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#ne plus avoir de sentiments du jour au lendemain
babavigantrom1 · 2 years
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Reconquérir son ex qui n'a plus de sentiment. - Récupérer son ex quand tout semble perdu. Récupérer son ex en 4h. - ROI BABA VIGAN TROM
Reconquérir son ex qui n’a plus de sentiment. – Récupérer son ex quand tout semble perdu. Récupérer son ex en 4h. – ROI BABA VIGAN TROM
Reconquérir son ex qui n’a plus de sentiment. – Récupérer son ex quand tout semble perdu. Récupérer son ex en 4h. – ROI BABA VIGAN TROM Ce pendants. Reconquérir son ex qui n’a plus de sentiment, est une rituel qui raviver les sentiments de son ex et faire renaître les sentiments de son ex ainsi que récupérer son ex quand tout est perdu. Il as des comportement d’un ex encore amoureux parfois…
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crazy-hanji · 4 months
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Beh alors Bambi ? /Well Then Bambi?
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Alastor montré dans un instant de faiblesse ça vaut son pesant d'or , le gars se rends bien compte de sa faiblesse et de la contrainte de son " contrats" . Puis on dirait qu'il commence à avoir une certaine dualité entre ses objectif et sentiments je parle pas de désirs . Je ne pense pas qu'Alastor va devenir un bon gars pas du jour au lendemain mais je suis pour entretenir une dualité sur le personnage le poussant un peu plus dans une folie , un conflit interne
Alastor shown in a moment of weakness is worth his weight in gold, the guy is well aware of his weakness and the constraint of his "contracts". Then it seems like he starts to have a certain duality between his goals and feelings, I'm not talking about desires. I don't think Alastor is going to become a good guy overnight but I am in favor of maintaining a duality in the character pushing him a little more into madness, an internal conflict
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lesillusionsterrestres · 11 months
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Le vendeur de roses
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© Photographie de Steve McCurry
Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.
Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour – fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.
Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.
Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.
La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.
*
Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.
Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.
C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».
Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.
Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.
Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.
Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.
« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »
Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »
Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.
Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.
Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.
Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.
Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.
*
Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.
Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.
// Dédé ANYOH //
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stripnblues · 2 months
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La sombre, sombre histoire des escaliers, partie 1
Dans mon précédent post, j’avais évoqué l’idée de narrer les mésaventures qui ont conduit à mon changement de psychiatre. Je m’étais laissé, je cite, « la liberté de choisir » d'en parler. 
HAH. Quel genre de personne serais-je pour laisser pour laisser mon lectorat sur sa faim (laissez-moi croire que j’ai autant de followers que Baptiste Beaulieu ou Pénélope Bagieu, s’il vous plaît). 
Puis, pour tout vous dire, j’ai un peu honte d'être passée à côté de ces mots doux de Tibo InShape, qui m’auraient donné TELLEMENT de grain à moudre dans le papier précédent :
Merci pour ta contribution, mec. Si tout le monde t’écoutait, l’industrie pharmaceutique serait en PLS et les psys au chômage.
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Je crois aussi qu’une partie de moi a besoin de coucher tout ça sur le papier. Parce que ça a été un sacré calvaire et que, quelques mois plus tard, même si j’ai envie d’en rire, c’est d’un rire encore forcé.
Je consultais cette psychiatre depuis deux ans. J’avais laissé tomber la précédente après une énième soirée à patienter deux putains d’heure dans la salle d’attente jusqu’à m’en aller sans l’avoir vue, la rage au ventre mais sans ordonnance. Dans l’urgence, parce qu’il fallait bien que je chope mes médocs, j’en ai trouvé une nouvelle via Doctolib. Elle me paraissait compétente, elle avait l’air de savoir ce qu’elle faisait. Même si, parfois, ses questions semblaient sortir tout droit du manuel pour psychiatres débutants : « Est-ce qu’en ce moment, vous avez des idées tristes ? »
Euh… Ça dépend de ce qu’on entend par “idée triste”. Si ça veut dire « penser que même Nicolas Sarkozy et Marlène Schiappa publient plus de livres que moi », alors oui, j’ai des idées tristes.
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Si vous avez des idées tristes après avoir lu ce résumé, c'est normal.
Même si elle avait souvent du retard dans ses rendez-vous. Mais ça, je sais que c’est tirer sur une ambulance passablement déglinguée. L’état de la psychiatrie en France n’est un secret pour personne. Manque de moyens, plus de patients en détresse, moins de soignants, une pression grandissante… Tout cela, sans doute, joue sur un quotidien certainement bien agité entre les urgences du jour, la patientèle à gérer, etc. Jusqu’ici, j’étais plutôt indulgente.
Et puis… Et puis il y a eu un épisode particulièrement difficile. L’anxiété me submergeait, toute tentative de discernement relevait d’un marathon avant d’être balayée par une vague d’incertitudes, je me retrouvais plus bas que terre, à essayer de faire bonne figure auprès de mes proches avec un sentiment d’imposture qui me rongeait le ventre. Pas la joie, pour résumer. C’est donc dans un état peu glorieux que j’ai vu ma psychiatre pour notre rendez-vous mensuel. Un génocide de mouchoirs plus tard, elle me propose de remplacer un anxiolytique dans mon traitement, et de voir si celui-ci sera plus efficace. Et, notez bien, c’est important pour la suite, elle me précise : « Tenez-moi au courant des effets dès le lendemain. Si ça ne va toujours pas au bout de quelques jours, prévenez-moi et on trouvera une solution au plus vite. »
Je ressors avec l’ordonnance et l’envie de croire que les choses vont s’arranger grâce à cette bidouille chimique. Je vous épargne le suspense, c’est tout le contraire qui s’est produit. Les crises d’angoisse ont persisté tout comme le moral au fond des chaussettes. En plus de ça, je me traînais une chape de fatigue. J’étais devenue incapable de réfléchir. Chaque tâche somme toute banale devenait une épreuve impossible. Dès que je tentais une sortie pour faire ne serait-ce que des courses, j’étais prise d’une douleur face à l’effort. Presque tout de suite, je voulais fondre en larmes et retourner me terrer chez moi. Toutes mes émotions étaient sapées, fondues en un brouillard d’abattement. Heureusement que je ne travaillais pas, à ce moment-là. Peu ou prou, j'étais devenue ça :
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Bien sûr, je l’ai tenue au courant le lendemain. Pas de réponse. Bon, ok, elle doit être occupée… J’ai attendu que le traitement fasse son effet. Un, deux, trois, quatre, cinq jours s’écoulent. Ça n’a l’air de rien mais, avec une santé mentale chaotique et un traitement qui semble empirer la chose, cinq jours, c’est très long. Ma seule envie, c’était que les journées s’écoulent pour que je puisse enfin dormir. M’affranchir quelques heures de mon calvaire qui, de toute façon, allait reprendre dès mon réveil. Il me fallait me changer les idées par tous les moyens, des bouquins, Netflix, YouTube… Je m’abrutissais pour mieux me prendre mon mal-être en pleine gueule ensuite, malgré la môman et l’amoureux en soutien à distance, et le Kraken à mes côtés.
Entre-temps, ma thérapeute, qui voit mon état se dégrader, m’encourage à prévenir la psychiatre. Alors j’essaie de l’appeler, je lui envoie des textos, un mail où je détaille les effets du médicament et qu’on pourrait résumer par « please help »… mais pas de réponse. Que couic.
Je suis d’autant plus désespérée que, dans quelques jours, je dois partir dans ma famille pour les fêtes. Parce que oui, tout ça se déroulait peu de temps avant Noël et autres célébrations. 
Qui c’est qui, en plus d’être pas bien, culpabilise à l’idée de pourrir les réjouissances à venir avec sa santé mentale en carton ?
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Gné...
Donc, parce que chaque journée à macérer dans cette bouillasse noire est d’une longueur infinie, parce que je ne veux pas rester comme ça et que, visiblement, la psychiatre est aux abonnés absents, je me retrouve sur Doctolib pour prendre rendez-vous avec elle. Ben oui, elle n’a pas de secrétariat, donc comment vous dire. J’arrive à choper un créneau la veille de mon départ en famille. Après plus d’une heure d’attente (parce qu’évidemment, il y a eu une couille avec Doctolib et qu’on s’est retrouvés à plusieurs sur le même horaire et qu’il a fallu gérer le bazar…), je la vois, et là, c’est l’occasion de dire que des idées tristes, j’en ai à la pelle, et que le nouvel anxiolytique est un poil daubé du cul. Je me suis renseignée sur ses effets indésirables et, oh bah tiens donc, on est en plein dedans.
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Remplacez « agneau » par « anxio », et le tour est joué.
Je glisse au passage que j’ai voulu la prévenir, que je n’ai pas eu de nouvelles, etc. Curieusement, elle élude, plaide la surcharge de textos de tous les côtés, et me conseille de la spammer les prochaines fois. Mais avait-elle bien reçu mon mail ? Avait-elle pris le temps de le lire ? À cela, elle ne me donne pas de réponse claire. Je trouve ça bizarre, mais bon. On réajuste le traitement, on revient à ce que j’avais avant en plus léger, parce que sinon, je serais en surdosage. Ce qui me fait tiquer, parce que mes psychiatres précédents n’hésitaient pas à y aller yolo sur les anxios. Okay, ça fait plaisir de savoir que les confrères ne sont pas forcément au fait niveau posologie et état de la recherche sur ce qu’ils prescrivent. Mais soit. Elle me file aussi l’adresse des urgences psychiatriques de Saint-Anne si jamais ça ne va vraiment, vraiment pas. Ce qui ne me rassure paradoxalement pas, je dois l’avouer. Je repars avec l’adresse, le traitement changé et l’espoir, cette fois, que les choses vont vraiment revenir à la normale.
Alors… Passé les deux-trois jours de soulagement post-traitement daubé du cul, j’ai dû me rendre à l’évidence : ça n’allait toujours pas. Sauf que, andouille que je suis, j’ai préféré ATTENDRE de rentrer de vacances pour en parler à ma thérapeute et reprendre rendez-vous avec la psychiatre. Quand j’y repense, j’ai envie de me secouer très fort comme un prunier. 
« So, il y a une météorite qui te fonce tout droit sur la gueule, tu devrais peut-être changer d’endroit ou demander à Bruce Willis de te filer un coup de main pour empêcher la catastrophe. — Euh mais je sais, mais là, je suis avec des potes et j’ai pas trop envie d’y penser… Je vais plutôt faire ça quand je serai rentrée. »
Des fois, je m’auto-saoule d’une force…
Arrive donc le rendez-vous avec la psychiatre (en visio, car les transports avaient décidé de faire de la merde, bref, c’était une journée du caca absolue). Ma tête de blob larmoyant lui permet de déduire que le traitement n’est pas très efficace (euphémisme). Elle me propose une nouvelle solution. Or elle n’est pas anodine, c’est plutôt du type « ajouter un médoc lourd avec plein d’effets secondaires pour personnes à la santé mentale façon puzzle, youhou ». J’appréhende, mais elle m’assure que ça peut tout à fait convenir dans ma situation. Elle doit juste faire quelques recherches pour s’assurer que c’est compatible avec le reste de mon traitement, mais promet de m’envoyer l’ordonnance dans la journée. Et que je n’hésite pas à la relancer le cas échéant.
Devinez quoi ? L’ordonnance n’est jamais arrivée. J’ai spammé, j’ai appelé, laissé des messages. Que dalle. Nichts. Un jour passe, deux jours, trois jours… 
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Alors je connaissais le ghosting sentimental (souvenez-vous, le gaufrier), amical (soit c’est ça, soit le pote est mort ou parti dans un monastère sans téléphone cellulaire, je ne vois pas d’autre explication). Mais par une professionnelle de santé, c’était tout nouveau. Hésitez pas à me proposer d’autres plans foireux à tester, hein, je crois que j’ai un potentiel là-dedans.
En parallèle, je m'apprête à commencer un nouveau boulot, toujours avec l’impression de passer mes journées dans l’équivalent psychique du Mordor. Même ma psy, qui pourtant en a vu d’autres avec moi, trouve que quelque chose cloche. À force de ne pas avoir de nouvelles, je sens ma confiance s’éroder. On m’encourage à peut-être consulter quelqu’un d’autre. Je fatigue, je tiens tant bien que mal. J’arrive à obtenir une liste de praticiens recommandés. Je me résous à reprendre rendez-vous avec la psychiatre pour tenter d’élucider tout ce bordel, et lui dire que j’en ai légèrement marre de me faire traîner en bateau. Sauf que j’appréhende. Dans mon état, je ne me sens pas sereine pour me confronter seule à cette personne. Je sens que j’ai peur. Et ça, face à quelqu’un qui est censé vous aider à aller mieux, malgré mon sale état, je sens que ce n’est pas normal. Dans la détresse, j’appelle ma mère. 
Faisons une pause dans le récit, le temps que je vous présente ma môman. Si je devais la résumer en un personnage, c’est Brienne of Tarth dans Game of Thrones (sans le crush pour ce couillon de Jamie Lannister).
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Eh ui c'est ma MÔMAN À MOI.
Loyale, valeureuse, elle est l’une des personnes les plus fortes et courageuses que je connaisse. Mais, pour rester dans le même univers, dès qu’on ose toucher à sa précieuse progéniture, ma mère se transforme en Daenerys (la vibe cryptonazie de la saison 8 en moins) :
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L’un de ses adages, c’est « Don’t mess with my kids ». Mais vraiment. S’il vous prend la folie de mess with ses kids, vous pouvez être sûr de finir la journée au fond d’un lac, les pieds dans un bloc de béton armé. Et peut-être pas en un seul morceau, en fait. 
Je vous laisse donc vous mettre à la place de ma môman lorsqu’elle reçoit un appel de sa fille aînée aux prises avec une psychiatre qui la ghoste après lui avoir proposé des traitements chelous. 
Alors que je finis à peine de bredouiller « est-ce que tu voudrais m’accompagner à mon rendez-vous sitoplé ? », ma mère me répond d'emblée à l’affirmative : « Mais bien sûr, ma chérie. Ça tombe bien, j'avais besoin d'aiguiser mon épée de feu. »
And this is where the fun begins. Ah oui, parce que tout ça n’est que le contexte de l’aventure à laquelle mon post doit son titre fabuleux.
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À plusse pour la suite, les p'tits choux !
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sofya-fanfics · 8 months
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La femme qu’il aimait
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Fandoms : Naruto / One Piece
Relationship : Sanji x Sakura
Voici ma participation pour le Flufftober 2023 pour le prompt extra : Créer un crossover de deux où plusieurs fandoms.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sanji se dirigea d’un pas rapide vers le pont du Sunny. Il savait qu’il la trouverait là. Sakura-swan, pensa-t-il avec un regard rêveur et un immense sourire.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto et One Piece appartient à Eiichiro Oda.
@flufftober
AO3 / FF.NET
Sanji sortit de la cuisine. La nuit était tombée et l’air frais le fit frissonner. Il boutonna sa veste et alluma une cigarette. Il avait rangé la cuisine et préparé les menus pour le lendemain. Sa journée était enfin terminée. Il allait toujours se coucher après tout le monde et se levait avant les autres. Mais il ne se plaignait pas. Il était cuisinier et il aimait cela. C’était sa vie et il n’en changerait pour rien au monde.
Il se dirigea d’un pas rapide vers le pont du Sunny. Il savait qu’il la trouverait là. Sakura-swan, pensa-t-il avec un regard rêveur et un immense sourire. Il arriva sur le pont. Elle était assise par terre, adossée contre le mur et elle regardait les étoiles. Elle semblait tellement paisible qu’il se sentait coupable de la déranger.
« Te voilà enfin, dit-elle.
-J’ai été retardé par Luffy. J’ai dû l’empêcher de manger toute la viande qu’on a. »
Elle rit légèrement. Sanji s’assit à côté d’elle et Sakura s’approcha un peu plus de lui, réduisant l’écart entre eux. Il pouvait sentir son bras frôler le sien. Il n’aurait pas su dire si elle l’avait fait inconsciemment.
C’était devenu un rituel entre eux. Le soir, lorsque tout l’équipage était couché, ils se retrouvèrent sur le pont pour regarder les étoiles, pour parler de tout et de rien, ou pour profiter du calme après le dîner mouvementé qui avait eu lieu quelques heures plus tôt. Ils ne restèrent que quelques minutes, mais ce moment passé avec Sakura était le meilleur moment de sa journée.
Sakura était devenue un membre de l’équipage après leur combat contre Arlong, alors qu’ils se dirigèrent vers Grand Line. Ils avaient accosté sur une île où elle était médecin et après avoir empêché des pirates d’envahir l’île, elle avait accepté la proposition de Luffy de les rejoindre. Un jour, il lui avait demandé pourquoi elle avait décidé de les suivre. Elle lui avait répondu avec un sourire rempli de tristesse :
« Parce qu’il me fait penser à quelqu’un qui m’était cher. Il a ce rêve impossible et pourtant, on est prêt à le suivre en ayant une confiance aveugle en lui. »
Elle lui avait décrit parfaitement ce que tous ressentaient pour leur capitaine. Même si Sakura restait encore un mystère pour lui, il savait qu’elle était originaire des nations ninjas où la guerre avait fait rage il y a quelques années. Il se souvint que tous les journaux en avaient parlé.
Elle lui avait parlé de deux de ses amis qu’elle avait perdu durant la guerre. Ils s’étaient combattus jusqu’à s’entre-tuer. Elle s’en voulait de ne pas avoir pu les sauver. Quand elle lui avait raconté cette partie de sa vie, des larmes coulaient le long de ses joues, elle disait que si elle avait été plus rapide, plus forte, elle aurait pu les arrêter et les sauver. Sanji l’avait tenu dans ses bras jusqu’à ce qu’elle se sente mieux.
C’était la première fois qu’ils s’étaient retrouvés seuls sur le pont et que leur rituel avait commencé.
Lorsqu’il s’était retrouvé sur Whole Cake Island, c’étaient ces moments avec elle qui lui manquaient le plus. Lorsqu’il croyait ne plus jamais la revoir, cela l’avait fait énormément souffrir. Mais elle était venue le chercher avec tous les membres de l’équipage, elle s’était battue pour lui et pour qu’il revienne auprès d’eux. Il l’avait toujours aimé, comme il aimait Robin ou Nami. Mais à ce moment précis, il avait réalisé qu’il l’aimait d’un amour véritable et qu’il voulait passer le reste de sa vie avec elle. Il ne lui avait pas encore dévoilé ses sentiments. Il avait peur de sa réaction, peur qu’elle ne le croit pas sincère. Il n’était pas encore prêt à perdre ce qu’ils avaient.
Il la vit frissonner. Il retira sa veste et la lui posa sur ses épaules. Elle écarquilla les yeux, surprise, et le remercia. Elle serra un peu plus la veste contre elle pour se réchauffer. Elle se mit à rire légèrement.
« Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda Sanji en souriant.
-Rien. C’est juste que ta veste sent comme toi. Un mélange de cigarette et de pain. Je trouve ça réconfortant. »
Sanji rougit et son cœur se mit à battre un peu plus fort. Chaque jour, il tombait un peu plus amoureux d’elle. Il la sentit poser sa tête sur son épaule. Il regarda vers elle. Elle avait les yeux fermés et elle souriait. Il sourit, en tirant sur sa cigarette, et ferma les yeux à son tour. Il profita de ce moment passé seul auprès de Sakura en espérant qu’il dure le plus longtemps possible.
Fin
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swedesinstockholm · 1 year
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2 mars
j’ai lu un poème de mary oliver sur l’amour dans lequel elle parle de toutes les personnes et de toutes les choses dont elle tombe régulièrement amoureuse, même furtivement, et elle dit que le soleil est peut être son premier amour. moi je voudrais déclarer mon amour à mes matinées, qui malgré la lassitude et l’exaspération que m’inspirent cette maison, restent une de mes choses préférées au monde. le soir quand je prends mon lithium dans la cuisine avant d’aller au lit, je lui dis à demain! et je lui souris, impatiente de me réveiller le lendemain matin pour la retrouver et faire mon petit rituel du petit déjeuner, rituel sacré, matins sacrés, soleil sacré, temps sacré, douceur sacrée, routine sacrée. mon rituel préféré c’est le petit déjeuner. si jamais un jour on me pose la question.
j’ai passé la journée à écrire et à chanter. j’ai fini mon poème sur les frontières et j’ai tout envoyé au concours du printemps des poètes et puis j’ai écrit une chanson, une reprise de à bien regarder, rachida de sexy sushi en remplaçant rachida par rebeka et en en faisant une déclaration d’amour. j’ai essayé de la chanter en jouant du piano en même temps ce soir mais c’est vraiment pas une mince affaire. mais j’ai vraiment envie d’y arriver. ça m’a rappelé quand j’avais écrit des nouvelles paroles pour little person de jon brion en islande pour la chanter avec austin qui m’accompagnait au piano et qu’on avait fait pleurer tout le monde. j’aime bien écrire des chansons, il faut faire attention au nombre de syllabes et j’aime bien quand ça rime. j’aime bien écrire des trucs qui sonnent bien à l’oral en général.
hier je suis allée boire un verre avec audrey et j’ai passé la soirée à lui parler de mon travail et de mes projets et de mes rêves. un jour une architecte d’intérieur power business woman belge m’avait dit qu’il fallait parler de ses rêves et de ses projets au plus de gens possible, et depuis je le fais. audrey me disait qu’elle se posait les mêmes questions que moi sur sa timidité, si c’était vraiment sa nature profonde d’être timide, ou si ç’avait été causé par quelque chose qui lui est arrivé dans son passé. mais est-ce qu’il existe une nature profonde? intacte, non contaminée par les évènements de la vie? je lui ai parlé de mes années perdues à la dépression et elle disait que je les avais pas perdues, qu’elles faisaient partie de ma vie et qu’elles m’avaient sûrement apporté quelque chose. et j’ai dit oui, mais j’ai toujours l’impression que je dois me justifier quand je parle de ma vie aux gens, quand je dis qu’à 32 ans j’ai toujours pas réussi à organiser ma vie pour qu’elle tienne toute seule, que je sais toujours pas comment faire pour la gagner, financièrement, que j’ai pas trop avancé dans ma carrière artistique non plus, etc. sans parler de ma vie amoureuse, mais je me suis pas aventurée là-dedans. on a discuté pendant trois heures, elle m’a fait beaucoup de bien. elle m’a donné le sentiment que ça va, je suis ok, je suis assez, je peux être comme ça, ma vie est ok, je peux me présenter comme ça, telle que je suis, le non emploi, vivre avec maman, c’est pas si catastrophique que ça, tout va bien, le monde ne s’est pas effondré. tu fais ce que t’aimes, c’est super! dehors dans le ciel jupiter était tout près de venus et la lune n’avait plus rien avoir avec le chat d’alice au pays des merveilles, elle était redevenue la lune, ma complice, mon amie, la témoin numéro un de ma vie sentimentale.
3 mars
cybille a liké ma vidéo de la perf où je dis i met a dancer, she was so beautiful. elle a bouclé la boucle de mes petites histoires de foldingue que je me construis dans ma tête. je me demande si elle s’est sentie concernée. et si laura a. s’est sentie concernée le jour de la perf. éléonore aussi l’a likée. je vous aime tendrement, mes artistes du spectacle vivant.
4 mars
j’ai rêvé de la mort et c’était terrifiant. la mort c’était des petites créatures roses pâle, ou des plantes, ou des bactéries, ou des virus, roses, il y en avait qui dégageaient des gaz verts mortels, elles étaient à la cave et dans les couloirs du métro parisien mais c’était aussi la cave, maman faisait de son mieux pour les éviter et elle y arrivait mais moi je m’avouais vaincue d’avance, je me disais on s’en fout, autant mourir tout de suite. c’était trop dur, je voyais vraiment pas comment je pouvais échapper à TOUTES les créatures roses, y en avait trop, j’étais terrifiée. mais le truc le plus terrifiant, c’était les gros morceaux de ferraille qui tombaient sur un paysage lunaire, attirés par la gravité, avec la musique du père fourras de fort boyard. c’était une histoire de temps, le temps qui déraille, qui accélère ou qui recule, je crois que je voyais dans les coulisses du temps et ça ressemblait à ça, ces gros morceaux de ferraille, des grandes barres avec des trous, des morceaux de grues. je me suis réveillée pour faire pipi et puis je m’en suis rappelé et je me disais que c’était le truc le plus terrifiant que j’aie jamais vu. j’étais morte de peur. surtout à cause de la musique du père fourras. 
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pauline-lewis · 8 months
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Brouillon pour une newsletter jamais envoyée
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Je mesure mon intérêt pour les films à la manière dont ils restent avec moi, plusieurs heures après visionnage. Par exemple, deux heures après avoir vu Oppenheimer de Christopher Nolan, je pensais plus au chocolat chaud bu au Paul du coin qu'aux heures interminables passées avec Cillian Murphy. Mais samedi dernier, cinq heures après avoir vu Killers of the Flower Moon, j'étalais ma pâte à pizza en réfléchissant aux liens entre le dernier Scorsese et le mythe de la caverne de Platon. Un plan de personnages filmés à travers le feu me revenait encore et encore, me tracassait, j'essayais de donner forme aux idées, j’élaborais des théories dans le bazar de mon cerveau. En faisant glisser la sauce tomate je pensais à ce que Scorsese nous disait de nous autres, colons blancs, ce qu'il disait de notre façon de raconter et de regarder toutes ces histoires et de les piller sans relâche. Je pensais aux vérités qui éclatent pendant cette scène du feu, aux frontières poreuses entre la réalité et à la fiction. Je pensais à l'actualité, bien sûr, je pensais aux hommes, je pensais aux femmes, je pensais aux enfants et je pensais au regard de Lily Gladstone qui me disait quelque chose d'assez terrifiant, que j'avais presque peur de regarder. Le lendemain je me réveillais avec Platon, avec la caverne, avec ces yeux qui continuaient à me regarder — je me réveillais en pensant à cette façon dont on m'a raconté l'Histoire, du lycée aux cours de civilisation américaine en Master. Je repensais encore à cette scène où Molly pose une question, où elle demande une vérité qui lui est brutalement refusée. J'y songe encore, aujourd'hui, en écrivant ces lignes.
Il y a quelques semaines je suis allée voir Les feuilles mortes de Kaurismäki. C'est, pourrait-on dire en simplifiant grandement, une histoire d'amour dans tout ce qu'elle peut avoir de plus dépouillé. C'est l'histoire d'une rencontre fortuite pendant un karaoké entre un homme et une femme. Je me suis retrouvée à penser à ce film sans cesse dans les jours et semaines qui ont suivi la séance de cinéma, et à une scène en particulier. Les deux amants sont dans l'appartement du personnage féminin. Lui a un problème avec l'alcool, elle s'est fait virer de son travail au supermarché pour avoir volé un produit pourtant périmé. On peut dire, comme le veut cette formule un peu éculée, que leurs deux solitudes se rencontrent. Comme dans beaucoup de scènes du film, en arrière plan la radio crache des nouvelles de la guerre en Ukraine. Ansa l'éteint d'un coup et, je ne pourrai pas dire sa phrase exacte, mais elle a cette réplique qui ressemble au vers de Prévert dans Barbara : "quelle connerie, la guerre". C'est à la fois simple dans sa formulation et assez bouleversant (parce qu’on ose jamais, au quotidien, dire ce genre de banalités-là). Tout le film raconte en creux comment cette guerre vit avec ces deux personnages, à leurs côtés.
À Cannes, Kaurismäki a expliqué que la guerre en Ukraine lui avait donné le sentiment que le monde avait besoin d'histoires d'amour ("it made me feel like this bloody world needed some love stories"). Pendant des jours j'ai été hantée par cette radio que l'on a le luxe d'éteindre, par tout ce qui se joue dans ce film dans les interstices — la violence du capitalisme, la tentative d'un amour malgré — malgré quoi, malgré tout. Hantée aussi par l'idée que mon cerveau a, malgré — malgré quoi, malgré tout — de la place pour penser autant à la fiction.
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NSBC • Chapitre 6
La rivière du temps coule sous les ponts, et Edward passe de plus en plus de temps chez moi. Victoria n’essaie même plus de savoir si je lui fais du mal ou pas. Elle doit bien voir qu’Edward est heureux. Et moi aussi, d’ailleurs. Nous n’avons toujours pas officialisé notre relation, mais j’en ai de plus en plus envie. Après tout, je reconnais très bien ce sentiment que j’éprouve en sa présence…
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Un matin, j’ai décidé d’aborder le sujet avec lui.
« Edward… Ça fait un moment qu’on se fréquente… et… Je me sens bien, avec toi.
— Moi aussi, Solange. Où veux-tu en venir ? »
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« Eh bien… On pourrait… Officialiser… non ? Dire à Victoria que c’est sérieux… ? Je ne sais pas…
— Tu veux que je devienne officiellement ton petit-ami ?
— O-Oui… »
Pourquoi je rougis comme ça ?! Je devrais être à l’aise avec lui, depuis le temps ! Ça fait déjà 4 mois, quand même !
« Avec plaisir, me répond-il en me souriant amoureusement. »
Amoureusement ? Oui, je crois pouvoir l’affirmer.
« Ça veut dire que tu n’as plus peur de Victoria ?
— Oh tais-toi… »
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Et il rit. C’est devenu un sujet de plaisanterie entre nous.
J’ai envie de lui demander autre chose, dans la foulée… Alors je le fais :
« Et… Comme tu passes plus de temps ici que chez toi… Tu pourrais… Venir vivre ici, carrément, non ?
— Oh, tu es sûre ?
— Évidemment, sinon je ne te demanderai pas…
— Je vais réfléchir. Après tout, ça veut dire laisser Vic’ toute seule…
— Elle est grande, non ?
— Oui, mais elle n’a jamais vécu seule. Moi non plus, d’ailleurs, mais je vivrai avec toi. Alors qu’elle…
— D’accord, parles-en lui avant si tu veux. »
Je suis un peu déçue, même si je comprends sa réponse.
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Ils ont été tellement traumatisés par la perte de leurs parents si jeunes (ils avaient à peine 15 ans) qu’ils n’ont jamais voulu vivre séparés, même après leur majorité. Une manière de pouvoir toujours compter l’un sur l’autre. Je respecte cela sans problème. J’ai moi-même perdu mes parents jeune. J’aurai aimé avoir quelqu’un sur qui me reposer de temps en temps. Cependant, une partie de moi aimerait avoir Edward toujours avec moi, ou presque…
Au boulot, le même jour, j’ai croisé Victoria (évidemment, me direz-vous). Je me suis retenue de justesse de la supplier de laisser Edward partir. Ce n’est pas comme ça qu’on procède avec Victoria O’Riley…
« Bon, Solange, vous allez être Séquenceuse de Sérums, à partir de maintenant. Tenez, une paire de lunettes de protection, vous en aurez besoin.
— Oh, merci…
— Ne me remerciez pas, vous avez aussi davantage de responsabilités. Mais je sais que vous en êtes capable… »
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Oui, vous avez bien lu, elle m’appelle enfin par mon prénom, après de longs mois. J’espère qu’elle me tutoiera enfin après avoir appris que je suis officiellement la petite-amie de son frère.
En attendant, elle vient de me confier un nouveau poste, et ça, c’est pas de la rigolade. Quelque chose me dit que je vais faire des heures supplémentaires, les jours qui viennent… La première raison étant que j’ai maintenant des rapports à rédiger sur chacune des expériences que je fais.
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En plus de cela, Pirus est tombé en panne, et il n’est pas simple à réparer, ce petit coquin ! J’y ai passé mon après-midi.
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Au moins, ça me permet de penser à autre chose, au lieu d’appréhender bêtement la réaction de Victoria.
Les jours passent, jusqu’à un soir où Edward vient me voir.
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Il entre, et m’annonce d’amblée :
« Elle est d’accord. Elle a même levé les yeux au ciel quand je lui ai dit que j’osais pas aborder le sujet depuis une semaine. Et elle a dit, je cite 'Ah parce que vous étiez pas vraiment en couple ? J'comprends rien...' haha. »
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Après avoir bien ris avec lui, un sentiment de plénitude m'a envahie ! Je suis tellement contente !
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On a fêté ça dignement sous la couette, et il a posé ses valises chez moi le lendemain matin, avant que je ne parte au travail. Une nouvelle vie commence !
Ma joie est vite retombée quand j’ai commencé à me sentir mal quelques semaines plus tard. D’accord… Respire, Solange, c’est peut-être rien… Parce que même si notre nouvelle vie commune se passe très bien, il est peut-être encore un peu tôt pour… le reste… Oulala… Il faut que j’aille vomir…
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Je suis malgré tout allée travailler après un rapide passage aux toilettes et un brossage de dents de dernière minute, mais j’ai été embêtée toute la journée par une vessie de faible contenance et un estomac trop gourmand…
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Ça n’a pas empêché Thierry d’être fier de mon travail et de me promouvoir dans la foulée, mais qu’est-ce que j’avais faim en rentrant !
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Je me suis précipitée sur le frigo, sous l’œil interrogateur d’Edward.
« Bah alors, qu’est-ce qui t’arrives ? me demande-t-il une fois que je me suis installée. »
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Je crois que je suis enceinte… Non, je peux pas lui répondre ça… Pas avant d’être sûre… Inutile de le faire paniquer…
« Rien, j’avais juste très faim ! Ta journée s’est bien passée ?
— Oh, comme un jour de congé classique… Et toi ? Ma tortionnaire de sœur ne t’a pas trop fait de misères ? »
Si seulement ça avait été Victoria mon soucis aujourd’hui, ma journée en aurait été bien meilleure…
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digi-dol · 1 year
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Bonjour, bonsoir !
Je suis Digi-Dol ou DD, et aujourd'hui je me pointe par ici afin de parler d'un sujet qui touche à la sensibilité. Le premier d'une longue série de sujets... enfin peut-être 👀
Un sujet un peu trop tabu à mon goût et qui fairait peut-être du bien à quelqu'un en passant par là, de le voir mentionné.
*Dépression*
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Qu'est-ce que la dépression ?
Je ne vais pas vous sortir la définition surfaite du dico, nan ! Si vous la voulez y'a Wiki qui se fait un plaisir de vous en fournir une très jolie en quelques secondes, lol. Je vais en parler en tant que simple humaine ayant vécue ce fléau mental à tout casser.
On va faire super simple : pour moi, une dépression est un état psychologique affectant les capacités, physiques et mentales de la personne atteinte. Lui arrachant toute envie de vivre ou de se battre pour les choses et les rêves ou même les gens qu'il ou elle chérissait. C'est un état de profonde douleur psychologique rongeant l'esprit et parfois même le corps d'une personne. Je ne sais pas si j'ai envie de dire que c'est une maladie, parceque je ne pense pas vraiment que ce soit le cas. Tout comme je suis totalement contre la prise de médicaments afin de combattre cette dernière. La dépression n'est pas comparable à une grippe non, loin de là même !
Mais vous allez voir, selon la médecine le trouble dépressif est bien une maladie... Mais bon, passons.
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Enfin ce n'est que mon avis hein. Je ne vais pas me fatiguer à l'expliquer à des gens qui n'en ont pas connaissance, je m'adresse à ceux qui me comprennent. À toi qui peut me comprendre parceque tu vis cette situation mentale. Et en même temps je vais m'adresser à toute personne ayant un proche dépressif dans son entourage.
Peut-être que même en lisant ceci tu continueras à te sentir seul/e au monde comme dans ta tête, tu te diras peut-être encore que personne ne peut te comprendre, et que personne ne le veut vraiment.
Sache que tu n'es pas si seul/e que ça, que moi aussi j'ai pleurée dans le noir dans le plus grand des silences, uniquement pour que personne ne sache que je verse des larmes de culpabilité, de tristesse, de colère, de chagrin à cause de choses qu'ils ou elles trouveraient totalement banales... Voir stupide.
Une dépression ne doit jamais être prise à la légère. JAMAIS.
Toi-même ne le prends pas à la légère, car « à partir du moment où une chose nuit à ta santé (mentale ou physique) c'est important ». Quand ça te fait pleurer sous l'oreiller à minuit passé, c'est important.
Il est vrai que c'est difficile de bien vouloir prendre soin de soi lorsqu'on est abattu psychologiquement. On en a plus rien à faire de nous même, que l'on maigrisse ou grossisse ça ne nous concerne plus. On s'en contre fiche même, on pourrait bien en mourir à petit feu que ça ne nous inquiéterait même pas. Les nuits blanches et les insomnies deviennent le quotidien, et la fatigue une lourde amie.
Mais poses toi un peu la question de savoir, ce qui te tue réellement de l'intérieur.
Si l'on devait un instant considérer une dépression comme une maladie, alors elle doit bien avoir une source, une origine. Les maladies ne se créés pas dans le corps du jour au lendemain, nan. Alors d'où provient ta douleur ? À cause de quoi souffres-tu ? De qui ?
Moi j'ai fait cet examen de conscience, et j'ai compris que ma douleur remontait à des années de souffrances répétitives.
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Du jour au lendemain toute la peine et les plaies accumulées au fil des années, finissent par exploser et t'enfermer automatique dans ta propre tête. Car c'est ce sentiments là, celui d'être piégé dans son esprit à ressasser chaques nuits tout ce que ton cœur saturé avait pu subir et cacher sans jamais réussir à extérioriser sérieusement.
Voilà que tu te mets à remettre en question le “soi-disant” amour de tout ton entourage, tu ne crois plus en leurs mots, quelqu'ils soient. Tu ne veux même plus qu'ils t'approchent ou te touchent. Tu as peur de dire ce qui se passe dans ta tête car tu sais qu'on va se moquer de ça et le banaliser. Et ça fait mal, vraiment mal. Tu te sens bête, ridicule, à la porte du gouffre et près à en finir avec cette torture. Eh oui, les douleurs mentales sont pires que celles physiques. Tellement que t'essaies de t'en débarrasser par les pires moyens qui soient.
Tu te lacères la peau avec ce qui fera l'affaire, tentant par tout les moyens d'atténuer la douleur mentale par celle physique. Mais c'est pas du tout fe qu'il te faut. Même si on te conseillait de beaucoup rire de t'en foutre de tes soucis, ça ne marche pas. C'est plus fort que soit. Et tu sais pourquoi ?
Parceque en réalité tu as besoin d'aide.
Mais tu ne te l'avoueras peut-être jamais, c'est humiliant d'une certaine manière. Mais c'est vrai. Je parle surtout pour les dépressifs en dépendance affective. Si tu es de ce cas là, tu as besoin qu'on t'aide à tout prix mais ta conscience ne veut peut-être pas l'admettre. Tu as besoin d'une oreille, d'un câlin, d'un sourire, de réconfort et de tendresse. Les personnes en dépendance affective en ont le plus grand besoin, mais là j'en parlerai en profondeur dans un autre poste.
Un/e dépressif/ve a besoin d'être entendu/e et non jugé/e d'une manière ou d'une autre. Ces personnes n'ont pas besoin de commentaires du genre :
« C'est juste ça qui t'inquiètes ? Mais c'est pas grave toi aussi ! T'es bien comme t'es hein, pleures pas pour ça »
Ou
« Dépression ? Mais c'est une maladie de blanc ça, t'es triste à cause de ça ? C'est moi qui devrait pleurer même, avec tout ce que je vis et pourtant regardes je m'en fous ! »
Les gars évitez vraiment de sortir ce genre de choses à une personne souffrant de dépression, surtout si ce dernier vous confit un tel problème dans sa vie. Ça détruit plus que vous ne le pensez, croyez-moi.
Non seulement vous allez accentuer son mal mais en plus vous allez diminuer le degré de confiance que cette personne a en vous, d'une manière significative. Une personne ayant un trouble dépressif est plus sensible que la normale et prend plus à cœur la moindre réflexion que vous lui ferez parceque, inconsciemment, elle a besoin d'être sûr que vous vous inquiétez vraiment pour elle, que vous en avez quelque-chose à faire de ses sentiments, et que vous pourriez lui donner un peu d'amour car elle-même n'en n'est plus capable. Mais elle ne le dira jamais.
Une personne dépressive ne s'aime plus, et n'a plus la force d'aimer les autres ou ce qui l'entoure. Rien ne l'intéresse plus.
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D'une certaine manière, le ou la dépressive se rejette la faute de son malheur. Les personnes au cœur le plus sensibles ont la forte tendance à s'accuser elle-même pour tout ce qui se passe dans leur tête. Sa peine, sa haine, sa colère sont dirigées vers elle-même et non envers les autres ou quelqu'un d'autre.
« Tout est de ma faute ! Je mérite ce qui m'arrive »
Un sentiment de culpabilité intense rongeant l'esprit.
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Les Africains, mes frères et sœurs, évitez de sortir le «maladie de blanc» à quelqu'un qui en souffre, oui, moi aussi j'ai longtemps pensée comme ça jusqu'à en souffrir à mon tour. Et je vous le dis les gars, ça tue, ça flingue, ça blesse🥺 ayez le cœur rempli de compassion, voyez la douleur dans le regard des autres et faites attention aux grands sourires mensongers.
Une personne dépressive s'isole et refuse d'avouer son mal au risque d'être traité comme un faible et être incomprise. Surtout pour un africain. Alors choisissez vos mots face à quelqu'un d'aussi blessé. Ou même juste triste, au moment où ça fait pleurer la personne face à vous, c'est grave.
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Lorsque l'on souffre de la sorte sans vraiment savoir pourquoi, que l'on a des crises de larmes incontrôlées alors que tout semblait aller bien ; c'est souvent parceque son enfant intérieur a besoin de s'exprimer. C'est incontrôlable.
Oprah Winfrey a dit un jour : « Nous avons tous un enfant blessé en nous » et elle avait bien raison. Temps que cet enfant demeure meurtri et brisé, notre conscience ne pourra pas vivre indéfiniment dans la joie et la paix. Cet enfant finira par trouver un moyen de s'exprimer.
Il met personnellement arrivé des moments où je me manquait à moi-même, je désirais plus que tout pouvoir voir ma “mini-moi” et la prendre très fort dans mes bras en lui soufflant que je l'aime et je serai toujours là pour elle. Et aujourd'hui je tiens cette promesse faite dans une visualisation au fond de mon esprit, puisque je ne peux pas la voir je m'imagine et lui donne une dimension réelle dans ma tête.
Alors toi qui souffre, souffles un bon coup et vas te réconcilier avec ton enfant intérieur 😔 il ou elle a besoin d'affection et personne d'autre que toi ne pourra lui en offrir assez. Malheureusement personne ne peut te comprendre mieux que toi-même malgré tout les efforts du monde, alors même si tu n'arrives pas encore à accepter ton reflet dans la glace, au moins parles-toi, et ne le fais pas pour t'insulter cette fois, mais pour te demander pardon car à tes yeux tu es fautif/ve pour tout.
Voilà ce que j'avais à dire sur ce sujet assez large, je pense qu'on va s'arrêter là. J'espère mettre assez bien débrouillée afin de vous plonger un peu dans ce sujet délicat qui me tenait à cœur. Si jamais toi qui lis ceci, tu éprouve le besoin d'en parler eh bien sache que je suis toujours prête à tendre l'oreille et à aider, étant une peacemaker🥹 aidons-nous vivant les gars, le suicide n'est pas une option, JAMAIS. Alors écris-moi ! Sois peace ☮���
@Digi-D mon insta si tu préfères ☮️
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De Tessa à Maryse
Chère Maryse,
D’une mère à une autre, je t’écris pour te demander conseil. Je n’ai pas élevé d’enfants depuis de très nombreuses années, et par de nombreuses années, je veux dire plus d’un siècle. Et aujourd’hui, je me retrouve de nouveau dans cette position. Bien que nous n’ayons pas fréquemment communiqué, j’ai souvent pensé à la merveilleuse mère que tu as dû être, et continues d’être. Après tout, tes enfants sont devenus d’admirables personnes. Isabelle est si courageuse, Alec est un vrai meneur, et Jace, eh bien, je peux seulement te dire que je sais ce qu’est un brillant représentant de la famille Herondale, et il en est un.
Je sais aussi que tu as connu une immense perte et un immense chagrin, et que tu comprends ce sentiment.
Je t’écris au sujet de Kit. Lui aussi est un Herondale, et je pense qu’il sera un brillant représentant de cette famille également. Mais comme tous les hommes Herondale (ainsi que les filles, crois-moi, je sais de quoi je parle !), il est très réservé et mystérieux. De manière générale, Jem et moi souhaitons absolument respecter sa vie privée. Mais quel est le moment quand l’inquiétude d’un parent l’oblige à intervenir ?
Il y a quelques jours, un soir après le dîner, je suis allée dans la chambre de Kit pour lui donner son téléphone (il le perd ou le laisse quelque part tout le temps!), mais il n’était pas là. En regardant par la fenêtre, je l’ai vu dehors, debout dans le jardin devant la maison. Il me tournait le dos et semblait regarder au loin, mais je voyais à sa façon de se tenir et de bouger les épaules qu’il était agité. Inquiète, je l’ai suivi dehors. Je suis arrivée derrière lui silencieusement, je ne voulais pas lui faire peur. Peut-être suis-je arrivée trop silencieusement. Je me suis tout de suite rendu compte qu’il parlait à un fantôme ; j’avais déjà fait l’expérience de ce genre de chose. Comme c’est toujours le cas dans ces situations-là, je n’entendais que les phrases que lui prononçait.
Kit a dit : « Si tu continues d’essayer de me parler de ça, ce ne sera plus possible pour moi de te voir. » Puis il a ajouté : « Bien-sûr que je crois au pardon. Mais certaines choses sont si horribles qu’on ne veut plus jamais y repenser. » Il y a eu une longue pause. J’ai pensé que c’était peut-être terminé. Et puis il a repris : « Tu ne comprends pas ? Chaque fois que tu parles de lui, ça me brise un peu plus le cœur. » Puis il s’est retourné, et évidemment m’a vue, debout dans l’allée devant la maison. Il n’a rien dit, il s’est contenté de me regarder avec les yeux d’une personne trahie et est rentré en courant.
Le lendemain, évidemment, il a simplement fait comme si de rien n’était. Je ne sais pas quoi faire. Devrais-je le laisser tranquille pour qu’il règle ça par lui-même ? J’ai toujours supposé qu’il devait y avoir des fantômes à Cirenworth – Kit m’a expliqué qu’il y avait un chien fantôme avec qui il joue parfois, un retriever il me semble – mais je ne peux pas imaginer que l’un d’entre eux soit malveillant ou nocif. Et effectivement, il ne me semblait pas qu’il avait peur du fantôme, mais plutôt que le fantôme faisait ressurgir de mauvais souvenirs de son passé. Peut-être de son père ? Je ne sais pas quoi faire. Jem pense que nous devrions le laisser résoudre le problème seul, parce que c’est un adolescent, mais ensuite je me suis souvenue de mes deux premiers enfants, quand ils étaient adolescents, et des moments où ils avaient bien besoin de mon aide. (J’espère sincèrement que Kit n’a pas une aventure tumultueuse avec un fantôme, car je ne suis pas sûre de pouvoir surmonter ça de nouveau.)
Ça m’inquiète tellement que je n’en dors plus la nuit. Si tu as le moindre conseil, je serais ravie de l’entendre.
Je joins une photo de Jace et Clary avec Kit et Mina, prise la dernière fois qu’ils sont venus nous voir. Ils ont l’air si heureux !
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Mes amitiés,
Tessa.
Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration de Cassandra Jean ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/669838995566510080/tessa-to-maryse
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laperditudedeschoses · 3 months
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Vous voyez le cordon noir ? Coupez-le.
Saviez-vous qu’une séance d’hypnose permet d’avoir la récupération d’une sieste ?
Cette question m’a été posée au moins 75 fois. Autant de fois que j’ai regardé, ou plutôt écouté, une vidéo d’hypnose sur Youtube modestement appelée « Adieu fatigue » et proposée par un monsieur au visage poupin, au cheveu rare et doté d’une grosse barbe rousse. Cet homme à la voix tantôt douce, tantôt caverneuse m’a sauvé la mise plus d’une fois - en l’occurrence soixante-quinze - quand il s’agissait de retrouver de l’énergie en milieu de journée après une nuit de sommeil agité.
Ses vidéos, qui sont très nombreuses et qu’il suggère habilement de regarder tous les jours, pour une amélioration nette de la qualité de notre sommeil et pour une augmentation nette du nombre de ses vues, font partie de ma vie depuis quelques années. Il propose différentes thématiques pour traiter tous types de sujets : sommeil bien sûr, mais aussi confiance en soi, tabagisme, hypersensbilité …
Il me semble avoir fait la connaissance de Barberousse via une vidéo humoristique d’un Youtubeur au sujet des insomnies et ça a été ma première rencontre avec l’hypnose.
Si je devais résumer une séance d’hypnose en ne m’appuyant que sur ses vidéos, je dirais qu’il s’agit pour celui ou celle qui la pratique de parler sans discontinuer et avec une voix calme en disant n’importe quoi - « pendant que vos pensées se subdivisent, que l’esprit apprend à laisser les choses jaillir en lui d’une manière inconsciente, dans l’état de pré-sommeil, cette manière de se dire, de se voir, de s’entrapercevoir ou de percevoir peut-être plus simplement, à mesure que le stress s’en va apparaissent toutes les émotions, laissez votre regard se reposer » - jusqu’à ce que l’hypnotisé se mette en « transe », que Barberousse résume ainsi : « un état de semi-conscience et de détente qui ressemble au moment où nous nous endormons ».
En ce qui me concerne, l’efficacité est redoutable et j’aurais pu m’arrêter là si je n’avais pas été poussée par la curiosité, voire le désespoir, vers d’autres formes d’hypnoses. A part cette version Réseaux-sociaux-pour-insomniaque je ne connaissais que l’hypnose spectaculaire qui nous est montrée à la télé, avec un type qui parle, là aussi, d’une voix très calme et avec un débit continuel, à des gens du public qui ferment les yeux, laissent pendouiller leur tête et font des choses qu’ils oublient dès que le manitou les réveille.
Toutefois, Judith m’avait aussi parlé de séances qu’elle avait pratiquées il y dix ou quinze ans dans le salon d’un « hypnothérapeute » quelque part en Seine et Marne pour résoudre un problème personnel et de l’efficacité qu’elle avait constatée quelques semaines plus tard. Heureusement je m’en suis souvenue et j’ai pu me lancer moi aussi, pour élargir ma palette de prestations d’accompagnement psychologique.
Remontons dans le temps, à une époque où, comme vous le savez maintenant, je vis de plein fouet une relation anxieuse + évitant = stress.
Face à un être mutique qui ne me rassure pas constamment comme j’en aurais besoin, je me sens en permanence comme un nourrisson abandonné, un genre de Moïse qu’on laisse filer sur une rivière dans son petit lit de branchages. N’ayant pas la résilience suffisante pour transformer ce sentiment d’abandon en pouvoir surnaturel qui permettrait d’ouvrir la Mer Rouge en deux, je cherche plutôt à m’en débarrasser.
Et en pleine nuit, après une nouvelle crise de panique qui se transforme en dispute, qui se transforme en ultimatum, qui ne donne lieu à rien du tout, je repense à l’hypnose et me mets à chercher un ou une thérapeute sur Doctolib, disponible dès le lendemain, oui le lendemain, pour me recevoir pour une séance. J’ai beaucoup de chance car je tombe sur une femme qui m’a l’air tout à fait respectable, qui reçoit dans un cabinet à 200 mètres de chez moi et qui a une disponibilité dès la fin de matinée le jour suivant !
Elle dit pratiquer l’hypnose « humaniste », qui n’est pas tout à fait comme l’hypnose ericksonienne. Jai hâte d’en savoir plus…
Quand j’arrive pour ma séance, je me sens tellement désespérée que je veux juste que quelqu’un me parle et me rassure. Je tombe alors sur une petite jeune femme très douce, qui doit être à peine plus âgée que moi et qui a des yeux très clairs. Elle me demande dans un premier temps pourquoi je suis là. Je lui explique ma situation, lui raconte un peu ma vie, lui sors le topo que j’annonce à chaque rencontre avec un nouveau thérapeute (je n’en ai pas vu tant que ça, mais j’ai quand même un laïus tout prêt).
Puis c’est elle qui parle, beaucoup, avec une voix douce et le regard brillant. Elle m’explique la différence entre hypnose humaniste et ericksonienne, dont je vais vous faire un résumé rapide : l’hypnose humaniste est une hypnose de conscience augmentée ; concrètement le patient est totalement présent psychiquement pendant la séance, c’est lui/elle qui orchestre ce qui se passe, choisit ses symboles, agit sur son inconscient mais il peut le faire parce que ses sens sont exacerbés, disons plus ouverts. Pour faire passer un patient dans un état de conscience augmentée, on utilise les techniques qu’on utilise normalement pour faire sortir un patient sous hypnose ericksonienne … vous me suivez ?
Bon, elle me parle aussi d’elle, de ce en quoi elle est spécialisée, la thérapie de couple et « l’imago » puis du fonctionnement du psychisme, de l’inconscient, du fait que le cerveau ne distingue pas le réel de l’imaginaire, ce qui explique l’état de panique dans lequel on peut se mettre rien qu’à envisager le pire et même si tout va bien, ainsi que de la force des symboles et images que l’on peut envoyer à ce même cerveau, grâce à l’hypnose.
En toute fin de séance, elle me fait une rapide « induction » mais me propose de revenir une prochaine fois pour de la full hypnose. Elle m’a convaincue et je reprends rendez-vous une semaine plus tard.
Au total, je crois que je suis allée la voir sept fois et il s’en est passé des choses … Chaque séance démarrait par une petite conversation pendant laquelle je lui parlais de mon couple et où elle réagissait et me donnait des conseils, dont certains assez précieux sur la communication non violente, puis nous passions à l’hypnose.
Allongée ou assise, je l’écoutais me parler, me demander de fermer les yeux, d’imaginer des choses étranges comme une galaxie d’étoiles à l’intérieur de mon buste ou une lumière vive à différents points de mon corps. Puis je me sentais partir tout en étant toujours là, un peu comme si j’étais droguée, mais légèrement.
Ensemble nous sommes allées envoyer des représentations à mon cerveau. Elle m’a fait parler à mon enfant intérieur, une petite fille brune qui rit tout le temps et qui, d’après ce que j’ai cru voir, demande juste qu’on lui foute la paix, à une autre enfant intérieur, mais cette fois-ci âgée d’environ treize ans, qui avait la tête de la femme d’un de mes collègues – extrêmement bizarre – et à qui j’ai construit un appartement à l’intérieur de mon ventre, oui oui. J’ai aussi pu prendre un café avec mon amour de jeunesse, pour lui demander pardon de l’avoir quitté si précipitamment. J’ai vu mes deux parents et pu presque littéralement « couper le cordon » avec eux, en utilisant une paire de ciseaux que j’ai dû imaginer dans ma tête. S’ils savaient …
Tout cela peut paraître étrange, mais j’ai ressenti sur le moment le bien que ça me faisait, à tel point que j’ai recommandé cette thérapeute à deux de mes amis : Léa, qui après y être allée deux fois m’a dit tout de go « Je vais arrêter, j’y crois pas une seule seconde à ce truc, c’est trop facile, genre tu imagines une pierre qui représente un problème, tu la balances par-dessus ton épaule et ça y est c’est fini » ; Alessandro qui lui aussi y est allé deux fois et m’a carrément dit qu’il se « méfiait de cette femme qui n'a pas l’air nette ».
Bon … j’ai mon indépendance d’esprit et je n’ai pas arrêté de voir cette hypnothérapeute à cause de ce qu’ils m’avaient dit, mais parce qu’elle a fini par augmenter ses tarifs. Néanmoins je suis quand même persuadée qu’elle m’a aidée à retrouver du poil de la bête et regagner confiance en moi à une époque où j’en avais bien besoin. Et cumulée avec les petites vidéos de Barberousse, dont une intitulée « Le changement c’est maintenant », elle m’a permis de dire au revoir à mon évitant … une première fois avant quelques rééditions, mais quand même !
Cette hypnothérapeute doit avoir quelques pouvoirs surnaturels parce qu’il y a une heure environ, alors que j’écrivais ce billet qui parle d’elle, elle m’a envoyé un mail d’invitation à un séminaire pour couples qu’elle organise avec son mari en mai prochain, alors que je n’ai rien reçu d’elle depuis trois ans.
Père Castor m’avait bien parlé de télépathie …
Et vous l’hypnose, vous en pensez quoi ?
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vabazeri · 4 months
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Jour 35
Mes enfants me manques, j'avais l'habitude de lire leur connerie sur la conversation que l'on avait en commun et ça me faisait beaucoup de bien de les voir ce chamailler pour rien en fait. Mais depuis quelques temps, il ne parlent plus sur cette conversation et je n'ose pas leur envoyé un message. J'ai peur qu'ils pensent que je les aient oubliés, que je suis passé à autre choses mais en fait c'est juste que je suis une vrai quiche avec ça...
En fait, je me demande si c'est ça quand ont est vraiment parents, si cette sensation de manque, de peur ça fait partie du quotidien. Ce demander si tout ce passe bien pour eux, si le boulot et les études ça va, si ils sont bien avec leur amis, s'il manquent de rien et si je pourrai les aider, voir même, si finalement ils me demanderai s'ils avaient besoin d'aide. Encore un truc qu'il faut que je parle à ma mère... Elle aussi ça fait trop longtemps que je l'ai pas eue au téléphone. Parfois je me demande si je devrais lui présenté mes amis, mon entourage. Si sa serait une bonne choses de lui présenté Bunny ou Hades, de ce qui fait ma vie en ce moment quoi...
Sinon j'ai fort bosser sur moi et je suis assez fière 🥰 j'ai laisser Hades prendre mes classes et les jouer ! (je sais que je vous exaspère avec ce genre de conneries mais vous imaginez pas à quel point c'est vraiment dur de lutter sur ses peurs de merde...). Bon, pour le moment il s'énerve sur pas mal de truc annexes mais il me "réclame" et même s'il en a clairement pas besoin j'aime bien qu'il face cet effort, je trouve ça vraiment mignon et touchant !
C'est vraiment toutes ses petites choses qui me font guerrir en fait, il me donne une place, un rôle que je connais et utilise certains de mes points fort, ça me donne une confiance en moi de dingue et ça me fait un bien fou en fait. Alors oui, je pourrais le faire seule en soit, d'autre autour de moi le font aussi mais évidement les sentiments ça change la perspective et oui, quand ça viens de lui, l'impact n'est clairement pas le même... Mais heureusement, il est bienveillant et il m'observe, beaucoup. Il retient ce que je dit, mes réactions, mes comportements, il me connais déjà beaucoup.
Par exemple mon sommeil plus que bancale, il le connait bien. Il sait très bien que quand je dit "je vais me couché" c'est un pile ou face :
Pile - je dors dans environs 1h (minimum)
Face - je dors pas et il le saura le lendemain de toute façon
Du coup, il essaye de faire tabler son heure de couché avec la mienne. Il me demande d'aller dormir, il me dit que sa serait une bonne choses hein... Ce genre de connerie et évidemment il a raison et oui, je l'écoute (après bon, le pile ou face toussatoussa... Mais au moins je me casse du pc et je vais m'allonger)
Sinon eh bien j'ai passé un looong moment avec un de mes anciens officier, ça m'as fait vraiment du bien et j'ai l'impression qu'il s'est amusé aussi 😊 j'espère vraiment que tout redeviendra plus ou moins comme avant dans la guilde 😅 mais ça me semble en bonne voie pour le moment ! Les petit viennent souvent, en jeu comme en vocal, bon, ça vient surtout si j'y suis 😅mais je me dit que c'est temporaire, le temps que tous le monde ce connaissent un peu mieux et ça devrais aller 😊👌
Pour le reste, niveau santé, ça va. Boon j'ai ma couille qui repousse à mon poignet mais ça, je suis rodée (kyste cynovial) ettt j'arrive (un peu) à gérer mes émotions ! Doucement, c'est pas gagner, mais pour le moment j'arrive à avoir assez d'assurance pour pas partir en bad au moindre truc négatif (ou ça ne dure pas trop longtemps et/ou sa reste supportable) , c'est déjà ça !
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christophe76460 · 4 months
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🎷🎺 NE PASSE PAS, ARRÊTE TOI ET LIS ATTENTIVEMENT CE MESSAGE DU DÉBUT JUSQU'À LA FIN SANS RIEN SAUTER CAR C'EST TRÈS IMPORTANT ET TRÈS URGENT,JE T'EN PRIE ARRÊTE TOI ET LIS TOUT 🎷🎺.
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Titre : *LA SAINTETÉ, LA VÉRITÉ ET LA JUSTICE : LES 3 CLÉS POUR ENTRER AU CIEL « première partie»* (par Michael Sambo)
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*DÉBUT DE LA PREMIÈRE PARTIE DE CE TÉMOIGNAGE*
*CHAPITRE 1*
*MON PREMIER VOYAGE AU PARADIS*
*PRÉPARATION ET ESPÉRANCE PENDANT LA RETRAITE*
La visite du Seigneur Jésus-Christ pour moi s'est faite pendant la retraite nationale de la pâques à Deeper Life Church en 2003, dans la région de Takum, dans l'État de Taraba. La retraite avait pour thème : CONNAIS LE SAINT-ESPRIT. Quand nous avons vu cette bannière, quelques frères et moi avons décidé de chercher la face du Seigneur afin que quelque chose de particulier se passe pendant la retraite. Nous sommes entrés dans la prière, le jeûne et les veillées (Jerem 33 :3). À cette période, je vivais dans la région voisine de Wukari, je prévoyais d'y passer la pâques. Mais le directeur de la région de Takum était en visite à Wukari et m'a demandé de venir à Takum pour assister à la retraite de Pâques et d'aider le coordonnateur du groupe des jeunes de la Région. Je lui ai obéi et je me suis rendu à Takum pour la retraite. À Takum, nous sommes entrés dans la prière. Nos attentes étaient élevées. Nous nous attendions à être visités par le Saint-Esprit. La retraite a duré du mercredi 23 avril au dimanche 27 avril 2003.
*LA VOIX INTÉRIEURE DU SEIGNEUR*
II pleuvait pendant la 1èra nuit de retraite. L'atmosphère dans le camp était tiède. Nous n'avions pas vu le renouveau que nous attendions, idem le deuxième jour. Le troisième jour, qui était un vendredi, j'ai appelé le coordonnateur du groupe des jeunes et je lui ai partagé mes sentiments. J'ai dit: « C'est maintenant la troisième journée de retraite et nous semblons n'avoir vu aucun signe particulier venant de Dieu. » II m'a assuré qu'à partir de ce vendredi soir-là, nous verrions une manifestation spéciale de Dieu. Nous étions réconfortés. Ce vendredi soir, après avoir quitté le camp, je suis allé à la cité universitaire pour me reposer. J’ai décidé de passer suffisamment de temps dans la présence de Dieu cette nuit parce que je craignais ne pas pouvoir prier assez le lendemain en raison de multiples occupations. D'ailleurs, je ne voulais pas m'empresser pour quoi que ce soit le matin suivant. J'ai lu Ésaïe 59. Le Seigneur m'a parlé quand je suis arrivé au verset 20 où il est dit: « *Un rédempteur viendra pour Sion, Pour ceux de Jacob qui se convertiront de leurs péchés, dit l'Éternel.* » Dieu m'a dit avec une petite voix dans mon cœur : « *Je visiterai votre camp demain.*»
L'impression que j'ai reçue était si profonde. Je croyais que c'était juste une pensée qui m'avait traversé l'esprit. Je me suis couché et j'ai dormi après ma méditation. Je me suis réveillé plus tôt entre 4hOO à 5hOO le lendemain matin pour m'apprêter. J'ai encore eu le temps de prier et de chercher la face du Seigneur. J'ai eu l'impression que la visite de Christ dans notre camp était plus marquante que celle de la nuit précédente. Il m'a dit une fois de plus à travers cette voix intérieure qu'Il visiterait encore notre camp de retraite. J'ai adoré le Seigneur. Puis j’ai pris mon bain et je me suis rendu à la tente où la réunion avait lieu.
*L'APPARITION DE JÉSUS ET DE DEUX ANGES*
Quand je suis arrivé à la tente des jeunes, j'ai appelé les guerriers de la prière et je leur ai annoncé que le Seigneur m'avait dit qu'il nous visiterait, « *Sion est ceux qui se convertiront de leurs péchés.* » Je les ai assurés que depuis que le Seigneur avait promis de visiter notre camp ce jour, le renouveau que nous attendions était venu. Nous n'avions plus prié. Nous avons chanté et loué Dieu. Nous avons chanté ce refrain: «II est vivant Amen !». Nous avons pris environ une heure pour chanter ce cantique et pour adorer le Seigneur. Après cela, nous sommes entrés dans la tente de réunion. Le programme pour cette journée avançait. J'attendais impatiemment une Visitation du Seigneur.
L'étude biblique chez les jeunes se faisait en groupe. Après l'étude biblique, les jeunes se sont réunis pour en faire le résumé, ce qui a été fait par un frère. Je me suis assis avec le coordonnateur des jeunes à la véranda de l'auditorium. Nous discutions. Nous nous préparions pour la séance de questions-réponses qui allait suivre. Le coordonnateur du groupe des jeunes m'a demandé de suggérer les noms de certains frères qui dirigeraient la session de questions-réponses. J'ai suggéré les noms de trois frères. Il m'a demandé d'inclure mon nom pour faire la quatrième personne. Je m'y suis opposé. Il a insisté, mais je me suis encore opposé et je lui en ai donné la raison: « II est nécessaire d'accorder à d'autres personnes la chance de se responsabiliser en tant qu'étudiant, je ne suis pas toujours ici. Si d'autres ont la possibilité d'évoluer, il y aura continuité dans le travail. »
Mon carnet de notes, mon stylo et ma bible étaient dans ma main pendant que je discutais avec lui. Soudainement mes yeux se sont ouverts ! J'ai vu trois personnages surnaturels vêtus de blanc. Ils éclataient de lumière. La gloire et la splendeur de Dieu les couvraient. La personne qui se tenait au milieu était différente de deux autres. La gloire, la splendeur et l'éclat qui l'entouraient étaient très vifs. J’ai essayé de regarder son visage, mais je n'en ai pas été capable à cause de son éclat. L'éclat de son visage était comme celui du soleil à midi. J’ai eu peur et je ne savais que faire. Puis j'entendis une petite voix qui me dit:« Souviens-toi, le Seigneur t'a dit qu'il devait visiter votre camp. C'est Lui qui vient, sois calme.» J'ai pris du courage et je suis resté immobile. Les trois personnages ont avancé vers moi.
Celui qui se tenait au milieu m'a pris par la main droite et a dit : « *Je suis Jésus-Christ, je suis Celui qui était mort; mais je suis vivant pour toujours(Apoc 1 :17 à 18). Frère Michael, mon fils, Je suis venu pour t’emmener à la maison, afin de te montrer la gloire de mon royaume, en réponse à ta prière. Viens...* »
J'ai laissé tomber ma Bible, mon carnet de notes et mon stylo, et je me suis levé. Comme nous allions, j'ai vu un de mes amis, l'un des guerriers de la prière, debout près de moi. Je lui ai fait un signe de la main et il m'a suivi. Il ne savait pas qu'il suivait aussi ces trois personnages qui étaient avec moi. Nous sommes entrés dans la chambre des jeunes guerriers de la prière. Là, je me suis mis à genoux, et le Seigneur a répété : « Je suis Jésus-Christ, je suis Celui qui était mort; mais je suis vivant pour toujours. Je t'emmène à la maison pour te montrer la gloire de mon royaume, en réponse à ta prière. Tu pourras revenir ou tu pourras y rester. Dans le cas où tu ne reviendrais pas, dis à ton ami de dire au coordonnateur du groupe des jeunes de continuer de faire ce qu'il fait et de vivre dans la sainteté et la justice: parce que c'est la seule chose qui peut permettre à une personne d'entrer au paradis.(Math 6 :33, Hébr 12 :14) Qu'il continue de fonctionner conformément à la norme, tel qu'il a toujours fonctionné. »
J'ai dit à mon ami « Je vais à la maison. Mais voici ce que le Seigneur m'a dit de dire au coordonnateur du groupe des jeunes.» Je lui ai transmis le message destiné au coordonnateur du groupe des jeunes. J’ai dit : « Mon ami, je vais à la maison. Prends bien soin de ta vie chrétienne. Au revoir. » Je n’étais pas malade. J’étais en parfaite santé. Puisqu'il ne comprenait pas ce qui se passait, il m'a demandé pourquoi je parlais ainsi. Il a dit : «Tu es trop jeune pour dire que tu retournes à la maison» a-t-il hurlé. Je n'ai pas compris ce qui s'est passé ensuite.
*LE VOYAGE VERS LE PARADIS*
J'ai compris plus tard par des témoins oculaires que j’étais tombé mort. Mais ce que j'avais vu, c'était mon esprit qui sortait de mon corps(Job 32 :8). J’ai pris un corps, glorieux, éclatant comme les leurs(1Cor 15 :42 à 43). J'étais aussi vêtu de blanc. Nous avons décollé vers le paradis. Comme nous traversions le ciel, j'ai vu un endroit très beau devant nous. J'ai tapoté le Seigneur Jésus-Christ pour attirer son attention. J'ai demandé: « Mon Seigneur, quel est ce très bel endroit que je vois devant nous?» Il me dit : «Mon fils, c'est l'endroit que j'ai préparé, depuis que j'ai quitté la terre, pour ceux qui M'aiment. (Jean 14 :1 à 3) Ne t'inquiète pas, mon fils, nous allons bientôt y arriver.»
Soudain, nous sommes arrivés à une très belle porte. Elle était extrêmement belle et magnifique. Elle était très élevée. Elle a été construite avec des pierres précieuses étincelantes et brillantes qui sont incomparables sur la terre. Je ne peux pas décrire ici la splendeur de cette porte parce qu'il n'y a pas de vocabulaire humain pour la décrire. Tout ce que je peux dire sur la beauté du ciel vous en donnera juste un aperçu. Les mots à utiliser pour décrire la beauté du ciel ne sont pas encore disponibles pour l'homme(2Cor 12 :2 à 4). Quand nous sommes arrivés à la porte, j'ai vu deux anges puissants avec des livres devant eux(Apoc 20 :12). Immédiatement lorsque nous sommes arrivés à la porte, ces anges ont laissé ce qu'ils faisaient et se sont rapidement prosternés pour adorer le Seigneur Jésus-Christ l'un après l'autre.(Hébr 1 :6)
Ces deux anges m'ont appelé et ont dit: «Frère Michael, sois le bienvenu !» Puis ils sont retournés à leur travail. J'ai vu ces anges écrire des choses et effacer d'autres écrits. Le Seigneur m'a dit qu'ils écrivaient les noms des nouveaux convertis et effaçaient les noms des rétrogrades du livre de vie.(Apoc 3 :5, Exode 32 :33)
*L'ACCUEIL ROYAL DE JÉSUS DANS LA CITÉ CÉLESTE*
J'étais à la belle porte avec Jésus lorsque j'entendis une très belle musique d'une inspiration indescriptible. La mélodie était excellente. Lorsque nous sommes entrés dans la cité céleste avec Jésus-Christ, cette musique a momentanément cessé. J'ai compris que cet accueil triomphal était en l'honneur du Roi qui venait d'arriver, c'est-à-dire le Seigneur Jésus-Christ. J'ai vu la beauté du ciel de mes propres yeux. Le paradis est un endroit d'une beauté indescriptible. C'est la perfection de la beauté. Le paradis est la cité du Dieu vivant. Il est glorieux et majestueux. Il n'y a ni larmes ni pleurs au paradis (Apoc 21 :4). Le paradis ne connaît pas la douleur. Il est rempli de la vie éternelle. Quand j'y suis entré, une immense joie a automatiquement inondé mon âme. Mon cœur a tout oublié concernant le monde d'où je venais. J'avais tout oublié concernant mon passé. Je ne me souvenais plus que je fusse dans le camp de retraite. J'ai tout oublié en raison de la joie débordante qu'il y a au paradis.
J'ai vu aussi la sainteté de Dieu. Le ciel est trop sacré pour accueillir les pécheurs. Rien d'impur ni de souillé ne peut entrer au paradis.(Apoc 21 :27)
Les livres que j'ai vus avec les anges à la porte étaient plus puissants que tous les livres sur la terre. Avant d'entrer au paradis avec Jésus, nous sommes restés silencieux à la belle porte pendant un moment. Un grand groupe d'anges s'est approché, et ils se sont tous prosternés et ont adoré le Seigneur Jésus-Christ, comme pour honorer l'arrivée du Roi du royaume. Puis ils nous ont fait entrer dans le paradis. Quand nous sommes entrés par la porte dans le ciel nacré, toutes les activités ont momentanément cessé. Tout est devenu si calme. »
*LE TRÔNE DE DIEU*
Tout d'un coup, le Christ Jésus a disparu. Je ne L'ai plus vu. Cependant, je n'ai pas demandé aux anges où II était. Nous avons marché dans la rue en or (Apoc 21 :21). Je voyais ma propre image sur le sol. Tout est d'une beauté éclatante au paradis. Les anges sont rapides en action, ils sont des êtres surnaturels remplis d'une force surnaturelle. Leurs yeux étaient brillants et lumineux.
Quelle joie ce fut de savoir que le ciel était mien! Quelle belle ville! Tout en marchant sur la rue en or, en un instant, les anges m'ont amené à l'endroit où Jésus était assis. Il était assis sur le trône. Aucune langue ne peut décrire le trône de Dieu. Le plancher est fait de pierres précieuses. Le trône était élevé. Le rayon de lumière qui sortait du trône était plus éclatant que le soleil lorsqu’il brille à midi. Quand je suis arrivé près du trône, je me suis prosterné avec les deux anges et nous avons adoré le Seigneur Jésus-Christ. J’ai essayé de regarder le trône mais je ne pouvais pas voir à cause de son éclat (Hébr 1 :8, Jean 10 :30).
J'ai vu beaucoup de saints âgés, assis sur des trônes. J'ai compris grâce au livre de l'Apocalypse qu'il s'agissait des vingt-quatre vieillards. J’ai également vu les êtres vivants. Ils étaient si affreux que je n'ai plus levé les yeux pour les regarder une seconde fois. Leur travail était de crier jour et nuit : « Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu Tout-Puissant, qui était, qui est, et qui vient. » Après qu'ils eurent dit cela, ils retirèrent leurs couronnes en or de leurs têtes, les jetèrent devant le trône, se prosternèrent et adorèrent Celui qui était assis sur le trône et dirent: «Tu es digne, ô Seigneur, de recevoir la gloire et l'honneur et la puissance: car Tu as créé toutes choses, et c'est par Ta volonté qu'elles existent et qu'elles furent créées.»(Apoc 4 :6 à 11)
J'entendis une voix qui dit : «Digne, digne, digne est l'agneau qui a été immolé.» C'était le travail continuel des êtres vivants et des vingt-quatre vieillards autour du trône.
*LOUANGES ET ADORATIONS DANS LE CIEL*
J'ai entendu des cantiques de louange et d'adoration dans le ciel. Je ne voyais pas ceux qui louaient et adoraient le Dieu Tout-Puissant. J'ai demandé à l'ange de me permettre de les rejoindre dans les louanges et l'adoration mais il a refusé. Cela m'a fait de la peine de me voir refuser ce privilège. La voix qui louait et adorait était forte, et c'était comme la voix d'une personne. Elle était harmonieuse et bien coordonnée. L'inspiration des louanges et l'adoration et la gloire de la musique monta sur le trône. Ces louanges et ces adorations ne peuvent pas être décrites. La musique du ciel ne peut être comparée à aucune musique ici dans le monde. La musique a été grandement inspirée. Le culte m'a donné des larmes de joie. La musique a mis le sourire, la joie l'allégresse, et le bonheur sur tous les visages au Paradis. Les louanges ont été palpitantes, glorieuses et attrayantes. Comme la mélodie et la musique passaient j'ai vu certaines choses comme des objets ronds, très lumineux, venir s'accrocher sur le trône et se balancer au rythme de la musique. J'ai tapoté l'ange qui était avec moi et lui ai demandé ce qu'étaient ces objets. L’ange me dit : « As-tu entendu les chants, la musique et la mélodie qui passent? Ils viennent de là et s'accrochent sur le trône, ce qui signifie que Dieu a accepté les louanges.» Les louanges venaient d'un cœur pur et saint.
*LA VOIX DU SEIGNEUR RÉSONNA DEPUIS LE TRÔNE.*
Puis j'entendis la voix de Celui qui était assis sur le trône parler comme un tonnerre. Il me disait: « *Mon fils, frère Michael, cette ville est préparée uniquement pour ceux qui M'aiment de tout leur cœur* (Math 22 :37) *, Je suis Celui qui était mort. Mais Je suis vivant. Je vais te montrer la gloire de ce royaume.* »
Le Seigneur se leva et vint vers moi. À cet instant je pouvais Le voir, Le toucher et Le sentir. Il a tenu ma main droite et nous avons marché un peu plus loin du trône. Il était en avant et me tenait la main droite. Les deux anges qui étaient avec nous se tenaient de chaque côté; l'un à ma droite et l'autre à ma gauche. Nous sommes tous arrivés à une petite rivière dans le ciel. Jésus-Christ se tint sur le bord de cette rivière et dit: «C'est le fleuve d'eau de vie !» L'eau était propre et claire comme du cristal. L'eau brillait comme le verre. J'ai vu nos images sur la surface de la rivière. Jésus dit encore : « C'est de l'eau pure, Je l'asperge sur les croyants quand ils viennent à Moi tous les jours.» Jésus dit encore «Mon père m'a donné cet endroit. » En vérité, je ne peux pas dire tout ce que j'ai entendu et vu dans ma rencontre avec le Seigneur Jésus-Christ.
*AMOUR ÉTERNEL DE DIEU POUR L'HOMME*
À côté de la rivière de l'eau de la vie, Jésus m'a posé une question : « *Mon fils, frère Michael, sais-tu que J'aime l'homme d'un amour éternel?* » Je n'ai pas répondu à cette question. Il a étendu Sa main droite et j'y ai vu un rouleau. Il a cité Jérémie 31:3 « *De loin l'Éternel se montre à moi : Je t'aime d'un amour éternel; c'est pourquoi Je te conserve Ma bonté.* »
Puis Jésus dit: « *J'aime l'homme d'un amour éternel. J'ai créé l'homme à Mon image, selon Ma ressemblance (Gen 1 :26). Je n'ai créé aucune autre créature selon Ma ressemblance si ce n'est l'homme. J'ai un amour éternel pour l'homme. Quand J'ai créé l'homme, il n'avait pas de vie en lui. J'ai soufflé dans ses narines et l'homme est devenu une âme vivante. (1Cor 15 :45) J'ai aussi revêtu l'homme de toute Ma nature et de Mes attributs (1Jean 4 :17). Je l'ai fait pour l'homme en raison de l'amour éternel que J'ai pour lui. L'homme est le couronnement de toute Ma création (Psaum 139 :14). Je lui ai donné la domination sur toutes les choses que J'ai créées (Gen 1 :26). Mais l'homme s'est rebellé.* »(Gen 3 :1 à 19)
Quand Jésus-Christ a dit : « *Mais l'homme s'est rebellé* », Il a baissé la tête et s'est mis à pleurer. J'ai vu des larmes couler de Ses yeux.
Quand j'ai vu mon Sauveur pleurer, je n'ai pas eu d'autre choix que de me joindre à lui en pleurant.
Début commentaire ─Cher lecteur, vous devez savoir que Dieu pleure lorsqu’Il voit Ses enfants marcher dans le péché. Jérémie 14 :17 nous le montre. Dans Jérémie 14 :17 Dieu disait ceci : « *Dis-leur cette parole: Les larmes coulent de mes yeux nuit et jour, Et elles ne s'arrêtent pas; Car la vierge, fille de mon peuple, a été frappée d'un grand coup, D'une plaie très douloureuse.* »─ Fin du commentaire
Jésus a poursuivi en disant ceci: « *Mais l'homme s'est rebellé et a désobéi à Mes commandements. L'homme a péché contre Moi. C'est comme s'il M'avait frappé sur le visage. J'en ai eu le cœur meurtri. J'ai fait immédiatement la promesse de ramener l'homme à Moi, parce que Mon amour pour l'homme est un amour éternel. L'homme est devenu si méchant sur la terre que les pensées de son cœur n'étaient que le mal en permanence (Gen 6 :5). J'ai dit: Mon Esprit ne s'attachera pas à l'homme continuellement. Je n'étais pas heureux de cette génération. Et J'ai dit que Je détruirais l'homme d'une ruine éternelle. Je n'étais pas heureux; alors J'ai fait disparaître cette génération.(Gen 6 :17) J'ai aussi envoyé Mon serviteur Moïse. Je respecte Mon saint serviteur Moïse. Je l'ai pleinement rempli de Mon Esprit(Psaum 105 :26). Non seulement Je l'ai rempli de Mon Esprit, Je lui ai aussi donné Ma loi pour qu'il la transmette aux hommes, afin de les ramener à Moi; car Mon amour pour l'homme est un amour éternel. Cependant, ils ont murmuré contre Moïse(Exode 15 :24), Mon saint serviteur et se sont rebellés contre Moi, le Saint d'Israël. Pourquoi Je fais toutes ces choses?* »
Jésus m'a demandé, et a répondu lui-même : « *Parce que Mon amour pour l'homme est un amour éternel. Néanmoins, Je ne les détruisis pas, en raison de l'alliance que J'ai conclue avec eux. Je leur ai envoyé des rois, des sacrificateurs et des prophètes pour les ramener à Moi. Je leur ai envoyé Mon saint prophète Jérémie. Je respecte Mon serviteur Jérémie. Je l'ai pleinement rempli de Mon Esprit. En dehors de cela, Je lui ai donné Ma parole afin qu'il la transmette au peuple. Mais très malheureusement, le peuple que J'ai créé, dit à Mon prophète respecté : « Nous ne t'obéirons en rien de ce que tu nous as dit au nom de l'Éternel ─Jér 44 :11 à 19─.* »
Jésus se mit à pleurer. Il pleurait comme un enfant qui avait été battu de verges, Il a hurlé : « *L'homme que j'ai créé, la couronne de Ma création !* » Quand j'ai vu Jésus pleurer, je ne pouvais pas retenir mes larmes; j'ai pleuré avec lui.
*LA MORT SACRIFICIELLE DE JÉSUS-CHRIST*
Jésus a continué : « *Les gens que J'ai créés M'ont lancé des injures. Ils M'ont rejeté, Moi, leur Sauveur, et ont tué Mes saints prophètes (Math 23 :31). Mais à cause de l'amour éternel que J'ai pour l'homme, Je suis finalement arrivé sur la terre. Je suis descendu de manière humble (Esaï 53 :1 à 3). Je suis venu vers les Miens, mais ils ne M'ont point reçu(Jean 1 :11). Les gens que J'aime d'un amour éternel M'ont rejeté. Puis J'ai fait venir les peuples païens. J'ai été examiné par ces hommes mortels. J'ai été persécuté. J'ai été battu de plusieurs coups, ils ont craché sur Moi (Marc 14 :65). J'ai été flagellé et raillé. Une couronne d'épines a été posée sur Ma tête(Math 27 :29). J'ai été crucifié. Mon côté a été transpercé par une lance.* »(Jean 19 :35)
Après qu'il eut déclaré : « *J'ai été crucifié.* », j'ai immédiatement vu la scène de Sa crucifixion sur la terre. Je voyais comment II avait été cloué sur la croix. J'ai vu du sang qui coulait de Ses mains et de Ses pieds. J'ai vu une plaie fraîche sur Son côté, où il a été transpercé, et le sang jaillissait de là. J'ai vu la couronne d'épines sur Sa tête. J'ai vu du sang couler de Sa tête. Je visionnais cette scène avec Lui, II pleurait, il étendit ses mains et dit: « *J'ai fait tout cela pour l'homme, parce que J'ai un amour éternel pour lui. Pourtant, la meilleure façon pour l'homme de Me récompenser est la méchanceté, l'obstination, la rébellion, l'iniquité et la transgression. J'ai répandu Mon amour sur I’homme parce que Mon amour pour lui est éternel. Il n'y a rien qui est censé être fait qui n'a pas été fait pour sauver l'homme du péché. Pourtant, l'homme Me gifle sur le visage en commettant le péché tous les jours.* »
II m'a demandé de regarder Son côté transpercé, j'ai regardé, et II m'a dit : «Cette fontaine de sang continuera de couler jusqu'à au dernier jour.» Les larmes aux yeux, Jésus m'a demandé : « *De quoi l’homme a-t-il encore besoin pour être sauvé du péché?* » Je ne pouvais pas répondre à cette question. Il a continué : « *Mon peuple ne Me croit pas sur parole. Ils confessent les péchés quotidiens, mais ils restent pécheurs. Ils ne croient pas que Mon sang précieux, qui a été versé sur la croix à Ma mort, peut les libérer du péché et de la puissance du péché. J'AI FAIT LE SACRIFICE FINAL POUR LES PÉCHÉS DU MONDE ENTIER. S'il y avait un pécheur pour lequel Je n'étais pas mort, Je serais revenu une deuxième fois afin de mourir pour lui. Mais Je suis mort pour tous et J'ai payé le prix du rachat final de tous(Apoc 5 :9). Pourquoi l'homme est toujours dans le péché? J'ai fait tout cela à cause de Mon amour éternel pour l'homme. Pourtant, l'homme Me récompense par la méchanceté et la rébellion. J'ai exprimé Mon amour pour eux pendant qu'ils étaient encore des pécheurs, Je suis mort pour eux (Rom 5 :8). Mon amour pour l'homme est sans réserve. L'homme ne le mérite pas. J'ai laissé Ma gloire dans le ciel, le trône de Mon Père, Mon honneur et la joie. J'ai tout laissé à cause de Mon amour pour l'homme. Comme-si cela ne suffisait pas, quand je quitté le monde, j'ai fait descendre le Saint-Esprit pour convaincre le monde du péché, de la justice et du jugement. (Jean 16 :8 ) J'ai formé des apôtres et Je les ai oints pour prêcher en leur temps, ce qu'ils ont fidèlement fait. Ils M'ont été fidèles. Après les apôtres, J'ai oint les saints de différentes générations pour prêcher aux peuples de leurs temps. J'ai également formé des hommes et Je les ai pleinement remplis de Mon Esprit. Je les ai oints pour prêcher Christ crucifié, le Seul qui puisse sauver l'homme du péché (1Cor 1 :23, 1Cor 2 :2). J'ai fait ces choses pour ramener l’homme à Moi, même si beaucoup de ces serviteurs M'ont déçu.* »
Quand Il dit cela, Il baissa la tête, pleura et poursuivit: « *J'ai fait tout cela pour l'homme en raison de l'amour que J'ai pour lui. Pourtant, l'homme Me remercie par la rébellion, la méchanceté et l'entêtement. En raison de cet amour que J'ai pour l'homme, aujourd'hui Je donne à des hommes mortels comme toi le privilège de venir au paradis de leur vivant(1Samuel 2 :6, 2Cor 12 :1 à 3).* » Jésus m'a tapoté et a dit: « *Non seulement toi, mon fils. J'enlève les hommes de partout dans le monde, de leur vivant, pour venir expérimenter la profondeur et la grandeur de Mon amour pour l'homme ; et aussi pour aller et avertir les autres du danger imminent du feu de l’enfer (2Thes 1 :8). Cependant, l'homme Me déteste de plus en plus.* »
*RUINE ÉTERNELLE DÉCRÉTÉE CONTRE L'HOMME REBELLE.*
Jésus me dit: « *Regarde le monde d'aujourd'hui, combien de gens Me servent-ils dans la droiture, la sainteté et la vérité?* » Je ne Lui répondis pas, parce que je n'en avais aucune idée. Puis Jésus dit: « *Par conséquent, Je détruirai l'homme avec une ruine éternelle.* » Jésus pleurait comme un bébé. Il dit : « *Je vais détruire l'homme avec une ruine éternelle. Puisque J'ai montré Mon amour éternel à l'homme et que l'homme l'a rejeté, Je vais le détruire avec une ruine éternelle, pour avoir rejeté Mon amour éternel.* » (Hébr 12 :28 à 29)
*JÉSUS PARLE DE LA SITUATION ACTUELLE DE L'ÉGLISE*
À côté de cette rivière au paradis, Jésus m'a posé cette question: « *Mon fils, connais-tu la situation de l'Église, l'Epouse de l'Agneau?* » J'ai répondu: «Non, mon Seigneur.» Il dit : « *Viens et Je te montrerai.* »
En un clin d'œil, nous arrivâmes à un endroit près d'un château dans le ciel. Il dirigea soudainement Sa main vers un endroit particulier sur la terre et II ôta immédiatement Son regard de là. Ce que j'ai vu sur la terre était une très grande salle remplie de gens qui louaient et adoraient le Seigneur. Quand j'ai vu cela, je me suis écrié: « Mon Seigneur, l'église est en feu, elle T'adore en esprit et en vérité et attend Ton retour imminent! » Jésus s'écria aussitôt, les yeux embués de larmes: « *Non, mon fils, regarde très bien!* » Ensuite, je les regardais avec diligence. Jésus ne voulait pas les regarder avec moi à cause de la situation de cette congrégation.
Quand j'ai regardé fixement, j'ai constaté que les gens qui louaient et adoraient étaient dans les chaînes. Leurs mains étaient enchaînées. Leurs pieds étaient aussi enchaînés. J'ai aussi constaté que les chaînes autour de leurs mains étaient reliées à un joug de fer autour du cou. Sur la tête de certains d'entre eux, j'ai vu de lourds fardeaux de péchés. Leurs cous étaient inclinés sur le côté. Ils avaient l'air si fatigués, on dirait des personnes qui avaient besoin d'aide. Certains .d'entre eux avaient le visage sombre. Sur certains visages, j'ai vu différents types de péchés écrits: la méchanceté, l'orgueil, la désobéissance, etc. J'ai aussi vu une image sombre ─le diable ─marchant dans la congrégation, qui disait: « Ce sont mes gens que je garde ici en esclavage ; lis sont occupés ici, pensant être au service de Dieu, alors qu'ils ne le sont pas. Ils ne peuvent même pas quitter cet endroit.» Il disait cela sans honte. La louange et l'adoration de cette congrégation étaient différentes de celles que j'ai vues autour du trône. Elles étaient désagréables, venant de personnes qui étaient dans les chaînes du péché et de Satan. Ils n'adoraient pas avec un cœur pur et saint. Le personnage sombre bougeait de haut en bas au milieu d'eux, frappant sa main sur sa poitrine en fanfaronnant.
Jésus dit: « *Voilà l'état de l'Eglise que Je suis censé présenter pure et sainte devant mon Père. Ma propre Eglise est devenue un lieu de servitude. Beaucoup d'atrocités et de méchanceté se font dans l'église. Des prédicateurs commettent le péché et offrent du feu étranger devant Ma montagne sainte, comme les fils d'Aaron qui ont offert un feu étranger devant Moi. Il est grand temps que le jugement commence dans la maison du Seigneur. Si j'ai détruit les fils d'Aaron parce qu'ils ont offert un feu étranger devant Ma montagne sainte (Lév 10 :1 à 2), certes, Je vais les détruire aussi, mais Je suis le Dieu de miséricorde; Va les avertir et dis-leur que la vérité, la droiture et la sainteté sont les seuls critères qu'une personne doit remplir pour entrer au paradis. Va prévenir ces prédicateurs. Ils doivent se repentir et se détourner de la méchanceté, parce que J'ai longtemps gardé le silence, et maintenant Je pleure. Beaucoup d'entre eux ont nié la puissance de la piété; mais c'est uniquement de cette façon qu'ils peuvent entrer dans Mon royaume glorieux (Hébr 12 :14). Va prévenir les hommes. Je t'envoie jusqu'aux extrémités de la terre. Je me tiendrai à tes côtés. Va-leur dire que Je les aime toujours. Annonce-leur que la voie de la justice(Math 6 :33), de la vérité(Jean 8 :32) et de la sainteté(Hébr 12 :14, 1Thes 4 :7) est celle qui mène au paradis.* »
*LE PLAN DE DIEU POUR CETTE GÉNÉRATION*
De ce côté du paradis, Jésus dit: « *Mon fils, J'ai un plan pour le monde. Quand Je commencerai à mettre en œuvre Mon plan pour cette génération, tous les projets formés par les nations, les églises, et les projets de l'homme et tout autre programmé dans le monde cesseront. Viens et vois.* »
En un instant, nous nous sommes retrouvés dans un château qui ressemblait à un bureau. Dans le château, j'ai vu des anges vêtus de robes blanches. J'ai aussi vu des saints. Ils se ressemblaient tous. Ils étaient vêtus de blanc et avaient des corps glorieux. Ils étaient occupés à écrire dans des documents. Jésus m'a montré un tableau et m'a dit: « *La seule chose qui reste dans le plan de Dieu pour cette génération, comme tu peux voir dans ce tableau est le retour imminent de Jésus pour enlever ses saints. Les saints du ciel sont prêts. Les anges sont prêts. Tout dans le ciel est prêt pour le retour à la maison des saints sur la terre à l'enlèvement. J'ai achevé les demeures mais très malheureusement, l'homme n'est pas encore prêt. L'église n'est pas encore prête pour le paradis. J'attends seulement que le Père me donne l'ordre d'aller chercher les saints pour les ramener à la maison.* »
Jésus m'a demandé de regarder autour de moi. Et véritablement, j'ai constaté que les anges et les saints du ciel étaient occupés à préparer le retour de l'Eglise, l'épouse du Christ. J'ai entendu un cri parmi les saints du paradis : «Quand nos frères viendront-ils nous rencontrer?» Puis Jésus dit: « *Écoute, les saints sont réellement empressés pour leurs frères sur la terre.* »
Jésus a continué ainsi: « *Mon Esprit ne cherchera pas sans cesse à s'attacher à l’esprit de l'homme. Je ne peux pas continuer de supporter la méchanceté qui est sur la ferre. Mon père Me dit d'y aller. J'irai, peu importe le nombre des saints. J'irai pour les ramener à la maison et Je mettrai fin à Mon plan pour cette génération. Les demeures sont prêtes, mais il est regrettable que I’épouse de l'Agneau, la bien-aimée du Seigneur, n'est pas encore prête, pas encore préparée et sanctifiée pour la venue de l'Epoux.* »
Jésus dit avec insistance : « *Cette génération de l'église, le siècle des païens, cette génération est la dernière.* »
Dans ce château qui ressemblait à un bureau, Jésus a attiré mon attention sur les activités des anges et des saints, comme ils étaient occupés à mettre les choses en ordre en prévision de l'arrivée des saints de la terre. Ils étaient très occupés à préparer l'arrivée des saints. Jésus m'a montré un rouleau de manuscrit et m'a dit: « *Cette génération ne passera pas que tout ce qui est écrit dans ce rouleau soit accompli.* »(Math 5 :18)
*LE CHEMIN ÉTROIT VERS LE PARADIS* (Math 7 :13 à 14)
Jésus me dit : « *Mon fils, viens !* » Nous sommes soudainement arrivés devant une porte. Lorsqu'il étendit Sa main droite, je vis le chemin étroit menant au paradis et Il me dit : « *Cette porte ne peut recevoir que celui qui est en Christ et en qui est Christ (2Cor 5 :17). Si tu transportes autre chose, cette porte ne pourra pas t'accueillir. C'est le chemin de la vérité, de te justice et de la sainteté. Beaucoup prennent l'autre chemin, c'est le chemin que prend une multitude de gens(Luc 13 :23 à 25). Mais celle-ci est la seule qui mène au paradis. C'est la porte étroite et il y a peu de personnes qui la trouvent.* » (Math 7 :13 à 14)
Nous sommes restés à cette porte pendant un long moment avant que j'aperçoive un saint emprunter ce chemin pour entrer au paradis. Nous avons encore attendu beaucoup de temps avant de voir un autre saint venir le long de cette route vers le ciel. Lorsque ce saint est entré au paradis, j'ai entendu un cri d'acclamation et de joie; une âme était entrée au paradis! Il y avait habituellement des cris de joie quand une âme entrait au paradis. Parlant de ce chemin étroit, Jésus a ajouté en disant ceci: « *Ce chemin étroit est le chemin de la vérité, de la justice et de la sainteté.» Jésus me dit: « Si quelqu'un veut entrer au paradis, Je suis le seul Chemin, la Vérité et la Vie.(Jean 14 :6) Vas dire à l'homme que Je l'aime toujours.* »
*UNE MULTITUDE SUR LE CHEMIN LARGE VERS L'ENFER* (Math 7 :13 à 14)
Nous étions toujours à cette porte, lorsque Jésus a étendu Sa main gauche et j'ai vu la large porte. J'ai vu une multitude de gens: des petits enfants, des jeunes, des hommes et des femmes de toutes races: noirs, blancs,…. J'ai eu une compréhension parfaite de cet endroit. J'ai vu les riches et les pauvres, les nobles et les rois de la terre. Je peux comparer la densité de personnes marchant le long de ce chemin à la multitude de personnes que j'ai vues au marché Oshodi à Lagos au Nigeria. Ils s'appuyaient les uns sur les autres, se dépassaient les uns les autres, J'ai constaté que leurs mouvements n'étaient pas libres. Il y avait une grande force qui les attirait dans la direction où ils allaient. Puis j'ai demandé au Seigneur Jésus: «Où vont ces gens?» Il répondit: « *Ils sont sur leur chemin vers l'enfer. Ce sont des gens que j'ai créés pour Ma propre gloire, mais maintenant ils sont sur le chemin de la ruine éternelle.* »
Quand j'ai entendu cela je suis tombé et je me suis mis à pleurer. Je L'ai supplié: « *Ne les détruis pas, Seigneur! Ne les détruis pas, Seigneur!* » II a répondu en larmes : « *Mais, ils Me détestent. Comment puis-Je permettre à quelqu'un qui ne M'aime pas d'entrer dans Mon royaume? Ce peuple que J'ai formé pour montrer Mes louanges, mais ils sont maintenant entrés dans la damnation éternelle.* »
Jésus pleurait comme un bébé.
Un prédicateur était mort sur la terre et son âme se dirigeait vers la porte du paradis. Il est mort le samedi 26 avril 2003 entre 13h et 16h. Je me tenais à la porte du paradis avec Jésus lorsqu'il se dirigeait vers nous. De loin, j'ai vu qu'il était vêtu de blanc. C'est le vêtement de la vérité, de la justice et de la sainteté que Christ donne à chaque croyant. De l'endroit où je me tenais, je ne pouvais pas voir distinctement. Il se dirigeait vers la porte du ciel avec excitation. Il voulait franchir la porte, mais les anges ont crié et lui ont ordonné de s’arrêter. Ils lui ont demandé: « Où vas-tu?», « Je veux entrer au paradis » a-t-il répondu. Jésus a fixé Son regard sur lui et lui a dit : «*Quand Je t'ai sauvé de tes pèches, Je t'ai donné un vêtement de justice et de sainteté. Je t’ai mis en garde contre ce vêtement souillé. Ton vêtement est maintenant Sali par le monde (Jacqu 1 :27). Ce n’est pas le vêtement que Je t’ai donné quand Je t’ai sauvé.* »
Ce que j’ai vu sur son vêtement était une tâche sur sa poitrine. Jésus le regarda et dit : « *Le Père est saint. Je suis saint. L’Esprit est saint ; les anges sont saints. Les saints du paradis sont sacrés. Tous les êtres vivants au paradis sont saints. Le paradis a été par-dessus tout réservé à la sainteté. Rien de ce qui est souillé, qui vit dans l'abomination, qui agit dans le mensonge ou qui aime le mensonge ne doit en aucune façon y entrer. Par conséquent, homme, tu ne peux pas entrer au paradis.* »
Le vêtement de cet homme était sali par le monde. Il ne pouvait pas entrer au ciel. Cet homme avait prêché la sanctification mais n'était pas en mesure d'entrer au paradis parce qu'il y avait une tache sur son vêtement.(Rom 2 :13) Cet homme essayait de plaider avec Jésus-Christ, mais Jésus le regardait tristement. Pendant qu'il essayait de plaider pour son âme, un vent fort a soufflé sur lui et l'a dirigé en enfer. Je le voyais se déplacer dans le vent comme une feuille de papier(Psaum 1 :4). Quand il est tombé en enfer, c'était comme si une grosse pierre avait été jetée dans une étendue d'eau. J'ai vu les flammes de l'enfer jaillir quand il y est tombé. Ce fut la fin de cet homme; ce prédicateur qui avait prêché pendant des années sur la terre.(Math 7 :21 23, 1Cor 9 :27)
*CRITÈRE IMMUABLE POUR LE CIEL*
Puis Jésus dit : « *Mon standard de vérité, de justice et de sainteté n’a pas changé et reste le même pour toutes les races, pour tous les peuples, et pour toutes les générations. La sainteté que Je donne à un croyant est la sainteté qui emmène son esprit à s'affectionner aux choses d'en-haut et non à celles qui sont sur la terre. C'est la sainteté qui lui donne le privilège de me servir de façon acceptable et de vivre au-dessus de l’influence du monde.* »
*UN AUTRE ÉTAIT MORT SUR LA TERRE ET SE DIRIGEAIT VERS LA PORTE DU CIEL.*
Après que le prédicateur fut allé en enfer, alors que nous étions toujours là, un autre croyant était mort et se dirigeait vers la porte. A une certaine distance, je pouvais voir des taches sur tout son vêtement blanc. Quand il est arrivé, Jésus l'a regardé et a dit: « *Quand je t'ai sauvé de tes péchés, je t'ai donné une robe de justice et de sainteté. Mais maintenant, ton vêtement est sali par le christianisme moderne. Tu as réalisé des expériences de contrefaçon et tu as vécu avec ; et cela ne t'a pas aidé. Tu as jeté le vêtement que je t'avais donné. Ceci n'est pas le vêtement que je t'avais donné.* »(Apoc 3 :4)
Ce croyant se tenait devant le Seigneur dans une profonde tristesse et pleurait. Jésus lui dit: « *La sainteté que je donne à un croyant est la sainteté qui purifie son cœur et lui permet de servir Dieu dans la justice et la sainteté tous Ies jours de sa vie.(2Pierre 1 :3) C'est pourquoi rien de ce qui est souillé, ce qui est abominable, ou qui aime le mensonge ne peut entrer au paradis. Le Père est saint. Moi, le Fils, je suis saint. L'Esprit est saint. Les anges, les saints et toutes les créatures vivant au paradis sont sacrés. Le paradis a été par¬dessus tout consacré à une vis sainte. Le paradis est trop sacré pour t'accueillir. Tu ne peux pas entrer* ».(Apoc 21 :27)
Encore une fois, un vent impétueux est venu souffler sur lui et l'a projeté dans la géhenne. Il a atterri en enfer et ce fut sa fin. JESUS M'A DIT QU'IL EST DETERMINÉ A NE PAS COMPROMETTRE LA CONDITION D'ENTRER AU PARADIS; LAQUELLE EST LA JUSTICE, LA VERITE ET LA SAINTETE.
*MA PREMIÈRE VISITE EN ENFER AVEC JÉSUS.*
Jésus m'a dit ensuite que nous devrions aller en enfer. En un clin d'œil, nous sommes arrivés en enfer avec deux anges qui nous accompagnaient Je ne peux pas décrire de façon très nette l'enfer et les souffrances de ses occupants. Les mots à utiliser pour décrire la nature de l'enfer et le degré des tourments et des souffrances de ses victimes ne sont pas disponibles pour l'homme sur la terre. De plus, mon vocabulaire est si limité que l'effort que je dois fournir pour décrire l'enfer est semblable à l'effort que je fournirai pour compter la quantité des grains de sable dans la mer. J'ai le même problème lorsqu'il s'agit de décrire la beauté du paradis(2Cor 12 :1à à 4). L’horreur de l’enfer est immense. Ce que j’ai vu en enfer m'a fait peur. J'ai perdu mes forces et je suis tombé. J'ai eu une plus grande crainte de Dieu(Hébr 12 :28 à 29). J'ai entendu les cris de douleur des condamnés J'ai entendu certains, plaidant dans leurs tourments, «Aie pitié de nous Seigneur ! Aie pitié de nous, Seigneur ! Aie pitié de nous, Seigneur !» Ce fut leur prière continuelle. La vie en enfer est d'une grande pitié et d'une grande horreur. J'ai vu des gens pleurer et grincer des dents.(Luc 16 :19 à 31)
Les personnes paraissaient plus âgées en raison des grands tourments et des souffrances dans lesquels elles étaient. Je voyais des gens qui se baignaient dans le feu de l'enfer. Lorsque l'enfer rugissait et tremblait, il engloutissait ceux qui se trouvaient à la surface, et projetait vers la surface ceux qui étaient au fond de l'abîme. Il y a des tourments et des souffrances en enfer. J'ai vu des gens dans les flammes de feu. J'ai vu des enfants, des hommes, des femmes, des personnes instruites, éduquées, des riches, des pauvres, etc. Ils pleuraient et se repentaient. J'ai entendu les cris de ceux qui étaient dans les profondeurs de l'abîme. J'ai entendu les cris des enfants, des jeunes et des vieillards. J'ai vu la façon dont ceux qui sont dans les tourments respirent. Ils respiraient avec force comme ceux qui sont sur le point de mourir. Certains d'entre eux, en raison de leurs grands cris, avaient leurs langues sorties de leurs bouches comme des chiens. Chez d'autres, leurs globes oculaires étaient presque sortis de leurs orbites et pendaient.
Ceux qui étaient dans les tourments respiraient comme si c'était leur dernier souffle. Mais cela reste à jamais leur état. Puisqu'il n'y a pas d'air en enfer, ce qu'ils respirent est la flamme.
Le souvenir des privilèges passés, du fait qu'ils auraient dû accepter le Sauveur Jésus-Christ qu'ils ont ignoré ou rejeté sur terre, s'ajoute à leurs tourments et à leurs douleurs. Je les ai vus dans une grande agonie, grinçant des dents. Ils étaient si nombreux qu'ils étaient serrés les uns contre les autres. Chaque fois que l'enfer tremble et rugit, la position de ses occupants change. La vie en enfer est une agonie. Les occupants sont sans délai. L'enfer est dans l'obscurité totale.
*TOURMENTÉS PAR LES ANGES DÉCHUS EN ENFER*
J'ai vu les anges déchus avec des fouets, qui frappaient et tourmentaient les victimes de l'enfer, lis avaient le regard cruel. On pouvait lire la méchanceté sur leurs visages. En dehors de leurs paroles et de leurs œuvres de tourments, j'ai aussi vu des grands vers qui traversent les corps des victimes. Les flammes brûlantes ne faisaient aucun mal à ces vers. Pendant tout ce temps, Jésus pleurait. Il dit « J'ai créé ces personnes pour Ma gloire mais elles croupissent maintenant dans les tourments éternels de l’enfer.»
*UNE FEMME EST MORTE SUR TERRE ET A ATTERRI EN ENFER*
Pendant que nous y étions, une femme est morte sur la terre et a atterri en enfer. L'un des anges déchus a pris un grand poignard l’a soulevé et l’a enfoncé dans le dos de cette femme. Elle a poussé un grand cri de douleur et s'est mise à confesser ses péchés : «J'étais une calomniatrice, une menteuse, une rapporteuse, etc. « Le démon a hurlé : «Tais-toi! Quand tu étais sur terre, tu as eu le privilège d'accepter cet Homme vertueux ─c'est-à-dire, Jésus-Christ─ dans ta vie (pointant le doigt dans la direction du Seigneur), mais tu L'as rejeté. Si j'avais eu ce même privilège, j'aurais changé mon propre destin. Mais mon destin est scellé et je suis condamné pour l'éternité. C'est pourquoi je suis ici. »
J'ai posé à Jésus-Christ une question: «Puisque Tu aimes l'homme d'un amour éternel, pourquoi alors as-tu créé l'enfer comme cela?» Il répondit: « *L'enfer a été créé uniquement pour le diable et ses anges.(Math 25 :41) Mais l'homme s'est mis dans la condition du diable,* ─la rébellion ‘‘Éphésiens 5 :6’’─ *de sorte qu'il doit souffrir la même condamnation.* »
En enfer, les gens prient avec beaucoup de ferveur. Les croyants sur la terre ne sont pas en mesure de prier avec une telle ferveur. Jésus a dit: « *J'ai vécu des expériences amères sur la terre à cause de l'amour que j'ai pour l'homme ;* ─la croix et l’ignominie ‘‘Hébr 12 :2’’─ *malgré tout l'amour que J'ai montré à l'homme, il M'a rejeté; C'est pourquoi il se retrouve ainsi en enfer.* »(Hébr 10 :28 à 31) Ce que j'ai vu avec mes deux yeux en enfer m'a brisé le cœur et j'ai pleuré. Je ne peux pas décrire l'enfer en tant qu'homme mortel. Si quelqu'un y arrive il le dira mieux. Après cela, Jésus m'a ramené au paradis.
*JÉSUS M'A CONFIÉ UNE MISSION*
Au paradis, il m'a dit: « *Je t'envoie afin que tu retournes sur la terre pour leur proclamer mon amour éternel. Dis à l'homme que je l’aime d’un amour éternel(Jérem 31 :3). Dis-lui, de se repentir et de se tourner vers Moi. Prêche Christ crucifié(1Cor 1 :23). Prêche la vérité(1Tim 3 :15), la justice(Math 6 :33) et la sainteté(Hébr 12 :14); parce que c'est la seule voie qui peut amener l'homme au paradis. Prêche la sainteté comme si personne ne l'avait jamais prêchée dans le monde. *»
Je ne voulais pas retourner sur la terre, mais Il m'a conduit à la porte et a dit « *Mon fils, Je vais te montrer pourquoi tu dois retourner sur la terre.* » Il a touché mon oreille droite et j'ai entendu le pasteur de ma région, le coordonnateur du groupe des jeunes et d'autres dirigeants qui priaient et plaidaient pour mon retour à la vie. Il m'a laissé avec les deux anges à la belle porte et a dit: « *Mon fils, Je te reverrai.* » Il me fit un signe et dit « *Au revoir !* ».
Les deux anges m'ont ramené et m'ont montré le chemin vers la terre. Quand ils repartaient, j'ai essayé de les maintenir en tenant leurs vêtements, parce que je ne voulais pas retourner sur la terre. J'avais vu le Roi dans la beauté de Sa sainteté et j'avais également vu la séduction et la vanité de ce monde actuel. Mes frères, ce monde est un endroit de vanité(1Jean 2 :17).
Quand je suis revenu, mes deux yeux étaient ouverts mais je ne voyais rien, je ne voyais même pas les gens qui étaient autour de moi. Cette première expérience divine a duré quatre heures, soit de 13h00 à 17h00. .
```FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE DE CE TÉMOIGNAGE```
IL Y'A BEAUCOUP D'ÂMES QUI ONT BESOIN DE CE TÉMOIGNAGE POUR SE REPENTIR,JE T'EN PRIE PARTAGE MASSIVEMENT CE TÉMOIGNAGE POUR LA GLOIRE DE DIEU.
SI QUELQU’UN CROIT ÊTRE PROPHÈTE OU INSPIRÉ, QU’IL RECONNAISSE QUE CE QUE NOUS VOUS ÉCRIVONS EST UN COMMANDEMENT DU SEIGNEUR. ET SI QUELQU’UN L’IGNORE, QU’IL L’IGNORE.
JÉSUS-CHRIST REVIENT TRÈS BIENTÔT ! REPENTEZ-VOUS ET SOYEZ RÉCONCILIÉ AVEC DIEU !!!
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saut3relle · 5 months
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Mardi 09.01.24, 11h21
Plus d'une semaine que je ne suis pas revenue écrire ici. Ceci s'explique par l'immense bouleversement que j'ai opéré dans ma vie. Il s'est passé beaucoup de choses ces derniers jours, il m'a fallu du temps pour remettre de l'ordre dans tout ça, et tout gérer.
Mardi 2 janvier au soir, à peine mes parents partis, j'étais en train d'écrire à Mickaël. Puis je lui ai écrit que j'étais en train de regarder pour des meublés. Sa réaction a été un catalyseur pour moi. Il a semblé très heureux, et depuis ce moment il a radicalement changé d'attitude à mon égard. Une sorte de renversement de situation complètement inattendue, à un moment donné où je me noyais à nouveau dans le désespoir de cette relation qui n'avançait plus. Puis il m'a fait un vocal, me disant qu'on pourrait se voir, que je pourrais revenir à Paris quand ça n'ira pas, ou qu'il pourra descendre su Strasbourg aussi car il allait avoir beaucoup plus de temps désormais. Il m'a refait un autre vocal où il m'a apporté tout son soutien, sa compréhension de ma situation, tel un vrai confident. Il ne m'en a pas fallu plus. Le soir même, bien qu'effondrée par la situation, j'osais enfin sortir de ma coquille et livrer tout mon mal-être accumulé depuis trop de mois à mon conjoint. Je lui ai annoncé que je voulais me séparer. Contre toute attente, alors que je me conditionnais depuis des mois à une réaction de rejet complet, à de la colère, de la violence, à devoir me barrer avec une valise du jour au lendemain pour sauver ma peau, il a fait preuve d'une attitude totalement contraire. Il s'est senti libéré que je lui parle, soulagé, et en même temps complètement anéanti et mort de chagrin. Mais il m'a dit qu'il acceptait, parce qu'il ne pouvait rien faire s'il n'y avait plus d'amour de ma part. Les jours qui ont suivi, nous avons parlé pendant des heures et des heures. De tout. Il pleure beaucoup, il se ressaisit, il repleure. Et moi je pleure aussi, et je tiens le coup parce que Micka derrière me soutient, et mes parents aussi.
C'est une séparation qui va se faire en douceur, sur plusieurs semaines. Beaucoup de modalités à régler, nous n'étions pas seulement lié que par un PACS. La cohabitation se passe mieux, il semble avoir intégré l'information, s'être résigné. Il veut que je m'en sorte bien, moi aussi je veux qu'il s'en sorte bien, qu'il puisse garder la maison. On demeure malgré tout bienveillants envers nous. Une séparation dans la paix, je n'aurais pu espérer mieux.
Bien entendu je reste sur mes gardes. Il est humain. A tout moment ses sentiments peuvent basculer. Je dois demeurer vigilante, faire attention, ne pas trop changer mon comportement, rester égale à moi-même. Un seul faux pas pourrait me mettre dans une galère terrible aussi. Et je ne veux souffrir ni faire souffrir, du moins le moins possible.
Quant à Micka, je plane sur un nuage. J'ai retrouvé le sourire, une forme d'harmonie. Nous allons probablement nous revoir en février. Les choses se mettent doucement en place. Je tire leçon de mes erreurs passées.
2024 : j'avais dit que je me bougerais. Je ne savais pas quand, ni comment. Je ne pensais pas aussi vite. J'en pouvais plus de mentir, de me mentir à moi-même. Le fait d'avoir crevé l'abcès a été salvateur pour moi. Je sais que ce n'est que le début, que je n'ai pas fini de souffrir encore. Que je le jour où je partirai physiquement, et que j'aurai perdu mon travail, je passerai encore par une phase très dure. Je sais tout ça. Je m'y attends. Je me conditionne. Et à la fois, je vis le moment présent.
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the-best-of-tatu · 10 months
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Chapitre 5 : La passion d’un baiser
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                               Dimanche matin... Yulia était reveillé deja depuis 4heures, ne cessant de penser à demain, n'arrétant pas de penser aux paroles du père de Lena... Ne pouvant s'empecher de pensée à celle qu'elle aime plus que tout au monde... Les larmes n'ont pu être retenus, les yeux ouvert dans le noir regardant dans le vide totale, Yulia était perdue...
Peut être que demain elle aller perdre la personne qui lui est le plus chère au monde, peut être que demain le pire cauchemar de Yulia aller se produire... Yulia en était presque sur, elles allaient être séparés, plus aucun contact, plus aucun regard, plus rien...
Yulia alors commencer à s'en vouloir de ne pas lui avoir reveler ses sentiments plus tôt, demain elles allés être déchirés l'une de l'autre, jamais Yulia ne pourras alors lui dire qu'elle l'aime jamais... Si elle aurait été moins naive, moins confiante, elle aurait peut être su lui dire... Mais tout ces peut être n'était pas sur !Ce n'était q'une hypothèses sur deux...
Une larme alors coula sur la joue de la brune, chuchotant avec une voix sanglotante :
"...Lena...Lena...Je t'aime...Lena...Pardonne-moi..."
Elle voulait tellement être avec elle, pour toujours mais avec cette peur de lui dire je t'aime et de la perdre voila qu'elle la perd encore plus gravement... Mais yulia eu alors une idée, aujourd'hui elle allait lui rendre visite, elle l'emmenerait se promener et l'embrasserais en lui chuchota doucement à l'oreille un "je t'aime" sincère... C'était une bonne idée, mais encore fallait-t-il convaincre les parents de Lena de la laissait sortir, pour ne pas s'inquièter et se rassura en se disant qu'elle improviserait sur place.. Après avoir pris un déjeuné assez léger et remonta dans sa chambre s'entrainer devant son miroir, Yulia devait être prête...
...Lena avait passer la moitié de sa nuit à pleurée, ne pensant sans cesse à sa Yulia qui devait se posait bon nombre de questions, Lean détester ses parents de toute son âme, même si au fond d'elle, elle avait pour l'instant juste un peu d'affection
pour eux... Ils ne comprenaient vraiment pas que Yulia était indispensable à sa vie, que des liens incassables s'étaient crées, q'un amour c'était crée pour Lena, la rousse avait grandi depuis que Yulia était avec elle, elle s'était assumer et si elle devait être homo cela ne l'as dérangerais pas, Yulia l'assumais parfaitement et cela donner du courage à Lena pour s'accepter elle-même.
Ses parents l'avait punis de sortis pour un bon moment au moins, mais cela n'allez pas arrêté Lena pour si peu...
La jolie rouquine avait mis au point une stratégie pour pouvoir comme même parler à sa chérie, Natalia allez enregistrés les messages de Lena et allés lui les dire en face à Yulia, Yulia pourra donc répondre et ainsi de suite, Natalia n'y verrais aucun inconvénients et Lena en était sure...
Le jour se lève sur Moscou, nos deux russes essaye de ne pas s'en fair pour le lendemain... Lena avait certes arrêter de pleuré mais ne pouvais s'empecher de déprimer, Lena n'était pas decendu manger, ses parents été venu plusieurs fois pour savoir se qui n'allait pas mais elle avait fermer la porte à clé, Lena était bien décider à rester dans sa chambre toute la journée...
Mais Yulia allait changer les choses...
Les heures étaient longues, Yulia ne cessant de discutait avec son miroir et a chaque fois collait ses lèvres contre celui simulant un bisou romantique... En éspérant ne pas se fair surprendre pas l'un de ses parents... Puis elle desendu manger avec une mine plus heureuse que celle qu'elle avait dans son lit, son père heureux la voir ainsi l'aceuillit à la table le sourire au lèvre :
"Alors ma chérie, tu vas mieux ?"
"Oui, j'ai pris une decision, enfin, je vais avouer mes sentiments à Lena !"
Sa mère qui était juste en train de boir un verre de vodka le recracha aussitot et Yulia se pris tout à la figure...
"Yulia tu es sûre de ton choix ???"
"Sur et certaine maman."
"Bien qu'il en soit ainsi mon enfant !" rigola-t-elle.
Yulia alors s'essuya le visage tout en rigolant des blagues que faisait son père, ses parents essayait de détendre un peu l'atmosphère pour que Yulia ne stresse pas trop pour ce qui allait se passer, avouer ses sentiments à une fille qui n'est peut être même pas attirée par les filles était assez difficile.
"Tu as une idée de comment tu vas lui avouer ?" demanda son père tout en mangant tranquillement.
"A vrai dire...non ! Je n'est jamais avouer des sentiments amoureux à quelq'un et surtout quand il s'agit d'une fille... Je me sens un peu perdu à cause de ça, je n'est jamais été vraiment amoureus d'une fille à un tel point de vouloir lui avouer et vouloir passé toute ma vie à ses cotés..."
"Mmmh je vois, tu es homosexuelle mais tu n'as jamais encore vécu d'expérience avec des filles..."
"Comment veut-tu..."
"Ecoute Yulia, ta mère et moi connaisson une femme qui était dans la même situation que toi.. Si tu veux on peu aller la voir, ne t'inquiète pas tu pourras dire ton je t'aime à Lena, cette visite ne te rtardera pas au contraire elle va beaucoup t'aider !... Alors partante ?!"
"Si cela peut vraiment m'aider... Oui !"
Yulia ne savait pas vraiment se qui lui attendait, si cette femme était vraiment passée par la même étape qu'elle, alors cela l'aiderais énormément... Mais si cette femme avait avouer ses sentiments et après c'était fais quitter, si cette femme était seule ?Elle pourrais bien profiter de l'occasion pour draguer Yulia... La jeune brune ignorer encore à quoi elle ressemblait qu'elle caractère elle avait, et se qu'elle ignorais aussi c'est que cette est très mais alors très attirée par les filles même les plus jeunes qu'elles...
Yulia était remonter dans sa chambre et avais écris sur une feuille comment elle allait avouer ses sentiments à Lena, nombreux furent chiffonés et jeter à la poubelle... Tous les moyens étiaent bons mais pas assez pour Yulia... Elle cherchait encore et encore quand son père entra dans la chambre annoncant qu'il était l'heure d'aller chez cette femme, Yulia alors descendit les escaliers à toute vitesse et rentra dans la voiture avant que son père ne puisse dire un mot. Il rentra à son tour dans la voiture et démarra. La petite brune était en train de stresser, elle ne connaisais pas cette personne mais elle était sûre qu'elle allait beaucoup l'aidait... Pour la rassurer, son père décida de parler un peu de cette femme si mystérieuse encore pour Yulia...
"Alors ma chérie, je pense que ça ne te dérangerais pas que je te raconter un peua vie de Klara ?"
"Klara ?C'est la femme que l'ont va voir ?"
"Oui c'est elle. Bon, nous l'avons connu ta mère et moi quand elle n'était encore q'une ados de ton age, maintenant elle a grandis, elle a 23 ans, quand on l'as connu ta mère et moi avions la moitié de la vingtaine, ah, soupira-t-il , tu ne devineras jamais comment nous l'avions connu !C'était une fille charmante pleine d'humour et très proche des femmes même ses amies !"
"Je vois venir le choses papa..."
"Et bien, nous étions à une fête de collège car ta mère avait été surveillante un temps et moi aussi, puis c'est..."
"...Comme ça que vous vous êtes connus... Je connais l'histoire papa, maintenant j'aimerais connaitre celle de Klara."
"Bien sur bien sur. Heum... Alors et bien nous étions à cette fête et tout et puis a un moment Klara c'est approchée de ta mère et moi j'était un peu plus loin discutant avec quelque amis..."
"Ah bon t'en as des amis toi ?" embéta Yulia.
"Cesse de m'interrompre tout le temps tu va la savoir cette histoire oui ou non ?"
Yulia hocha la tête en souriant comme si il ne c'était rien passer.
"Voyons, voyons ou en était-je... Ah oui !Donc je discuté avec des amis et puis Klara c'est approchée de ta mère et à commencer à discuter puis à la draguer sa se voyait très bien dans son jeu, elle a même essayer de l'embrasser après plusieurs rermises en question mais je suis arrivé et c'est moi qui est embrassé ta mère, puis Klara à dit qu'elle était désolée mais on lui a bien dit que cela pouvait arrivé elle se sentait horriblement mal à l'aise et puis on a commencer à parler, quand je repense à elle j'ai l'impression que c'était hier... C'est ainsi qu'elle est devenu amie avec nous, et maintenant nous sommes super proches sauf que..."
"Sauf que quoi ?"
"Et bien nous nous somes éloignées un peu d'elle quand elle avait le plus besoin de nous.."
"C'est à dire ?"
"Et bien, il y a une époque ou elle a voulu mettre fin à ses jours et ont as pris peur qu'elle pouvais nous tuer car quand on est allé chez elle, elle avait un fusil en main mais heureusement elle nous as laisser sortir..."
"Ah... Et pourquoi voulais-t-elle se sucider ?"
"Je l'ignore, mais en tout cas promet moi de ne pas lui en parler d'accord ?"
"D'accord."
Quelque minutes plus tard, son père se gara, Yulia alors pouvais voir un parking avecbeaucoup d'appartement autour, son père l'emmna alors dans l'un d'eux et du presque défoncé la porte d'entrée pour pouvoir entrée ! Il regarda alors tout les noms et posa son attention sur un morceau de papier avec simplement marqué : Klara.
L'intérieur du batiment était complétement tagué de partout, des injures, des déclarations, des coup de geules, tout y était inscrit. De plus, cela sentait les egouts... Ils montèrent alors les escaliers avec le parquet a moitié bouzillé, chaque fois qu'ils posaient posé un pied un "crac" resonnais aussitot, l'appartement était peut être dans un sale état mais il était très calme, un silence un peu inabituel pour un appart' de se genre.
Ils arrivèrent enfin devant une porte d'entrée noir avec un "K" en rouge situé au milieu de la porte, son père sonna une fois...Puis deux fois... Et trois fois...
Cela faisait déjà 10 minutes qu'ils attendaient devant la porte, ils décidèrent de rebrousée chemin quand ils entendirent un cri se laissant échapper de la porte de Klara...
Un cri pércant er terryfiant, Yulia réagi alors la première suivit de son père, ils entrèrent dans la pièce regardèrent autour d'eux le regard affolés, jusuq'a qu'un autre cri les rapprocha de l'endroit d'ou il pouvait venir, puis Yulia regarda à la fenêtre et apercut une femme accroché à un fil qui servait à étendre le linge heureusement un était en fer, Yulia se demanda alors l'utiliter d'avoir un morceu de fer pour accroché son linge mais elle se dépécha vite fait d'appeller son père, celui ci eu une réaction tout à fait normal...
"Oh mon dieu Klara !"
Il lui tendit alors sa main, et faillit tomber à son tour mais Yulia le ratrapa avant qu'il puisse fair quoi que se soit, il tira alors en arrière Klara et plusieurs minutes après Klara était assise sur son fauteuil avec une respiration très rapide, elle avait eu la peur de sa vie, elle essayais alors de se reprendre de ses émotions.
Klara avait les cheveux bruns foncé, des yeux noisettes assez claires, un petit nez mignon, et avait un tout petit grin de beauté au dessu de la lèvre, mais aussi des sourcils très fin, elle était assez mignonne au yeux de Yulia mais elle préférée comme même Lena...
La belle au yeux noisette regarda alors Yulia curieusement et fit un sourire puis regarda le père de Yulia et lui sourit aussi, celui si était contre le mur se remettant aussi de ses émotions à lui et fut très surpris par le changement d'aspect de Klara, il était tellement chamboulé et se posais des questions dans sa tête assez folles.
"Oleg, cela fait des années que tu n'est plus venu chez moi, que me vaut cette honneur ?"
"Et bien, c'est pour ma fille elle..."
Il fut interompu par son portable, il décrocha rapidement, c'était la mère de Yulia, il changea de tête vite fais, et s'affola :
"Ne tinquiète pas j'arriv tout de suite !"
"Qu'est ce qui se passe ?" sinquièta Yulia.
"Ta mère est tomber en panne en allant fair les courses !!"
"Trop forte !" s'exclama notre badgirl.
"Bon, je vais la chercher, tu restes ici, je reviens très vite !Sois sage !"
Yulia ne put dire un mot que son père c'était deja envolée !Elle regarda Klara en fesait un sourire, mais s'inquètait de se qu'il allait se passer maintenant, elle était en face d'une inconnue qui la regardait vraiment d'un regard coquin... Cela inquiètait Yulia... Qu'avait-elle derrière la tête ?...
Klara la regardait droit dans les yeux toujours avait le même regard, puis après untemps de silence absolu elle se mit a rire et Yulia pris de surprise par se soudain fou rire se mit a rire elle aussi mais un peu moins que la jeune femme.
"Tu aurais du voir la tête que tu faisait, ne t'inquiète pas je fais se regard à tout le monde pour briser un peu la glace !"
"Ah oui ?Sa marche assez bien je dirais."
"Alors qu'elle bon vent t'amène chez moi ?"
"Et bien, mon père m'as dit que vous pourriez m'aider sur un sujet assez fragile pour moi..."
"Mmmh, d'accord tu peux te confier à moi, mais juste une chose tu peux me tutoyer !"
"Ok. Je...Je ne sais pas trop par ou commencer, je..."
"Tu aimes une fille c'est ça ?" fit Klara malicieusement.
"Comment vous enfin tu la deviner ?"
"Je bafouillé pareil quand il s'agissait de le dire à mes parents... Et oui, je suis lesbienne et fière de l'être ton père te l'as surement dis non ?"
"Oui, il me l'as dit, sauf que moi je suis sûr d'être homo et je.. j'aime aussi une fille et je n'en n'est jamais embrassée une mais j'aimerais tellement !"
"Je vois, je vois... Attends je vais te montrer.."
Klara se leva alors de son fauteuil et s'approcha doucement de Yulia, celle ci se leva pour être en face de Klara et voulais lui demandais ce qu'elle fesait mais elle était trop proche de celle-ci, si près qu'elle n'osait pas décroché un seul mot...
Yulia recula alors, elle posa sa main sur une table derrière elle et s'en le vouloir elle fit tomber un objet, Klara s'était tellement approchée d'elle qu'elle avait eu peur, elle s'empressa de ramasser l'objet et tourna le dos à Klara, en même temps qu'elle se relevais elle regarda la photo qu'il y avait dans le cadre qu'elle avait ramasser. Il y avait deux filles, se tenant par l'épaule, souriantes, heureuses, telles de très bonnes amies. Yulia se retourna et regarda Klara puis la photo, elle remarqua que la deuxième femme était Klara, elle lui demanda curieusement :
« Qui est cette fille avec toi ? »
Klara regarda alors surprise, puis arracha le cadre des mains de Yulia et l posa un peu plus loin en disant sèchement :
« Personne. »
Elle rasseya et regarda Yulia comme si rien ne c'était passer, et lui fit :
« Assieds toi, tu as encore une histoire à me raconter non ? »
Elle s'exécuta, puis fixa Klara quelque secondes avant de se décider :
« C'est à cause d'elle que tu voulais mettre fins à tes jours ? »
La brune dit sa d'un seul souffle, Klara alors fit les gros yeux, puis regarda normalement, Yulia s'asseya bien au fond de son fauteuil, le regard fixer sur la jeune femme un sourire assez cruel au lèvres.
« Qui t'as dit que je voulais me tuer ?»
« Le journal ça existe. »
« Espèce de ... ! Petite peste ! »
« Klara, fit Yulia calmement, raconte moi ton histoire s'il te plait je suis sure qu'elle m'aiderais beaucoup, vous étiez bien plus qu'amies toutes les deux, il s'est bien passer quelque chose pour que tu veuilles.....mourir. »
La brunette avait marquée un point, Klara resta sans voix un moment, Yulia avait raison sur toute la ligne, puis Yulia avait besoin de savoir et elle ne savait pas pourquoi mais elle ressentait le besoin d'entendre cette histoire qui l'aiderais sûrement.
« Et bien, Yulia je vais te raconter, c'est dur pour moi de m'ouvrir comme ça mais je ressens une certaine confiance envers toi... »
« Je t'écoute. » confia doucement Yulia pour la mettre à l'aise.
« Elle s'appelait Irina, on s'est connues au lycée, nous sommes devenus les meilleures amies du monde, je l'ai aimait dès le premier regard, carrément dingue d'elle !J'aimais son sourire, sa chaleur, sa voix, je l'aimait toute entière !Je ne lui ai jamais dit, jamais, j'avais peur de l'as perdre, elle savait que j'était lesbienne, et n'y avait jamais vu d'inconvénients, même que elle aussi était lesbienne, un jour elle est sortie avec une fille dont je ne m'entendais pas du tout, j'ai fais une crise de jalousie, je me comportait méchamment avec elle, je m'était séparés d'elle la laissant avec sa copine, jusqu'au jour où elle est venu chez moi et on a marcher, a cet instant le temps c'était arrêter... J'était persuadée qu'elle allait me dire je t'aime mais je voulais lui dire avant elle... Tout c'est passé si vite ! »
Klara commença à pleurait, les larmes coulaient sur ses joues, Yulia ressentait alors sa douleur et chuchota :
« Elle est morte ? »
« Oui, à cause de moi, c'est moi qui devait mourir ! Pas elle ! »
« Que s'est-t-il passé ? »
« Il y avait son ex petite amie derrière moi avec un couteau, elle mas pousser pour que je ne me prenne pas le coup et c'est elle qui la reçu, c'est moi qui aurait du le recevoir ! J'ai poursuivit la tueuse et je les tuer de mes mains je les étranglée, et je suis revenu la voir elle avait perdu beaucoup de sang... Et avant de mourir, elle ma dit je t'aime et j'ai déposer une baiser sur sa bouche, le plus délicieux qu'il soit, et elle s'est endormie à tout jamais... »
Ses pleures furent plus intenses, Yulia s'approcha d'elle se mit sur ses genoux et l'as pris dans ses bras pour la réconforter, Yulia avait les larmes au yeux, perdre celle qu'on aime comme ça devait être affreux...
« Puis, je suis allée en prison pour avoir tuer l'autre femme, et dès que je suis sortie j'ai essayais de me tuer, mais tes parents m'en ont empêcher, et ils ne sont plus jamais revenu, aujourd'hui quand tu m'as retrouver accroché près du balcon, j'ai voulu sautée mais quand j'ai entendu la sonnerie de la porte j'ai voulu aller voir et j'ai glissait... Je croyais que j'allais la rejoindre pour de bons, mais encore une fois ton père m'as sauvée... »
Yulia en était maintenant sûre elle allait lui dire à sa Lena, elle allait l'embrasser peut être pour la première et la dernière fois mais au moins elle aurait pu vivre quelque chose avec Lena, sa pensée de la perdre en amitié avait disparue tout se qu'elle voulait se de ne pas la perdre de sa vie...
« Ca restera entre toi et moi hein ? »
« Ne t'inquiète pas Klara, ton secret est bien gardait ! »
« Si jamais la fille qui tu aimes te rejette raconte lui mon histoire elle ne pourras s'empêcher d'y être touchée, s'est promis ? »
« Promis. »
Elle resta dans ses bras quelques minutes, Klara ne pleurais plus, Yulia l'avait calmée, dans ses bras elle se sentait bien, elle se sentait apaisée...
« Bon, tu veux un café ? Ca va te remonter un peu ! Dis moi juste ou est la cuisine ! »
« Non, je vais le faire tu es mon inviter ! »
« Reste là, tu n'as pas besoin de te bouger, reposes toi un peu. »
« Tu es comme ton père toi, toujours serviable avec les autres ! »
« Oui, cela dépend pour qui ! » rigola Yulia.
Klara rigola alors et lui dit :
« La cuisine est juste là-bas ! Tu trouveras tout se qu'il te faut dans les placards ! »
« Ok. »
Quand elle fut dans la cuisine elle se sentit comme chez elle, le cœur plus léger que d'habitude une bonne humeur de retrouver, elle était contente d'avoir aidée Klara, c'était un peu comme une grande sœur pour elle, comme quoi des liens peuvent se crée rien quand racontant son passé ! Yulia pris alors un tasse de café et entendit alors de pas venant vers elle, elle se retourna et se retrouva encore une fois en face à face avec Klara...
« C'est fou comme tu ressembles à ta mère... » fis-elle lentement.
La petite chipie pouvait sentir alors le souffle chaud de Klara, elle était si près à nouveau d'elle, son corps commença à trembler, elle recula alors mais elle était déjà contre le meuble de la cuisine, son dos se courba alors en arrière et Klara se rapprocha et posa sa main sur la taille de Yulia, celle-ci eu un frisson... Mais non se moment elle devait le vivre avec Lena pas avec Klara elle devait se débattre mais Klara serait sûrement blesser par ce geste, que devait-elle faire ?Ce laisser faire ?Rencontrer les lèvres de cette femme avec qui elle avait partager un secret important ?Elle avait peut-être un physique attirant, une gentillesse admirable, un sourire séduisant mais elle ne pouvait pas battre Lena pas du tout... Pourtant cela serait enfin l'occasion d'embrasser une fille... Yulia était perdu mais pendant se temps Klara s'approchais de plus en plus...
****Yulia sentait le souffle de Klara s'approchais de plus en plus, là elle était vraiment très proches plus qu'a quelques millimètres d'elle, un souffle chaud parcourait son visage, une respiration qui accélérait de plus en plus. Yulia avait fermait les yeux comme Klara, elle voulais s'enfuir, elle voulut partir, elle voulait éviter ça mais elle était comme paralysée, si se baiser aurait lieu elle ne se le pardonnerais jamais il fallait qu'elle fasse quelque chose mais quoi ?
Ses lèvres effleurèrent alors celle de Klara, elles se touchèrent à peine mais bientôt Klara allait s'avançais encore plus et l'embrasser fougueusement... Mais c'est à ce moment là que le père de Yulia décida de sonner à la porte, Yulia alors s'écarta de Klara vivement en disant :
« Je vais ouvrir sa doit être mon père. »
La séduisante femme resta alors figer sur place pendant un instant essayant de réaliser se qu'elle allait faire, elle entendit alors la voix d'un homme qui l'as ramena à la réalité.
« Ah Klara, qu'elle joie de te revoir ! » fit la mère de Yulia qui se dirigea vers elle pour l'embrasser.
« Moi aussi je suis heureuse de te voir ! »
Après les bises, Klara jeta un regard gênée à la petite brune derrière elle qui détourna sa tête pour regarder son père, se qu'elles étaient sur le point de faire devait être le plus vite oubliée, ils s'installèrent peu après dans le salon parlant de souvenir et d'autres choses que Yulia n'intéressait pas. Elle donne un coup de coude à son père, qui avait tout de suite compris que sa fille voulait rentrée... Quelques minutes après, ils étaient près à partir, un au revoir et ils franchisèrent la porte le père en premier la mère en second et Yulia en dernière mais elle fit retenu par Klara qui l'entraîna dans la pièce à côté.
« Ecoute Yulia, je suis vraiment désolée pour se qui c'est passer... »
« N'en parlons plus Klara, tu voulais m'embrasser et tu avait le droit sauf que moi, je... j'aime une autre et... »
« Nan dis pas plus Yulia, j'ai voulu t'embrasser et ça a été une erreur, j'ai était bête de croire que l'on pouvait envisager une relation, tu sais tout s'est passer si vite... »
« C'est oublier Klara, n'y pense plus. »
« Bon, alors au revoir et juste une chose. »
« Oui ? » dit Yulia en se dirigeant vers la sortie.
« Celle que tu aimes a vraiment beaucoup de chance... »
La chipie fit un sourire à la charmeuse, un sourire complice et gentil, un sourire qui voulait dire merci. Sur se dernier coup de lèvres elles se quittèrent une vraie histoire en quelque heures, Yulia avait battue un record, elle entra dans la voiture essouffler des marches qu'elles avait descendu rapidement.
« Que te voulais Klara ? » demanda son père tout en démarrant.
« Rien de spécial, c'est entre elle et moi. »
« Ah ! Je te l'avait dis Larissa qu'il s'était passer beaucoup de choses en mon absence ! »
« Quoi ?! Tu veux dire quoi là ?! »
« Calme toi Yulia, je dis juste qu'il c'est passer des choses, mais je ne sais pas se que c'est ! »
« Ah ! » se rassura Yulia.
Pendant le trajet, Yulia repensa à l'histoire de Klara qui lui donnais encore plus de courage pour lui dire, Yulia lui diras à sa Lena, elle ne lui cacheras pas plus longtemps, elle ne veux pas regrettais toute sa vie de ne pas lui avoir dit, l'histoire de cette femme pourrait bien lui arrivait aussi ! Si elle venait à perdre Lena elle se perdrait elle aussi...
La voiture s'arrêta, son père regarda Yulia à travers le rétroviseur et lui confia :
« Voila ma chérie on y est, à toi de te débrouillés, mais ne rentre pas trop tard ! »
« Pas de problème, bon tchao p'pa, tchao m'man ! »
Elle sorti de la voiture, le cœur battant plus vite que d'habitude, elle fixa un moment sa voiture avant de la voir disparaître, elle sentit un vide en elle, un trac horrible, elle réfléchissais à se qu'elle allait faire tout en observant la maison de sa bien-aimée...
Elle s'approcha et sonna, ses mains étaient moites comme pas possible, après 30 secondes d'attente elle résonna, sa mère ouvrit la porte et quand elle aperçut Yulia elle fit une grimace et demande le plus froidement qui puisse être :
« Oui ? »
« Est-ce que Lena est là ? »
« Non, de toute façon, tu n'as plus le droit de la voir, elle-même ne veut plus te voir alors adieu. »
Elle ferma la porte mais Yulia tendit son bras contre celle-ci pour la retenir dans sa poussée, et cria de toutes ses forces les larmes presque aux yeux :
« LENA !! »
« Mais vous êtes folle mademoiselle ! »
Elle ferma alors la porte pour de bon, mais Yulia entendu la voix de Lena et elle sonna en tapant la contre la porte criant, implorant Lena... Elle entendu les cris de sa mère et essaya d'entrée dans la maison mais elle avait fermais la porte à clé.
Elle entendait encore Lena qui crier aussi son nom, Yulia en était même sûr elle pleurais en même temps, puis le bruit d'une claque et son père criant :
« Va dans ta chambre !! »
Yulia était encore au seuil de la porte, et s'asseya par terre toujours contre la porte pleurant toutes les larmes de son corps détruit par l'action des parents de celle qu'elle aime avec qui elle ne pourra certainement plus jamais parlait, ni sentir, ni touchée...
Yulia sentit alors le besoin d'aller ailleurs, elle sais que en restant devant la porte sa ne servira à rien du tout, elle décida alors de s'en allait d'aller en dehors de la ville, pour calmer sa haine et sa tristesse en même temps. Il pleuvait les gouttes coulaient tout le long de la veste de Yulia mais elles coulaient aussi sur son visage comme si elles essayaient d'essuyer son visage qui était devenu affaibli à force de fronçais les sourcils et de pleurer sans pouvoir s'arrêter...
La brune traverser les rues, telle une ombre passagère, ne faisant passe attention aux autres personnes, elle pensait toujours à Lena... Pourquoi ses parents étaient devenus aussi cruels ? Yulia ne voulait que voir Lena rien d'autre, pourquoi a-t-il fallut qu'ils fassent cette crise juste à ce moment ? Juste au moment où la vérité aurait éclatée. Yulia était comme une âme en peine qui traînait dans un endroit inconnu, puis son regard pensif s'arrêta sur un petit bistro d'où elle apercevoir des adolescents comme elle qui buvait de l'alcool en toute tranquillité, elle eut alors envie de se joindre à leur bonne humeur même si en rentrant dans un endroit inconnu elle pensait encore très fort à Lena.
« Une vodka s'il vous plait. » fit la jeune fille ne réalisant pas trop la chose qu'elle était en train de faire.
Elle s'essuya un peu les yeux, et se sécha le visage et bu rapidement sa vodka pour en commander une autre. Après son troisième verre, Yulia avais oublié ses soucis et commençais à se sentir mieux, sûrement parce qu'elle ne pensait plus à Lena à ce moment là...
« Bonjour, tu avais l'air triste en rentrant dans le bar. Un souci amoureux ? »
« Plus ou moins... »
Yulia commença à parlais avec se jeune homme au yeux bleu clair, un sourire ravageur et des cheveux plaqué au gel d'une couleur blond foncé, assez mignon, et un regard séduisant. Son parfum était fort, on pouvait se sentir à l'aise quand on le respirait, un parfum réconfortant.
Un homme certainement fort et disciplinée, il devait être sûrement casé depuis longtemps... Dans ce cas pourquoi est-il là ?
« Et vous ? Pas de soucis amoureux ? »
« Non, je suis seul depuis quelque années, je viens dans se bar pour me réunir avec mes amis, et qui sais rencontré quelqu'un... »
Le jeune mystérieux commanda aussi une vodka et l'englouti rapidement comme Yulia au début, celle-ci commençait à être soul mais continuer de prendre cette boisson qui avait l'air délicieuse pour elle.
« C'est quoi ton nom beau blond ? » fit Yulia tellement bourrée qu'elle avait du mal à parler.
« Grigori. Et toi belle brune ? » demanda-t-il en rentrant dans son jeu.
« Mon nom ? Haha tu veux mon nom ? Ben tu peu te foutre l'doigt dans l'œil mon pauvre gars ! J'donne pas mon nom à tout le monde moi ! »
« Je t'ai bien donner le mien. »
« Ok, c'est bon j'rigoler hein ! »
« Mais je le sais bien ! » lâcha Grigori en riant.
« Yulia, je m'appelle Yulia. »
« Très joli prénom Que fait-tu ici ? »
Yulia alors commença à reprendre ses esprits, elle se rappela de Lena et les souvenirs défilaient dans sa tête. Elle regarda Grigori comme un étranger, elle lui avait parlé comme si c'était son pote mais ce n'était qu'un inconnu.
« Ca ne va pas ? »
« Heu... Si ça va, oula, dit elle en mettant sa tête dans ses mains, je crois que j'ai trop bu, j'ai la tête qui tourne.. »
Elle se leva, mais elle était trop ivre pour marcher, elle avais la tête qui tourner, et des envies de vomir, Grigori la rattrapa :
« Hey Yulia, oui, tu as trop bu, viens je te ramène chez toi ! »
« N...noon.. J'veux pas ! »
« Je veux juste t'aider ! »
Elle était bien trop faible pour se débattre et sa tête ne cessait de voir tout en double. Il pris son bras et le mis autour de son épaule, et sorti du bar. Il ne pleuvait plus, un léger éclairci se montrais à l'horizon, Grigori accompagner de Yulia traversais les rues en marchant tranquillement, à par peut être Yulia qui n'arrivais pas à se tenir debout correctement.
« Je t'amènes chez moi, et tu préviendras tes parents, mais je pense que tu n'as pas envie qu'ils te voient soul ? »
Yulia secoua la tête, incapable de dire un seul mot, tout se qu'elle pouvait espérer c'est que se jeune homme n'essaye pas de lui faire un coup, pourtant elle sentait une certaine confiance inconnue, elle se sentait bien près de lui, elle n'avait jamais eu se sentiment envers les autres garçons, mais lui, il était différent de tout les autres... Notre Yulia ne serait-t-elle pas en trains de tomber amoureuse ? Et Lena ? Pour l'instant le brouillard était dans sa tête elle ne savait pas vraiment se qu'elle faisait ni ou elle allait... L'alcool peut nous entraîner à faire des choses que jamais on aurait pu croire qu'on allait un jour les faire...
Ils se baladaient alors tranquillement, Grigori n'avait plus rien dit depuis sa dernière phrase, ils marchaient en silence, Yulia était plongeai dans ses pensées comme d'habitude et essayer de réaliser se qu'elle avait commis. Ce n'était peut être pas un crime de boire et de partir avec un inconnu mais pour Yulia si, surtout vis-à-vis de Lena.
Un peu plus tard, Grigori entra dans une maison suivit de Yulia, une petite maison mais sûrement suffisante pour un homme seul, il invita alors Yulia à s'asseoir et se rendit à la cuisine pour préparer quelque chose avait-il dit rapidement, la petite Volkova qui était bien allongeais dans son fauteuil commença à s'endormir... Elle oublier dans qu'elle endroit elle était mais elle ne pouvait s'empêcher de dormir, avoir vécu un choc pareil était épuisant, et être privée de son oxygène, c'est-à-dire Lena, la rendez folle !
Quand la belle au bois dormant se réveilla, le beau gosse était en face d'elle, le sourire aux lèvres, il lui tendit une tasse de café et lui confia :
« Tiens, c'est un remède pour ne plus avoir la gueule de bois ! »
« Qu'est-ce qui me fait dire que c'est pas un remède pour me violer ! » dit sauvagement Yulia.
Grigori là regarda stupéfait pas cette phrase dite si agressivement, Grigori ne comprenez pas vraiment cette Yulia si mystérieuse encore.
« Calme toi Yulia, je ne veut sûrement pas te violer, et si j'aurais eu envie de te violer je l'aurais fait tout de suite ! Allez bois ça t'aideras beaucoup ! »
Après une minute de réflexion et un regard méfiant, la tigresse décida de boire se remède qui avait comme même un bon goût. Le jeune homme se leva de son fauteuil comme si il portais un sac de 100 kilos sur le dos et se dirigea encore une fois vers la cuisine ne disant pas un mot. Yulia se leva à son tour et observa les lieus, soudain elle aperçut une photo avec des gens qui lui semblait familier, elle s'approcha de plus en plus curieuse pour enfin prendre le cadre en main. Elle aperçut trois personnes souriantes, et parmi c'est trois personne elle en reconnu deux avec stupeur... C'était son père et sa mère ! Comment un homme comme Grigori pourrait être amis avec ses parents ?
« Qu'est ce que tu fais ? » demanda Grigori  qui venait de refaire surface.
Yulia se retourna et le regarda avec un regard plus que surpris ,à son tour il eut une expression interrogative dans son visage qui ne demander que de savoir se qui n'allait pas.
« Mes...Mes parents sont sur la photo comment ça se fait ? »
Grigori s'approcha et pris le cadre en main les sourcils fronçais comme si il réfléchissais.
« Tu as du te tromper c'est mon frère, ça ne peut pas être ton père ! »
Mais vu la tête que faisait Yulia, Grigori commençais à avoir des doutes...Il essayais de comprendre mais tout se chambouler dans leurs deux têtes.
« Oui, mon frère à eu une petite fille, mais je n'en n'est jamais rien su de plus car nous nous sommes disputées peut après la naissance... » fit-il à voix basse.
Il se rasseya le regard surpris essayant de comprendre se qu'il se passais, Yulia expliqua les choses à sa manière de penser :
« Et bien, peut être que je suis sa petite fille et tu ne m'a jamais connu parce que vous vous êtes disputées, mon père m'as dit qu'il avait un petit frère beaucoup plus jeune que lui et.... Mais au faite t'as qu'elle age ?! »
« Ben j'ai 30 ans... Et mon frère en à 11 de plus que moi, donc 41 ans... »
«Tu dragues encore les jeunes filles à ton age?Ben didonc !Bon autrement c'est l'age de mon père ! Donc dernière question et après il n'y aura plus de doute tu seras mon parrain ! Alors quel est ton nom de famille ? »
« Bah, c'est Volkova ! »
« Ah ben là plus de doute t'es bel et bien mon parrain, même si t'es un peu jeune pour être parrain, mais bon, ça fait bizarre comme même que mon parrain est essayer de me draguer ! »
« Hey ! Je ne te draguer pas du tout, je voulais juste t'aider ! »
Yulia lui lança un sourire et après un moment de silence, Grigori s'approcha et la pris dans ses bras en lui chuchota :
« Enchantée de faire ta connaissance ma nièce ! »
« Moi aussi tonton ! »
Pour l'instant Yulia n'arriver pas encore à réaliser qu'elle avait enfin rencontrer le parrain dont elle avait toujours réclamais a ses parents, pour une journée extraordinaire s'en est une !
Il ne manquait plus que Lena sache enfin que Yulia l'aime, mais bon, mieux vaut ne pas trop y penser, mais les larmes recommencer à monter, Yulia devait s'en aller, elle devait disparaître d'ici, sans Lena elle n'était rien, elle savait que plus jamais elle ne la reverrais.
« Bon, j'adorerais passé la journée à discuter avec toi, mais je dois y allez ! A bientôt ! »
« A bientôt, rentre bien chez toi ma petite nièce ! »
« Non tonton, je ne rentre pas chez moi... » marmonna Yulia pour elle-même.
Elle continua alors sa route, allant n'importe où, l'âme en peine, elle n'arrêtait pas de se dire qu'elle ne reparlerait plus jamais à Lena mais elle se trompait... Sa fugue allait changer les choses plus qu'elle ne le croyait...
Chez Lena, il ne c'était pas passez grand choses depuis le départ de Yulia, les parents de la rousse étaient dans le salon, discutant de tout et... de rien. La vie continuer son chemin pour les Katina, mais pas pour Lena, elle était enfermer dans sa chambre à double tours, essayant de trouver un moyen de retrouver son amour. Sa fenêtre était trop haute pour pouvoir sautez, mais peu de temps après cette mauvaise idée elle en avait trouvée une autre... S'enfuir de la maison en douce, elle prépara une veste et examina de en haut tout ce qui pouvait se passer en bas, elle entendit des roucoulements venant de son salon, des je t'aime tout doux, ses parents étaient en trains de se faire du charme, Lena leva les yeux.
« C'est vieux sont vraiment des nuls, c'est même pas comme ça qu'on draguent pff ! »
Après avoir longuement réfléchis, Lena descendit les escaliers à pas de loup, le silence total, juste le bruit des embrassement qui venait du salon. La rouquine ouvrit la porte discrètement sans se faire voir puis se faufila dehors en refermant la porte avec délicatesse. Ni vu ni connu, elle avait su rester discrète jusqu'au bout. Elle se mit alors à courir en direction de la maison de Yulia et arriva devant la porte épuisée, elle sonna un milliard de fois, pressez de voir sa chérie, mais se fut sa mère qui répondit :
« Oui ? »
« Bonjour madame, est-ce que Yulia est là s'i vous plait ? »
« Non, je croyais qu'elle était avec toi ! »
« Ben heu... c'est-à-dire que...Mes parents non pas voulu que je la voie... »
« Mais alors ou est-elle ?! » s'affola la mère de la fugueuse.
« Ne vous inquiétez pas madame je vais la retrouver, je pense savoir ou elle est ! »
« Je vais appelez la police ! »
« Non !! Surtout pas madame, Yulia m'en voudra sûrement et c'est la dernière chose que je veuille qu'il m'arrive ! »
« Bon d'accord fais vite ! »
« Au revoir ! »
« Au revoir Lena ! »
Elle était déjà parti dans sa course l'esprit hanter par Yulia, il fallait qu'elle la retrouve, c'était la personne qui comptais le plus pour elle, Lena espérait que son instinct le guideras mais hélas il n'en fit rien, elle se sentit alors perdu sans issue, elle c'était lancée dans une recherche dont elle ne pouvais trouver la personne ! Elle décida d'aller à l'endroit de la fête foraine mais elle n'était pas là, ensuite elle visita le cinéma, pas de traces de notre Yulia.
Toujours en appelant son nom dans tout les recoins Lena osa s'aventurais dans un banlieue pas très sûr, le regard des mecs était très inquiétant, des sifflements, des compliments, tout se dont les mecs savait faire dans ce lieu pourri, mais Lena n'en prêta pas attention, puis un mec l'attrapa pas le bras :
« Allez viens ma jolie tu seras la bienvenue dans mon lit ! »
« Lâchez moi ! »
Le mec commença à lui toucher les fesses puis la poitrine, la rousse entra dans une colère sauvage et lui donna un baffe dont il se souviendras toute sa vie même à sa mort, sur le coup le violeur l'avez lâcher et elle en avait profiter mais quand elle sortir de la rue...
Les phares de la voiture l'éblouissent,  un klaxon qui résonne dans sa tête, la voiture ne peut s'arrêter et la percute, c'est le choc, Lena s'écrase sur le sol inconsciente...
Beaucoup plus tard, sur un lit d'hôpital...
« Je crois qu'elle se réveille ! »
Lena ouvrit ses yeux lentement, jusqu'a apercevoir sa mère et son père à coté d'elle, un mur blanc en face d'elle et une petite table de l'autre coté, elle essaya de se relever mais ses parents l'en empêchèrent :
« Non ma chérie tu dois rester coucher, ordre du médecin ! »
« J'ai mal à la tête. » se plaigna Lena à moitié éveillé.
« Bois un vers d'eau. » recommanda sa mère inquiète.
« Qu'est ce qui m'est arrivée ? »
« Et bien, commença son père et s'approchant d'elle, tu t'es fait renverser par une voiture, et le conducteur ta amener à l'hôpital et nous as prévenu... Il nous a dit que tu as la jambe cassée, et voila. »
« Je vois. Est-ce que Yulia est là ? »
Sa mère regarda alors son père qui lui haussa les épaules.
« Oui elle est là. »
« Comment l'as-t-elle appris ? »
« Nous l'avons appeler nous pensions que c'était mieux pour toi, écoute Lena on s'en veut de vous avoir séparés, on a étaient aveugles et tu nous as ouvert les yeux en partant de la maison. »
« Et nous t'en remercions ! » assura son père.
« C'est vrai ? Alors on peut être à nouveau ensemble au collège ? »  
« Bien sûr ! » s'exclama la maman heureuse de voir sa fille de si bonne humeur.
« OH ! Merci beaucoup ! »
« Ne nous remercie pas Lena, bon, je crois que tu as envie de la voir ? »
« Oh que oui, elle m'as tellement manquée !! »
« Bon nous te laissons ta mère et moi alors ! » fis-il en donnant un bisou sur le front de sa chère petite fille.
Ils sortirent de la chambre et quelques temps après la porte s'ouvrit, Lena leva la tête rapidement avec le sourire au lèvres mais à la place de Yulia elle découvrit l'infirmière qui venait voir si tout allez bien, Lena avait des bleus sur les bras et sur son autre jambe qui n'était pas cassé, elle avait quelque hématomes, et un mal de crâne horrible.
« Ma Yulia, seule toi peut me guérir de cette souffrance atroce je t'en prie entre dans ma chambre n'est pas peur... » pensa très fort Lena.
Quand l'infirmière disparut, Lena sentit un vide n'arrêtant pas de fixer la poignée de porte, en priant de toute ses forces dans sa tête que cette poignée bouge et que cette fichue porte s'ouvre ! Mais les minutes passaient à la vitesse d'une tortue, pour Lena c'était un vrai supplice d'attendre celle qu'elle aime de toute son âme... Elle décida d'appelais le médecin ou n'importe qui pourvu qu'il vienne rapidement, quand une femme vint à entrer la rousse lui demanda avant qu'elle ne puisse demande quelque chose :
« Est-ce qu'il y a une fille au cheveux noir qui attends dehors près de ma chambre ?? »
« Heu... Je vais regardais. » dit-elle en allant vers la porte.
Elle l'ouvra, jeta un coup d'œil rapide et annonça à Lena tout en referma la porte :
« Oui, elle discute avec un homme qui doit être son père. »
« Comment était son visage ? »
« Je dirais, inquiet et triste. »
« D'accord merci. Au revoir. »
« Au revoir mademoiselle. »
La rouquine se plaça correctement afin que son dos soit contre les coussins qui la maintenaient droite.
Après quelque minute Lena s'endormit, malgré la douleur elle arriva a fermer les yeux et à s'endormir, après une heure de roupillement, elle se réveilla. Se fut à ce moment là que Yulia décida d'entrer dans la chambre la tête baissée...
Lena leva la tête, et aperçut Yulia, un sourire se dessina doucement, mais une touche d'interrogation s'installa sur son visage. Pourquoi Yulia n'oser pas adresse un seul regard à Lena ? Toujours avec la tête baisser Yulia était restée sur place pendant un moment fixant ses chaussures, puis la rousse qui ne comprenait pas le comportement de Yulia lui lança :
« Hey Yulia ! Qu'est ce qui ne vas pas ma puce ? »
Elle leva enfin la tête, un regard surpris, puis un sourire.
« Viens, approche n'est pas peur Yulia, tu est toute bizarre aujourd'hui. »
« Je sais, je... je... » bégaya-t-elle en s'approchant.
Elle s'asseya sur la chaise à côté du lit de Lena, contemplant son visage qui ne comprenez pas.
« Je suis désolé... » fit tristement Yulia.
« Pourquoi ? Tu n'as rien fait ! »
« Si, je t'ai mis en danger, Lena pardonne moi, je n'est jamais voulu qu'il t'arrive des malheurs, tout ça est à cause de moi, je te met en danger de mort pour la deuxième fois ! »
« Ne dit pas ça Yulia, si j'ai la jambe cassée c'est de ma faute pas de la tienne... »
« Et si je n'aurez pas fugué ! Et si je n'aurais pas dit non à Edouard rein de cela ne serais arrivé, Lena, tu as failli mourir deux fois ! Et je ne veux pas te perdre, alors je préfère que tu gardes des distances avec moi... »
Yulia pleurais sans pouvoir s'arrêter, elle s'en voulait tellement, elle avait failli la perdre deux fois, la troisième foi serait mortel pour elle, il fallait écartais le danger, visiblement Yulia avait peur, peur que Lena lui en veuille mais elle se trompait terriblement !
« Mais qu'est ce que tu racontes ? Mes parents nous ont enfin remis ensemble et tu veux que l'on se sépare ! »
« Lena, je sais que tu m'en veux et... »
« Nan Yulia, coupa Lena, je ne t'en veux pas ! Ma yuyu, tu es tellement importante à mes yeux, un accident est un accident et personne ne changera ça ! Je veux que l'on reste ensemble maintenant ! C'est à cause de notre séparation que ce danger à surgit, si je me retrouve encore seule ma vie sera à nouveau en danger, alors je veux que tu sois là à n'importe quel moment ! »
Yulia était rester muette, elle n'aurais jamais pu penser que Lena serait aussi sauvage quand il s'agirait de perdre une amie, Lena fini pas lui sourire et Yulia aussi, après quelque seconde elles éclatèrent de rire ! La complicité était retrouver, l'amitié était là mais l'amour était le plus fort à se moment là.
« Lena, tu m'as tellement manquée... »
« Toi aussi, tu m'as manquée... »
Yulia et Lena se regardèrent, la brune s'était approchée d'elle, les yeux dans les yeux, Yulia avaient un regard intense brûlant de désir, un sourire réconfortant, quant à Lena elle avait une flamme dans les yeux, une flamme de bonheur, et une flamme brûlant d'amour...
« Tu savais que tu était très très belle Lena ?... »
La rousse fit un sourire gêné...
« Tu savais que t'avais de beau yeux ?... »
Le silence régnée chaque paroles était chaude et tremblante à la fois, Yulia s'approchais de Lena de plus en près, elles ressentait toutes les deux une chaleur intenses...
« Lena je... » chuchota la brunette qui ne quittait pas les yeux de Lena.
« Yulia, je... je... » fit Lena en essayant de s'approchais elle aussi de Yulia.
La brune ténébreuse aux yeux d'un bleu plongeant et attirant avait le cœur qui battait de plus en plus vite, une respiration qui s'accélérait, elle sentait le souffle chaud de Lena qui commençait elle aussi à avoir une respiration au rythme inquiétant.
La rousse fragile avec des yeux verts émeraude surprenant et des lèvres si délicieuses que Yulia ne pouvait maintenant plus résistait à les goûtés enfin...
Cette fille ressentait-elle la même chose ? Yulia se questionnait mais en attendant, elle s'approcher encore, plus près, plus près... Lena ne bougeait plus, elle savait qu'il allait se passer quelque chose de magique entre elle, Lena aussi l'aime, c'était Yulia sa chérie...
Les deux cœurs jouaient toujours du tam-tam et de plus en plus vite, la brune s'approcha encore, maintenant elles étaient l'une contre l'autre, leurs corps brûlaient de désir, elles avaient toutes les deux très chaud.
Puis Yulia s'approcha des lèvres de Lena, elle avait mis sa main sur le coup de Lena, la rouquine fit un sourire avant d'être pris par les lèvres de Yulia, la brune s'enleva une seconde des lèvres de la jeune fille qu'elle avait en face d'elle, après un toute petite seconde même pas elles s'embrassèrent à nouveau encore plus passionnément, la main d Yulia était monter sur la joue de Lena, à chaque fois elles s'arrêtaient un dixième de seconde pour rendre le baiser beaucoup plus intenses, elles finirent avec un dernier choc entre leurs lèvres, dans un seul baiser elles avait plus dévoiler leurs sentiments dans un seul instant qui ne durais que environ 10 secondes, elles avaient eu l'impression qu'il durée beaucoup plus longtemps, un amour réunit mais Yulia avait comme même des doutes alors elle lui susurra, Lena eut un frisson :
« Lena, je sais que tu préfère qu'on restes amies mais saches que moi je t'aime et que si tu veux qu'on reste amies je comprendrais mais... »
Elle ne pus finir sa phrase que Lena la pris par le coup et l'embrassa fougueusement, s'arrêtant un moment pour se lançaient un regarde complice et reprendre de plus bel un baiser que Lena voulait offrir à Yulia depuis longtemps... Deux baisers qui ne firent plus q'un...
Après avoir langoureusement touchées les lèvres de l'autre, la déesse du baiser, c'est-à-dire Yulia, demandais à sa chérie :
« Tu as soif mon amour ? »
« Un peu. »
« Je vais te chercher un verre d'eau, j'arrive. »
Avant qu'elle ouvre la porte Lena fit à Yulia amoureusement :
« Mais tu sais, j'ai aussi soif de toi ! »
Yulia fit un sourire amusée et sorti de la chambre, Lena sentit un vide, et essaya de réaliser se qu'elle venait de faire avec Yulia, son rêve le plus fou c'était enfin réaliser, c'était trop beau pour être vrai ! Pourtant, la réalité était bien là, Lena avait embrassé de tout son amour Yulia.
Elles s'aimaient et c'est tout ce qui comptait pour elles...
Yulia alla alors au distributeur d'eau, la tête dans les étoiles, elle activa le jet à eau et mis un verre en plastique en dessous, son père arriva, elle ne le remarqua même pas, le verre commença à déborder, son père s'écria :
« Yulia ton verre !! »
Celle-ci n'avait même pas encore réalisé et il se répéta en enlevant le verre du distributeur :
« Tu es sourde ou quoi, le verre était en train de déborder ! »
« Hein ? Heu... Désolé, j'étais ailleurs. »
« Ah oui ? Tu as changée drôlement de comportement, quand tu es sortie de la chambre de Lena, tu es rentrée angoissée et triste et tu es sortie le sourire aux lèvres, flottant sur un petit nuage, qu'est-ce qui c'est passé dans cette chambre ?! »
« Oh, soupira Yulia plongeant dans ses pensées, si tu savais papa se qui c'est passée, tu ne me croirais pas... »
« Avec vous deux tout est possible ! »
« Et ben, fis-elle en buvant un peu d'eau, ... on s'est... embrassées... »
Yulia repensa à cet instant, les yeux brillant, le sourire jusqu'au oreilles, elle était au paradis ! Son père cru tout d'abord qu'elle s'était droguée, mais sa fille avait été tellement sincère et bouleversée qu'il la crue comme même.
« Ahah, ma fille, tu es très forte, Lena t'aime aussi . Je te l'avais dit que c'était réciproque ! »
« Ouais t'avais raison, Lena et moi, on s'aiment et c'est tout ce qui compte, si tu savais comment elle embrasse bien !!!»
« Hum... Je m'en doute mais ne crie pas comme ça ! » chuchota-il en rigolant.
« Désolé p'pa, c'était plus fort que moi ! » rigola Yulia à son tour.
« Bon, sérieusement Yulia, peut être que Lena t'as embrassée parce qu'elle est encore sous le choque, ou alors parce que tu l'as sauvée des griffes de Edouard, ou même parce qu'elle avait besoin d'affection... »
« Tu dis n'importe quoi ! Lena n'est pas comme ça ! »
Yulia s'éloigna avec un deuxième verre pour sa chérie, et cria à son père en se retournant :
« Ton sens de l'humour tu peux te le garder ! »
Elle entra dans la chambre, s'approchant de sa Lena qui était un peu endormie, elle déposa un baiser sur sa joue et posa le verre sur la table de chevet, elle se remis en question à propos de se que son père avait pu dire. Lena ouvrit les yeux et sourire à la seconde ou elle aperçut Yulia, celle-ci lui tendit le verre en glissant quelques mots :
« Lena il faut que je te parle... »
« Je t'écoute. » répondit la rousse en engloutissant sa boisson.
« Est-ce que ce baiser, c'était de l'amour ou simplement un remerciement de t'avoir sauver d'Edouard, ou même par besoin d'affection ? »
« Yulia tu sais très bien que c'était de l'amour, je t'aime plus que tout, si tu savais combien tu es importante à mes yeux ! »
« Je savais que tu n'était pas comme ça. »
« Qui t'as mit cette idée en tête ? »
« Mon père ! » ria-t-elle.
Lena lança un sourire tendre à son ange gardien, et celui-ci ne pus s'empêcher de l'embrasser fougueusement une fois de plus, Lena retira ses lèvres des siennes pour glissait un « je t'aime » puis les rencontras à nouveau ne pouvait s'interdire du plaisir qu'elle pouvait prendre en embrassant Yulia.
Un peu plus tard, le médecin entra, Yulia était en train de parler à Lena heureusement que quelques secondes plus tôt, elles s'étaient arrêtaient de s'embrassaient sinon il les auraient trouvés lèvres contres lèvres, et la réaction aurait était dangereuse pour leurs couple.
« Katina Lena. Hum, je crois que tu peux sortir, nous t'avons fait le plâtre... Tout est ok, tu peux rentrer chez toi ! »
« Merci, Monsieur. »
« Je vais appeler tes parents ! » assura la brune impatiente que Lena sorte de l'hôpital.
Lena avait proposé à Yulia si elle voulait bien venir chez elle après, et elle avait accepté avec plaisir, en plus ses parents étaient d'accord !
Une fois chez Lena...
« Qu'est-ce que tu peux être sexy avec des béquilles ! » souffla Yulia à Lena quand elle entra dans la chambre de la rousse.
« Merci. »
Elles se regardèrent un instant, Yulia posa ses mains sur le bassin de Lena et lui chuchota :
« Je t'aime Lena comme je n'ai jamais aimée personne ! »
Lena mis ses béquilles de coté et posa ses bras autours du coup de Yulia :
« Moi aussi je t'aime Yulia ! »
Elles commencèrent à s'embrasser langoureusement, bien qu'elles ne voulaient pas encore essayaient avec la langue les baisers étaient de plus en plus passionnées et long, des poses de quelques secondes permettais au baiser de devenir plus intenses, ces poses pouvait aussi laissaient aux deux jeune filles le temps de respirer, Yulia avait entourés le bassin de sa chérie avec ses bras, la rouquine elle commença à se posais tranquillement sur le lit, Yulia faisait précieusement attention à son pied cassé. Corps contre corps, elles continuaient à s'embrassaient, tout en enlevant leurs vestes. La brune sauvage commença à caressais du bout de ses doigts le ventre de Lena, enlevant en même temps sa chemise, quand à Lena elle gardais ses mains autour du coup de Yulia, les lèvres toujours l'unes collées à l'autres.
Mais quand Yulia déboutonna le pantalon de Lena, la rousse eut une réaction plutôt brusque, un cri étouffé :
« Non Yulia ! »
Elle s'enleva vivement de Lena ne comprenant pas sa réaction, elle se rhabilla sans dire un mot et Yulia en fit de même.
« Je... Je ne suis pas... prête... »
« Lena ne me dit pas que tu croyais que je voulait que l'ont... »
« Si. Peut être que tu ne t'en rendais pas compte... »
« Oui, je crois aussi, pardonne moi Lena, j'ai cru que toi aussi. »
« J'ai aussi cru que je pourrait mais je ne peut pas... »
« Je te comprends mon amour, je te laisserais le temps, je suis encore vierge moi aussi, mais j'ai fait comme dans les films et... »
« Ma Yuyu, t'es trop drôles, viens ici que je t'embrasse. »
Elle s'avança brûlante de désire aimant rencontrait encore une fois les lèvres de son aimée...
Lena n'était pas encore prête à ce genre d'expérience, Yulia aussi, elle c'était juste un peu emportée... A 15 ans, on est pas encore tout a fait prêt à passer le cap, un amour peut être gigantesque mais pour l'instant ça ne devait pas allait plus loin... Et puis si les parents venez à entrer dans la chambre de Lena, elles seraient mal barrées...
Et oui ! Ce ne sont pas les parents qui vont entrer dans la chambre. Contrairement à toutes attentes...
Lena se plaça sur le lit confortablement laissant une place à sa Yulia, elles se mirent côte à côte, et commencèrent à parler, jusqu'à que Yulia se positionna sur sa chérie pour l'embêtais, mais celle-ci ne réagi pas, elle se contenta de lui sourire, et se sourire Yulia ne pouvait plus y résister, elle l'embrassa avec tendresse, par la suite et s'enleva de ses lèvres, maintenant à quelques millimètre de sa bouche, elle admirais le visage de son ange, la rousse faisait pareil, sa Yulia était tellement belle, tellement imprévisible, une Lena sauvage se jeta sur la brune surprise pour l'embrassais d'une fougue incroyable. Au tour de Lena de se mettre sur Yulia, la brunette encore surprise fit un sourire amusée et l'embrassa, puis un autre bisous, puis un deuxième ainsi de suite jusqu'à que Lena prévenus à Yulia après un baiser bien que plus passionnée, les lèvres a 1 centimètre l'une de l'autre :
« On va devoir bientôt arrêter, ma sœur rentre du lycée dans 10 minutes. »
« Oh non, c'est trop dur, j'arriverais pas. » fit Yulia en essaya d'atteindre les lèvres de sa bien-aimée mais celle-ci recula.
« Yulia, je suis sérieuse, si elle nous retrouve lèvre contre lèvre, elle pourrait le dire à mes parents et finit la relation cachée mais séparée... »
« Roooh mais ma nana, à chaque fois que je te vois j'ai envie de t'embrasser, c'est trop dur ! »
« Et bien faudra prendre ton mal en patience. » taquina-t-elle en s'approchant de Yulia comme pour l'embrasser, Yulia s'approcha elle aussi jusqu'à Lena s'arrêta.
« Non, non mon ange. »
La brune rigola un instant puis fixa les yeux de la rouquine qui riez aussi, à cette instant d'un geste plus que rapide elle se jeta sur Lena, les mains de la belle furent retenu par celle de la bête (ben quoi Yulia c'est une louve sauvage donc une bête lol), la louve alors, l'embrassa pendant quelque secondes ses lèvres pressaient contre les siennes un désir ardent entre ses deux êtres, un instant d'arrêt, et le baiser repris de plus bel.
« Yulia, il faut arrêter, elle vas pas tarder. »
« D'accord d'accord. »
« Ben enlève toi. »
« Attends un dernier. »
« Mmmh, je t'attends ! »
Fallait pas lui dire de fois à notre Yulia, elle l'embrassa rapidement puis la fit frissonner avec un bisou chaud dans le coup et remonta, à la rencontre de ses lèvres. Encore un baiser durant plus d'une minute.
« Tu partages beaucoup de choses avec ta sœur ? »
« A par la chambre rien. »
« Ah bon, tu devrais en profiter d'avoir une sœur, pour te confier, parler de mode, je sais pas moi, en tout cas ça doit être bien d'avoir une sœur. »
Lena rejoignit sa louve qui c'était levais pour explorer la pièce, elle mit ses mains autour de ses  hanches et posa son menton sur son épaule et marmonna :
« Pourquoi, tu aurais voulu avoir une sœur, pour te tenir compagnie ? »
« Ben ouais, chuchota-elle en se retournant, mais maintenant j'ai de la compagnie, de la belle compagnie je dirais. »
Elle ne résista pas une seconde à Yulia, elle l'embrassa encore une fois, ne se souciant plus que sa sœur devait arriver. Après un tendre embrassement qui n'en finissais plus, Yulia demanda :
« Elle à eu beaucoup de copain ta sœur ? »
« Pourquoi ? »
« Ben vu comment elle est physiquement elle devait plaire à tous les mecs ! »
Une photo en noir et blanc peut être, mais ses photos mettent en valeur le physique de cette sœur, charmante oui, mais pas plus que Lena se disais Yulia.
« Alors je te la laisse ma sœur ! » se fâcha Lena pour de semblant.
« Quoique, elle est peut être lesbienne... Si c'est dans les gènes... »
Sourire malicieux de Yulia, regards surpris et fâchées de Lena, la tête de la rousse plu tout de suite à Yuyu qui ne s'attarda pas à se faire pardonner par un simple baiser, simple oui pour nous, mais délicieux et magnifiques pour elles.
« Ma sœur a eu de mecs, ça n'as jamais vraiment marchées... Vu le temps qu'elle les gardés ! »
Lena commença à rigoler se souvenait que sa sœur n'était pas la reine des relations durables.
« C'est-à-dire ? »
« Ben... Ma sœur est sortie avec un mec, elle nous la présentait le deuxième jour ou elle l'avait rencontrés, un mec malpolis et idiot... Bref, lui a durée 3 jours... »
« Et l'autre ?! » ria Yulia amusée par la façon dont Lena parler de sa sœur et ses conquêtes.
« L'autre, lui à battu le record, un bon gars sympathique accro au jeux vidéos... Lui il à durée 4 jours, record battu. »
« La raison du cassage ? »
« Il l'avais battu à un jeux de combat... »
Yulia l'as regarda l'espace d'un instant elle cru sa sœur folle et elle éclata de rire, Lena avec.
« Elle est trop forte ta sœur !! »
« Ouais j'avoue. »
Elles se posèrent sur le lit, et Lena réfléchi un moment, sa sœur dormait souvent chez des filles et inversement.
« Tu sais... songea Lena... Ma sœur ramène souvent des amies à la maison... »
« Des potes quoi ! »
« Non, là c'est que des filles... En ce moment elle ramène souvent une fille et... Mince son nom ma échapper ! »
« Peut être qu'elle est comme toi, vous devriez parlez plus souvent !! »
« T'as raison mais bon... Ca m'énerve je sais plus son prénom ! »
« Moi je sais pas celui de ta sœur donc... »
« Ben ma sœur elle s'appelle Ludmilla mais on l'appelle Lu. »
« Original ! »
Elles rigolèrent un moment puis Lena essaya de se rassurée :
« Mais ma sœur parle trop de mecs pour être lesbienne et aimée les filles, elles seraient même trop timide pour les em... »
Elle fut couper par la porte qui c'était ouverte violemment, Yulia ne se retourna pas mais quand elle regarda sa chérie elle remarqua que celle-ci avait les yeux écarquillés la bouche ouverte, une expression de surprise et de choc.
« Qu'est-ce qui..., demanda Yulia en se retournant, et en une fraction de seconde, elle c'était arrêter en pleins élan, interloquée par ce qu'elle voyait...
La sœur était bien là, mais pas seule, je crois que Ludmilla avait oublié qu'elle n'était pas la seule dans cette chambre. Ludmilla était en train d'embrasser passionnément une jeune fille que l'ont ne connaissait sûrement pas. Tout en l'embrassant elle ferma la porte, lèvres toujours l'une contre l'autre, même que c'était plus qu'un baiser passionnée...
[...]Elles continuèrent encore et encore dans leur lancer, jusqu'à que l'une d'elle regarde autour d'elle et aperçoit les deux jeunes filles assises sur le lit, les yeux écarquillées, Ludmilla poussa un soupir étouffé :
« Hum... »
Puis reprit plus sérieusement, elle était gênée mais essayais de le cacher par des sourcils fronçaient :
« Lena qu'est-ce que tu fout là ? »
« Je te signale que nous partageons la même chambre depuis quelques jours déjà ! »
Un silence régna dans la pièce comme si quelqu'un était mort, Yulia se leva et annonça :
« Bon, s'exclama Yulia en tapant dans ses mains, je crois que vous devez vous parlez donc ont va vous laissez sœur à sœur. »
Puis elle alla vite chez Lena lui souffla à l'oreille « je t'aime », et lui caressa le bras jusqu'au bout des doigts avant de s'en allait avec l'amie de Ludmilla (hum plus qu'amie jdirais !). Dès que la porte se referma, le silence reprit, Ludmilla observa sa sœur puis demanda :
« Tu t'es fait quoi à la jambe ? »
« Une voiture m'as renversée, j'était en train de chercher Yulia et dans mon élan je... Attends c'est pas moi qui te dois des explications c'est toi ! »
« Qu'est ce que tu veux savoir, c'est clair non ! Tout se que je te demande c'est de ne pas le balancer à nos vieux ! »
« Tu peut être sur que je le dirais pas... Lu, je suis comme toi ! »
« Hein ?! Comme moi ?! » s'exclama surprise Lu qui n'en croyait pas ses oreilles.
« Oui, j'aimes les filles ! »
« Je vois, et Yulia c'est ta proie, tu lui dis quand ? »
« Elle le sais, nous sommes ensemble. »
« Depuis quand ?! »
« Aujourd'hui ! »
« Ah ! Tite sœur, tu m'étonneras toujours ! Heu... Deux secondes, vous avez rien fait dans la chambre hein, vous n'avez pas... »
« Mais non, coupa Lena amusée, tu crois qu'on va le faire le jour même ! »
« Moi j'l'ai fait ! »
Lena avait sûrement entendu mal mais sa sœur l'avais bien dit, elle l'avait fait, la grande sœur avala sa salive essayant de dire quelques choses mais ça ne sortais pas, elle c'était dépêcher sur les mots oubliant se qu'elle disais, elle était tellement contente que sa sœur sois comme elle, qu'elles puissent enfin partageais se monde qui est maintenant le leurs à toute les deux.
« Avec qui ? »
« Ben, Mina ! »
« Ah mais oui, Mina !!!J'avais complètement oublié son prénom ! »
Elles rigolèrent alors en cœur, elles pouvaient parler sans tabou maintenant c'était vraiment géniale comme sensation pour les deux sœurs... Du côté des deux amantes des sœurs et ne disaient rien, jusqu'à que Yulia osa demander :
« Combien de temps avec Ludmilla ? »
« 1 mois déjà et toi ? »
« Hum, depuis aujourd'hui donc... »
« Ah ouais je vois ! »
Elles aussi rigolèrent, se qui brisa la glace et se qui leur permis de parler de leurs relations amoureuses.
Beaucoup plus tard, rassemblement des quatre filles dans la chambre.
« Ca vous dits de jouer à action, vérité ou chiche ? »
« Pourquoi pas ! » dit Yulia intéressé par ce jeu.
« Bon alors je commence, mmmh.... Yulia action, vérité ou chiche ? » fit la malicieuse Ludmilla.
« Action ! »
« Génial, hé hé, marmonna-t-elle en se frottant les mains, alors Lena ma dit que vous ne vous êtes pas encore roulez un patin, c'est l'occasion ! »
« Heu... On préférez attendre un peu et si les parents... »
« Les parents c'est sur ils ne viendront pas, ils préparent à manger et puis attendre à quoi sa sert vous vous aimez ! »
« Bon ok, on le fait ! » confirma Yulia surexcitée.
« Allez-y. »
Yulia s'approche de Lena, la main à coté de Lena sur le lit et l'autre sur le coup de Lena, elles ne sont plus qu'a quelques centimètre, la rousse fait un sourire amusée, puis Yulia rie mais se rire et vite avala par les lèvres de Lena, en prenant leurs temps et s'embrassent avec une passion fougueuse jusqu'à que Yulia ouvre un peu sa bouche pour y sortir sa langue, Lena fais pareil, leurs langues se croisent plusieurs fois pour après rentrer à nouveau dans leurs bouche respectives, puis le baiser se finit sans langue mais avec tendresse. Les deux grandes sont très étonnées, de la passion qu'elles pouvaient transmettre dans un seul baiser.
« Ouahou ! C'est l'amour fou ! » dit Mina très étonnée.
« Ouais, moi jla kiffe ma Lena en plus elle embrasse bien. »
« Mmh, tu veux que je te remontre mon talent ? »
« Avec plaisir. »
Maligne cette Lena, tout pour embrasser sa chérie, mais bon Yulia n'est pas contre !! Mina et Ludmilla les regardent,  après quelques secondes de spectacle Ludmilla propose de continuer sinon elles ne s'arrêteraient jamais !
« Mina action, vérité ou chiche ? » questionna Lena à son tour.
« Chiche. »
« Est-tu chiche.... De rouler une pelle au nombril de ma sœur ?! »
Un fou rire s'empara de Yulia, Lena et Lu, suivi de Mina qui annonça :
« Je suis chiche ! »
« Alors fait-le ! » s'impatienta Yulia.
Mina lança un regard à sa chérie souleva son tee-shirt puis descendu jusqu'au nombril de son amoureuse et commença à l'embrassais, je crois que Ludmilla senti bien la langue puisque elle commença à rougir et a rigoler. Après le suçon du nombril, elles continuèrent à jouer pendant un bon bout de temps, jusqu'à que la sœur de Lena déclara une bonne nouvelle :                               
#Posté le mercredi 21 juin 2006 15:53
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hellafuckedup666 · 1 year
Text
To the man who made me realize I could still fall in love.
I know we’ll never happen and I hurt like hell right now, but in the end I want to say thank you. I didn’t think I could still fall for someone who wouldn’t hurt me on purpose. Who’d make me cry and make me bend over backwards for the thrill of it. I think I’ll always regret not being enough for you. I hate that you can’t see what I see when I imagine a future with you. I feel like everyone before you was a waste of time and I finally understand why it never worked with those boys. But I’ll never understand why life didn’t want me to make it work with you. I wish you would see me differently, I wish you would get butterflies when you think about me. I wish you would only have eyes for me.
I don’t regret telling you how I feel, so I’ll leave the speech I nervously wrote before taking to you that night. And if you ever end up seeing this, just know I think we could be everything we’ve waited our whole lives for. I know you said no and it would never happen between us, but I’ll always wonder if a relationship with you would have been as magical as it seems in my head.
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Je le fais totalement pour moi mon speech live et je te demande juste de m’écouter jusqu’à la fin.
Je suis pas très bonne pour dealer avec mes émotions, je pense que tu me connais assez pour savoir ça. Le fait est que ça fait tellement d’années que je pousse tout ce que je ressens au fond de moi-même que n’importe quel feeling devient rapidement overwhelming et une source d’anxiété. J’essaie de changer ça mais disons juste que ça se fait pas du jour au lendemain. Mais disons que j’ai fais quelques réalisations dans les derniers jours qui me donnent envie de changer ma façon que je vois mes coping mechanisms et juste la vie en général. Je vais passer au travers de ce que j’ai à dire et je te demanderais d’attendre que j’ais fini avant de répondre sinon je serai pas capable de passer au travers.
Je veux que tu comprennes que je suis vraiment surprise moi-même par comment je me sens. Disons que notre conversation de samedi soir m’a vraiment plus affecté que ce que je pensais. Ça m’a pris un peu de court et je pense que ça m’a comme fait explosé, à faire de tout pousser vers le bas, ça va finir par remonter et je savais que je ne pouvais plus continuer comme ça longtemps. Que ce soit par rapport à n’importe quoi que je vis, pas juste ce que je t’explique live.
Je sais que c’était pas notre deal et tes intentions avec moi ont toujours été très claires, donc je veux que tu saches que je ne te blâme pas du tout pour la situation. Le sexe et les sentiments ont toujours été séparés pour moi et ça reste vrai. Je le sais parce que t’es pas le premier de mes amis avec qui j’ai cette relation et j’ai jamais eu de problème. Mais bon j’ai réalisé samedi que mes sentiments pour toi vont plus loin que juste une attirance sexuelle. Je me sens mal dave, vraiment coupable d’avoir développé de quoi pour toi parce que j’ai l’impression que je viens scrapper notre amitié. Et c’est peut-être selfish que je te fasse part de comment je me sens en ce moment, parce que je sais très bien que tu ne ressens pas la même chose pour moi, et mes feelings deviennent un peu ton fardeau aussi maintenant. La raison pourquoi j’ai choisi de t’en parler est parce que mon anxiété est tellement intense depuis les derniers jours que j’arrive plus à manger, à dormir. Après avoir débattu pas mal toutes les options, c’est la seule solution que j’ai trouvé pour me sentir mieux.
L’autre raison est que je ne veux vraiment pas te perdre. Tu restes un de mes meilleurs amis et la relation d’amitié qu’on a depuis 4 ans est toujours très présente. J’ai toujours tenu beaucoup à toi, même de manière platonique. J’ai sincèrement pensé juste m’éloigner et ne rien t’expliquer, pis t’aurais juste jamais compris ce qui s’est passé, mais je me suis dit que je te devais des explications since que t’es pas juste un autre des gars qui sont passés et sorties de ma vie tout aussi rapidement. T’es toi, et t’es une très bonne personne.
Je suis vraiment orgueilleuse, et je sais que j’ai tout caché et je suis resté sur le même discours de  « j’veux rester célibataire » depuis les derniers mois. C’était vrai en partie je crois, mais c’était aussi une façon pour moi de me convaincre que j’étais pas entrain de m’attacher à toi. Also tu peux imaginer à quel point c’est vraiment difficile ce que je fais en ce moment, considérant ma personnalité.
Encore une fois, je sais que c’est selfish mais j’ai besoin de t’entendre dire que tu veux pas de moi. Vraiment très clairement si je veux passer à autre chose. Mon but est de te retrouver comme ami dans un certain temps, mais je vais avoir besoin de m’éloigner de toi et je pense que tu comprends. Donne moi 2-3 semaines et je devrais être correcte. J’espère que t’es pas trop freaked et j’espère aussi que tu ne me sortiras pas de ta vie de manière permanente parce que ce n’est vraiment pas ce que je veux. J’essaie honnêtement de sauver notre relation mais aussi de sauver ma santé mentale. Je fais assez d’anxiété comme ça.
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