Tumgik
#poésie conte
Text
La Mort 👽
Tumblr media
Tu m’as broyé le cœur,
Infâme oiseau de malheur,
Immonde cruauté,
Sans âme ni clarté…
Tu es là à nous épier,
Pour ôter nos vies tant convoitées…
Tu aimes les larmes versées,
Mais qui es-tu donc toi pour oser nous briser ?
La Mort ! à n’en pas douter…
Hors de ma vue !
Sombre inconnue !
Sorcière de l’enfer !
Horrible vipère !
Je te hais !
Et je voudrais,
Que tu disparaisses à tout jamais de notre bel univers,
Notre terre bien aimée dont tu aimerais t’en emparer pour mieux nous manipuler, nous diviser…
Mais saches que tu n’y arriveras jamais,
Car nous ferons tout pour la protéger de tes vilaines griffes acérées…
Mais que vois-je à présent ?
Sombre damnation…
Ton teint devient livide, tes yeux vides, larmoyants…
Serais-tu en train de vouloir implorer mon pardon ?
Dans l'unique espoir de gagner ta rédemption ?
Mais c’est trop tard voyons !
Alors n’essayes plus jamais de me duper méprisante insolente,
En voulant te métamorphoser en bonne fée...
Car oui, ta comédie a assez duré...
Non mais ! Quel toupet de vouloir à tout prix te racheter,
Alors que tu m'as dépouillée des êtres que j'aimais...
Maudite inconnue mise à nue,
Retirée de ton masque de diablesse, traîtresse !
Retournes là d'où tu viens Vaurien !
Là où tu as vu le jour Vautour !
Dans les bas-fonds de ta prison,
Froide comme un glaçon,
Sans âme ni émotion…
Retournes y à l’infini Faucheuse haineuse,
Condamnée à perpétuité,
Pour tous ces crimes que tu as commis...
Laideur sans coeur,
Que je maudis avec ardeur...
Retournes y silhouette squelette,
Noirceur fantomatique,
Déguisement effrayant,
Arborant éternellement ce sourire sardonique,
Ta signature machiavélique...
Retournes donc dans ton manoir hanté,
Ce mouroir de l'ignominie, Saleté...
Retournes y Harpie,
T'y enterrer à vie,
Afin que je t'oublie...
Tumblr media
15 notes · View notes
calytrixart · 4 months
Text
Exposition du Décembre 2023
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
matthiaslebihan · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
“le trou du serpent”
petit conte... 10,5 x 14,8 cm.
8 notes · View notes
Text
Tumblr media
Conte de fée
Il était un grand nombre de fois Un homme qui aimait une femme Il était un grand nombre de fois Une femme qui aimait un homme Il était un grand nombre de fois Une femme et un homme Qui n’aimaient pas celui et celle qui les aimaient
Il était une fois Une seule fois peut-être Une femme et un homme qui s’aimaient.
Robert Desnos
[Marc Chagall - The Green Lovers]
5 notes · View notes
hcdahlem · 3 months
Text
La langue des choses cachées
Dans ce conte tragique servi par une langue poétique, Cécile Coulon raconte comment le retour d'un fils au village va réveiller de douloureux souvenirs. Appelé à reprendre le rôle de guérisseuse de sa mère, il va sentir les maux qui gangrènent le village
    En deux mots Un prêtre accueille le fils de leur guérisseuse, qui revient au pays pour reprendre le flambeau, afin de le mener auprès d’un homme qui craint de perdre son fils. Son extrême sensibilité va lui permettre de ressentir tous les maux de la communauté et mettre en lumière la violence des hommes. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Le guérisseur revient au village Dans ce conte…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
dixvinsblog · 8 months
Text
Le mercredi des enfants : jeux, contes et poésies rien que pour les petits loups !
La rentrée c’est fait ! Nouvelle maitresse ou maitre, passage en sixième… Une semaine de rentrée bien remplie ! Je suis sûre que vous avez envie mes petits loups de vous détendre un peu et comme les orages et l’automne a rivent doucement mais surement voici pour ce mercredi des comptines, les jeux, des poèmes et une nouvelle de Carmen Montet pour les juniors Comptines pour les petits Elle…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
dsirmtcom · 8 months
Text
Aqua simplex - Poème Philosophique en Prose
Aqua simplex - Poème Philosophique en Prose #Philosophie #MardiCestPhilosophie #Conte #Temps #Mort #Immortalité #Eau
Écrits, nouvelles et contes philosophiques (ou pas) Fontana di Trevi, Rome – Photo : Patrick Moulin, août 2016. Suite phraséologique La mort ne me connaît pas, et je ne connais pas la mort. Au principe et à la terminaison du monde, j’étais, je suis et je serai. Je ne connais ni temps, ni durée, ni naissance, ni fin. Il y a longtemps (vous en souvenez-vous ?), vous m’avez croisée dans cette…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
latelierartichaud · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Notre fanzine forestier, l'Art'zine n°2, est disponible ! Ce nouveau recueil de 60 pages se porte sur le thème de la forêt 📖🌲🌿 Il est disponible sur notre boutique Etsy et par commande en mp ! 🌟 Voilà le petit texte que tu pourras lire sur sa 4eme de couverture, et qui résume ce que tu pourras trouver a l'intérieur : "Dans ce recueil sur le thème de la forêt, allant de la vie grouillante de la petite faune jusqu'à la canopée, tu pourras te balader entre les pages d'un conte, t'endormir dans les hautes herbes des croquis et des illustrations foisonnantes, puis plonger les pieds dans l'eau fraîche d'un poème. A l'ombre d'un sureau, tu pourras parcourir une BD tout en dégustant une recette à base de plantes sauvages, ou encore suivre un tuto pour créer tes propres motifs en impressions de fleurs. Ce numéro 2 de la collection Art'Zine a été écrit, planté et arrosé par 12 illustrateur.ices de l'Atelier Arti'Chaud, et imaginé pour t'offrir une promenade à travers les 4 saisons, où chaque page est une clairière qui n'attend que d'être découverte." 🌲🌿🌳🍁🍂 Avec la participation d'Aurore Marotta, qui a notamment fait la belle couverture, Thalie Garand, Marianne Plasse, Tamo, Songe, Zacharie Denuel, Lou Mondon, Sarah Mion, Marie-Lou Hainsselin, Milèna Buisson, Marilou Carraro et Léo Mendez.
1 note · View note
mmepastel · 26 days
Text
Tumblr media
J’ai adoré ce roman.
On est allés à Istanbul dix jours il y a de nombreuses années (avant Erdogan), et j’avais adoré ce voyage, cette ville. J’avais lu Orhan Pamuk déjà, qui m’avait subjuguée avec Neige et Mon nom est rouge. Je ne sais pas pourquoi, je me suis sentie bien là-bas. Franchement dépaysée, mais j’ai trouvé les gens chaleureux, complexes… (on a discuté avec plusieurs habitants, et bu longuement du raki avec le gars qui tenait un tout petit hôtel avec son frère, juste en face de la Mosquée Bleue), et la ville m’a parue incroyable, tant imprégnée d’un passé brillant et chaotique. Trépidante, mélangée, un vrai Tetris de cultures différentes, d’ambiances contrastées. Ultra moderne, ultra ancienne. Une mosaïque. Et cette mélancolie souriante… l’eau trouble du Bosphore…
De ce livre de Burhan Sönmez, je ne savais pas trop quoi attendre, pas une réplique d’Orhan Pamuk sous prétexte que les deux sont turcs. Et pourtant, je retrouve quelque chose de cette mosaïque mélancolique.
L’auteur est d’origine kurde et c’est là son troisième livre ; je ne le connaissais pas avant.
Plein d’histoires sont imbriquées autour du personnage central, Avdo, un vieil homme maître marbrier dans un cimetière stambouliote, qui vit dans une baraque au cœur dudit cimetière. C’est un homme heureux, malgré un passé difficile et tragique. C’est un homme bon, et pour ceux et celles qui croisent sa route, il est devient souvent un ami, un confident. Il est soucieux des autres, et ne fait pas de grande différence entre les vivants et les morts, sans doute par déformation professionnelle, mais aussi parce qu’il a appris à faire sans les gens chers qu’il a perdus. Il dialogue autant avec les étoiles que les tombes. A travers son histoire et celles de ceux qu’il croise, le romancier tisse une toile complexe qui éclaire par bribes l’histoire complexe du pays, ses beautés, ses richesses, ses violences et ses blessures. On a donc à faire avec de très nombreux personnages issus de mondes et d’époques différents. Avdo est spirituel sans être croyant, et il voit clair dans le jeu de l’imam de la mosquée d’à côté (lequel est plus intéressé par l’argent que par dieu) avec qui il a pourtant des relations cordiales.
La vérité c’est qu’il est orphelin, et qu’il ne sait pas qui il est puisqu’il ne sait pas qui est sa mère (selon sa pensée). Il est donc syncrétique par essence. Il préfère croire les histoires des hommes et des femmes et la vérité de leurs cœurs plutôt que de se conformer à des préceptes. Tout petit, il a été recueilli par un homme qui ne savait plus comment il s’appelait lui-même, puis par un maître marbrier qui lui a transmis sa passion. Avant de connaître l’amour et de donner rendez-vous sous les amandiers…
Dans ce livre, il est fortement question d’identité. De nom. Qui est-on vraiment ? Que signifient les noms que l’on nous donne ou ceux que l’on porte ou ceux que l’on se choisit ? Quelle est la part qui nous est donnée, celle qui nous appartient ? Il s’agit d’une quête intime, presque d’une enquête parfois.
Il est aussi beaucoup question d’amour, souvent immuable, qui survit à la mort et crée du possible autour de soi.
C’est un magnifique livre, émaillé d’humour discret, délicat, qui bouscule nos façons de penser, occidentales et rationnelles. Entre le conte et la fable, avec beaucoup de poésie, et du thé, très sucré.
Tumblr media
4 notes · View notes
profenscene · 1 year
Text
Vendredi 3 février
Tumblr media
"On n'a pas beaucoup d'exercices, quand même."
Je relève un sourcil, à la Scarlet O'Hara. Les élèves de quatrième viennent de se carrer cinq exercices d'application quant à la conjugaison des verbes du troisième groupe au passé simple (l'un des trucs les plus retords de la langue française, donc).
"Il faut qu'on prenne le temps de les corriger et de les expliquer. - Oui, mais ma mère/mon père/mon grand-père [insérer ici évocation d'un passé qui donne l'impression que cette élève ou tout autre élève est âgé de plus de soixante-quinze ans] on lui en donnait des listes de trente, monsieur. - Vous avez envie de ça ? - Ben non, mais c'est du français, quoi."
Cela arrive fréquemment, chez les élèves. Ces mômes qui pourraient parfois élever la flemme au rang de sport mondial appellent de leur vœux un passé révolu, fantasmé, et souvent doloriste. Avant les profs ils étaient sévères. Avant les profs ils donnaient des milliers de lignes. Quelque chose de l'ordre de la terreur sacrée et de l'envie de se faire peur.
Et à la fin du cours :
"Monsieur, ma mère elle dit que je devrais pas lire des livres avec des images (note du transcripteur, des mangas) : elle a raison, vous croyez ? - Vous aimez ça ? - Oui, mais je sais pas si c'est très bien."
Cet âge est tellement fragile, tellement délicat. Les faire accéder à la complexité des textes, de la langue française, sans céder à la facilité de brandir les listes de grammaire, de faire des auteurs classiques des Javert intransigeants. Images qui continuent à se transmettre, de génération en génération.
"Que voyez-vous sur ma table de recommandation de livres à lire, Alia ? - Cyrano de Bergerac... - C'est du théâtre. - Les contes de Terremer... - Un roman. - Les Pleurs... - De la poésie. - Les mangas de Lovecraft. - On peut tout lire. Il faut juste essayer."
J'aimerais. J'aimerais tellement leur expliquer ce que quelques adultes merveilleux m'ont transmis : les mots, tous les mots, sont des lieux de paix.
18 notes · View notes
aforcedelire · 3 months
Text
La langue des choses cachées, Cécile Coulon
Tumblr media
À la tombée du jour et au sortir de l’adolescence, un guérisseur est appelé à se rendre dans un village perdu entre deux collines. Jusque-là, c’était sa mère qui s’y rendait ; mais à présent elle se fait vieille, et c’est au fils de prendre la relève. Toute sa vie, il a été l’élève de sa mère, elle lui a appris à voir et à lire les ombres, à parler la langue des choses cachées, les traumatismes et les évènements passés. Elle lui a toujours dit de ne laisser aucune trace de son passage, et il lui a toujours obéi. Sauf cette nuit. C’est beau, c’est puissant, c’est poétique : Cécile Coulon nous offre un conte sombre, rempli de la noirceur des hommes. Appelé pour soigner un enfant, le guérisseur va très vite rencontrer la bestialité et l’inhumanité du père, cet homme aux épaules rouges qui prend et détruit tout sur son passage. Son chemin croisera la route d’une femme au fusil, hantée d’une rage ancienne et traumatique. À lui, alors, de rééquilibrer les choses. Les actes les plus cruels sont ici décrits avec une poésie onirique, et on est tout-de-suite plongés dans l’univers obscur et presque surnaturel de Cécile Coulon, dans ce village que le soleil a abandonné. C’est un roman à lire d’une traite, pour s’imprégner au mieux de cette ambiance si particulière.
29/01/2024
3 notes · View notes
13 avril 1695, Jean de la Fontaine s’éteint à Paris. Mettant en scène des animaux anthropomorphes, il dénonce dans ses fables les travers de ses contemporains, avec une morale finale à visée universelle.
Tumblr media Tumblr media
De La Fontaine, on ne retient souvent que les Fables. Elles sont le chef-d'œuvre de l'écrivain, l'aboutissement d'un cheminement poétique, un espace de liberté et d'invention. On connaît moins sa poésie élégiaque et ses récits poétiques qui mêlent la prose aux vers. Ses Contes sont célèbres pour leur versification irrégulière et leur parfum sulfureux. Amoureux de la forme, La Fontaine est toujours en quête de renouvellement poétique. Ses Contes (publiés jusqu'en 1685) et ses Fables (dernier livre en 1694) restent pour tout le XVIIIe siècle une référence obligée et un modèle inépuisable.
7 notes · View notes
skelethrash · 3 months
Text
TON NOM
C'est marrant quand on parle de toi j'ai encore ce genre de réflexe heureux parfois. Une surprise plus qu'un choc, un souvenir plus qu'une joie,
Ce truc que tu ressens tout au fond de toi, comme si tes rouages avaient une conscience propre et profonde. C'est bête je sais.
Ou alors quand ton oreille choppes un mot en l'air dans une conversation étrangère, qu'il sonne un peu trop comme une chanson familière.
Moi, suffit d'un son trop violent ou trop tordu pour que tout ce mette à dérailler là dedans.
La poésie, l'amour, les contes de fées, les âmes maltraitées, les fleurs, les souffles, les condamnés, les âmes dérobées.
Si c'est en six lettres que tu t'es créé, il en faudrait des milliers pour exprimer tout ce que j'ai pu rejetter.
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom, alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
V pour vain, I pour illusoire et K pour kouteau.
V-I-K-T-O-R
Et que'ce que j'aurais pas donné pour en aimer la sonorité?
V-I-K-T-O-R
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom.
Je dois t'avouer que je sais pas vraiment ce que j'raconte, la musique, d'habitude c'est moi qui l'écoute.
L'amour m'a rendu plume et ta fait ancre, sans toi je ne suis que passager du vent, sans trace de mon passage.
Faut dire que je sais pas aligner deux mots, j'ai juste un sacré culot de poser tout ça ici où un simple courant d'air peut guider.
Tu savais si bien dire, même quand t'écrivais les trucs les plus moches et blessant tu le rendait beau.
Aurevoir, c'est finis, merci d'être resté, ça va jamais s'améliorer, je t'aime, un jour, ne regrette pas, ne t'acharnes pas.
C'est peut être en six lettres que tu t'es créé, mais c'est en des milliers que je t'aimais, et pour l'éternité.
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom, alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
T pour «Trop tard», O pour «Oxymore» et R «Reste encore un peu»
V-I-K-T-O-R
Et que'ce que j'aurais pas donné pour en aimer la sonorité?
V-I-K-T-O-R
Puis à quoi bon, tout ce qu'il me reste c'est ton nom.
Si tu savais à quel point je les ai détestés c'est six putain de lettres, me demande pas pourquoi j'ai jamais su la raison.
Ptêtre un mauvais jour, le blues post concert qui te fout la rage de pas avoir assez profité dla scène.
Maintenant je les aime, regardes, j'en écrit des chansons maintenant, ironic je sais.
Et même que j'en savoure chaque syllabes lorsqu'elles s'assemblent pour passer entre mes lèvres lors d'une conversation familière qui sonne un peu trop comme une chanson étrangère.
Kanné, I want you, I love you so, trop beau. Boys don't cry, true love waits, infirmière, quand je les écoute je sais pas si je veux t'embrasser ou me foutre en l'air.
Quand j'entends ton nom c'est comme être déporté dans ma propre tête, là où même les plus courageux n'irons pas en quête.
Puis à quoi bon tout ce qu'il me reste c'est ton nom alors autant en faire quelque chose de beau non?
V-I-K-T-O-R
V pour «Vas voir ailleurs si j'y suis», I pour «Il en restera plus rien», K pour «Kasse toi d'la».
T pour «T'es vraiment qu'un enculé», O pour «Ok, c'est bon j'ai compris», R pour «Reste loins de moi j'ten supplis»
V-I-K-T-O-R
V pour «Viens dans mes bras, juste ceux-là, juste pour cette fois», I pour «Impression de mourir à chaque instant quand t'es pas là», K pour «Kramé au troisième degrés»
T pour «Tu me manques tellement», O pour «Oui, je t'aime mon amour.», R pour «Reviens quand tu veux.»
Il est beau ton nom, Viktor.
1 note · View note
wolfsnape · 2 years
Text
J'ai envie de publier ma poésie
J'ai envie d'écrire ma trilogie de fantasy
J'ai envie d'écrire un roman de science-fiction
J'ai envie d'écrire et illustrer un conte de fées
J'ai envie de faire une BD horrifique
J'ai envie
J'ai envie
J'ai envie...
21 notes · View notes
Text
Livre
Lis les contes de l’enfance Lis les romans des possibles Lis les essais de comprendre Lis les poésies du sensible Lis et relis tout ce qui est à lire
Relie ton esprit à l’auteur Livre, ivre de mots Livre ton inconscient
- Fabienne PASSAMENT. 2022
Tumblr media
21 notes · View notes
hcdahlem · 2 years
Text
L'Autre Livre
«L’Autre livre» rassemble les écrits de Michel Butel. En complément à ses écrits, un second ouvrage rassemble les fac-similés de sa revue «L’Azur». L’occasion de retrouver les multiples talents du Prix Médicis 1977.
  En deux mots Deux ouvrages viennent rendre hommage à Michel Butel. Ses romans et nouvelles rassemblées en un volume ainsi qu’un fac-similé de l’un des journaux qu’il a lancés durant sa riche carrière, «L’azur». L’occasion de (re)découvrir un esprit libre et une plume aussi féconde que talentueuse. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Tout Michel Butel, ou presque «L’Autre livre» rassemble les…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes