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Christopher Anderson - Marion
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Christopher Anderson’s assignment. Parameters
La plus grande liberté est de n'avoir pas le choix. Se limiter à certains paramètres permet de découvrir un territoire difficile à définir si, comme moi, vous avez tendance à errer sans fin.
Définissez un ensemble de paramètres à l'intérieur desquels travailler. Ce peut être un paramètre géographique (un quartier par exemple), psychologique, thématique ou technique. Le tout est de créer une méthode de travail où vous faites des choix très stricts et précis sur comment
ne pas
travailler. Plus c'est strict, mieux c'est. Fixez-vous un délai (une semaine, un mois, peu importe) pendant lequel vous travaillerez uniquement de cette manière. Arrivé à la fin de la période, répétez la tâche en créant une nouvelle liste de paramètres complètement différents.
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George Georgiou - Fault Lines: Turkey East to West
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George Georgiou - Fault Lines: Turkey East to West
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Fault Lines: Turkey East to West Photographs and text by George Georgiou
Turkey is a strategically important nation, poised geographically and symbolically between Europe and Asia. But the tensions at the heart of Turkey are becoming increasingly severe. A struggle is taking place between modernity, tradition, secularism, Islamism, democracy and repression — often in unlikely and contradictory combinations. Usually these tensions and our gaze are focused almost exclusively on Istanbul, the Kurdish issue, or religion, ignoring the far deeper complexities of a large country searching for a modern identity.
While living in Turkey for four-and-a-half years, I was surprised at how quickly change was taking place: landscapes, towns, and cities reshaped, an extensive road network under construction, town centers “beautified,” and large apartment blocks springing up at a rapid rate around every town and city. Almost always, the architecture and infrastructure follow the same blueprint. Cities are becoming carbon copies of each other.
This modernization is designed to handle the mass migration from village to city that is transforming Turkey. Istanbul, a city of a million people in 1960, is now one of the world’s largest urban sprawls with an estimated population of over 15 million. The migration is raising a host of new issues.
One of the most immediate concerns is the rapid disintegration of community in Turkish villages and towns. The low-cost housing projects replacing these communities are a model that has generally failed in Europe, though it is too early to tell how they will work in Turkey.
Turkey is often seen as the country that will bridge the gap between the West and the Middle East. At the moment Turkey is at a political crossroads that will define the very nature of the country. With a large, dynamic, and young population there is always hope that a truly democratic and liberal country will emerge, and that Turkey will be able to fulfill its role as a bridge between cultures and religions.
My work, by focusing on the altering landscape, seeks to address and question this process of modernization, urbanization, and national identity that is being played out against a rising tide of nationalism and religion.
For part of this work, I made photographs as I traversed the nation from East to West, seeking both the global and local. Another part is a series of candid photos made in the modern centre of Istanbul, Taksim Square, where I have deliberately avoided any architectural or cultural context: all you see are the people photographed against a universal sky. At first glance, they appear almost indistinguishable from people inhabiting major metropolises around the world. However, my intention here was not to suggest a move towards a globalized identity but by alluding to the appearance of a fashion show, to the possibilities of individuality.
— George Georgiou
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George Georgiou’s assignment. Stop and return
Avec le monde s’homogénéisant du fait de la globalisation, les endroits devenant identiques en apparence, je dois en permanence me souvenir de l’ordinaire et du quotidien qui sont juste sous mon nez. Je m’impose un petit exercice qui m’aide lentement à un peu mieux saisir ce qui est devant moi. 
Je choisi un espace public - un coin de rue, un bureau, une laverie, un parking, un arrêt de bus - et j’y retourne jour après jour, afin de voir ce à quoi je n’avais pas accordé de valeur les jours précédents.
Petit à petit je m’enthousiasme de découvrir les nuances sociales et culturelles de cet endroit et l’interaction, les résonances entre le privé et le public. Des couches de significations apparaissent et soudain les idées affluent.
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Olivo Barbieri Site specific Catania 09
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Olivo Barbieri Site specific Milano 09
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Vicenzo Castella Piazza del Duomo, type C print, 55 x 70 cm
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Vicenzo Castella Napoli, 1985. C-print, cm 26.9x33.8
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© Guido Guidi. Via Romea, Km 63.100, Taglio di Po, 1993.
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Gabriele Basilico. Istanbul.
Le magazine European Photography souffle ses 40 bougies. Pour l’occasion quelques personnalités répondent à la question: quel est en photo le développement le plus significatif de ces 4 dernières décennies ? Roberta Valtorta répond. Si je regarde en arrière dans les années 80 et 90, et puis aujourd’hui, je vois que l’un des développements significatifs en photographie a été l’école italienne de photographie de paysages. Beaucoup de photographes italiens ( Gabriele Basilico, Mario Cresci, Luigi Ghirri, Guido Guidi, Mimmo Jodice, Francesco Radino, Olivo Barbieri, Vittore Fossati, Walter Niedermayr, Vincenzo Castella, Marina Ballo Charmet, Paola De Pietri, Luca Campigotto, et d’autres ) travaillaient sur le paysage post-industriel à travers des projets publics commissionnés. Le phénomène était si large que nous parlons d’une école bien qu’ils soient différents les uns les autres. Sous l’influence de la photographie américaine, l’art conceptuel et le néo-réalisme italien, leur idée du paysage était loin des stéréotypes et des clichés touristiques. Ils développèrent une photographie différente du reportage classique, et attribuèrent un rôle intellectuel nouveau au photographe. Leur engagement artistique et civil a fait évoluer la photographie italienne et pour « l’officialiser », ils l’ont fait entrer dans les archives publiques et les musées. Le travail de certains d’entre eux devint important en Europe. Ils influencèrent la photographie du nouveau millénaire en cristallisant nos préoccupations actuelles autour de l’environnement et du devenir de la planète.
Roberta Valtorta, historienne de la photo, critique et curateur. Elle vit à Milan.
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Unboxing The 2020 Pirelli Calendar by Paolo Roversi
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Suite du propos II. Ce mystère produit un effet dans un quotidien... Quand une photographie change de destination, avec un sens inattendu grâce à ce qui l’entoure, elle se met à vibrer. C’est cette vibration qui m’intéresse dans cette expérience avec Libération. L’idée est de produire une étincelle. Et la disposition des photos, leur rapport ou leur distance avec le texte, tout cela joue. Je n’oublierai jamais ma première rencontre avec Peter Knapp, le directeur artistique de Elle, au début des années 7, en Italie. Je lui ai montré une boîte de portraits d’amis, d’acteurs, des paysages, un reportage sur l’enterrement d’Ezra Pound à Venise. Il les a disposés par terre, en les associant, en les rapprochant, comme une mosaïque. Pour la première fois, j’ai vu qu’une photographie n’existe pas toute seule: les photos se voient dans leur rapports, par terre, au mur, sur une table. Dans un magazine, dans un journal, tout est différent. Vous aimez les photos dans les quotidiens?  J’aime bien que des photos m’arrivent par un journal. Cela n’a rien à voir avec un livre ou un magazine, où c’est plus solennel, attendu.Dans un journal, les photos sont plus vraies, plus touchantes, presque plus humaines et proches. Elles me font des surprises: j’ouvre un journal, il y a les nouvelles, la météo, le foot, le cinéma, et, tout d’un coup, une image entre dans ma vie par effraction. A côté de mon lit, je ne garde que des coupures de journaux, épinglées au mur, avec des photos...
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Suite du propos. Dans “Libération”, aujourd’hui, ce n’est pas du reportage photographique. Ce n’est pas non plus une entrée dans votre studio... C’est plutôt le Studio Luce qui s’invite dans les pages de Libération. C’est un déplacement proposant la rencontre de deux mondes qui se touchent rarement. On peut regarder mes photos avec le texte, et inversement. Ou seulement voir les photos, ou lire les textes. Il y a un part d’illustration, une part de perturbation, mais il faudrait surtout que c’est passage créent des connivences, des harmonies, des réactions, des rêveries. Le journal apporte du document, de l’information, il colle à la réalité. Moi, je cherche à m’en éloigner, je vais vers le rêve et l’imaginaire, vers un monde de sentiments, de sensualité. C’est ce contraste qui est intéressant. Cela met aussi en lumière les contradictions internes à la photographie. Une photo n’est pas objective, il n’y a pas d’art plus subjectif. Donnez un appareil à 50 personnes devant la tour Eiffel, vous n’aurez pas deux fois la même image. Et la photographie n’est pas la vie saisie en un instant toujours présent, mais un fantôme qui nous reste dans les mains. Une photo, c’est  le moment où le présent est mangé par le passé, où  la vie est gagnée par la mort. C’est très mystérieux.
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Libération du mardi 29 octobre 2002. Paolo Roversi. Propos recueilli par Antoine de Baecque et Brigitte Ollier. Extrait : Comment en arrivez-vous à une photo unique? Pour moi, le plus excitant c’est l’instant même où je fais la photo. C’est cela, d’abord, qui est unique. Je ne prépare pas beaucoup avant la prise. Rien n’est dessiné, élaboré, je laisse faire l’équipe pour l’éclairage, le maquillage, la coiffure, le décor. Et ce qui se passe après m’intéresse peu... Je ne suis pas un technicien. Il n’y a qu’un moment d’émotion, d’excitation, de concentration, mais aussi de hasard, d’accident. Tout le mystère de la photographie tient dans la prise de vue. Je cherche toujours à être ému quand je prends une photo: la découverte, puis le choix de la photo sont quasi immédiats. C’est un instantané où tout se réunit, mon humeur, celle du mannequin, de l’équipe.Tout rentre dans l’image, la chanson que j’ai écoutée le matin comme le chagrin d’amour de la fille. Comme un coup de pinceau, un seul.
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Je profite du confinement pour ranger ma maison. Je trie, je découpe, j’élimine, je garde aussi. Je tombe sur ce vieux Libé. Mardi 29 octobre 2002. Libération mis en images par Paolo Roversi. Pour le mois de la photo, tout un journal illustré par le photographe.
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