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#connexion
lafemani · 1 month
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clarissefcd · 9 months
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Abeille charpentière au château de hautefort.
Dordogne - France
Juin 2023.
Macro 90mm
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slowandsweet · 1 year
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To be normal is the ultimate aim of the unsuccessful.
– Carl Jung
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tamapalace · 7 months
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Wilbur Soot from Lovejoy Band Shows off Pink Tamagotchi Connexion V3 in NME Interview
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Wilbur Soot, the co-founder of the British indie rock band Lovejoy was recording an interview with fellow band members for NME at Reading Festival, an annual music festival that takes place in Reading, England. New Musical Express which is a British music, film, gaming, and culture website and brand.
The interviewer asks for the story behind Wilbur Soot’s love for Tamagotchi, Wilbur pulls out the Tamagotchi from his bag and shows it off to the camera. It appears to be a Tamagotchi Connexion pink with ice cream shell which was actually a gift from a fan!
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Wilbur explains that he also has a limited edition gold Tamagotchi too which is his everyday Tamagotchi. Fans actually give them Tamagotchi’s, and Wilbur is a big Tamagotchi fan. In fact Wilbur was a member of a Tamagotchi forum back in 2005 when he was 10, and that is where his name Soot comes from.
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notanothermikey · 2 months
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Look who got Tama-Mail! These Connexion pouches fit the Uni great!
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More still available on Aliexpress!
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vhscorp · 2 years
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Quand deux êtres se sont aimés passionnément, il subsiste toujours entre eux un lien invisible, une sorte de connexion secrète, un peu magique…
V. H. SCORP
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emmarousil · 8 days
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Therian ?
Bon ici je raconte encore ma vie mdr, mais surtout des interrogations.
Je me sens proche des loups, et il m'arrive parfois de shift avec en particulier beaucoup de membres fantômes (envie de mordre/grogner/aboyer/d'être caressé sur la tête, l'impression d'avoir des canines/un pelage/des oreilles de loup, sentir ses poils du dos s'hérisser etc).
Cependant même si j'en suis très proche je ne me suis jamais identifié comme un therian car (sans juger les personnes qui le sont et qui ont totalement le droit de l'être) je ne pense pas qu'on puisse s'identifier à un animal. Je pense par contre que ça peut être issu d'une forte connexion ou d'une vie antérieure.
Donc même si je ne m'identifie pas à un loup, je me sens quand même parfois comme un loup (c'est pas exactement la même chose donc) et je shift quand même. J'avais fait des recherches il y a un moment, et malheureusement je n'avais pas trouvé grand chose en français ou des choses très peu précises. Donc je n'ai pas compris grand chose des therians.
J'ai cependant aujourd'hui trouvé un wiki en français avec un article dessus, par hasard. Je suis content et j'ai enfin pu comprendre ce qu'est exactement un therian. Et surtout, il y avait mon cas ! Ça se nomme Animal-hearted, ce n'est pas une forme de therian mais ça appartient à la même catégorie (je ne m'y connais pas plus). Donc je suis officiellement wolf-hearted aujourd'hui. Je suis trop content, c'est agréable de poser des mots sur ce genre de choses. S'y quelqu'un qui parle français à des choses à ajouter pour ma connaissance je suis preneur XD
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credit0 · 2 months
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Accès à mon compte CIBC Costco pour suivre et payer mes factures avec la carte de crédit Mastercard Costco en ligne
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plexussolaire · 3 months
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Pousser la porte et prendre une chaise
Hier soir, troisième semaine de réunion des Alcooliques Anonymes. C'est ma sixième réunion.
La plus belle réunion depuis la première.
Ça fait quinze jours que je suis abstinente, j’en savoure les premiers effets bénéfiques. Je dors le même nombre d’heure mais la qualité de mon sommeil s’est significativement améliorée, si l’on exclue les réveils nocturnes causés par le chat. Je me sens calme, reposée, mon humeur s’est stabilisée : je ne pars pas dans les tours, je n’ai pas l’impression d’avoir besoin de re-fonder ma vie entièrement et sur de nouvelles bases, chaque matin. Je ne me mets pas en colère, je ne panique pas dès qu’un problème se présente, je suis tranquille. Je crois que j’ai cessé d’avoir peur tout le temps, et d’avoir honte. Je n’ai plus cette croix à porter, si lourde sur mes épaules, le lendemain d’une simple bière légère.
Je suis même heureuse, je peux le dire. C’est aussi simple. C’est ce sentiment euphorique qui m’avait convaincu d’arrêter la thérapie. Je me souviens de ce fameux mois de septembre, il y a un an et demi, où tout roulait, mon quotidien, ma vie sociale, mes valeurs, l’intérêt que je portais à la vie, le désir, l’enthousiasme. Sans alcool. J’ai replongé après, mais c’était la première fois de ma vie que je me sentais légère et joyeuse, durablement. J’ai passé un temps infini à livrer une bataille titanesque contre le poison qu’insinuait l’alcool dans mes veines, même quand je ne buvais pas deux jours, et c’est ça que je trouve fascinant aujourd’hui, en écrivant et réfléchissant à mon rapport à l’alcool, c’est que tant qu’on n’est pas abstinent, tant qu’on laisse une place à l’alcool dans notre vie, même quand on ne le consomme pas abusivement, il nous empoisonne l’esprit. Il est présent. Il ravive une petite honte, une fatigue, des souvenirs douloureux, des symptômes physiques. Il reste physiquement et mentalement dans notre système et nous met des bâtons invisibles dans les roues. Il change la face de notre quotidien sans qu’on s’en aperçoive.
J’ai tellement lutté pour dépasser la honte et la culpabilité d’être alcoolique, que j’ai développé à force d’obstination et de persévérance, des attitudes très saines pour compenser cet excès morbide. J’apprenais à lire tous les jours, à faire du sport régulièrement, j’ai mis en place des routines du matin, du soir, essayé des choses, reporté, recommencé, pendant des mois, à installer des habitudes pour bien vivre. J’ai lutté pour ma santé mentale. C’est un cadeau que je me suis fait : après tant d’effort pour les inscrire dans mon quotidien, arrêter l’alcool a suffit. Toutes ces habitudes qui me demandaient tant d’effort face à la petite voix de mon cerveau qui me disait : ��tu es nulle”, “tu n’arriveras jamais à rien”, “tu ne sais rien faire”, deviennent infiniment plus simples depuis que j’ai retiré l’alcool de ce même quotidien. Tout est plus simple, alors, juste comme ça, je suis simplement heureuse. J’ai enlevé le bâton de ma roue, et je l’ai fait quand j’ai compris qu’il fallait le faire pour moi. Arrêter de boire, je l’ai fait pour moi, et il n’y a pas d’autre façon d’arrêter de boire.
Le partage de P. Hier en réunion parlait de ça. Pour certains, on arrête pour les autres, pour retrouver un travail, récupérer son permis, son appartement… mais c’est seulement quand on comprend qu’on mérite d’arrêter de boire et d’aller mieux, soi, parce que personne ne le fera pour nous, qu’on passe le cap de l’abstinence. On replongera plusieurs fois, mais on n’attendra plus que la solution viennent de l’extérieur. C’est pas qu’on en est pas capable, mais on arrête de boire seulement quand on se met à penser qu’on le mérite. Parce que nous sommes nos propres parents, nous devons d’abord être aimés par nous même, comme nous aurions aimé être aimé au départ. Toutes les personnes que je croise en réunion ont eu des enfances et des foyers dysfonctionnels. C’est tellement fort d’être parmi les siens. D’être parmi des gens qui comprennent ce que c’est que de vouloir se détruire parce qu’on n’a pas trouvé d’autre voie dans la vie, parce qu’on a pas trouvé de soutien ni de raison, déjà tout petit, de se lever et d’avancer.
Hier soir, j’ai trouvé du soutien. J’ai senti mon appartenance. Comme a dit S. Ici, j’ai ma place, parce que quand j’arrive, j’ai une chaise pour m’asseoir. Je peux m’exprimer. Personne ne va m’interrompre, je vais parler aussi longtemps que je le veux, et ces gens vont m’écouter comme on ne m’a jamais écouté nulle part. Ces gens dont je ne sais rien, à part les lieux sombres de leur addictions, leurs démons, leurs joies aussi dans leur rétablissement, m’ont apporté plus que ne l’a jamais fait ma propre famille.
Il y a trois semaines, c’était Noël. Un événement tellement désacralisé et obligatoire, qu’il ne ressemble plus qu’à un simple repas de famille du samedi midi. Il ne s’est rien passé de différent, mais j’ai mis deux semaines à m’en remettre, à me sentir terriblement vide, blessée, profondément malheureuse, dévastée, déprimée. Je n’arrivais plus à sortir de ce marasme d’idées noires, jusqu’à me dire mais à quoi bon ? À quoi bon vivre, si c’est pour ressentir ça ? Mais alors que s’était-il passé là-bas, pour qu’avec ma propre famille, je me sente si abîmée ? Et bien, il n’y avait rien. Pas de lien, pas de regard, pas de sourire, pas de câlin, pas même une tape sur l’épaule, un compliment ou une parole affectueuse. Que des visages renfrognés derrière des masques de personne qui luttent, qui ne veulent pas montrer leurs émotions, ni les ressentir ni les offrir. Pas d’écoute, pas d’attention, pas d’amour. Pas de connexion. Rien, en vérité. Des mots vides, répétés cent fois, sans foi, des mots qui passent entre les couverts, les verres de vins et s’échouent plus loin au pied de la table. Des ricanements débiles, des moqueries, des humiliations même parfois, de celles qui vous saccagent l’esprit avant même de savoir que vous en avez un.
Hier, T. A dit une phrase qui m’a fait réfléchir. La puissance supérieure des AA, c’est la puissance supérieure que nous avions placé dans l’alcool et qui nous dictait nos façons d’agir. Il suffirait de la déplacer dans autre chose, que ce soit Dieu, que ce soit l’Univers, que ce soit le groupe. Je crois qu’il a raison. Il existe encore quelque part dans mon cerveau une croyance, que je tends à déconstruire à présent grâce au programme, une croyance que l’alcool va m’aider à ne plus ressentir la souffrance d��abandon que m’a fait vivre ma famille, qu’il va m’aider à m’extirper de ma dépendance affective. J’ai déplacé en quelque sorte, ma dépendance désastreuse à ma famille, vers une dépendance désastreuse à l’alcool. Car je souffrais, et je souffre encore profondément, Noël me l’a montré. Renoncer à l’alcool, c’est aussi renoncer à cet amour que je n’aurai jamais, ce soutien que je n’aurai jamais, de leur part. Renoncer à mes dépendances, c’est m’accorder enfin la liberté de vivre sans cela, d’en faire le deuil. C’est vivre librement, sans attendre ce réconfort qui ne viendra jamais, qui n’est qu’illusion, et se change en griffe quand on s’approche un peu trop près.
Les personnes dépendantes cherchent à jamais la nourriture affective dont ils ont manqué, cherchent à jamais la sécurité affective et l’attention qu’on leur a refusé. Jusqu’au jour où ils s’aperçoivent que le produit qu’ils consomment possède la même essence que ce poison d’abandon, que le dépit familial. Consommer à outrance, c’est s’enfoncer un peu plus dans la mort et les idées noires, à rechercher l’oubli et l’aisance que nous aurait apporté cet amour initial. Mais la vie sans eux est plus douce, et c’est cela qui soigne.
Remplacer un vide par un gouffre, mais alors qu’est-ce qui vient après ? Comment remplace-t-on l’alcool ? Je crois que les AA sont effectivement une réponse. Je crois que ça marche. Ils m’apportent, une à deux fois par semaine, une drogue douce, humaine : la connexion, le partage, l’écoute, le soutien, gratuit, inébranlable, inconditionnel. Une drogue de rêve que j’ai désespéré de trouver un jour, alors qu’il suffisait de pousser la porte, et de s’asseoir sur une chaise.
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slut4poets · 2 years
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One
You will feel this once or twice in a lifetime
A love only you and I can be guided by
Placed on standby
A true connexion, the soul’s desire
That’s everything it requires
You’ll never be lost if you’re with them
As for them you are a found gem
On the highest status, you are a statue
You are their muse, art of Toulouse
A world where endless is a possibility
Infinite opportunity
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Only in algeria
The government decides EVERY YEAR to cut off internet on the WHOLE COUNTRY( social media, emails... Etc Only youtube and google work!) ... For 5 DAYS! During which the baccalaureate exam is happening... Why? To NOT GIVE CANDIDATES THE ABILITY TO CHEAT USING INTERNET!! 💀
THIS COUNTRY GONNA GIVE ME A HEART DESEASE! IJUST CANT WITH THE MEDIOCRITY, THE FOOLISH DECISIONS AND THE اخبط راسك فالحيط يا مواطن ATTITUDE 😭😭😭😭😭
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lifelearningluna · 1 year
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Pre-baby organisation to first weeks at home.
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My first few weeks with Luna were a shock after the peaceful weeks leading up to her birth. I was going swimming weekly, having a quiet few hours to myself in the middle of each night when i would wake up and paint or walk around the house thinking about my baby.
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Luna had a tongue tie which would not be diagnosed and treated until 10 weeks. That was a long 10 weeks of me doing everything i could to help her feed and settle her tummy from feeling gassy.
There was lots of sleeping on me while her dad watched over us both so i could sleep too.
I was figuring a lot of things out on my own. My health visitor was telling me that cluster feeding was normal but I was frequently feeding Luna round 20 times a day, sometimes for 10 minutes and sometimes for an hour.
At this time I was not getting much sleep and things were very hard. However when things have been hard I have always gone back to the idea that I trust my baby to tell/show me what she needs. This has been my saving grace everytime.
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Comment fonctionne la télépathie animale ?
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slowandsweet · 11 months
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Love life day by day, color by color, touch by touch.
— Sylvia Plath
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notanothermikey · 4 months
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The Uni fits fine in the Connection Series Pouches!
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Mimitchi in her Mimitchi pouch!
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