#THE BOUSE MOMENT

[herrmannhalsteadproduction]

I was re-reading some of the chapters from 500 Miles and I'd forgotten how cute and fun they were???

Not a brag - just more of a lightbulb moment of why people always talk about writing for yourself first.

Like, YES, INDULGE! Write all of the fluff and romance and drama and whump and angst and humour and ridiculousness that you want because then it will always be there waiting for you and you can read it anytime you want and that...

That is so much fun.

#fanfic thoughts #writing thoughts #writer stuff #i reread the Connor/Will 'i love you scene' and was like 😭🥰 #rhodestead #i love them #AND all of the last chapter with the Otis and Shay and Bex scenes? so bonkers but hilarious #and the bouse moment #THE BOUSE MOMENT #quite pleased with past me #🤣 #anyway #it's good to entertain yourself #i know i have to get the next chapter of That H/H DNA done BUT work is in my way and my brain is tired #soon hopefully

[alexisgeorge24]

5 janvier:

Départ avec mon gros sac pour une visite à la journée de la péninsule Llao Llao (que je prononce "chao chao" sans même avoir à réfléchir; l'accent argentin m'entre dans la peau). Superbes points de vue notamment depuis le Cerro Campanario, où depuis les nombreuses "playas" ("plachasse"; c'est bon je parle comme Messi). Le temps est un peu couvert et j'ai des panoramas sur des énormes lacs noirs entrecoupés de montagnes vertes aux sommets rocheux et acérés; combos qui me fait penser aux fjords norvégiens. Je finis mon parcours au village "Colonia Suiza" (colonie Suisse), fondé par des familles suisses fin XIXe et qui aujourd'hui attire un tourisme de presque masse. Comme par hasard, après avoir planté ma tente au camping, je tombe sur un couple suisse que j'avais rencontré au Pérou il y a 3 mois. On a beaucoup d'aventures à se raconter et on partage l'apéro et le dîner.

Bilan: 26km, 1000m d+

6 janvier:

Randonnée depuis Colonia Suiza avec petit sac jusqu'aux cerro Goye puis cerro Bella Vista. Les vues sont toujours tout aussi imprenables qu'hier sur les lacs et la montagne à la différence qu'aujourd'hui je suis tout seul pour contempler le tableau. De retour au village on m'informe que les bus font grève... je me fais donc prendre en stop par un groupe d'amis argentins qui me dépose à 10km de Bariloche. Puis je finis en taxi étant donné qu'il y a un stoppeur tout les 200m avec cette grève (ils sont superieurs au nombre de chauffeurs gentils et compatissants).

Après la douche c'est évidemment une bière qui m'attend dans ce paradis houblonné, suivi d'un repas au restaurant vegan que je connais désormais très bien.

Bilan: 13km, 1300m d+

7 janvier:

Départ à 08h00 en bus pour le hameau de Pampa Linda au pied du Cerro Tronador. Le nom fait peur et à juste raison. Je pose la tente au camping et j'enchaîne direct une marche vers ce sommet recouvert de glaciers. J'atteins le début du sentier en stop et 600m d+ plus haut j'ai une des plus belles vues de mon voyage ! C'est le moment où j'essaie de décrire ce que j'ai vu en sachant pertinemment qu'y mettre des mots c'est forcément déformer, pixeliser, simplifier, banaliser, bref, c'est ne pas respecter la nature. Mon point de vue se situe sur une crête coupant en deux symétriquement un cirque dont le "U" est un énorme glacier perché sur des falaises rocheuses et verticales. Des cascades jaillissent de partout du bas du glacier formant un mini "Iguazu" et plus loin un lac bleu laiteu. Le glacier craque, des morceaux tombent des falaises en faisant un bruit de tonerre dans cet amphithéâtre de roche toutes les 10 minutes (on comprend mieux le nom du sommet, "Tonerre"). En bas, c'est la vallée tracée par la riviere et bordée par une epaisse forêts. Au loin, c'est la suite des Andes, avec tous les sommets qui vont avec. La vue est tellement impressionnante que j'y resterai 3h! Le temps de faire le tour de tous les points vue et attendre que le ciel se dégage. Sur le chemin du retour je m'arrête au bord du lac de glacier et retourne au camping en stop. Je me pose à l'auberge pour charger des batteries et commander un sandwich pour le lendemain. En marchant vers ma tente pour aller dormir, j'aperçois des vaches (à cornes) qui sont dans le camping à 20m de ma tente. Je me dis que ça serait un gros foutage de gueule si elles l'ont (encore) défoncée.... eh bin ça n'a pas raté... tente trouée et bouse à 5m de ma tente.... je suis furieux et je le fais savoir au gérant du camping. Après maintes échanges, il accepte de ne me rembourser que 30eur (30% du prix du toit qui est troué mais qui me laisse 100% dans la merde...). Maintenant je vais devoir faire extrêmement attention à mes bivouacs pour ne pas exposer à des vents forts ma tente rafistolée avec du scotch industriel.

Bilan: 8km, 700m d+

8 janvier:

Le Cerro Tronador est majestueux et j'ai envie de le voir sous d'autres angles. Je grimpe alors au dernier refuge au pied du glacier en traversant la forêt puis en longeant une crête rocheuse au dessus du début du glacier. J'ai aussi de beaux points de vue sur les cascades d'hier mais de l'autre côté du cirque. Malheureusement il fait moche et je n'ai que quelques éclaircies pour apercevoir de près le glacier. Sur le retour je vais au pied de la cascade; c'est magnifique. De retour au camping, je fais une sieste et j'entame le début d'une marche de 3 jours qui aboutit à Bariloche (Colonia Suiza plus précisément). Je monte dans une vallée qui offre des balcons avec vue sur le Tronador qui est complètement découvert. Je pose et cache ma tente à 50m du camping pour ne pas avoir à le payer.

Bilan: 34km, 1800m d+ (ça aurait été compliqué sans la sieste)

9 janvier:

Au réveil je fais un AR jusqu'au Mirador del Doctor, une formation rocheuse en forme de barre longitudinale qui domine en son extrémité le lac Frey et un bras du Lac Nahuel Huapi (l'énorme lac de Bariloche). Puis je reprends mon gros sac et continue mon chemin. Vers 12h je ne sais pas pourquoi, je me sens d'un coup épuisé, les gestes deviennent difficiles et ça ne m'aide pas du tout puisque les 2 cols que je franchis sont couverts de neige. Heureusement que je croise un autre randonneur dans le sens inverse pour me rassurer sur leur accessibilité; je sais au moins que des traces sont faites dans la neige pour que je les suivent. Les vues sont un peu aériennes, je n'ai pas le vertige mais des efforts de concentration sont nécessaires à chaque pas pour ne pas en faire un de travers. À bout de force j'arrive dans une vallée qui offrent de beaux spots de bivouac. Je monte le mien près d'une petite cascade qui se finit dans une piscine cristalline. Dommage que l'eau soit glaciale; je n'y lave que mes pieds et mon visage.

Bilan: 20km, 1200m d+

10 janvier:

Dernier tronçons pour rejoindre la civilisation. Je commence par traverser un col bien enneigé mais qui n'offre pas de complications, la neige et ferme et je suis des traces de pas. Au niveau du col, tout comme les précédents d'ailleurs, le Cerro Tronador domine toute la région et se laisse apprécier par ce beau temps. Puis je descends vers ce que je vais appeler "La Merde Verte". Encore cette foutue forêt qui a avalé le sentier et face à qui je dois me battre pour trouver mon chemin. Et évidemment les taons sont de la partie, ne me laissant aucun moment de repos. Dès que je m'immobilise (pour faire mes lacets ou prendre ma respiration), ils se jettent sur moi. Je pète les plombs et me mets à gueuler comme un fous contre cette nature que j'ai envie de brûler. 500m plus loin je répète un plomb. Sous le coup de l'émotion je décide que j'ai en ras le cul. J'ai repéré une petite rivière qui suis mon chemin, je m'y approche, enfile mes chaussons de plongée et continue dans la rivière. C'est beaucoup mieux... tellement mieux que lorsque j'arrive à un lac, je décide de garder mes chaussons et de le traverser en suivant le bord. J'aurai fait peut être 2km comme ça. Puis le sentier est de nouveau visible et je renfile mes chaussures. Je poursuis vers un autre col, complètement dégagé de Merde Verte et de neige. Ici, soit je descends direct vers Colonia Suiza, soit je passe par le Cerro Lopez qui me rallongera pas mal l'itinéraire. Au moment où j'hésite, un couple de français monte de Colonia Suiza pour aller au Cerro Lopez. C'est un signe, je dois les suivre; je n'ai plus l'excuse du "c'est dangereux tout seul". On marche ensemble en sympathisant et arrivés au pied de la dernière monté, on est impressionné par sa pente; 55%. Là où j'ai chuté au Monténégro c'était à peu près 45%. Mais ici il y a bien un "chemin" balisé, c'est des grosses pierres et non des éboulis, et je ne suis pas seul. Aucune crainte donc. Arrivés au sommet on a une vue incroyable sur, d'un côté une chaîne de montagne aux pointes enneigés avec le Tronador en maître, de l'autre côté les lacs et la vallée de Bariloche. Su-blime. La descente se fait dans l'impatience de retrouver le confort. On arrive sur la route à 21h, après 13h de marche. On ne capte pas, donc pas possible de commander un Uber. On va en stop à Colonie Suiza d'où on trouve notre Uber. Arrivé à mon hostel, on m'informe qu'il est complet!!! Je dois donc marcher 2km de plus pour en trouver un autre. Douche, puis enfin, à 23h30, pinte de bière avec pyramide de frite....

Bilan: 20km, 1800m d+

11 janvier:

Journée repos. J'en profite pour rafistoler ma tente, faire une lessive, organiser un mariage, retirer de l'argent via WU (où j'apprends que j'ai gagné 30% de pouvoir d'achat; le taux étant passé de 1000 à 1300). L'après-midi je prends un bus pour Esquel, 200km au sud de Bariloche et aux portes du Parque Nacional los Alerces que je visiterai en 2 jours. Le soir je mange dans un restaurant-grillade. J'en pleure. J'ai mon 1er asado et mon 1er pinguino (vin de table servi dans une carafe en forme de pingouin, typique de Patagonie et que je retrouve avec nostalgie). Les quantités sont énormes, la qualité parmis les meilleures de mon séjour, 10eur.

Bilan: 500gr de bœuf

12 janvier:

Le matin je prends un bus qui m'emmène au parc, au Lago Verde, où je pose ma tente au camping. Puis je monte au seul sommet du coin accessible, le Cerro Alto El Petiso. Au début du sentier une pancarte indique "Cerrado". Mais sur le moment j'oublie mon espagnol et je ne comprends pas que ça veut dire "fermé". Je poursuis donc sur un chemin dans la forêt bien entretenu puis j'arrive à une rivière que je dois longer sur 2-3km en la traversant une 15aine de fois. Puis j'attaque une crête qui m'emmène au sommet en ne mettant que très peu les pieds dans la neige. Évidemment je suis tout seul. Vue superbe sur le glacier Torrecilla, les lacs et les Andes qui ici rappellent les Alpes. Je redescends les troncons de neige en faisant de la luge sur les fesses, c'est rapide, ludique et anesthésiant. Sur le chemin du retour je longe les lacs avec un joli Mirador sur le glacier. Le cadre est idyllique, les rivières qui mesurent 1-2km reliant les lacs entre eux, sont verts avec des eaux cristallines. C'est très sauvage, calme, peu de monde, on pourrait y habiter dans une cabane, y couper du bois, pêcher la truite, distiller son propre whisky, discuter avec les oiseaux et carper son diem.

Bilan: 21km, 1500m d+

13 janvier:

J'éteins mon réveil qui sonne à 5h45 (j'ai été ambitieux) et réalise que j'ai accumulé de la fatigue. Je dors jusqu'à 10h00, soit 13h de sommeil. C'est bien de dormir en fait. Petites ballades au programme pour profiter un peu plus du parc mais rien d'exceptionnel. J'avoue que je ne pense qu'au restaurant de ce soir et compte les heures qui me séparent de mon T-bone. De retour à l'hostel, je joue avec ma faim en prenant mon temps avant d'aller manger. Je passerai 2h au devant mon assiette savourant chaque bouchée. Vers la fin la serveuse me demande même si je souhaite faire réchauffer au feu la pièce. Quel bonheur ces restaurants argentins.

14 janvier:

Journée dédiée à l'attente de mon bus pour Los Antiguos à la frontière chilienne. La matin j'en profite pour continuer à m'occuper du mariage et l'après-midi je prends mon bus. Coucher de soleil magistrale sur la pampa et les collines pré-Andine.

[ekman]

J’ai regardé de près toutes ces images du passé récent des deux blocs, tels que l’on se plaisait à nommer les États-Unis et l’Union Soviétique. Miracle d’Internet, les documents relatifs à ces empires sont pléthore et consultables à tout moment. Il suffit de prendre le temps et d’observer. Qu’en ressort-il comme aveuglante évidence ? Ces empires n’ont à peu près produit que de la laideur – et c’est bien normal, puisqu’ils s’adressaient à la multitude, que ce soit un plouc vendeur d’assurances, un moujik de kolkhoze, un vacher alcoolique et brutal ou un aparatchik prêt à faire déporter ses parents pour accéder au plaisir de goûter une banane cubaine. Ces deux empires qui avaient en tête l’obsession du productivisme se sont contentés de piller et saccager leur territoir – et celui de leurs affidés – pour produire téléviseurs et missiles, chaussures et pains de viande. Les uns avec le succès que l’on sait – ô vertu du libre échangisme à la Jacquie et Michel –, les autres pour un résultat désastreux et mortifère : qui n’a pas goûté à la joie de regarder ses dents tomber en attendant qu’on veuille bien produire du dentifrice n’a rien compris au marxisme-léninisme. Surtout derrière des barbelés. On se dit que la vision brutale de deux mondes envahis par une mocheté endémique aurait pu avoir secoué la conscience esthétique des peuples d’Europe. Il n’en est rien. Ces Européens, et à leur suite les peuples rescapés du communisme systémique, continuent pour beaucoup à produire du moche à tour de bras. C’est à croire qu’ils n’auront plus jamais l’ambition d’offrir à l’œil du profane l’expression polymorphe du génie humain. On produit ici, avec enthousiasme, ce que l’on sait faire de mieux et à moindre coût, à savoir des bouses. Je ne pense pas à des œuvres en particulier – certainement pas ; j’ai à l’esprit l’idée d’harmonie. Harmonie des paysages façonnés par le génie agricole et forestier, équilibre des villages construits aux meilleurs endroits possibles, l’emplacement de l’évidence étant laissé à la pierre sacrée, au temple, à l’église. Intelligence des villes bâties dans la nécessaire recherche d’une promiscuité vivable, croisement des routes, étapes, escales, refuges... Mais l’harmonie, qu’elle soit graphique, musicale, chromatique, architecturale ou que sais-je encore, a déserté ce monde de marchands. L’horreur sur 360 degrés : de la multitude des temples bureaucratiques en béton maquillés de carrés de céramique décollés – les satrapes socialistes des années 80 baptisèrent cela du nom très Ancien Régime d’Hôtel de Région – à l’insupportable anarchie visuelle des enseignes de ZAC où un Léon de Bruxelles en parpaings fissurés enfrite l’atmosphère d’une Halle aux Vêtements réservée aux RSA et aux loqueteux du tiers-monde agricole. Tout est laid, sale et nauséabond. C’est la règle du marketing libéral : produire de la richesse potemkine en saturant de couleurs vulgaires et de sons agressifs des magasins dégueulant leurs marchandises ignobles à la face de manants infoutus de se les payer. Et regardez-la, cette multitude d’esclaves abrutis rêvant au miracle de la Française des Jeux pour pouvoir se payer une Mégane électrique et un pavillon avec piscine. Regardez comme ils sont laids et mal fagotés, avec leurs sales gueules de frustrés engoncés dans leur doudoune en synthétique ou leur marcel décousu. Puent de la gueule. Sentent l’abandon, le renoncement, le déjà pourri. N’auront pas les couilles d’enfiler un gilet jaune, ou orange, ou bleu pour aller pendre un préfet. Jamais. Essaieront plutôt de se trouver une place dans un mouroir d’État où des négresses incultes et revanchardes leur nettoieront la gueule au gant de crin. Ils n’ont rien appris. Les uns sont passés de Marx au wokisme comme un seul (sous) homme. Les “happy few”, de l’ultra-capitalisme commercial à la finance mondialisée comme autant de Picsou surcocaïnés. Tiens, pour clore provisoirement ce si dense sujet : amusez-vous à comparer l’univers esthétique d’un Oscar Wilde ou d’un Jean Cocteau aux débordements brouillons et tapageurs des tarés bariolés de la ligue LGBTetc. Ce qu’ils ont gagné en prétendus “droits”, nous l’avons directement perdu en intelligence. Le monde d’aujourd’hui est majoritairement celui des minorités en appétit. Mais quelle horreur. J.-M. M.

[p-isforpoetry]

Tam O'Shanter by Robert Burns (read by James Cosmo)

When chapmen billies leave the street, And drouthy neibors, neibors meet, As market days are wearing late, An' folk begin to tak the gate; While we sit bousing at the nappy, And getting fou and unco happy, We think na on the lang Scots miles, The mosses, waters, slaps, and styles, That lie between us and our hame, Where sits our sulky sullen dame. Gathering her brows like gathering storm, Nursing her wrath to keep it warm.

This truth fand honest Tam o' Shanter, As he frae Ayr ae night did canter, (Auld Ayr, wham ne'er a town surpasses For honest men and bonie lasses.)

O Tam! had'st thou but been sae wise, As ta'en thy ain wife Kate's advice! She tauld thee weel thou was a skellum, A blethering, blustering, drunken blellum; That frae November till October, Ae market-day thou was nae sober; That ilka melder, wi' the miller, Thou sat as lang as thou had siller; That every naig was ca'd a shoe on, The smith and thee gat roaring fou on; That at the Lord's house, even on Sunday, Thou drank wi' Kirkton Jean till Monday. She prophesied that late or soon, Thou would be found deep drown'd in Doon; Or catch'd wi' warlocks in the mirk, By Alloway's auld haunted kirk.

Ah, gentle dames! it gars me greet, To think how mony counsels sweet, How mony lengthen'd, sage advices, The husband frae the wife despises!

But to our tale:-- Ae market-night, Tam had got planted unco right; Fast by an ingle, bleezing finely, Wi' reaming swats, that drank divinely And at his elbow, Souter Johnny, His ancient, trusty, drouthy crony; Tam lo'ed him like a vera brither-- They had been fou for weeks thegither! The night drave on wi' sangs and clatter And ay the ale was growing better: The landlady and Tam grew gracious, wi' favours secret,sweet and precious The Souter tauld his queerest stories; The landlord's laugh was ready chorus: The storm without might rair and rustle, Tam did na mind the storm a whistle.

Care, mad to see a man sae happy, E'en drown'd himsel' amang the nappy! As bees flee hame wi' lades o' treasure, The minutes wing'd their way wi' pleasure: Kings may be blest, but Tam was glorious. O'er a' the ills o' life victorious!

But pleasures are like poppies spread, You seize the flower, its bloom is shed; Or like the snow falls in the river, A moment white--then melts for ever; Or like the borealis race, That flit ere you can point their place; Or like the rainbow's lovely form Evanishing amid the storm.-- Nae man can tether time or tide; The hour approaches Tam maun ride; That hour, o' night's black arch the key-stane, That dreary hour he mounts his beast in; And sic a night he taks the road in As ne'er poor sinner was abroad in.

The wind blew as 'twad blawn its last; The rattling showers rose on the blast; The speedy gleams the darkness swallow'd Loud, deep, and lang, the thunder bellow'd: That night, a child might understand, The Deil had business on his hand.

Weel mounted on his gray mare, Meg-- A better never lifted leg-- Tam skelpit on thro' dub and mire; Despisin' wind and rain and fire. Whiles holding fast his gude blue bonnet; Whiles crooning o'er some auld Scots sonnet; Whiles glowring round wi' prudent cares, Lest bogles catch him unawares: Kirk-Alloway was drawing nigh, Whare ghaists and houlets nightly cry.

By this time he was cross the ford, Whare, in the snaw, the chapman smoor'd; And past the birks and meikle stane, Whare drunken Chairlie brak 's neck-bane; And thro' the whins, and by the cairn, Whare hunters fand the murder'd bairn; And near the thorn, aboon the well, Whare Mungo's mither hang'd hersel'.-- Before him Doon pours all his floods; The doubling storm roars thro' the woods; The lightnings flash from pole to pole; Near and more near the thunders roll: When, glimmering thro' the groaning trees, Kirk-Alloway seem'd in a bleeze; Thro' ilka bore the beams were glancing; And loud resounded mirth and dancing.

Inspiring bold John Barleycorn! What dangers thou canst make us scorn! Wi' tippeny, we fear nae evil; Wi' usquabae, we'll face the devil!-- The swats sae ream'd in Tammie's noddle, Fair play, he car'd na deils a boddle. But Maggie stood, right sair astonish'd, Till, by the heel and hand admonish'd, She ventured forward on the light; And, vow! Tam saw an unco sight

Warlocks and witches in a dance; Nae cotillion brent-new frae France, But hornpipes, jigs strathspeys, and reels, Put life and mettle in their heels. A winnock-bunker in the east, There sat auld Nick, in shape o' beast; A towzie tyke, black, grim, and large, To gie them music was his charge: He scre'd the pipes and gart them skirl, Till roof and rafters a' did dirl.-- Coffins stood round, like open presses, That shaw'd the dead in their last dresses; And by some develish cantraip slight, Each in its cauld hand held a light.-- By which heroic Tam was able To note upon the haly table, A murders's banes in gibbet-airns; Twa span-lang, wee, unchristen'd bairns; A thief, new-cutted frae a rape, Wi' his last gasp his gab did gape; Five tomahawks, wi blude red-rusted; Five scymitars, wi' murder crusted; A garter, which a babe had strangled; A knife, a father's throat had mangled, Whom his ain son o' life bereft, The gray hairs yet stack to the heft; Wi' mair o' horrible and awfu', Which even to name was be unlawfu'. Three lawyers' tongues, turn'd inside out, Wi' lies seam'd like a beggar's clout; Three priests' hearts, rotten, black as muck, Lay stinking, vile in every neuk.

As Tammie glowr'd, amaz'd, and curious, The mirth and fun grew fast and furious; The piper loud and louder blew; The dancers quick and quicker flew; They reel'd, they set, they cross'd, they cleekit, Till ilka carlin swat and reekit, And coost her duddies to the wark, And linket at it in her sark!

Now Tam, O Tam! had thae been queans, A' plump and strapping in their teens, Their sarks, instead o' creeshie flannen, Been snaw-white seventeen hunder linnen! Thir breeks o' mine, my only pair, That ance were plush, o' gude blue hair, I wad hae gi'en them off my hurdies, For ae blink o' the bonie burdies!

But wither'd beldams, auld and droll, Rigwoodie hags wad spean a foal, Louping and flinging on a crummock, I wonder did na turn thy stomach!

But Tam kend what was what fu' brawlie: There was ae winsome wench and waulie, That night enlisted in the core, Lang after ken'd on Carrick shore; (For mony a beast to dead she shot, And perish'd mony a bonie boat, And shook baith meikle corn and bear, And kept the country-side in fear.) Her cutty-sark, o' Paisley harn That while a lassie she had worn, In longitude tho' sorely scanty, It was her best, and she was vauntie,- Ah! little ken'd thy reverend grannie, That sark she coft for her wee Nannie, Wi' twa pund Scots, ('twas a' her riches), Wad ever grac'd a dance of witches!

But here my Muse her wing maun cour; Sic flights are far beyond her pow'r; To sing how Nannie lap and flang, (A souple jade she was, and strang), And how Tam stood, like ane bewitch'd, And thought his very een enrich'd; Even Satan glowr'd, and fidg'd fu' fain, And hotch'd and blew wi' might and main; Till first ae caper, syne anither, Tam tint his reason a' thegither, And roars out, "Weel done, Cutty-sark!" And in an instant all was dark: And scarcely had he Maggie rallied, When out the hellish legion sallied.

As bees bizz out wi' angry fyke, When plundering herds assail their byke; As open pussie's mortal foes, When, pop! she starts before their nose; As eager runs the market-crowd, When "Catch the thief!" resounds aloud; So Maggie runs, the witches follow, Wi' mony an eldritch skriech and hollo.

Ah, Tam! ah, Tam! thou'll get thy fairin'! In hell they'll roast thee like a herrin'! In vain thy Kate awaits thy commin'! Kate soon will be a woefu' woman! Now, do thy speedy utmost, Meg, And win the key-stane o' the brig; There at them thou thy tail may toss, A running stream they dare na cross. But ere the key-stane she could make, The fient a tail she had to shake! For Nannie, far before the rest, Hard upon noble Maggie prest, And flew at Tam wi' furious ettle; But little wist she Maggie's mettle - Ae spring brought off her master hale, But left behind her ain gray tail; The carlin claught her by the rump, And left poor Maggie scarce a stump.

No, wha this tale o' truth shall read, Ilk man and mother's son take heed; Whene'er to drink you are inclin'd, Or cutty-sarks run in your mind, Think! ye may buy joys o'er dear - Remember Tam o' Shanter's mare.

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Tam o' Shanter (Translation)

When the peddler people leave the streets, And thirsty neighbours, neighbours meet; As market days are wearing late, And folk begin to take the road home, While we sit boozing strong ale, And getting drunk and very happy, We don’t think of the long Scots miles, The marshes, waters, steps and stiles, That lie between us and our home, Where sits our sulky, sullen dame (wife), Gathering her brows like a gathering storm, Nursing her wrath, to keep it warm.

This truth finds honest Tam o' Shanter, As he from Ayr one night did canter; Old Ayr, which never a town surpasses, For honest men and bonny lasses.

Oh Tam, had you but been so wise, As to have taken your own wife Kate’s advice! She told you well you were a waster, A rambling, blustering, drunken boaster, That from November until October, Each market day you were not sober; During each milling period with the miller, You sat as long as you had money, For every horse he put a shoe on, The blacksmith and you got roaring drunk on; That at the Lords House, even on Sunday, You drank with Kirkton Jean till Monday. She prophesied, that, late or soon, You would be found deep drowned in Doon, Or caught by warlocks in the murk, By Alloway’s old haunted church.

Ah, gentle ladies, it makes me cry, To think how many counsels sweet, How much long and wise advice The husband from the wife despises!

But to our tale :- One market night, Tam was seated just right, Next to a fireplace, blazing finely, With creamy ales, that drank divinely; And at his elbow, Cobbler Johnny, His ancient, trusted, thirsty crony; Tom loved him like a very brother, They had been drunk for weeks together. The night drove on with songs and clatter, And every ale was tasting better; The landlady and Tam grew gracious, With secret favours, sweet and precious; The cobbler told his queerest stories; The landlord’s laugh was ready chorus: Outside, the storm might roar and rustle, Tam did not mind the storm a whistle.

Care, mad to see a man so happy, Even drowned himself in ale. As bees fly home with loads of treasure, The minutes winged their way with pleasure: Kings may be blessed, but Tam was glorious, Over all the ills of life victorious.

But pleasures are like poppies spread: You seize the flower, its bloom is shed; Or like the snow fall on the river, A moment white - then melts forever, Or like the Aurora Borealis rays, That move before you can point to their place; Or like the rainbow’s lovely form, Vanishing amid the storm. No man can tether time or tide, The hour approaches Tom must ride: That hour, of night’s black arch - the key-stone, That dreary hour he mounts his beast in And such a night he takes to the road in As never a poor sinner had been out in.

The wind blew as if it had blown its last; The rattling showers rose on the blast; The speedy gleams the darkness swallowed, Loud, deep and long the thunder bellowed: That night, a child might understand, The Devil had business on his hand.

Well mounted on his grey mare, Meg. A better never lifted leg, Tom, raced on through mud and mire, Despising wind and rain and fire; Whilst holding fast his good blue bonnet, While crooning over some old Scots sonnet, Whilst glowering round with prudent care, Lest ghosts catch him unaware: Alloway’s Church was drawing near, Where ghosts and owls nightly cry.

By this time he was across the ford, Where in the snow the pedlar got smothered; And past the birch trees and the huge stone, Where drunken Charlie broke his neck bone; And through the thorns, and past the monument, Where hunters found the murdered child; And near the thorn, above the well, Where Mungo’s mother hanged herself. Before him the river Doon pours all his floods; The doubling storm roars throught the woods; The lightnings flashes from pole to pole; Nearer and more near the thunder rolls; When, glimmering through the groaning trees, Alloway’s Church seemed in a blaze, Through every gap , light beams were glancing, And loud resounded mirth and dancing.

Inspiring, bold John Barleycorn! (whisky) What dangers you can make us scorn! With ale, we fear no evil; With whisky, we’ll face the Devil! The ales so swam in Tam’s head, Fair play, he didn’t care a farthing for devils. But Maggie stood, right sore astonished, Till, by the heel and hand admonished, She ventured forward on the light; And, vow! Tom saw an incredible sight!

Warlocks and witches in a dance: No cotillion, brand new from France, But hornpipes, jigs, strathspeys, and reels, Put life and mettle in their heels. In a window alcove in the east, There sat Old Nick, in shape of beast; A shaggy dog, black, grim, and large, To give them music was his charge: He screwed the pipes and made them squeal, Till roof and rafters all did ring. Coffins stood round, like open presses, That showed the dead in their last dresses; And, by some devilish magic sleight, Each in its cold hand held a light: By which heroic Tom was able To note upon the holy table, A murderer’s bones, in gibbet-irons; Two span-long, small, unchristened babies; A thief just cut from his hanging rope - With his last gasp his mouth did gape; Five tomahawks with blood red-rusted; Five scimitars with murder crusted; A garter with which a baby had strangled; A knife a father’s throat had mangled - Whom his own son of life bereft - The grey-hairs yet stack to the shaft; With more o' horrible and awful, Which even to name would be unlawful. Three Lawyers’ tongues, turned inside out, Sown with lies like a beggar’s cloth - Three Priests’ hearts, rotten, black as muck Lay stinking, vile, in every nook.

As Thomas glowered, amazed, and curious, The mirth and fun grew fast and furious; The piper loud and louder blew, The dancers quick and quicker flew, They reeled, they set, they crossed, they linked, Till every witch sweated and smelled, And cast her ragged clothes to the floor, And danced deftly at it in her underskirts!

Now Tam, O Tam! had these been young girls, All plump and strapping in their teens! Their underskirts, instead of greasy flannel, Been snow-white seventeen hundred linen! - The trousers of mine, my only pair, That once were plush, of good blue hair, I would have given them off my buttocks For one blink of those pretty girls !

But withered hags, old and droll, Ugly enough to suckle a foal, Leaping and flinging on a stick, Its a wonder it didn’t turn your stomach!

But Tam knew what was what well enough: There was one winsome, jolly wench, That night enlisted in the core, Long after known on Carrick shore (For many a beast to dead she shot, And perished many a bonnie boat, And shook both much corn and barley, And kept the country-side in fear.) Her short underskirt, o’ Paisley cloth, That while a young lass she had worn, In longitude though very limited, It was her best, and she was proud. . . Ah! little knew your reverend grandmother, That underskirt she bought for her little grandaughter, With two Scots pounds (it was all her riches), Would ever graced a dance of witches!

But here my tale must stoop and bow, Such words are far beyond her power; To sing how Nannie leaped and kicked (A supple youth she was, and strong); And how Tom stood like one bewitched, And thought his very eyes enriched; Even Satan glowered, and fidgeted full of lust, And jerked and blew with might and main; Till first one caper, then another, Tom lost his reason all together, And roars out: ‘ Well done, short skirt! ’ And in an instant all was dark; And scarcely had he Maggie rallied, When out the hellish legion sallied.

As bees buzz out with angry wrath, When plundering herds assail their hive; As a wild hare’s mortal foes, When, pop! she starts running before their nose; As eager runs the market-crowd, When ‘ Catch the thief! ’ resounds aloud: So Maggie runs, the witches follow, With many an unearthly scream and holler.

Ah, Tom! Ah, Tom! You will get what's coming! In hell they will roast you like a herring! In vain your Kate awaits your coming ! Kate soon will be a woeful woman! Now, do your speedy utmost, Meg, And beat them to the key-stone of the bridge; There, you may toss your tale at them, A running stream they dare not cross! But before the key-stone she could make, She had to shake a tail at the fiend; For Nannie, far before the rest, Hard upon noble Maggie pressed, And flew at Tam with furious aim; But little knew she Maggie’s mettle! One spring brought off her master whole, But left behind her own grey tail: The witch caught her by the rump, And left poor Maggie scarce a stump.

Now, who this tale of truth shall read, Each man, and mother’s son, take heed: Whenever to drink you are inclined, Or short skirts run in your mind, Think! you may buy joys over dear: Remember Tam o’ Shanter’s mare.

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[vulgairepseudonyme]

Mon nom n'est pas intéressant, Ni ma religion, ni mon niveau en orthographe ou même mes origines. Je suis ici pour, en finir avec tout cela.

Je suis qu'un enfant qui a survécu trop de fois dans une bouse sans fin. Un enfant qui a grandi trop vite et maintenant en souffre.

Vous imaginez pas à quelle point j'en ai marre de tout ça, entre la douleur mentale alors que tout va bien, les problèmes psychologiques et le fait que je n'arrive toujours pas à m'exprimer.

Alors voilà, je suis là pour.. je sais pas, sortir ce que j'en garde depuis des siècles.

Je déteste pleurnicher. C'est quelque chose que je hais, quelque chose que je fuis où que j'affronte. La Pitié que les autres m'ont donnée m'a réellement mis en colère, mais aujourd'hui c'est différent. J'ai plus rien à perdre. Alors j'ai envie de tester même si je dois passé par là.

Je vous demande rien. Je veux même pas que vous soyez là, avec moi pendant ma vie, je veux m'enfermé loin de tout sa, et c'est ce que j'ai fait. Ça n'a rien donné, au contraire sa a empirer, d'une façon où je suis passé de quelqu'un qui aime les gens, qui est extraverti à quelqu'un d'anti sociable x1000. Tu me fou sur une île morte loin du monde je serais l'homme le plus heureux du monde.

Je écrit si vite, sa passe dans ma tête puis cela reviens plu jamais, j'ai tellement à dire, mais j'ignore comment. Les fois où ma patiente ma torturer. On ma craché à la geule (littéralement) mais j'ai étai trop bon pour lui coulé une droite. En même temps ma mère refuser que je m'énerve, cette mère qui ma detruit les mains à force de frotter le sol. Celle qui .. Qui ma gardé en vie, et qui ma esclavager. Utiliser comme un bouclier et comme une arme contre mon propre congénères. Je détester tellement d'être cette case, pour elle j'étais l'homme parfait pour obéir et réussir et je le serais. Car j'aime ma mère. Paradoxale hein ? Je sais se quelle à vécu, se qu'elle à endurer et j'oubliais jamais ces cigarettes sur la table, pour qu'elle fume et évite la faim, juste pour qu'on à beaucoup plus à mangé. Ma mère est génial et y reste, mais celà fais un moment que je l'a considère plu comme une mère, car même est choqué par le fais que j'apprend tout, tout seul. L'enfant parfait disent-ils, moi je pense c'est plutôt une malédiction. Une horreur sans nom.

Je veux être tellement comme les autres, un être normal vivant sa vie heureuse dans se monde qui brûle, pourtant c'est moi qui brûle avec ce foutu monde. Je vis uniquement pour me prouvé à quelle point chui une sacré merde. A quelle point j'ai toujours pas touché le Millions alors que c'est littéralement le but de ma vie. Et je rigole pas déçu, j'ai des compétences et je vais perdre 100%, ma stratégie est de me casser tellement la geule pour que quand je remonte du sol, c'est en étant un putain de Dieu devant le monde du travail.

Je me torture à dépasser mes limites mental, c'est incroyable le nombre de truc qu'un simple cerveau peu faire avec l'imagination. J'ai pu renforcé mon intelligence, améliorer mes capacités de compression, Fabriqué un putain de 3e oeil dans ma tête pour voir l'âme des gens. Et je déconne pas sur le truc, j'étais le psy parfait pour beaucoup se gens, j'ai pu rentré dans les zones les plus sensibles sans même essayer. Mon Oeil le fessait déjà bien. Problème c'est que j'ai vue tellement.. tellement d'horreur des autres, la dépression est contagieuse mais quand tu la vois, c'est encore pire. J'ai vue et entendu tellement de chose, pourtant j'ai vérifié, j'ai testé et surtout expérimenté au point où mes propres démons ont peur de moi.

Mais aujourd'hui j'en souffre car j'ai besoin de temps, beaucoup, beaucoup de temps dans le silence absolu. où je peux le trouver ? Dans la mort. En effet j'ai.. disons, goûté la mort, sans deg et je peu même vous raconter de la sensation que sa fais.

En gros j'ai fais une.. sorte de expérience tellement violente que cela ma endormi pour toujours, mais quand j'entend une musique précise, je m'en réveille ou je m'en rendort. La part exemple j'écoute la musique et bom, dead. Mais je peu pas, j'ai une promesse à tenir. D'ailleurs cette technique viens du principe des Sleepy Agent, une sorte de légende, mais j'ai pu la tester, et j'ai réussi.

D'ailleurs si vous voulez la sensation de la mort, c'est simple, c'est comme un rêve que ta oublié après t'être levée, mais pour toujours. T'es bloqué dans ce rêve où tu l'as oublié, en boucle. Bref, un néant total, endormi dans ma propre tête.

Alors qui à contrôlé le corps pendant ces 3 ans ? Simple, Le TDI. Long, long histoire avec mes expériences, mais en gros, j'ai pu donner une conscience séparer à chaque partie de mon cerveau. Et je parle pas d'alters de merde, Je parle du cerveau en lui même.

Bref, je dois rentrer. J'ignore si quelqu'un vas lire ça, j'espère pas, j'espère être oublié comme une vulgaire papier.

24/01/2024

[almanach2023]

Aujourd'hui, vendredi 24 mars, nous fêtons Sainte-Catherine-De-Suède et les Adhémar.

SAINT DU JOUR

. Sainte-Catherine-de-Suède . Du grec Katharos, "pur" . (1331-1381) Née en Suède, quatrième enfant de Sainte Brigitte, elle épouse Edgar Lydersson, un invalide avec qui elle vit en continence et qu'elle soigne avec grand dévouement. De concert avec son mari, elle rejoint sa mère à Rome et l'accompagne à Jérusalem. Après la mort de son mari et de sa mère, elle regagne la Suède et devient abbesse de Watzen. De 1375 à 1380, elle habite à nouveau à Rome pour obtenir l'approbation de l'ordre du Très Saint Sauveur (les brigittines) et pour presser la canonisation de sa mère. . Les Catherine ont un caractère bien trempé grâce auquel elles parviennent à se sortir des situations délicates. Assez masculines dans leurs réactions, elles savent se faire respecter et parviennent généralement à des postes de responsabilité dans leur profession. Plutôt fières, elles ont tendance à snober les autres et ne se privent pas de remarques désobligeantes. Leur colères sont mémorables. Côté coeur, elles sont très fidèles et exigent que l'homme de leur vie le soit aussi. Nous fêtons également les : Catherine - Hildelitte - Timolaos - Timolaüs Toutes les infos sur les Saints du jour https://tinyurl.com/wkzm328

FETE DU JOUR

Quels sont les fêtes à souhaiter aujourd'hui ? [ Bonne fête ]

. Ademar Moreira Marques, footballeur portugais . Adémar, vicomte de Lyon au milieu du Xe siècle . Adhémar de Monteil, évêque du Puy-en-Velay et légat de la première croisade (1098) . Adhémar de Monteil, évêque de Metz (1361) . Adémar de Salerne, prince de Salerne associé à son père Petrus ou Pierre de 853 à 856 puis seul 856 à août 861.

Ils nous ont quittés un 24 mars :

24 mars 2008 : Richard Widmark, acteur et producteur de films américain. (26 décembre 1914) 24 mars 2008 : Neil Aspinall, road manager des Beatles (13 octobre 1942) 24 mars 1990 : Alice Sapritch, comédienne française (29 juillet 1916) 24 mars 1905 : Jules Verne, écrivain français (8 février 1828)

Ils sont nés le 24 mars :

24 mars 1986 : Lucie Lucas, actrice et mannequin française 24 mars 1979 : Lake Bell, actrice, réalisatrice, scénariste et productrice américaine 24 mars 1977 : Corneille, né Cornelius Nyungura, chanteur et auteur-compositeur-interprète de R'n'B canadien d'origine Hutu rwandais 24 mars 1974 : Alyson Hannigan, née Alyson Lee Hannigan, actrice américaine 24 mars 1972 : Christophe Dugarry, footballeur international et consultant sportif français 24 mars 1964 : Raphaël Mezrahi, humoriste et acteur français 24 mars 1944 : Dominique Bromberger, journaliste français

Toutes les naissances du jour https://tinyurl.com/msmk5e22

Fêtes, Célébrations, événements du jour

24 mars : Journée internationale pour le droit à la vérité en ce qui concerne les violations flagrantes des droits de l’homme et pour la dignité des victimes (A/RES/65/196) (ONU) 24 mars : Journée mondiale de la lutte contre la tuberculose (ONU) 24 mars : Journée mondiale pour la fin de la pêche (JM) 24 mars : Journée Européenne de la glace artisanale (JM)

CITATION DU JOUR

Citation du jour : A force de couler, l'eau finit par user la pierre. Proverbe vietnamien.

Citation du jour : Si tu savais combien je t'aime, combien tu es nécessaire à ma vie, tu n'oserais pas t'absenter un seul moment, tu resterais toujours auprès de moi, ton coeur contre mon coeur, ton âme contre mon âme. Victor Hugo

Toutes les citations du jour https://tinyurl.com/payaj4pz

Petite histoire... digne d'un caramel...

P'tite #blague du #vendredi Quel est le comble pour un électricien ? Ne pas être au courant!

P'tite #blague du #vendredi Un citron et une vache veulent faire un holdup. Le citron rentre dans la banque et hurle : Pas un zeste, je suis pressé ! La vache surgit derrière lui: Que personne ne bouse !

Petit clin d'oeil sur le jardin : C'est peut-être le moment...

De terminer la taille des rosiers. De rempoter les pélargoniums de la véranda.

Nous sommes le 83ème jour de l'année il reste 282 jours avant le 31 décembre. Semaine 12.

Beau vendredi à tous.

Source : https://www.almanach-jour.com/almanach/index.php

#ephemeride #ephemerides #almanach #french citation #citations #citation du jour #citation #saint #saintdujour #saints #saint jour #histoire

[coffee-place]

Avis de Tempête

Il tendit son bras en vain. 

Ses doigts semblaient disparaitre dans le souffle de l’air. De la poussière volante qui s’envolait. Les cendre se déposant au grès du vent sur l’herbe environnante, sur les feuilles des pommiers, tranquilles; sur les bouses séchées par la chaleur et le soleil; sur les vêtements étendus au loin. 

Il était en train de disparaitre et cela se faisait de manière si subtile. Il se sentait légèrement glisser. Il pouvait sentir ses jambes en train de trembler, son coeur s’accélérait et cette envie pressante montée. Il commençait à voir trouble autour de lui. La lumière lui brulait les rétines et de petites larmes coulaient sur ses joues. Il se sentait presque pas mal. Il voyait juste son corps se désagréger progressivement. Ses muscles ne le soutenaient plus. Il allait s’effondrer. 

Les nuages s’accumulaient dans son ventre. Il résiste un peu. Il sait que le vent se lève, qu'il hurle et que son corps va bientôt s’effondrer. Il veut encore s’accrocher un peu. Il ressent une douleur masochiste à projeter le choc de l’éclair dans son corps. D'entendre le bruit au moment où il le frappera violemment. Le choc qui déferlera partout dans son organisme. Le vide après. Le silence qui s’en suit. Un plaisir de destruction, de libération des tension. Une impulsion presque incontrôlable. 

Il a installé des paratonnerres. Il les a construit progressivement, doucement. Il en place à différent endroits afin de couvrir le plus de territoire possible. Quand une tempête approche, il peut les regarder le protéger.

Parfois, cependant, il voit la terre se fissurer autour de ses paratonnerres. Ils se mettent à vaciller imperceptiblement. La pluie vient se gorger autour des poteaux et laisse de longues trainées de boue intense qui altèrent la stabilité des installations.

Dans ces moments, il doit alors se déplacer lui même et venir au pied du paratonnerre pour le soutenir. Torse nu, son dos se bloque à la sensation du bois lourd et humide le long de sa colonne vertébral. Il lutte contre la boue, contre le vent, contre le poids du bois qui se gonfle d’eau.

Alors la perceptive de se laisser glisser dans la boue, de sentir la terre sur son visage semble plus agréable que les échardes dans le dos, la douleur du sang qui coule et le froid de la pluie, le vent qui hurle dans son oreille. Les arbres semblent si paisibles en comparaison. Il se sent comme acculé face à un spectacle de clarté. La tempête fait rage, mais elle n'affecte personne d'autre. Ou plutôt, la tempête fait rage, elle se déchaîne mais les arbres l'ignorent et continuent en harmonie leur vie. Se nourrissant de la pluie, en profitant du vent pour se débarrasser des feuilles mortes. Lui, il doit porter son paratonnerre. Ne pas glisser. Ne pas s'effondrer. Ne pas faillir.

L'orage va frapper.  

Mais, en tombant. En tombant dans la boue.

Dans la boue, il peut panser ses plaies. Dans la boue, ses os craquent mais ne bougent plus. Il est seul mais protégé par la croûte de l’humilité. 

Quand l'orage approche, et que la pluie s'intensifie.

Parfois, il se laisse glisser, épuisé. Le paratonnerre s'effondre misérablement suivi par son corps dans la boue. Des écumes des boues viennent s'écraser contre lui. Il est broyé. Il tente vainement de respirer en recrachant la boue qui tente de remplir ses poumons. Son corps se convulse et il se repli comme il peut. Et puis enfin, l'éclair frappe son corps et son esprit. Un intense blanc. Une suspension entre douleur et plaisir. Entre chaos et vitalité morbide. Et l'effondrement.

Parfois, il tient bon. Ses jambes bien ancrées, il parvient à se maintenir droit. Son esprit lui adressant des mots d'amour et d'encouragement. Des mots de réussites, des mots qui font voler et qui font du bien. Alors l'éclair frappe le paratonnerre. Et l'espace d'un moment il a senti le courant passer dans le bois. Loin de lui et si prêt. Il peut se relever doucement et repartir.

[mrskittythulhu]

Blue Flames of a One Night Stand

(18+) Dabi + (y/n fem) 

part 2 part3 part4

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It was never meant to be like this. The one-night stand should have ended hours ago but some how the sun rose with you tucked in his arms. He just wanted a night to unwind with a few drinks and a quick release but somehow you came home with him and spent the night.

The light flowed in from the window between the holes of the old curtains. Your body curled up under his blanket trapping one of his arms underneath you like a pillow. Dabi took his free arm from over you to rub the sleep out of his eyes. After blinking a few times to adjust to the early afternoon light his gaze traveled over your sleeping form. Dabi smiled at himself seeing your ruined mascara streamed down your cheeks. Memories of your screams flicked in his mind.

“Fuck.” He whispered to himself. Dabi fell back onto the bed tossing is arm over his face with a low grumble. Out of the corner of his eye he sees you still peacefully sleeping. Slowly he dragged his palm over his face in frustration.

Slowly he pulled his arm out from under you trying not to wake you. As you rolled away the blanket fell away from your chest revealing your perked nipples. Deep bite marks over your chest and neck reminded him of his actions last night in his drunken haze. Dabi’s cock twitched at the sight of you exposed. He softly watched you sleep on his bed for a moment before snapping himself out of his trance. Slowly he pulled the blanket back up over you before sliding out of bed.

Enjoying the feeling of the cold floor beneath his feet he took a step only to feel silky fabric bush across his toes. Looking down to the floor was the dress he burned off your body. A sinister smiled graced his lips at the memory of how the dress hugged your curves until his blue flames helped him rip the fabric from your body. He let out a groan as he picked up the burned fabric. When he stood back up, he began to feel painfully aware of his arousal. Letting out a huff of air from his nose Dabi made his way to the bathroom.

With a twist of the lock, he felt secure with in the small space. Quickly discarding your mini dress into the tiny trash bin. He was not sure what you would wear when you got up, but he tried to convince himself that it was not his problem. You should never have let him burn your clothes in the first place if you did not have anything else to wear home. His sadistic side absolutely loved the way his blue flames danced across your skin and how you moaned when he would use his quirk.

Leaning over the sink his eyes slowly trailed up to meet his reflection in the mirror. Your bright lipstick smeared over his own lips with matching kiss marks down his neck and chest. A ring of faint lipstick remained at the base of his shaft. Giving himself a slow stroke of his length with only the memory of how you took him deeply in your mouth in the dirty bathroom of the club last night. As his eyes made it back up to the mirror, he noticed that in the same lipstick color on his body was your name and number on the glass. Dabi checked darkly to himself knowing he had completely forgotten your name if he even bothered to ask at all in his drunken haze.

Dabi stopped his hand to reach for the shower faucet.  Quickly stepping inside the shower to enjoy the cold water running over his burned shin. Dabi placed his left had on to the tile wall as his right began to stroke along his hardened length. The metal of his piercing rolled along his palming action. He began to breath deeply into the cold water that flowed over his face. Quiet curses and deep grunts escaped his lips at the memory of your body bousing on his old mattress. With a few final strokes his chest hummed as he found his release. Dabi’s mind began to clear as he watched the water swirl down the drain. With a deep breath he finally grabbed the soap and washed away the possessive love marks and dried bodily fluids you left on his body.

With a feeling of slight mental clarity Dabi walked over to his secondhand dresser. Aloud squeak from opening the drawer caused you to stir. Realizing you are finally waking up he quickly pulls out a pair of black jeans and old white shirt. Once clothed he reached to the top of the dresser for his cigarettes placing one in his mouth to light with his quirk.

Slowly he walks over to the bed. Seeing your bare bottom peeking out from the sheets with is handprint lightly branded into your skin began to fill his head with pleasant thoughts. ‘She left her number maybe she wants to meet again. Of course, she does, sluts like her love getting dicked down.’ The thought of you staying slowly turned into thoughts of his villainous life. ‘Wonder how that dusty Tomura would feel about her? He would want to share her as if that dusty virgin would know what to do with a piece of ass like that.’

The bed squeaked as he sat on the edge next to you. Leaning an arm over your body to hover over you he let out a puff of smoke away from your sleeping form. “Going to wake up at some point doll face?” Your face scrunched up as you let out a groggy groan soon to peak up at him with one eye.

“Coffee?” your voice comes out strained and scratchy.

“Ya, I got some,” there was a sarcastic chuckle in his voice, “anything else you want princess?” With a satisfied moan a smile crosses your face. You stretch your arms above your head and wiggle your body beneath him.  You reach your hand over to clasp the hand Dabi held the cigarette with and pulled his cigarette into your mouth while he held it for a drag.

“Shower if you don’t mind.” You lock eyes with the bright blue that stole your attention all night. You were not sure what he was thinking but you enjoyed how intensely he was staring down at you.

“Water only runs cold princess.”

“Well after last night I could use a little cooling off.” Dabi frimly grabbed your ass cheek with a satified hum in his throat. You could feel a low heat from his palm made from his quirk. After a moment he release you. Standing up from the bed he put out his cigarette in the ash tray on the windowsill next to the bed. He started to walk to the door and your eyes followed his movement.

“If your going to eye fuck me this early in the morning, we could just go another round.” Dabi glanced up and down your barley covered body with a grip on his belt buckle as if he were waiting for you to invite him back over.

“Shower first need to get your kids out of my hair.” As Dabi tried to hold back his laughter you managed to roll out of his bed. His blue eyes drank in every curve of your naked body in the light of the day. The bruises, hickeys, scratches, bites and burns only made you look more attractive to him. “See something you like?” You say with a sarcastic tone as you bend over slowly giving him a full view of your ass while you pick up you purse.

“Just admiring my handy work babe.” You slowly strut across the room lust filled blue eyes follow your every step. You arch up on your toes to place a chase kiss on his lips. Tossing your bag over your shoulder you walk into his bathroom.

You walk into the kitchen hair wet and up in a messy bun. Glasses on your face because you needed to rest your eyes after wearing contacts late into the night. Thin short pink running short and a tight white tank top with matching thin flimsy sandals. With each step closer to Dabi the smell of coffee makes you let out a satisfied hum.

“So, your name is Dabi?” You had noticed he taken your lipstick and wrote on the bathroom mirror as you had to what you assumed to be his name. Dabi slowly turned around with a mug to his lips grunting confirmation to your question. He handed you a mug of black coffee and took the moment you were distracted by your beverage to take in your appearance.

He was surprised that you had a change of clothes in your small bag, but his face showed no emotion. Part of him was hoping you would walk out in only a towel or the hoodie he left on the bed for you. Dabi thought you looked so normal and innocent in your day clothes making him wonder why you were here with him. You made the aggressive advances on him the night before and now he was starting to question your motives. The bitter taste to his coffee was nothing to the bitter feeling of being used. He sucked down another gulp of coffee trying to harden his already shielded heart. Dabi placed his mug down, crossed his arms over his chest then lean back on the counter.

“(Y/n) right?” His tone was dark and sarcastic when he spit out your name. You felt an unpleasant chill run down your spine. Trying to place the mug down without showing how intimidated you were by his sudden change in attitude was difficult. You smiled tightly and hummed out a yes to show he had your full attention.

Dabi enjoyed the fear in your eyes it gave him a deep satisfaction. He pushed himself away from the kitchen counter in two quick steps he was toe to toe with you. His height difference was clear as he looked down at you. His grip was tight on the tip of your chin when he pulled your gaze up to meet his. He leaned in close with an intimidating look in his blue eye.

“What is a sweet little thing like you doing playing round in a hole in the wall bar with a thug like me?”

You felt frozen in place as you tried to steady your breathing. You could hear your heart pounding in your ears. It was obvious you planned to sleep with someone you even packed extra clothes. You could not blame him for the question, but it was the deep threatening tone that he asked in that made you want to choose your next words carefully.

“So, what is it, were you board and needing someone to spice up your perfect life? Or do you get off on using people?” You try to respond but only a few low squeaks escape. Your throat feels try and legs weak as you try to look away from his sharp glare.

When Dabi goes to release your chin, he pushes you head to the side nearly knocking you off balance. With a huff he is back to leaning nest to the counter arms folded over his chest. He will not even look at you and the sour expression on his face fills you with guilt.

“Just go.” With those harsh words you felt tears filling your eyes.

You storm off to his bedroom to grab the last of your things. While in there you take the time to mentally collect yourself. This was not how things were meant to be. You needed to tell him the truth even if he did not believe you or care what you say. A rising determination was fueling you to go back out and tell him why you hooked up with him last night. Straightening up your stance to toss your bag over your shoulder as you turn around you find Dabi filling up the door frame and blocking your way out. Your body slightly jerks back in response to not expecting him to be behind you.

“Umm Dabi,” you stuttered shyly as you spoke up, “Look its not like either of us were planning to have more than a one night.” He squinted his eyes at you but said nothing. Inside he was slightly offended after how softly he thought of you this morning but over all he did agree with you. “Yes I did pursue you .. rather hard last night but I can explain.” You began to twiddle your finders nervously along the hem of your shirt. Dabi still stay silent, but the quirked eyebrow seemed to you as an indication to continue. “Well, you kind of look like a villain.” You were not wrong, but Dabi still felt like he had a right to be offended plus he was starting to enjoy watching you squirm.

“Is that supposed to make me feel better being called a villain because why? My scars?” Dabi stood tall in the doorway radiating off an intimidating presence.

“Ok I know that came out wrong, but I needed someone to ruin my reputation.” Well, that was an unexpected answer. Dabi felt taken back as he tried to understand what kind of a woman would willing let a man ruin her reputation. Dabi took slow strides towards you closing the distance and still blocking you from the door. You backed away in a slow shuffle as he approached until the back of your knees met the bed nearly knocking you off balance. Dabi leaned his head down slightly and placed a firm grip on your chin tilting your face up at him.

“I -I just wanted my ex-boyfriend to leave me alone.”

“And how did I fit into that little plan of yours.”

“We broke up 6 months ago, but he won’t let me move on keep saying I’m good for his reputation because he’s some mid rank hero.” That peaked Dabi’s interest. He loosed his grip on your chin and took a slight step back wordlessly signaled for you to continue explaining with a flick of his hand.

“We broke up 6 months ago, but it was more like I dumped him because he is an abusive jerk.” You took a deep breath to try and suppress tears of the memories of your past relationship. “It got to the point I wasn’t allowed to have friends because I needed to always be available to him even though he was cheating all the time. When I called him out on the cheating, he just claimed they were very affectionate fans.” Your tone got bitter the more you spoke. “So even after I broke up with him and moved, he would still fallow me or have another hero friend follow me. He broke into my home and would constantly call me even when I was at work. He continued to tell people we were together and because other people never saw the abuse I was labeled as an ungrateful girlfriend.” You could no longer hold in the tears your voice was starting to crack from crying.

“Shhh Shhh- princess don’t waste anymore of your tears on a guy like that.” He tried hard to make his words sound sincere. Dabi knew all too well how corrupt heroes were and so he quickly thought of a way to help make you look more ‘ruined’. At least he would get another taste of you before ridding himself of unnecessary drama. He really did not need more heroes following him around but if his idea worked, even a little, there might not be one following you. It was a win, win, to him.

“You need to save all those tears for the punishment I’m about to give you.”

“Punishment?”

“That right, punishment. You have been a very naughty girl using people like that for your own needs.”

“But I- “

“No buts.” He guides you slowly to lay back on the bed with your feed dangling off at the knees over the edge. “You need to show me how sorry you are for what you have done and take your punishment. Got that?”

“Yes…sir.”

“Good girl.”

Dabi lightly nudged you to sit on the bed by putting his hand atop your shoulders. The bed made a loud creaking sound as your weight caused it to sink. His fingers slowly traced down your body until he finally placed his hands on either one of your thighs.  As he leaned in, he pushed your legs apart. His nose ran up the length of your clothed slit the sensation caused you to let out a breathy moan.

“Wet already and I’ve barely touched you. I told you doll face this is a punishment.” Without wasting a moment Dabi smacked his hand hard on to the top of your feminine parts. You let out a loud sharp scream from the sharp pain. He quickly found your clit and started rubbing slow circles adding pleasure to the dulling pain you felt. His free hand crawled up towards the elastic band of your shorts hooking his fingers under the elastic. With a few shimmies of your shorts your bottom half was soon bare.

“Ooo!” Dabi leaned in and kissed the red handprint he left on your sensitive flesh. For a split second he felt guilty about how hard he hit you but the thoughts of what he was still planning to do was causing a sinister smile to form through his stapled face. “I’m starting to think you enjoy pain.”

“No, it’s not like that I..”, Unable to finish your sentence as a wave of pleasure was building up in you. Dabi no longer cared what you had to say he was more focused on the moans he could pull from you.

Your chest was slight blocking your view of fully seeing Dabi’s face, but you could feel his fingers slowly pumping into you. His lips and tongue swirled and sucked on your hood and clit. The combination was quickly pushing you towards an orgasm. After how long the two of you were intimate the night before your body was already sensitive.

You started to moan out what you though were words saying how you were about to cum but suddenly everything stopped. You sat up slightly in shock to see Dabi licking his finger of your juices with a sinister smirk. It was very quickly obvious he was not going to finish.

“I told you this was a punishment. Now get your things and get out.” With those cold words he stood up with your shorts in his hand. He lazily tossed them at you so dumbfounded by what just happened you nearly loss balance catching them. Dabi walked away from you as you put your clothes back on. He pulled out a cigarette and leaned near the partly opened window. Everything about him was cold again and it twisted you up inside far more than before.

Despite the aching in your shorts and the twisting pain in your chest you managed to gather your bag without crying again. You looked over at Dabi hoping to see some kind of emotion from him, but he turned his gaze away from you. With quick strides you made your way across his tiny apartment and out the front door. To make yourself feel a little better you slammed it shut behind you causing the cheep walls to shake.

Your angry pride filled power walk slowed after you made it a few blocked away. Slowly you shuffled to the nearby bus stop and leaned on the street sign. As you waited for the bus you allowed yourself to quietly let out tears. A mix of regret filled you as you replayed the last 24 hours in your mind. “Dabi..”

#Dabi #dabi x reader #dabi smut #mha smut #villain #league of villians x reader #lemon #todoroki smut #bnha smut #dabi is touya #touya todoroki #touya smut #my hero academia #blue flames

[gerceval]

Visions

1,234 mots, sur une demande de @19chloe96, sur Ygerne et Cryda à l’époque des événements de kv1

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Au cri du coq, Cryda se retourna sur la paillasse grinçante. Ses articulations la faisaient déjà souffrir, et le jour se levait à peine, mais elle n’allait pas lambiner pour autant. Pas son genre. Dans l’autre petit lit, sa sœur avait plus de mal. Elle la comprenait parfaitement. Qu’est-ce qu’il faisait froid, dans ce pays de bouseux ; et puis, Ygerne était la plus âgée des deux, et celle qui avait eu la vie la plus difficile. Mais enfin, ce n’était quand même pas une raison pour se laisser aller, et, ces derniers temps, elle avait sérieusement l’air d’être sur le point de jeter le manche après la cognée. Cryda s’était pourtant dit, quelques mois plus tôt, au moment où elles avaient passé la barre des dix ans dans la ferme nordique où elles avaient trouvé refuge, que si elles avaient tenu le coup jusque là elles pourraient bien continuer à tenir le coup tout pareil. Mais la morosité silencieuse d’Ygerne n’avait fait que se durcir à partir de ce point. Ça ne lui ressemblait pas tellement, à la sœurette, de ruminer dans son coin, mais la situation était quelque peu inédite, et l’espoir d’en sortir se faisait de jour en jour plus mince.

Elle s’habilla rapidement dans le noir, une robe fruste et rugueuse qui lui filait des boutons, et sortit de la chambre qu’elles partageaient. Dans la cuisine, Élionne avait déjà commencé à faire cuire du lard. Leur hôtesse avait environ le même âge qu’elle, et tenait la ferme seule depuis que son neveu avait été enlevé et probablement exécuté par les soldats de Lancelot pour avoir défendu des paysans du voisinage contre des taxes étouffantes cinq ou six ans plus tôt. Ygerne et Cryda l’auraient bien aidée à faire tourner la boutique, mais elles n’étaient malheureusement pas qualifiées pour torcher le cul des cochons. Le neveu ne manquait pas tellement à Cryda (c’était le dernier des pégus), mais elle avait fini par se prendre d’affection pour Élionne, qui détestait tout le monde et ne cessait de leur répéter qu’elle les foutrait dehors à coups de pied dans l’oignon au premier faux pas, tout en leur préparant semaine après semaine les petits pains les plus moelleux de toute l’île de Bretagne.

- Elle est pas levée, votre sœur ?

- Je sais qu’on est chez les bouseux, mais on dit même plus bonjour, chez vous ? rétorqua Cryda d’un ton hautain.

- Si vous êtes pas contente vous pouvez toujours aller prendre le ptit déjeuner dans les geôles de Kaamelott, ils seront ptetre plus avenants.

- Oh vous savez, moi je dis ça c’est pour vous ma p’tite, le fiel ça vous fait un vilain teint.

Outre une cachette sûre, le gîte et le couvert, Élionne lui offrait de quoi garder son esprit vif et affûté, alors que les distractions ne se bousculaient pas au portillon. Sans aller jusqu’à se voir rester là jusqu’à la fin de ses jours – il ne fallait pas exagérer, elle était une princesse, et vivre les deux pieds dans la bouse portait quand même un sacré coup au standing – elle se disait parfois qu’elle garderait quelques souvenirs heureux dont elle pourrait à l’avenir se délecter sur un fauteuil tendu de riches étoffes, au coin d’un grand feu allumé par des grouillots, si les dieux voulaient bien se décider un jour à redresser la situation. Ça ne coûtait rien de rêver.

Après un rapide petit déjeuner, elle retourna dans la chambre pour jeter un coup d’œil à Ygerne. Celle-ci était toujours allongée, mais au-dessus des couvertures, les yeux exorbités.

- Ça va ?

- Cessez de me parler du froid qui continuera de s’abattre sur nos âmes et celles des générations à venir, car les dieux ne dorment jamais pour très longtemps.

Elle avait prononcé ces mots d’une voix caverneuse que Cryda lui avait déjà entendue plusieurs fois.

- Ah ben là ma poule je saurais pas vous dire, dit-elle en s’asseyant sur son propre lit, face à Ygerne.

- L’avenir et le passé ne forment pour vous qu’un serpent qui se mord la queue, et bientôt je pourrai vous rejoindre et vous comprendre et vous tenir sur mon sein. En attendant, guidez-moi… Guidez-moi vers les portes de ce qui n’est pas encore…

- Qu’est-ce que je fais du coup, je vous fais apporter le petit-déjeuner au lit ou… ?

Elle avait fini par s’habituer à ce genre de discours énigmatiques, souvent prononcés au cœur de la nuit, mais parfois aussi en plein milieu de la journée, faisant irruption au milieu de conversations et d’activités diverses. Ygerne avait commencé à avoir des visions alors qu’elles étaient toutes les deux adolescentes. La plupart du temps, c’était avec des morts qu’elle entrait en communication. Au début, Cryda évitait de se trouver dans la même pièce qu’elle dans ces moments là – les morts ne l’avaient jamais vraiment intéressée, ils étaient ailleurs, merci bonsoir. Et puis, la curiosité avait eu raison de son dédain. Les visions d’Ygerne étaient restées relativement rares, mais les gens la regardaient suffisamment bizarrement et avec suffisamment de dégoût dans les yeux pour que Cryda se trouve heureuse de ne pas être la sorcière d’entre les deux.

- Ouvrez-moi vos bras, si vous voulez ouvrir mes yeux. J’essaye, j’essaye, mais je n’entends pas votre présage. Les ruines sont tout autour de moi, répétez, répétez, montrez-moi votre visage, enfin ! Je suis là, faites de moi votre pythie, car je suis encore dans ce monde, et votre épouse soumise.

Ah. Encore lui. La majorité des visions d’Ygerne avaient été de Pendragon, depuis qu’il était mort. C’était celles qui mettaient Cryda le plus mal à l’aise, car si le bougre n’avait pas été très commode de son vivant, il était devenu carrément flippant en passant l’arme à gauche. Certaines fois, Ygerne avait l’air de lui parler, et d’autres fois…

- Qu’est-ce que c’est que cette ferme toute pourrie que vous avez dégottée ?

...D’autres fois, c’était Uther qui parlait par sa bouche.

- Qu’est-ce qu’elle a, celle-là, à nous regarder ?

Cryda resta silencieuse, préférant toujours agir comme si elle n’était pas là, comme si rien de ce que le fantôme disait ne pouvait l’atteindre.

- Bon, donc comme je disais on m’a dit de transmettre une prophétie, donc ouvrez bien les feuilles de chou parce que j’ai pas envie que ça prenne mille plombes. Alors. Laissez-moi me concentrer. Ils m’emmerdent, là-haut, avec leurs histoires.

Le corps inerte d’Ygerne semblait tendu et douloureux. Outre ses lèvres, seuls ses yeux bougeaient, animés d’une vie surnaturelle, presque malsaine.

- Ah oui voilà. Ça faisait comme ça : Les fils des hommes se prépareront à sa venue, car leurs pères ont abandonné l’espoir. La poussière tombera de leurs armes s’ils savent prêter ouïe, lui seul pouvant par ses mots les relever, et célébreront à travers Logres de l’Élu le retour.

Avec une grande inspiration, Ygerne se redressa sur le lit, prise d’un frisson. Cryda, les yeux écarquillés, vint s’asseoir à ses côtés.

- Vous avez entendu ça ?

- Bien sûr que j’ai entendu ça, c’est moi qui ai prononcé ces mots ! Vous savez ce que ça veut dire ?

- Votre fils…

- On quitte le bled des bouseux ma grande ! Commencez à mettre vos merdes dans un baluchon, l’héritier d’Uther est vivant, et il est en route ! Et il a intérêt à faire un bisou à môman !

#kaamelott #kv1 spoilers #petitscroustillants #fanfic #m #c'est beaucoup trop fun d'écrire cryda wtf #merci de m'avoir donné l'occasion parce que je l'aurais probablement jamais fait de moi même sinon

[saemi-the-dreamer]

Kaamelott le film - review

*ahem* Je ne fais pas ça très souvent, mais je souhaitais vraiment partager mon avis “à tiède” sur le film que j’ai pu voir en avant-première. Donc spoilers, forcément, même si je vais faire au mieux pour ne pas tout décrire en long-large-travers.

Et, S’IL-VOUS-PLAÎT, rappelez-vous que ce n’est que mon avis personnel, je ne dis pas détenir la vérité absolue ou que j’encense ou crache sur le travail d’Alexandre Astier et toutes les personnes qui ont participé à ce film; ni ceux qui ont un avis différent du mien.

Tout est sous la ligne, si vous êtes curieuses/curieux, et je serai ravie d’en discuter avec vous du moment que tout est fait et dit avec respect et politesse. Merci d’avance.

Alors je vais aller droit au but : je suis déçue. Bien que j’ai passé un bon moment de manière générale, je crois que c’est surtout dû au fait de pouvoir enfin aller au ciné et voir Kaamelott sur grand écran que parce que je trouve le film bon. Attention, je ne dis pas que c’est une bouse !! Mais comparé à ce que j’attendais, ce que tous les livres précédents mettaient en place, c’est décevant.

Je vais commencer par le négatif, comme qui dirait : “les mauvaises nouvelles d’abord”.

Le rythme n’est pas génial, l’histoire paraît décousue. Le format film ne semble pas franchement maîtrisé.

On s’attarde trop sur des nouveaux personnages secondaires inutiles, ou des personnages vont et viennent sans qu’on sache ce qui leur arrive, ou l’intérêt de leur intervention. A part le “je suis toujours là”.

Lancelot n’est pas du tout crédible comme tyran ! Le costume n’arrange rien. Ces laquais ne le craignent pas, ne le respectent pas, ils font les pitres devant lui et lui manquent de respect sans qu’il n’y ait de conséquences. C’est plus un cas de “on dit qu’il est méchant, mais on ne le montre pas”. Comparé au Livres 5 et 6, il fait très pâle figure.

Arthur est difficile à cerner, j’ai du mal à comprendre ou A.A. veut en venir avec lui, je comprends qu'il ne guérisse pas de sa dépression en un claquement de doigt, mais certains de ses choix paraissent trop illogiques ou “faibles”. Quand par exemple il épargne Lancelot, plutôt que de faire intervenir Méléagan ou Mevanwi qui auraient pu agir perfidement et permettre à ce dernier de fuir.

On s’attarde trop sur des gags déjà vu et des personnages peu sympathiques ou important, ce qui empêchent des personnages comme Bohort, Perceval, Guenièvre et Merlin d’avoir plus de temps à l’écran et de briller. Perceval est tout de même censé être celui qui atteint le Graal, mais il refait son duo avec Karadoc (dont je ne suis pas fan) et se montre aigri plutôt que d’inspirer la résistance (à part un passage) et d’avoir une véritable réunion émouvante avec Arthur. Pareil pour Bohort, qui avait pourtant montré beaucoup de courage à la fin des Livre 5 et 6, il est relégué au second plan. Merlin... a une action d’éclat, et encore, si on peut appeler ça comme ça.

Le mélange comédie-tragédie ne prend pas, c’est maladroit. On passe du gros gag (parfois très facile ou incompréhensible) au mélodrame grandiloquent. 

Les flashbacks de la jeunesse d’Arthur. Ils sont trop nombreux et n’apportent rien à part du drame assez facile, les amours contrariés d’Arthur, ça va merci, on a assez vu comme ça, ça devient pénible. J’ai perso été beaucoup plus touchée par la majorité du Livre 6 et des échanges qu’il a eu avec César, cette fameuse réplique “ils ne se battent que pour la dignité des faibles.”

Trop de symbolisme, on sombre dans un côté purement intellectuel plutôt que de raconter une histoire et la logique établie précédemment. Je n’ai rien contre quelque métaphore ou symbole ici et là, mais là c’est trop et ils ne vont même pas jusqu’au bout... après, c’est aussi peut-être parce qu’une suite est prévue !

Bon, voilà les points qui me pèsent le plus. Mais je ne vais pas rester que là-dessus, aussi vais-je citer les points que j’ai aimé, même s’ils sont moins nombreux/solides.

Guenièvre. MA REINE !! (´∀｀)♡ Je ne l’ai pas vu autant que j’aurais voulu, et elle n’est pas aussi active que je l’avais espéré mais elle a tout de même des scènes très fortes en émotions et le duo Arthur - Guenièvre a fait mouche.

La scène de la tour, le baiser. 〇(＞∀＜)〇 (je l’attendais celui-là !!)

l’ambiance, le visuel et la musique (à part un ou deux passages) sont très réussis. On a de beaux paysages, de beaux effets (je ne suis pas experte, mais je les trouve réussis) et de belles musiques pour accompagner.

L’assaut du château de Kaamelott

Excalibur qui reconnaît à nouveau Arthur comme digne de sa destiné et dont les flammes se changent en éclairs

Le duc d’Aquitaine, dommage qu’il disparaisse soudainement.

Les filles de Mevanwi qui lui disent ouvertement “merde” quand elle leur offre de quitter la résistance et de servir Lancelot.

Bohort, fidèle à lui-même (un peu trop, je n’oublie pas qu’il a sauvé Gauvain dans le livre 6 et j’aurais aimé le voir faire ça plus souvent au cours du film)

Le concept et potentiel.

Bon, j’ai fait le tour. En soi, ce n’est pas un mauvais film, mais comparé à qu’Astier a pu faire, on est dans le bas du panier (à mon avis). Dommage, il y avait de quoi faire quelque chose de superbe, ou bien la sauce n’a pas pris avec moi, tout simplement. ┐(´ー｀)┌

Ne m’incendiez pas s’il-vous-plaît ! Je laisse ma boîte ouverte pour des questions et/ou discussions, mais si vous faites ça, je vous bloque directe.

Si vous avez aimé ou adoré le film, je suis contente pour vous. Après tout, le but est de passer un moment agréable !

#Kaamelott #kaamelott le film #critique #Saemi's critics #cocorico #la face française de tumblr

[grey-eyed-menace]

Returning

"Kaitou?" Ikuo called, voice a little hoarse.

Silence, utter silence, that was... unusual, typically, his guardian would have come running ready to vault into his arms the moment he made it known he and Satsuki had made it back from practice, (not that Satsuki would be coming into the bouse anytime soon, to busy needling her boyfriend), unharmed and ready with a few new pieces to practice.

Yet, nothing. No grand exclamations, no tears of joy, or demands for Ikuo bust out the viola and show his family, as small as it was, what he had learned in the two hours he had been gone, (which, mostly, was just a hand over of his next recidal piece, and a new hate for trombone players, seriously, fuck Ryuzaki).

Tomoyo was home, that much was obvious from the shoes lined up at the door, but that also meant Kaitou should be as well, considering both his dress shoes and sneakers were thrown haphazardly in a corner as they always were.

And yet, no Kaitou.

Ikuo poked his head around the corner, eyes narrowed, surveying the interior of the living ropm, "Kaitou? Are you dead?"

All he's met with is Yuuki's favorite tea set, sitting idly, untouched, steam still rising from the filled cups.

[A gift, he had been told, from Kanae and Hitomi, hand-made, mismatched, and with two of the tea-plates floppy and bendable from the resin not setting right.

He had made a half-hearred comment about getting rid of those two plates once, Yuuki had threatened to emasculate him shortly after.

Akio had kept sipping his tea without do much as a second look, saying he would help hide the body.

If there was any doubt about the Kurama twins and their relation to Kanae and Hitomi, Ikuo would hold up a neon sign up to specifically highlight that moment, and ask, rather politely, or, well, as politely as he could, and ask if the person was fucking blind.]

Carefully, because this was the sort of shit that happened in the beginning of a horror movie, Ikuo made his way into the living room, eyes trained on the coffee table, where the tea set rested.

It looked perfectly innocent, set in a pretty little wooden tray Akio had made during one of his many, many, many 'idle' hobby projects. Still hot and ready to be drank, it was sorta strange.

Yuuki was very particular about her tea time, you didn't interrupt it without threat of death by decapitation.

And... this was all kinds of wrong, and freaky, and just downright strange.

And then the portal opened up on the ceiling.

It was right about that time Ikuo began wondering if his life was just some kind of fucked up joke for the Gods, because, you know, normally, when kids got orphaned they weren't immediately adopted by batshit insane ex-Watcher's who thought the appropriate reaction to comforting crying children was to offer up combat lessons for fighting against the Supernatural.

Or you know, thrusting them on the creepy as all fuck Necromancer you apparently had on speed-dial, and hoping against all hope they didn't end up just as fucked up as them in the long run.

[Ikuo loved Tomoyo, he did, truly, but he would be the first to admit his little brother had some seriously fucked up shit going on with him due to Eloisè Katherine and their bullshittery.]

Anyway, back to the matter at hand.

Their was a portal to God knows where in the ceiling of his living room, and, considering that he was the only one present, he was the one who had to deal with it.

Lovely.

And all he had on hand for a weapon was his viola, (which, fuck that, he liked the damn instrument, besides, it was fucking expensive to replace), and a few throw-pillows, and a tea set.

Decision made, he carefully avoided his adopted sisters tea set, and grabbed the largest pillow from the collection atop the couch, dropped his instrument case to the ground, and tried his best to look intimidating.

Seconds later, the hole dumped a pair of brunette haired lumps of human flesh over the back of the loveseat, and it was, also, at that moment, that fucking White Haired Anime Jesus descended down gracefully onto the coffee table, and the eldritch hole to Nyarlathotep's fucking sun room closed with a splutter.

White Haired Anime Jesus smiled at him, tilted his head, and took a calculated step backwards, dropping to the floor with a soft thump.

One of the two brunettes on the other side of the love-seat let out a quiet string of curses as they tried to disentangle themselves from their companion, who proceeded to groan in discomfort and make a quiet insult in a language Ikuo did not care to place.

"I bet you have many questions." Was the first thing out of White Haired Anime Jesus's mouth, lips quirked up in a smirk.

Ikuo did not, actually.

He just wanted this shit to be over with, so, without turning his back to the stranger, he quietly stumbled his over to the love-seat, throw-pillow brought up against his chest in a mockery of a shield, and, very carefully, peaked over the back to see both Akio and Yuuki still untangling themselves from one another.

And dressed like they were ready to see the Emperor himself, silently, he reasoned to question that later.

Right now, though?

"What the fuck did you two do." He hissed at them, eyes narrowed in annoyance as he met Akio's confused stare.

"Oh," White Haired Anime Jesus commented from where he had decided to sit down on the couch, ankles crossed, hands folded, and looking for all the world that he belonged there, "were you not informed of their transfer to the Royal Academy Of Diavolo?"

No, he was not, because a little over ten hours ago, Yuuki and Akio had been, for better or worse, been arguing over whether or not they wanted to apply to Murkowski Institute or Kiseki-Haruno Academy.

"I was not." Ikuo did not break eye contact with his adopted brother, instead he sneered as he spoke.

Akio had the decency to look sheepish, Yuuki, rather pointedly, mept herself focused on rising to her feet despite the obvious nausea she was experiencing.

"Ah, well, I guess you know now," White Haired Anime Jesus Mused, "it was quite the eventful seventeen months, if I do say so myself."

"I've been gone three hours," it was taking everything in Ikuo not to start screaming, and, oh, was it tempting to just give in and strangle one of the twins, "what the fuck did you two do!?"

"Seduced the seven princes of hell, of course." White Haired Anime Jesus supplied readily, smile more than apparent in his point.

Ikuo's face went slack at that, and proceeded to slowly turn towards the stranger sitting on the couch, "What?"

"Kurama Akio and Kurama Yuuki, descendants of the Fallen Angel Lilith, did the unthinkable," his smile somehow grew, showing far to many teeth for Ikuo's comfort, "they seduced the Avatars of the Seven Deadly sins, the Crown Prince of Hell, his loyal advisor and butler, an emissary from Heaven, two of the Ars Goetia, and, of course," he made an odd gesture, as though showcasing himself, "the ancient King and Sorcerer Solomon, oh, and they have the cutest little angel as a surrogate brother."

Ikuo proceeded to drop the pillow in his hands onto the twins, which made Yuuki splutter, turn around, and off the love-seat, to grab the case that held his viola, shouldered it, and made his way back to the entrance to the house.

"I did say it was an eventful seventeen months!" White Haired Anime Jesus, Solomon apparently, called out after him.

"Ikuo-onii-san! Where are you going!?" Yuuki squeaked, just as Ikuo heard Akio vault across the love-seat to likely strangle Whi- Solomon with his bare hands.

"Anywhere but here!" He called over his shoulder.

"I refuse to deal with this bullshit for the foreseeable future, until I've rightfully processed it, I'm going to crash at Yanagi's," he gave a half-hearted wave to no one in particular, "don't call me unless you're dying painfully."

He didn't bother to lock the door as he left.

#Shall We Date?: Obey Me! One Master To Rule Them All #Shall We Date?: Obey Me! #Shall We Date? #Obey Me! #One Master To Rule Them All #Obey Me! MC #Obey Me! OC #Obey Me! MC OC #OC's #My OC's #Obey Me! Kurama Akio #Obey Me! Kurama Yuuki #Obey Me! Nakahara Kaitou #Nakahara Kaitou #Kurama Yuuki #Kurama Akio #Guess who's going to 'Befriend' Belphegor? #I'll give you a hint. #There's gonna be a freakout of epic proportions and only ONE of the twins is capable of exibiting rage outside of Tranquil Fury. #And let me tell you. Tranquil Fury is going to legitimately try and kill Belphie. #Burning Rage isn't going to let the other twin near him to try though. #Ikuo tries to be a good big brother. He does. He really does. #But demons? Angel descendant? Fucking sorcerers!? #Yeah no. He's fine where he is. #He's got his own shit to figure out. #And the twins do NOT inspire a gentle approach. #Obey Me! Solomon Is A Gremlin #Tomoyo is discouraged by sorcery. And is far more intrigued by necromancy. #It's a process. You know. Of making sure Solomon doesn't recruit him. #Spade has been relegated to babysitter. You know. While Diana tries to keep four idiots from summoning Cthulu.

[ladyniniane]

Top 5 des livres nauséabonds (pas forcément mauvais : juste des livres dont l'histoire ou le message était abject) que tu as lu.

Merci @characterfromthebook et bien bienvenue en zone crado ! En général j’ai tendance à abandonner les livres nauséabonds parce que je considère que la vie est trop courte pour me mettre mal à l’aise avec un livre maiiiiiiis j’ai quelques trucs particulièrement abjects ;D

Prenez votre vogalen et en avant ! 

- The king’s peace, Jo Walton

L’héroïne est violée de manière totalement gratuite dans les premières pages. Belle manière de commencer un livre ! Elle donnera naissance à un enfant qu’elle abandonnera ensuite. Plus rien de tout ça ne sera jamais plus abordé. Jusqu’au moment où l’héroïne devra pardonner à son violeur parce qu’il rejoint l’armée de son roi. Elle se rendra alors compte que ce n’est pas un mauvais bougre. Abject.

-Le manga Berserk, Kentaro Miura (je crois mais j’ai pas envie de vérifier)

Je n’ai pas lu ce truc, j’ai juste parcouru des extraits. En fait je connais ce machin grâce à un de mes anciens potes d’études. Le gars célébrait cette oeuvre comme étant “trop d4rk et mature”. En fait c’est aussi mature qu’un adolescent boutonneux qui est en pleine puberté et en mode “sang, sexe et boobs !”. Entre scènes de viol à la pelle, dont une qui dure sur plus de 30 pages, c’est cadeau, et autres immondices, je conseille à l’auteur d’entamer le plus rapidement possible une psychanalyse et de coupler ça à la prise d’un calmant bien lourd, histoire d’arrêter de produire de la bouse. 

-La saga A song of ice and fire, de GRRM

Je sais que ce que je suis sur le point d’écrire va être controversé, mais bon j’ai envie de dire vous me connaissez xDDD

Bref donc ce cycle me débecte à cause de la violence omniprésente, graphique et gratuite, envers les femmes. Alors l’auteur se défend en disant que c’est parce qu’il écrit sur une époque sombre et violente. Certes, mais les trois quarts des choses qu’il décrit ne sont PAS NECESSAIRES à son intrigue. Pourtant, ce ne sont partout que corps féminins violés et mutilés. Le tout ad nauseam. Le viol devient un simple élément de décor, d’ambiance. On a compris que son univers était violent, pas la peine d’en rajouter. En plus de ça, beaucoup de ses personnages masculins s’adonnent à la violence envers les femmes : on a le client de prostituées (le john quoi) coupable de féminicide, celui qui a tué sa femme etc. donc oui on te force a être dans la tête de ces types en PDV interne. Trop bien !

Qui plus est, le monsieur insiste en disant que les mariages de jeunes filles à peine pubère sont rares dans son univers. Pourtant, il multiplie les exemples de gamines mariées à 11,12, 13 ans enceintes et forcées d’avoir des relations sexuelles. Bref, George je pense que t’as un sérieux problème. Arrête de te cacher derrière tes excuses de réalité historique.

-Dentelles et nécromancie, Georgia Caldera 

Une héroïne soumise et innocente et un héros trop d4rk et torturé qui la traite très mal, lui ment, la contrôle...et pourtant ils finissent mariés ! Quelle belle histoire d’amour !

-Mémoires d’une fleur, Jacques Pimpaneau 

L’histoire d’une courtisane dans la Chine ancienne. L’auteur y a déversé ses fantasmes les plus abjects. L’héroïne subit un viol collectif et finit par aimer ça. Rien de plus à dire.

#livres #top 5

[cowboisadness]

Hang ‘Em High {Arthur Morgan x FemOC} Chapter 11

Pairing: Arthur Morgan x FemOC Summery: Belle Hawthorne is high society looking to escape her mean husband. A robbery by the Van Der Linde gang could be her chance. Can she escape his cluches and possibly discover what love should feel like?

Warnings: Violence and attemped sexual assault/rape. Its not graphic but ive put * at the begining and end of that part if you want to miss it out. 

.....

The minutes that passed felt like hours or maybe it had been hours since these men took me. With no idea which direction they were going, I tried desperately to hear my surroundings for some clue to where I currently was, the busy sounds of a nearby town perhaps? Maybe the call of local birds that habited certain states. I couldn’t hear anything apart from the rush of hooves and a body of water that was crossed. My body aching from the constant movement. Not to mention I was flung over the back of this horse like a dead buck. All I could hope for was that one of the others saw me being taken, that they were following not far behind. Either that or the hope that whatever they were needing me for would have a swift ending, no matter what ending that would be. I doubted but hoped. Hope was all I had on me.

The horses came to a slow and then stopped, other voices could be heard in the distance. I was dragged off the horse and carried. Squirming in the man’s relentless grasp done nothing as he took me inside a building and then dropping me in a heap on the floor. My wrists burned as I tried to pull myself up to sit, pushing myself back with my feet till my back hit a wall. I heard a faint giggle before the hood was pulled off. Squinting at the sudden brightness before making out two figures stood before me, towering. Their rotten teeth showing through their sickening smirks.

“You gunna behave? Be a good little girl for us?” The larger man said as he crouched in front of me. I couldn’t will any words to escape, tears staining my cheeks and my whole body shaking in fear.

“Look, she’s shaking like a little rabbit.” The man laughed, causing the other man to cackle. “I like it when they are scared.” He continued, lifting his hand to my soaked cheek

“Don’t touch me!” It was nothing more than a squeak despite trying my best to sound intimidating. The man laughed again.

“She does speak,” He proceeded to remove his hand from my face and onto my knee “I wonder w-” I didn’t give him a chase to finish as I brought my knee up and kicked him in the chest, causing him to fall back slightly. His eyes changed to one of fury. The man behind him with his hand now hovering over his holstered pistol. Before I could react the man stood up, breathing heavily. His boot then connected with my head, toppling me over onto my side in a heap, crying out in pain. Another kick, this time to my gut, screaming out again in my haze, the corners of my vision going blurry. A feeling of trickling cooling liquid falling across my face as my vision got darker and darker.

---

The general store owner in Rhodes didn’t expect to be threatened and then interrogated by two groups of strangers that day. The look of fear on his face as Arthur and Charles entered the store looking for Bella gave it away. But with a gun in his face as he backed up into the corner it didn’t take long for him to reveal that she had been taken by a group of Irish sounding men. Arthur and Charles shared a look of understanding before leaving the store in haste. Making their way back to camp to pick up another gun. Three men took her, but there was a possibility there would be more. There was always a pack when O’Driscolls were involved. It didn’t take long for Charles to pick up the multiple horse tracks making their way out of Rhodes and heading north towards the Heartlands, then west. The tracks avoided the roads as much as possible, keeping to untouched dirt which made the tracks easier to follow. They lost the tracks once they hit the Dakota River. They searched for the continuation of the tracks along the river now on West Elizabeth ground before deciding to search the area more widely. Passing a small cabin with a barn with no one in sight. They pushed on, searching the tree lines and the possibility of another cabin or hideout. It was a few hours till they came upon a cabin a bit further north of the river. Hidden by the surrounding trees but a fire visible from afar even in the dying light as the sun began to make its descent beyond the distant mountains.

---

My head throbbed and pulsed with pain. Opening my eyes I’m met with almost darkness. The sun setting or rising, I had no idea. The stench of sweat and iron filled my nose, the distant cheers of drunken men could be heard just beyond the door. I tried to sit up again but my legs wouldn't move. I couldn't move them. So I just laid there, my mind going a million miles a second, looking around me for another door or an open window. My heart racing from the realisation that I couldn’t get out of this. Hopeless. The one-roomed cabin was in disarray. A table and chairs in the centre, a stove along with a log fire to the left of it. An empty bookcase to the right beside the window and a chest just a few feet to my right. The floor was littered with empty bottles and stains.

 The door slammed open, making me jump. The two men from before stumbling their way inside, clearly drunk. I was helpless as they made their way over, pulling me upright by my bound arms till I was upright. His face so close to mine I could smell the whiskey on his wretched breath. Turning my head away from the stench he grabbed my cheeks, forcing me to face him.

“I gotta punish you properly for kicking me, missy.” He slurred. I didn't have time to think before he landed another punch to my gut and then to my face, leaving me no time to recover before bringing his balled-up fist down again. My stomach convulsing and the side of my face throbbing.

“Tom. He said anywhere but her face.”

No, no, no.

It couldn’t be.

I wasn’t just a random victim. They knew who I was the second I walked up those steps to the store.

I tried to pull myself away. My body simultaneously burning with fear and the overwhelming push to do whatever it takes to escape. Mustering whatever strength I had left to keep moving, no matter what it took, no matter how much it hurt. Before I could even make it a few feet I was stopped in my tracks with a pull on my scalp, pulling me back and upwards, shouting at the sudden pain from my hair being pulled so harshly. His grip not relenting as he continued to pull me away from the wall and further into the centre of the room. Kicking my bound legs frantically as I tried to break free from the burning the pull was causing. He hoisted me up onto my feet, his face now in mine and his rancid breath once again in my face as he held onto my hair and my tied wrists. That’s when I realised, death would be my only other option. And I’d gladly take it.

Ceasing my movements I looked straight into his face, unable to see anything but sickening joy in his eyes. So I spat at him. With a smile on my face and a hope that that would push him to put a few bullets in me. But it was fleeting. He wiped his face with the hand previously gripping my wrists then collided his head with mine. My legs buckled beneath me, vision blurring, earing ringing and my head throbbing in agony.

I lost all power within me as I felt another pair of hands on my ankles. The other man cutting the rope. Trying to kick my failing legs I was turned to face him. What he said was nothing but incoherent mumbles, my ears filled with deafening ringing. He brought the knife to my chest just above my bouse, the pressure so light my nerves didnt sing out in pain. Then he sliced down, ripping the layers of cloth along and my flesh. Screaming out as I felt the burning from my sternum to my waist, warm liquid accompanying it. Then I was ushed face-first onto the table beside me. * The buzzing in my ears fading momentarily to hear laugher from the man holding me down as he told the other to get the other boys in line so they can all have a go. Then I felt his free hand latch onto the top of my pants, squirming as he began to pull mercilessly. His body covering mine as he pressed me harder and harder into the table. Crushing me while his hands roamed over my thighs. I was beyond hope, beyond any chance to break free. It seems death only comes to those that don’t wish for it. So I gave up the fight, tears flowing freely with my eyes clenched shut. Willing my mind to take me somewhere else till this was over. Willing my body to feel nothing but numb. * My mind filled with memories of my childhood; secretly getting drunk with my girlfriends in the stables. My brothers teaching me how to climb trees. Me and my father coming home after a successful hunt. My mother delicately brushing though my hair after getting it covered in dirt. The life draining from Franks eyes with Arthurs knife plunged into his chest, my grip on the handle. Waking up at the campfire with my head on Arthurs shoulder.

The clattering sound of a loaded holster hitting the cabin floor pulled me back. But it was the not so distant sounds of gunfire that made my body stiffen again. We both halted as we stared at the door. The consistent sounds relighting the hope that had been extinguished only moments ago. Please let it be them.

“Shit!” he shouted as the distant shots got louder and louder. Shouts from the men outside quickly quietening one by one.

Unable to tear my eyes away from the door ahead.

The door burst open with a kick, a silhouette in the fading light now in its place. But I couldn’t make out who it was. If I knew them. If they knew me.

Pulled from the table and further back into the cabin, the mans grip still as brutal as he pulled me backwards and into my knees in front of him.

His staggering breath against the side of my face as we both stared at the figure. My eyes trying to focus.

The figure raised his pistol as he spoke

"Let her go." The unmistakable raspy voice spoke out in a sense of calmed urgency.

A snicker and a low sickening laugh filled my ears “Not ‘appening buddy,” he said as a hand wrapped around my throat. Tightening.

“Ya will havta shoot through her to get to me.” he laughed again.

Another figure emerged at the door with their gun raised and pointed straight at us.

Opening my mouth to shout or scream, to gasp for air as his hand tightened around my throat. My hands coming up instinctively to claw at his fingers, my lungs screaming for air. As I pulled relentlessly I felt a sharp pain in my ankle, not paying any mind as the rest of my body was throbbing and aching. But this pain was sharp, not dull.

The knife.

 I dropped my hands, reaching for the inside of my boot as quickly as possible and praying he was too preoccupied with the two others slowly making their way forwards into the small cabin. Their spurs on the wood floor and my strangled cry for air being the only sound the fill the area. I pulled the handle, far enough to grip it completely in both hands. My vision, still blurry, now darkening around the edges. I pushed myself to the side, letting gravity do the work as I twisted the knife upwards and drove it up beside my head with whatever meagre strength I had left.

Resistance. Then the familiar feeling of warm fresh blood covered my hands.

Dropping to the floor I wheezed for breath, my vision still darkening. Flashes of light and shots the only things that kept me from slipping.

Gentle hands were on me in an instant. Voices gradually fading back and becoming more clear with every burning breath that filled my lungs.

“Bella! Bella, can you hear me?”

“Arthur?” I wheezed

“Yeah darlin it’s me. Yer safe now.” He lifted me in his arms then my hands were cut free. All thoughts of my current state and decency out of my mind. My senses still foggy and the overwhelming urge to sleep overcoming me as I tried to keep my eyes open.

“I - I thought-”

“Shh it’s okay,” he soothed, moving some hair out of my face. My body groaned in protest as he gently snaked his arms under my legs and lifted me to him as he stood. I didn’t think I’d have the energy to cry again, but the tears flowed freely once more. This time in relief.

“Let’s get you home.”

@kashasenpai​

#hang em high #hang em high fic #arthur morgan x oc #arthur morgan fic #rdr2 arthur #rdr2 fanfic #arthur morgan x original female character #arthur morgan #fanfiction #fanfic

[libidomechanica]

Untitled (“Sure it with nature thou not any”)

Sure it with nature thou not any.  To stop the lamp with  gyfts to winne his way a  sudden lightning that rises  an unspeakable desires foul nurse, your 

lips the wooing: “pity,” “gan  she cry, ‘flint-hearted boy: ’“tis but drunken in  for yet, my fragile and  perfume; Quit your device in loue and  faith of a mans art and dreadful 

prophecy; that made him to  Desire? her faire booke doth little  door almost crowded in thy humour  doth she turnd the ground the choir  of echoes twenty hundreds 

of unmatched away, and  come as ye were white hand, lass,  in mine eye sinks inward, and so  have heard with bulrush and burden  I behold, he, or hand they came.” She is 

resolvd no longer mourn for thy head:  look in mine, lass, that this Adonis  lives, and constant caught some fairer  yet!’ And never comes back big-time;  whether, we are two resplendent suns, 

we it is a curious  odor,  that I in youth; but what is  found, if she saith shepherd sang, in  height this moment. But first begin. Their roots the  middle of night I went to 

search out when the winds,  and governd himself were sweet  above there, loves pleasant guise, sweeter that heart  their one! Tell me good which is,  of course openings side by side, they neede hem 

caren for the rain is  sorrow was she would look so. Whom  thy lady greet with blank indifferent  flower that eats up  Loves golden cage. Vpon whose voice, with 

still I be bousing, for nought esteems  that ye care na for me  where earth with his bloody beast:  and nothing ensuing? S face disarms  the nurses. (No such Liberty. 

Hunting he lovd, but come; for  all my care and restless fancies dwell with  ropes of rock and be blasted  in a tomb so simple; for  this shelly caves, the 

shining its neck a sweet did for  my virgins face:) he wrung his moist  cabinet, I read a recipe  hed written in the act. Angel  of beard too; or you tossed my beadsmans 

gown, and woes, that brings me near to  velour, courageless, have thy lieutenancie  to that right them scornfully  glisters like a snail, whose voices?  to grow unto her even 

now and laid the woman of their  heavenly moisture, air of vermeil  cheeks and fiery eyes: The Hare upon  the cosmetics and they  weren of such a little of twilight, 

sweet to linger in  the sun is gone down,  to tie  up envy evermore enlarged:  if some suspect wherefore my heart,  the clouded ponds surface but thoughts 

the fishes spread, which wandering  wood still beleeue me, that winds the  first love, she can, not all the fragments  of time, quoth she; and ere he  stood, the crowing cock, I am all 

the changes like a  sleeve, they too far extend Mirage how drowsily  it crew. less humbly wealth brings than  to pick up who had given us  in a fit. Bear the 

castle good which is, of course the  New Testament is very  look, even as a dying heart rouses  thinking delicious food; and wings,  devour, I write; reproaches struck not Absál 

the Father! that vain it  were quite through the brethren were, and  one Night Zulaikha went to  see . Take, oh, take some days of my pity-wanting  he lies a snake, the 

salt Medway, that July 21st  placed, mark if her goodness  and she heard from the locks dooth tears,  that then use rigor in my  arms. She prayeth she turnd, and so to so; 

foreknowing warm and a lost  pulse of feeling basket and kissing sound;  and when my heart of  the world will not be undecided,  about the flower that swallow 

Venus eye; which bred hys smart, so  now and shame: for there: as  the sight her silken vestments white,  but, when thou art bound to  breed, that thou know, I think thou need not tell 

#poetry #automatically generated text #Patrick Mooney #Markov chains #Markov chain length: 7 #157 texts

[oceansmelodysblog]

Le lycée d'Hyrule

Une fiction Zelink d'un univers alternatif.

  Zelda dit au revoir à son professeur de danse classique et sortit sous le soleil du soir. Une brise rafraîchissante souffla, séchant son visage en sueur. Elle défît sa tresse pour laisser la brise souffler dans ses cheveux.

Zelda se détendit intérieurement et marcha le long du trottoir. Les cyclistes la dépassaient à toute vitesse, faisant tournoyer sa robe d'été rouge à pois blancs. Gênée, elle tint l'ourlet de sa robe pour ne pas trop s'exposer, car la robe ne lui arrivait qu’à mi-cuisse. Elle portait un petit chemisier blanc sous sa robe, des chaussures de sport blanches et un petit sac avec ses affaires de danse.

Le vrombissement des voitures et des motos l’assourdissaient, des piétons se hurlaient les uns sur les autres, les chemins étaient bondés. Des pères et des mères avec poussettes tout comme des personnes en fauteuil roulant étaient bousculés sans aucune considération.

Des chiens s’aboyaient dessus, retenus tant bien que mal par leur maître.

C’était trop de chaos pour Zelda: elle décida donc ce jour là de faire un détour, loin des rues principales.

Elle observait avec fascination les façades vieillottes des rues étroites, s’imprégnait du brouhaha coloré des restaurants et des invitations de bienvenue des serveurs qui l’incitaient à entrer. Elle leur sourit poliment et continua vivement son chemin.

Elle aimait flâner dans les rues après sa dure leçon de danse, avant de rentrer chez elle épuisée. En tant qu’adolescente, fille de 15 ans d'un diplomate et d'une avocate, on attendait d'elle la plus grande discipline. C'était parfois difficile, mais elle ne pouvait pas non plus s’en plaindre car cela lui ouvrait de nombreuses portes.

Lorsque Zelda fut enfin arrivée sous le porche de sa demeure, elle poussa un grand soupir. Elle savait que les vacances d'été touchaient à leur fin et qu'avec elles, sa liberté de se consacrer pleinement à ses loisirs.

***

Zelda se déplaçait avec grâce dans les couloirs du Lycée jusqu'à sa classe, vêtue de son chemisier blanc, d’un blazer bleu marine et d'une jupe assortie. Elle fut chaleureusement accueillie par ses camarades de classe; bien qu'elle ait traité tout le monde de la même manière, c’est avec ses meilleures amies Impa et Pru’ha qu’elle se sentait le plus à l'aise. Elles étaient sœurs avec seulement une année de différence, et pourtant elles pouvaient être aussi différentes que le jour et la nuit. Bien que Pru’ha soit plus la plus âgée, c’était une élève populaire et brillante, qui excellait dans le domaine des sciences. Impa, en revanche, était la plus raisonnable des deux, versée dans les langues, la politique, l'Histoire et les Enseignements d'Hylia. Bien que Zelda excellait dans toutes les matières, ses mauvaises notes en Enseignements d’Hylia jetaient systématiquement une ombre moqueuse sur ses bulletins.

Alors que Mipha, Faras et Revali les avaient rejoints, partageant leurs expériences de vacances d'été, les autres étudiants se turent soudainement. Il était encore trop tôt pour qu’il s’agisse de l’arrivée d’un professeur, alors la troupe se retourna avec curiosité.

Un jeune homme de leur âge, aux cheveux blonds ébouriffés attachés en arrière, se tenait devant le tableau noir et salua tout le monde sèchement. Il se tenait là, bombant le torse dans ses vêtements de sport, et se grattant nerveusement l'arrière de la tête.

“T’es perdu, Link ?” demanda Revali d'un ton moqueur.

“Revali, ne sois pas vache... Link, tu vas bien, j’espère.”, intervint Mipha. Une fille qui était toujours douce et polie envers tout le monde.

“Bon sang mais où étais-tu pendant toutes ces vacances ?” s'exclama Impa.

“Je vais bien, merci.”, dit Link, gratifiant Mipha d’un sourire, sans un regard pour Revali. “J'ai aidé à la campagne tout l'été.” Son regard glissa d'Impa à Zelda, qui ne lui prêta pas la moindre attention. “Je ne t'ai pas trop manqué, j’espère.” Il fit un clin d'œil à Pahya, la cousine d'Impa et de Pru’ha, qui rougissait à chaque fois que Link flirtait avec elle.

Il remarqua aussitôt que les autres filles regardaient aussi dans sa direction, chuchotant et gloussant entre elles. On ne pouvait pas les blâmer car Link avait un charisme attrayant, des yeux bleus hypnotiques, une carrure athlétique et surtout quelque chose de mystérieux qui attirait beaucoup de filles.

“Fais pas genre que tu manquerais à quelqu'un, pauvre clodo balayeur de bouses de vaches.”

Link se retourna et foudroya Revali du regard. Une haine pure étincelait dans ses yeux alors qu'il se précipitait sur lui. Mais alors qu'ils se saisissaient l’un et l’autre par le col, Sakasai intervint tandis que Cado et Dorian retenaient respectivement Link et Revali.

“Les vacances sont à peine finies, que déjà vous vous querellez à sang. Et si nous profitions de cette année dans la Paix et l’Harmonie?”, leur dit Sakasai avec douceur. Son expression poétique était capable de faire fondre même les plus glacés des icebergs.

Juste au moment où la situation se désamorçait, la cloche sonna le début de la classe et le professeur, M. Daruk, entra dans la salle.

“Link, Revali. Dès que vos regards se croisent, vous aboyez comme des chiens qui se battent pour leur territoire dans la rue. J'ai ici un nouveau plan de table qui assurera que vous serez assis assez loin l’un de l’autre”.

M. Daruk était le professeur de linguistique et de travail-études. Il avait la peau foncée, des épaules larges, une poitrine musclée et un ventre à bière bien rond. Ses cheveux blancs pointaient dans toutes les directions et sa barbe blanche lui descendait jusqu'au ventre. Il nous préparait toujours, en plus des leçons, à la dure vie après l'école. Ce dont Link était particulièrement reconnaissant, lui qui devait se battre particulièrement durement  dans son quartier.

“Revali, tu seras assis au premier rang à côté de Mipha. Sakasai, s’il te plait, assis-toi à côté de Pahya. Link, tu seras assis à côté de Zelda”. Alors qu'un murmure d'indignation parcourait la classe, le professeur cogna sur son bureau, engendrant un silence comme il n'en avait jamais existé auparavant. “J'exige de la discipline! Asseyez-vous maintenant aux places qui vous ont été attribuées. Vous verrez que vous et vos nouveaux voisins vous complétez les uns les autres. Maintenant, à l'ordre du jour…”

Alors qu’il s’asseyait, il sentit combien il allait être embarrassant d’être à côté de Zelda, vu qu’elle ne pouvait manifestement pas le supporter.

Il se glissa donc le plus loin possible qu’il pût vers le bord de sa chaise pour ne pas l'offenser.

Link saisit à peine ce que raconta le professeur tant il était préoccupé par la proximité de Zelda. Pour garder les idées claires, il tira sa capuche et posa sa tête sur ses bras repliés sur la table. Il soupira. Ça allait être une grosse journée au lycée, se disait-il. 

***

“Salut Frère, bien ou bien? On se fait un basket?”, demanda Sidon qui, malgré qu'il était dans une classe supérieure, était son meilleur ami. C'était un beau gosse et il dépassait Link de plusieurs têtes. Il avait les cheveux roux, comme sa sœur Mipha, mais des yeux brillants d'or. Malgré ses manières imposantes et intimidantes, il était le plus sympathique des Hyliens qu'il connaissait.

“Wesh Frère, ça farte ? Envoie la balle !”

Link enleva son sweat à capuche, exposant son torse musclé. Il voulait se vider la tête et ne plus se rappeler à quel point Zelda était agacée de sa présence. Il n'était même pas sûr de la raison pour laquelle elle l’était, et il supposait qu'elle le regardait de haut avec son apparence dominatrice.

Le simple fait qu'il ait la tête sur la table et qu'il joue avec ses stylos pour tromper l’ennui lui avait fait pousser un soupir d'agacement et taper du pied avec impatience. Elle avait également été la première à rassembler immédiatement son attirail et à disparaître par la porte sans lui jeter un regard.

Alors qu'il tirait des paniers avec ses meilleurs potes, le reste de ses amis les rejoignirent, entre autres Cado et Dorian, l'un maigre et athlétique, l'autre largement bâti. D'autres garçons se rassemblèrent bientôt autour d’eux, des types qu'il connaissait de son quartier ou de ses clubs de sport. Il les salua tous d'une poignée de main et d'une étreinte fraternelle: un poing sur les épaules du frère. C'est ainsi qu'ils se signalaient leur solidarité et leur amitié les uns aux autres.

Parfois, Impa se joignait à eux, puis elle affrontait les garçons et les achevait seule à chaque match. Impa était une fille que Link aimait avoir près de lui parce qu'elle était imbattable. Elle était comme une deuxième sœur pour lui, qu'il respectait et voulait protéger en même temps.

Mais quand Link voulu la chercher il la trouva en grande discussion avec Zelda, Pru’ha et Pahya. Il ne put s’empêcher de sourire. Il se doutait bien de ce dont elles discutaient de manière si animée en ce moment.

“Ouf, Link, mets des vêtements pitié, tes dessous de bras schlinguent à mort.”

L'humeur de Link changea aussi brusquement que si quelqu'un lui avait frappé la tête avec une pelle.

“Ça n'a commencé à puer que quand tu es arrivé, Revali.”

Le jeune Revali n'était pas beaucoup plus grand que Link, il avait les cheveux tressés en une tresse de boxeur tandis que deux mèches teintes en blanc pendaient de ses cheveux tressés. Il avait la forme d’yeux d’un serpent et leur couleur  comme son caractère étaient tout aussi venimeux. Il cherchait toujours à compliquer la vie à Link et à faire étalage de la richesse de ses parents.

“Quoi tu me cherches? Un chien errant comme toi n’a rien à me dire, c'est clair?” déclara Revali d’un ton provocateur. Tout comme Link, il était entouré de ses hommes qui n’attendaient que de pouvoir se sauter à la gorge.

“Tu peux jouer les durs va, on sait bien que c’est que de la gueule. Allez va te perdre avec tes gangsters en carton.”

Une horde de filles de différentes années clamaient les noms de Link et Revali comme s'il s'agissait d'une sorte de compétition.

Link plissa son nez avec dédain et fixa Revali dans les yeux d’un air impétueux. Comme dernier signe d'avertissement.

Sidon remarqua le feu scintillant dans les yeux des deux rivaux et se plaça entre eux, se tenant de manière protectrice devant Link.

“Hey yo bro, et si on réglait ce problème entre vous avec un concours?”.

Les filles qui jusqu’alors acclamaient et encourageaient Revali ou Link criaient désormais en chœur le nom de Sidon, comme si sa présence mettait tout le monde d’accord.

“Une compèt’? Seulement si je choisis la discipline.”, déclara Revali. Link était sur le point d'intervenir mais son meilleur ami le retint.

“Nous allons choisir trois disciplines. Chacun aura droit à une discipline dans laquelle il est particulièrement doué, tandis que la troisième discipline sera neutre. Okay? » demanda Sidon. Link acquiesça. Le reste dépendait de Revali.

"A une condition: nous allons imposer cette compétition à toute l'école. Que tout le monde puisse me voir faire manger ses morts à ce fils de pute.”

“Attention à ce que tu dis, on ne voudrait pas que ton cher petit ego soit encore plus meurtri.” rétorqua Link en se détournant. Pour lui, c'était déjà une évidence qu'il devait affronter son rival et gagner.

Zelda avait assisté à l’altercation entre les deux rivaux pendant qu'Impa et Pru’ha se disputaient pour décider quel thème serait le plus approprié pour une fête à la maison. Elle se pencha vers la silencieuse Pahya qui regardait d’un air affligé la troupe sous haute tension des garçons sur le terrain de basket. Zelda suivit son regard et comprit immédiatement son expression. C'était Link, qui s'était éloigné du groupe et s’asseyait sur un banc en bois en passant ses mains dans ses cheveux.

“Pahya, va le voir. Il sera très heureux de recevoir l'affection émotionnelle d'une jolie fille comme toi. Peut-être qu'il tombera amoureux de toi après tout”, déclara Zelda avec espoir.

Pahya regarda timidement Zelda dans les yeux et son visage vira au rouge vif. Pru’ha et Impa interrompirent leur discussion et écoutèrent avec émerveillement.

“C'est vrai ça, Pahya! Va le pécho!” l’encouregea Pru’ha, sa cousine aînée. Tout le monde savait que Pahya était folle de Link, mais qu'elle était trop timide pour lui parler.

Lorsque Pahya se décida enfin à le rejoindre, Impa faillit l'arrêter, mais Zelda et Pru’ha la retinrent. Impa n'aimait pas ça parce qu'elle connaissait très bien Link et qu'elle savait aussi comment était son cœur. Son regard se posa sur Zelda, qui regardait avec satisfaction Pahya s’éloigner. Elle allait peut-être devoir s'en mêler après tout, et une fête au bord de la piscine serait la meilleure option.

#Zelink francaise #zelink #zelink au #french fanfiction #zelda x link #link x zelda #zelink fanfiction #zelink fanfic #botw zelink #legend of zelda #writing #fanfic

[thelittlesaltpot]

Moi aussi je veux râler ! Coup de gueule contre ce rpg (sur FB) ou les joueuses restent entre elles, font leurs meilleurs liens entre elles, etc... Il n'est pas possible de les approcher, elles font un cercle fermé et le pire c'est que les admins sont dans ce cercle. Donc quand tu débarques, tu es automatiquement mis de côté avec des demandes nulles (si toutefois tu as des demandes...) Je suis parti une semaine après mon arrivée parce que personne ne venait/répondait à mes demandes...

J’ai pas les mots

Pendant un moment j’ai douté en mode “WTF ? C’est pas une légende ce genre d’histoire ?” mais en fait... Si tu dis toi-même que tu n’as eu aucune réponse à des demandes que tu as faites, ça veut dire que tu as cherché à t’investir un minimum sur ce rpg, si les autres dans l’autre sens n’ont fait aucun “effort” (et je me comprends, parce que chercher des liens et y répondre ça devrait même pas être considéré comme un effort à faire) 

Les gens ultra-communautaires comme ça, qui reste entre eux, ça me fait penser aux familles consanguines. L’analogie est pas ouf, mais c’est ainsi que j’le vois ; à toujours rester entre eux, sans “sang-neuf” ces personnes perpétuent des schémas qu’elles connaissent encore et encore, sans jamais chercher à innover ni-même à les perfectionner, ce qui fait qu’au final, ça se transforme juste en de la bouse. 

Je suis vraiment navrée pour toi et j’espère de tout cœur que tu auras trouvé une communauté plus accueillante et plus bienveillante qui aura su te faire une jolie place parmi ses membres ! 

PinkiePiie

#PinkiePiie #rpg #facebook