everybody’s always on writing prompts like “what if there was a world where everyone had a timer ticking down to their death… but you met someone whose timer said infinity!” or “what if everyone had their cause of death tattooed across their forehead… but you met someone whose forehead said THE CREATURE!” Enough -
enough. stop with the shock value. there is no need to insert THE CREATURE; the benign concept of such a world is horrifying enough. not even in urgency, but just in banal, everyday interaction. imagine you meet someone and their timer says two years. not tomorrow, not urgently soon, but two years. enough to do quite a lot. they could fall in love in that time - could they get engaged? have a baby? you might otherwise get to know them, befriend them, but perhaps you opt not to, make a conscious choice not to invest in your own grief. what balancing act would every individual person have to participate in - I have ten years, is that long enough to be a good mother to children? is that long enough to secure a caretaker for my own mother? my wife will die a few months before me. my newborn’s timer reads nineteen years.
and cause of death. you interview for a job and emblazoned across the healthy, smiling face of the HR lady is MALNUTRITION. your country is prospering, safe, but every person you meet on the street from the babies to the old women read BOMB. BOMB. what kind of havoc would fate wreak on the world? what about the loss of privacy? how would that shape our notions of hope? idk man I think a lot of those ancient poems were right, and the fates are monsters. I’m interested by the framing of these ideas as trite horror tales when the premises themselves are so much more disturbing if simply taken to their logical ends
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"well one genocide is better than xyz genocides" Have you ever considered that Palestinians are not your sacrificial lambs. have you ever considered we deserve to live just as much as you do
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RE: talking to conservative parents, I’ve found a good method to de-worming their brains is to not get riled up, just act a little bored and remind them “the news cycle only shows salacious stuff. They want you to be mad and scared because it makes you easier to control. Think about it for a second. Do you REALLY believe everything they have to say?” Or “you can’t believe everything you read or see on the internet. Remember, they earn money every time you click on their video.”
And especially when my dad starts getting huffy about Prices or Artists He Doesn’t Like, I tell him “that’s the beauty of capitalism. they have a product to sell and the freedom of expression if you don’t like it you don’t have to buy it.”
Might not work for everyone but dad’s KRYPTONITE especially is saying “but dad that’s capitalism! You LOVE capitalism!” And he either has to stop complaining or admit capitalism is bad and so far I haven’t lost
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Algorithmes : ces formules qui polarisent
Ce n’est pas un mythe, les plateformes de médias sociaux utilisent des algorithmes pour personnaliser le contenu affiché à chaque utilisateur. Ceux-ci tiennent compte des préférences, des interactions passées et des habitudes de navigation de chacun. Officiellement, cette personnalisation vise à améliorer l'expérience utilisateur. Dans les faits, elle est la cause de la grande polarisation des idées dont nous sommes témoins partout sur la planète avec comme résultat une augmentation constante, en virtuel, mais aussi dans le réel, de haine et de violences.
Image: Canva
Le double tranchant d’internet
Selon Frank Valencia, membre de l'équipe-projet Inria COMETE au LIX de l’École polytechnique interviewé pour l'article Réseaux sociaux : la modélisation mathématique peut-elle contribuer à réduire la polarisation des opinions ? du journal Le Devoir, « Le rôle des réseaux sociaux est relativement paradoxal. D’un côté, le monde est plus interconnecté, nous avons un meilleur accès à l'information et aux différentes opinions », constate-t-il. « Mais, de l’autre, il ne faut pas oublier le fait qu’ils peuvent façonner les opinions des utilisateurs à une échelle sans précédent, donnant lieu à une large polarisation ».[1]
En effet, les réseaux sociaux, devenus omniprésents dans notre quotidien, donnent accès à une quantité infinie de données sur tous les sujets imaginables et nous permettent d’en partager tout autant. Mais les algorithmes, en proposant aux internautes des perspectives toujours similaires aux leurs, limitent leur exposition à des points de vue divergents et renforcissent ainsi des croyances préexistantes qui mènent à la polarisation des idées.
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Comprendre le fonctionnement des algorithmes : une arme utile
De son côté, l’ingénieur français spécialisé en intelligence artificielle Guillaume Chaslot[2] affirme que « l’obsession des plateformes à garder captifs les internautes a eu pour conséquence de monter les citoyens les uns contre les autres ». Et M. Chaslot sait de quoi il parle, puisque jusqu’en 2013, son travail consistait à créer les algorithmes de YouTube!
L’ingénieur milite aujourd’hui pour la transparence des algorithmes. Il rappelle qu’il est essentiel de connaître les mécanismes qui choisissent ce que nous voyons en ligne et selon lui, « La bonne marche de notre démocratie en dépendrait ».
Les risques de la viralité
Les réseaux sociaux sont le terrain de prédilection de la viralité, puisque le contenu peut se propager rapidement à travers le monde. Cependant, cette viralité est souvent sélective, favorisant les contenus sensationnels ou extrêmes. Les informations polarisantes, qu'elles soient politiques, sociales ou culturelles, ont tendance à générer davantage d'engagements. Une enquête du New York Times a d’ailleurs conclu que l’algorithme de recommandation de YouTube est susceptible de suggérer du contenu toujours plus extrême. Donnée plutôt inquiétante !
Une réflexion s'impose!
Les réseaux sociaux jouent un rôle essentiel dans la formation des opinions et la dynamique des débats. Cependant, la polarisation croissante qui émerge de ces plateformes pose des défis sérieux à la cohésion sociale et à la compréhension mutuelle. Il est impératif d'en prendre conscience et de favoriser des algorithmes qui génèreront des interactions plus diversifiées et constructives pour atténuer les clivages qui menacent la stabilité de nos sociétés.
Sources:
[1] https://www.inria.fr/fr/reseaux-sociaux-biais-cognitifs-modelisation-mathematique
[2] https://www.ledevoir.com/societe/600191/serie-tous-polarises-ces-algorithmes-qui-nous-divisent
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