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#xixe siècle
semioticapocalypse · 1 year
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Mother and daughter watch a tall ship navigate the Thames assisted by a steam tug, London, ca. 1880
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pineappleyk · 11 months
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久しぶりに『三銃士』を読みました📖
わざわざ岩波少年文庫で読んだのは、長沢節氏によるファッション画に等しいお洒落なイラストも眺めて楽しむためです😍✨
『一人はみんなのために、みんなは一人のために』、そして愛と友情、協力と独断、共有と秘密、信頼と裏切り、日常と冒険、王侯貴族と庶民、武官と官僚、富裕と貧困、政治と駆け引きなど、何もかもが詰め込まれているのに不思議と集中してしまう作品です✨
若い頃は、何事にも一所懸命で純粋なダルタニャンがかわいくて好きでしたが、今は大雑把なようで配慮を欠かさない男気のあるポルトスがお気に入りです🥰
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dietmar44 · 11 months
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Wiliam Turner
William Turner is showing an evolution in his art during his life of painter , through the influence of other artists and his travels (Venezia , France,.....)
William Turner, Coucher de soleil, vers 1845, France : aquarelle sur papier, 24 x 31,5 cm ©Tate
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liqueuramere · 10 months
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Alfredo et Georgette
Chronique de "Ô mon George, ma belle maîtresse...", extraits de la correspondance 1833-1835 d'Alfred de Musset et George Sand, présentés et annotés par Martine Reid, 2010
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Publier après leur mort la correspondance d'écrivain.e.s, pose toujours question. Qui plus est dans une collection aussi accessible que la collection "Folio 2€". Lesdit.e.s écrivain.e.s avaient-ils conscience que leurs échanges seraient un jour rendus publiques ? S'étaient-ils opposés au dévoilement de leur intimité ? Quel est l'intérêt patrimonial et/ou littéraire de leur correspondance ? Et surtout qu'est-ce qui, à l'intérieur, est susceptible d'intéresser, non pas seulement des universitaires, des experts et des biographes, mais aussi le grand public ?
Cette dernière question, on a tout le temps de se la poser lorsqu'on lit ce recueil de lettres d'Alfred de Musset et George Sand, échangées entre juillet 1833 et mars 1835. Précisons d'emblée que la préface de Martine Reid, claire et concise, nous donne de précieux outils de compréhension et de contextualisation des échanges que nous nous apprêtons à lire. George Sand (29 ans) et Alfred de Musset (20 ans) se rencontrent lors d'un dîner en juin 1833 et tombent rapidement amoureux. Lors d'un voyage en Italie de plusieurs mois au début de l'année 1834, les deux amants se séparent une première fois et retournent en France chacun séparément. De retour en France, ils se remettent à nouveau ensemble pour quelques mois, puis se séparent à nouveau, renouent encore pour un temps, puis rompent définitivement en janvier 1835. La particularité de leur correspondance durant cette période, c'est qu'elle rend assez peu compte de leurs idylles : en effet, Sand et Musset ne s'écrivent pratiquement pas lorsqu'ils sont ensemble. Leurs lettres se multiplient en revanche lors de leurs séparations (souvent assorties d'un grand éloignement géographique) et rendent compte de leurs états d'âme, aussi bien positifs que négatifs, après chaque période de liaison passionnée. Comme l'écrit Martine Reid dans sa préface,
Cette correspondance est principalement occupée de discours sur l'amour ; Sand et Musset plaident leur cause à tour de rôle, raisonnent et se justifient. Fins analystes d'eux-mêmes, les amants s'aiment à la vie à la mort, crient au sublime, désespèrent et prennent Dieu à témoin du caractère inéluctable de leur amour. (p.9)
Il y a sans contexte dans ces lignes, ainsi que dans l'existence même de cette édition (la quatrième de couverture parle de "la plus célèbre correspondance amoureuse de l'époque romantique"), une volonté de renforcer le caractère iconique de l'histoire d'amour entre Sand et Musset. D'une certaine manière, je ne vois pas pourquoi cela serait à blâmer, et même je le comprends : il y a bien, par endroits, de grandes envolées sentimentales qui confinent au sublime (ou à l'excès ridicule, selon la sensibilité et l'humeur du lecteur), notamment à partir de septembre 1834, qui ouvre selon moi un acmé lyrique, peu de temps avant la fin définitive de leur relation.
Cependant, je trouve cela un peu trompeur de présenter cette correspondance comme remplie de fulgurances amoureuses. Dans un très grand nombre de lettres, il faut le dire, la majorité du texte est occupée par le récit de la vie quotidienne et par la description de la logistique des courriers et des colis. Bien sûr, on en apprend aussi sur l'entourage des deux écrivain.e.s, et il faut d'ailleurs mentionner que certaines de leurs autres relations sont éclairantes sur la complexité de leur histoire amoureuse (ex : les autres amants de George Sand, sa situation de mère, etc.). Néanmoins, je dois avouer que certaines lettres m'ont profondément ennuyé, au point d'aller jusqu'à en lire en diagonale. Mon engouement, nourri par la légende du couple Sand-Musset, est quelque peu retombé devant tous ces passages, et même, je dois dire, devant les déclarations passionnées de l'un.e ou de l'autre, que je cherchais et attendais pourtant, mais qui m'ont parfois lassé et fait lever les yeux au ciel tant je les ai trouvées dégoulinantes à l'excès de mièvrerie et d'immaturité. Les longs lamentos torturés, ou à l'inverse les déclarations romantiques transies d'un amour absolu et divin, ça me va bien cinq minutes, mais au bout d'un moment ça me donne de légères nausées. Mon rapport au courant romantique est ambivalent : d'un côté j'y reste sensible, mais j'en ai aussi digéré la critique.
Par contre, un aspect de cette correspondance qui m'a surpris et que j'ai trouvé étonnamment moderne, c'est la manière dont George Sand et Alfred de Musset se nomment et se désignent, avec une certaine fluidité, dans leurs échanges. Tantôt Sand est pour Musset "Georgeot", et il la genre ainsi au masculin ; tantôt elle est pour lui "George", et il la genre indifféremment au masculin ("mon ami") ou au féminin ("ma bien-aimée"). Parfois les deux à la suite, dans la même phrase (cf. la formule reprise dans le titre du recueil : "Ô mon George, ma belle maîtresse"). Les deux écrivains jouent, d'une certaine manière, avec les codes du genre (aussi bien le genre social que le genre grammatical). En tout cas c'est vraiment l'effet que cela m'a fait, même s'ils n'appréhendaient très certainement pas le concept de genre de la même manière que nous l'appréhendons aujourd'hui. Ajoutons qu'ils jouent aussi à s'attribuer des rôles, conformes ou non avec leur statut relationnel ou social, et à en changer. Tour à tour ils se considèrent comme les amants qu'ils sont ou bien comme des frères ou des amis. Parfois ils se considèrent même comme une mère et son enfant (rappelons que Sand a presque dix ans de plus que Musset, et a déjà deux enfants), dans un jeu explicitement qualifié d'incestueux, pour le plus grand malaise du lecteur d'aujourd'hui.
Il y a en définitive dans cette correspondance à prendre et à laisser. Loin de la légende des amants maudits, certaines lettres sont d'une grande banalité ; tandis que quelques pages plus loin, d'autres concurrent à bâtir cette même légende. Intéressant, mais en grande partie oubliable.
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À mesure que je vis, je ne puis me refuser à reconnaître que les idées adoptées par la jeunesse, sur l'exclusive ardeur de l'amour, sur la possession absolue qu'il réclame, sur les droits éternels qu'il revendique, sont fausses ou tout du moins funestes. Toutes les théories devraient être admises et j'accorderais celle de la fidélité conjugale aux âmes d'exception. La majorité a d'autres besoins, d'autres puissances. A ceux-ci la liberté réciproque, la mutuelle tolérance, l'abjuration de tout égoïsme jaloux. A ceux-là de mystiques ardeurs, des feux longtemps couvés dans le silence, une longue et voluptueuse réserve. A d'autres enfin, le calme des anges, la chasteté fraternelle, une éternelle virginité. Toutes les âmes sont-elles semblables? Tous les hommes ont-ils les mêmes facultés? Les uns ne sont-ils pas nés pour l'austérité de la foi religieuse, les autres pour les langueurs de la volupté; d'autres pour les travaux et les luttes de la passion, d'autres enfin pour les rêveries vagues de la poésie? Rien n'est plus arbitraire que le sens du véritable amour. Tous les amours sont vrais, qu'ils soient fougueux ou paisibles, sensuels ou ascétiques, durables ou passagers, qu'ils mènent les hommes au suicide ou au plaisir.
George Sand, Lélia (1833)
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jacqwess · 1 year
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Teylers Wunderkammer
Top Je vous ai dit déjà tout le bien que je pensais du musée Teylers, le plus vieux des Pays-Bas (1784), plus vieux que le Louvre ! Il présente maintenant un cabinet de curiosités tout a fait particulier, plein de science surréaliste : il s’agit de la combinaison d’une collection d’objets scientifiques et de l’oeuvre d’un artiste contemporain. Le résultat est… oui, surréaliste. Et très fascinant…
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hcdahlem · 1 month
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Brûlez tout!
Pour son premier roman, Henri Guyonnet a choisi de réhabiliter Rodolphe Darzens. C’est à ce journaliste, émigré russe, que l’on doit la (re)découverte d’Arthur Rimbaud et de son œuvre. Oubliant la biographie et l’hagiographie, son roman est passionnant.
  En deux mots Le journaliste Rodolphe Darzens se voit confier la mission de retrouver Arthur Rimbaud, un jeune poète qui a suscité l’attention avant de disparaître mystérieusement. Menant sa difficile mission avec abnégation, il va finir par retrouver l’homme et l’œuvre et contribuer à la gloire de ce prince des poètes. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique L’homme qui a sauvé Rimbaud de…
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lebibliocosme · 3 months
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Les aiguilles d'or
Titre : Les aiguilles d’or Auteur/Autrice : Michael McDowell Éditeur : Monsieur Toussaint Louverture Date de publication : 2023 (octobre) Synopsis : Dans le New York de la fin du XIXe siècle coexistent deux mondes que tout oppose. D’un côté, l’opulence et le faste. De l’autre, le vice monnayé et l’alcool frelaté. C’est à leur frontière, au coeur de l’infâme Triangle Noir, qu’une famille fortunée…
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oreilletendue · 4 months
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Accouplements 219
(Accouplements : une rubrique où l’Oreille tendue s’amuse à mettre en vis-à-vis deux œuvres, ou plus, d’horizons éloignés.) Flaubert, Gustave, Madame Bovary, Paris, Garnier-Flammarion, coll. «GF», 86, 1966, 441 p. Chronologie et préface par Jacques Suffel. Édition originale : 1857. «Une fois, au milieu du jour, en pleine campagne, au moment où le soleil dardait le plus fort contre les vieilles…
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ousontlesfemmes · 11 months
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Mary Cassatt (1844 – 1926)
Une artiste impressionniste (par Marie J)
Vous avez peut-être entendu parler de Claude Monet ou d’Auguste Renoir. Mais saviez-vous que plusieurs impressionnistes étaient en réalité des femmes ? Mary Cassatt était l’une d’entre elles. Artiste américaine, sa curiosité et son talent l’ont poussée à essayer de nombreuses techniques : huile sur toile, estampe, eau forte… Entre les États-Unis et la France, embarquez dans un voyage au cœur de l’impressionnisme au féminin.
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Mary Cassatt est née le 22 mai 1844 à Pittsburgh (Pennsylvanie, États-Unis) dans une famille aisée. Elle découvre la France pour la première fois en 1855, lorsque ses parents s’y rendent dans l’espoir de trouver un traitement pour son frère, malade. Cette recherche ayant été malheureusement vaine, sa famille rentre aux Etats-Unis à la fin de l’année. Mary Cassatt y grandit et, en 1860, rentre à l’Académie des Beaux-arts de Pennsylvanie. L’éducation qu’elle y reçoit ne lui convient guère. En tant que femme, elle n’a le droit de travailler que certains sujets comme les portraits ou les natures mortes ; les sujets « nobles » comme la peinture d’histoire sont réservés aux hommes. Mary Cassatt n’a alors qu’un seul objectif : finir sa formation en France.
Elle retourne donc à Paris en 1865. Devenir artiste femme en France à cette époque n’est pas plus aisé qu’aux Etats-Unis, si ce n’est plus difficile. L’école des Beaux-arts n’ouvre en effet aux femmes que si elles sont modèles ! Il faut attendre 1897 pour qu’elles puissent s’inscrire en tant qu’élèves. Mary Cassatt s’inscrit alors dans des ateliers privés : celui de Jean-Léon Gérôme d’abord, puis ceux de Charles Chaplin et Thomas Couture. En parallèle, elle se forme au Louvre, où elle passe de nombreuses heures à copier les œuvres du musée.
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Durant ces expositions, elle rencontre Edgar Degas qui l’invite en 1877 à se joindre aux expositions des indépendants, ce qu’elle refuse. Elle se joint finalement à la quatrième exposition des indépendants en 1879. Par la suite, elle expose trois fois parmi les impressionnistes.
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L’artiste mène alors de nombreuses recherches pour diversifier ses propositions de gravure. En 1890, elle achète une presse pour imprimer ses propres estampes. Aidée du pressier Alphonse Leroy, elle expérimente, passant plus de huit heures par jour pour imprimer ses épreuves. Avec ses dix estampes en couleurs « à la manière japonaise » elle est la seule du groupe impressionniste à mener à terme, par ses propres moyens, un vrai projet éditorial en matière d’estampe originale1.
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À partir de 1886, Mary Cassatt devient un relais privilégié entre la France et les Etats-Unis où elle effectue plusieurs travaux et expositions. Elle réalise par exemple en 1893 une fresque – aujourd’hui perdue – pour la cimaise du Pavillon de la Femme de la World’s Columbian Exposition de Chicago. Malgré ces allers-retours dans son pays natal, c’est à la France qu’elle reste fidèle. Elle décède le 14 juin 1926 au Mesnil-Théribus où elle est enterrée.
Pour en savoir plus… – Mary Cassatt, Impressions, Musée d’art américain Giverny – Connaissez-vous ? Mary Cassatt, Bruno Delarue
Notes / références : 1. Mary Cassatt, Impressions, Musée d’art américain Giverny
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tizikadesign · 11 months
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Lost in Ice
Découvrez cet incroyable dessin original de Tizika représentant un majestueux bateau à voile naviguant courageusement au cœur de l'immensité glaciale de la banquise. Plongez dans l'univers captivant des grandes expéditions du XIXe siècle dans les régions polaires et laissez-vous transporter par l'exploration audacieuse de ces terres hostiles.
Ce chef-d'œuvre artistique capture parfaitement l'esprit d'aventure et de découverte qui a animé les explorateurs de l'époque, et vous transporte instantanément dans une époque révolue où les hommes se mesuraient aux éléments les plus extrêmes de notre planète.
Retrouvez cette œuvre emblématique dans la boutique de T-shirts de Tizika et plongez dans un voyage visuel extraordinaire à travers les terres gelées de l'Arctique et de l'Antarctique, tandis que vous vous imprégnez de l'histoire fascinante des expéditions polaires.
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semioticapocalypse · 6 months
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Clarence H. White. Girl with mirror. 1898
Follow my new AI-related project «Collective memories»
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blogapart3bis · 1 year
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Enola Holmes 2
Aujourd'hui sur Blog à part – Enola Holmes 2 Après avoir résolu l’énigme de l’épisode précédent, Enola Holmes, se lance à son tour, au début de ce Enola Homes 2, dans une carrière de détective conseil. #SherlockHolmes #détective #film #xixesiècle
Après avoir brillamment résolu l’énigme de l’épisode précédent et retrouvé – brièvement – sa mère, Enola Holmes, désormais pupille de son frère Sherlock, se lance à son tour, au début de ce Enola Homes 2, dans une carrière de détective conseil. Ça ne se passe pas très bien. Comme dans, personne ne la prend au sérieux et elle est sur le point de fermer son agence lorsqu’une jeune fille, Bessie,…
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etudiantfantome · 3 months
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"Nous sommes devenus très pauvres en expérience des seuils. S'endormir est peut-être la seule qui nous est restée. (Mais aussi s'éveiller)." W. Benjamin, Das Passagenwerk, 1982.
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Prayer in the moonlight, by Giuseppe Bisi
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jacqwess · 1 month
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`1TEFAF 2024-2 - Toujours les femmes
TEFAF 2024 - my second and last blog about this fascinating art fair. It's huge, so forgive me if I didn't see all of it, and will give you here a very personal, subjective description...
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