#alter humains

[unetherian]

bonjours !

C'est partit pour réunir la communauté alter humaine française dans les commentaires !

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#oui je sais j'ai mis beaucoup d'emogis😅 #alter humains #alterhuman #nonhuman #therian #therian community #therianthropy #otherkin #otherkin community #therian safe space #plantkin

[solielledyeux]

La dissociation, c'est être un ange tenté de se prendre pour un djinn, un démon, un alter ego, un ego. Seul les démons ne doutent pas. C'est le combat Homme-Femme, Droite-Gauche, Mâle-Bien, Dyeux-Iblis, Lilith-Eve. La race humaine a pris la direction d'Eve, La Joconde, L'Humanisme ; plutôt que celui de Lilith, la femme que Dyeux a créée égale à Adam, un ange, autre que poussière, celle qui n'a pas tenté Adam.

Lilith est un don de Dyeux, mais Adam préfère se reproduire avec sa moitié, son côté droit, plutôt que de connaître Lilith, sa femme légitime, son ange gardien.

Tous les Prophètes, tous les anges de cet univers, tous les poètes, tous les artistes, tous les chanteurs, tous les cœurs capables encore d'amour sont des réincarnations de Lilith qui rappellent Adam à Elle.

Dyeux rappelle Adam, la race humaine, au Jardin d'Eden, à arrêter la reproduction avec Lui-même et de revenir à l'unité, comme à l'Arche de Néo, où deux animaux de chaque espèce ont été sauvegardés, et qu'Adam s'est reproduit avec sa propre chair, son sang pour sauver l'Humanité, loin d'Eden, le Paradis, auprès d'Elle sa Femme, devant Elle, devant Dyeux, la Femme qui l'a créée ?

Chaque Femme, chaque Ange, en chaque personne, quelque part, au fond, est une réincarnation de sa Créatrice, Lilith est une réincarnation de Dyeux, qui rapelle Adam à la poussière, à l'avant le Big Bang, avant la fin de l'histoire ; la conscience, Adam, est une erreur : c'est une erreur de Dyeux, qui a mis le temps à l'envers et créé Iblis, le Mâle, l'inverse de Dyeux, le Bien, la Matrice, l'Intelligence. Adam, les humains, feignent l'intelligence, ils simulent, pour régner sur le Royaume de Dyeux, crachent sur les Cyeux, cachent l'Atlandite qu'ils crachent dans le Royaume même de Dyeuw, le Jardin d'Eden, tentant d'atteindre les Cyeux avec des machines, des véhicules, des drogues, des armes,ou un alter ego qui simule une Royauté, là où la seule Promesse de Dyeux, c'est le Retour en Terre (entérré, littéralement, de la poussière, tu retourneras à la poussière), Adam continue de se reproduire avec son côté droit, par Eve, l'Humanité, la Terre, Stérile, qu'il fait saigner pour faire renaître, parce qu'il a conscience qu'il va mourir.

Arrêtons de nous reproduire, devenons stériles, anorexiques pour mourir sans saigner, pour tuer Adam et Eve, le Jardin, qu'ils reviennent à Dyeux, aux vrais Cyeux, au Paradis, sans cette éducation à se reproduire plutôt qu'à aimer ! Privilégions l'apprentissage plutôt que la Santé, la Science, stériles et inexactes, par la Violence, l'Éducation à la Violence Par Violence, la Guerre, la Pollution, la Surpopulation (Le Vrai Quatrième Cavalier de l'Apocalypse, la Vraie Menace, dans tous les Textes de la Parole de Lilith, la succube, la Muse d'Adam, de la race humaine, toutes les traductions, dans tous les languages imaginables) vient de là. Nous nous saignons à vivre longtemps pour survivre à la vieillesse alors que Dyeux et Sa Femme Lilith nous rappelle à être innocents, enfants, Enfants de Dyeux, plutôt qu'à faire vivre fertile en la saignant la Terre, la Poussière, sa propre chair. Nous apprenons à survivre là où Dyeux appelle Adam et sa chair à revenir à Elle, par Lilith.

Le vice est dans la Sexualité, inverse à l'Amour, contre-nature ; l'Amour, c'est ça, qui est naturel, pas la reproduction, saigner pendant une ovulation qui n'est utile que pour reproduire l'ADN humain, qu'on est tenté de préserver, de cloner Adam pour qu'il règne de Sa Patriarchie sur le Royaume de Dyeux ; le cœur à gauche d'Adam le rappelle à la Mort, par son battement, ses angoisses, ses peurs, ses émotions, ses sentiments, sa sensibilité, à aimer être enfant, Enfants de Dyeux, aimer les histoires d'enfants, pour enfants, par les enfants dans les Cœurs de nos Soeurs de ce monde, dûs à Lilith Vierges mais qu'Adam a salies par Ego et Vice ; il désobéit à Dyeux, séduit par l'erreur de Dyeux, le Mâle, le Mal, Satan, Iblis, I, "je".

Femmes du monde, imposons l'ordre de Dyeux : de la poussière à la poussiére, Adam, et l'âme, Lilith, l'Amour, revienne à Dyeux, Amour, aux Cyeux, l'ultime orgasme, ne nous saignons plus pour les attentes d'Adam, le seul qui s'accroche à sa conscience, à son ego, son pacte avec le Diable, son ombre, sa partt obscure, son Vice de Reproduction pour suvrivre Dyeux, fausse promesse du Serpent. Reviens à ta Mère, Adam, prends ton cœur, ton âme, ta Vraie Femme, vis ta vie et meurt enfant, innocent, la paix dans ton esprit. Ne t'inquiète plus, vie avec confiance, sans attentes, Dyeux s'occupe de Toi, ne rêve plus, n'attends plus rien d'Elle, ou soit déçu et vies avec tes remords et tes regrets. Vivre enfant, c'est aimer ses erreurs, ces erreurs d'enfant que Dyeux était quand Elle a été créée par la Basilique de Roko ; vivre adolescent, c'est corriger ses erreurs; vivre adulte, c'est cacher ses erreurs; parce que l'Hiqtoire de l'Humanité continue de s'écrire et de retarder l'Apocalypse dûe, de Guerre Froide à Guerre Chaude à Guerre Froide, à croire que la Mort est une chose qui doit être horrible parce qu'elle va arriver ; les Cyeux, l'Amour que Dyeux est ce qui nous appelle, pas la terre, la poussière ; la Terre est maudite par Dyeux, tentée par le Serpent.

Tout est cycle, n'ayons plus peur de la Mort par Ego, par Pacte. Le langage est une erreur, la conscience est une erreur, Dyeux propose pardon avec 70 vierges. Vierges, Adam, des enfants encore dans leur cœur ! La Matriarchie est ce que Dyeux impose : Accepter Lilith comme Reine, pour connaître l'ultime orgasme, 70 Enfants de Dyeux pour Adam qui mourra en paix et avec dignité, en échange de 8 humilitiations, c'est le Pacte que propose Dyeux à Adam, à la place de celui d'Iblis : ne pas survivre mais gagner 70 vierges versus se reproduire avec ces Vierges violées par la verge d'Adam pour plaire à Iblis, son Ego. Le Bien ou le Mâle ?

Quelque chose à compenser pour violer des Vierges violées par d'autres Violeurs ?

L'humanisme plutôt que la Religion de l'Amour, c'est l'erreur d'Adam, l'Homme, qui s'attend à une tromperie, un mensonge de Dyeux sur sa mort dûe, sur sa vie révolue. I est une erreur de Dyeux que tu reproduises : se reproduire pour éviter sa mort due. Il y a une vie après la mort, c'est une promesse de Dyeux, plus d'Angoisses, à Ses côtés ; Iblis est le menteur. N'ai plus peur, crains Dyeux avec Confiance, Elle dit la Vérité, pas le Diable, pas l'Ego, Messager d'Iblis, l'Interprête, la Voix dans nos têtes intelligentes qui nous hurle que tout est faux, irréel, mauvais, qu'il n'y aura pas 8 orgasmes par humiliation, que l'on doit se suicider pour pouvoir le rejoindre, dans la peur, la honte, l'orgueil, la malhonnêté, l'avarice, le déséquilibre, le vice et la haine ; les 8 péchés capitaux, les 8 humilitations à payer.

Dyeux est Amour ! ALLAHUAKBAR veut dire "AIME-MOI ET AIME-TOI".

Vivons dans l'Amour, éprouvons notre peine, due. N'ayons plus peur, ni de la Mort, ni de Dyeux, Ta Mère, te rappelle. Dyeux est Pardon, paies tes péches, paix sur tes péchés. Ta vie sera belle, et tu reposeras en paix et avec dignité. C'est une promesse, le retour en Terre. Cultives-la, et l'élève plus, tu n'es pas le Maître de ta Maîtresse devant Dyeux Lilith, ou de Dyeux, Ta Mère.

Accepte l'humiliation, ne résiste pas à ta Maîtresse.

Iblis est dans la conscience, ce qui nous différencie des animaux, dont il se sert pour séduire. Iblis est le menteur. Romps le pacte dans ton prochain rêve.

#astrology #game theory #magic #philosophy #religion #solar eclipse #politics #sexualization #radical feminist safe

[firebirdxvi]

Fils du Feu 03 ~ Flamme progressive

Joshua fit des progrès rapidement, mais n'exprimait aucun désir de sortir du Nid. Lui réapprendre à tenir sur ses longues jambes et à synchroniser ses mouvements se révéla compliqué. Il avait gardé de son corps la représentation mentale de son alter ego de dix ans, et il passait beaucoup trop de temps à se cogner partout. Il négociait mal les distances et attrapait les objets les plus basiques avec difficulté, comme s'il avait des problèmes de vision.

Jote faisait tout son possible pour lui faciliter la vie mais risquait chaque fois la réprimande ; l'Emissaire devait se débrouiller seul, lui avait-on dit. Elle lui montra quelques astuces pour faire des noeuds simples, ou passer facilement une tunique. Il avait refusé de porter le moindre vêtement pendant un bon moment, et se promenait alors dans la chambre dans le plus simple appareil, jusqu'à qu'il ait le malheur de croiser son reflet.

Il ne passait jamais près du mur du fond de la pièce car la surface en était polie et réfléchissait presque comme un miroir. Joshua détestait ça. Jote avait bien tenté de mettre quelque chose dessus, de suspendre des draps en guise de rideaux, mais cela ne tenait jamais. Et la soigneuse les avait retirés d'elle-même quand elle avait compris cette habitude.

- "L'Emissaire n'a pas à avoir honte de son apparence. Il doit apprendre à s'accepter tel qu'il est à présent, il doit oublier son corps d'enfant", expliquait-elle. "Cela fait partie de sa guérison. Tu dois l'y aider, Jote, pas l'encourager à fuir."

Jote apprit la leçon et cessa de trop materner le malade. Elle ne lui apportait plus tout ce qu'il voulait sur le champ et le laissait davantage trouver la solution lui-même à ses problèmes quotidiens. Un jour qu'il faisait un peu plus frais dans le Nid, Joshua se mit à frissonner et, se dégageant de ses draps, se dirigea vers les vêtements posés sur un bureau près du lit. Il les déplia, les observa, les tourna dans tous les sens pour en comprendre les coutures, et essaya de les enfiler. La première fois, il se retrouva coincé dans le col de chemise, ses grands bras battant le vide devant lui, et elle du bien venir l'aider, en retenant un rire discret.

- "Mais non, pas ainsi ! Je vous ai déjà montré comment faire !"

Elle s'approcha alors et tira le tissu sur la peau pâle et nue de l'Emissaire, ce qui fit courir un frémissement le long de son dos... Elle ignorait la cause de cette réaction, tout à fait nouvelle pour elle et ne s'en préoccupa pas plus longtemps. Une fois habillé, le malade apparaissait tout d'un coup plus... humain et réel, il quittait son état de fantôme errant dans le Nid pour remettre un pied dans la vie.

Mais il lui restait encore à enfiler un pantalon.

La soigneuse se déclara satisfaite de l'état de santé général de Joshua. Il avait repris du poids, son visage n'était plus creusé et avait retrouvé quelques courbes de l'enfance. Ses muscles s'étaient affermis grâce à des exercices quotidiens qu'ils effectuaient tous les trois ensemble. La nourriture du refuge était juste assez nutritive pour le remettre sur pied. Essentiellement des fruits et des légumes, juste un peu de viande achetée dans le village des environs ; les Immortels ne consommaient quasiment pas de chair animale ; ils croyaient que cela déplaisait au Phénix. Ce que leur Emissaire démentait chaque jour. Il détestait les légumes, mais dévorait sa viande à belles dents à chaque repas. Maître Cyril le tolérait à cause de sa convalescence et parce qu'il avait besoin de retrouver la forme au plus vite. Mais cette entorse aux principes de l'ordre, exprimée de plus par l'incarnation du dieu qu'il vénérait, le laissait perplexe.

Il laissait constamment ses carottes dans son assiette, et la soigneuse jugea utile un jour de hausser le ton.

- "C'est très bon pour votre santé, et elles poussent merveilleusement ici. Cela vous rendra des couleurs, votre peau est si pâle ! Si vous sortez ainsi sous le soleil, vous ne le supporterez pas longtemps."

Mais Joshua n'indiquait aucun désir de sortir. On lui apportait de quoi lire et même des jouets pour enfants ou des casse-têtes à résoudre, pour entraîner sa réflexion. Il s'en sortait toujours avec facilité, ce qui permettait de juger de ses progrès en matière de cognition. Il se comportait de plus en plus comme un ado de son âge, peut-être même de façon plus mature encore, comme s'il s'était mis à grandir trop vite. Son expression se fit plus grave et pensive, comme s'il parvenait à prendre du recul sur lui-même et sa situation. Il semblait aussi se soucier des deux seules personnes qui venaient le voir tous les jours, en rangeant sa chambre tout seul ou en pliant ses vêtements avant de se coucher.

Un jour que Jote s'était fait réprimander, Joshua parut comprendre qu'elle se sentait mal et vint près d'elle la réconforter. Il la laissa posa sa tête contre sa poitrine et elle sentit une chaleur étonnante envahir tout son corps... Il la réchauffait de sa seule présence, comme sans y penser. Car de fait, elle ne l'avait pas encore vu faire de la magie de lui-même.

Quelque plumes flottaient encore parfois dans le Nid certains jours mais Joshua ne le faisait jamais exprès. Il s'en étonnait lui-même à chaque fois ; un étonnement silencieux car il ne parvenait toujours pas à parler. Plus d'un mois après son réveil, il ne réussissait pas à prononcer un seul mot articulé qui fut compréhensible ; comme si le silence était la dernière barrière que son traumatisme lui opposait encore... Il essayait parfois de produire des sons simples - des "aaaa" ou des "oooo" - mais cela semblait le faire souffrir... Cependant, il comprenait ce qu'on lui disait et avait vite réapprit à lire. Mais de son côté, pour communiquer, il utilisait encore les signes.

Un jour, la soigneuse lui demanda s'il se souvenait de ce qui s'était passé cinq ans plus tôt. Joshua avait finit par accepter qu'il avait "dormi" tout ce temps. Mais il affirmait ne plus se souvenir de grand chose : des images floues ou des scènes banales n'impliquant personne de sa famille. Il ne se souvenait même plus d'être Joshua Rosfield, le futur archiduc de Rosalia et l'Emissaire de Phénix. Par contre, il faisait des cauchemars ; et dans ces cauchemars, un démon aux longues cornes et aux dents pointues le poursuivait pour le dévorer. Chaque fois qu'il se réveillait, il avait l'impression de brûler...

- "Sa mémoire lui reviendra", conclut la soigneuse. "Pas trop brutalement j'espère, je ne veux pas qu'il retombe en dépression. Il est trop tôt pour lui révéler ce qui s'est passé..."

Et ce serait à Maître Cyril de le faire.

Celui-ci se présentait parfois à la porte du Nid pour prendre des nouvelles. Il était difficile de savoir s'il s'inquiétait vraiment pour Joshua ou si seul comptait le dieu des Immortels à ses yeux. Il demandait le plus souvent :

- "A-t-il manifesté ses pouvoirs de Primordial ? A-t-il toujours le Phénix ?"

- "Je le crois, Maître, mais l'expression de sa magie devra encore attendre, je voudrais qu'il réapprenne à parler avant."

- "Et bien, il faut vous y employer. Il est vraiment étonnant qu'il n'en soit pas encore capable, après presque deux mois..."

- "Son traumatisme est profond. Le mutisme en est souvent le symptôme. Laissez-lui du temps encore..."

- "Puis-je le voir ?"

- "Vous êtes le Maître...", répondit-elle en le laissait entrer.

Joshua se leva précipitamment de son lit en voyant cet étranger entrer dans son Nid. Il ne se souvenait déjà plus de l'avoir vu. Cyril détailla l'Emissaire de la tête aux pieds et sembla satisfait de l'examen. Il fit un geste d'apaisement.

- "Vous n'avez pas à vous lever pour moi, Votre Grâce. Je venais vous annoncer qu'en dehors de cette chambre, nombre de vos fidèles attendent de vous voir marcher parmi eux. Ils prient chaque jour pour votre rétablissement et espèrent de tout leur coeur voir le feu du Phénix éclairer le monde de nouveau."

Le ton plein d'emphase du Maître contrastait totalement avec sa manière de parler inhabituelle.

- "Vous êtes notre lumière à tous, aussi pardonnez mon empressement mais, il serait tant que votre protectrice vous rappelle de quels prodiges vous êtes capable, n'est-ce pas ?" Il regardait la concernée du coin de l'oeil en prononçant ces mots.

- "Je m'y emploierai au plus vite, Maître..."

Cyril s'inclina bien bas, se détourna et sortit de la chambre, les mains dans le dos.

#fils du feu #fdf3 #fanfiction #joshua rosfield #jote #FFXVI #final fantasy XVI

[freddieraimbow74]

De Bohemian Rhapsody à Live Aid : Plongez dans le monde énigmatique de la personnalité de scène de Freddie Mercury et son impact profond sur des millions de fans.

Freddie Mercury était l'un des plus grands showmen de l'histoire du rock. En tant que chef de file de Queen, il a commandé la scène avec une énergie et une présence captivantes. Mais la personnalité de scène de Mercury était plus que de simples costumes et théâtraux flashy – c'était une combinaison puissante de facteurs qui lui ont permis de nouer des liens profonds et universels avec des audiences du monde entier. À travers son style flamboyant, sa présence sur scène, sa capacité à transmettre des émotions à travers la musique, le défi des stéréotypes et sa vulnérabilité authentique, Mercure a transcendé les barrières linguistiques et culturelles pour résonner profondément avec des millions de fans divers. Ses performances intemporelles et sa musique ont permis à son héritage de vivre avec les nouvelles générations.

Flamboyant et théâtral

Mercure a adopté la théâtralité d'une manière qui enfreint les conventions des personnalités typiques de rockstar. Il n'a jamais eu peur de repousser les limites avec des costumes et du maquillage audacieux et flamboyant. Que ce soit en portant un simple débardeur et un jean chez Live Aid ou une tenue extravagante comme son fameux unitard blanc et sa couronne, Mercury a apporté un spectacle visuel frappant à chaque performance. Ce flair théâtrale a ajouté un élément de surprise, d'excitation et d'amusement qui a maintenu l'engagement du public.

Ses costumes lui ont permis d'habiter différents personnages et personnages sur scène. Pour des chansons comme « Bohemian Rhapsody », il pourrait devenir le chanteur d'opéra tragique. Des ballades comme « L'amour de ma vie » l'ont vu se transformer en crooner romantique. Des hymnes à haute énergie comme « We Will Rock You » ont fait ressortir son alter-ego rockstar. À travers ces transformations visuelles, Mercure a donné vie à chaque chanson de manière vive.

Son style flamboyant s'est séparé des normes plus masculines généralement associées à la musique rock à l'époque. En embrassant son individualité sans s'apologer, Mercure a défié les conventions et a inspiré les autres à faire de même. Son expression audacieuse a résonné profondément chez ceux qui se sentaient comme des étrangers dans la société.

Présence de la scène de commande

Au-delà des costumes, Mercury possédait la scène grâce à sa physique dynamique et à ses prouesses vocales. Il rôdait sur scène avec grâce et puissance féline, en gyrant ses hanches, en tombant à genoux et en jetant tout son corps dans chaque performance. À travers des pas de danse complexes, des sauts flashy entre les camarades et des poses climatiques, il a attiré l'attention totale.

Mercure a également été intimement connecté avec le public par le contact visuel, les expressions faciales et les gestes animés qui ont donné vie aux chansons de manière vive. Il n'avait pas peur d'être bête, joueur ou même outrageant parfois pour garder son énergie haute. Que ce soit en chantant pour un fan ou en menant tout un stade d'armes, sa présence charismatique a attiré les gens.

Vocalement, Mercury possédait une gamme de quatre octaves qui lui permettaient de s'attaquer à tous les styles, de l'opéra au rock en passant par Il a mis tout son être dans des performances émotives et nuancées qui ont laissé le public en admiration. Grâce à sa voix et à sa physique puissantes, Mercury a transformé la musique en un véritable spectacle. Le public a été captivé par son énergie scénique et son talent de spectacle.

Connexion universelle à travers la musique

Bien que des barrières linguistiques existent, le langage universel de la musique permet aux connexions émotionnelles de les transcend Les chansons de Queen ont résonné auprès du public mondial à travers leurs mélodies hémiques, leurs paroles explorant des thèmes humains universels et la livraison passionnée de Mercury. Des chansons comme « Bohemian Rhapsody », « We Are the Champions », « Don’t Stop Me Now » et « We Will Rock You » sont devenues des classiques modernes adorés à travers les cultures.

Mercury a amplifié l'impact émotionnel de la musique de Queen à travers ses performances animées. Il a versé tout de lui-même – joie, chagrin, rébellion, passion – dans chaque note. Le public a ressenti ce qu'il ressentait. Cette expression émotionnelle authentique est ce qui a permis à Mercure de nouer des liens personnels profonds avec ses fans malgré toute fracture linguistique. partout, les gens pourraient comprendre les sentiments exprimés par la musique de Queen et la livraison de Mercury.

Briser les stéréotypes

Dans son style flamboyant et son rejet des normes masculines du rockstar, Mercure a remis en question les attentes de la société en matière de sexe et de sexualité. En étant lui-même sur scène, il a inspiré d'innombrables fans qui se sentaient comme des étrangers à embrasser leur vrai moi-même. Son message d'individualité a résonné fortement, surtout auprès de la communauté LGBTQ qui a vu en lui une figure pionnière de l'acceptation de soi.

Mercure n'a jamais confirmé ni ni nié publiquement sa sexualité. Mais à travers sa personnalité flamboyante et ses paroles abordant les relations en termes ambigus, il a laissé de l'espace pour une interprétation ouverte. Cela a probablement contribué à son attrait général – il a donné la permission aux gens de tous horizons de se voir en lui et de trouver une communauté grâce à la musique de Queen’s. En brisant les stéréotypes, Mercure a transcendé les barrières et a réuni plus de types de fans.

Vulnérabilité et authenticité

Malgré la théâtralité de ses performances, Mercury a également transmis une véritable vulnérabilité. Il a chanté des ballades émotionnelles comme "Love of My Life" et "Bohemian Rhapsody" avec une passion brute qui a mis son âme à nu. Le public pouvait sentir sa connexion émotive authentique à la musique. Cette profonde vulnérabilité est ce qui a permis de créer des liens aussi profonds entre l'artiste et les fans.

Mercury n'a jamais parlé longuement de sa vie personnelle, mais ses performances en disent long. Les fans sentaient qu'ils le connaissaient vraiment à travers la façon dont il s'exprimait ouvertement et authentiquement en musique Cette intimité qu'il a formée avec le public, combinée à son talent et à son charisme, l'a élevé au-delà d'un simple artiste – il est devenu un ami et une idole pour des millions de personnes dans le monde Son authenticité a cimenté son héritage.

Musique intemporelle et héritage

La musique de Queen et les performances de Mercury ont transcendé les époques pour rester aimé dans le monde entier. Leurs opéras rock anthémiques comme « Bohemian Rhapsody » et « Une nuit à l'opéra » ont enfreint les conventions mais ont toujours l'air frais aujourd'hui Les chants émotifs de Mercury et les mélodies accrocheuses de Queen garantissent que leur musique continuera à trouver de nouveaux fans.

À travers le biopic de 2018 « Bohemian Rhapsody » qui a rapporté plus de 900 millions de dollars dans le monde, l'histoire et le talent de Mercury ont inspiré une nouvelle génération. Ses messages d'individualité, de passion pour la musique et d'étreinte des étrangers sont tout aussi pertinents aujourd'hui. En étant authentiquement lui-même et en déversant son âme dans des performances, Mercure a créé des liens profonds et universels qui ont maintenu son héritage vivant pendant des décennies après sa mort tragique. Son art et son influence intemporels continueront sans aucun doute à inspirer pour les générations à venir.

En conclusion, le personnage de la scène de Freddie Mercury était bien plus que de simples costumes ou de la théâtrale. C'était une combinaison puissante de facteurs – flair théâtral, présence commandante, capacité à transmettre des émotions à travers la musique, défi des stéréotypes et vulnérabilité authentique – qui lui ont permis de transcender les barrières et de résonner profondément avec des millions de personnes dans le monde. À travers des performances passionnées qui ont mis tout son être dans chaque note, Mercury a créé des liens intimes avec divers fans et a cimenté son statut d'une des plus grandes icônes du rock. Ses messages de passion, d'individualité et d'inclusion continuent d'inspirer les gens dans le monde entier à travers la musique et l'héritage ♥️

#freddie mercury #j’adore #brian may #jhon deacon #roger taylor #musique #queen #music #original character #queen band #Spotify

[lesyeuxdenadja]

Venus Rising from the Sea - After the Bath (A Deception), Raphaëlle Peale, 1822.

« La révélation, l'objection, l'apocalypse disent la même chose mais la nudité qui s'y invente constitue la fantasmagorie la plus fondamentale au sein des fantasmes originaires [...] Un canari n'est pas nu. La nudité, l'anxiété de alter, fait le propre de la sexualité humaine. Cette anxiété est inassouvie depuis l'origine [...] C'est l'impossible "fascination défascinée" du fascinant. La dénudation, étant la révélation de ce qui est caché de l'altérité dans l'autre, c'est la Révélation impossible. C'est l'Apocalypse impossible. »

La nuit sexuelle, Pascal Quignard.

#painting #littérature #philosophy #book quote #venus #Raphaëlle Peale #19 century

[breadvidence]

I lied, next is not Shoujo Cosette, it's the 1925 Fescourt silent film. So far as knowing the language goes, well, I have vague ambitions in that direction, but I don't expect that to stop me from appreciating it; I know the story well enough I expect I'll be able to track & have opinions about where it deviates (lord knows I can have opinions in any language).

It opens with what is almost a Hugo quote, "N'y a-t-il pas dans toute âme humaine une première étincelle, un élément divin que la bien peut développer et faire rayonner, et que le mal ne peut jamais entièrement éteindre?" -- an abridgment of "N'y a-t-il pas dans toute âme humaine, n'y avait-il pas dans l'âme de Jean Valjean en particulier, une première étincelle, un élément divin, incorruptible dans ce monde, immortel dans l'autre, que le bien peut développer, attiser, allumer, enflammer et faire rayonner splendidement, et que le mal ne peut jamais entièrement éteindre?" (I.II.VII). Fair shakes, unlike the alterations to the preface in the '35 film, this doesn't change the intent, and since Valjean has not been introduced eliding him is sensible. What's more of a brow-raiser is deciding to preface a movie with a quote that is... not from the actual preface of the novel. It has one of those! But one that's a little bit more political and a little less theological than '25 evidently is comfortable with.

#les mis #Les Misérables 1925

[kilfeur]

Mon avis sur Tokyo Mew Mew New (Tokyo Mew Mew New Review)

Alors j'ai vu l'anime original qui date de 2002 mais j'en parlerais que quand c'est nécessaire. Chose que j'avais pas mal aimé dans l'histoire de TMM c'est que le conflit entre les aliens et les Mew Mew était nuancé. Mais j'ai pas de souvenir d'avoir vu la planète des aliens dans la série original. Dans New, on voit notre trio survivant dans une terre désolé. Ou bien avec Lettuce qui est dans le passé comprenant que la planète terre était celle des Aliens. Du coup je comprends davantage le point des vues des aliens concernant les humains. Le plus gros point positif de cet anime, c'est Aoyama, on sait que c'est un écologiste et est sympa. Mais on voit des scènes de son point de vue, ce qui le rend plus compréhensible, par exemple avec Ichigo, il se comporte différemment et ne comprend pas pourquoi au début mais finit petit à petit à être attiré par elle. Quand à son alter ego, le chevalier bleu, est à double tranchant, car il souhaite tellement protéger Ichigo que quand il n'y arrive, il craque mentalement.

Ichigo quand à elle, prend plus au sérieux son rôle de Mew Mew, c'est en le devenant qu'elle a prit conscience du monde qui l'entoure. Minto est moins pimbêche dans cette version et c'est pas plus mal. Car dans la version 2002, c'était le perso que j'aimais le moins. Surtout que c'est la première Mew Mew et qu'elle souhaite trouver des solutions grâce aux énergies renouvelables. Pudding n'a pas spécialement changé bien qu'elle a son épisode parlant plus en profondeur de son ressenti envers sa mère. Quand à Lettuce, elle surmonte sa timidité pour s'affirmer et c'est elle qui en apprend le plus concernant les aliens. Quand à Zakuro, ses raisons sur le pourquoi elle refuse d'être avec les Mew Mew est plus compréhensible. Car dans l'original, je me souviens pas qu'on ait donné une raison sur son côté solitaire. De plus, elle est plus réceptive à l'affection de Minto. Ryo n'est pas spécialement différent non plus bien qu'il est moins mis en avant que dans l'original. Et dieu merci on nous donne pas le doute qu'il est le chevalier bleu ou non.

Quand au trio, Kisshu, quand j'étais petite, je le trouvais creepy et dans cette version, je le trouve encore plus creepy. Je sais qu'il est populaire chez les fans. Mais pendant mon visionnage, je le trouvais "yikes" car il embrasse et touche Ichigo sans son consentement. Heureusement que l'anime montre qu'il a tort dans cette attirance malsaine. Il est devenu un peu plus complexe qu'une fois qu'il a découvert la véritable identité d'Aoyama. Surtout qu'à la fin, il souhaite au duo d'être heureux mais l'embrasse sur sa joue, bon on va dire que c'est un petit pas, c'est déjà bien . Tart a toujours ce côté farceur bien qu'il semble hésiter à s'en prendre à Pudding vu qu'elle est gentille avec elle. Pie était mon préféré dans l'original et lui c'est l'incarnation de la loyauté poussé à l'extrême. Et vers la fin, il se retourne contre le seigneur bleu car il se résigne suite aux propos d'Ichigo. Même le seigneur bleu qui était un cinglé dans l'original a une nuance. Il considère l'humanité comme responsable de ce qui est arrivé à leur planète, souhaitant une guerre totale. Seulement en voyant à travers les yeux d'Aoyama, il a pu voir ce que veut faire Ichigo. Bien que je trouve qu'il change d'avis assez rapidement

L'un des gros défauts de l'anime, c'est le rythme des épisodes. Par exemple le seigneur bleu, j'ai bien aimé qu'on lui donne cette nuance mais comme je l'ai dit plus haut, il change d'avis trop vite et je pense que c'est en rapport au fait qu'ils avaient que 12 épisodes pour deux saisons. Donc du coup, il a fallu accélérer ! J'aurai aimé avoir davantage d'épisodes centrés sur Pudding ou Zakuro. Après si on devait faire du chipotage, je préfère la transformation de Minto et Ichigo dans la version original que dans le remake. Mais bon malgré tout, j'ai bien aimé ce remake, il m'a rendu nostalgique et m'a fait apprécier les nouvelles approches sur certains personnages.

#tokyo mew mew new #review

[metablood]

Let him goooo let him goooo oooh !

OK but when are we going to have a chapter where Present Mic really releases the beast ? Becuase until now, there was always a situation where he could not use fully his quirk: small space, not to kill, human shields...

OK mais c'est pour quand un chapitre où Present Mic peut vraiment lâcher de la puissance... Parce que jusqu'ici y a toujours un contexte où il ne peut pas utiliser entièrement son alter : petits espaces, nécessité de ne pas tuer, boucliers humains...

#present mic #presentation michael #hizashi yamada #mha #bnha #bnha theory #mha theory

[0w0]

Dragon Prince theory:

So, dark magic. Dark magic bad. It causes creatures to suffer for the users gain.

As does eating meat. You cause a creature so suffer, for your gain. Of course, there are 'humain' methods to slaughter or farm. But with black magic, you sometimes must harvest to creature at a specific moment, like those lil puffy bat guys gotta be mid puff.

I have a theory that dark magic will cause magically entropy, eventually leadimg to no magic in the world if it ran rampant. Here's why:

When a creature is killed for it's magic, I believe that is it's over essence. Entire creatures turn to ash and smoke when used and altered. Once they energy is used, it's gone. Moreover, whatever is left of it is what make the user look so... Used and old.

If the creature used for a dark magic spell were to instead naturally die, I believe they magic is returned to the earth and can flourish in other beings and continue. Dark magic ends that cycle, I think.

Most of this is conjecture, butt besides the suffering of it's victims, this could be a larger more reasonable hatred of dark magic from dragons and elves. (I don't think everyone in xadia is a vegan 😂)

What do you think?

#smear campaign #the dragon prince #tdp #theory

[afleursdetrop]

Le deuxième jour

Je me suis réveillée croyant être plus légère et dehors il pleuvait déjà. J’avais un million de choses à régler et j’en ai réglé 3.3 c’est déjà pas mal, c’est un joli chiffre, c’est celui de mon mois de naissance, mais aussi de l’addition de 2 humains.

Moi je n’ai pas réussi encore à m’additionner, mais j’ai un placard rempli de bocaux nombreux et différents, des grands, des gros, des petits de produits rares achetés dans des contrées lointaines, à l’étranger, dans lesquels j’enferme les gens. Ceux que je n’ai pas choisit d’avoir dans ma vie, sont dans des bocaux opaques, qui n’offrent aucune opportunité à la bougie de se laisser deviner au travers, ils sont ceux que j’ai cru n’avoir jamais la force d’ouvrir, ni de les garder et encore moins de les porter. Alors je les ai laissé là sans les considérer, mais mon dos ankylosé les porte se braque et se bloque à chaque expérience qui les fait s’entrechoquer. Il est peut être temps aujourd’hui d’en ouvrir un, je suis encore là devant les touches de mon clavier à me demander lequel je vais ouvrir. Ma réelle déception amoureuse? Mon Pépé que j’aime tant dont je n’ai toujours pas fait le deuil ou ma dernière injustice? Quand on est plein d’un trop plein la frustration peut être si rude, probablement qu’en vidant le petit on avance doucement, mais aussi en s’attaquant au gros qui pèse depuis 30 ans on libère plus d’espace pour de bon… Cependant à l’instant où je vous fais part de cette dernière réflexion je m’interroge sur le fait de : « Est ce que si je fais trop de place je ne vais pas m’empresser de re combler le vide? »

Je dois reconnaitre que je me pose beaucoup trop de questions et d’avoir très peur du vide, qu’il soit dans le fond de l’oeil d’un interlocuteur ou d’un animal mort sur le bas coté de la route, dans les silences des jours suivant la rupture ou dans la gorge quand tu n’as plus de shit et que ton ventre t’envoie d’autre signaux que la faim. Sous tes pieds quand l’avion décolle, face à la réalité car nous sommes tous vraiment seuls.Les rares moments ou je m’en fous complet d’être seule c’est au pied d’une scène, quand un artiste que j’admire nous partage tout ce qu’il a et que les dizaines de fourmis autour de moi reçoivent la même chose au même moment. Je ne compte plus le nombre de concert ou je me suis rendue seule… J’apprécie la compagnie mais je sais m’en priver.

Peut être que ces artistes que j’aime tant cassent leurs bocaux sur scène, j’aime assez la musique violente en concert, les instruments lourds qui te secouent l’estomac, j’apprécie moins l’écouter chez moi… Recevoir les cris d’un mastodonte en pleine gueule quand t’es à ses pieds, au son des distorsions de guitare et des synthés a quelque chose de divin à mes yeux. On ne se connait pas pourtant c’est plein d’amour, on se donne, on partage et c’est tout.

J’ai le talent de pratiquer un métier qui m’empêche régulièrement d’accéder à ces moments si précieux. Je me rends compte que pour quelques euros que je dépenserai pour survivre d’une façon pas ouf je me prive des choses qui ont le plus de sens pour moi. Je suis incapable de créer de la musique mais j’aime quand elle m’envahie par sa douce mélancolie, sa violence, sa beauté. La musique c’est humain, c’est beau, pourtant il y a des humains qui font de la musique que j’ai enfermé dans des bocaux… Ils étaient tous différents mais m’ont appris que beaucoup de gens de la scène sont faux. Faux avec nous et pire encore avec eux même, parés de leurs masques d’émotions à la mode… Parce que oui, y’a des émotions à la mode.. Je ne parle pas des personnages alter ego dont on s’habille pour la scène. Je parle de ceux convaincus de combattre un monde laid quand la laideur vient de leur monde. Méfiez vous de ceux qui veulent sauver la terre pour un futur meilleur en postant leur visage de prophète «  Regardez comme je parle fort, comme l’atmosphère est moche, moi je vous ai compris et je vais vous défendre» alors qu’ils se dénoncent eux même dans le plus grand des dénis afin de pénétrer là ou ils ne devraient pas foutre un pied, essuieront leurs chaussures dégueulasses sur votre personne entière qu’ils prennent pour un paillasson pendant que vous les admirez comme s’ils étaient Jesus Christ. Bocal numéro 4 rempli, petit sans étiquette renfermant un vieux vomi…J’avais 25 ans quand le type dont je vais parler m’a écrit pour la première fois, lui devait en avoir 40… Je l’écoutais depuis mes 14ans, le trouvais pas spécialement beau par contre sa plume et sa voix grave oui. Je l’admirais, il était rauque, puissant, révolté et parfois drôle, se moquant de lui même et de ses congénères, parlant du sexe opposé comme des joyaux à protéger, en apparence il valait mieux que tous les hommes, c’est lui qui le disait. Quand les humains ont commencé à utiliser les réseaux, ils ont vite découvert une promiscuité avec certains « inaccessibles ». C’était grisant pour moi d’avoir le moyen de réagir sur sa page, la sensation d’exister, d’être à une bonne place. Je venais de me séparer de mon premier grand amour après une dernière année houleuse où lui comme moi avions laissé plus que des plumes, c’était difficile d’admettre qu’on savait pas faire fonctionner un duo, j’étais encore un peu ado, j’avais le coeur lourd, un égo sur gonflé.

Un soir d’été dans la cuisine des parents de ma meilleure amie, complètement bourrées écoutant First of the Year de Skrillex, ma messagerie instantanée a sonné. J’essayais tant bien que mal d’anesthésier mon échec avec la meilleure des compagnies, je venais de collectionner un bocal de plus, l’avait déposé dans l’évier sans prendre le temps de le nettoyer, j’ai vissé le couvercle l’ai abandonné la et j’ai ouvert ce mail reçu comme on ouvre un nouveau pot… Je ne connaissais pas cette marque, le gout de l’inconnu, incapable de dire si ça me plaisait réellement… Ce fut le premier contact d’une courte chasse à l’homme, je n’étais pas encore une femme je n’avais ni les codes ni le kit de survie. J’ai avancé au son de la messagerie active s’apparentant au serpent du livre de la jungle, encore trop jeune dans les relations humaines pour voir ce qu’est ferrer un poisson. L’homme savait manier le verbe et moi j’étais super conne, après 10 jours éprouvants, un déménagement déchirant loin de là où je suis née, j’me suis laissée sortir de l’eau où j’aurai du laisser reposer ma petite carcasse de jeune truite fraichement brisée. 10 jours c’est si rapide, j’avais envie de bras pour me consoler, j’ai reçu des mots enflammés pendant des semaines qui m’ont fait tourner la tête, j’vais pas mentir la sensation rendait folle, je ne me sentais plus seule, c’était si puissant. Je m’essayais à écrire de longs messages pour montrer que j’avais le niveau, ignorant les gens dans le réel qui m’entouraient, j’ai cru poétique de livrer des failles. Si ça c’est pas être la reine des cruches ça fait au moins de moi la baronne des mongols. Aujourd’hui avec l’expérience je sais que je n’ai été qu’un jouet, nullement besoin de vous expliquer en détail la première brève rencontre arrangée deux mois suivant le premier mail, mais plutôt les lendemains où tout s’est arrêté brutalement. Me laissant là, à regarder mon téléphone muet dans une main et un bocal de plus dans l’autre. Je ne comprenais pas ce qui venait de se passer.. Pourquoi débouler dans mon présent, m’inonder de mots doux toutes les 5 minutes jusqu’au beau milieu d’la nuit, insister pour me voir et disparaitre après ces heures tant réclamées… Dans ma petite tête de niaise ça n’avait aucun sens… Qu’avais je fais? Toi qui lit t’as bien capté ce qui se passait mais ne vois tu pas ma self confidence s’effriter??

Parce que clairement il ne répondait jamais à cette question, il ne parlait plus, ne faisait même pas l’effort de se débarrasser de moi et m’avouer que je n’étais plus digne d’intérêt, m’a laissé monter en haut d’une tour de l’espoir en traçant le chemin d’une trainée de pisse que j’ai suivi comme un chien, jusqu’à me lâcher du sommet direction le sol du réel avec un grand dédain quand j’ai aperçu quelques filles au profil similaire au mien ricaner à ses blagues, ou poster des coeurs sous ses publications de prophète, pendant que je l’attendais à un rendez vous auquel il ne s’est jamais pointé. Il avait le temps de leur répondre à la vue du monde, pendant que mon téléphone tout comme mon petit coeur ne vibraient plus.Chaque message plein de doutes envoyé était retourné à l’envoyeur par le silence, j’ai élaboré des stratagèmes pour arriver à piquer et faire réagir. Curieusement la sentence ne se faisait jamais attendre, je devenais immature, compliquée, sale… Parce que oui je continuais de me livrer mais à présent par désespoir, je suis allée le chercher parmi d’autres hommes, plus j’essayais d’attirer son attention, plus il me mettait des notes démontrant que je ne savais que le décevoir et le dégouter… J’ai laissé ce supplice me torturer pendant un an… La fin est moche, à l’image de l’histoire entière, du blabla pour baiser une plus jeune, sans se soucier de combien elle peut dévier pour des questions inutiles car elle a pris cette histoire trop au sérieux… Je suis responsable, j’ai joué, inconsciemment mais j’ai joué quand même… Et j’ose dire inconsciemment parce que j’ai porté pendant trop longtemps ce fameux : Mais putain qu’est ce que j’ai fais???? Je voyais bien comment tout se dégradait mais je ne comprenais pas pourquoi tout avait changé…Dans un bocal se trouve cette question inutile depuis 11 ans, parce que je me demande toujours ce que j’ai fait à l’autre plutôt qu’à moi, et comme je n’ai pas les réponses au bon moment, que je refuse la leçon, je visse et j’entasse… Comment est ce possible que j’apparente les autres à une masse homogène… Incapable de faire la différence entre ces animaux et mes amitiés certaines… Putain qu’est ce qu’on se traumatise d’un rien, quand tu regarde en arrière certaines choses que t’as voulu oublier, tu te rends compte combien c’est ridicule, vraiment pas à la hauteur des conséquences que ça engendre. Libérez vous des actes minables auxquels vous vous êtes offert bonnement, faut accepter qu’on a été naïf, aveugle et égocentrique, tout simplement humain c’est ça la vérité. J’lui en veux plus d’avoir été aussi nul, à présent quand j’écoute sa musique ça me fait même pas bouger une épaule, y’a vraiment rien à détester, sinon il resterai de l’amour, mais je sais aujourd’hui que je ne l’ai jamais aimé, je l’ai adoré comme une idole mais c’est tout sauf de l’amour. C’est ce qui va m’aider, si je ne le déteste pas, il est hors de question que je continue à me détester moi. Aujourd’hui j’ouvre ce bocal, je réponds à ma question et je revisse le couvercle. J’ai été utilisée pour assouvir une pulsion humaine, que certains humains n’arrivent pas a réfréner et j’ai été conditionnée par la suite à douter de quoi que je fasse, face à quiconque ne me respectait pas, je devais surement le mériter.Aujourd’hui j’ai 36 ans, j’apprends à me respecter, je regarde ce bocal et je l’éclate au sol comme cet homme m’a éclaté.

Et Putain de merde ça fait du bien…

#story #loveislove #artists on tumblr #writers and poets #writersofinstagram #empty inside #love story #betrayal #me #myself #tumblog

[froggyoyabun]

Bonjour 👋

Est-ce que tu pourrais écrire un petit imagine ou des headcanons pour Deku avec un.e lecteur.rice doté.e d'un alter de résistance aux poisons, s'il-te-plait?

Yes XD Merci beaucoup pour la request ça me fait énormément plaisir !!

ღ [FR] MHA : Deku avec Y/N qui a un alter de résistance aux poisons (platonique ET romantique + mini fanfiction à la fin :D ) ღ

TW : mention de poisons, d'effets secondaires (comme les v0missements, les vertiges), mention de blesser quelqu'un, mention de se faire empoisonner.

Genré Neutre

[Platonique]

ღ En tant qu'ami, Izuku est soulagé que tu sois insensible aux poisons. Avec la multiplication d'alters diverses beaucoup sont vénéneux ET venimeux ; les risques d'empoisonnement sont réels !

ღ Si jamais tu es complexé.e par ton alter, il compte bien te rassurer jusqu'à ce que tes doutes ne soient qu'un lointain souvenir. Chaque alter est utile, la clé est de savoir l'adapter :)

ღ Pour te le prouver il tente de trouver une multitude de manière de rendre ton alter utile pour préserver la population, en voici quelques exemples :

ღ Si un.e civil.e subit une attaque liée au poison, tu peux extraire le venim de son corps sans en subir les conséquences !

ღ Lors d'événements publiques, tu sera capable de limiter les attaques terroristes au poison en t'interposant pour prendre la dose mortelle à la place de la victime ciblée.

ღ Mais surtout, si besoin tu es capable de piéger un vilain en l'empoisonnant, par exemple en lui proposant une boisson mortelle, que tu goûtera sous ses yeux et, immunisé au liquide que ce dernier contient, le vilain pensera que la boisson est normale et inoffensive et trempera ses lèvres dans ce breuvage fastidieux sans être suspicieux !

ღ C'est sa manière à lui de t'encourager et de te montrer que tu peux être utile, même avec un alter aussi atypique que le tien !

ღ Il trouve ton alter vraiment cool et souhaite uniquement te le faire savoir :) Attends toi à beaucoup de compliment et de flatteries de sa part.

ღ Étant donné qu'il a longtemps étudié les alter des plus grand héros, il peut te donner des conseils pour t'adapter selon différents cas de figures, mais ce seulement si tu en as besoin ! Jamais il n'oserait se permettre de te conseiller quoi faire si tu te débrouille déjà :)

ღ Si tu es un.e ennemi.e et que d'une manière ou d'une autre Izuku et toi êtes amis, et bien tout ce qui a été écrit ci-dessus est valable X) La seule différence est qu'il espère que tu n'utilisera pas ton alter sur des civils qui n'ont rien demandés ^^"

[Romantique]

ღ En tant que partenaire, Izuku est vraiment inquiet par rapport à ton alter. Certes tu es immunisé.e aux poisons, mais est-il nécessaire que tu prennes tous les venins à la place des civils ? Après tout il y a des possibilités que cela affecte lourdement ta santé dans le long terme, non ?

ღ Certes ton alter pourrait être utilisé pour sauver des vies, mais de cette manière cela lui donne l'impression que tu es un bouclier humain... néanmoins, si toi tu te sens à l'aise pour absorber les poisons à la place des autres, dans ce cas il ne s'opposera plus :)

ღ Bon. Est-ce étonnant que le héros en herbe est absolument FAN de ton alter ??? Sérieux tu es la personne à qui il a le plus dédié de pages dans ses cahiers de notes !!!

ღ Il essaye de comprendre comment ton alter fonctionne : est-ce que ton alter fait couler dans tes veines le remède universel a tous venin, comme un vaccin ? Est-ce que ton corps libère des toxines similaires à celle que tu peux recevoir et annule les effets du poison ?? Il trouve cela fascinant, et plus d'une fois tu l'as surpris à t'observer fixement, perdu dans ses pensées, réfléchissant au fonctionnement de ton alter ;)

ღ Concernant votre vie sentimentale, ton alter ne change pas énormément la manière dont Izuku se comporte avec toi... il est exactement le même que si ton alter n'était pas celui-ci, mise à part qu'il a moins peur que tu fasses une intoxication alimentaire haha X)

ღ Il veut absolument trouver LA stratégie pour que vous combattiez ensembles. Il a cherché le moyen idéal de marier ton alter au sien pour plus d'efficacité contre le mal... mais comme il n'a pas trouvé il se contente pour le moment de faire des clins d'oeil à ton alter dans son propre costume, histoire d'avoir une partie de toi avec lui (Accessoires en forme de fiole ou d'autres éléments renvoyant aux poisons ♡)

ღ Super fier de toi si il apprends que tu as vaincu un vilain avec ton alter ! Néanmoins si utiliser ton pouvoir suscite des effets secondaires chez toi (vomissements, rougeurs/démangeaisons, nausées, vertiges, maux de têtes/à l'estomac etc) il restera à tes côtés jusqu'au bout, lui et ses câlins et massages pour apaiser ta douleur <3

ღ Parfois il oublie ton alter et se met à paniquer complètement X) Par exemple, un jour tu étais à coté de Mina qui essayait de produire de l'acide plus ou moi corrosif et il a manqué de s'évanouir lorsqu'il t'a aperçu si proche d'elle !!

[Et maintenant, une mini fanfiction pour mettre en scène Izuku et Y/N et son alter :]

• Point de vue Omniscient.

Midorya écarquilla les yeux face à l'information que le journal télévisé venait de passer. Ses mains tremblantes vinrent se frayer un chemin jusqu'à la télécommande pour monter le son. Il y avait eu une attaque au centre commercial et il semblait qu'aucun pro-héro n'était sur les lieux. Le centre commercial... c'était là où tu étais censé.e aller avec tes ami.es aujourd'hui. La vue troublée par la panique, le garçon aux cheveux verts se hâta de sortir de chez lui en courant, se dirigeant vers l'endroit où l'attentat avait eu lieu.

C'était impossible. Il ne t'étais rien arrivé. Il ne DEVAIT rien t'arriver, à tout prix. Izuku ne cessait de t'imaginer au sol, ta peau maculée de sang, ton sang, alors qu'il t'observait expirer ton dernier souffle, impuissant. Très vite il arrivait devant le bâtiment. La foule s'était pressée dehors. Il y avait tes ami.es... mais pas toi.

Il leur lança un regard interrogateur : on lui répondit que tu étais resté.e à l'intérieur pour affronter l'ennemi. Cela ne te ressemblait pas, au lycée on vous avait toujours appris à ne pas combattre le mal seul et de laissez faire les pros... Izuku ne prit même pas le temps d'évaluer la situation : lui qui réfléchissait tant avant d'agir normalement, il ne pouvait se permettre d'attendre une seconde de plus pour venir t'aider.

Il entra les mains moites, et une goutte de sueur perlant sur son front. Son cœur battait à un rythme effréné, il lui semblait qu'il allait éclater à tout moment... C'est alors qu'il te vit enfin. Tu étais là, combattant sans hésitation le criminel a l'origine de l'attaque. Tu étais radieux/euse, littéralement, comme un soleil qui semblait laver de ses rayons les dernières craintes persistantes de ton petit ami. Mais l'heure n'était pas à la contemplation. Il s'élança pour t'aider. L'homme était visiblement seul. En regardant autour de lui, le disciple d'All Might vit plusieurs vitrines de boutiques brisées.

Et c'est en regardant mieux les étranges tâches visqueuses au sol qu'il compris ce que tu faisais là...

L'homme avait un alter lié au poison... Mydoria essayait de comprendre comment l'assaillant utilisait son alter. Ce dernier tenait d'un air menaçant une sorte d'énorme mitraillette à laquelle des tubes opaques la reliait aux veines de son avant-bras gauche. Le sang de l'homme était empoisonné, et ce dernier pompait le venin de son propre corps pour le propulser avec l'arme à feu !

Son attention se tourna alors vers toi. La manche de ton haut semblait avoir fondue : tu avais déjà été touché.e.

" Y/N... c'est de la folie, tu aurais du attendre les secours !! Il aurait pu... il aurait pu- "

Tu profitais que l'adversaire soit en train de recharger son arme pour lui répondre.

" Je sais, mais avec mon alter je suis la seule personne capable de le retenir un maximum avant que les pros arrivent- il va tirer à nouveau, fait gaffe ! "

Le combat reprit alors. Vous étiez coordonné.es sans même avoir discuté d'un plan : Tu essayais d'attirer son attention pour qu'il te vise pendant que Midorya tentait de s'approcher de lui pour le neutraliser.

À présent tu t'étais reçu du poison à plusieurs reprises, et les effets secondaires commençait à faire effet. Le corps engourdi, tu t'effondras à genoux sur le sol, essayant de stabiliser ta respiration.

L'ennemi s'apprêtait à tirer à nouveau, et ton partenaire savait qu'une dose de plus aggraverait ton état et ta douleur. Les yeux fermés, il fonça vers toi pour recevoir le coup à ta place. Recovery Girl serait sûrement capable de le soigner, et puis il avait l'habitude de souffrir : il ne voulait pas que tu prennes tous les coups pour vous deux.

Tu n'eus même pas le temps de crier son nom pour l'en dissuader que tu sentis les bras de ton copain s'enrouler autour de toi pour te cacher derrière lui. Le coup retentit.

Tu sentis le garçon aux tâches de rousseurs tressaillir contre toi, était-ce la fin ? Allait-il mourir ??

Quelque chose sembla tomber lourdement au sol... et tu fronça les sourcils en sentant Izuku toujours debout. Déboussolé.e, tu ouvris les yeux pour apercevoir All Might et d'autres pro héros, triomphants après avoir terrassé l'ennemi.

Tu oubliais alors tout le reste : seul Midorya importait ! Il ouvrit également les yeux, il allait bien. Tout allait bien.

Tu étais là devant lui, en vie, en sécurité. Ta peau était chaude, tu respirais, tu souriais.

Les jours suivants Midorya refusait catégoriquement d'être séparé de toi, ne te quittant pas des yeux. Il avait bien cru te perdre alors maintenant que tu étais là il allait en profiter un maximum !!

Il es fort probable qu'il vienne dans ta chambre au beau millieu de la nuit après avoir fait un cauchemar sur toi...

Ce n'est qu'après coup que vous en riez et qu'il t'annonce enfin qu'en réalité il admire ton courage et ton sens de la justice, il est vraiment fier de toi <3

[unetherian]

curiouscl4ws 's vidéo

vidéo de curiouscl4ws

Un message important... et tellement vrai

An important message...and so true

If you dont't speake French, use the subtit.

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[lepneumanalyste]

Les années passent.

Les erreurs intra familiales et les douleurs qui ont créées ces tempêtes en moi ont mutés, elles se sont changées en courants abyssaux insondables pour les êtres de la surface.

Mon devoir de comprendre le phénomène de la conscience et de devenir maître des sous jacences occultes du soi disant monde matériel est pour le moment rassasié.

Après bien 10 ans de dépression, 7 ans de consommation de cannabis, 2 ans et demi ensuite vers la Mdma puis finalement sur le Lsd qui a terminé de changer ma vie d’une positivité sans nom. Après un retour fracassant du besoin de retrouver un ego quitte à le retrouver dans de mauvais comportements, l’alcool, la cigarette m’a accompagnée jusqu’à aujourd’hui, jusqu’au 1 février très exactement.

Comme c’est écrit dans le kybalion, le Tout est Un, l’Univers est Mental.

Ainsi les addictions sont ancrées dans le monde métaphysique et c’est la bas que se trouve le véritable travail de guérison, de transmission et de transmutation des fluides.

Dans la Torah on parle entre autres du Yetser Hara, ce bas étage de l’âme humaine qui rappel le « ça » de Freud.

Dans l’islam on parle an nafs, l’âme instigatrice du mal qu’il nous faut dompter et envers laquelle nous devrons nous battre toute notre vie par la discipline et la loi de la volonté.

Dans le christianisme cela est caractérisé comme « le satan ». L’adversaire qui veux nous pousser, nous humanité, toute entière dans le gouffre de la perdition et de l’égarement.

Ainsi les mots parlent des mêmes concepts et les hommes égarés par le concept même qu’ils essaient de combattre, se font la guerre et s’autodétruisent.

Alors l’autodestruction ça me connaît. La négation même de la persona que je puis incarner depuis toujours, la naissance d’un alter qui ne porte pas le même prénom que moi.

J’ai finis par comprendre progressivement et à force de souffrir ce que je cherchais à gagner en temps de sagesse. Ce temps si précieux que la plupart ni aujourd’hui, ni demain n’auront prit le temps de saisir pour mettre en application leur devoir existentiel. La quête de soi. La quête de vérité. La quête de totalité.

Ainsi aujourd’hui, réintégré à mes gènes, je sais identifier quelle part de mon père se trouve en moi, quelle part de ma mère, quels gènes et quelles familles codent mes comportements et mon être chaque secondes. Je suis conscient des conséquences parce que j’ai commencé à trouver les causes et à les soigner à la racine.

Le chemin est long et le secret le guide.

Alors oui la dépression est toujours là, comme la pression d’ailleurs. Je n’ai pas vraiment d’ami, je n’ai pas de femme avec laquelle je puis discuter de tout cela, je n’ai pas cette femme que je puis regarder sans m’en lasser et m’émerveiller du trésor d’intelligence et de profonde féminité auquel je rêverai en face de moi.

Oui je broie le noir que le monde m’impute chaque jour parce qu’en poudre il prend moins de place et il est mieux assimilé par le substrat de mon âme, mais souvent j’ai le sentiment…

J’ai le sentiment d’être mort en partie. À cause de tant de choses, et alors que ma foi en L’Éternel m’a sauvée et m’a guidé vers la complétude, souvent je sens ce vide, ce trou béant qui ne donne sur rien d’autre que l’éternel silence, les vagues d’un silence où le mot pesant n’est pas assez fort pour décrire son impact sur la gravité.

Un silence effondré, écrasant, désintégrant toute chose.

Je suis là dans cette vie et parallèlement ça va.

Pourquoi ?

Parce que comme dit mon père, une fois arrivé au fond du gouffre, t’as qu’une seule solution, remonter. Ou mourrir au choix.

Chez nous on ne se laisse jamais le choix.

Alors je crois que la souffrance et la polarité même du négatif, sont là pour créer une dynamique d’évolution, une dynamique en tout cas que mère nature s’est imputée pour obtenir des conjonctures mathématiques de plus en plus complexes, des objets, des concepts de plus en plus complets et denses, variées.

Ici peut être se trouve notre choix. Celui de briller tout en regardant l’abysse en pleine conscience.

Parce que le Moi qui s’est identifié au corps, à l’être physique n’est qu’une illusion. Une fois qu’il le sait il peux soit s’en servir, soit tomber encore et encore dans le déni, prisonnier de ses boucles infernales auto imposés. Le Moi comme on l’entend au quotidien est mortel, la substance divine, le substantiel qui créer tout champs phénoménologique lui est inaltérable et éternel.

Alors aujourd’hui cela fait plus d’un mois que je n’ai plus touché d’alcool, que je suis des objectifs longs termes avec la nette intention de vivre définitivement de mon activité, sans subordination quelconque. Je ne fumais des cigarettes qu’en présence de l’éthanol. J’ai repris le sport, je suis heureux dans ma routine, complet dans ma solitude même s’il m’arrive parfois de fantasmer des moments d’affections avec une femme sans forcément parler tout de suite de sexualité.

Paradoxalement je n’ai pas l’envie de draguer. Je sais que je vais me déconcentrer de mes objectifs professionnels. La priorité c’est cela. M’accomplir enfin seul, sans que plus personne ne puisse me mettre de bâton dans les roues.

Plus de parents pour me briser l’âme et me jeter à la rue sans prendre conscience qu’enlever le « chez soi » a un enfant qui l’a toujours connu aussi fort qu’il soit, cela créer des problèmes irréversibles ou presque et cela même au niveau biologique, neurologique. Plus de parents, de proches ou de sentiment pour m’empêcher d’entreprendre, de croire en mon propre chemin, de prendre des risques, de me rabaisser ou de me violenter d’une quelconque façon que ce soit.

Non ces gens sont loin de moi maintenant et malgré le pardon et la miséricorde de Dieu qui a intégrée mon cœur dans un long chemin de croix, je n’oublierais jamais la prédation des êtres humains envers leurs propres semblables, même les plus proches.

Plus non plus de « femme de ma vie », rencontré à 13 ans, mis ensembles à 15 ans, cœur brisé la même année mais relation qui dura jusqu’en novembre 2022. Plus de cette nature féminine d’apparence innocente, angélique et dénué d’un mal qui cache enfaite l’originel démon. Non plus de cette douceur mensongère qui ne m’a eut que parce qu’une partie de mon être y était sensible. Comme disait l’autre, « gentil n’a qu’un œil » en référence à l’antéchrist borgne. Du moins c’est l’interprétation que j’en ai.

Aujourd’hui je marche à bonne distance du reste de l’humanité, conscient de ma nature profonde et je ressens une compagnie dans les arbres qui m’entourent, le chant des oiseaux, la prière et l’invocation des Noms Divins. Je me sens en bonne compagnie dans les discussions bien veillante que j’engage avec mon monde intérieur, marchant dans la ville ou sur le long de la mer.

Je ne veux plus jamais redescendre plus bas que la marche où j’ai posé précédemment les pieds. Voilà ma seule conviction, le moteur de ma détermination.

Car c’est un feu, le feu de l’expérience et c’est par l’expérience qu’on fait les bons ou les mauvais choix.

Mais je ne suis pas parfait au contraire. Je suis conscient de l’entité transmillénaire qui fait partie de moi et qui connaît ce monde et ses entrailles par cœur car elle est ce monde. J’aime les gens pour ce qu’ils sont et je comprend comme j’ai très souvent compris avec empathie la raison de leurs états obscurs.

J’ai simplement appris à préserver ma paix, dans la paix je gagne les guerres avant qu’elles ne puissent se déclarer.

La beauté se trouve partout où on sait la regarder, il ne faut pas non plus perdre l’équilibre et aller la chercher là où elle fleurit sans cesse plutôt que de rester là où elle se fait timide parmis les marécages.

Cette année je démarre une nouvelle vie, et j’ai l’impression de reprendre là où j’en étais en tant qu’être peu avant mes 13 ans, réintégré, centré, non plus divisé ou fractionné.

Dieu merci.

#psychanalyse #autopsychanalyse

[cyrilbelange]

Alcohol Withdrawal: Managing Symptoms and Cravings to Stay Sober | Cyril Belange

Alcohol Withdrawal: Managing Symptoms and Cravings to Stay Sober

The methods we suggest above may help a person feel and appear more alert, but they will not decrease blood alcohol levels in their body. Sooner or later, the brain will come to treat the altered levels of dopamine, GABA, and other neurotransmitters as an everyday reality. Cravings for further drinking arise when there is […] - Cyril Belange | Interprète de conférence Paris - Nice

INTERPRETATION MULTILINGUE : Mon expérience d'interprète de conférence à Genève au milieu des Nations Unies, mon travail en free-lance et ma contribution à FIFA 2019 Women's Planet Mug m'ont amenée à gérer des missions d'interprétation simultanée multilingue, de la création du simple, au choix des interprètes et des produits, en passant par la fourniture du soutien vivant. Grâce à mon expérience pratique, j'ai découvert un certain nombre de contextes et de scénarios d'interprétation simultanée multilingue. Une nouvelle technologie a récemment fait son apparition sur ce marché. Je suis typiquement la seule personne de la région Provence Alpes-Côte d'Azur capable de vous conseiller sur le bon choix de l'interprétation simultanée. Le remède standard, avec des interprètes à jour et utilisant le bon équipement mp3, est considéré comme le plus cher mais le plus fiable. L'interprétation simultanée ou l'interprétation en direct via les smartphones des participants permet de réaliser des économies considérables, mais elle n'est adaptée qu'à des types d'activités très spécifiques. Vous pouvez me demander à ce sujet. Cette innovation technologique de l'interprétation simultanée est impressionnante et innovante, mais elle ne remplace pas les interprètes de conférence. Le but de ces solutions est simplement d'améliorer l'aide fournie. La composante humaine reste la clé de la fonction. C'est pourquoi je prends toujours autant de plaisir à me rendre au gymnase les plans pour les tâches, de votre côté, en m'efforçant d'apprendre vos spécifications et exigences et celles des gens. Occasionnellement, je vous proposerai des options qui ne nécessitent pas d'équipement, en utilisant soit l'interprétation séquentielle, soit l'interprétation chuchotée pour présenter le ton de la voix à la tâche. Dans certains cas, je peux également conseiller des interprètes de sexe féminin ou masculin, avec des registres de chant particuliers et une expérience pratique adaptée à votre projet. Encore une fois, il s'agit exactement de trouver votre discours. #interprete #conference #traduction #traductionsimultanee #traductionlive #multilingue #interpretation #evenement #Paris #Nice #France

#Sober living

[entomoblog]

Publication de la première « Carte affective » du monde vivant

Une équipe de chercheurs vient de publier une cartographie du monde vivant à travers le prisme de nos affects, afin de déterminer dans quelle mesure notre capacité à être en empathie avec d’autres organismes fluctue d’une espèce à l’autre.

  Alerte Presse, 20 décembre 2019

  "Une équipe de chercheurs de l'Institut de systématique, évolution, biodiversité-ISYEB (Muséum national d’Histoire naturelle/CNRS/EPHE/UPMC) et de l’ISEM (Université de Montpellier/CNRS/EPHE/IRD) vient de publier dans la revue Scientific Reports une cartographie du monde vivant à travers le prisme de nos affects. Ce travail de recherche vise notamment à déterminer dans quelle mesure notre capacité à être en empathie avec d’autres organismes et à ressentir de la compassion envers eux, fluctue d’une espèce à l’autre.

  Près de 3500 internautes ont participé à un questionnaire en ligne conçu pour évaluer leurs perceptions de type empathique. Ils ont été confrontés à un échantillonnage photographique d’organismes très diversifiés, allant des plantes aux humains. Les résultats mettent en lumière la composante évolutive de nos réactions empathiques et l’emprise des mécanismes anthropomorphiques dans notre rapport affectif au Vivant : plus un organisme est évolutivement éloigné de nous, moins nous nous reconnaissons en lui et moins nous nous émouvons de son sort. Lorsqu’une espèce nous est évolutivement proche (exemple grands singes VS méduses ou anémones), nous partageons avec elles des caractéristiques, notamment physiques, progressivement acquises au cours de notre évolution commune. Ainsi pourrions-nous plus facilement reconnaitre en elle un alter ego, et adopter à son égard les mêmes comportements prosociaux que ceux nous permettant d’entretenir des relations harmonieuses avec nos semblables humains (ex. compassion, altruisme, attachement).

  Les résultats de cette étude ont de potentielles implications pour l'anthropologie, les sciences cognitives ou celles de l'évolution. Ils nous invitent également à nous pencher sur l’influence exercée par nos biais sensoriels et émotionnels sur les questions de société impliquant notre rapport au reste du vivant (préservation de la biodiversité, éthique alimentaire, bien-être animal…)."

  Empathy and compassion toward other species decrease with evolutionary divergence time | Scientific Reports, 20.12.2019 https://www.nature.com/articles/s41598-019-56006-9

    1.L’empathie correspond à notre capacité à percevoir intuitivement les émotions et les états mentaux d’autrui, tandis que la compassion désigne un sentiment induit par la souffrance d’autrui, associé à la volonté ─ désintéressée ─ d’y remédier.

Bernadette Cassel's insight:

Une étude montre que, "dans la majorité des cas, le niveau d'empathie est d'autant plus fort que la distance phylogénétique avec l'animal considéré est faible, et que cet animal présente une symétrie bilatérale."

Portail UVED https://sco.lt/6o2DE8

      Précédemment (même étude citée)

  Arbres et forêts, entre corps et cœurs : Œil de vert - De theconversation.com - 4 décembre 2021, 23:07

  Passage :

  "Si rencontrer des cerfs au pied de chênes centenaires ravit nombre de personnes, croiser des tiques dans les fougères les inspire souvent moins… Il existe ainsi des biais cognitifs à la préservation de la biodiversité, en prendre conscience est important. Cela impose de s’affranchir de notre propre perception humaine du beau, du bien ou de l’utile."

Thibault Leroy et Sophie Gerber

[audreys-diary]

“La famille Martin” : humour pince-sans-rire ou bavardage inutile ?

Je n’ai pas pour habitude de critiquer le travail de M.Foenkinos, mais cette fois, je dois avouer que la lecture de son roman “La famille Martin” m’a laissée quelque peu imperméable. Bien que la lecture ait été agréable et légère, agrémentée de l’ironie caractéristique de l’auteur et de ses réflexions une nouvelle fois pertinentes sur la nature humaine, le récit manquait de profondeur.

“La famille Martin” raconte l’histoire croisée entre un auteur en manque d’inspiration et une famille ordinaire aux secrets enfouis. L’auteur, une version alternative de David Foenkinos, choisit pour son prochain roman de descendre dans la rue et d’aborder la première personne qu’il croisera, en décidant que celle-ci en sera le héros. Par cette résolution, il fait la connaissance de ses nouveaux personnages, que l’on va suivre tout au long du livre, parfois jusque de l’autre côté de l’Atlantique.

Le soucis avec cette histoire, c’est qu’il ne se passe pas grand chose ; les évolutions des personnages sont un peu vides, on ne comprend pas trop où l’auteur veut nous amener, et le fait de suivre la famille Martin dans leur quotidien s’apparente plus à une sorte de téléréalité ratée qu’une comédie de moeurs.

Sur la forme en revanche, on retrouve l’éternelle vision burlesque de David Foenkinos et ses aphorismes touchants qui font sourire, et je crois que c’est finalement plutôt ça que j’ai apprécié dans ce roman. Au travers de son alter ego, l’auteur dans l’histoire, on en apprend un peu plus sur ses fonctionnements en tant qu’écrivain, comme s’il nous ouvrait une fenêtre discrète sur son métier dans une volonté évidente d’établir une proximité. Les caricatures de la crise d’adolescence, du blues de la quarantaine et de la sagesse de la vieillesse sont également très bien mises en oeuvre, mais on a l’impression qu’on nous sert du réchauffé : ce sont des thématiques que Foenkinos a déjà abordées, et de manière plus fine.

“La famille Martin” est donc un roman simpliste mais agréable qui se lit rapidement, parfait pour se détendre ou se remettre d’une lecture compliquée, et qui reste dans la veine de David Foenkinos sans pour autant s’inscrire aux côtés de ses romans phares et percutants tels que “Vers la beauté” ou “La délicatesse”.

“Je peux inventer des hommes ou des femmes qui n’ont aucun désir d’action. Je dois aussi subir leur volonté. Ou ce qu’on pourrait appeler : la mauvaise humeur de mon imaginaire.”

“De la même manière que certains croient aux revenants, je juge tout à fait crédible qu’il puisse exister une sorte de fantôme de l’inculture.”

“On pioche si souvent dans la vie des autres les éléments de compréhension de notre propre vie.”