Tumgik
#ca roule!
oripeau · 16 days
Text
Tumblr media
This week in Nantes: n°560 | Pierre, ca roule!, by Mélanie Corre ↦ NLD
More → http://www.melaniecorre.com More → oripeau.art Submit → oripeau.art/submit Playlist → open.spotify.com/playlist/4R7PXexzD8ifWlzb7YiH76
This project is supported by trempo.com
4 notes · View notes
Text
Gambettes du jour.
Gambettes du soleil.
Gambettes de la route.
Tumblr media
7 notes · View notes
renkon365 · 2 years
Text
Trop fou la vie... merci c cool!!
1 note · View note
lovelyangryheart · 2 months
Text
Tumblr media
Abel de Pujol  (French 1785–1861) Sisyphe roule éternellement son rocher, ca 1819
135 notes · View notes
homomenhommes · 1 month
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 129
Marc et moi avons été très excité de notre virée de l'autre soir (aire de repos). Ça nous a rappelé les premiers temps de notre rencontre ou nous étions beaucoup plus audacieux.
Il est vrai que ces derniers temps, à part nos vacances à La Palmyre, nous ronronnons avec le groupe d'amis que nous nous sommes fait.
C'est décidé, samedi soir il me remmènera à la boite de nuit de nos débuts.
Dès le mercredi soir, je vérifie que je peux toujours fermer le collier de chien à piques qu'il m'avait offert dans nos débuts. C'est juste, il ne reste qu'un trou de plus ! C'est là que je m'aperçois que j'ai pris musculairement. Quand je reprend mes premiers jeans taillés en shorts spéciaux, c'est pareil, à la taille ça va. Par contre coté cul, je suis serré, mes fesses se sont arrondies façon black (c'est à dire que du muscle). ;Le tissu est hyper tendu et dans la glace, je vois bien que la couture des fesses est décousue et que les bords s'écartent quand je marche. Ça fait encore plus salope ! Je teste aussi les plugs pour savoir lequel s'harmonise le mieux avec le reste de ma tenue. Je pense que le noir moyen fera l'affaire. Quand je me penche, sa base apparaît entre mes fesses dans l'écartement du jeans.
Quand Marc rentre je suis dans cet accoutrement. Il me prend dans ses bras dès l'entrée et alors qu'on se roule un patin, je sens ses doigts écarter le jeans et buter contre le plug. Sans que sa langue quitte ma bouche, il tire sur la base et fait coulisser le plug sur le cm de son étranglement, puis me le sort sur sa partie renflée et le rentre à nouveau.
Il se recule pour admirer l'ensemble. Pour voir il me demande de passer mes chaps en cuir par dessus. Ça va faire un bail que je ne les ai mis. A la ceinture c'est bon, par contre si les mollets passent bien, ce n'est pas le cas de mes cuisses qui ont forcies. Les zip fermés, je suis moulé et la bande de chair entre le cuir et le bas du short en jeans a un effet très sex. Pour les chaps il va falloir que je les détende, juste un cm de plus de diamètre suffirait. En attendant Marc me dit d'enfiler une paire de Cat et mon vieux blouson cuir (celui qui à une attache qui me passe entre les fesses et fait un Y devant pour encadre mon paquet). Pas la peine de gâcher ma préparation. Nous prenons nos casques et allons chercher nos motos. La traversée de la cour me donne un aperçu des effets que je vais ressentir. L'attache du blouson appuyant fortement sur la base du plug ! Je le suis ne sachant pas ce qu'il veut faire. Il nous fait prendre des petites routes histoire que je ressente bien les irrégularités du goudron au fond de mon trou transmissent par le plug, puis autoroute. Je devine que nous allons rejoindre l'aire de repos que je connais. Autres jour de la semaine, autres camions de garés. Nous garons nos motos en pleine lumière devant le block sanitaire. Nous nous approchons et je reste dans la partie éclairée, devant l'entrée, blouson ouvert sur mon torse glabre, lanière du blouson qu'à demi détachée devant. Je me penche pour me laver les mains au robinet extérieur, laissant deviner le plug qui me rempli. S'il n'y avait pas de chauffeurs à pisser, 2mn plus tard, je suis entouré de 3 mecs. Le premier visuellement 25 ans, 1,80m musclé juste recouvert d'un short nylon flottant tendu par un sexe en phase de raidissement. Le second la trentaine boule à zéro et boucle d'oreille, dans le même équipement mais sa bite bandée le long de sa cuisse laisse dépasser du short un gland pas mal gros. Le troisième a dépassé les 50ans, bedonnant en short et chemisette ouverte (beurk pas mon style !).
Marc sort des WC où il avait vérifié la présence de clients potentiels et l'absence de gendarmerie. Il éconduit gentiment le vieux et me vend aux deux autres. L'annonce du tarif refroidi un peu les deux mecs. Négociations, pour emporter le morceau, je me penche et leur fait admirer ma rondelle couverte par la base du plug. Ils acceptent et un des chauffeur propose de faire ça à l'arrière de son camion, il n'est pas chargé à fond et cela laisse une place suffisante. Entrée par la petite porte de coté. Il éclaire la remorque et un halogène nous aveugle jusqu'à ce qu'il pose une caisse devant pour en atténuer la violence. Marc s'installe dans un coin et me laisse entre leurs mains. Le plus jeune se colle à moi et tire sur la lanière qui passe entre mes cuisses. Le plug me rentre dans le cul et je me lève sur la pointe des pieds. Il laisse retomber. Le deuxième est derrière moi et lève mon blouson. Je le quitte. Devant, le mec me masse la bite, je bande sans pouvoir développer normalement, bloqué par le jeans. Il n'a pas l'air de vouloir me libérer de cette pression. Mes mains ne sont pas restées inactive et je lui ai descendu le short sous ses fesses, libérant sa bite. En main, je l'estime à 20/22cm par un bon 5 cm de diamètre, circoncise. Ses boules imberbes se rétractent sous mes caresses et viennent se coller à sa tige. Le second presse son paquet contre mon cul et je sens entre mes fesses coulisser un sexe de bonne taille. J'ai faim !! Je prend un préso et l'enfile au mec devant moi. Cela fait je me penche en avant et commence une pipe de bonne salope. La tête en arrière, je me l'enfourne jusqu'aux boules. Il n'en revient pas et me bloque en position " étouffement ". Je m'agite, il relâche la pression et je lui dis que s'il me laisse faire je recommencerai ça. Comme je me suis penché, le jeans s'est ouvert et la base noire du plug est apparu sous le nez du second client. J'ai bientôt senti ses doigts tirer dessus. Il admire ma rondelle s'écarter alors qu'il retire le plug. Puis il le relâche et ce dernier rentre brutalement. Je sursaute mais c'est excitant ! Il finit par me l'arracher totalement. Ses doigts (au moins trois) viennent combler le trou avant qu'il ne se referme. J'entend une pochette de kpote se déchirer et après quelques instants, je sens la pression du gland sur ma rondelle. Heureusement que j'étais bien graissé d'avance car le mec ne se préoccupe pas de savoir comment ça va glisser et pousse durement. Mon anneau se déplisse et je laisse son sexe m'envahir. Bon, très bon ! il me tient aux hanches et me bourrine le cul. Chaque buttée de ses couilles contre les miennes m'envoi prendre le gland de son collègue dans la gorge. Il ne faut pas longtemps avant que le mec se tire de ma bouche, gueulant que si ça continu il va juter avant de m'avoir enculé. Il presse son pote d'en finir pour m'enculer à son tour. Chose faite 5 mn plus tard. L'échange de place n'a pas laissé le temps à mon trou de se refermer qu'il subissait de nouveau un assaut. Pas le même genre. Comme le type était déjà passablement excité, il y est allé doucement pour pas juter dès le début. J'ai apprécié le fait qu'il tourne son bassin pendant la pénétration, qu'il se suffise à jouer à entrer et sortir son gland uniquement, puis sur 5cm seulement, puis 10/12 cm avant de me faire prendre sa bite sur la longueur totale. Cette façon de faire m'a emmené très près de ma propre jouissance et c'aurait été chose faite, si Marc ne m'avait pas dit que la soirée ne faisait que commencer.
Une fois mes deux premiers clients purgés, le plug remis en place, ;je suis ressorti faire le " trottoir ", Marc à 10 m derrière moi. Le casque à la main, j'ai déambulé sur la bordure passant devant toutes les cabines des camions. Beaucoup avait les rideaux tirés mais je me suis pris des réflexions de chauffeurs prenant le frais, assis sur les marches pieds. Plusieurs m'ont demandé " combien la pipe ?". Je me suis arrêté dans un groupe de 4 mecs en train de se passer une bouteille. Ils étaient plus jeunes que les autres chauffeurs et leurs physiques m'allaient bien. Un m'a filé la bouteille et une lampée m'a fait prendre conscience que c'était loin d'être de l'eau. Je la rendais en toussant ce qui m'a valu le commentaire que c'était une boisson d'Homme. Je répliquais d'un " c'est pas la boisson qui fait l'Homme mais le poids de sa queue ". Ça les a excité et j'ai vu sortir des jeans et shorts 4 paquets, plus qu'au repos même si pas encore bandés à fond. Je sortais le mien qui n'avait pas débandé depuis le premier assaut de mon cul. Quatre sifflements on accompagné mon exhibition. Faut dire que mes 20cm sont sortis comme poussés par un ressort. Les mecs ont bandé ferme de suite. Concours de longueur et de diamètre. J'étais dans la moyenne. Deux bites plus courtes mais plus larges et deux plus longues même largeur que moi. Pour m'en assurer, je les avais toutes prise en mains l'une après l'autre, sans provoquer de recul. Les boules, elles étaient plus ou moins poilues mais aucunes rasées, dommage ! Un des mecs à queue plus courte était " sévèrement burné ", deux très grosses boules pendaient sous sa queue. Marc s'est alors approché et leur a mis le marché en main. Leur disant qu'il était prêt à faire un tarif groupe. Les types qui dans un premier temps s'étaient méfié de son approche, ont négocier dur et je me suis trouvé vendu pour 160€ (les chauffeurs routiers ne roulent pas sur l'or !). Le premier qui m'a mis la main au cul a été surpris de le trouvé plein de mon plug. Il a rameuté les autres pour qu'ils viennent voir. J'ai lâché les bites que je branlais et je me suis plié. Mes fesses se sont écartés pour laisser voir le rond noir de la base du plug. Commentaires : " qu"elle salope, il en veut de la bite, j'vais te mettre du vrai ce sera meilleurs..." Marc a veillé à la distribution de kpotes au déplaisir de certains mais à ma grande sécurité !! Rapidement je me suis trouvé la bouche prise par une bite envahissante, le cul ramoné consciencieusement et les mains pleines des deux autres participants. J'ai subit une vraie tournante. Dans le sens des aiguilles d'une montre, il ont échangé leurs places. Bien que cachés entre deux de leurs camions, nous avons attirés quelques spectateurs. Marc a laissé faire, essayant de repéré dans le lot mes prochains clients. Au deuxième tours, ils ont tous déchargés au fond de mon cul leurs spermes bloqués par le latex. Il a fallu que je pense à des trucs moches pour ne pas juter.
Alors que les choses étant finies et que l'attroupement se dispersait, un beau viking a abordé Marc avec un billet de 100€. Occupé à replacer mon plug, je n'ai pas suivi l'arrangement. Marc m'a juste dit de le suivre dans sa cabine. Nous montons, les rideaux sont tirés et l'espace ainsi protégé est conséquent. Quand mon viking tombe le short, je vois apparaître un sexe blanc juste surplombé d'une ligne de poils taillés. Encore mou, il doit faire déjà dans les 12cm par 3. je me penche et le prend en main pour le faire bander et le kpoter. Il se développe, encore et encore pour finalement avancer un sexe hors norme de 24/25 cm de long par plus de 6 de large à la base. Je Kpote et commence ma pipe. Marc s'est calé contre une portière et nous laisse faire. Je suce donc à m'écraser les cordes vocales, son gros gland rose envahissant régulièrement ma gorge. D'ailleurs, à chaque fois que ses couilles tapaient mon menton, il gémissait de plaisir. Ce traitement devait avoir trop d'effet car il m'a repoussé et tourné. Plié sur le siège passager, la tête sur sa couchette, il m'a écarter les cuisses et à joué quelques minutes avec le plug. Je laissais coulisser facile puis serrant mon anneau j'ai bloqué tout mouvement, je ne voulais pas qu'il croit que mon cul était une chatte molle. Il a grommelé un " yeh, good ass ". Comme il s'apprêtait à m'enfiler ses 25 sans précautions particulières, Marc m'a rapidement fait sniffer du poppers. J'ai pris du coup la totalité du mec dès le premier coup de rein ! Son limage profond et puissant m'a emmené rapidement aux portes de la jouissance. Il faut dire qu'il venait après tous les autres qui m'avaient bien chauffé. Il m'a tourné la tête vers la portière et à baissé la glace pour mettre ma tête dehors. Je l'ai senti s'immobiliser quelques instants au fond de mon trou puis reprendre ses va et vient. Je l'ai senti après la pause, plus rapide et encore plus gros dans mon cul. De plus lui qui m'avait jusque là sauté sans un mot, geignait à chaque fois qu'il reculait. (j'ai su plus tard que Marc à ce moment là l'enculait sévèrement, à sa demande). J'ai eu aussi du mal à ne pas geindre aussi et nos bruits ont alerté le camion d'à coté. Nous avons eu un spectateur qui n'a pas tardé à se branler devant notre prestation. J'ai senti simultanément : le viking s'enfoncer à fond et remplir sa kpote, une morsure du même individu sur mon trapèze droit et vu le jus de notre voyeur s'écraser sur notre portière juste sous mon menton. Quelques secondes plus tard, de nouvelles secousses dans mon cul me transmettaient l'éjaculation de Marc dans le cul du viking.
J'ai remis le plug pour le retour histoire de pas saloper la selle, les limages successifs m'ayant bien ouvert le trou (demain exercices de contraction d'anus !!).
Nous sommes rentrés à 3 h du matin moi, sur les rotules, et Marc ravi de mon comportement. J'aime être à sa botte, lui peut tout me demander, il le sait et n'en abuse pas. Je finis la nuit blotti au creux de ses bras.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
12 notes · View notes
skubri30 · 6 months
Text
Tumblr media
CABANNES - Bouches du Rhône
Ca roule, mais plus pour tout le monde
11 notes · View notes
alexisgeorge24 · 5 months
Text
9 décembre :
Je récupère ma voiture comme convenu à 09h00. La VW est dans un état pitoyable. La carrosserie a plusieurs chocs, la garde à l'avant tient avec des câbles, 145k km au compteur, sièges déchirés, et pleins d'autres signes de vieillesse. L'avantage c'est qu'ils ne seront pas regardant si jamais j'en rajoute. Je fais le plein et je prends la route direction Cafayate mais via la Ruta 40 qui passe par Cachi et les chemins dans la montagne. Je reviendrai par la route direct afin d'y faire la boucle. Je passe donc par la Quebrada De Escoipe, la cuesta del Obispo et la Valle Encantado. C'est encore différent de ce que j'ai pu voir. Aux paysages arides d'avant, s'ajoute un peu de végétation, juste assez pour rajouter des légers traits de vert. C'est pas bête. Passé le col de la Piedra del Molino, je traverse une pampa d'altitude avant de bifurquer sur une route en terre comme recommandé par le routard, le camino de los Colorados. Je roule à 20km/h car ça secoue pas mal dans l'habitacle, et au bout de 15min j'ai le voyant orange "moteur" qui s'allume. Aucune voiture ne passe par la où je suis et je ne capte pas... Super. J'imagine que orange signifie "vérifie si tu peux mais t'inquiète roule au pire". J'avoue ne pas être serein et je mets de la musique fort pour ne pas y penser. En tout cas les paysages sont magnifiques. J'arrive à Cachi et le voyant s'éteint. Ouf. Plus de peur que de mal. Je pose ma tente au camping et je vais prendre l'apéro dans une brasserie locale qui brasse sa propre bière. Elles sont très bonnes. Je dîne, encore, végétarien afin de créer du manque à mon appétit carnivore et savourer davantage la viande la prochaine fois. Le village est assez animé pour sa taille et je m'y plaît bien.
10 décembre :
Au réveil j'explore en voiture et à pied les environs du village dans des vallées s'enfonçant vers la haute chaîne de montagne. Avec le lever du soleil et les nuages on aurait dit des tableaux naturalistes. Après avoir fait un musée au village qui ne restera pas dans les annales, je poursuis vers la Laguna de Brealito. La route à travers cols et vallées sous des nuages à densité hétérogène est sublime. Le lac est gris à l'ombre, vers au soleil. Je ne m'y attarde pas car j'ai de la route jusqu'à Cafayate. En chemin d'un coup je commence à entendre un bruit de cliquetis de la roue avant, surtout aux virages. Je m'arrête inspecter 2-3 fois et je ne vois rien. Je me dis que c'est probablement un bout d'habillage qui frotte contre la roue et je continu. 30km plus loin, j'entends un bruit sec de rupture et la voiture pile. Super... évidement toujours pas de signal. J'arrête la 1ere voiture pour qu'elle m'emmène à Cafayate mais pendant que je prépare mon sac, le chauffeur constate que ma route s'est désolidarisée du moyeu et qu'il manque les 4 boulons (sur 4!). Il me propose d'en retirer un de chacune des 3 roues restantes et de la refixer. Mais comme il est pressé il part. 1min plus tard alors que je galère, une autre voiture s'arrête et m'aide ("fait" plutôt, pendant que je regarde) à remonter la roue. Il me demande comment est ce possible que mes 4 boulons manquent et j'ai l'air bien con. Je n'ai pas du tout vu qu'il manquait des boulons lors de mes "inspections"... je pense avoir certaines qualités, la mécanique n'en n'est pas une... 100% des voitures qui passent s'arrêtent et me demande si j'ai besoin d'aide. Je retire ce que j'ai pensé sur les argentins pendant que je faisais du stop. bref, je repars mais escale de nuit au village de Molinos; plus le temps pour Cafayate. Je pose la tente et direction le restaurant. Sur le chemin je constate que j'ai le pneu crevé... il a du prendre un coup au moment de la rupture du boulon. Changer de pneu, ça au moins je sais faire... Mais il me restera 80km à faire sur piste, avec 3 boulons sur chaque roue, et sans roue de secours.
11 décembre : Route vers Cafayate avec comme première halte la Finca El Carmen. Une sorte de ferme / vignoble / villa datant de Lucky Luck, qui a su conserver et exposer son héritage technologique (moulins et autres procédés de moulage du XIX aux années 90') et son église du XVII. Le tout devant une vallée verdoyante précédant une chaîne de montagne de gré rouge. Tout se visite et j'y suis à l'ouverture, tout seul. Je crois être au paradis. En plus, des sortes de perroquets sauvages ont investi les lieux et volent partout. Je continue ma route et pénètre dans la valle de las flechas, un enchaînement de canyons et points de vue sur ces formations de roches un peu chaotique mais à la fois harmonieuse, comme une danse contemporaine (je me comprends). Un peu avant Cafayate la route redevient bituminée et je déstresse un peu concernant la voiture. Arrivé au (gros) village de Cafayate, je me trouve un logement puis je cherche un garagiste pour qu'il me mette de nouveaux boulons, change mon pneu crevé et retire le boulon cassé. J'en ai pour 4 heures mais le garagiste est super sympas avec moi, il ne me facture absolument RIEN, ni son temps de travail ni les nouvelles pièces (sauf le retrait du boulon qu'il a sous traité, 8eur). Il pense pouvoir m'impressionner en me citant des pilotes automobiles français, mais je ne connais rien en ce domaine. Mon imposture de mec intéressé doit se poursuivre puisqu'il m'invite chez un pote à lui qui est amateur de veilles caisses et qui en possède une belle collection. En effet son garage est bien fournit et je reconnais un véhicule qui se distingue des autres puisqu'il n'a que 2 roues, il s'agit d'une "moto" (voici l'étendu de mon expertise en la matière). J'arrive à entretenir une conversion de méchano grace à mon travail au BE de Safran. Ils sont impressionnés malgré mes limitations flagrantes en espagnol sur le sujet. Le soir c'est apero et dîner dans ce très charmant village entouré de vignes qui mériterait que je m'y arrête une semaine.
12 décembre :
Je dois rendre la voiture à 9h à Salta, je suis à 3h de route sans compter les haltes (qui seront très nombreuses, les paysages sur le chemin sont annoncés splendides) et je prends le volant à 6h30, après avoir re-changer le pneu qui est dégonflé... Le garagiste a du faire un travail à la hauteur de sa tarification. Sur la route je traverse la Quebrada de las Conchas et je réveil le soleil qui veut bien m'éclairer la vallée qui forme un large tapis vert bordé par des sommets ocres. Je fais une 10aine d'arrês et j'utilise 2 batteries de drone en 2h, un record. Faut dire que j'ai devant moi une des (la ?) plus belle vallée de mes voyages. Toujours sur le chemin je prends 3 stoppeurs, un père avec ses 2 garçons. C'est un "hippye / paysans / artisan" qui vit dans la vallée un peu à l'écart de la société et qui va à Salta ("Babylone Babylone", à scander comme Bob) se ravitailler. Il est très sympas, il sent le chorizo oublié dans un placard, mais avec les fenêtres grandes ouvertes ça va. Je rends la voiture à 12h00, soit avec 3 heures de retard, et j'ai un peu envie qu'on me reprimende afin qui je puisse commencer à donner des coups de boule. Pour résumer l'état de la voiture: clim défectueuse, joints des portes arrachés (ce qui fait qu'avec les chemins en terre, l'habitacle était rempli de poussière), voyant moteur allumé, liquide essuie glace manquant, alarme anti-vol qui s'est activé 7-8 fois sans raison, 145 000 km au compteur, et jattribue à l'état de la voiture que les boulons se soient barrés. En bonus, payer par CB c'est facturé 10%, donc j'ai payé en liquide. Plus tard je me rends compte que j'ai été con, ma CB m'assurant la location de voiture... Et il y a un supplément si la voiture n'est pas rendue propre. Malheureusement il n'y a personne au bureau pour que j'exprime mon mécontentement et je suis redirigé vers un Car Wash pour que je rende la voiture à un intermédiaire. Je passe le reste de la journée à Salta; toutes les attractions qui me manquaient sont fermées et à la place je fais une grosse siestes avant le resto.
13 décembre :
Je redescends à Cafayate en bus, puis j'en prends un autre qui continue dans la même direction jusqu'au site archéologique de Quilmes. Le musée est très intéressant mais je suis un peu déçus des paysages et des ruines; je suis habitué à bien plus beau... Un peu plus loin, en stop, je visite le musée "Pachamama", un très joli bâtiment avec des espaces extérieures décorés avec des petites pierres formant des statues, murs et sols en mosaïques. De plus je suis tout seul. Puis bus jusqu'à Tucumàn où j'enchaîne avec un bus de nuit pour La Rioja.
3 notes · View notes
Text
Depuis quelques temps, j'ai envie d'un Black. Avec un grand B. Personne en particulier. Un Black.
C'est la première fois que j'ai envie d'un mec. Un mec en entier. D'habitude c'est les bites et les situations qui m'excitent. Pas les mecs. Je ne me sens pas gay. Je n'embrasse pas. Je ne masse pas ni ne caresse! Je branle, je suce, je me fais baiser... c'est ça que j'aime!
Mais là, depuis quelques semaines, je me branle en pensant que je suis la femme mâle d'un Black. Je ne me vois même pas en fille ni en travestie.
Je suis en mec. J'ai envie de lui. Je le vois grand, musclé, sympa et plutôt directif. On se voit dans l'heure de midi. Où il décide!
Il m'embrasse à pleine bouche. Je caresse son corps ferme et chaud. Je sens monter son plaisir. Et il m'embrasse encore. Beaucoup. Goulument. Je le caresse sous son T-shirt. Je sens son torse. Lisse.
Il me prend pour sa femelle. Ne me lâche pas. Il est ferme. Il dirige.
Sa queue durcit. Je la caresse à travers son jean. Je la sens bien contre moi. Dure. Grande. Grosse.
Il me plaque contre lui. Me touche les fesses. Me fait sentir que je lui appartient.
Quand il est prêt, il me fait signe de le sucer. Là où on est. Dans sa voiture, sur un parking, dans sa chambre...
Je sors sa queue. Énorme. Je la suce comme je peux. Je la branle. La caresse. Je lui lèche doucement le gland. Le frein. Ses couilles lisses. Pleines.
Elle est dure. Je suis sa femme. Il me lève pour m'embrasser sur la bouche. Dans la bouche. A pleine bouche. Il adore. Moi aussi.
Il est dur. Ferme. Chaud. Black. Excitant. Il dirige. Je kiffe.
Je le suce à nouveau. Je sens qu'il s'excite. Du jus transparent commence à couler doucement. Je sens le goût.
Il me relève. Me défait mon jean. Me le baisse sur les genoux. Il fait pareil avec mon slip et me plaque contre le capot de sa voiture. Je suis à lui. Je suis un mec et je me sens être sa femme. Sa pute plutôt. Il est marié et je suis son vide couilles surtout!
Il m'écarte les fesses, crache sur mon trou, et étale sa bave avec le bout de sa bite.
Je suis plaquée sur le capot. Lascive. Je sens sa main qui m'appuie dans le dos. Fermement.
Je sens son gland contre mon trou. J'ai envie qu'il rentre. Je l'attends. Je sais que ce sera fermé. Appuyé. Profond.
Il y va. Mon trou a l'habitude. 4 a 5 fois par semaine au minimum. Le passage est fait!
Il ne s'arrête pas. Quand il commence à rentrer, il va jusqu'au bout. Doucement mais sans s'arrêter. C'est propre. Je me lave désormais tous les matins en prenant ma douce. Au cas où il m'appelle. Me siffle!
Je le sens bien. Il me plaque toujours. Je suis à lui. Des voitures passent sur la route pas loin. Nous sommes un peu cachés, mais pas tant que ça. Il s'en fiche. C'est un vrai mâle. Un baiseur. Un alpha. Il assume de baiser une femme, un mec, un travesti. Il plante sa bite, il jouit et c'est tout ce qui compte!
Il me baise. Je suis excité d'être là. A sa merci. Toujours plaqué contre son capot. Je subit. Il dirige tout. S'en fiche de ce que je pense. Il baise.
Je sens sa queue me remplir à chaque va-et-vient. Profondément. Au début ça fait toujours un peu mal. Mais mon corps s'habitue au fur et à mesure des coups de boutoir. Je me garde bien de dire quelque chose. La situation est trop excitante pour que je gâche le moment.
Je suis sa femelle. Son dégorgeoir. Sa femme ne lui suffit pas et il aime baiser un petit mâle, me dit-il régulièrement.
Il accélère. Ça va venir, je commence à le connaître. Il ne s'éternise pas.
Il me plaque plus fort. Ça vient. Il se crispe au fond de moi. Bien au fond. Il jouit.
Tout s'arrête. Il me tient toujours fermement. Il profite de son plaisir. J'adore.
Il se détend enfin. Ressort et m'invite à le nettoyer.
Je m'exécute. A genoux de nouveau. Je lèche. J'avale. Je nettoie sa bite avec ma bouche. L'odeur et le goût de mon cul m'excitent. Elle doit être nickel.
Je sens son jus couler sous moi.
Il se rhabille. Me roule une dernière pelle. Il adore ça après que je l'aie nettoyé. Puis il me laisse planté là comme d'habitude.
Il me sifflera quand il aura de nouveau besoin de se vider... demain ou après demain sans doute!
6 notes · View notes
queersrus · 1 year
Text
Casino theme
for a friend
(nick)names:
gamble, gambler, gamblett, gambit, gamblin, gamblina, gamblino, gambline poker, pool chip, coin, card, carde, carder, cardel, casi, casina, casino, casine, crap, craps, cash, deal, dealer, deala, dealah, dice, die bet, better, bettin, blackjack, bingo, baccarat, jack spade, scratch, snakeyes, luck, lucky rou, roul, roule, roulette, roll, reno wheel, win, winn, winner, winnie fortune, fold, fortuna money
1stp prns: i/me/my/mine/myself
ca/cas/casi/casino/casinoself gam/gamble/gambles/gambleself ca/card/cards/cardself bet/bets/betself
2ndp prns: you/your/yourself
cas/casino/casinoself card/car/cardself gam/gamble/gambles gamble/gambler/gamblerself bet/better/betself
3rdp prns: they/them/theirs/themself
cas/casino/casinos/casinoself cas/ino, casino/casinos car/card/cards/cardself car/d/cards, card/cards gam/gamble/gambles/gambleself gam/ble, gambles/gambles gam/gambler, gam/bler, glambler/gamblers gam/gambling, gam/bling, gambling/gamblings gamble/gambler/gamblings/gambleself bet/bets, bet/betting, bet/better bet/better/bettings/betself
titles:
the gambler, the gambling (man/woman/person), the gambling (thing/creature/being), the one who gambles, the better, the bet placer, the one who bets, the one who places bets, the one who placed a bet, the dealer, the one who deals, the card dealer, the winner, the patron of luck, the patron of lady luck, the dice roller
(prn) who gambled, (prn) who gambles, (prn) who is known to gamble, (prn) who bets, (prn) who holds the cards, (prn) who placed a bet, (prn) who deals the cards, (prn) who holds the dice, (prn) who rolls the die
dice (king/queen/royal), card holder, bet winner, gambling (king/queen/royal)
18 notes · View notes
c-etait-ailleurs · 6 months
Text
Il est plus probable de croiser l'un [des tueurs en série qui se baladent en liberté] que de gagner trois cent cinquante millions de dollars à la loterie. Et il y a plein d'autres tueurs en série. Ils ont pour nom cancer ou AVC, ou encore ce crétin d'alcoolo carburant à la vodka qui roule à contresens sur une voie rapide — la vôtre — à cent quatre-vingts kilomètres-heure en fantasmant que sa minable Honda Accord est le Faucon Millenium. Dans un cas de ce genre, le scénario optimiste est la mort instantanée par décapitation. Et le pessimiste ? On se retrouve paraplégique, à pisser dans une poche fixée à la hanche pendant vingt-cinq ans. Et avoir une imagination hypertrophiée, c'est le savoir avec certitude.
Stephen King, Avant propos 2010 à Anatomie de l'horreur, LdP 2020 p. 13
2 notes · View notes
marie-swriting · 10 months
Text
Ton Plan Fonctionne ? - Steve Harrington
Tumblr media
Drabble Masterlist
Résumé : Steve pense qu'il peut toujours obtenir facilement le numéro d'une fille, tu penses que ce n'est pas le cas.
Warnings : sister!reader, la reader a 14 ans, situé avant la saison 3.
Nombre de mots : 775
Version anglaise
Version Wattpad
Prompt : "Was I supposed to be impressed ?" (J'étais censée être impressionnée ?) 4ème prompt de cette liste faite par @exhuastedpigeon
- Hey abruti ! t'écris-tu, faisant se retourner Steve.
- Qu'est-ce que tu veux, Y/N ?
- Tu me fais une glace ?
- Tu m'insultes à mon travail et tu veux que je te donne une glace ? questionne-t-il, outré.
Tu roules des yeux avant de sortir ton visage innocent et de déclarer d'une petite voix :
- Je m'excuse, mon frère adoré. Est-ce que je pourrais avoir une glace, s'il te plait ?
- Je te la fais, ta glace, mais seulement parce que je veux plus voir ta tête, abandonne Steve, agacé.
- Je t'aime aussi.
      Pendant que Steve s'occupe de ta commande, tu l'observes, voulant le déstabiliser. Il a commencé à travailler chez Scoops Ahoy il y a seulement trois semaines donc il n'est pas encore tout à fait à l'aise. Pour toi, c'est l'occasion parfaite pour avoir des glaces gratuites et te moquer de ton frère. Mais à ta plus grande tristesse, Steve arrive enfin à faire son travail sans faire une erreur.
      Quand il a fini, tu prends ton pot et t'installes à une table proche du comptoir. Steve lève les yeux au ciel en ne te voyant pas partir. Tu prends ton temps pour manger, souhaitant l'énerver un peu plus. Alors que tu replonges ta cuillère dans ta glace, tu te tournes vers lui en prenant un faux air angélique :
- Dis-moi, Steve, ton plan fonctionne ? T'arrives à avoir des numéros ?
- Oui. Totalement. Quelle question ! s'exclame-t-il en tentant de la jouer cool.
- Euh, techniquement, tu en as eu zéro, le corrige Robin en arrivant au comptoir.
- C'est faux, j'en ai eu un !
- Ouais, zéro et demi. Elle n'a pas donné le bon.
Suite à l'information de sa collègue, tu ne peux t'empêcher d'exploser de rire en imaginant la scène.
- J'aurai aimé voir ça. Je n'arrive pas à croire qu'après toutes ces années à être surnommé « Roi Steve », tu galères autant. J'adore, déclares-tu en reprenant un bout de glace.
- C'est toujours agréable de se sentir soutenu, ironise ton frère. Mais on va voir qui rigolera quand j'aurais une petite amie avant la fin des vacances alors que tu traineras toujours avec ton petit groupe d'amis.
- Au moins, ils ont mon âge. On t'apprécie beaucoup Steve, mais tu nous fais de la peine à trainer avec nous.
- Attends, les gamins qui viennent presque tous les jours, ce sont tes amis ? demande Robin et tu hoches la tête. Je reviens, informe-t-elle avant de partir chercher un tableau blanc.
Tout en finissant ta glace, tu regardes Robin prendre un marqueur et dessiner deux colonnes avec pour titre "YOU RULE" et "YOU SUCK". Dans cette dernière, elle fait un trait avant d'annoncer :
- Je sens que cette partie va vite être remplie.
- Ouais, c'est ça. Continuez à vous moquer, mais je vais vous prouver que j'ai toujours du charme. Je vais même le faire maintenant, affirme Steve en montrant la nouvelle cliente. Prépare-toi à mettre un trait dans la colonne « YOU RULE », dit-il à Robin avant de sourire à la jeune femme. Bonjour bienvenue chez Scoops Ahoy, je peux vous offrir une glace ?
- Bonjour, est-ce que je peux avoir une glace au citron, s'il vous plait.
- Tout de suite.
Steve est totalement concentré dans la préparation de glace, faisant attention à ce que rien ne déborde. Une fois terminé, il tend le pot à la cliente. Elle s'apprête à le payer quand il la stoppe avant de lui faire un sourire charmeur et déclarer :
- C'est cadeau.
- Vraiment ?
- Oui, ça me fait plaisir.
- Merci, mon copain va être content, sourit-elle alors que le visage de Steve se décompose. Bonne journée.
      Tu attends que la jeune femme soit partie avant de t'esclaffer avec Robin. Tu te tiens le ventre pendant que Robin trace un nouveau trait dans le tableau. Steve essaye de ne rien laisser paraitre, même si on peut voir son embarras dans son regard.
- J'étais censée être impressionnée ? demandes-tu en calmant ton rire. Ta tête était magnifique, j'aurais aimé pouvoir te prendre en photo. Bon, j'aimerais continuer à me moquer de ton manque de charme, mais je dois trainer avec mes amis, déclares-tu en jetant ton pot. A plus, Robin, dis-tu en sortant et en ignorant ton frère.
- Rentre à la maison pour 18h ! t'ordonne Steve.
- Si tu arrives à avoir un numéro, peut-être.
- J'adore ta sœur, sourit Robin, faisant rouler des yeux Steve. 
Drabble Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
2 notes · View notes
oripeau · 16 days
Text
Tumblr media
This week in Nantes: n°560 | Pierre, ca roule!, by Mélanie Corre ↦ NLD
More → http://www.melaniecorre.com More → oripeau.art Submit → oripeau.art/submit Playlist → open.spotify.com/playlist/4R7PXexzD8ifWlzb7YiH76
This project is supported by trempo.com
2 notes · View notes
rayondelun3 · 10 months
Text
Quand tu roule le shit tu positionnes tes mains comme si tu allais prier. Et tu frottes, tu roules, t'étales et tu sépares tes petites boules.
Le verre à droite ;
undefined
unknown
Tumblr media
La Monster à gauche. Tu comprends qu'il n'y a que comme ça que je peux écrire et fumer une substance amer.
Je tousse, je bois une gorgée, c'est très chargé mais je n'ai pas fermé l'œil de la nuit. C'était pourtant le deuxième.
J'ai trop tiré, je sais que je tire trop, je tire sur tout.
Assise par terre j'écris des trucs :
Dans mes rêves j'ai le Death Note ; classe de 3e, Mael t'es mort, c'est toi qui meurs en premier. Ensuite Hugo te rejoindra en enfer, en tout cas j'espère que c'est au moins là bas que vous finirez parce que le karma ne se montre pas - et si je devenais le karma ?
Ce serait au moins autant la merde qu'ici parce que même sous coc, sous shit, sous substances, je pense à vous et à tous les autres. À ce que vous m'avez fait endurer toutes ces années. C'est fini mais ça tourne de temps en temps comme un disque rayé dans ma tête, une partie est voilà, peut-être la pire, peut-être la boucle d'oreille que j'aimais tant que tu m'as arraché en même temps que ma culotte blanche.
J'aimerais vous enterrer vivants pour que vous compreniez ce que ça fait. Vous regarder supplier, répéter non non arrête et ne pas m'arrêter.
Parce que ma vie est extrêmement difficile à cause de vous et tous les autres, je ne suis pas encore libre mais je fais tout pour me libérer. Je me battrai encore s'il le faut.
Je ne vous laisserai plus jamais gagner.
Ma vie est un combat, je lutterai jusqu'à la mort et savourait comme si j'allais mourir la seconde suivante chaque instant de bonheur que la vie m'accordera.
Et vous, les hommes monstres, les hommes qui n'aiment pas les femmes, si vous ne changez pas, mourrez.
Vous ne réussirez pas non plus à diviser les femmes entre elles, même mon ennemie je la défendrai de vous. Monstres répugnants.
Mortellement votre ;
- Lisa.
6 notes · View notes
arypurple · 10 months
Text
DL - Résumé foireux S01.ÉP11
Tumblr media
Nous retrouvons donc la connasse de service en train de boire ce qui semble être un grand cru de vin rouge en train de rire avec ce personnage aussi vide que le néant qu'est Richter. Forcément, le tonton a sûrement fourni une bonne bouteille d'alcool. Il n'est pas dit que Cordelia va boire un vin leaderprice qui vient tout droit du dépanneur du coin ! Bien sûr, Claude Faustus se tape encore l'incruste et la mère des triplés ne se gêne pas de lui dire que s'il n'avait pas un énorme balais dans le cul n'était pas aussi coincé, qu'il ressemblerait à Karlheinz quand elle l'a rencontré. Si je vous donnais la liste ainsi que mon point de vue sur toutes les conneries que cette chaudasse a fait avec le corps de Yui, ce ne sera pas un résumé foireux, mais un énorme one-shot. Visiblement, le tonton ne voit aucune objection à ce que son amante courtise Reiji et lui roule une pelle devant lui. Parce que pour Cordelia, rien n'est plus sexy que d'embrasser son beau-fils et de vouloir coucher avec lui sous prétexte qu'il lui fait penser à Papamaki ! Et là, le Butler sort the best replic en lui disant qu'une femme souillée par la débauche comme elle ne le fait pas bander l'attire pas. Pourtant, monsieur a bien profité de ce baiser ~ S'ensuit une gifle de la part de Cordelia avant que les autres ne se ramènent... sauf Oréo-sama ?? Alors quand Yui se blesse en cours de gym et ne récolte qu'une blessure aussi minime qu'une petite écorchure sur le genou, il ramène sa fraise en se supportant pas que son sang soit gaspillé, mais quand c'est sa mère qu'il a buté pour d'excellentes raisons qui possède son corps et Richter qui est dans les parages, monsieur est abonné aux absents ! Une confrontation... malheureusement pathétique s'ensuit puisque Subaru décide de se la jouer One Punch Man en attaquant tonton sans succès et les autres... décident de regarder sans rien faire ?! Apparemment, leurs couilles sont tombées aussi rapidement que le scénario et la Reine des connasses ordonne à son amant de buter les gars en promettant de le faire monter sur le trône.
Tumblr media
Mais non, pas CE trône-là, bordel ! Bref, si Richter nourrit un amour véritable pour Cordelia dans le jeu... ce n'est visiblement pas le cas de l'anime où il avoue qu'il se sert d'elle pour devenir le chef de la famille. En effet, le premier qui fera en sorte que Plante Verte atteigne l'éveil deviendra le chef de la famille. Et le fait que Yui ait le cœur de Cordelia fait en sorte qu'elle puisse survivre à l'éveil. Attendez... vous aviez cru qu'une fille frêle, petite et maigre comme elle pourrait survivre à l'éveil ??? Autant espérer que la covid disparaisse d'ici décembre, oui ! Et qui c'est qui voilà ?? Oréo-sama ! Personnellement, je me demande sérieusement où il était tout ce temps. Peut-être qu'il était lui-même sur le trône et que c'était la grosse commission ! Et là, nous assistons au seul combat épique de l'anime qui va durer... trente secondes.
Tumblr media
Trente secondes où Richter combat Ayato en retenant Plante Verte de son autre bras. Personnellement, je le trouve tellement misérable, ce personnage, mais bon ! Il embroche ensuite son propre neveu, car c'est ÇA la famille Sakamaki ! Et Yui reprend finalement le contrôle de son corps... avant de fuir loin du tonton. Mais merde, Yui... ce gars il te réservait un sort atroce ! Il aurait fallu un gros coup en plein dans ses couilles qui doivent être vraiment pleines à cause du temps sans le faire avec Cordelia ! Plante Verte a un éclair de génie et décide aussi de se staber en se disant que ça va arranger les choses. Les frères semblent surpris que leur casse-croûte digne du cinq étoiles décide de se suicider, mais préfèrent visiblement... observer le spectacle ! Mais apparemment, sa tentative, comme toutes ses tentatives de fuite, est encore INUTILE car la grognasse reprend le contrôle en se vantant de bientôt avoir ce corps avant de tomber dans les vapes (si elle avait vraiment visé le cœur, Cordelia serait morte !). Cordelia, si j'étais toi, je ne me réjouirais pas trop vite de me retrouver dans ce corps.
2 notes · View notes
fallenrazziel · 2 years
Text
Les Chroniques de Livaï #547 ~ SANS AMBITION, IL N’Y A PAS DE TALENT (août 846) Livaï Ackerman
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
Tumblr media
Je suis sûr d'avoir fait le bon choix. Equipe entièrement masculine, huum... c'est une première, en général, les escouades sont mixtes, ça permet d'équilibrer pas mal de choses. J'espère que tous ces garçons vont pas finir par se bouffer le nez sans une présence féminine pour les recadrer...
Je jette un oeil dans le mess et constate que mes quatre soldats sont en train de papoter tranquillement devant un verre. Enfin, seulement trois ; Bernon ne fait qu'écouter comme à son habitude. Je sais pas encore très bien comment je vais le gérer, malgré ce que j'ai dit à Erwin... mais son talent mérite que je me creuse la cervelle.
Ils ont l'air de déjà bien s'entendre ; j'ai bien fait de les coller dans la même piaule. Erd et Gunther sont des braves gars, ils vont les mettre à l'aise. Mais pas trop non plus... Je vais devoir m'en mêler et donner le ton. Je tape fortement mes bottes sur le sol, annonçant mon arrivée et les quatre jeunes me regardent avancer vers leur table. Kryshan - bon, je vais finir par l'appeler Krys, c'est plus simple - se pousse sur son banc pour me faire de la place entre lui et son frère. Un verre plein semble m'attendre... J'enjambe le banc et renifle un peu... Du jus de pomme, ok, ça me va.
Au milieu de ces deux prodiges, je sens une grande vitalité, une énergie formidable nous entourer. Je me demande si Gunther et Erd le perçoivent aussi... Ils sont tous les deux particulièrement aimables et souriants, et ne font preuve d'aucune gêne à mon égard, comme si j'étais de leur rang. Je suis leur chef maintenant, il faut bien qu'ils le comprennent. Je suis pas à cheval sur le protocole d'habitude, mais leur décontraction innocente peut se révéler dangereuse sur le terrain. Enfin, je leur réserve de quoi les mettre au pas...
Je sirote un peu le jus de pomme, écoutant leurs bavardages, et le regard perçant de Bernon me fait tourner la tête. Il me scrute de façon neutre, puis hoche la tête sans que je puisse deviner à quoi il pense. Je me lance... Personne se moque de toi dans le régiment, ça roule ? Il acquiesce. Si quelqu'un t'emmerde, tu viens me voir. Mais ça arrivera probablement pas, les explorateurs sont des bonnes pâtes concernant les spécimens hors normes. Sauve autant de leurs culs que tu pourras et tu gagneras le respect, ça marche comme ça. Vous vous seriez fait chier comme des rats morts dans les brigades spéciales, vous avez bien fait de vous barrer.
Bernon sourit avec difficulté et observe Erd et Gunther de façon insistante, semblant leur demander quelque chose. Krys se penche en arrière sur le banc, scrute son frère puis se redresse en me faisant face. Comment ça marche, leur manège mental ? Bon, allez, qu'est-ce qu'il a dit ? Krys demande si je parle de cette façon avec tout le monde. Bernon trouve mon accent et mon vocabulaire assez extraordinaires. Ouais, ttcchhh, je parle comme ça, je suis né avec. Va falloir vous y habituer.
Et toi, explique-moi comment tu fais pour savoir ce qu'il pense. Il reste évasif, évoquant les micro-expressions, les sourcils, les mains, la bouche de son frère comme des indicateurs précis, des tas de détails qui, mis ensemble, forment des phrases qui lui paraissent tout à fait claires. Ca m'a tout l'air d'être de le magie tout ça. Je suis sûr que la bigleuse serait intéressée par vos cas. Bernon se penche pour me regarder et là, bizarrement, je comprends très bien sa question. La bigleuse, c'est le chef d'escouade de la section scientifique, vous pouvez pas la louper, elle est cradingue toute la semaine. Faites gaffe à pas trop vous approcher, c'est un germe ambulant. Krys rétorque qu'ils la connaissent déjà, car ils ont voyagé en diligence ensemble. Ouch... vous vous êtes lavés après, j'espère.
A propos de propreté... il va falloir couper vos cheveux. Ou au moins les attacher en permanence. C'est la règle. Et aussi, veillez à ne pas vous habiller pareil, que je puisse vous distinguer même de loin. Coiffez-vous et sapez-vous différemment, bref facilitez la tache aux autres. Ils hochent la tête ensemble et Krys sort de sa poche un élastique fin qu'il noue autour de sa tignasse. C'est déjà mieux.
Bon, pour ce qui est du travail d'équipe, vous vous entraînerez ensemble évidemment. Erd et Gunther, vous gardez votre tandem, Krys et... Ber - je vais m'y habituer... -, bien évidemment, vous formez équipe. Mais vous interchangerez durant les exercices, vous devez pouvoir vous adapter. Vous inquiétez pas, les nouveaux, on vous mettra au jus de toutes nos techniques et procédures dans toutes les situations ; on ne fait pas les mêmes choses que dans les autres escouades. Vous êtes dans l'élite maintenant. Mais vous apprendrez beaucoup sur le terrain. Les titans de bois, ça va cinq minutes, après on se fait chier sévère. Je vous emmènerai bientôt au Mur Rose histoire de le débarrasser des cancrelats qui y rôdent...
Krys saute sur ses pieds et annonce qu'il est prêt à y aller. Il me rappelle Claus, parfois, c'est pénible... Calme-toi, on y va pas aujourd'hui. Mais je vais vous donner une mission de la plus haute importance. Je capte parfaitement le sourire entendu de Gunther et Erd... Ils savent très bien quoi il s'agit.
Regardez autour de vous, les nouveaux. Les jumeaux obéissent, promènent leurs yeux sur les tables, les murs, le comptoir, le dessus des bancs. Vous voyez rien de choquant ? Bernon semble gêné mais secoue négativement la tête, sans savoir s'il fait bien. Ok, donc j'ai du travail avec vous. Je promène mon doigt sur la table, faisant un peu crisser mon ongle sur le bois, puis le retire et le montre aux deux frères. Vous voyez maintenant ? Là, cette graisse immonde. Dépêchez, que je puisse l'essuyer ! Ils acquiescent avec empressement et je peux enfin frotter mon doigt avec un vieux mouchoir.
Je me lève du banc et tous les quatre me suivent du regard. Le combat est jamais terminé, il se mène partout. Vous voyez, dehors, il y a une cohorte de saletés qui attendent de se faire buter. Elles sont dures à choper et plus on en tue, plus il en vient. La saleté ne meurt jamais. Il faut la nettoyer chaque jour. Dans votre quotidien, la saloperie est partout. Elle peut vous tuer aussi facilement que les titans si vous la laisser s'installer. La poussière, la crasse, les ordures, la graisse, la suie, la merde... je veux pas de ça autour de moi, et ça vaut aussi pour vous. On est militaires et c'est dur de rester propres tous les jours. Mais vous allez faire de votre mieux. Vous vous douchez au moins une fois par jour, et les cheveux doivent être propres. Vos vêtements aussi, pas de taches de quoi que ce soit. Vos lits, au carré. Et pour aujourd'hui...
J'indique du pouce la direction d'une pièce que mes deux vétérans connaissent bien : la buanderie. C'est bien ça. Vous avez deux heures pour nettoyer le mess du sol au plafond. Cet endroit est une porcherie, même l'écurie est plus propre. Ce sera parfait pour vous faire commencer le travail d'équipe ; Erd et Gunther vous montreront comment faire. Si vous ne parvenez pas à vous entraider, vous y arriverez pas. Ca demande méthode, discipline, coordination. Je reviens dans deux heures et je verrai si le test est réussi. Je peux être de très mauvais poil si c'est mal fait, je préviens...
Les jumeaux semblent stupéfaits - c'est rare de les voir ainsi - et je suis pas peu fier de les avoir mis dans l'embarras. Quoi, on vous l'a pas dit ? L'escouade d'opérations tactiques est aussi l'escouade d'élite du ménage. Ca fait partie de vos attributions maintenant.
Je m'éloigne rapidement, et leur lance un dernier avertissement avant de quitter la cantine. Oubliez pas : deux heures, pas une minute de plus. Gare à vos fesses.
11 notes · View notes
fembotsrock · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
The women before him take their positions, one by one, each taking a stance to show their assets. At the front, two buxom dolls flaunt their generous breasts as they gaze wantonly, the one on the left arching her back and pushing her chest out, the one on his left leaning forward ever-so-slightly to tease a sight of cleavage. Both of them rocking their racks side to side, the fluffy cups of their gowns looking like oversized pink and purple powder puffs with the fine feathers fluttering in sympathy with their gyrations and further accentuating the size of their mammaries even more.
Behind them, the other two also hold their inquisitive gaze, flaunting their long, graceful legs that extend beneath the feathery trim of their nightdresses and punctuated by the equally fluffy straps of their mules that wrap around their feet. Perfectly manicured toes peek out from underneath the white and purple feathers. The doll on his left suggestively extends a leg towards him as she effortlessly arches her body and leans back to display her long legs. Beside her the doll on the right demurely stretches out her leg to the side, showing off her lithe calves as her body stretches in tandem with a bashful eagerness.
Finally, the leader of the begins to strut gracefully towards him, her bouffant bouncing with each step, blonde locks washing over her shoulders as she moves like a cat, slinking towards him. Her stride is like a catwalk model, confident and single-minded with her ocean blue eyes fixated only on him. Her arms elegantly glide in the air with each strut, the white, fluffy hem of her nightdress fluttering around her thighs as her kitten heels uniformly clatter over the black marble floor with each calculated step.
She stops a mere couple of meters in front of Austin, her pink-gloved hands firmly planted on her waist as she cocks her hip, looking like a cross between an impatient housewife and a haughty fashion model. Jet black mascara frames her icy blue eyes, making her focused, wanton, stare all the more intense, while her baby-pink lips bow into a slight smile below.
Austin suddenly realises he is in this mess whether he likes it or not, desperately hoping the dolls standing before him didn't see his sheepish glance or his wistful sigh from earlier on. He puts on his best bravado as he smirks and makes his move.
"Hello, hello" he croons saucily, hoping to take control of whatever situation is in front of him, his smirk turning into a goofy grin.
Austin's first move against the Fembots is a confident intoduction, usually a sly and smooth "Hello, hello!" to take control as soon as possible, however some dubs use a different approach or level of tact.
The most benign of the dubs in this case is the French dub where Austin simply asks "Hello, ca roule?" (Hello, how's it going?).
In the Canadian French dub, Austin gives a polite "Salut, les filles!" (Hello, girls!). Similarly his introduction in the Japanese dub is also relatively polite with a brisk "Hello, kawaiiko-chan!" (Hello, cutie!).
In one of the Spanish dubs, Austin embraces a saucy growl as he greets the Fembots with a smooth "Hola rubias!" (Hello, blondes!) while the latest Portuguese dub has Austin goofily give a straight up "Olá tudo!" (Hello everyone!).
In regards to subs, they all pretty much follow the same format as the original with either a "Hello,hello", "Hello" or sometimes strangely redacting Austin's greeting altogether.
5 notes · View notes