique " publié en 2010 par les éditions Garnier. En effet, dans ce florilège le réalisme le plus cru côtoie le raffinement le plus délicat, de l'Antiquité grecque et romaine jusqu'au début du XXème siècle, qu'il s'agisse de poètes renommés ou de petits maîtres. Dans ces oeuvres s'exprime une volonté de subversion et d'émancipation. Sous ces coups de boutoir, la vieille morale vacille et les masques tombent. Aujourd'hui, avec les outils du numérique, la donne a changé même si l'hypocrisie persiste car "on estime que près de 60 % des internautes surfent, à un moment ou à un autre, sur des sites au contenu pornographique" (extrait de '" Bêtes de sexe ", Editions Michel Quintin, 2015).
LA SEXUALITE VECUE PAR DES POETES, LOIN DE L'AMOUR CHASTE OU DU LYRISME ROMANTIQUE...
Jacques Prévert participa aux entretiens sur la sexualité dont le groupe de Breton commença la publication dans le numéro 11 de la Révolution surréaliste. « Le surréalisme, dira André Breton, a tout fait pour lever les tabous qui empêchent qu'on traite librement du monde sexuel et de tout le monde sexuel, perversions comprises – monde dont j'ai été amené à dire plus tard qu'en dépit des sondages entre tous mémorables qu'y auront opérés Sade et Freud, il n'a pas, que je sache, cessé d'opposer à notre volonté de pénétration de l'univers son infracassable noyau de nuit. »
Les Recherches sur la sexualité. Part d'objectivité, déterminations individuelles, degré de conscience se déroulèrent pendant sept soirées du 27 janvier au 6 mai 1928. Les deux premières furent publiées in extenso dans La Révolution surréaliste. Prévert participa à six de ces soirées.
Jamais on n'avait parlé aussi clairement dans une revue autre que celles qui se vendaient sous le manteau, de l'onanisme féminin, dont Breton pensait le plus grand bien, vivement approuvé par Prévert qui s'en déclarait tout à fait partisan. A l'appui extraits de dialogues on ne peut plus directs entre les deux hommes […] :
Prévert : Que pense Breton de la sodomie entre homme et femme ?
Breton : Le plus grand bien.
Prévert : Vous y êtes-vous déjà livré ?
Breton : Parfaitement.
Queneau : Faites-vous toujours l'amour de la même façon ; sinon est-ce pour accroître votre jouissance ou celle de la femme ?
Breton : Fort heureusement non, je m'ennuierais trop. Quant à la femme elle peut prendre l'initiative de changer autant qu'elle veut.
Prévert : Je suis de l'avis de Breton.
Quand les questions se firent plus précises chacun tint à ajouter son grain de sel à une conversation qui se révélait de plus en plus pimentée :
Breton : Quelles sont les attitudes passionnelles qui vous sollicitent le plus ? Baron ?
Baron : Le 69, la position dite « en levrette ».
Duhamel : La position dite « en levrette », le 69.
Aragon : Je suis extrêmement limité. Les diverses attitudes me sollicitent également comme autant d'impossibilité. Ce que j'aime le mieux, c'est ma pollution pendant la fellation active de ma part. En fait, je fais presque toujours l'amour de la manière la plus simple.
Man Ray : Pas de préférences. Ce qui m'intrigue le plus, c'est la fellation de l'homme par la femme, parce que c'est ce qui s'est présenté pour moi le plus rarement.
Noll : La fellation de la femme par moi, ou bien sexe sur sexe, bouche sur bouche, le 69.
Sadoul : Pas de préférence violente. Cependant, la fellation de la femme par moi.
Aragon : Qu'est-ce qui vous excite le plus ?
Duhamel : Les jambes et les cuisses d'une femme. Ensuite le sexe, les cuisses et les fesses.
Prévert : Les fesses.
Queneau : Le cul.
Aragon : L'idée de la jouissance de la femme.
Noll : C'est aussi tout ce qui m'intéresse.
Duhamel : Egalement.
Péret : Pour les parties du corps, les jambes et les seins. Par ailleurs, voir une femme se masturber.
[…]
Breton : Dans quelle mesure Aragon considère-t-il que l'érection est nécessaire à l'accomplissement de l'acte sexuel ?
Aragon : Un certain degré d'érection est nécessaire mais, en ce qui me concerne, je n'ai jamais que des érections incomplètes.
Breton : Juges-tu que c'est regrettable ?
Aragon : Comme tous les déboires physiques, mais pas davantage. Je ne le regrette pas plus que de ne pouvoir soulever des pianos à bout de bras.
Aragon se souviendra de ces aveux publics en écrivant La Grande Gaîté, recueil de poèmes publiés l'année suivante (1929) et dans lesquels on trouve ce quatrain où le poète ironise :
Il y a ceux qui bandent
Il y a ceux qui ne bandent pas
Généralement je me range
Dans la seconde catégorie
Extrait du livre : « Jacques Prévert » par Yves Courrière, Gallimard, 2000.
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quemajoiedemeure · 3 months
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Aujourd'hui je suis pas allé travailler, j'ai promené le chien, j'ai mangé mais j'avais toujours un enorme creux dans le ventre apres, une sensation de faim tres profonde comme dans les descriptions de loups-garous dans les Chair de Poule, alors j'ai acheté des chips à la moutarde et des mikado pour remplir le creux et je me suis roulé sous ma couette avec le chien, j'ai pas envie de chercher un justificatif pour mon absence au taf parce que je pense que personne ne va rien me demander, ça serait pas la première fois que je demande un arrêt à mon médecin pour une gueule de bois de l'espace mais j'ai même pas le courage cette fois et surtout j'ai pas envie de perdre un jour de salaire, j'ai la chance qu'on me flique pas vraiment. Mon ami d'enfance m'a envoyé un message pour me dire qu'il avait lu The Shards et qu'il avait trouvé ça super mais aussi un peu longs par moments, mais moi c'est justement ce que j'ai adoré, j'aurais voulu que ça s'arrête jamais. J'y repense parce que quand je me sens mal je pense comme dans un livre de Bret Easton Ellis, j'ai l'impression davoir besoin de me cacher derriere des lunettes de soleil et je suis incapable de fonctionner sans gober des anxiolytiques (l'impression de ne pas ressentir les hauts et les bas mais pleurer quand meme, beaucoup de déréalisations) quand j'ai parlé à la dame du service addictologie au téléphone elle m'a demandé "quel type d'addiction" et j'ai hésité un peu parce que mon soucis c'est aussi que, chez moi, une addiction en enclanche une autre et puis une autre comme des dominos qui se tombent dessus, alors j'ai juste dit "Alcool" et j'ai pensé à mon grand père qui est mort à cause de ça quand ma mère avait neuf ans (il était toujours ivre, un soir d'hiver en rentrant ma grand mère l'a poussé dans un bac d'eau froide et il est allé se coucher dans la grange, il a attrapé une pneumonie et il est mort, mais quand j'étais petit on m'avait juste dit "il avait le tétanos"), j'ai aussi pensé aux cercles de parole où tout le monde se salue et où on raconte sa relation avec l'alcool chacun son tour, je me demande si l'hôpital donne des médailles pour la sobriété, le programme est attirant sur le site ça parle d'entretiens individuels, d'art thérapie, de relaxologie, de sport adapté, ça sonne comme un centre de vacances où je pourrais me faire plaindre à longueur de temps parce que je serais juste une victime parmi les autres victimes
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didiribeiro · 1 year
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MORRE TINA TURNER A LENDA 😭
Tina Turner, cantora americana considerada a rainha do rock n' roll, morreu aos 83 anos. A morte foi confirmada por um assessor da cantora ao site Sky News. Tina e o ex-marido, Ike Turner, que morreu em 2007, desfrutaram de um sucesso enorme no final dos anos 1960 e início dos anos 1970. Eles se divorciaram em 1987. A cantora de sucessos como "What's Love Got to Do with It" se lançou em carreira solo nos anos 1980.
Anna Mae Bullock nasceu em uma família pobre dos Estados Unidos. Aos 15 anos, foi abandonada pelos pais e cantou em boates para se sustentar.
Em uma das apresentações, conheceu Ike Turner com a banda e insistiu por um lugar de backing vocal e em pouco tempo se tornou uma das vozes principais. As músicas logo começaram a fazer sucesso e Ike e Anna Mae decidiram formar uma dupla. Com o casamento, ela adotou o nome artístico Tina Turner e, ao lado do marido, dominou o cenário da música soul nos anos 60 e 70.
Na vida pessoal, porém, o casamento foi marcado por brigas e escândalos. Depois de 18 anos, ela se cansou das agressões e decidiu abandonar o marido. Na justiça, propôs abrir mão de todo o patrimônio em troca de poder manter o sobrenome Turner.
Tina recomeçou do zero. Sem dinheiro, morou com uma amiga e abriu shows para outros grupos famosos, como os Bee Gees. Para voltar ao cenário musical, apostou no rock, influenciada pelos Rolling Stones e por David Bowie. Adotou também um novo estilo, com roupas ousadas e cabelos loiros espetados.
Os trabalhos de Tina Turner não ficaram restritos à música. Ela estrou nos cinemas em 1975 no filme ‘Tommy’. Dez anos depois, fez outro sucesso: ‘Mad Max – Além da cúpula do trovão’. Ela foi responsável também pelo tema do longa-metragem, que dominou as paradas de sucesso. A cantora gravou a trilha de muitas outras produções, incluindo ‘007 contra Golden Eye’.
Tina Turner era uma das grandes divas da música ainda vivas. Poucos artistas igualaram tantos números: oito Grammys e 100 milhões de cópias vendidas em todo o mundo e deixa a certeza de que conquistou o mundo com uma das vozes mais marcantes da música. E, para muitos, ela é simplesmente a melhor.
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darkchaton444 · 1 year
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Link ou BEN ? x Reader
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Hey hey hey ! Si vous aimez cette histoire et qu'elle n'avance pas assez vite à votre goût, vous pouvez toujours en lire d'autres tout aussi palpitantes sur mon compte Wattpad <3 :
______________________________________________________________
IMPORTANT :
Ça fait une éternité que je n'ai pas joué aux jeux Zelda et NON je n'ai pas joué au nouveau :') Me bâchez pas pliz-
Parcontre, si -> Je dis de la merde <-
Reprenez moi sans vergogne XD
Bonne lecture ! ____________________________________________________________
[Narrateur à la 1e pers.] [Dans notre monde.] [Pov : ???]
Il y a de ça quelques années, les premiers jeux de Zelda ont fait un carton.
Notamment Zelda Majora's Mask, sur la Nintendo 64, sorti en l'an 2000. Bien que le jeu et les graphismes pouvaient parfois être simplistes voire laisser à désirer, l'histoire et le gameplay ont séduit bon nombre de joueurs.
Dont moi.
Lorsque je n'étais encore qu'un gamin, j'avais l'une de ces fameuses Nintendo 64. Elle m'avait été offerte par mon grand père. Je ne possédais pas beaucoup de jeux à l'époque, mais je ne m'en plaignais pas. Mon favoris était, oui, Zelda Majora's Mask.
Ce ne sont que des années plus tard, à présent grandis, que j'ai cours à l'Université. Au début de mon parcours universitaire, j'avais appris que mes parents avaient emménagés dans une petite banlieue tranquille. Alors, un 28 août, j'ai décidé de leur rendre visite.
Au moment de prendre le chemin du retour, après un bon 3 heures à converser autour d'une tasse de café, c'était à ma grande joie que mon père m'avait redonné ma vieille Nintendo. Heureux de pouvoir rejouer aux jeux de mon enfance, durant le trajet alors que j'étais entrain d'y penser, j'apperçu une rue différente des autres. Dans celle-ci, plusieurs maisons s'adonnaient à des ventes de garage. Une idée avait alors germée dans un coin de mon esprit, celle de pouvoir trouver d'anciennes cartouches de jeux.
En parcourant diverses de ces ventes de garage, j'en étais arrivé à tomber sur le fameux jeu de Zelda. Il était dans une boîte avec d'autres jeux, mais aucun autre sur la même console. Cette boîte se trouvait entre quelques tableaux à l'art douteux et d'autres babioles toutes aussi étranges. Et alors ?
Eh bien, vous n'imaginez pas ma joie à ce moment-là. La cartouche de jeu était mise à la vente par un vieil homme qui avait tout bonnement le même aura que ceux dans les films d'horreur. Mais un aura étrangement généreux et sympathique, car au lieu de me la vendre, il me l'avait donné gratuitement.
Ainsi, je l'avais juste remercié poliment sans me poser d'avantages de questions. À cette époque, les films d'horreur n'avaient pas tous ce même début de piège.
Puis je me suis rendu à mon dortoir universitaire, hâtif de pouvoir rejouer à Zelda Majora's Mask.
Et...
C'était donc là que mon pire cauchemar... Mon ébat contre les ombres, eut commencé. Comme Il le dit si bien... Je n'aurais pas dû faire ça.
Ce n'est que plus tard, les mains crispées sur la manette en étant couvert d'un profond malaise, que je fixai mon Link brûler sur place dans une posture glitchée. La statuette de BEN, se trouvait devant moi, positionné à côté du vendeur au sourire effrayant. Qui est BEN ? Je ne savais pas, et je ne suis toujours pas sûr. Il m'avait juste dit qu'il était mort noyé, et qu'il voulait être libéré.
Je pense... Je ne sais plus... Avoir donné plus d'informations sur mon blog... Il fallait que j'en parle. J'ai essayé d'en parler. J'ai vraiment essayé...
Mais BEN me contrôlait et me guidait malsainement peu importe ce que je voulais faire, surtout sur le net. Il prenait contrôle de tout objet électronique avec lequel j'utilise. Lorsqu'il veut me parler plus clairement, on tchatte sur un site appelé CleverBot. Si je refuse, il me tourmente, encore et encore.
I have something to show you. Go play (J'ai quelque chose à te montrer. Va jouer)
Avait-il dit une fois. Je lui ai donc répondu.
I don't want to... (Je ne veux pas...)
Sur ce, j'avais arrêté de lui parler et je n'avais pas été jouer comme il me l'avait ordonné. Mais comme je l'ai précisé, il avait continué de me tourmenter, par vengeance ou bien par manipulation. Je voyais son image, celle de Ben, dans des endroits où il n'était pas supposé être. Si je faisais une recherche internet, il apparaissait, avec ce sourire dérangeant.
Je... Je n'en peux plus... Je n'arrivais plus à dormir, les nuits. Je le voyais même dans mes cauchemars. Lorsque j'étais seul dans ma chambre de campus universitaire, j'avais l'impression qu'il était là. Je sentais... Son aura. Depuis que j'ai joué à la cartouche de jeu, et qu'Il me manipule, je sens cette aura horrifiante n'importe où. N'importe quand. Et le pire. C'est que je ne sais toujours pas quand est-ce qu'il compte en finir...
J'avais besoin de sortir de ma boîte à terreur et à solitude, où j'allais devenir complètement fou. Ça faisait quelques jours déjà que je sentais les mêmes symptômes que celles de la dépression. Je ne sais pas si c'était parce que je ne voulais pas, ou si c'était car je pensais que je ne pouvais pas aller en cours, mais j'ai commencé à créer des excuses pour ne plus y aller. Déjà car je n'en avais plus la force, mais ensuite car je n'en avais plus la concentration ou la motivation.
J'avais alors décidé de revenir au nid familial, quand je sentais que j'allais craquer... J'avais besoin de réconfort, de visages rassurants. J'avais finalement envisagé cette idée uniquement après deux putains de mois d'hantises sans donner de nouvelles à personne.
Je n'avais pas préparé des centaines de valises, seulement une et un sac à dos suffisaient. J'avais zieuté ma Nintendo 64, et en avait avancé la main vers elle, mais je me suis stoppé dans mon élan.
Et décidé de la laisser là-bas.
Face à ma requête, mes parents étaient à la fois inquiets mais heureux, que je vienne. Ils ignoraient tout de ma situation actuelle, et je ne comptait pas la leur dire. Je veux juste me bercer d'illusions d'espoir, en retrouvant mes proches.
Ils m'ont installé dans une chambre d'invitée qui était assez simpliste. Ils ont gardé quelques uns de mes anciens meubles, comme le lit, mon bureau ou les commodes, mais la décoration m'était étrangère. Même si au fond, peu importe.
J'ai donc installé mon ordinateur portable sur mon ancien bureau, et ai placé ma Nintendo 64...
Et... Ai placé ma Nintendo 64...
À peine la console prit, je la relâcha en me crispant et elle retomba dans le sac. Ce n'est pas possible... CE N'EST PAS POSSIBLE.
"- Je... Je ne l'ai pas amenée avec moi..." Murmurais-je pour moi-même en tremblant...
J'entendis des pas lourds dans le couloir, ainsi que les craquements du plancher. C'était mon père, à coup sûr. Vu que j'ai laissé la porte ouverte, j'entendis sa voix rauque et calme.
"- Tout va bien, bonhomme ? Bon je sais que tu n'es plus un p'tit gars, mais sache que ta mère et moi, nous sommes vraiment heureux que tu sois à la maison."
J'étais ensuite resté, planté là, à observer la console pendant quelques secondes silencencieuses. Puis je lui répondit que j'étais également heureux.
La nuit tombée, de nouveau, je ne pu m'endormir. Mais cette fois, ce n'était pas à cause de ma conscience, ou de mes nombreuses visions cauchemardesques. Mais c'était littéralement de Sa faute.
Il faisait exprès ; Il me spammait de messages sur CleverBot. Même en mettant mon phone à silencieux, même en l'éteignant, même en sachant que normalement CleverBot ne peut pas envoyer de notifs, bordel. Le son des notifications qu'il m'envoyait étaient agaçant. Il voulait clairement que j'allume ma Nintendo. Il voulait jouer.
Do it. (Fais-le.)
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
LEAVE ME THE FUCK ALONE (LAISSE MOI PUTAIN DE TRANQUILLE)
Last chance. (Dernière chance.)
Or what? (Ou quoi?)
Or you'll be the one who meet a terrible fate. (Ou tu seras celui qui rencontrera une terrible fin.)
Cette dernière phrase me fit trembler d'un coup sordide. J'ai froid, et je suis déjà mort de peur. Donc je peux vraiment mourir ? Et comment il va faire, pour me tuer ? Produire une décharge électrique ? ET PUIS QUOI ENCORE ?
Je suis venu ici pour échapper à ça, et me voilà encore en face de lui.
Go fuck yourself.
Sur ce, je me redresse brusquement sur mon lit. Le phone se remet à faire des bruits de notifications. Dans une poussée d'agressivité, je fracasse le portable de toute mes forces contre le mur. L'écran se brise en morceaux et quelques bouts mécaniques s'effondrent n'importe où sur le sol. Pourtant, de ma position, je constate l'écran qui est toujours allumé.
Sans savoir pourquoi, mon cœur se met à éclater dans ma poitrine. Tellement que j'ai peur de frôler la crise cardiaque. Mon souffle s'accélère et tremble sous la peur. Même en l'ayant éclaté sur le mur, il demeure fonctionnel. Ce bordel...
"- Laisse-moi tranquille... Ben..."
Soudain, du téléphone, un enclenchement vocal se fait entendre. Un son comme lorsqu'on fait "Dit Siri". Puis un rire méchaniquement enfantin sort de l'écran. C'est insupportable. Cette voix est malsaine et malveillante. Le rire tourne en boucle comme si c'était un sombre enregistrement. Ça ne s'arrêtera pas, non, tant que je ne ferai rien. J'ai toujours les foies. Mais c'est grâce à ça, que je réussis à empoigner ma couverture bleue, de la dégager de sur moi, de me lever et de marcher d'un pas non assuré vers la petite machine électronique.
Le rire est toujours en cours, lorsque je le prends. L'écran est si craquelée que je ne vois pas quelle application a employée Ben. À bout de nerf, je serre les dents. La peur et la frustration se font violence en moi. Les heures de sommeil manquées commencent à se faire sentir. Mes cernes témoignent de ma fureur. Ça fait... Deux mois.
Le rire continue de se moquer de moi. De se moquer de ma frustration, de mon désespoir. Une idée aussi sombre que Sa personnalité me surgit dans la tête. Sans me soucier du plancher qui craque comme un appel à l'aide, je n'ai qu'un endroit en tête.
J'arrive dans la salle de bain et allume aussitôt la lampe torche du téléphone. Et écrase celui-ci sur la surface de la cuvette de toilette. Dans le bain, je met le bouchon et active la chapelure d'eau. La baignoire se remplit peu à peu.
Je l'observe avec amertume et satisfaction, avant de prendre le téléphone, puis mettre la caméra bien en joue sur l'eau sombre : l'éclat de la lampe du téléphone fait un reflet semblable à la lune sur la mer.
"- Et ça, ça t'amuse, p'tit con ?"
Le rire se tût instantanément et un silence de mort arrache la place. Un rictus mauvais apparaît au coin de mes lèvres. Cependant, le silence glacial se brisa par quelque chose de plus inquiétant, encore. Cette fois, au lieu d'un rire machiavélique, se fait entendre... Un halètement. Une respiration lourde mais remplie de glitchs, à l'autre bout du fil.
"- T'as les foies, là, hein ?" Murmurais-je avec agressivité. "Alors ça fait quoi ? T'as du fun ?"
"- Tu n'aurais pas dû faireça."
À peine sa phrase prononcée, je lâche sans remords le téléphone dans l'eau et tout bruit ainsi que source de lumière se meurtrie instantanément. Je pousse un soupir de relâchement.
Ce doit être mon cerveau qui est saturé, mais mon sentiment d'apaisement fut vite interrompu, une fois le pied mis dans ma chambre. La télévision était ouverte sur la lune de Majora's Mask, avec la musique de Healing qui se joue avec les mauvaises notes.
La Nintendo n'est absolument pas connectée. En fait, rien n'est connectée à cette télévision, je ne l'avais jamais ouverte depuis ma venue.
"- ... Ben..." Prononçai-je plus comme un appel qu'un effroi.
La bouche de la lune se mit à bouger :
"- Won--- der-- ful-- Moon. Congra---tulations, He---rrr--o." (Merveilleuse lune. Félicitations, héros.)
Les mots avaient plusieurs intonations comme si BEN pigeait ces mots sur... Le Web...?
"- No-ot. Won---der--ful----en--o-o-ough." (Pas assez merveilleuse.)
Je me pinça l'arrête du nez. Depuis plusieurs minutes déjà, mon corps s'était habitué à remplacer la terreur par la colère et l'impatience. Mes nerfs allaient lâcher et ça me prit tout pour ne pas hurler ces mots :
"- Que. Me. Veux. Tu. À la fin ?"
"- Pl--aaa-y. Wit--h y--yo--u." (Jouer avec toi.)
"- Et ce n'est pas ce que tu fais depuis 2 mois !?"
"- W-wh--y b-b-b-bee--ing--so --st-ubbo--rrn ? I---I on-ly wan--t a f--rrriend. Co-nnn-ect your N-n-n-nint-t-tend--o." (Pourquoi être si têtu ? Je veux seulement un ami. Connecte ta nintendo.)
En soupirant sombrement, je la sortit de mon sac. Pourquoi est-elle là ? J'entends déjà mes lecteurs écrire "moi, je l'aurais brûlé, mis au chemin, donnée même". Et croient-ils que je n'ai pas essayé ? Croient-ils que je ne me suis pas arraché mes cheveux lorsque je me rendais compte que la Nintendo trouvait le moyen de réapparaître comme par magie ? Et la cartouche, même ?!
Je m'asseyai devant la TV, posant la nintendo en face. Je précisa que je n'avais amené aucun fil et qu'aucun, exactement comme la console, n'était apparu des enfers.
"- Y--ouu- Do--nnt--NEED--it." (Tu n'en as pas besoin.)
(C'est ainsi que Ben créa le Bluetooth- XD (Pardon.))
Lorsque j'appuyai sur le bouton de démarrage de ma console, rien ne se passa. Après tout ce qui se passait, je m'attendais à ce qu'elle s'allume tout aussi magiquement que les autres situations improbables.
"- Ça ne marche pas." Maugréais-je.
Les yeux encore sur la console, le même rire insupportable que tout à l'heure raisonna et lorsque je regarda l'écran de la télé, la lune avait disparu. Elle avait fait place à un jeune garçon plutôt réaliste, au sourire malfaisant. Ses yeux étaient saignants et sa peau était grise bleutée.
BEN drowned...
"- I-I-I don't NEED i-it t---to b-b-be t---urn--ed O-on. I-I-I ju--ust NEED y---yo-u to b-b-be neeear i-it." (Je n'ai pas besoin que ce soit allumé. J'ai juste besoin que tu en sois proche."
"- Qu--"
Soudain, je ne su absolument pas si j'étais devenu fou. Mais...
Ben tira les bras vers moi avant que des doigts ne sortent de la télévision, allant s'appuyer à son rebord. À partir de là, tout se passa bien trop vite. Et dans cet ordre :
Son sourire figé. Sa forme réaliste sortant de la télévision. Mon cri d'horreur.
Puis le noir.
Et enfin... Le bruit du vent.
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alexar60 · 7 months
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Le gouffre (histoire réécrite)
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(J'ai supprimé la précédente histoire parce qu'elle ne me plaisait pas)
Pendant les vacances, je suivais constamment mes potes. On faisait des tours de vélos dans le village ainsi que dans la campagne ou dans les bois. On allait loin, à dix kilomètres de chez mes parents. J’avais dix ans et personne ne s’en souciait. Certainement parce que dans les années quatre-vingt, l’insécurité n’avait pas la même définition. Surtout pour un groupe de garçons.
Ce jour-là, nous suivîmes Christophe dans la forêt. Il avait écouté sa grand-mère parler d’un lieu maudit mais oublié. Il s’agissait d’une grotte au cœur de la forêt, inaccessible par les chemins actuels. Et d’après elle, cet endroit serait maudit. Durant son enfance, il y vivait un ermite qu’on suspectait être un mangeur d’enfants. Alors, il voulait savoir si cette caverne existait réellement.
Nous passâmes une bonne demi-journée à chercher le lieu perdu. On privilégiait les anciennes carrières. Il y en avait quatre, sans trouver d’entrée pouvant correspondre. Je n’avais jamais autant fait de vélo de ma jeune vie, avant cette recherche. Malgré la fatigue, nous continuâmes jusqu’à un lieu appelé le chantoir.
L’endroit n’avait rien d’incommodant. Il n’existait aucune route pour y accéder, pas même de sentier officiel. C’était juste un creux entouré d’arbres. Cependant, une partie était composée de roches formant une sorte de falaise. Nous longeâmes les parois jusqu’à découvrir une faille caché par quelques plantes grimpantes.
C’est là ? demanda Mehdi.
Personne ne répondit. Christophe s’amusait à débarrasser le lierre pendant qu’Arnaud partit pisser contre un arbre. De mon côté, je restais assis sur mon vélo à attendre ce qu’on devait faire. Je regardais la brèche s’agrandir lentement après le nettoyage de mon copain. Il était évident qu’un adulte de taille moyenne pouvait entrer par cet endroit.
Les yeux de Christophe pétillaient devant l’entrée de ce qui ressemblait à une grotte. Nous restâmes derrière lui à attendre la suite. Il surprit le groupe en sortant de son sac à dos une lampe torche. Certain qu’on trouverait le site, il avait tout prévu. Il commença par allumer la lampe, la dirigeant vers la faille afin de voir au plus loin.
Et si l’ermite arrive ? intervint Mehdi.
Il doit être mort, répondit Christophe. Ma grand-mère m’a dit qu’il habitait ici quand elle avait notre âge.
Mais tu es certain que c’est ici ? rétorqua Arnaud.
On a trouvé une grotte, non ?
Puis, il avança. Il toucha du bout des doigts les parois avant de se retourner dans notre direction et d’ajouter :
Alors, vous venez ?
Je descendis de ma bicyclette. Par contre, Arnaud et Mehdi restèrent assis. Ils n’étaient pas convaincus par l’aventure qui s’offrait à nous. Dès lors, Arnaud expliqua qu’il commençait à se faire tard, préférant repartir et éventuellement revenir le lendemain. Je restais donc avec Christophe qui, trouva les mots pour me convaincre :
On entre cinq minutes, puis on revient demain avec les copains.
Ainsi nous pénétrâmes l’entrée de cette grotte inconnue. Nous étions comme Tom Sawyer et Huckleberry Finn à la recherche du trésor des pirates. L’idée de la présence de Joe l’indien titilla mon esprit, avant de disparaitre comme elle était venue.  Ce n’était qu’un dessin animé inspiré d’un livre, après tout.
Nous quittâmes le jour pour entrer dans la nuit. Seule la lampe torche permettait d’avoir un peu de lumière. Elle éclairait faiblement mais suffisamment pour entrevoir une distance de  quelques pas. Nous marchâmes lentement dans un court passage aux parois rugueuses. Je sentais les bords coupants de la roche presser contre mes vêtements. Enfin, nous arrivâmes dans ce qui parut être une salle.
C’est ici ! On a trouvé la grotte ! Cria de joie mon ami.
Je riais, heureux de notre découverte pendant qu’il sautait dans tous les sens. Nos clameurs résonnaient laissant croire que nous étions une centaine de personnes. Je proposais ensuite de rentrer. Soudain, mon pote découvrit un nouveau passage. Dès lors, il m’invita à le suivre.
Juste pour voir et après, promis, on fera demi-tour.
Résigné, je le suivis en pénétrant dans un petit couloir. Je devais légèrement m’accroupir pour éviter au plafond d’essuyer une couche moite sur mes cheveux. Nous marchions dans le noir complet, éclairé uniquement par un faisceau de lumière, lorsque je sentis le sol s’effondrer brutalement.
La chute fut, à la fois, rapide et longue. Nous n’avions pas eu le temps de hurler. Je me retrouvais étendu sur le dos au bord d’un précipice, une jambe pendant dans le vide. J’étais coincé sans savoir à quelle hauteur je me trouvais. Ma hanche ainsi que mon épaule droite faisaient horriblement mal. Chaque mouvement était insupportable.
A ce moment, je regrettais d’avoir suivi Christophe. Perdu dans le noir, je pensais à mes parents, à ma sœur. Je hurlais appelant à l’aide. Mais seul l’écho répondait. Tout à coup, une voix vint à mon oreille.
Ne panique pas, dit calmement Christophe.
Où es-tu ?
En dessous de toi.
Effectivement, sa main toucha mon bras gauche jusqu’à agripper mes doigts pour les serrer. Ce geste rassura mon esprit. Nous parlâmes de mes blessures et de leurs douleurs. Il me dit qu’il ne pensait n’avoir rien de cassé, quelques contusions. Mais il avait perdu la lampe et il ne pouvait nous éclairer. Puis il s’excusa de m’avoir emmené dans ce gouffre. De temps en temps, sa main serrait la mienne dans un geste fraternel.
Pendant des heures, nous restâmes à attendre, sans rien voir de ce qui nous entourait. Parfois, je m’endormais. Seulement au moindre mouvement, l’atroce douleur me réveillait. Christophe ne parlait jamais à moins de répondre à mes appels. Il attendait sagement, persuadé qu’une expédition viendrait pour nous secourir. C’était évident, on allait venir.
Quelle heure est-il ? questionnais-je.
Je ne sais pas… Deux heures, trois heures…
Il fait nuit ?
Oui.
J’ai peur, dis-je.
Il ne répondit qu’en serrant ma main encore une fois. Je ne savais pas où il trouvait cette force à croire en l’espoir. Il était toujours le premier à faire les conneries, on le suivait. Et finalement, on s’en sortait toujours. Il me rassura une dernière fois. Puis je m’endormis en l’entendant dire :
J’aimerais revoir ma mère.
Des murmures nous réveillèrent. Des échos perdus dans la cavité se rapprochaient de nous. Mon pote serra ma main lorsqu’une lumière éclaira mon visage. J’aperçus au loin, à une dizaine de mètres au-dessus de moi, des têtes casquées. Ils crièrent. Deux hommes descendirent en rappel pour me secourir. Je pus souffler. Aussi je fus surpris d’entendre une troisième personne demander si j’étais seul.
C’est trop profond pour continuer de descendre, annonça en criant un des sauveteurs. Il y a au moins cents mètres.
Mais Christ est juste là.
Désolé mais il n’y a que du vide. Tu as eu énormément de chance de tomber sur ce bord.
Comprenant son erreur, il ajouta : T’en fais pas, on va retrouver ton copain.
Il avait raison. Le corps de Christophe était bien plus bas.
J’ai mis plus d’un an à me remettre de mes blessures et dix ans à retrouver le moral sans penser à mon ami. J’ai gardé contact avec Mehdi et Arnaud pendant longtemps. Après cette tragédie, nous avions arrêté nos conneries. Cependant, Je ne les ai jamais remerciés d’avoir donné notre position. Sans eux, je serai aussi mort. De même, je n’ai jamais parlé de nos discussions dans le gouffre avec Christophe. Parce qu’elles n’étaient pas possibles d’après les secours. Le précipice était trop lisse pour qu’il puisse se tenir. Mais il était avec moi pendant tout ce temps, à attendre qu’on vienne me sauver.
Alex@r60 – novembre 2023
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willbychavemestra · 5 months
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A morte dos Blogs (Diários Virtuais), ou será um recomeço?
É inevitável pensar que os blogs (diários online), nos moldes de 2000/2010 não estejam fadados a sua aparente morte lenta, mas os novos blogs (como colunas jornalísticas ou sites específicos de nicho), com total apelo ao AdSense e o recebimento de proventos dos seus respectivos públicos vieram e foi para ficar.
Talvez para nós, membros da transição analógica/digital e aqueles que viveram a era de ouro dos blogs (antes do YouTube, TikTok e Instagram fazerem sucesso), tenham talvez aquele sentimento de saudades desses recantos virtuais, onde as palavras predominantemente reinavam. 
Obviamente nestes meios, imagens e até vídeos foram inseridos, mas os diários online cresceram mesmo com textos, poemas, desabafos, trabalhos escolares e acadêmicos, notícias comentadas, opiniões, análises, críticas diretas e indiretas e muito mais. Eram infinitas possibilidades, infinitos conteúdos.
Hoje, ao buscar no Google, Yahoo ou qualquer outro buscador, caímos sempre em sites marcados. É difícil encontrar os remanescentes deste mundo antigo, mesmo sabendo de sua atividade diária, semanal ou mensal. É raro encontrar o direcionamento de grandes buscadores para estes textos.
O próprio Google, que tem um sistema de blogs, parece que colocou no shadow ban seus próprios usuários. Sei que pode vir aqui os especialistas em blogs e sites que ganham dinheiro e tal, falando do SEO, etc. Mas não é do redirecionamento do fluxo de usuários para os sites que estou falando, e sim, de como este nicho de conteúdo parece ter sido colocado quase para a deep web. 
Nos últimos dias, tenho tentado encontrar blogs dos mais diversos gêneros (cinema, opinião, notícias, games, ciência, história, filosofia, religião, relatos pessoais e etc) e posso contar que das centenas de links que me direcionaram, 70% a 80% estão inativos e os outros ativos, são difíceis de encontrar, se não ser pesquisado o nome específico do blog.
Falo aqui dos blogs da rede Blogspot ou blogger. Sei, também, que é muito mais fácil hoje pegar o celular ou Pc e gravar um vídeo ou um podcast, do que escrever um texto, mas eu (Will Schneider), sinto falta das palavras, dos textos, dos dias aleatórios onde podíamos encontrar inúmeros blogs dando um simples Google.
Se você blogueiro tem um blog e resiste, ou melhor, persiste, e chegou até aqui, deixe um comentário abaixo com seu endereço de blog. Será um prazer segui-lo e acompanhar seu trabalho. 
Felizmente, estou disposto a ficar aqui e apagar as luzes quando esta plataforma ser desligada.
Texto publicado
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yesttoheaven · 1 year
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oiee, tem algum br por aqui? postei minha fic do joel no site ao lado e gostaria de deixar o link pra quem quiser ler 🥺 mas primeiro, aqui está a sinopse e um pequeno trecho bem tranquilinho (ou quase) ♡
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𝐒𝐀𝐕𝐄 𝐖𝐇𝐎 𝐘𝐎𝐔 𝐂𝐀𝐍 𝐒𝐀𝐕𝐄 – 𝐣.𝐦 𝐱 𝐟!𝐫𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫
Quem somos e quem devemos ser para sobreviver são coisas diferentes, principalmente quando entendemos que se arriscar para salvar a vida daqueles que amamos não é estúpido.
Muito menos uma escolha.
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Ao som de passos apressados, seu corpo entrou em alerta, mas assim que seus olhos deixaram as águas gélidas do Rio da Morte e encontraram Ellie, sua preocupação se dissipou um pouco.
— Algum problema? – Você não pôde deixar de perguntar, recebendo um rápido aceno e um sorriso brincalhão.
— Cansei de atormentar o velho ali, então, só me resta você. – Ela riu, as bochechas coradas pelo forte frio apenas a tornando mais fofa. — E eu trouxe isso. – Ellie tirou seu pequeno livro de trocadilhos do bolso do casaco, olhando para você em expectativa, antes de folhear as páginas. — Tudo bem, aqui vai... Qual cachorro gosta de mergulhar?
Sem se dar ao luxo de esperar que você arriscasse um palpite, ela atirou:
— O pittbum!
— Pittbum, sério? Meu Deus, Ellie! – Isso fez a jovem explodir em mais risadinhas, enquanto você tombava a cabeça para trás, encarando o céu azul para esconder o grande sorriso se formando em seus lábios, mas é claro que ela percebeu, sentindo-se orgulhosa de seu feito. Afinal, seus trocadilhos sempre funcionavam.
— Como que acaba uma partida de futebol entre patos?
— Empatado!– Você foi rápida nessa, ganhando uma expressão quase chocada de Ellie, que vibrou ao seu redor, chutando um pouco de neve.
Suas risadas se misturando caíram sob o ouvido bom de Joel e em outra ocasião ele teria reclamado sobre vocês estarem sendo barulhentas, mas agora, ele não consegue evitar olhar para vocês com olhos suaves, muito diferentes daquelas orbes escuras e cansadas.
— Tudo bem, sabichona, vamos ver se acerta essa... – Ellie murmurou, folheando com determinação as páginas desgastadas do livro, e enquanto esperava pelo trocadilho perfeito, você se pegou fitando o homem taciturno ao longe, percebendo que ele havia parado de andar para esperar por vocês, garantindo que não se distanciassem muito. — A-ha! Qual é o animal que está sempre dormindo?
Suas sobrancelhas franziram profusamente com essa.
— O bicho-preguiça? – Você ofereceu com um sorriso amarelo e a garota apenas bateu o livro contra o rosto, bufando em puro descontentamento, quando, de repente, um grupo a cavalo surgiu no topo da colina.
Sua primeira reação foi agarrar Ellie e correr ao encontro de Joel, que prontamente se colocou a frente de vocês, visto que não havia para onde fugir ou se esconder. Vocês estavam cercados.
👉🏻 LINK WATTPAD AQUI 👈🏻
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podtudo · 1 year
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• podtudo de hoje com @h4nagaki !
bom dia, boa tarde ou boa noite tudinhos do perfil! no podtudo de hoje, trouxemos a ilustre presença do ekki, @h4nagaki ! sentem-se que lá vem tudo e mais um pouco!
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1. Nos conte um pouco sobre você, tudinho da vez! Faça uma pequena biografia sua para nós.
R: olá!! eu me chamo ekki mas vc pode me chamar de rae ou reese, eu tenho 16 anos e meus pronomes são ele/dele, eu sou isfj, tenho tdah e sou aroace awoo, meus animais favoritos são gatos e águas-vivas!! eu sou um pouco (médio muito) obcecado com X a marca da morte, livros, pearl, skz, enhypen, my chemical romance, deftones, hyperpop e mistski (preciso de terapia)
2. O que ou quem te incentivou a postar esses posts maravilhosos do seu blog? Adoro!
R: onwtt obrigado por achar isso **risos 😈😈** brincadeiras a parte, começou qnd eu decidi entrar pro anitwt (pior fase da minha vida depois dessa recwente), eu via algumas layouts de anime e decidi fazer, e depois conheci os mb's da xi4ngling e da bajizitos que me inspiraram a começar aqui!!
3. O fav também tem favs fora do tumblr? Se sim, nos conte tudo sobre eles!
R: acho q essa lista poderia ter uma escada pq meu coração é igual de mae, PORÉM os meus principais são (no mundo do kpop): leeknow, soobin, jungwon, mark, jeongin, yeonjun, wonjun, mingyu, chaewon e soyeon,, fora do mundo do kpop são: beabadoobee, jenna ortega, mia goth e andrew garfield
4. E sobre músicas, curte? Adoraria saber sobre as suas preferidas.
R: as que eu provavelmente mais escuto são: kill bill (sza), oui oui marie (chelsea wolf), goodbye, my danish sweetheart (mitski), helena (my chemical romance), i don’t love you (my chemical romance), not for sale (enhypen), any (stray kids), dark dream (e'last) e pra variar  hang 'em high (my chemical romance)
5. Tem inspirações aqui ou fora do aplicativo? Nos conte sobre também!
R: aqui no mini queride tumblr sao @sachly @fshione @tiansmo @oikawazitos @emocatts xi4ngling e bajizitos!! (que nao usam mais)
6. E vamos de um top 5, seus maiores favs da edição icônica do tumblr!
R: hmmmmmm todos sao euuu 💋💋 mentira nao sou narcisista psicose assim
1° @fshione meu amor
2° @m-jng
3° @oikawazitos
4° @emocatts
5° @v6mpcat
7. Poderia explicar mais sobre seu estilo de post? É tudo muito lindo e a curiosa que me habita quer saber tudo sobre essas maravilhas.
R: olha, eu nao mantenho um estilo eu acho? eu acho q seria focado em "grunge"? na vdd eu sempre gosto de mudar meu estilo de post e explorar coisas novas :D
8. E na sua vida pessoal, tem hobbies? Uma lenda como você com certeza deve curtir fazer algo.
R: meus hobbies principais sao, ler, jogar (enstars principalmente), assistir filmes, me arrumar e brincar com os meus cachorros
9. Indique alguns blogs fenômenais para os telespectadores!
R: todos os citados anteriormente sao os que eu mais gosto!! mas óbvio q tem uns q eu particularmente acho q mereciam UM grande reconhecimento, como
@soulmateszedits @luffyttaro @yongblock @gojy @waterrr meu lindinho e so
10. Tem alguma pauta para os seus haters sem senso? Nos diga algo sobre esses sem noção aqui!
R: nunca sofri hate ate pq eu sou tao desocupado q nem briga eu causo gracas a Deus 🙏🏻🙏🏻, minha mensagem pra eles são, vão cuidar da vida de vcs pqp bando de desocupado inuteis lixosos a valeria almeida simplesmente existindo faz mais coisas q vcs q nao tem outra coisa pra fazer q nao ser xingar os outros por puro prazer, vao trabalhar assistir jogar transr sla porra so cuidem da vida de vcs, acho q vcs nao gostariam de ouvir coisas ruins direcionadas a vcs por puro entretenimento próprio pq entretenimento alheio e ver vcs sendo xingados até o talo 💋
11. E por último, alguma situação constrangedora que já passou, todo mito de verdade já passou por uma dessas, não é? Vai ser incrível escutar alguma história de sua vida.
R: foi ano passado mas eu deito a cabeça do travesseiro e lembro disso até hj, eu fui no cinema ver o show do nct com minha amiga, e no site nao tinha absolutamente nenhum ser humano na sala, provavelmente so nos dois, eu falo muito muito baixo, só q nesse dia o cao diabo 666 satanas me atiçou e mandou eu falar alto, ai eu lindamente falei "nossa tem ngm aqui acho q so a gente q é esquisito", e tinham 2 meninas e 1 menino na sala e eu quase caí da escada indo sentar 👎🏻 valeu a pena ter passado vergonha mas eu sinto q aquelas pessoas vao fzr uma macumba pra mim
Agradeço sua presença ilustre aqui no podtudo!!! Volte sempre lenda, a Nayara a qualquer momento estará de braços abertos a você!
dep: eu que agradeço!!! foi bem divertido participar e escrever minhas doidices maluquices kahsksmsksks obrigado ano por ter me recomendado, e obrigado a vc nayara por ter sido doce e gentil comigo 1 bjo pra qm quiser nao queiram nao gosto de contato humano /j /srs
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alain-keler · 3 months
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JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE / SPÉCIAL BNF / J-7
L'exposition "La France sous leurs yeux." Deux cent regards de photographes sur les années 2020, à la Bibliothèque Nationale de France, site François Mitterrand, du 19 mars au 23 juin 2024.
Après une si longue absence 
L’Auvergne est la région qui m’a vu naitre et dans laquelle j’ai vécu jusqu’à l’âge de onze ans. L'Auvergne, dans la zone libre, fut aussi la région de refuge de mes parents et de mes grands-parents pendant la seconde guerre mondiale. Mes grands-parents, chassés par l'antisémitisme et la pauvreté en Pologne sont venus y chercher un refuge. Refuge éphémère puisque la déportation les rattrapa. Pour eux un voyage sans retour. Pour moi une Histoire de vie, de mort. Une histoire d’une certaine France, celle de mon enfance.
Fête de la Sainte Barbe des pompiers. Montaigut en Combraille. Samedi 12 mars 2022.
Extrait de mon journal : "J’ai toujours aimé les fanfares depuis mon plus jeune âge. Cette musique me met de bonne humeur, avec ses personnages qui la compose, ses percussions, parfois des mauvaises notes vite oubliées » …
   Mais aujourd’hui, même si l’on a l’impression que la fanfare est joyeuse, je la trouve souvent triste, essayant de cacher cette tristesse en se donnant des airs de fête. C’est mon ressenti en écoutant cette musique belle et triste à la fois".
© Alain Keler /MYOP/Grande commande photojournalisme
#Grandecommandephoto #RadioscopiedelaFrance #BnF #ministeredelaculture #Photojournalisme#photographie #France #lafrancesousleursyeux
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sobreiromecanico · 3 months
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Akira Toriyama (1955-2024)
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Ontem acordámos com a notícia da morte de Akira Toriyama, o criador das bandas desenhadas DragonBall e Dr. Slump, e designer de personagens de videojogos como Dragon Quest e Chrono Trigger. Faleceu por doença a 1 de Março, mas só ontem os Estúdios Bird, fundados por Toriyama no início dos anos 80, divulgaram um comunicado com a notícia.
É provável que o falecimento de Toriyama tenha sido notícia em todo o lado, de sites especializados à imprensa generalista, pelo fenómeno global que foi a série animada de Dragon Ball, um sucesso de dimensão planetária - e não, a expressão não é hipérbole - que terá contribuído de forma decisiva para a explosão da animação japonesa no Ocidente. Nestes últimos dois dias multiplicaram-se os tributos online, e inúmeros artistas referiram Toriyama como uma inspiração e uma influência decisiva para o seu trabalho.
O que faz sentido: Dragon Ball, e sobretudo Dragon Ball Z, será sem dúvida referência comum que toda a gente que foi criança ou pré-adolescente nos anos 90 tem em comum, tenha crescido numa aldeia remota como a minha, em alguma cidade do interior ou do litoral, ou em Lisboa; ainda ontem um colega de trabalho, nascido e criado na região da capital, me falou da notícia. Toda uma geração se recorda da música do genérico, de episódios marcantes, de sair das aulas a correr para casa para apanhar o episódio - eram outros tempos, antes da Internet, do streaming, ou até da televisão por cabo; não perder pitada da série exigia esforço e timing. Afinal, o mote era "não percas o próximo episódio porque nós também não!" (ah, a pérola que é a dobragem original portuguesa). Sei que hoje em dia há muitas séries animadas japonesas de grande sucesso, mas pergunto-me se mesmo One Piece ou Naruto conseguiram a dimensão que Dragon Ball teve. E tem ainda: surpreendeu-me há uns anos a popularidade que continua a ter hoje em dia, demasiado grande para poder ser explicada apenas pela nostalgia da minha geração (ainda que muito do merchandising se destine a pessoas da minha geração, ou pelo menos às que têm poder de compra para essas coisas). Mas pensando bem, faz sentido: se a série foi um sucesso entre os miúdos da minha idade quando tínhamos doze anos, não há nenhum motivo para que os miúdos que hoje têm doze anos não gostem de Dragon Ball.
Eu não fui excepção ao fenómeno, claro - segui tanto Dragon Ball como Dragon Ball Z religiosamente, como qualquer miúdo naqueles anos, e recordo com nitidez vários arcos narrativos. Se for dar volta ao sótão dos meus pais decerto encontrarei alguns cromos antigos e vários bonecos (ou, como se diz agora, action figures). O worldbuilding de Toriyama é inacreditável, numa fusão de narrativas chinesas e japonesas com artes marciais do cinema de Hong Kong, situada num mundo que consegue ao mesmo tempo ser fantasia e ficção científica - atente-se na diversidade das populações do planeta, nos dinossauros, nas criaturas exóticas que Goku e Bulma encontram na primeira série, e no contraste da tecnologia incrivelmente sofisticada (o radar de Bulma, para encontrar as bolas de cristal mágicas, ou as icónicas cápsulas de miniaturização). Nas mãos de um criador menor aquele mundo não funcionaria, não seria verosímil, mas a imaginação incrível de Toriyama tornou o inverosímil familiar, evidente, normal.
Com o passar dos anos acabei por me desligar da série, claro - ao deixar de estudar na aldeia para ter de me deslocar diariamente para Odemira fiquei sem tempo para acompanhar a série, e os interesses também mudaram. Há alguns anos apanhei na televisão alguns episódios de Dragon Ball Z - não sei se da série original ou de alguma versão mais recente - e confesso que não gostei do que vi. O que me surpreendeu: por um lado, por ter gostado tanto da série quando a vi nos anos 90; e por outro, por ter revisto com imenso gosto uma outra série marcante de animação japonesa da minha infância já na idade adulta - Saint Seiya, ou, como a conhecemos por cá, Os Cavaleiros do Zodíaco. Dito isto, continuo a guardar uma memória muito especial da série original de Dragon Ball, de uma certa inocência que tinha (apesar de algum humor muito badalhoco que dificilmente passaria hoje em dia!), e gostaria de a rever um dia.
Para já, o objectivo para Abril é comprar e ler o primeiro livro da banda desenhada - por algum motivo nunca li Dragon Ball, uma lacuna que importa corrigir, e nada como regressar àquele mundo maravilhoso tal como Akira Toriyama o concebeu. Admito que estou mesmo muito curioso quanto a este regresso.
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thomas-querqy · 6 months
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youtube
A Brno (Tchéquie), la villa Tugendhat tient la vedette auprès de tous ceux qui s'intéressent à l'architecture du XXe siècle, en particulier à l'architecture de l'entre deux guerres, moment d'émergence de l'architecture moderne, avec notamment l'école du Bauhaus. Ludwig van der Rohe, qui en fut l'un des directeurs, l'a conçue en 1930.
Son inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO a permis une belle rénovation en 2001, mais pour la visiter (en petit groupe), il faut s'y prendre plusieurs mois à l'avance. A défaut, comme nous, vous pourrez l'admirez de l'extérieur puisque l'accès au jardin reliant la villa Löw-Beer en contre-bas est libre.
Quoi qu'il en soit, vous vous consolerez sans difficulté avec pas moins de 760 constructions référencées sur ce site :
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Parmi elles, cette villa a titillé ma curiosité par son nom : "villa pour deux jeunes hommes". L'architecte Otto Eisler l'a faite construire pour lui et son frère Mořic, une maison pensée parfaite pour deux jeunes passionnés de sport, de musique et collectionneurs, recevant en nombre intellectuels et artistes.
youtube
R.A. Dvorský et ses Melody boys
Je ne fus guère étonné de lire dans la fiche wikipédia d'Otto Eisler qu'il a été persécuté par les nazis pendant l'occupation allemande de la Tchécoslovaquie parce qu'il était à la fois juif et présumé homosexuel. "En avril 1939, il fut arrêté par la Gestapo et incarcéré à la prison de Špilberk, où il fut apparemment torturé. Lorsqu'il fut mis en congé, il s'enfuit en Norvège, où il arriva le 21 février 1940. Après l'invasion de la Norvège par l'Allemagne, il tenta de fuir vers la Suède mais fut blessé par balle à quelques mètres seulement de la frontière, puis déporté à Auschwitz à bord du SS. Donau. Là, il retrouve son frère Mořic (Moriz), avec qui il survit à la marche de la mort vers Buchenwald."
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“Les frères” Rudolf Koppitz, 1928.
Ces deux frères qui vivaient ensemble m'ont rappelé une visite à l'hôtel Martel dans le XVIe arrondissement de Paris, construit peu avant, par un autre grand architecte du "Mouvement moderne", Robert Mallet-Stevens :
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icedeadpeople · 1 year
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Acolhemos orgulhosamente SUSAN ANNE GRAYLING em nosso corpo estudantil! Ela é uma BRUXA matriculada na Casa ZEPHYR aos 24 anos. Ela pode passar a impressão de ser ROMÂNTICA e PRESUNÇOSA, e talvez você a confunda com a padrão LAURA HARRIER, mas garantimos que é apenas uma coincidência.
s t o r y .
Susan vem de uma antiga linhagem materna de bruxas com dons mediúnicos, muitas delas sendo famosas no círculo de excluídos britânicos e entusiastas do paranormal, algumas dizem que até mesmo a rainha Ana Bolena estaria inclusa na poderosa ancestralidade das Grayling. Não importava com quem elas se casassem, suas meninas sempre carregavam os poderes das mães. E assim Susan cresceu, em uma grande casa interiorana cheia de mulheres - e alguns poucos homens escolhidos para acompanhá-las - que a ensinaram tudo sobre magia e a vida após a morte enquanto não completava idade suficiente para estudar em Nevermore.
Por muito tempo as Greyling educaram as próprias crianças, até que a avó de Susan, uma médium famosa até mesmo entre os padrões, foi convidada a lecionar em Nevermore. Desde então, todas as jovens da família viajam para estudar na prestigiada escola americana, cheias de orgulho pelo legado. Susan, por outro lado, estava ansiosa para retornar à Inglaterra, queria parar de estudar e escrever romances de horror. As matriarcas deixaram que a jovem tentasse seguir seu sonho com uma condição: se não conseguisse se sustentar com a venda de livros em cinco anos, teria de voltar a Nevermore para um curso superior. Toda a pressão fez com que Susan entrasse em um bloqueio criativo, não gostava de nenhuma ideia e mal conseguia escrever. Bem, ao fim do prazo, ninguém se surpreendeu quando a enviaram de volta a Massachussets. Hoje estuda na Casa Zephyr com foco em parapsicologia, mas de muita má vontade, pois pensa já saber tudo para se tornar uma investigadora paranormal de sucesso.
i n f o .
MBTI: INFP-T.
Alinhamento: Caótica e Boa.
Astros: Sol em Libra, Ascendente em Peixes, Vênus em Câncer e Marte em Peixes.
Qualidades: Gentil, enérgica, romântica, aventureira, mente aberta, brincalhona.
Defeitos: Preguiçosa, inconsequente, avoada, prepotente, ingênua, insegura.
Excentricidade: A pele de Susan é bastante fina, frágil e translúcida. Quando estudava em uma escola padrão de Kent, Inglaterra, seu apelido era Noiva Cadáver. Por isso hoje em dia anda com os braços cobertos, o peito maquiado e meias calças para disfarçar a insegurança.
Familiar: O familiar de Susan é o espírito do falecido cachorro de seu pai, que o seguia há anos. Provavelmente por conta da forte ligação das Grayling com o que chamam de “outro lado do Véu”, a bruxinha foi ligada a algo que já não estava vivo. Quando era criança, assistiu ao filme Estranho Mundo de Jack e decidiu colocar uma fantasia em seu familiar e renomeá-lo como Zero.
Dom: Mediunidade. Susan consegue sentir a presença e o humor de espíritos passivamente apenas com sinais fracos de seus sentidos. Caso deseje invocar ou conversar com um espírito, precisa realizar um ritual de séance.
Extracurriculares: Presidente do Clube de Séance, Comitê de Eventos e Coral.
Inspirações: Gillian Owens, Mary Shelley, Janet Weiss, Queenie Goldstein, Sally Shock, Noiva Cadáver, Cher Horowitz.
t r i v i a .
Ainda escreve sem compromisso, publicando algumas histórias em sites de fanfic com um pseudônimo. Nenhuma delas é completa.
O coven Grayling já cruzou diversas linhas da magia, tendo se iniciado com magia pagã louvando a deusa Brigid e aos poucos perdendo a conexão com a religiosidade. Atualmente, praticam algo entre magia natural e magia tradicional, além de fazerem rituais de necromancia com espíritos.
w a n t e d .
Max e Susan se conhecem desde sempre, já que ambos são de famílias bruxas bastante conhecidas, e por isso suas mães tentam fazer com que engatem um relacionamento romântico. Nenhum dos dois parece convencido da ideia, e agem com certa timidez quando tocam no assunto. ( F/M/NB )
Benny  perdeu uma pessoa querida e tenta manter contato com ela por meio de Susan, que concorda relutantemente por saber que não é um hábito saudável. ( F/M/NB )
Muse C sabe que se precisar de um lanchinho ilícito dentro de Nevermore pode contar com Susan, que é fascinada pela ideia de ser mordida por um vampiro. ( F/M/NB, +1 )
Tommaso e Susan namoraram um tempo atrás, mas acabaram terminando (talvez até por iniciativa dela) porque ela não estava pronta para intimidade física. ( M )
Muse E também estuda na Casa Zephyr e está disposto a ajudar Susan a se formar, se esforçando para fazê-la prestar atenção às aulas e estudar corretamente para as provas. ( F/M/NB )
Zeppelin tem uma queda por Susan e ela sabe disso, gosta de provocar e alimentar as esperanças dele, mas não tem interesse em se envolver no momento. ( M ) 
Anastasia e Susan são colegas de quarto da Casa Zephyr, e ela precisa lidar com todos os dramas, imaginários ou não, que a fazem suspirar e reclamar dramaticamente tarde da noite. Também é a única pessoa que já a viu sem maquiagem na pele. ( F/M/NB )
Marlowe detesta o jeito com que Susan finge não ter uma preocupação no mundo e suspeita que ela esteja escondendo algo atrás da máscara de princesa que ela tenta vender. ( F/M/NB )
Nerissa e Susan adoram fofocar sobre os crushes, quem acham bonito, quem fariam no sigilo ou não, e às vezes ajudam um ao outro a conquistar alguém. ( F/M/NB ) 
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alexisgeorge24 · 7 months
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6 octobre:
Atterrissage à Lima à 05h00 après une escale à Atlanta. Pour rejoindre le quartier de Miraflores je ne dois compter que sur moi même afin d'éviter de prendre un taxi et trouver le bon bus. Finis le monde des bisounourses d'Europe. Je rejoins Javier à son hotel qui partagera mon séjour latino pendant 1 semaine. On prend un petit déjeuner incluant des fruits tout aussi inconnues que délicieux. Puis c'est parti pour une visite d'une journée de cette ville dont on n'attends absolument rien d'un point de vue tourisme.
On ne sera pas déçus. Peu d'intérêt du "vieux" centre mis a part ses cathédrales, la place principale, le palais du gouvernement et le marché dont on mangera un bon ceviche. Puis direction le quartier barranco en bus. Le chauffeur devait être ivre puisqu'il conduisait comme un crétois en Égypte jusqu'à se faire arrêter par la police. Il refuse de donner ses papiers puis prend sa veste et se tire en faisant croire qu'il revenait... C'était divertissant.
Évidement arrivé à Barranco on est déçu mais on aperçoit tout de même une jolie vue sur la plage et les falaises de Lima, ainsi que des surfeurs qui n'auraient pas peur de se baigner dans la Seine à Paris.
Le soir c'est bière puis direction le terminal de bus pour rejoindre Trujillo de nuit.
7 octobre :
Arrivés à destination on se croirait toujours à Lima. C'est moche et je me sens mal d'avoir embarqué Javier avec moi dans ce coin (Cusco et Arequipa sont des merveilleuses villes mais que j'avais déjà visités en 2017). Mais on est venu ici pour les sites archéologiques de Chan Chan et de la Huasca del Sol. Le premier fut fondé par la dynastie Tang de Chine au VIe siècle de notre ère. Je déconne ça n'a aucun sens. Il s'agit d'une ville pre-inca, des chimú, qu'on explore à l'aide d'un guide qui nous raconte plein de chose intéressantes qu'on peut trouver sur Wikipedia. On sera impressionnés par la taille du complexe (80 000 habitants !) dont seuls les murs ont été "déterrés" ornés à certains endroits de sculptures à leurs base. Le 2e site est une pyramide (Huasca) dont on observe des peintures bien préservées sur ses façades. Ceci est dû au fait qu'à chaque mort du souverain Chimú, ils rebatissaient la pyramides SUR l'ancienne. Du coup ça taille augmentait et les peintures étaient emmurées.
Je m'étais déjà fait la remarque à Nazca en 2017: c'est très regrettable et incompréhensible de voir que le gouvernement péruvien se "fiche" de ses vestiges. La fouille et préservation de la Huasca del Sol est entièrement privée, et celle de la Huasca de la Lune publique, toujours à moitié sous terre et ne se visite pas.
Le soir on cherche un bar en vain, et on finit par boire des bières sur la terasse du hostel où l'on fait la connaissance d'autres hôtes.
8 octobre :
Journée posée avec grasse matinée puis direction la plage de Huanchaco. Plage laide, ville laide, paysage laid, ceviche bon. Retour au hostel où l'on retrouve nos "potes" (j'avais perdu l'habitude de m'en faire dans des hostels) et on joue aux Jenga, une activité incontournable au Pérou lorsqu'on doit attendre le bus de nuit pour Huaraz.
9 octobre :
Réveil dans le bus à 05h00 en arrivant dans cette ville située à 3000m d'altitude et aux pieds des cordillères blanches. On rejoint notre hôtel et on enchaîne direct avec une ballade d'acclimatation au lac Roccotuyoc (Paccharuri sur maps). Javier voit son 1er glacier et je partage donc son émerveillement devant cette petite mer de glace qui finit sa course dans un lac truffé de mini-iceberg. On est à 4500m et ça nous mets KO, même si la rando est très courte. On est malheureusement avec un groupe et on fait sur le chemin du retour des activités dont on se serait bien passées: des thermes d'eau chaude et un restaurant imposé (on mangera nos sandwich à l'écart). On finit la journée de manière totalement improvisée et imprévisible, dans un bar.
La journée il fera moche et c'est avec grande déception que j'apprends que la saison des pluies est arrivées 1 mois plus tôt que prévu, du jamais (ou très rarement) vu selon certains locaux. Fait chier, je comptais y rester un petit moment après le départ de Javier.
10 octobre :
Grasse matinée car prévisions météo pourrie. Sauf qu'il fait très beau... donc on se dépêche pour trouver une rando accessible depuis Huaraz. Ca sera donc le lac Churup. 2h de monter pour atteindre cette jolie "laguna" au pied d'un glacier. Évidement je respecte la tradition et je m'y baigne. L'eau venant directement du glacier je m'attendais à être secouru par Javier après évanouissement mais je suis agréablement surpris d'y trouver une eau que j'estime autour de 10°c (oui c'est froid, mais pas pour un lac de glacier).
De retour en ville c'est resto puis dodo. On est suffisamment acclimatés, finit les politesses, demain on rentre dans le dur avec rando sur 2 jours et point culminant à 5000m.
Bilan: 6km, 700m d+, 4500m alt. Max
11 octobre :
C'est parti pour la boucle du "Paso zorro". On galère à trouver l'accès au chemin et on débute 300m plus bas que prévu. Du coup ça sera soit un bivouac au bout de 600m d+ à un "camping", soit au 1er lac à 1100m d+ (à 4600m). La 1ere moitié se passe très bien, ciel bleu, chien errant qui nous tient compagnie, cardio OK, et on décide donc de poursuivre jusqu'au lac. 200m d+ plus haut Javier est HS par le mal d'altitude, je prends tout le poids de son sac que je peux faire rentrer dans le mien (il doit être autour de 23kg). Mais ça ne s'arrange pas pour lui, moi même je me sens anormalement fatigué. Je finis en galère la monté et redescend (50m d-) pour prendre le sac de Javier qui est au bout de sa vie. On monte la tente, on prend l'apero sans les bières (qu'on avait montées pour les vidées par terre tellement l'idée de boir de l'alcool nous écœurait) et on se force à manger (on n'a pas d'appétit non plus). La mauvaise mine ne nous empêche pas d'admirer un coucher de soleil qui peint en rouge les nuages au dessus de nos têtes. La nuit on a du mal à respirer et on mesure notre pouls à 110bpm (tout les 2, synchro). J'essaie de rassurer Javier qui commence un peu à paniquer... Si je n'avais pas vécu bien pire au Kilimandjaro je pense que j'aurai angoissé un peu aussi. Point positif, notre corps chauffe tellement qu'on a absolument pas froid pendant cette nuit en dessous de 0°.
12 octobre :
Avec une nuit de 11h, on a pu trouver certains créneaux pour dormir et avec avoir un sommeil récupérateur. Comme chaque matin, le ciel est complètement dégagé et on re-découvre le paysage avec le petit déjeuner. On entame ensuite la dernière monté vers le Paso Zorro 430m d+ plus haut, à savoir à 5000m d'altitude. Javier m'insulte intérieurement à chaque "faux" col qu'on aperçoit qui nous fait descendre pour remonter de plus belle. Mais à l'arrivée la vue est dignement méritée et nous est présentée par Philippe Ecebez: Sommet blanc sur fond bleu avec coulis de glace émeraude surplombant deux lacs glaciers, avec comme accompagnement sur arrière plan la vallée immense et aride afin d'équilibrer les goûts.
Arrivés au niveau des lacs je me fait un petit bonus pour monter sur la colline entre les 2 lacs et juste en dessous de la mer de glace. Ecebez n'a plus les mots. Et enfin 12 km pour rejoindre notre point de départ sur une descente qui nous fait retrouver nos sens au fur et à mesure que l'altitude baisse. Sur le chemin on admire d'autres sommets blancs, on longe des canaux parfois légèrement aérien qui font jurer Javier (faut dire qu'il ne s'agissait pas du sentier "normal" et il me semblait plus "spicy" de l'emprunter. C'était avant que je constate le vertige de Javier).
Enfin la boucle bouclée, retour à la chambre, douche, bière, pizza, dodo, pas de réveil.
Bilan Paso Zorro (2 jours): 22km, 1700m d+, 5000m alt. Max
13 octobre :
Journée dédiée au repos, absolument rien au programme. Même la seule activité possible à faire à Huaraz, le musé archéologique, on ne le fera pas. Du coup j'en profite pour faire une lessive et me renseigner sur le trek de Huayhuaysh qui se fait en 8 jours. Comme je veux le faire en solo et pas passer par une agence, ça demande un peu de logistique pour le transport. Grosse galère pour obtenir des information, on nous mens, on nous insulte (oui), on nous donne de faux espoirs, bref... je démerderai finalement avec un transport publique puis taxi sur 2 heures, tant pis pour le porte monnaie.
On finit la journée avec bières artisanales et Javier s'en vas prendre son bus pour Lima chopper son avion du retour.
Je me sens seul et j'appréhende pour le trek que je commence demain, je dormirai mal.
14 octobre :
Réveil à 04h00 pour prendre le bus de 05h00 qui m'amène jusqu'à Chiquián. Les 42km sur route non revêtu qui me restent je les effectue en mini bus, mais comme je suis le seul passager et que je suis un gringo je paie le prix d'un taxi. Il me propose 200s, on conclu à 150s (38eur). Ca n'a l'air de rien pour 2 heures de route mais un local doit payer ça à peine 5eur.
Sur le chemin je me fais raquetter de 18eur de droit de passage pour arriver au point de départ. Payer un droit OK, mais pas un smic péruvien non plus.
Bref, je commence mon trek avec une météo passable (au sec) et 3 heures plus tard j'arrive au 1er "camping". Les paysages sont très verts, beaucoup de vaches, on ne se croirait absolument pas à 4000m. Au passage je me fais encore raquetter de 10eur par les paysans du coin. Ramené au niveau de vie locale, ça doit être équivalent à 80 000€ en Haute Savoie.
Comme je suis arrivé à 13h00, je m'ennuie un peu dans la tente sous la pluie qui vient me rappeler que c'est la saison humide. Mais c'est aussi ce que je recherche. Au camping il y a aussi un groupe de 8 personnes qui feront probablement le même trek que moi mais avec une agence. On est donc peu sur ce sentier.
A 17h00 je dîne et à 18h00 dodo.
Bilan: 9km, 600m d+
15 octobre :
Ciel bleu au réveil et vite je me prépare pour profiter de la rando tant que ça dure. Je réalise que j'avais campé pas loin d'un sommet avec glacier, et je prends conscience de la chaîne de montagne blanche dont je vais faire le tour. Je longe les sommets en suivant la vallée et en passant par un col; c'est très beau. Je dépasse le camping pour être tranquil et je pose ma tente dans une vallée assez étroite au bord d'un lac et en bas d'un glacier. Il commence à pleuvoir et je sors ma tête de la tente uniquement quand le glacier gronde pour apercevoir les chutes de blocs de glace. La génération qui suit n'aura vraisemblablement plus ce problème.
J'essaie de m'occuper comme je peux jusqu'à l'heure du dîner (17h00), sachant que j'ai posé la tente à 11h30. Observer les goutes qui ruissellent sur ma tente devient mon passe-temp favori. Je me demande s'il y a eu un chercheur qui se faisait chier comme moi pour établir une relation entre la chute d'une goute sur une paroie, sa masse, sa densité, la rugosité et pente de la surface. A vérifier quand j'aurai internet. Si j'avais internet je ne me poserai pas ces questions...
Bilan: 15km, 650m d+
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albad · 1 year
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SCHIAPPA A PROFITÉ DE L'ASSASSINAT DE SAMUEL PATY POUR DÉTOURNER DES FONDS POUR DES VIDÉOS DE PROPAGANDE
- On vous résume cette affaire scandaleuse en 5 points -
16 octobre 2020. Un professeur d'histoire, Samuel Paty, est atrocement assassiné à la sortie du collège où il enseigne par un islamiste de 18 ans. Alors qu'elles ont été incapables de protéger l'enseignant, visé par des menaces depuis des semaines, les autorités s'empare de l'attentat pour dissoudre plusieurs associations musulmanes et durcir leur ligne autoritaire.
➡️Suite à cet assassinat, la ministre Marlène Schiappa lève 2,5 millions d'euros contre le cyber-djihadisme : le «fonds Marianne». Elle attribue plus de 300.000 euros à un de ses amis, Mohamed Sifaoui, proche de Manuel Valls et obsédé par l'islam, afin qu'il produise des vidéos sur les réseaux sociaux. Le travail est quasiment inexistant à ce jour.
➡️300.000 euros sont offerts à une autre structure dont les statuts ont été déposés 9 jours après la mort de Samuel Paty. Elle venait d’être créée, n'avait aucune activité connue, et est proche du Printemps Républicain. Un groupuscule obsessionnel à l'égard l'islam, proche de la droite radicale, et lié à Macron. Au moment de la distribution des fonds, cette structure n'a même pas encore de site internet.
➡️En fait de contenus contre la «radicalisation», cette association va produire des vidéos sur Youtube destinées à salir l'opposition de gauche, en pleine campagne présidentielle. Reprenant les propos de Manuel Valls sur «l’islamo-gauchisme», une intervenante évoque «un mélange des genres entre militants de gauche et militants disons teintés d’une religion ou vraiment militants islamistes». D'autres vidéos ont pour thème : «Sandrine Rousseau est-elle une représentante de la culture woke ?», «Décryptage du “mouvement décolonial”» ou du «discours de Rokhaya Diallo sur le privilège blanc»...
➡️Dans ces vidéos, le champ politique est divisé entre le camp «de la raison», le parti La République en marche (LREM) d’Emmanuel Macron, et les «extrémistes ». Mélenchon est accusé de côtoyer «les décolonialistes, le parti des indigènes de la République». «Toute cette sphère-là, qui est extrémiste, très dangereuse, il ne s’en distingue pas, limite il va reprendre leur thèse par subtils passages». Dans une vidéo, il est dit «je trouve ça anormal qu’un Mélenchon puisse citer comme il veut Trotski qui est quand même le plus grand inspirateur des camps nazis.» Ces vidéos n'auront été diffusées que pendant la campagne électorale de 2022, l'association a aujourd'hui disparu du net.
Pendant que des centaines de milliers d'euros levés après un attentat sont offerts aux copains d'une ministres pour répandre des fake news et du racisme, des gens vont en prison pour du vol à l'étalage.
➡️Avril 2023 : quelques jours avant que ce scandale de détournement de fonds publics suite à un attentat ne soit révélé, Marlène Schiappa organise dans le magasine érotique Playboy un shooting aussi laid que ridicule pour faire diversion, et se décrire comme une femme libérée. Dans les mêmes pages on y trouve des interviews de Gilbert Collard, de Jawad Bendaoud ou encore d'Ivan Rioufol, du beau monde réactionnaire pour un torchon sexiste. Ces gens ne nous épargneront rien.
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L'enquête complète de Médiapart : https://www.mediapart.fr/journal/france/120423/le-fonds-marianne-de-schiappa-finance-des-contenus-politiques-en-periode-electorale?utm_source=global&utm_medium=social&utm_campaign=SharingApp&xtor=CS3-5
Contre Attaque
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