Tumgik
#la maison lavande
fannyrosie · 8 months
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Warm lavender summer
Or me struggling to keep my eyes open in the bright sun
Outfit rundown Skirt: second-hand Ingeborg (Pink House) Apron: second-hand Pink House Cutsew: GU Shoes: Old Cobb Hill Hat: modified offbrand (with added violet scarf) Brooches: vintage, handmade and Design Festa
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satinea · 5 months
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Ne laisse pas le soin de gouverner ton coeur à ces tendresses parentes de l'automne auquel elles empruntent sa placide allure et son affable agonie. L'oeil est précoce à se plisser. La souffrance
connaît peu de mots. Préfère te coucher sans fardeau: tu rêveras du lendemain et ton lit te sera léger. Tu rêveras que ta maison n'a plus de vitres. Tu es impatient de t'unir au vent, au vent qui parcourt une année en une nuit. D'autres chanteront l'incorporation mélodieuse, les chairs qui ne personnifient plus que la sorcellerie du sablier. Tu condamneras la gratitude qui se répète. Plus tard, on t'identifiera à quelque géant désagrégé, seigneur de l'impossible.
Pourtant.
Tu n'as fait qu'augmenter le poids de ta nuit. Tu es retourné à la pêche aux murailles, à la canicule sans été. Tu es furieux contre ton amour au centre d'une entente qui s'affole. Songe à la maison parfaite que tu ne verras jamais monter. A quand la récolte de l'abîme? Mais tu as crevé les yeux du lion. Tu crois voir passer la beauté au-dessus des lavandes noires...
Qu'est-ce qui t'a hissé, une fois encore, un peu plus haut, sans te convaincre?
Il n'y a pas de siège pur.
René Char
&
[📷 archives Departement du Doubs]
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tournevole · 13 days
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 Ne laisse pas le soin de gouverner ton coeur à ces tendresses parentes de l’automne auquel elles empruntent sa placide allure et son affable agonie. L’oeil est précoce à se plisser. La souffrance connaît peu de mots. Préfère te coucher sans fardeau: tu rêveras du lendemain et ton lit te sera léger. Tu rêveras que ta maison n’a plus de vitres. Tu es impatient de t’unir au vent, au vent qui parcourt une année en une nuit. D’autres chanteront l’incorporation mélodieuse, les chairs qui ne personnifient plus que la sorcellerie du sablier. Tu condamneras la gratitude qui se répète. Plus tard, on t’identifiera à quelque géant désagrégé, seigneur de l’impossible. Pourtant. Tu n’as fait qu’augmenter le poids de ta nuit. Tu es retourné à la pêche aux murailles, à la canicule sans été. Tu es furieux contre ton amour au centre d’une entente qui s’affole. Songe à la maison parfaite que tu ne verras jamais monter. A quand la récolte de l’abîme? Mais tu as crevé les yeux du lion. Tu crois voir passer la beauté au-dessus des lavandes noires… »
René Char -J’habite une douleur- in Le poème pulvérisé (1945-1947)
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traitor-for-hire · 2 months
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Les Quatre Filles March, chapitre 46
Sous le parapluie
Tandis que Laurie et Amy effectuaient des promenades conjugales sur un tapis de velours tout en ordonnant leur maisonnée, et prévoyaient un futur sans nuage, Mr. Bhaer et Jo appréciaient des promenades d’un autre genre, le long de chemins boueux et de champs détrempés.
« Je fais toujours une promenade en fin d’après-midi, et je ne vois pas pourquoi je devrais y renoncer, simplement parce que j’y rencontre le Professeur quand il repart », se dit Jo, après deux ou trois rencontres ; car, même s’il y avait deux chemins possibles pour aller chez Meg, quel que soit celui qu’elle prenait, elle était sûre de le croiser, à l’aller ou au retour. Il marchait toujours rapidement, et ne semblait jamais la voir avant qu’elle ne soit assez près ; alors il avait cet air, comme si ses yeux de myope avaient échoué à reconnaître la dame en approche jusqu’à cet instant. Puis, si elle allait chez Meg, il avait toujours quelque chose pour les bébés ; si elle était tournée vers la maison, il était simplement venu se promener et voir la rivière, et allait justement revenir, à moins qu’ils ne soient fatigués de ses fréquentes visites.
Dans ces circonstances, que pouvait faire Jo, si ce n’est le saluer poliment, et l’inviter à entrer ? Si elle était fatiguée de ses visites, elle le dissimulait parfaitement, et prenait soin qu’il y ait du café pour le souper, car « Friedrich — je veux dire Mr. Bhaer — n’aime pas le thé. »
Dès la seconde semaine, tout le monde savait parfaitement ce qui se tramait, mais tous essayaient de faire comme s’ils étaient aveugles aux changements de Jo — ils ne lui demandaient jamais pourquoi elle chantait tout en travaillant, recoiffait ses cheveux trois fois par jour, et revenait si rayonnante de ses promenades de l’après-midi ; et personne ne semblait soupçonner le moins du monde que le Professeur Bhaer, tout en parlant philosophie avec le père, donnait à la fille des leçons en amour.
Jo n’était même pas capable de perdre son cœur de manière convenable, mais essayait fermement de réprimer ses sentiments ; et n’y parvenant pas, elle menait une vie passablement agitée. Elle craignait mortellement d’être moquée pour avoir succombé, après ses nombreuses et véhémentes déclarations d’indépendance. Elle craignait tout particulièrement Laurie ; mais grâce à la nouvelle directrice, celui-ci se comportait avec une correction digne de louanges, n’appelait jamais Mr. Bhaer « un vieux bonhomme épatant » en public, ne faisait jamais la moindre allusion à l’apparence améliorée de Jo, ni n’exprimait la moindre surprise en voyant le chapeau du Professeur sur la console du hall des March presque tous les soirs. Mais il jubilait en privé, et attendait avec impatience le moment où il pourrait donner à Jo une plaque gravée d’un ours et d’un écot, comme blason approprié.
Pendant deux semaines, le Professeur vint et s’en fut avec la régularité d’un amant ; puis il ne vint pas pendant trois jours entiers, et ne donna pas signe de vie — ce qui rendit tout le monde grave, et Jo pensive, au début, puis — tant pis pour la romance — très fâchée.
« Dégoûté, j’en suis sûre, et reparti aussi soudainement qu’il était venu. Cela ne me fait rien, bien sûr ; mais j’aurais pensé qu’il serait venu nous faire ses adieux, comme un gentleman », se disait-elle, avec un regard désespéré vers le portail, tandis qu’elle se préparait pour sa promenade coutumière par un triste après-midi.
« Tu ferais mieux de prendre le petit parapluie, ma chérie, on dirait qu’il va pleuvoir », lui dit sa mère, remarquant qu’elle portait son nouveau bonnet, mais n’y faisant pas allusion.
« Oui, Marmee ; veux-tu que je te ramène quelque chose ? Je dois aller en ville et acheter du papier », répondit Jo en tirant sur le nœud sous son menton, devant le miroir, comme une excuse pour ne pas regarder sa mère.
« Oui, je voudrais de la silésienne sergée, des aiguilles numéro neuf, et deux mètres de ruban fin couleur lavande. As-tu mis tes grosses bottes, et quelque chose de chaud sous ton manteau ?
— Je crois, répondit distraitement Jo.
— Si jamais tu croises Mr. Bhaer, ramène-le à la maison pour prendre le thé, j’ai très envie de voir le cher homme », ajouta Mrs. March.
Jo entendit cela, mais ne répondit pas, et se contenta d’embrasser sa mère et de s’éloigner rapidement, en pensant avec un soupçon de gratitude en dépit de son cœur brisé,
« Comme elle est bonne avec moi ! Que font les filles qui n’ont pas leur mère pour les aider quand elles ont des soucis ? »
Les merceries ne se trouvent pas parmi les bureaux, les banques, et les entrepôts de grossistes, où l’on retrouve la plupart des gentlemen ; mais Jo finit dans cette partie de la ville avant même d’avoir fait une seule course, errant comme si elle attendait quelqu’un, examinant les engins d’ingénierie à travers une fenêtre, et les ballots de laine par une autre, avec un intérêt très peu féminin ; trébuchant sur des barils, manquant de se faire étouffer par des ballots qu’on descendait, et bousculée sans cérémonie par des hommes affairés qui avaient l’air de se demander « comment diable était-elle arrivée ici ». Une goutte de pluie sur sa joue fit revenir ses pensées, de ses espoirs déçus à ses rubans ruinés ; car les gouttes continuaient de tomber, et, étant une femme tout autant qu’une amoureuse, elle se dit que, s’il était trop tard pour sauver son cœur, elle pouvait peut-être sauver son bonnet. Maintenant elle se souvenait du petit parapluie qu’elle avait oublié dans son empressement à quitter la maison ; mais les regrets ne servaient à rien, et elle ne pouvait qu’en emprunter un, ou se soumettre à l’averse. Elle leva les yeux vers le ciel menaçant, les baissa vers le nœud écarlate, déjà taché de noir, puis les porta sur la rue boueuse au-devant, enfin elle jeta un long regard en arrière, vers un certain entrepôt sinistre, où était écrit « Hoffman, Swartz & Co. » au-dessus de la porte, et se dit, avec un air plein de reproches,
« C’est bien fait pour moi ! Quelle idée j’ai eu de mettre mes meilleures affaires, et devenir me promener par ici, en espérant voir le Professeur ? Jo, j’ai honte de toi ! Non, tu n’entreras pas demander un parapluie, ou découvrir où il est par ses amis. Tu vas patauger dans la boue, et faire tes courses sous la pluie, et si tu attrapes la mort, et ruines ton bonnet, tu n’auras que ce que tu mérites. Allons ! »
Là-dessus elle se jeta si impétueusement à travers la rue, qu’elle manqua d’un rien de se faire annihiler par un chariot, et se précipita dans les bras d’un vieux et digne gentleman, qui dit, « Je vous demande pardon, M’dame », l’air mortellement offensé. Quelque peu intimidée, Jo remit de l’ordre dans ses vêtements, couvrit ses chers rubans de son mouchoir, et laissant derrière elle la tentation, partit à toute allure, les chevilles de plus en plus humides, et sous les heurts des parapluies. Le fait que l’un d’eux, d’un bleu plutôt délavé, se maintienne au-dessus du bonnet sans protection attira son attention ; et levant la tête, elle vit Mr. Bhaer qui la regardait.
« Je crois connaître la jeune dame folontaire qui va si brafement sous le nez de nombreux chevaux, et marche si vite dans tant de boue. Que faites-fous ici, mon amie ?
— Des courses. »
Mr. Bhaer sourit, en regardant d’un côté l’usine de conserves, et de l’autre la tannerie ; mais il dit seulement, très poli,
« Fous n’afez pas de parapluie ; puis-je fenir aussi, et porter les paquets pour fous ?
— Oui, merci. »
Les joues de Jo étaient aussi rouges que son ruban, et elle se demanda ce qu’il pensait d’elle ; mais peu importait, car l’instant d’après elle s’en allait, bras dessus – bras dessous avec le Professeur, avec l’impression que le soleil était soudain de retour et extraordinairement brillant, que le monde était à nouveau plaisant, et qu’une femme très heureuse piétinait dans la boue ce jour-là.
« Nous pensions que vous étiez parti », dit hâtivement Jo, car elle savait qu’il était en train de la regarder — son bonnet n’était pas assez grand pour dissimuler son visage, et elle craignait qu’il ne trouve la joie qui s’y lisait peu convenable.
« Croyiez-fous que je partirais sans dire au refoir à ceux qui ont été si incroyablement gentils afec moi ? » demanda-t-il, l’air si plein de reproche qu’elle pensa l’avoir insulté avec cette suggestion, et répondit chaleureusement,
« Non, je ne le pensais pas ; je savais que vous étiez pris par vos affaires, mais vous nous avez manqué — à Père et Mère en particulier.
— Et fous ?
— Je suis toujours heureuse de vous voir, sir. »
Dans son anxiété à garder sa voix calme, Jo l’avait rendue plutôt froide, et la monosyllabe glacée à la fin de la phrase sembla refroidir le Professeur, car son sourire disparut, et il dit, gravement,
« Je fous remercie, et je viens encore une fois avant de partir.
— Vous partez vraiment, donc ?
— Je n’ai plus d’affaire ici ; c’est fini.
— Avec succès, j’espère ? » dit Jo, car une amère déception s’était fait sentir dans sa courte réponse.
« Je dois le penser, car une voie s’est ouferte pour moi qui me permettra de gagner mon pain et d’être d’une grande aide à mes Jünglings.
— Racontez-moi, s’il vous plaît ! J’aime à tout savoir sur — sur les garçons, dit Jo avec empressement.
— C’est si gentil, je fous le dis folontiers. Mes amis m’ont trouvé un poste dans une université, où j’enseigne comme chez moi, et gagne suffisamment pour assurer l’avenir de Franz et Emil. Je defrais être reconnaissant pour cela, n’est-ce pas ?
— En effet ! Comme ce sera splendide, que vous fassiez ce que vous aimez, et de pouvoir vous voir souvent, avec les garçons — » s’exclama Jo, en se raccrochant aux garçons comme excuse à la satisfaction qu’elle ne pouvait s’empêcher de trahir.
« Ah ! Mais nous ne nous verrons pas soufent, je le crains ; cet endroit est dans l’Ouest.
— Si loin ! » et Jo abandonna ses jupes à leur sort, comme si ce qui allait advenir de ses vêtements ou d’elle-même n’avait plus d’importance.
Mr. Bhaer pouvait lire plusieurs langages, mais il n’avait pas encore appris à lire les femmes. Il se flattait de plutôt bien connaître Jo, et par conséquent, se trouvait très surpris par les contradictions de sa voix, son visage, ses manières, qu’elle lui avait montrées ce jour-là en rapide succession — car elle était passée par une demi-douzaine d’humeurs différentes en l’espace d’une demi-heure. Quand elle l’avait rencontré elle avait eu l’air surprise, quoiqu’il fût impossible de ne pas penser qu’elle était venue dans ce but. Quand il lui avait offert son bras, elle l’avait pris avec un air qui l’avait empli de joie ; mais quand il lui avait demandé s’il lui manquait, sa réponse avait été si glaciale et formelle que le désespoir l’avait envahi. En apprenant sa bonne fortune elle avait presque battu des mains — n’était-elle heureuse que pour les garçons ? Puis, en entendant sa destination, elle avait dit « Si loin ! » avec une détresse qui l’avait porté aux sommets de l’espoir ; mais l’instant suivant elle l’en fit redescendre en observant, comme complètement absorbée par le sujet,
« Voici où je dois faire mes emplettes, voulez-vous venir ? Ce ne sera pas long. »
Jo était assez fière de ses compétences en matière d’achats, et souhaitait tout particulièrement impressionner son escorte par le soin et la rapidité avec laquelle elle allait conclure ses affaires. Mais, dû à son agitation, tout alla de travers ; elle renversa le présentoir des aiguilles, oublia que la silésienne devait être « sergée » jusqu’après qu’on l’eut coupée, donna la mauvaise somme, et finit par s’embrouiller complètement en demandant le ruban lavande au comptoir des cotonnades. Mr. Bhaer fut témoin de la scène, la regarda rougir et bafouiller ; et, à mesure qu’il l’observait, sa propre confusion semblait s’apaiser, car il commençait à comprendre qu’en certains occasions les femmes, comme les rêves, sont pleines de contradictions.
Quand ils sortirent, il prit le paquet sous son bras avec un air plus joyeux, piétinant dans les flaques d’eau comme par jeu.
« Ne defrions-nous pas faire quelques courses, comme fous dites, pour les bébés, et avoir un festin d’adieu ce soir si je viens pour ma dernière visite à fotre si agréable maison ? » demanda-t-il en s’arrêtant devant une vitrine pleine de fruits et de fleurs.
« Qu’achèterons-nous ? » demanda Jo, ignorant la fin de sa phrase, et humant en entrant le mélange de parfums avec un faux-semblant de ravissement.
« Peufent-ils manger des oranges et des figues ? » demanda Mr. Bhaer, l’air paternel.
« Ils en mangent quand il y en a.
— Aimez-fous les noix ?
— Autant qu’un écureuil.
— Des raisins de Hambourg ; oui, nous boirons pour la patrie afec eux ? »
Jo se renfrogna devant cette extravagance, et demanda pourquoi il n’achetait pas un panier de dattes, un baril de raisins secs et un sac d’amandes, pour finir ? Alors Mr. Bhaer lui confisqua son porte-monnaie et sortit le sien, et compléta les achats en achetant plusieurs livres de raisins, un pot de marguerites roses, et une jolie jarre de miel. Puis, déformant ses poches avec les paquets noueux, et donnant les fleurs à porter à Jo, il rouvrit le vieux parapluie, et ils repartirent.
« Miss Marsch, j’ai une grande faveur à fous demander », commença le Professeur après une promenade humide sur un demi-pâté de maisons.
« Oui, sir », et le cœur de Jo commença à battre si fort qu’elle craignait qu’il l’entende.
« J’ai le courage de le dire malgré la pluie, parce qu’il me reste si peu de temps.
— Oui, sir », et Jo serra manqua d’écraser le petit pot de fleurs en le serrant soudainement.
« Je foudrais acheter une petite robe pour ma Tina, et je suis trop stupide pour aller seul. Voudrez-fous bien me conseiller et m’aider ?
— Oui, sir », et Jo fut soudain aussi calme et froide que si elle venait d’entrer dans un réfrigérateur.
« Peut-être aussi un châle pour la mère de Tina, elle est si pauvre et malade, et son mari est une telle charge — oui, oui, un châle chaud et épais sera un cadeau amical pour la petite mère.
— Je le ferai avec plaisir, Mr. Bhaer. Je saute aux conclusions, et il m’est plus cher à chaque minute », ajouta Jo pour elle-même. Puis, en se secouant mentalement, elle entra dans la boutique avec une énergie qui faisait plaisir à voir.
Mr. Bhaer la laissa faire, et elle choisit une jolie robe pour Tina, puis demanda à voir les châles. Le vendeur, un homme marié, daigna s’intéresser au couple, qui semblait faire des achats pour leur famille.
« Votre dame préférera peut-être ceci ; c’est un article de qualité supérieure, une couleur très demandée, modeste et raffiné », dit-il, en sortant un châle gris bien chaud et en en drapant les épaules de Jo.
« Est-ce que cela vous convient, Mr. Bhaer ? », demanda-t-elle en lui tournant le dos, profondément reconnaissante de cette chance de dissimuler son visage.
« Parfaitement bien, nous allons le prendre », répondit le Professeur. Il paya, tout en souriant pour lui-même, tandis que Jo continuait d’inspecter les comptoirs, en chasseuse de bonnes affaires aguerrie.
« Rentrons-nous à la maison, maintenant ? » demanda-t-il, comme s’il trouvait ces mots très plaisants.
« Oui, il est tard, et je suis si fatiguée. »
La voix de Jo était plus pathétique qu’elle ne le pensait, car maintenant le soleil semblait avoir disparu aussi brusquement qu’il était venu, le monde était à nouveau terne et misérable, et pour la première fois elle se rendait compte qu’elle avait les pieds gelés et mal à la tête, et que son cœur était plus froid encore que les premiers, plus douloureux que la seconde. Mr. Bhaer s’en allait ; il ne se souciait d’elle que comme d’une amie, tout ça n'était qu’une erreur, et plus tôt ce serait fini, mieux ce serait. Avec cette idée en tête, elle héla un omnibus qui approchait avec un geste si vif que les fleurs s’envolèrent du pot, et furent méchamment abîmées.
« Ce n’est pas notre omnibus », dit le Professeur, en faisant signe au véhicule de passer son chemin, et en s’arrêtant pour ramasser les pauvres marguerites.
« Je vous demande pardon, je n’avais pas bien vu le nom. Peu importe, je peux marcher, j’ai l’habitude de piétiner dans la boue », répondit Jo, en cillant furieusement, parce qu’elle aurait préféré mourir que de s’essuyer ouvertement les yeux.
Mr. Bhaer vit les gouttes sur ses joues, bien qu’elle ait la tête tournée ; cette vue sembla l’émouvoir au plus haut point, car il se pencha soudain vers elle et demanda, sur un ton qui signifiait énormément de choses,
« Chère à mon cœur, pourquoi pleurez-vous ? »
Si Jo n’avait pas été une novice dans ce genre de choses elle aurait dit qu’elle ne pleurait pas, qu’elle avait un rhume, ou n’importe quel autre bobard féminin propre à l’occasion ; au lieu de ça cette créature sans dignité répondit avec un sanglot irrépressible,
« Parce que vous vous en allez.
— Ah, mein Gott, c’est si bon ! » s’écria Mr. Bhaer, en parvenant à joindre les mains malgré le parapluie et les paquets. « Jo, je n’ai rien que beaucoup d’amour à fous donner ; je suis venu pour voir si vous en vouliez, et j’ai attendu pour être sûr que j’étais quelque chose de plus qu’un ami. Est-ce le cas ? Pouvez-vous faire une petite place dans fotre cœur pour le vieux Fritz ? » ajouta-t-il tout d’une traite.
« Oh, oui ! » dit Jo, et il fut tout à fait satisfait, car elle posa les deux mains sur son bras, et leva la tête vers lui avec une expression qui montrait clairement combien elle serait heureuse de traverser la vie à ses côtés, même si elle n’avait pas de meilleur abri que le vieux parapluie, tant qu’il était celui qui le tenait.
C’était une demande faite dans l’adversité, car même s’il l’avait souhaité, Mr. Bhaer ne pouvait se mettre à genoux à cause de la boue, il ne pouvait pas non plus lui prendre la main, si ce n’était au sens figuré, car les siennes étaient pleines ; il pouvait encore moins se livrer à de tendres démonstrations en pleine rue, même s’il en était bien près ; aussi le seul moyen qu’il avait d’exprimer sa béatitude était de la regarder, avec une expression qui mettait si bien en valeur son visage qu’il semblait y avoir de petits arcs-en-ciel dans les gouttes qui brillaient dans sa barbe. S’il n’avait pas énormément aimé Jo, je ne pense pas qu’il l’aurait aimée à ce moment-là, car elle était loin d’être séduisante, avec ses jupes dans un état lamentable, ses bottes en caoutchouc qui clapotaient à ses chevilles, et son bonnet ruiné. Heureusement, Mr. Bhaer la voyait comme la plus belle femme au monde, et elle le trouvait plus semblable à Jove que jamais, même si son chapeau à large bord était tout avachi, avec les ruisselets qui tombaient sur ses épaules (car il ne tenait le parapluie qu’au-dessus de Jo), et que tous les doigts de ses gants avaient besoin d’être raccommodés.
Les passants les prirent probablement pour un couple de fous inoffensifs, car ils oublièrent tout à fait d’arrêter un omnibus, et s’en allèrent tranquillement, indifférents à la nuit tombante et au brouillard. Ils se souciaient peu de ce que pensaient les autres, car ils profitaient de cette heure heureuse qui ne vient qu’une fois dans la vie — ce moment magique qui rajeunit le vieux, embellit l’ordinaire, enrichit le pauvre, et donne au cœur humain un avant-goût du paradis. Le Professeur avait l’air d’avoir conquis un royaume, et le monde n’avait plus rien à lui offrir pour son bonheur, tandis que Jo pataugeait à côté de lui avec le sentiment que sa place avait toujours été celle-ci, et se demandant comment elle aurait jamais pu choisir autrement. Bien sûr, elle fut la première à parler — de manière intelligible, je veux dire, car les remarques pleines d’émotions qui avaient suivi son « Oh, oui ! » impétueux n’étaient ni cohérentes ni rapportables.
« Friedrich, pourquoi n’avez-vous —
— Ah, ciel ! Elle me donne le nom que personne ne dit plus depuis que Minna est morte ! » s’exclama le Professeur, en s’arrêtant au milieu d’une flaque pour la regarder avec une gratitude ravie.
« Je vous appelle toujours ainsi en moi-même — j’ai oublié ; mais je ne le ferai plus, à moins que cela ne vous plaise.
— Me plaise ! Cela m’est plus doux que je ne sais le dire. Dis-moi “tu”, aussi, et je pourrai dire que ton langage est presque aussi beau que le mien.
— Est-ce que ce n’est pas un peu sentimental ? » demanda Jo, pensant à part elle que c’était une monosyllabe tout à fait charmante.
« Sentimental ? Oui ; Gott merci, nous autres Allemands croyons au sentiment, et nous conserfons notre jeunesse ainsi. Fotre “vous” anglais est si froid — dis-moi “tu”, chère à mon cœur, cela signifie tant pour moi », plaida Mr. Bhaer, plus comme un étudiant romantique que comme un professeur plein de sérieux.
« Eh bien, alors, pourquoi ne m’as-tu pas dit tout cela plus tôt ?
— Maintenant je dois défoiler tout mon cœur, et je le ferai avec joie, parce que tu en prendras soin ensuite. Vois-tu, ma Jo — ah, ce cher, amusant petit nom ! — j’afais envie de dire quelque chose le jour où l’on s’est quittés à New York ; mais je pensais que le séduisant ami était ton fiancé, et donc je n’ai rien dit. Aurais-tu dit “oui”, alors, si j’afais parlé ?
— Je ne sais pas. Je crains que non, car je n’avais pas de cœur, à ce moment-là.
— Prut ! Ça je ne le crois pas. Il était endormi jusqu’à ce que le prince du conte traverse le bois, et vienne le réveiller. Ah, enfin, “Die erste Liebe ist die beste” ; mais ça je ne devrais pas m’y attendre.
— Oui, le premier amour est le meilleur ; aussi sois content, car je n’en ai jamais eu d’autre. Teddy n’était qu’un garçon, et il a vite dépassé sa petite lubie », dit Jo, anxieuse de corriger l’erreur du Professeur.
« Bien ! Alors je suis heureux, et certain que tu me donnes tout ton cœur. J’ai attendu si longtemps, je suis defenu égoïste, comme tu le verras, Professorin.
— Ça me plaît, s’exclama Jo, ravie de son nouveau nom. Maintenant, dis-moi ce qui t’a amené ici, juste au moment où je le désirais le plus ?
— Ceci », et Mr. Bhaer tira un bout de papier déchiré de la poche de son gilet.
Jo le déplia, et eut soudain l’air confuse, car c’était l’une de ses contributions à un journal qui payait pour des poèmes, ce pour quoi elle avait envoyé une tentative occasionnelle.
« Comment cela a-t-il pu t’amener ? » demanda-t-elle, ne sachant trop ce qu’il voulait dire.
« Je l’ai trouvé par chance ; je l’ai reconnu par les noms et les initiales, et j’y ai trouvé une petite strophe qui semblait m’appeler. Lis et trouve-la ; je fais en sorte que tu ne sois pas mouillée. »
Jo obéit, et parcourut rapidement les lignes qu’elle avait baptisées —
DANS LE GRENIER
Quatre petits coffres bien en rang Ternis par la poussière, usés par le temps Tous décorés et remplis, il y a bien des années Par des enfants aujourd’hui grands Quatre petites clefs, pendues tout à côté Par des rubans fanés, leurs couleurs vives et gaies Quand ils furent attachés, avec une fierté d’enfant Par un jour de pluie, il y a bien des années Quatre petits noms, un sur chaque couvercle, Qu’une main hardie a gravés Et au-dessous gisent, cachées, Les histoires de la joyeuse société Qui jouait ici autrefois, et souvent s’arrêtait Pour entendre le doux refrain Qui au-dessus du toit allait et venait Dans la pluie d’un jour d’été. “Meg” sur le premier, écrit d’une main sûre. Je l’ouvre avec amour, Car rangé ici, avec bien des soins Se trouve un précieux butin, Les témoins d’une vie paisible- Cadeaux à une douce enfant, jeune fille, Une robe de mariée, des billets à une épouse, Un petit chausson, une boucle de bébé. Aucun jouet dans ce premier coffre, Car tous ont été emportés, Pour se joindre dans leur grand âge Aux jeux d’une autre petite Meg. Ah, mère heureuse ! Je sais bien Que tu entends, comme un doux refrain, Des berceuses gentiment murmurées Dans la pluie d’un jour d’été. “Jo” sur le second, griffonné et rayé, Et à l’intérieur un trésor bigarré De poupées sans tête, de cahiers déchirés, Oiseaux et bêtes maintenant muets, Butins ramenés du pays des fées Que seuls foulent les jeunes pieds, Rêves d’un futur jamais réalisé, Souvenirs d’un passé bien aimé, Histoires confuses, poèmes inachevés, Missives d’avril, tristes ou gaies, Mémoires d’une enfant obstinée, Vestiges d’une femme déjà âgée, Une femme dans une maison esseulée, Qui entend, comme un triste refrain- “Sois forte, ma chérie, et l’amour viendra te trouver,” Dans la pluie d’un jour d’été. Ma Beth ! Sur le couvercle portant ton nom Toujours la poussière est chassée, Par les larmes d’yeux aimants, Par des mains vigilantes et zélées. Pour nous, la mort a canonisé une sainte Toujours plus divine qu’humaine Et nous déposons, avec de douces plaintes, Des reliques dans cet autel domestique : La cloche d’argent, si peu agitée, Le petit bonnet qu’elle portait, La belle Catherine, emportée, morte, Par les anges, suspendue au-dessus de la porte. Les chansons qu’elle chantait sans se plaindre Depuis la prison de sa douleur À jamais tendrement mêlées À la pluie d’un jour d’été. Sur le couvercle poli du dernier coffret - Une légende maintenant avérée - Un preux chevalier arbore sur son bouclier “Amy”, en lettres or et bleu. À l’intérieur, filets qui ont retenu ses cheveux, Pantoufles qui ont fini de danser, Fleurs fanées, rangées avec soin, Éventails relégués dans un coin, Joyeuses déclarations enflammées, Babioles qui ont joué leur rôle Dans les espoirs, les craintes, les hontes juvéniles, Le récit d’un cœur de jeune fille Qui apprend maintenant des charmes plus justes et vrais, Et entend, comme un gai refrain Les cloches nuptiales sonner Dans la pluie d’un jour d’été. Quatre petits coffres bien en rang Ternis par la poussière, usés par le temps Quatre femmes qui ont, de joies en infortunes Appris à aimer et à travailler en cet âge doré. Quatre sœurs, pour un temps séparées Aucune égarée, l’une partie plus tôt qu’à son tour, Et par le pouvoir immortel de l’amour, Plus proche et chérie que jamais. Oh, le jour où nos trésors cachés S’offriront à la vue du Père Puissent-ils être riches en heures dorées, En actions embellies par la lumière, Vies dont la musique résonnera longtemps Comme une chanson vous réchauffe le cœur Âmes qui s’élèveront avec joie Après la pluie, un jour d’été.
« C’est un très mauvais poème, mais c’est ce que je ressentais quand je l’ai écrit, un jour où je me sentais très seule et où j’avais pleuré un bon coup sur un sac de chiffons. Je n’aurais jamais pensé qu’il finirait là où il pourrait me trahir », dit Jo en déchirant les strophes que le Professeur avait chéries pendant si longtemps.
« Oublie-le, il a fait son œuvre, et j’en aurai un noufeau quand je lirai le livre brun dans lequel elle garde ses petits secrets », dit Mr. Bhaer avec un sourire en regardant les fragments de papier voler dans le vent. « Oui, ajouta-t-il sincèrement, je le lis, et je pense en moi-même, Elle a un chagrin, elle est seule, un amour véritable lui apporterait du réconfort. J’ai un cœur plein, plein pour elle. Est-ce que je n’irais pas lui dire “Si ce n’est pas une offre médiocre que de donner ce que j’espère recevoir, prends-le, au nom de Gott ?”
— Et tu es venu et as découvert que ce n’était pas médiocre, mais justement la chose précieuse dont j’avais besoin, murmura Jo.
— Je n’ai pas eu le courage de le penser, au début, aussi chaleureux et gentil qu’ait été ton accueil. Mais bientôt j’ai commencé à espérer, et puis j’ai dit, “Elle sera mienne si je dois en mourir” ! » s’exclama Mr. Bhaer avec un air de défi, comme si les murailles de brume qui se refermaient sur eux étaient des obstacles qu’il devait surmonter ou abattre vaillamment.
Jo pensa que c’était splendide, et résolut de se montrer digne de son chevalier, même s’il n’était pas venu en caracolant sur un preux destrier et en tenue d’apparat.
« Qu’est-ce qui t’a retenu si longtemps ? » demanda-t-elle ensuite, car elle trouvait si agréable de poser des questions confidentielles et d’obtenir des réponses délicieuses, qu’elle ne pouvait rester silencieuse.
« Ça n’a pas été facile, mais je n’avais pas le cœur à t’enlefer à ce si heureux foyer avant d’avoir la possibilité de t’en offrir un, après beaucoup de temps, peut-être, et de travail. Comment poufais-je te demander d’abandonner tant de choses pour un paufre fieux, sans autre fortune qu’une petite éducation ?
— Je suis bien aise que tu sois pauvre. Je ne pourrais pas supporter d’avoir un mari riche », dit fermement Jo, avant d’ajouter plus doucement, « Ne crains pas la pauvreté. Je l’ai connue suffisamment longtemps pour perdre toute appréhension et me trouver heureuse de travailler pour ceux que j’aime, et ne dis pas que tu es vieux — quarante ans, c’est la force de l’âge. Je ne pourrais pas m’empêcher de t’aimer même si tu en avais soixante-dix ! »
Le Professeur trouva cela si touchant qu’il aurait bien eu besoin de son mouchoir, s’il avait pu l’atteindre. Comme il ne le pouvait pas, Jo se chargea de lui essuyer les yeux, et dit en riant, avant de lui soutirer un ou deux paquets :
« Je suis peut-être forte-tête, mais personne ne peut dire que je ne remplis pas mon rôle, car le devoir d’une femme est censé être de sécher les larmes et de porter des fardeaux. Je dois porter ma part, Friedrich, et aider à acquérir ce foyer. Tu ferais bien de t’y résoudre, ou je n’accepterai jamais », ajouta-t-elle, résolue, tandis qu’il essayait de lui reprendre sa charge.
« Nous verrons. As-tu la patience d’attendre longtemps, Jo ? Je dois partir et faire mon travail seul. Je dois aider mes garçons, d’abord, parce que même pour toi, je ne romprais pas ma promesse à Minna. Peux-tu me pardonner cela, et être heureuse pendant que nous espérons et attendons ?
— Oui, je sais que j’en suis capable, car nous nous aimons, et cela rend tout le reste facile à endurer. J’ai un devoir, moi aussi, et un travail. Je ne pourrais pas être heureuse si je les négligeais, même pour toi, il n’y a donc nul besoin de se hâter ou d’être impatients. Tu peux faire ta part là-bas dans l’Ouest, je peux faire la mienne ici, et nous pouvons être heureux tous les deux en espérant le meilleur, et laisser le futur à la grâce de Dieu.
— Ah ! Tu m’offres tant d’espoir et de courage, et je n’ai rien à te donner en échange, rien qu’un cœur plein et ces mains vides », s’exclama le Professeur, bouleversé.
Jo n’apprendrait jamais, jamais, à être convenable, car quand il eut dit cela, alors qu’ils se tenaient sur les marches, elle glissa simplement les deux mains dans les siennes en chuchotant tendrement, « Elles ne sont plus vides maintenant », et elle se pencha et embrassa son Friedrich sous le parapluie. C’était terrible, mais elle l’aurait fait même si la bande de moineaux sur la haie avait été des êtres humains, car elle était aux anges et ne se souciait plus de rien, si ce n’est de son bonheur. Bien qu’il n’eût rien d’extraordinaire, le couronnement de leurs deux vies fut ce moment où, quittant la nuit et la tempête et la solitude pour la lumière et la chaleur et la paix du foyer qui les attendait, Jo fit entrer son amoureux avec un joyeux « Bienvenue à la maison ! » avant de refermer la porte.
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minivirgo · 1 year
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je te renvoie angel, sugarpie et petal 🌷
angel - what’s one character trait you like about yourself? ma loyauté ? je sais pas si c'est le meilleur mot, mais je place beaucoup d'importance dans mes plus vieilles amitiés. on pourrait ne pas se parler pendant des mois mais si on a besoin de moi je répondrai à l'appel (peut-être que fiabilité serait un meilleur terme). je suis du genre à vouloir cherish les gens que j'aime depuis longtemps plutôt qu'à chercher de nouvelles rencontres et amitiés. je pense (ou du moins j'espère !) que mes amis savent qu'ils pourront toujours compter sur moi <3 <3 <3 sugarpie - what’s your favourite sweet treat? j'ai vraiment le dent sucrée et j'ai l'impression que ma réponse à cette question pourrait changer chaque jour ;__; mais en ce moment je dirais un bon boba au thé noir et au lait (sésame, taro ou noix de coco sont mes ultimates). et la crème glacée, bien évidemment (un gelato à la pistache ou un blizzard aux turtles du dairy queen - incroyable) petal - what’s your favourite smell or perfume? évidemment la lavande je parle juste de ça, mais sinon :
l'odeur du pain qui sort du four
l'odeur bearglove de old spice : ça sent les câlins de mon toro !!! j'ai acheté un spray pour la maison récemment qui sent ça (et la lavande en plus) et je capote. je trouve que ça sent la forêt, genre cèdre, bois de santal, etc. super frais !!!
aussi, l'odeur de rose mais pas n'importe laquelle. j'ai récemment essayé un hydratant corporel qui sent la rose mais avec une touche plus sucrée et chaleureuse, rose et miel peut-être ? c'est magnifiqueeeee merci north pour les questions !!
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4 Chemin du vieux moulin
Grande maison familiale situé dans un cadre verdoyant et donnant vue sur un petit champ de lavande. A vous la vie palpitante de la ferme, en vous occupant de vaches et de poules. Tout en oubliant pas d'entretenir vos légumes, fruits et fleurs. Mais avec tout ça, n'oubliez pas de vous occuper de vos enfants !!  La maison comprend 3 chambres, 2 salles de bain, une cuisine, un salon et une véranda comme salle à manger. 
Type de terrain : Résidentiel
Taille du terrain : 50 x 40
Prix : 115 105 §
Caractéristiques du terrain : Puits naturel et fantastique sol. 
Défis du terrain : Renards sauvages, Vie simple. 
Disponible sur la galerie ou sur sims-artists avec plus d'informations et de photos.
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33-noctambule-33 · 1 year
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Qu'est-ce que Beltane ?
Beltane est une ancienne fête païenne qui marque le début de l'été. Elle est célébrée le 1er mai, ou dans la nuit du 30 avril. Cette fête est associée à la fertilité, à la croissance et à la passion. Elle est souvent célébrée en dansant autour d'un mât de mai, décoré de rubans et de fleurs, symbole de l'union entre la Terre et le Ciel.
Que symbolise Beltane ?
La symbolique de Beltane est puissante : elle célèbre l’amour et tout ce qui le nourrit. Cette fête marque l’arrivée de l’été, de la joie et du partage. C’est un beau moment pour célébrer son amour (mariage) ou pour passer du temps avec des personnes lumineuses. Les énergies de Beltane sont donc très puissantes pour les rituels de renouveau et de croissance personnelle.
Quelques exemples tout simples pour célébrer ce sabbat :
- Se promener dans la nature
- Câlin au arbres
- Décorer sa maison
- prendre un bain de soleil
- Écrire
- porter des tissus fleuris
- faire brûler du thym ou du romarin, de la lavande pour purifier sa maison.
- rendre visite à des amis
- Cueillir des fleurs et herbes sauvages
- Partager des moments d'intimité, faire l'amour.
- écouter de la musique
🌻
#beltane
#sabbats #printemps #spring #esoterisme #spritiual #equinox #fleurs #beauté #plaisir #sorcieresdinstagram #sorcière #witchvibes #introspection
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etzrnalbliss · 10 months
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Parvati Patil
headcanons
Tout comme Lavande, avec qui elle passe ses journées, elle est férue de divination. Ses méthodes préférées sont le tarot et la chiromancie.
Ses fruits préférés sont les mûres et les grenades.
Elle adore l'astronomie et a pris cette option en troisième année.
Elle et sa soeur font du mehndī (=dessin au henné) à leurs amies lors des jours spéciaux, comme les bals. Parvati est très douée, et sa sœur très créative.
Elle n'est jamais vue sans ses nombreux bracelets. Elle en porte sur ses deux poignets : des bracelets or, bronze, rouge, aux couleurs de sa maison à Poudlard.
That woman is a obviously lesbian.
Elle et Lavande sont sûrement les plus grandes commères de l'école. Ça spill the tea fort dans la salle commune.
Elle adore le journalisme. Elle aimerait travailler à la Gazette du sorcier et y avoir sa propre rubrique.
De religion hindoue, Parvati est donc végétarienne.
Elle est la première personne à aller rendre visite à Lavande à Ste Mangouste après la bataille de Poudlard, et l'aide à passer au-dessus de la traumatisante attaque de Fenrir Greyback.
Plus tard, elle aidera Lavande à s'installer dans sa boutique sur le Chemin de Traverse.
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notrebellefrance · 2 years
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Bormes-les-Mimosas
Référencé parmi les plus beaux sites du Var, le village médiéval de Bormes-les-Mimosas constitue une étape de découverte incontournable pour les amoureux de vieilles pierres et les passionnés d'histoire.
Une magnifique bâtisse en pierres de Bormes qui abrite une collection d'oeuvres de qualité et des expositions évènementielles. Installé depuis 1985 dans une magnifique bâtisse du 17ème siècle au cœur du village medieval, le musée Arts & Histoire créé en 1926 par le peintre Emmanuel-Charles Bénézit est aujourd’hui géré par le service culturel de la municipalité et bénéficie du label Musées de France.
Le musée abrite une très belle collection de peintures et sculptures des 19ème et 20ème siècles parmi lesquelles les œuvres de Bénézit, Cross, Van Rysselberghe, Peské, Rivière… Des expositions temporaires de peintures, sculptures et photos y sont organisées tout au long de l'année. Le musée participe chaque année à la Nuit Européenne des Musées.
Conçu en pierre du pays, l’édifice inscrit à l’inventaire des sites se distingue par son impressionnant plafond à caissons. Appartenant auparavant à l’Avocat Général de la Molle, il était devenu en 1754 la Maison Commune qui abritait en même temps l’école de garçons, les séances du Conseil Municipal, la prison et le tribunal avant de devenir maison particulière au début du 19ème siècle. Le bâtiment a été rénové avec la participation de l’association « Sauvegarde du Vieux-Bormes » créée par le peintre Georges-Henri PESCADÈRE.
Il faut remonter 400 ans avant JC pour retrouver les origines de Bormes. A cette période, une tribu ligure venant d’Italie appelée ″Bormani″ investit le littoral proche de Cabasson. Longtemps peuple de pêcheurs vivant du cabotage et du commerce du sel, du fer et du plomb argentifère, les Bormani émigrèrent sur les collines au 9ème siècle pour échapper aux attaques incessantes des sarrasins et de nombreux pirates. Le village et ses remparts ne furent construits qu’au 12ème siècle.
Vivant essentiellement d’agriculture, le village sera gouverné à compter du 13ème siècle, et jusqu’à la Révolution française, par cinq dynasties de seigneurs dont les puissants Seigneurs de Fos. Pendant longtemps quartier de pêcheurs de la commune, le Lavandou demande son indépendance en 1907 et devient commune à part entière le 9 juin 1913.
Dans un autre registre, du fait de son climat particulièrement doux en hiver, Bormes a été une des premières communes de France à être classée station climatique en 1913, en même temps que Hyères. Cette mesure de classement avait été instituée en 1910 par le gouvernement de Raymond Poincaré et mettait en exergue les villes qui commençaient à s’ouvrir au tourisme hivernal !
En 1968, Bormes devient Bormes les Mimosas en raison de l’importante floraison de cet arbre de la famille des acacias.
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alaindenhaut · 2 years
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Lundi 27 juin : DESERT
Ce sera ma grande journée de traversée du désert. Longue étape entre le Pas de la Caval, une barrière rocheuse que je franchirai accompagné de trois bouquetins et saint Étienne de Tinée, en passant par saint Dalmas le Servage et le col de la Colombière à 2400 et son magestueux vautour que je présenterai dans le prochain post. Bref, 9 heures de marche, sans âme qui vive, à l'image de ce village caserne fantôme des Fourches, sur les hauteurs de Bousiéyas, ce sera la dernière longue étape avant Menton. Les paysages changent. Les maisons sont plus colorées, premier pied de lavande, chaleur.
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unalm · 18 hours
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121.
C’était l’une de ces petites bourgades pittoresques du Sud qui auraient pu servir ou avaient peut-être déjà servi de décor de cinéma. Des grandes maisons victoriennes. Des magnolias majestueux. Des réverbères fin de siècle. Des églises dont la flèche transperçait les nuages. Il passa devant un alignement de bicoques étroites. Une bleue, puis une jaune, puis une rose, puis une blanche. (…)
C’était une petite maison bleue au toit en pente. Une fenêtre en arceau à l’étage qui ressemblait à un balconnet. Des volets bordeaux. Il y avait deux cheminées et un porche qui courait tout le long de la façade avant puis tournait au coin de la maison pour rejoindre la palissade sur le côté droit. Une allée en brique menait du trottoir au perron, puis aux marches en brique avec des pots en terre cuite posés sur chacune d’elles, d’où dépassaient des pétales jaunes et blancs. Au pied des marches, un petit chariot rouge couché sur le côté. Des meubles en rotin sur le porche et des verres vides sur la table. Deux voitures étaient garées dans la rue qui longeait la maison. L’une était noire et massive, quatre portières, l’autre brillante, les feux arrière ronds. Devant la maison, un ballon de foot et une batte de base-ball. Un toboggan en plastique, aux dimensions d’un enfant.
Tous les signes extérieurs du bonheur.
333.
Des traînes de lumière lavande et rose s’étiraient dans le ciel du soir. Des lambeaux de nuage bleu-gris s’étaient couchés sur l’horizon et le poids de la nuit commençait à draper le crépuscule.
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pro-sec · 6 days
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Des animaux et une maison propre
Allié bonheur à quatre pattes et propreté, c’est possible!
Malgré l’amour et le bonheur que nous apportent nos amis à quatre pattes, ils laissent sur leur passage bien des poils et souvent une mauvaise odeur. De ce fait, il est indispensable de garder notre environnement propre lorsque nous avons un animal de compagnie. Mais comment y arriver? Voici la liste de nos conseils.
Adopter une routine
Effectivement, avoir une routine de nettoyage facilite l’entretien de notre intérieur. Toutefois, cette routine doit être efficace lorsque nous vivons avec nos amis poilus. Évidemment, la routine vous aidera également à éliminer en majorité les poils incrustés dans vos meubles en tissus ainsi que les mauvaises odeurs dans vos tapis et vos carpettes.
Brossage régulier des animaux
D’abord, le brossage régulier de votre animal de compagnie est essentiel pour réduire la quantité de poils lâchés dans votre maison. En effet, pour les chiens et les chats à poil long, un brossage quotidien peut aider à prévenir l’accumulation de poils sur les meubles et les sols. De plus, le brossage favorise la santé de la peau et du pelage de votre animal en éliminant les poils morts et en répartissant les huiles naturelles.
Nettoyage des pattes
Après une promenade à l’extérieur, nettoyez les pattes de votre animal pour éliminer la saleté, la boue et les allergènes qui pourraient être transportés à l’intérieur. De plus, gardez une serviette près de la porte d’entrée ou utilisez des lingettes pour pattes spécialement conçues à cet effet. Aussi, cela contribuera à prévenir l’accumulation de saleté et de débris sur vos sols et tapis.
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Aérer la maison
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Nous ne le dirons jamais assez, mais aérer votre maison ou votre condo permet de renouveler l’air de votre environnement. Dans ce sens, l’idéal recommandé est de laisser les fenêtres grandes ouvertes environ 10 minutes par jour! Ainsi, l’air de l’environnement sera renouvelé et vous pourrez vous débarrasser des mauvaises odeurs quotidiennes.
Entretien des filtres d’air
Si vous utilisez un système de chauffage ou de climatisation avec des filtres d’air, assurez-vous de les nettoyer ou de les remplacer régulièrement. En effet, les filtres sales peuvent diffuser des odeurs et des allergènes dans votre maison, ce qui peut être particulièrement problématique si vous avez des animaux de compagnie.
Utilisation de désodorisants naturels
Pour maintenir une odeur fraîche dans votre maison, optez pour des désodorisants naturels tels que des diffuseurs d’huiles essentielles ou des bougies parfumées à base de cire d’abeille. De plus, les huiles essentielles comme la lavande, le citron et la menthe poivrée sont non seulement agréables pour l’odorat, mais elles ont également des propriétés antibactériennes et désodorisantes.
Nettoyer l’endroit destiné à votre animal
En effet, que ce soit la litière du chat, le lit du chien ou les jouets de nos animaux, il est primordial de nettoyer ces accessoires. Effectivement, ce sont de véritables nids à bactéries qui favorisent les odeurs désagréables lorsqu’ils ne sont pas entretenus. Aussi, pour le nettoyage des jouets, nous recommandons de mettre au lavage ceux en tissus. De plus, pour les jouets en caoutchouc, nous recommandons de les faire tremper dans une eau savonneuse durant environ 15 minutes.
Lavage régulier des accessoires
En plus de nettoyer les jouets de votre animal, n’oubliez pas de laver régulièrement ses bols d’eau et de nourriture. En effet, les résidus alimentaires et les bactéries peuvent s’accumuler dans ces bols, contribuant ainsi aux mauvaises odeurs. Donc, utilisez de l’eau chaude savonneuse ou mettez-les au lave-vaisselle pour une désinfection efficace.
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Passer l’aspirateur sur une base régulière
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Qui dit animal de compagnie, dit passer l’aspirateur plus souvent dans notre maison ou notre copropriété. Ainsi, nous conseillons de passer l’aspirateur au moins 3 fois par semaine sur les tapis et les planchers afin d’éliminer un maximum de poils. Aussi, pour ce qui est des meubles en tissus, tel que les divans, nous recommandons de donner un coup d’aspirateur au moins une fois par semaine afin d’éliminer l’accumulation des poils.
Investir dans un aspirateur spécialisé
Considérez l’achat d’un aspirateur spécialement conçu pour les propriétaires d’animaux de compagnie. en effet, ces aspirateurs sont équipés de filtres HEPA puissants qui capturent efficacement les allergènes, les poils d’animaux et les particules fines dans l’air. Donc, certains modèles sont également dotés de brosses et d’accessoires spéciaux pour éliminer les poils incrustés dans les tapis et les meubles.
Utilisation de couvertures et de housses
Également, pour protéger vos meubles des poils et des taches, utilisez des couvertures ou des housses lavables. Pour ce faire, placez-les sur les canapés, les fauteuils et les lits où votre animal aime se reposer. Aussi, ces couvertures peuvent être facilement retirées et lavées régulièrement pour maintenir la propreté de vos meubles.
En cas de dégâts urinaires
Qui dit animaux, dit urine! Ainsi, il arrive parfois que nos animaux s’échappent. Donc, que ce soit sur une carpette, un tapis ou un divan, nous recommandons d’éponger le dégât. Par la suite, soupoudrer un peu de bicarbonate de soude afin de neutraliser l’odeur. Par la suite, il est important d’appeler un expert, comme Pro-Sec, afin de planifier un nettoyage en profondeur de la surface touchée par le dégât urinaire.
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En conclusion
En suivant ces conseils supplémentaires, vous pouvez maintenir un environnement propre et sain pour vous et votre animal de compagnie, tout en minimisant les odeurs et les dégâts associés à la présence d’animaux dans votre maison.
Profitez de notre estimation en ligne gratuite!
Pour obtenir plus d’informations au sujet des entretiens préventifs ou prendre un rendez-vous avec une entreprise réputée de nettoyage de tapis à sec: communiquez avec nous.
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omagazineparis · 13 days
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Piqûres de moustiques : les soulager rapidement et naturellement
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Les piqûres de moustiques sont non seulement désagréables mais peuvent aussi perturber notre bien-être quotidien. Heureusement, il existe des méthodes naturelles et efficaces pour soulager rapidement ces désagréments. Découvrez comment apaiser les démangeaisons et réduire l'inflammation de manière naturelle. Les remèdes naturels à la rescousse Utilisation de l'Aloe Vera L'Aloe Vera est reconnu pour ses propriétés apaisantes et anti-inflammatoires. Appliquez directement le gel d'Aloe Vera sur la piqûre pour un soulagement immédiat. Son effet frais réduit l'inflammation et calme les démangeaisons. Le pouvoir du vinaigre de cidre Le vinaigre de cidre, grâce à son acidité, est un excellent remède contre les piqûres de moustiques. Imbibez un coton de vinaigre de cidre et appliquez-le sur la zone affectée. Cette méthode aide à neutraliser la démangeaison et favorise une guérison plus rapide. L'huile essentielle de lavande L'huile essentielle de lavande est bien connue pour ses vertus apaisantes et réparatrices. Quelques gouttes appliquées sur la piqûre peuvent réduire significativement l'inflammation et la sensation de démangeaison grâce à ses propriétés antiseptiques et anti-inflammatoires. Le bicarbonate de soude Un remède maison efficace consiste à créer une pâte avec du bicarbonate de soude et de l'eau. Appliquez cette mixture sur la piqûre pour neutraliser le pH de la peau et apaiser instantanément les démangeaisons. Prévention et protection Porter des vêtements adaptés Pour éviter les piqûres, privilégiez le port de vêtements longs, surtout durant les heures où les moustiques sont les plus actifs, à savoir le lever et le coucher du soleil. Utiliser des répulsifs naturels Les répulsifs naturels, tels que l'huile de citronnelle ou l'huile d'eucalyptus citronné, sont efficaces pour éloigner les moustiques sans recourir à des produits chimiques nocifs. Installer des moustiquaires Les moustiquaires constituent une barrière physique entre vous et les moustiques. Elles sont particulièrement utiles la nuit et dans les zones à forte densité de moustiques. Comprendre le comportement des moustiques Les heures de grande activité Les moustiques sont particulièrement actifs durant le crépuscule et l'aube. Connaître ces moments peut vous aider à mieux vous protéger en prenant des précautions supplémentaires durant ces périodes. Les zones à risque Les zones stagnantes d'eau sont des lieux de reproduction privilégiés pour les moustiques. Éliminer ces sources d'eau stagnante autour de votre domicile peut réduire considérablement leur population. A lire aussi : Du fer au zinc : les nutriments et minéraux dont votre corps a besoin Les piqûres de moustiques peuvent être rapidement et naturellement soulagées grâce à des remèdes simples et efficaces. L'utilisation de produits naturels comme l'Aloe Vera, le vinaigre de cidre, l'huile essentielle de lavande, et le bicarbonate de soude offre un soulagement immédiat tout en évitant les produits chimiques. De plus, adopter des mesures préventives telles que le port de vêtements appropriés, l'utilisation de répulsifs naturels et l'installation de moustiquaires contribue à une protection efficace contre les moustiques. Enfin, comprendre le comportement des moustiques et les zones à risque vous permettra de mieux vous préparer et de réduire les chances de piqûres. Adoptez ces pratiques pour une tranquillité d'esprit durant les mois d'été et profitez de vos activités extérieures en toute sérénité. Read the full article
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toutdiy · 1 month
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🌟 Désodorisant maison : Créez des senteurs uniques 🌟 - Retrouvez tous nos articles DIY Maison sur ToutDIY.fr 🌐- ✍️ Ravivez votre intérieur avec un désodorisant maison spécifique pour chaque espace! Utilisez des agrumes dans la cuisine pour éliminer les odeurs tenaces, de la lavande apaisante dans les chambres et de l'eucalyptus rafraîchissant pour la salle de bain.
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kiddoovanilla · 2 months
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🎁 Box Blissim février 2024 🎁
On ne m'a rien demandé mais ... Je suis abonnée depuis 1 an maintenant à la box mensuelle Blissim (cadeau d'anniversaire de moi à moi 🥰)
Pour Noel j'ai offert 2 mois à ma petite sœur ! elle a été ravie et avec ma maman elles vont surement continuer et se partager les box ! 🤗
J'ai reçu celle de février 2024 ! Voyons son contenu ensemble !
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Le parfum Provence Soleia - Adopt
Format de 30ml (format vente) il porte très bien son nom, on sent la lavande sans aucun doute. Je ne le garderai pas hélas car à la maison, la lavande ce n'est pas une odeur qu'on apprécie 😅
L'après-shampoing restructurant Smooth move - Wild Science Lab
Joli format voyage de 40ml (environ 3 utilisation pour mes cheveux) aux extrait de guimauve. Il est censé réparer la fibre capillaire (mais je ne peux pas dire, je n'ai pas les cheveux abîmés, merci à ma coiffeuse ❤), redéfinir les boucles, lisser et donner de la brillance aux cheveux !
Verdict : je ne vois pas d'effet sur mes boucles (ni plus lisses ni plus définies 🙄) et son odeur je n'y arrive pas... je pensais trouver des odeurs sucrées mais pas du tout, on ne snet que les huiles essentielles (ce qui me rappellent les mauvais souvenirs de la tête à poux que j'étais étant petite 😐)
Le mascara volumateur Small+mighty - Sophia+mabelle
En full size, on adore !! Bon vu la quantité de mascara que j'ai en restock, je ne le testerai pas dans l'immédiat 🤭 mais voici ce qu'il promet : définition, épaissit les cils, ne s'effrite pas, volume extrême, 0 coulure et 0 transfert. De belles promesses !!
Le gommage corps solide - Unbottled
En full size aussi ! Il a littéralement embaumé la box ! Je ne saurais pas décrire précisément l'odeur mais on dirait un médicament aux plantes, si fort que j'ai du changer de pièce pour sentir le parfum Adopt ! Maintenant dans mon placard de salle de bain, mon chéri sait quand je l'ouvre même en étant dans une autre pièce ou en passant 1h après moi, c'est dire 😳 Les espèces de boules/picots permettent de masser en plus de l'exfoliation, ce qui n'est pas désagréable du tout ! Les graines de noisettes qu'il contient sont assez petits et doux. Attention, il faut bien le faire sécher avant de le ranger par contre !
Le baume multi-usages - Egyptian magic
En format voyage de 7.5ml, il se glisse très bien dans la petite trousse de mon sac à main ! J'aime sa texture douce et fondante mais pas grasse, je peux l'appliquer sur les lèvres les mains etc. Il n'a pas d'odeur particulière ! (assez d'odeur dans cette box de toute façon ! 😂), par contre ce n'est pas une crème que j'appliquerai sur mon visage personnellement 😏
3 full sizes dans cette box, c'est vraiment cool surtout pour 16.9€/mois, le coût est largement dépassé avec la valeur des produits ! On va faire le calcul :
parfum 10.95€
après shampoing (22€ le full size) 3.5€
mascara 19€
gommage 13.9€
baume 9.90€
Valeur total de la box 57.25€ 🥳 super rentable encore ! J'ai hate de ecevoir ma prochaine box !
Si vous voulez vous abonner, il y a toujours pleins de code promo pour avoir des cadeaux avec la première box !!! 👉Celui du moment👈 (attention parfois, c'est sous condition d'engagement)
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partyboxfr · 2 months
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Les différents lieux en France pour accueillir un mariage
Ah, le mariage, ce moment magique où deux âmes s’unissent pour ne former qu’un, entourées de leurs proches dans un décor enchanteur. Et pour que cette journée reste gravée dans les mémoires, le choix du lieu revêt une importance capitale. En France, terre de romantisme et de diversité, les options sont infinies. Des châteaux majestueux aux plages idylliques en passant par les domaines pittoresques et les lieux insolites, laissez-nous vous guider à travers cette palette de possibilités pour trouver le lieu parfait où célébrer votre amour.
1. LES CHÂTEAUX : DES CADRES MAJESTUEUX POUR VOTRE MARIAGE
Imaginez-vous, en train de dire « oui » à votre âme sœur dans un décor digne des plus grands contes de fées. Les châteaux, symboles de grandeur et de romance, offrent un cadre incomparable pour votre grand jour. Entre les murs chargés d’histoire et les jardins à la française, votre mariage sera une véritable ode à l’amour et à l’élégance.
2. LES DOMAINES : DES ESPACES ÉLÉGANTS POUR VOS CÉLÉBRATIONS
À la recherche d’un lieu à la fois sophistiqué et convivial pour votre mariage ? Les domaines sont la réponse à vos attentes. Avec leurs vastes espaces et leurs décors raffinés, ces lieux vous permettront d’accueillir vos invités dans une ambiance chaleureuse et élégante. Laissez-vous séduire par le charme intemporel des domaines et créez des souvenirs inoubliables.
3. LES HÔTELS : ALLIEZ CONFORT ET FESTIVITÉS
Pour ceux qui privilégient le confort et la praticité, les hôtels sont une option de choix pour célébrer leur mariage. Imaginez-vous, entourés de vos proches, dans un cadre luxueux où chaque détail est pensé pour rendre votre journée encore plus spéciale. Des salles de réception élégantes aux prestations haut de gamme, tout est réuni pour faire de votre mariage un événement d’exception.
4. LES LIEUX INSOLITES : POUR DES MARIAGES UNIQUES ET MÉMORABLES
Anciennes usines réhabilitées
Sommets de montagnes
Forêts enchantées
Champs de lavande
Rooftops avec vue panoramique
Envie de sortir des sentiers battus et de surprendre vos invités ? Optez pour un lieu insolite qui marquera les esprits. Que diriez-vous d’échanger vos vœux dans une ancienne usine réhabilitée ou au sommet d’une montagne ? Laissez libre cours à votre imagination et faites de votre mariage un événement véritablement unique et mémorable.
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5. LES PLAGES ET LES JARDINS : DES CADRES NATURELS POUR UN MARIAGE EN PLEIN AIR
Plages de sable fin
Jardins botaniques
Parcs romantiques
Vergers en fleurs
Bords de rivière paisibles
Rien de tel que la beauté naturelle des plages et des jardins pour célébrer votre amour en plein air. Imaginez-vous, les pieds dans le sable, le vent dans les cheveux, échangeant vos vœux sous un ciel étoilé. Les plages et les jardins offrent un cadre idyllique et romantique pour un mariage en harmonie avec la nature.
6. LES VILLAGES ET LES GRANGES : AMBIANCES RUSTIQUES ET AUTHENTIQUES
Villages médiévaux
Granges en bois
Fermes traditionnelles
Auberges de campagne
Étables rénovées
Pour une ambiance à la fois rustique et authentique, rien de tel que les villages et les granges. Imaginez-vous, entourés de champs de blé et de maisons en pierre, célébrant votre amour dans une atmosphère chaleureuse et conviviale. Les villages et les granges sont le choix parfait pour les amoureux de la nature et de l’authenticité.
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7. LES FERMES ET LES LIEUX HISTORIQUES : ENTRE TRADITION ET HISTOIRE
Plongez dans le passé et célébrez votre mariage dans une ferme ou un lieu historique chargé d’histoire. Entre les murs de pierre et les poutres apparentes, vous trouverez le cadre idéal pour une célébration à la fois traditionnelle et originale. Laissez-vous envoûter par le charme intemporel des fermes et des lieux historiques et créez des souvenirs qui traverseront les siècles.
En somme, peu importe vos goûts et vos préférences, la France regorge de lieux d’exception pour célébrer votre mariage dans un cadre qui vous ressemble. Des châteaux majestueux aux plages idylliques en passant par les domaines pittoresques et les lieux insolites, laissez-vous guider par vos envies et faites de votre mariage un événement inoubliable. Et n’hésitez pas à consulter nos autres articles sur la préparation du mariage.
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