En vrai Quackity le gars il a utilisé la strat habituelle des streamers quand t'as un drama, qui est le "je savais pas uwu je suis un pauvre choupinou tout aussi victime que vous" mais ça marche pas dans cette situation en fait... (Après on pourrait faire tout un truc sur les streamers qui découvrent que leurs potes sont chelous comme par hasard quand ça sort publiquement alors que bon... m'ouais, mais c'est un autre sujet.)
Pour le coup là c'est sa boîte, tu peux pas juste dire "oui mais vous voyez j'ai créé une entreprise qui porte mon nom, qui publie des truc en ligne pour moi, qui utilise mon logo et dont je suis trop fier, mais euh en vrai je sais pas ce qu'ils font lol". Il y a un moment, tu peux faire l'autruche mais ton entreprise=ta responsabilité. S'il voulait pas qu'ils fassent de la merde, il fallait qu'il supervise le bordel, et là déso mais le gars est fautif, même si c'est par négligence (ce qui est limite pire parce que quand on voit le manque de comm, il peut faire des excuses publiques tant qu'il veut personne pourra me convaincre qu'il en avait quoique ce soit à foutre des conditions de travail ou du bien-être de ses employés ptdr)
Un autre truc c'est le côté limite insultant du type qui fait un petit gameshow sympatoche avec les copains alors que ça fais trois semaines qu'il a balancé un "oui oui je règle les problèmes" et que... bah rien. Il a rien fait pour ses employés? Pas un mot pour l'admin de Pomme, ce serait bien de se pencher sur ça au lieu de jouer à minecraft mon gars?
J'ai l'impression que si tu ouvre un dico, tu vois sa photo quant tu trouve les mots "foutage de gueule".
On est bien d’accord. Même si on laisse le bénéfice du doute et qu’on admet qu’il était au courant de rien (perso je veux bien le croire là dessus), il reste le problème de la négligence.
Désolée t’es le patron d’une boîte à ton nom, tout est à ton image et tu ne te tiens ABSOLUMENT PAS au courant de ce qu’il se passe en coulisses ? Pour ce qui est « lore » on va dire je comprends qu’il veuille pas s’immiscer dedans car c’est aussi un joueur mais pour tout ce qui est des conditions de travail de ses employés, de leur rémunération ? C’est pas excusable.
En plus faut pas oublier que de ce qu’on sait c’est lui qui finance beaucoup de chose et il sait jamais demandé comment c’était possible que ça lui revienne si peu cher toutes ces personnes fournissant autant d’heures de taf pour sa boîte ?
« Non mais il est jeune c’est son première projet blabla » alors OUI mais dans ce cas si t’es pas sur d’être capable de gérer un truc de l’envergure du QSMP comme on l’a connu pendant 10 mois revoie les choses à la baisse ? Le projet aurait eu du succès même en étant un peu moins ambitieux.
Et quand tu découvres que ta négligence en tant que boss a donné lieu à des abus comme ça dsl mais tu devrais te donner à fond pour essayer de corriger ça au mieux. Je vais pas me répéter sur le manque de com parce que j’en ai beaucoup parlé déjà mais lancer le dialogue avec les admins aurait du être la première étape.
Pour le game show je vais pas trop rager car c’était sûrement prévu pour le Tubbathon depuis longtemps (pour les awards par contre j’ai bien la rage)
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L'Ami du Peuple No 214, Tuesday 7th September 1790, my translation
L’Ami du Peuple au sieur Necker
From the Friend of the People to Sire Necker
Si votre démission, Monsieur, n’était pas feinte, si votre retraite était sans retour, si vous aviez rendu fidèlement vos comptes, si vous étiez puni de vos malversations, la justice satisfaite m’imposerait silence. La haine que j’ai portée à un administrateur infidèle, à un ministre dangereux, à un suppôt redoutable du despotisme, expirerait avec votre pouvoir et je ne verrais plus en vous qu’un particulier dont je dédaignerais de m’occuper un moment.
If your resignation, Sir, were not a pretence, if you were to retire with no return, if you had given your explanation faithfully, if you were punished for your malversations, I would be made silent by justice well-served. The hatred that I have held for an unfaithful administrator, for a dangerous minister, for a dreadful supporter of despotism, would expire along with your power and I would no longer see you as anyone other than a private individual whom I would loathe to dwell on for one moment more.
Mais je crois assez connaître votre caractère ambitieux, pour me défier du parti que vous venez de prendre, pour regarder votre départ comme l’effet d’un orage que vous prévoyez et dont vous voulez éviter l’éclat, ou comme le dernier des pièges que vous voulez tendre aux Français. Vous le couvrez du prétexte de l’altération de votre santé, du retour de ces maux qui vous ont mis l’hiver dernier sur le bord de la tombe et qui n’empêchèrent pas le mort ou le mourant de figurer à l’Assemblée nationale pour séduire le peuple. Vous alléguez aussi les inquiétudes mortelles de votre compagne chérie qui vous presse d’aller retrouver l’asile dont vous a tiré l’Assemblée nationale. Mais en dépit de vous, la vérité vient se placer au bout de votre plume.
But I believe I understand your ambitious character well enough to distrust your recent course of action, and see your departure as the effect of a storm that you anticipate and whose thunder you wish to avoid, or as the last of the pitfalls that you wish to set for the French. You mask it with the excuse of the deterioration of your health, of the return of those illnesses that put you at death’s door last winter and did not prevent the dead or dying from standing in the National Assembly to seduce the people. You also put forward the deadly worry of your beloved companion who is pressing you to return to the asylum from which the National Assembly has taken you. Yet regardless of you, the truth appears on the tip of your pen.
En achevant sa phrase, l’ex-ministre donne aux pères de la patrie la clef de l’énigme.
“A l’époque de mon arrivée, Messieurs, leur dites-vous, vous approchez du terme de votre session et je suis hors d’état d’entreprendre une nouvelle carrière.” Ce qui signifie : Il faut, Messieurs, que je prenne enfin mon parti ; il n’y a que des gens de votre espèce qui puissent maintenir en place un agent de la mienne ; vous approchez de la fin de votre bail et je suis hors d’état de lutter contre vos successeurs qui, probablement, s’aviseront d’abord de vouloir faire leur devoir, qui m’éplucheront des pieds à la tête et qui me forceront de changer de marche, si plutôt ils ne me livrent à la vindicte publique.
As he finishes his statement, the ex-minister gives the fathers of the patria the key to the enigma.
“At the time of my arrival, Gentlemen,” you say to them, “you are approaching the close of your session and I am not in no fit state to undertake a new career.” Which means: I must, Gentlemen, take my side at last; only those of your type can keep an agent of my type in place of power; you are approaching the end of your lease and I am in no fit state to fight your successors who, probably, will dare to do their duty first, will examine me from head to foot and will force me to change my course, if not expose me to the public vengeance.
Permettez-moi de jeter un coup d’œil rapide sur la manière dont vous justifiez votre administration. Voici vos propres expressions :
“Vous m’avez demandé, Messieurs, un compte de la recette et de la dépense, à[1] commencer du premier mai 1790. Je vous l’ai remis. Vous avez chargé votre comité des Finances de l’examiner. Je crois qu’il aurait déjà pu reconnaître s’il existe quelque dépense ou quelque autre disposition digne de reproches. Cette recherche est la seule qui concerne essentiellement le ministère, car l’inspection des titres, la révision des quittances sont particulièrement applicables à la gestion des payeurs, des receveurs et des différents particuliers comptables.”
[1] On dira sans doute que le comité des Finances s’entendait avec le fripon, pour n’avoir fixé qu’à cette époque la reddition des comptes.
Let me take a glance at the way you justify your administration. Here are your own expressions:
“You have asked me, Gentlemen, for an account of the revenue and expenditure, starting [1] from the 1st of May 1790. I have given it to you. You have tasked your Finance committee to examine it. I believe that they would have already recognised if there exists any expenditure or other arrangement worthy of reproach. This investigation is the only one that the ministry is essentially of concern to the ministry, since the inspection of the securities, and the reviewing of the receipts are particularly applicable to the management of the payers, the receivers and the various private individuals taking accounts.”
[1] Marat’s note: It will be said doubtlessly that the Finance committee went along with the rascal, having only secured accountability at that time.
Ce qui veut dire que sans s’amuser à vérifier les pièces, vraies ou fausses, le comité des Finances doit se borner à examiner si vous avez bien additionné et soustrait. Or, soyez-en sûr, Monsieur, personne ne s’avisera de douter de votre savoir-faire.
This means that without wasting time checking the documents, be they true or false, the Finance committee must be limited to examining if you have correctly added and subtracted. Yet, you may rest assured, Sir, nobody will dare to doubt your know-how.
La fin de votre lettre est digne d’observation. La voici :
“Les inimitiés, les injustices dont j’ai fait l’épreuve m’ont donné l’idée de la garantie que je viens d’offrir. Mais quand je rapproche cette pensée de ma conduite dans l’administration des Finances, il m’est permis de la réunir aux singularités qui ont accompagné ma vie !”
The end of your letter is worth noting. Here it is:
“The enmities, the injustices that I have stood the test of have prompted me to think of the guarantee that I have now offered. But when I bring this thought together with my conduct through the administration of Finances, I am entitled to see it as one of the singularities that have characterised my life!”
Ce n’est pas là, Monsieur, soit dit en passant, le langage d’un administrateur intact, qui s’est empressé de mettre sous les yeux du public, le fidèle tableau de sa gestion, ce n’est pas là le ton d’un cœur pur, oppressé de douleur, qui s’enveloppe dans le manteau de son innocence, moins encore celui d’une âme fière au-dessus de la calomnie, mais le ton d’un homme sans honneur, qui ne s’était jamais offensé des soupçons injurieux tant de fois élevés sur son administration, au milieu même du sénat, mais celui d’un petit intrigant éconduit. Vous accusiez l’injustice du sort. Eh ! qu’y a-t-il donc de si étrange dans ce qui vous arrive aujourd’hui ? Depuis dix ans, vous receviez nos adorations en vous moquant de notre simplicité, et vous nous accabliez d’emprunts. Vous avez affecté de rendre compte de votre gestion dans un temps où rien ne vous y obligeait; vous avez imposé ce devoir à vos successeurs; vous avez refusé dès lors de vous y soumettre vous-même, malgré les instances du public; vous vous êtes joué des ordres des représentants de la nation; enfin vous avez remis un compte où l’on ne comprend rien; vous nous avez donné mille raisons puissantes de vous regarder comme le chef des accapareurs du grain et du numéraire, le père du projet de famine qui a fait notre désespoir une année entière; vous nous avez épuisés par un impôt vexatoire; vous avez opprimé les pauvres dont vous vous disiez le père; vous vous êtes opposé au plan de la liquidation des dettes de l’Etat. Vous fuyez au moment où l’on vous en demande un meilleur, et vous avez le courage de vous plaindre ?
This here, Sir, is incidentally not the language of an intact administrator, who quickly gave the faithful record of his management, to put it under the eyes of the public, this is not the tone of a pure heart, overwhelmed by sorrow, protecting itself in the cloak of its innocence, still less that of a proud spirit beyond the reach of slander, but it is the tone of a man without sense of honour, who has never been offended by the injurious suspicions levelled so many times against his administration, even among the Senate, it is the tone of a little scheming man spurned. You blamed the injustice of your lot. Eh! But what in your current situation is so surprising? For ten years, you have received our adorations while mocking our simplicity, and you have overloaded us with loans. You assigned yourself to account for your management at a time where you were under no obligation to do so; you imposed this duty on your successors; you refused thereupon to submit to it yourself, despite the insistence of the public; you toyed with the orders of the representative of the nation; finally you left us with an account that is incomprehensible; you have given us a thousand compelling reasons to regard you as the chief of the monopolisers of grain and of cash, the father of the famine project that has caused our despair for a whole year; you have depleted us with a vexatious tax; you have oppressed the poor whose father you claimed to be; you have opposed the plan of the liquidation of the debts of the State. You flee as soon as we ask for a better account, and now you have the nerve to complain?
Vous accusez le destin de la singularité des événements de votre vie. Que serait-ce si, comme l’Ami du Peuple, vous étiez le jouet des hommes et la victime de votre patriotisme ! Si, en proie à une maladie mortelle, vous aviez, comme lui, renoncé à la conservation de vos jours pour éclairer le peuple sur ses droits et sur les moyens de les recouvrer ! Si, dès l'instant de votre guérison, vous lui aviez sacrifié votre repos, vos veilles, votre liberté ! Si vous vous étiez réduit au pain et à l’eau pour consacrer à la chose publique tout ce que vous possédiez ! Si, pour défendre le peuple, vous aviez fait la guerre à tous ses ennemis ! Si, pour sauver la classe des infortunés, vous étiez brouillé avec tout l’univers, sans vous ménager un seul asile sous le soleil ! Si, accusé tour à tour d’être vendu aux ministres que vous démasquiez, au despote que vous combattiez, aux grands que vous accabliez, aux sangsues de l’Etat auxquelles vous vouliez faire rendre gorge, si, décrété tour à tour par les jugeurs iniques dont vous auriez dénoncé les prévarications, par le législateur dont vous auriez démasqué les erreurs, les iniquités, les desseins désastreux, les complots, la trahison, si, poursuivi par une foule d’assassins armés contre vos jours, si, courant d’asile en asile, vous vous étiez déterminé à vivre dans un souterrain pour sauver un peuple insensible, aveugle, ingrat! Sans cesse menacé d’être tôt ou tard la victime des hommes puissants auxquels j’ai fait la guerre, des ambitieux que j’ai traversés, des fripons que j’ai démasqués, ignorant le sort qui m’attend et destiné peut-être à périr de misère dans un hôpital, m’est-il arrivé de me plaindre ? Il faudrait être bien peu philosophe, Monsieur, pour ne pas sentir que c’est le cours ordinaire des choses de la vie. Et il faudrait avoir bien peu d’élévation dans l’âme pour ne pas se consoler par l’espoir d’arracher, à ce prix, 25 millions d’hommes à la tyrannie, à l’oppression, aux vexations, à la misère, pour les faire enfin arriver au bonheur.
You blame fate for the oddity of the events in your life. But what if, like the Friend of the People, you were toyed by men and victimised for your patriotism! What if, plagued by a life-threatening disease, you had, like him, renounced the preservation of your living days to clarify the rights and means to recovering rights to the people! What if, from the instant you were healed, you had sacrificed for them your repose, your waking hours, your freedom! What if you were reduced to bread and water to dedicate all your possessions to the res publica! What if, to defend the people, you had warred on all their enemies! What if, to save the class of the unfortunate, you fell out with the whole universe, without holding for yourself one single asylum under the sun! What if, you were alternately accused of being bought by the ministers you unmasked, by the despots you combatted, by the great ones you condemned, by the bloodsuckers of the State from whom you sought reparations, what if, you were in turn under the decrees of the iniquitous judges whose prevarication you would have denounced, by the legislator whose errors, iniquities, appalling purposes, schemes, and treason you would have unmasked, what if, you were pursued by a mob of assassins armed against your livelihood, what if, running from asylum to asylum, you were determined to live underground so that you might save an insensible, blind, and ungrateful people! Always under the threat of eventually falling victim to the powerful men I have fought against, to the ambitious men I have crossed, to the scoundrels I have unmasked, with no idea of the lot that awaits me and probably doomed to perish miserably in some hospital, have I ever complained? A quite unsound philosopher alone, Sir, would be able to deny that this is ordinarily the way things go. And quite undignified a soul alone would not find solace in the hope to wrest, at this price, five and twenty million men from tyranny, oppression, from vexation, and from misery, to see that they eventually find their own happiness.
Quant à vous, Monsieur, vos destinées sont un peu diff��rentes. Vous avez sacrifié les adorations d’un peuple idolâtre aux sourires d’une cour perfide, dont peut-être vous avez encore la faveur. Mais il vous reste des trésors. Vous ne passez plus pour Aristide, mais vous êtes encore Luculle. Est-il un seul monarque qui ne s’empressât de vous offrir une retraite honorable, est-il un seul plaisir dans la vie que puisse donner la fortune et qui vous soit refusé ? Voluptés, honneurs, dignités, tout vous attend. Vous pouvez disposer de tout, excepté de l’estime des cœurs droits et des âmes élevées, ou de la gloire qui n’est pas non plus le prix de l’argent.
As for you, Sir, your destiny is a little different. You have sacrificed the adorations of an idolatrous people for the smiles of a perfidious court, whose favour you still will have. But you are left with treasures. As Aristides you can pass no more, but as Lucullus you remain no less. Is there a single monarch who would not be quick to offer you an honourable retirement, is there a single pleasure in life that fortune grants denied to you? Voluptuousness, honours, dignities, all await you. You can own everything, except the esteem of upright hearts and dignified souls, and except glory, which money still cannot buy.
Quoi qu’il en soit, Monsieur, si votre retraite n’est pas jouée, dès aujourd’hui, je m’impose à votre égard un éternel silence. J’ai travaillé à votre chute avec un zèle peu commun ; mais à l’instant que vous n’êtes plus un homme public dangereux, vous redevenez pour moi un particulier sans conséquence.
Be that as it may, Sir, as long as your retirement is not a prank, from today, I impose on you an eternal silence. To defeat you I have worked with quite uncommon zeal; but the moment you stop being a dangerous public figure, to me you revert to being a private individual of no importance.
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