Tumgik
#La boule blanche
artspaume · 1 month
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Mémoire matérielle : l'exposition à découvrir au pavillon de Plural (CA)
Melanie Colosimo, When is a fence a ladder?, 2021-22,The Blue Building Gallery, Photo © Ryan Josey (détail) Du 12 au 14 avril 2024 L’Association des galeries d’art contemporain (AGAC) est ravie d’annoncer aujourd’hui l’exposition Mémoire matérielle, qui sera présentée au Pavillon du deuxième étage de la foire Plural, du 12 au 14 avril prochain. Commissariée par evlyne Laurin, Mémoire…
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RITUEL MAGIE BLANCHE POUR Ramener l'harmonie dans votre famille
Ramener l’harmonie dans votre famille Roulez une bougie bleue dans des feuilles de menthe sechees, frottez-la avec de l’huile essentielle de menthe en exerçant mouvement de haut en bas. Allumez la bougie et concentrez-vous sur vos proches qui traverse un conflit familial. Puis, sur un morceau de papier blanc, écrivez les noms de vot famille. Prenez une pincée de sel et une de feuilles de…
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yearningforunity · 13 days
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A crowded bar at 'La Boule Blanche' - Paris, 1930.
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chic-a-gigot · 1 year
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La Mode illustrée, no. 11, 12 mars 1865, Paris. Toilettes de Melles Rabouin, 67 r. Nve. des Pts. Champs. Coiffures de Mr Croizat, 76 r. de Richelieu. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Description de toilettes:
Robe en taffetas vert lumière, bordée avec un bouillonné de tulle blanc, surmonté d'une corde en paille. Robe de dessus en tulle blanc, bordée de fleurettes en paille. Cette robe est bordée avec une tresse de paille, et relevée par des bouquets de fleurs en paille. Corsage décolleté à draperie avec manches très-courtes. Une écharpe de tulle pareil à celui de la robe est placée sur l'épaule gauche, et vient se nouer sur la jupe à quelque distance du bras droit. Dans les cheveux, bouquet en fleurs de paille. Collier d'émeraudes, diadème et boucles d'oreilles assorties.
Robe en poult-de-soie violet, à bords découpés, garnis avec une ruche de ruban de nuance plus foncée que celle de la robe ; cette ruche est surmontée de perles en acier; le lé de devant forme tablier; il est découpé de chaque côté et garni comme le bord de la robe. Une riche broderie en soutache, ruban de velours violet, et perles d'acier, orne le milieu de ce tablier. Longue ceinture en velours violet, avec broderie et frange en perles d'acier. Chemisette blanche. Veste courte en velours violet, avec encadrements de grelots en acier. Mêmes ornements à chaque extrémité des manches. Sur le côté une aumônière en velours-violet, avec ornements d'acier, est attachée à la ceinture. Sur la tête, barbe en dentelle noire et épingles-boules en acier.
Dress in light green taffeta, edged with a bubble of white tulle, topped with a straw cord. White tulle top dress, edged with straw flowers. This dress is bordered with a braid of straw, and enhanced by bouquets of straw flowers. Drapery neckline bodice with very short sleeves. A tulle scarf similar to that of the dress is placed on the left shoulder, and is tied on the skirt at some distance from the right arm. In the hair, a bouquet of straw flowers. Emerald necklace, tiara and matching earrings.
Dress in violet poult-de-silk, with cut-out edges, trimmed with a ruffle of ribbon in a shade darker than that of the dress; this ruffle is topped with steel beads; the front width forms an apron; it is cut out on each side and trimmed like the edge of the dress. A rich embroidery in soutache, purple velvet ribbon, and steel beads adorns the middle of this apron. Long purple velvet belt, with embroidery and steel bead fringe. White shirt. Short jacket in purple velvet, with steel bell frames. Same ornaments at each end of the sleeves. On the side a purse in purple velvet, with steel ornaments, is attached to the belt. On the head, black lace snood and steel ball pins.
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tournoi-francophone · 11 months
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Matchs de Poule
Bonjour à tous.tes, on a reçu énormément de suggestions, c'était super. En tout on a 160 livres et BD pour le tournoi ! On va donc commencer par des poules, pour ne garder que 64 livres. Les groupes sont notés ci-dessous (on ajoutera les liens pour les votes au-fur et à mesure qu'ils seront publiés), il y en a 32. Les deux livres recevant le plus de votes de chaque groupes seront séléctionnés pour la suite du tournoi.
Groupe 1 Le Château d'Anne Hiversaire ; Le Petit Prince ; Les Chants de Maldoror ; La Geste des Chevaliers Dragons ; L'Incal
Groupe 2 Les Furtifs ; Un Jacques Cartier Errant ; Même pas Mort ; Yoko Tsuno ; Les Trois Mousquetaires
Groupe 3 Un Sac de Billes ; Malpertuis ; Vango ; Mémoires de Louise Michel ; Les Schtroumpfs
Groupe 4 Femmes d'Alger dans leur appartement ; La Quête de l'Oiseau du Temps ; Bérénice ; La Rose Ecarlate : Vingt Mille Lieues sous les mers
Groupe 5 U4 ; Le Jardin, Paris ; La Passe Miroir ; Romancero aux étoiles ; L'île mystérieuse
Groupe 6 Les 4 As ; Les amis inconnus ; Tobi Lolness ; Persepolis ; Le Jeu de l'Amour et du Hasard
Groupe 7 Vendredi ou la vie sauvage ; L'Autre ; Oh boy! ; Julie, Claire, Cécile ; Le Journal Tintin
Groupe 8 Etudes et Préludes ; Lou! ; Sur les Terres d'Horus ; L'élégance du Hérisson ; Parle-leur de batailles, de rois et d'éléphants
Groupe 9 Lancelot-Graal ; Les Fleurs du Mal ; Chien Blanc ; Mélusine ; Une Tempête
Groupe 10 La Métaphysique du Vampire ; Pot Bouille ; Les Mémoires d'Hadrien ; La bête humaine ; Le Misanthrope
Groupe 11 Tara Duncan ; Trois Oboles pour Charon ; Gaspard de la nuit ; Le Pacte des Marchombres ; Sambre
Groupe 12 Kid Paddle ; Père Castor ; Dom Juan ; Ces Jours qui Disparaissent ; Le Message
Groupe 13 Astérix ; Les animaux dénaturés ; Fantômette ; Germinal ; Mathieu Hidalf
Groupe 14 Le Cid ; Les Carnets de Cerise ; Tant qu'il le faudra ; Rhinoceros ; Dans la Nuit Blanche et Rouge
Groupe 15 Thorgal ; L'arbre à soleils ; Les Faux Monnayeurs ; Alcools ; La Mécanique de Cœur
Groupe 16 Aya de Yopougon ; Chat Noir ; Blake et Mortimer ; Le Survenant ; Le Deuxième Sexe
Groupe 17 Au Bonheur des Dames ; Nadja ; Mille francs de récompense ; Le tour du monde en 80 jours ; Le Butterlyland
Groupe 18 A comme Association ; La Nuit des Temps ; La Guerre de Troie n'aura pas lieu ; Quatrevingt-treize ; Une Famille aux Petits Oignons (Histoires des Jean-Quelque-Chose)
Groupe 19 Le forçat innocent ; Phaenomen ; A la mystérieuse ; Le Livre des Etoiles ; Le Livre de Perle
Groupe 20 L'écume des jours ; Max et Lily ; Petit Ours Brun ; Les Dingodossiers ; Cyrano de Bergerac
Groupe 21 Thérèse Desqueyroux ; La fin du monde ; 47 cordes ; Garin Trousseboeuf ; Oksa Pollock
Groupe 22 Le Grand Secret ; Lucky Luke ; L'Illusion Comique ; Pardonnez nos offenses ; Les Liaisons Dangereuses
Groupe 23 Un Secret ; Fortunes ; Querelle de Roberval ; Manuel de savoir-vivre à l'usage des rustres et des malpolis ; 38 mini westerns (avec des fantômes)
Groupe 24 Les Misérables ; Magarcane ; Frangine ; Les Eveilleurs ; Archives des Anges
Groupe 25 Le Dit de Vertigen ; Spirou et Fantasio ; Antigone ; Le Prince Eric ; Les Colombes du Roi-Soleil
Groupe 26 Cédric ; Sept Jours pour une Eternité ; La Petite Fille de Monsieur Linhl ; Gouverneurs de la Rosée ; Gaston Lagaffe
Groupe 27 Corps et Âmes ; Claudine ; L'œil du loup ; Boule et Bill ; Le Dernier Jour d'un Condamné
Groupe 28 Les Fables de La Fontaine ; La Dame Pale ; Chansons ; Marsupilami ; Les Aventures de Loupio
Groupe 29 L'Enfant de la haute mer ; Du Domaine des Murmures ; La Bibliothécaire ; Ondine ; Dieu n'a pas réponse à tout
Groupe 30 Le Horla ; Réparer les Vivants ; Freaks' Squeele ; De Cape et de Crocs ; L'automne à Pékin
Groupe 31 Ouragan ; Contes des cataplasmes ; Le Monde, Tous Droits Réservés ; Vipère au Poing ; Comment Wang-Fo fut sauvé
Groupe 32 Les Derniers Contes de Canterbury ; Le Compte de Monte-Cristo ; Storm ; Manifeste Assi ; Les Lumières d'Oudja
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jacquesdor-poesie · 10 months
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Je vous ai vue passer, bel arc solaire entre des faisceaux de pluie. Allongé j'étais le trottoir d'un ordinaire passage. La lune, boule docile, enluminait le ciel de poussière et de nez en l'air ; le vôtre aussi. Je vous ai vue passer, souriante, j'étais sur la corde à linge cette chemise blanche avec un bras trop raide tel un accidenté agité par le vent. Je vous ai vue passer, j'étais ce massif d'hortensias dans le jardin de sages petits vieux qui somnolaient la fenêtre ouverte, la radio allumée. Je vous ai vue passer j'étais la pierre du chemin, j'étais la barque portant un prénom féminin, j'étais le banc que l'une de vos mains venait d'effleurer en passant. Je vous ai vue passer, heureusement je n'avais ni bouche armée de mots, ni buste armé de bras. Je n'étais que choses parmi les choses, muettes et sans lasso, ni mots ni mains, heureusement, sans quoi j'aurais regretté longtemps ; un peu beaucoup pas du tout ? De ne pas vous avoir connue, aimée peut-être ? De l'avantage certain, certains jours, de n'être pas un être humain qui voit passer...
jacques dor
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mesouvenirdetoi · 6 months
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L'encre a séchée dans l’encrier, ma plume repose à côté
Un rayon de soleil caresse le sol jonché de petites boules de papier couvertes de mots froissés, raturés
La nuit blanche n'a pas chassé les idées noires
On les voit juste mieux dans la lumière du matin.
Oserai-je te le dire?
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cosmoe · 7 months
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› Phosphophyllite | HNK
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FR : Illustration fanart de Phosphophyllite (Houseki No Kuni, que je vous invite vivement à lire si ce n'est pas déjà fait !) Print A5 à retrouver sur ma boutique instagram ✨
⚠️ Description de l'Image : Dessin représentant Phosphophyllite (personnage du manga : l'ère des des cristaux). Iel a une grosse bouche souriante et ses yeux regardent vers nous, derrière ellui on peut voir le ciel habillé de nuages et d'une immense lune derrière la tête de Phos. Et des étoiles partout dans le ciel. Iel a les cheveux bleus et carrés (coupe au bol). L'une de ses deux mains d'or créer une boule ressemblant à la lune (ça montre que ses bras sont liquide). Sa tenue est entièrement blanche et ses manches sont transparentes (on peut donc voir ses épaules dorés). Ses yeux sont vairons : un oeil bleu et un oeil blanc. / Si tu as des questions n'hésite pas !
› NO REPOST ‼️❌
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lemondeabicyclette · 8 months
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Raie de Boules a eu bien raison de déterrer cette déclaration de Bourret. Blanche Gardin de faire la sienne itou.
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steff-02 · 2 months
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Quelle journée ! Je ne sais même par où commencer tellement que j’ai envie de vous dire pleins de choses ! 😂 veuillez m’excuser si je m’éparpille un peu…
La journée commence un peu plus tôt que toutes les précédentes. À 7h20 nous partons chercher la voiture. Arrivé à la voiture, je me rends compte que je n’ai pas pris mon permis de conduire. Je remonte en vitesse à l’appart, prend mon permis (et celui à maman au passage, au cas où..), je redescends et hop cette fois-ci on est parti. Nous avons environ 140km à faire pour rejoindre San Fransisco de Macoris. Google Map nous prévoit un temps de trajet de 2h40 ! 😱 bon,…il prend déjà en compte le trafic intense pour sortir de la capitale 😅. Il y a tellement de circulation qu’il nous faut plus d’une heure pour faire les premiers 25km…il faut que j’oublie un peu mes règles de conduite suisses…comme dit l’expression, « à Rome, fait comme les Romains ». Alors on s’impose, on force le passage et on avance 😂. On a traversé des paysages sublimes, aux pieds des montagnes couvertent de forêts tropicales verdoyantes 🥰 Malgré que je ne me suis pas arrêté faire de photos, il y a quand même eu plus d’embouteillages que ce que prévoyait Google, alors la marge de 30 minutes que j’avais pris à déjà été entièrement grignotée…mais quand je me rends compte, à quelques mètre du point d’arrivée, que je me suis trompé pour entrer l’adresse; j’ai commencé à perdre patience 😅 on fait encore un petit détour d’une demi heure, on arrive en catastrophe, on s’excuse beaucoup à notre arrivée, on fait pipi et voilà, il est 11h et on peut enfin commencer la visite 😂💪🏼
Nous visitons aujourd’hui une plantation de cacao 🍫🍫 ! Nous rejoignons deux français, qui patiente déjà depuis un moment… On commence la visite par apprendre comment faire pousser le cacao. Soit on fait germer les graines et on les fait pousser (il faudra 3 ans avant que cet arbre produise du cacao), soit après avoir planté la graine et 3 mois de pousse, on y greffe une branche d’un arbre qui produit du cacao de très bonne qualité, l’arbre commencera à faire des fruits après un an seulement et de très bonne qualité 😉 Ensuite, la guide nous présente les différentes cabosses, et en ouvre une. Nous avons pu goûter les fèves de cacao fraîches. Seul la pulpe blanche se mange et elle est très sucrée et ici avec un léger goût de mangue 🤣. Toutes ces fèves sont récoltées puis fermentées durant 5 jours avant d’être séchées durant environ 8 jours (ça dépendra aussi de la météo ⛈️🤷🏽‍♂️). Quand elles sont bien sèches, elles sont torréfiées durant une quinzaine de minutes, avant d’être concassées puis l’enveloppe de la fève doit être séparée du grain de cacao. Autrefois, chaque fève était écrasée à la main lorsqu’elle était encore chaude puis toutes les écorces devaient être triées…sacré boulot ! Le cacao doit alors être broyé, et très vite, grâce à l’huile contenue dans les graines, une pâte se forme. Nos guides y ajoute un peu de sucre et en forme une boule ( on a pu goûter et c’est déjà délicieux ! 🥰). Ils vont laisser sécher totalement cette boule. Elle sera ensuite moulue et ils auront un nouveau stock de chocolat en poudre pour faire des gâteaux ou des chocolats chaud ;) Les machines à l’usine, elles, sont un peu plus performantes et peuvent rendre le chocolat extrêmement lisse, puis le tempèrent et moulent de belles tablettes de chocolat brillantes et croquantes ! 🍫 Nous avons ensuite dégusté plusieurs type de chocolats avec des teneurs en cacao différentes. Étonnement, même le chocolat noir 80% n’était pas très amer, comparé aux tablettes que nous trouvons dans le commerce en Europe.
Après la visite, nous avons eu droit à un copieux repas dominicain. Pour accompagné le riz et une sorte de ragoût de poulet, nous avons eu droit à des bananes plantains. C’est une variété de banane qui se mange uniquement cuite. Grillée, frite ou bouille ! C’est très bon mais assez bourratif 😅
Après avoir fait un dernier tour dans la plantation, nous prenons la route direction Santo Domingo. Nous faisons taxi pour les deux français avec qui nous avons partagé la visite. Ils n’ont pas de voiture alors nous les avons avancé jusqu’au prochain village afin qu’ils prennent un bus pour rejoindre Puerto Plata, tout au nord de l’île.
Il est presque 18h lorsque nous arrivons à l’hôtel. L’entrée à Saint Domingue était de nouveau assez sportive mais plus fluide que ce matin. On avait pas vraiment la force de retourner souper en ville, alors après s’être posé un moment, on est retourné souper dans le resto en bas de l’appartement, comme le premier soir ;)
PS: ci-dessus, la deuxième image représente les différentes étapes pour obtenir la pâte de cacao.
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alexar60 · 8 months
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Avis de tempête
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La météo avait prédit qu’il y aurait des orages localisés. En effet, je voyais le ciel se noircir brusquement. Cette noirceur assombrit rapidement la rue. Il faisait affreusement chaud. Je restai sur le seuil de la porte à observer cet orage qui, logiquement, devait refroidir l’atmosphère.
Mais l’horreur arriva très vite. Une forme sombre se propagea dans la rue provoquant un vacarme strident. Des centaines, des milliers de rats abandonnaient les égouts et couraient dans la même direction. Je fermais la porte pour les empêcher d’entrer. Puis, j’observais cette horde de rongeurs envahir la route. Certains passaient sous les portiques afin de fuir par les jardins. En face, mes voisins regardaient la scène avec des regards ébahis remplis de terreur.
Le calme revint jusqu’au premier grondement. Je compris qu’ils voulaient échapper à l’orage. Ils sentaient certainement qu’il se changeait en tempête ou en tornade. Le silence régnait entre deux éclairs. Le ciel devint tout-à-coup noir. La pluie commença de tomber en averse avant de se transformer en grêle.
Des grêlons de la taille d’une boule de pétanque fracassaient les pare-brise ainsi que les toits des voitures garées dans la rue. Un orage ? Non, je n’avais jamais vu une pareille pluie ! J’entendais les vitres exploser, les tuiles des toits éclater au choc des boules de glace. Moi qui me plaignais de cette chaleur, j’eus subitement froid. Je montais prendre un pull tout en vérifiant les dégâts sur le vasistas de la salle de bain. Il n’était que fêlé en plusieurs endroits. La grêle ne dura que cinq longues minutes. Cinq longues et terrifiantes minutes. Je pensais que cela se finirait bientôt.
L’orage grondait de plus en plus. Les éclairs allumaient un ciel si noir qu’on crut être en pleine nuit. Il n’était pas encore dix-sept heures quand soudain, des flocons tombèrent à profusion. La poudre blanche recouvrit rapidement la rue, les toitures ainsi que les carcasses de voitures sur les trottoirs. Nous étions le vingt août et il neigeait. L’orage tonnait encore et il neigeait en même temps. Je n’en croyais pas les yeux, pas plus que certains voisins qui sortirent regarder cette étrange tempête de neige. De plus, un froid glacial apparut rapidement, envahissant la rue. Je pouvais voir la buée sortir de leur bouche et de leurs narines avant qu’ils ne rentrent.
L’orage grondait toujours. On avait l’impression d’être au milieu d’un concert de déchainement de la nature. La poudreuse tombait tellement que je ne voyais plus les maisons en face. Je commençais à greloter alors que j’étais protégé chez moi. Je fus heureux que ma femme et les enfants soient en vacances chez mes beaux-parents.  Je pris mon portable pour les prévenir du temps dérèglé dont j’étais témoin. Seulement, le réseau était coupé. Alors, je me contentais de quelques photos.
La neige arrêta de tomber comme elle était arrivée. Par contre, le tonnerre continuait de hurler dans le ciel. Il était de plus en plus fort, de plus en plus proche. Je regardais les éclairs continuer d’illuminer le ciel. Et c’est là que j’ai vu ce que je n’aurais jamais cru voir. J’avais lu des articles à son sujet. J’ai écouté des podcasts. Je me suis intéressé à son histoire, à sa légende. Mais jamais, je pensais la voir en personne.
Cela commença par des silhouettes lointaines encore plus noires que la nuit. Elles avançaient à un rythme effréné. Grâce aux éclairs, j’aperçus d’abord la forme des chevaux, puis celle des cavaliers. Mais c’était bien elle, la chasse sauvage ! Elle fendait l’air déjà abimé par l’orage qui persistait. Elle passa au-dessus des premières maisons de la rue. Je compris que les sabots des chevaux noirs provoquaient ce bruit de tonnerre. Je vis les yeux des cavaliers sans percevoir leur visage. Ils étaient jaunes tels des étoiles dans le ciel. La forme de leur corps ne ressemblait à rien de comparable. C’était une fumée scintillante et opaque. Elle laissait une trainée de poudre derrière le passage des chevaliers.
Je fus saisi de terreur en entendant le hennissement des montures. Ils me glacèrent le sang. Mais ce n’était rien à côté du haro crié par chef de la horde. La chasse passait et je n’avais pas vu le gibier. Ce ne pouvait être les rats ! Non, cette troupe macabre chasse le maudit ou le criminel mais pas un animal si méprisable qu’un rongeur. Je regardais passer cette chasse volante, me demandant si je risquais ma vie en sortant pour la contempler. L’orage passa aussi vite que le groupe de chasseurs. Déjà, il s’éloignait, me laissant abasourdi. Un voisin ouvrit sa porte. Il marcha dans la neige qui commençait à fondre. Il regarda l’état de sa voiture. J’allais le rejoindre lorsqu’un bruit de neige écrasé résonna dans la rue.
Un homme courait d’un pas fatigué. Il gardait la bouche ouverte cherchant à reprendre son souffle. Comme vêtements, il portait des haillons. Il courait au milieu de la route cherchant à fuir. Ses yeux contenaient énormément de tristesse, et on ressentait l’épuisement sur ses épaules. Il courait pieds nus sans s’arrêter, sans parler. Tout-à-coup, le tonnerre revint.
La chasse était derrière ce pauvre homme. Elle le traquait sans merci, sans se reposer. C’était son calvaire, sa punition. Et d’après les légendes, cela ne s’arrêtera jamais. L’orage résonna en même temps que le galop des chevaux. Je remarquai leur aspect squelettique. J’espérais qu’ils n’aperçoivent pas mon voisin. Ce dernier leva la tête pour les regarder passer au-dessus de lui. Mais un chasseur descendit et le transperça d’un coup de lance le thorax. Il s’effondra net. La chasse s’éloigna, le grondement aussi. Puis, le silence arriva en même temps que le soleil.
Nous sortîmes en même temps, sans comprendre ce qui venait d’arriver. Nous nous précipitâmes pour aider notre voisin. Mais c’était trop tard. Il n’avait aucune trace de perforation, seulement des marques noires sur les vêtements. Plus tard, nous apprenions qu’il avait officiellement été touché par la foudre.
Personne n’oublia cette tempête extraordinaire. Toutefois, personne n’en parla par peur des superstitions....par peur que la chasse réapparaisse et nous traque en représailles…jusqu’à la nuit des temps.
Alex@r60 – août 2023
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Opération spéciale
Chap 2
Dans le hall d'entrée, il me lâche le bras.
- Ne bouge pas salope!
- Oui Maître...
Il sort son portable de sa veste et envoie un message bref.
On attend. Je baisse le regard et je me tiens bien droite. Immobile. Les bras le long du corps. Comme il me l'a enseigné.
Je ne pense à rien.
Ce genre de soirée, je commence à les connaître par cœur. Il me loue régulièrement pour des séances diverses. Chaque fois des nouveautés, suivant les goûts de ses clients. Des surprises. Mais toujours les pires perversités.
Une femme arrive du sous-sol par les escaliers. Elle semble très belle, mais paraît comme moi complètement soumise. Le crâne rasé. Elle porte une combinaison blanche qui lui colle à la peau. Du vinyle ou du latex. Des escarpins à talons aiguille. Blancs également. Des seins qui paraissent impressionnants même si je n'ose pas relever la tête pour la regarder en détail.
Elle parle d'une voix neutre et très douce.
- Bonsoir, suivez-moi je vous prie.
Il me prend à nouveau sous le bras. Fermement cette fois. Comme pour bien montrer que je lui appartient.
Nous suivons la femme dans les escaliers. Vers le bas.
C'est étonnant, d'habitude les séances se déroulent dans des appartements.
Au sous-sol, elle ouvre une porte de cave. Le cadenas est ouvert. Elle ferme à clef derrière nous.
Je commence à appréhender. Ce n'est pas comme d'habitude.
Il ne me lâche pas.
La femme en blanc s'arrête devant une autre porte métallique. Elle toque. Trois coups espacés puis trois coups rapides.
Un code.
Un bruit de verrou. La porte s'ouvre. Nous entrons.
C'est une cave aménagée. On dirait une chambre d'hôpital.
Je continue à baisser les yeux. Le sol est carrelé. Tout paraît propre. La pièce est très claire, entièrement peinte en blanc. Au milieu un lit médicalisé. Je perçois des armoires métalliques et un plan de travail avec un évier. Je n'arrive pas à tout voir en détail, mais ça sent le plan bdsm sur le thème médical.
La femme est immobile. Face à un mur. Elle doit attendre des instructions.
Un homme s'avance vers nous. En blouse blanche. Je vois principalement les baskets. Blanches.
Il salue mon Maître.
Ils ont l'air de se connaître et échangent quelques banalités.
Je commence à avoir un peu peur. Mon cerveau est toujours vide. Je n'arrive pas à structurer mes pensées. Putain de cachets. Comme si je dormais éveillée.
Celui qui ressemble à un médecin donne les instructions à mon Maître.
On va la déshabiller et l'installer sur le lit.
Cassandra, la femme en blanc, s'exécute pour aider.
Je suis déshabillée complètement. J'ai honte d'être ainsi debout. Cassandra pose soigneusement mes fringues sur une chaise. Je sens le regard du Doc sur moi. Insistant.
J'ai froid. Je tremble.
- Elle a froid ou elle a peur ta pute? Dit-il en rigolant.
- T'inquiète, elle est résistante, répond mon Maître.
Il me pousse vers le lit.
Je m'allonge sur le dos. Au plafond une lampe comme dans les salles d'opération. Devant moi une caméra avec un écran fixé au mur.
Ils vont faire une vidéo me dis-je. C'est souvent. Ça ne me choque pas. Au point où j'en suis, être filmée est le dernier de mes soucis.
Puis Cassandra s'approche. Elle a en main des sangles. Ca se complique. Je ne bouge pas.
Mon Maître a disparu de mon champ de vision.
Elle commence par m'attacher les poignets au barres latérales du lit. Je n'ai même pas un mouvement de recul.
Je me laisse aller complètement. Je grelotte. Il fait vraiment froid.
Le Doc en plaisante à nouveau. Il prépare du matériel. Je sens qu'il va y avoir de l'exploration. Ils vont sans doute faire une vidéo qui finira sur les réseaux sociaux.
Je pensais que tout allait démarrer rapidement,mais non. Cassandra prend son temps.
Après les poignets, elle m'attache les coudes. Puis elle me met dans la bouche un bâillon boule. Plutôt délicatement.
Elle l'a attaché derrière ma tête en la levant délicatement.
J'ai désormais une boule en plastique dans la bouche. Ce n'est vraiment pas agréable. Ça fait baver et je ne peux respirer que par le nez.
Cassandra installe ensuite des supports métalliques au bout du lit pour que je repose mes pieds dessus. Elle attache également mes chevilles avec des sangles.
L'appréhension monte à mesure que j'ai du mal à respirer et qu'elle règle les supports métalliques de manière à m'écarter les cuisses au maximum.
J'ai mal. Je crie. Mais le cri reste dans ma gorge.
- Du calme la pute!
Le Doc n'a pas l'air de rigoler!
Je prends sur moi pour essayer de me calmer.
Cassandra m'attache cette fois les cuisses et les genoux sur les supports métalliques.
Je suis complètement immobilisée. J'ai peur. C'est toujours le brouillard dans mon cerveau, mais j'ai le sentiment d'être tellement seule. S'il m'arrive quelque chose dans cette cave, personne ne le saura.
Des larmes coulent de mes yeux sans que je puisse les essuyer...
Le Doc a préparé son matériel. Il est assis sur un tabouret entre mes cuisses écartées.
Il s'adresse à Cassandra.
- Cale-lui la tête avec un coussin pour qu'elle puisse bien regarder la télé cette salope!
Il m'a regardé dans les yeux. Un instant. Juste un instant avant que je ne baisse le regard. Mes yeux remplis de larmes ont décelé dans son regard de l'assurance et de la perversité. Il savait ce qu'il allait faire et savait que je ne savais pas.
Ça avait l'air de beaucoup l'exciter!
Cassandra à mis la caméra en route. Je suis apparue à l'écran. Gros plan sur mon bas-ventre et mes cuisses écartées et le matériel du Doc entre mes jambes sur un plateau.
J'imagine que le thème de la vidéo sera spécifiquement la gynécologie...
Cassandra s'est placée à côté du Doc. Debout. A sa disposition. Ses seins sont vraiment énormes. J'ai maintenant vue directe sur elle. Son crâne est rasé de près. Elle reste pour autant très féminine avec son visage mince. Ses lèvres semblent très gonflées. Elle a dû se faire opérer... Aïe!
Le Doc m'enfonce une seringue dans le pubis. J'ai un mouvement de réaction... mais juste dans ma tête. Mon corps est tellement attaché serré que je ne bouge pas d'un poil.
Il me pique ensuite le haut des cuisses et le dessous des fesses. Je vois tout sur l'écran.
J'ai mal. Les sangles sont très serrées et ma position est inconfortable. Mes cuisses écartées me font mal.
Mais de moins en moins.
C'est bizarre. Mon corps lâche prise.
Je crois qu'il m'a fait des piqûres anesthésiantes en fait... oui. Je ne sens plus mon bassin, mes cuisses, mes fesses...
J'appréhende de plus en plus. S'il m'a fait ça, c'est qu'ils veulent me dilater au maximum. Plus c'est extrême, plus la vidéo rapporte sur les réseaux. Putain ils sont graves!
Je ne peux rien faire. Mon corps me lâche. Les sons ne sortent pas de ma gorge. Le bâillon m'étouffe. Je panique. Je tremble. Je pleure.
Le Doc rigole.
- Elle fait pas la maline ta pute, tu crois vraiment qu'elle va tenir?
- On s'en fiche, fais ce qui est convenu, on verra bien!
Mon Maître avait répondu cela d'une voix tellement détachée... ça confirmait bien que j'étais seule dans les mains du Doc...
Qu'est ce qu'ils avaient convenu entre eux? Cassandra était-elle au courant? J'essayais de capter son regard. Malheureusement elle restait Immobile. J'étais seule...
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75zit · 1 year
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… Mon maître rebeux avait décidé que nous allions sortir dans un bar gay, c’est un bar qui organise des soirées à thème. Ce soir là c’était soirée kiffeurs. Bien sûr c’est lui qui avait choisi les vêtements que j’allais porter. Son choix s’était arrêté sur un ensemble survet en cuir vegan, avec un jock strap, des cho7 blanches Lacoste que je portais par dessus l’élastique du bas du pantalon, qui était remonté au dessus de mes chevilles, et ma paire de TN noires. Sous la veste du survet il avait décidé que je ne mettrai rien d’autres qu’un harnais, qu’il voulait que tout le monde voit en ne remontant pas le zip jusqu’en haut.
Quand nous sommes arrivés au bar, l’endroit était gavé de monde, tous sappés dans le thème de la soirée. Je passais devant pour créer un passage à mon maître qui était collé juste derrière moi. Si je suis son soumis à dispo en privé, quand on sort, il me traite face aux gens comme son copain ou un pote en fonction des circonstances.
On est arrivé au bar pour commander un verre et ensuite on s’est frayé un chemin parmi la foule.
Il salua quelques connaissances et trouva un groupe de potes qui étaient installés à un table.
On s’est installés avec eux mais comme il n’y avait qu’une seule place de libre, mon maître s’asseya et me dit de m’asseoir sur lui.
Je kiffes quand il me considère comme son copain et qu’on a des attitudes de couple.
La soirée se passait, on discutais avec ses potes lorsqu’il me dit à l’oreille : « j’ai envie de toi salope, j’ai mon zob bien raide qui se frotte contre ton boule, j’ai envie de te pénétrer maintenant ».
Bien sûr ses paroles m’ont chauffé direct surtout que d’être à califourchon sur lui me donnait envie aussi de me faire ken.
Le pantalon de survet qu’il avait choisi a, en plus de la matière qui est kiffante, une autre particularité bien hot : il a un double zip devant et derrière.
Lui avait choisi de mettre un débardeur blanc qui marque bien sa musculature, une veste de survet adidas chile62 et un bermuda en jean un peu destroy avec des AM90 aux pieds.
Il me dit : « soulève toi un petit peu que je bouge ma queue qui est coincée ». Bien sûr c’est ce que je fît et me réinstalla sur lui quelques secondes après.
Il m’avais tiré par les hanches vers lui de façon à être maintenant assis juste au dessus de son zob que je sentais en effet raide et bien dur.
Tout en continuant à parlait avec le groupe, je sentais qu’il commençait à baisser la fermeture éclair arrière de mon survet mais ne pouvait pas le faire en entier. Là j’ai compris : il voulait que je m’assois sur sa queue bien raide, devant tout le monde, sans que personne ne s’en rende compte et continuer à faire semblant de rien. Le bar était tellement full que personne ne s’en serait aperçu. Je décidais alors de l’aider dans son entreprise, me souleva à peine et discrètement passa ma main sous la table de façon à attraper la tirette du zip et l’ouvrit entièrement.
Je me suis calais à nouveau contre mon maître et doucement tira sur les côtés de mon pantalon de façon à ce que l’ouverture de la fente arrière s’écarte bien. Je pouvais maintenant sentir sa tige bien raide contre la raie de mon boule. J’en avait le vertige et des bouffées de chaleur. Il me dit à nouveau à l’oreille « soulevé toi encore un peu discrètement, fais en sorte que que personne ne remarque rien, je vais te foutre ma grosse queue de rebeux dans ton cul de salope et tu vas t’empaler dessus ». Putain j’avais vu juste, il voulait m’enculer devant tout le monde. Waouh j’en pouvais plus d’excitation. Je me suis donc soulevé discrètement comme si je cherchais quelque chose dans la poche de mon pantalon. Lorsque je sentis son gland contre mon trou bien ouvert, je me suis délicatement assis : fuck mon maître était entrain de me bzer devant tout le monde au milieu d’un bar sans que personne ne s’en aperçoive.
Je kiffais ma race, je sentais des petits coups sec dans ma chatte pendant que nous continuions à discuter. Nous avons continué comme ça pendant un bon moment, tantôt c’est moi qui bougeait mon boule, tantôt lui m’attrapait par les hanches ou passer sa main dans mon dos, sous la veste pour attraper le harnais et tirais à fond pour me niker bien profond. J’étais en extase d’avoir la teub de mon maître dans le boule tout en ayant l’air de rien devant ses amis. Et le plus excitant encore c’était quand de temps en temps il me susurrait des choses à l’oreille comme « Tu la kiff sale tapette la queue de ton maître et te faire bzer devant tout le monde » ou « je vais te féconder sale chienne comme une pute au milieu du bar »… putain c’est clair que je kiffais ça….
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... My Arab master had decided that we would go out to a gay bar, it's a bar that organises theme parties. That evening it was a kiffeurs evening. Of course it was he who chose the clothes I was going to wear. His choice had been decided on a vegan leather overcoat set, with a jock strap, Lacoste white soxs that I wore over the elastic at the bottom of the pants, which was raised above my ankles, and my pair of black TN. Under the overcoat jacket he had decided that I would put on nothing but a harness, that he wanted everyone to see by not raising the zip to the top.
When we arrived at the bar, the place was full of people, all covered in the theme of the evening. I was passing by to create a passage to my master who was stuck just behind me. If I am his submissive available in private, when we go out, he treats me in front of people like his boyfriend or a friend depending on the circumstances.
We arrived at the bar to order a drink and then we made our way among the crowds.
He greeted some acquaintances and found a group of friends who were sitting at a table.
We settled with them but as there was only one free seat, my master sat down and told me to sit on him.
I like it when he considers me his boyfriend and we have couple attitudes.
The evening was passing, we were talking with his friends when he said in my ear: "I want you bitch, I have my very stiff cock rubbing against your ass, I want to penetrate you now".
Of course his words warmed me up directly especially since riding on him also made me want to make myself fucked.
The overcoat pants he had chosen have, in addition to the material that is cheeky, another very hot feature: it has a double zip on the front and back.
He had chosen to put on a white tank top that marks his musculature well, an adidas chile62 overcoat jacket and a slightly destroyed denim bermuda shorts with AM90s on their feet.
He says to me: "lift yourself up a little while I move my cock that is stuck". Of course, that's what I did and resett down on him a few seconds later.
He had pulled me by the hips towards him so that I was now sitting just above his zob that I felt indeed stiff and very hard.
While continuing to talk with the group, I felt that it was starting to lower the back zipper of my survet but could not do it in its entirety. There I understood: he wanted me to sit on his hard dick, in front of everyone, without anyone realising it and continuing to pretend nothing. The bar was so full that no one would have noticed. I decided to help him in his business, barely lifted me up and discreetly passed my hand under the table so as to grab the zipper and opened it completely.
I fell against my master again and gently pulled on the sides of my pants so that the opening of the back slot moved away well. I could now feel his hard cock against the ray of my ass. I was dizzy and hot flashes. He says to me again in the ear "lift yourself up a little more discreetly, make sure that no one notices anything, I'm going to fuck you my big dick in your slutty ass and you'll stack yourself on it". Fuck I had just seen, he wanted to bugger me in front of everyone. Wow, I could do more excitement. So I got up discreetly as if I were looking for something in the pocket of my pants. When I felt his hard cock against my well-open hole, I gently sat down: fuck my master was bzering me in front of everyone in the middle of a bar without anyone noticing it.
It was fucking so good , I felt small dry blows in my pussy while we continued to talk. We continued like this for a long time, sometimes it was me who moved my ass, sometimes he grabbed me by the hips or passed his hand through my back, under the jacket to grab the harness and pulled hard to introduce me deep. I was ecstatic to have my master's dick in the hole while looking like nothing in front of his friends. And the most exciting thing was when from time to time he whispered things in my ear like "You like your master's dick and make you fucked in front of everyone" or "I'm going to fertilise you bitch like a whore in the middle of the bar"... damn it's clear that I liked that....
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chic-a-gigot · 1 year
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La Mode illustrée, no. 12, 19 mars 1865, Paris. Toilettes de Mme Lise, 17 r. Nve. Ste. Augustin. Envois de la Mon de Commission Générale, r, d'Hauteville, 53. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Description de toilettes:
Robe en poult-de-soie noir, bordée avec une grosse corde verte en soie. Au-dessus de cette corde, une guirlande d'épis brodés en soie verte remontant sur le devant de la robe et sur le corsage. Pardessus en drap léger, gris souris; grandes poches ornées de passementerie et de longues olives en passementerie; même ornement répété sur les épaules; manches étroites, fermées avec trois gros boutons plats. Chapeau de tulle noir garni en taffetas vert. Jupon blanc en percale, garni avec un volant ayant 6 centimètres de hauteur, plissé à gros tuyaux et à tête fixée par une bande de percale ayant 3/4 de centimètre de largeur, piquée sur chaque côté.
Robe en foulard écru foncé; allongée par une bande de foulard violet clair, ayant 10 centimètres de largeur. Cette bande remonte par devant en se rétrécissant graduellement jusqu'à la ceinture qui est de même nuance violette. Chemisette blanche, montante et plate, à petits plis et entre-deux. Veste courte entr'ouverte, bordée avec une bande violette; ces bandes sont partout surmontées d'anneaux entrelacés faits avec une grosse corde violette en soie; sur les épaules, mêmes anneaux terminés par des glands. La chemisette montante a un petit col droit auquel la bande violette garnissant l'encolure tient lieu de cravate. Chapeau blanc, moucheté de grosses perles noires; boules noires retombant par derrière.
Dress in black poult-de-silk, edged with a thick green silk cord. Above this rope, a garland of ears embroidered in green silk goes up the front of the dress and on the bodice. Overcoat in light cloth, mouse grey; large pockets decorated with passementerie and long olives in passementerie; same ornament repeated on the shoulders; narrow sleeves, closed with three large flat buttons. Hat in black tulle trimmed in green taffeta. White percale petticoat, trimmed with a flounce 6 centimeters high, pleated with large pipes and head fixed by a strip of percale 3/4 centimeter wide, stitched on each side.
Dark ecru foulard dress; lengthened by a strip of light purple scarf, 10 centimeters wide. This band goes up in front, gradually narrowing to the waistband, which is of the same purple shade. White shirt, high and flat, with small pleats and in-between. Half-open short jacket, edged with a purple band; these bands are everywhere surmounted by intertwined rings made with a thick purple silk cord; on the shoulders, the same rings ending in tassels. The rising shirt has a small straight collar to which the purple band trimming the neckline serves as a tie. White hat, speckled with large black pearls; black balls falling from behind.
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struckbythestars · 1 year
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Avec émotion et une pointe d'appréhension, voici le premier chapitre d'une histoire qui en contient encore pas mal.
XOXO, les autrices.
PS : cette histoire n'est pas qu'une comédie...
Attention... On s'est un peu laisser aller en terme de langage grossier
Les personnages ne nous appartiennent pas nous les empruntons seulement
Chapitre 1 :
Maraudeurs' Rapsody
Il existe un mot au Danemark qui, en quelques syllabes décrit cette sensation confortable et chaude, cette ambiance douce et calme que l’on ressent lorsqu’on regarde des flammes tournoyer dans une cheminée. Hyggelig. Il n’y a pas meilleur mot pour décrire l’atmosphère particulière qui règne dans la Salle commune des Gryffondor en ce début de soirée du mois d’Octobre 1975.
Le silence de cette pièce teintée de rouge et empli de tapisserie médiévale n’était perturbée que par les pièces d’échecs qui s’entrechoquaient, les pages de livres qui se tournaient et quelques éclats de rires discrets. Mais cette harmonie fut rapidement brisée lorsque le portrait de la Grosse Dame s’ouvrit brusquement.
-     C’était génial, James ! Vous avez entendu sa voix ? Une vrai chanteuse d’opérette !, cria un garçon assez petit et potelé, l’air émerveillé par les 3 autres personne qu’il suivait au petit trot.
           Le premier garçon en tête du cortège, les cheveux noirs courts et pourtant  broussailleux, les yeux noisettes partiellement caché derrière des lunettes rectangulaires, souriait d’un air fier et revanchard en prenant place dans son fauteuil habituel face à la cheminée. James fut rapidement suivi par son meilleur ami, Sirius, ténébreux charmeur aux yeux gris insondables cachés derrières des boucles d'ébène. Le garçon à l’allure élancée et élégante d’un parfait aristocrate, chose qu’il refusait catégoriquement d’être, prit donc place dans le fauteuil faisant face à James, une table basse en bois rustique les séparants. Sirius portait d’un sourire en coin satisfait se rappelant de ce qu’ils venait de faire et pensant à leur prochain coup. Peter, le jeune garçon potelé s’assit à même le sol sur l’épais tapis bordeaux, dos à la cheminée.
-     Tout le mérite revient à Rem’, c’est lui qui à trouver le sortilège, répondit James à Peter alors que le dénommé Remus prenait place dans le canapé.
           Lui aussi souriait. Non pas parce qu’il trouvait que le sort que James avait jeté à Severus était drôle. Mais bien parce qu’il appréciait voir ses amis heureux. Il leur était reconnaissant d’être là. Il donnerait sa vie pour les trois personnes en face de lui, juste parce que sans eux, il n’aurait pas donner cher de la sienne. Grand et élancé, Remus avait l’apparence de la force tranquille du groupe, profondément gentil et presque gentleman, il était considéré par beaucoup comme « l’ami parfait » si bien auprès des filles qu’auprès des garçons. Mais il ne fallait pas se fier aux air tendre et à la dégaine détendue du jeune homme, un rapide coup d’oeil à son visage autrefois innocent prouvait qu’il devait avoir vécu des choses pas forcement très réjouissantes. En effet, trois grosses cicatrices blanches le parcouraient, partant de la tempe pour s'arrêter au menton, elles étaient cachées derrière des cheveux châtain mais bien présentes. De plus, derrière ses yeux noisettes qui prenaient parfois des reflets miels, les plus attentifs pouvait y déceler un profond mal être.
-     Peu importe ! Vous avez vu sa tête quand il a ouvert la bouche et qu’il a voulu parler ?, relança Peter.
-     Un vrai Soprano !, dit Sirius d’une voix aigüe. Comme si ses boules n’était pas encore descendues.
-     Es tu sur qu’elles sont descendues un jour ?, demanda James d’un air réellement intéressé par la question.
-     En possède-t-il réellement ?, répliqua le brun en face de lui se penchant en avant dans un air de réflexion profonde.
           James se pencha lui aussi en avant, plissant les yeux, et secouant distraitement la tête.
-     Hmm, dit il en se caressant le menton. Il faudra vérifier ça.
-     Pouvez-vous, s’il-vous-plait, arrêtez de parler des boules de Rogue au beau milieu de cette pièce ?, les interrompit Remus en reposant le livre qu’il venait d’ouvrir, outré par cette conversation.
           Relevant la tête vers ses amis, il vit alors Peter, une expression horrifié sur le visage, Sirius se mordant la lèvre inférieur dans une tentative de se retenir de rire mélangé à une expression de compassion alors que ses yeux se posaient sur James qui lui était rapidement devenu blême, les yeux fixés derrière Remus.
-     Evans …, souffla-t-il.
           Remus fit volte face pour voir que sa meilleure amie se tenait les bras croisés, les joues rouge de colère derrière le canapé.
Remus se demanda alors si elle avait assisté à toute la conversation. Il eu rapidement la réponse.
-     Waow Potter, je pensais que tu avait déjà touché le fond. Je le reconnais, je m’étais trompée. Black et toi êtes tellement immature que s’en est désolant, dit elle en les dévisageant d’un regard émeraude plus que méprisant.  Remus, j’étais venue voir si tu veux venir faire le devoir d’arithmencie avec moi à la bibliothèque.
           Ce dernier hocha la tête, ne sachant pas trop quoi répondre d’autre et se leva. James, lui, n’avait toujours pas bouger.
-     Maintenant, pour répondre à ta question, reprit Lily. Oui, il en a et je suis persuadée qu’elles sont plus imposantes que les tiennes, fini-t-elle en se dirigeant sans un regard en arrière vers la sortie de la salle.
           Remus jeta un regard à ses amis avant de partir au pas de course derrière la Gryffondor passablement énervée.
-     Ce qui est sûr, c’est que elle, elle en a. Souffla Sirius avant de se prendre un cousin en pleine tête.
           Alors que James commençait à se morfondre du fait que Lily le déteste, Remus l'avait rejoint dans le couloir. Lily était une Gryffondor de la même année, une vraie lionne dans l’âme, chaleureuse et attentive avec ceux qu’elle aime mais mordrait ceux qui entraient en désaccord avec elle. Elle avait de longs cheveux roux qui accentuaient les tâches de rousseurs sur sa peau pâle et avait des yeux verts à couper le souffle tant il semblait être leur propre source de lumière. Il va sans dire que James Potter avait eu un coup de coeur pour la jeune fille dès leur entrée à Poudlard, un coup de foudre se plaisait il à croire. Cependant, il n’en était pas de même pour la jeune femme.
-     Tu sais …
-     N’essaie pas de le défendre Remus. Il est immature et arrogant. Severus ne mérite pas cela.
-     Il nous le rend bien, marmonna Lupin.
-     Peut être. Mais vous êtes quatre et il est seul.
           Remus ne répondit rien alors qu’ils venaient d’arriver à la bibliothèque. Ils travaillèrent sur leur devoir durant les deux heures suivantes avant de devoir partir pour le couvre-feu.
Remus aida Lily à ranger ses affaires et ils se dirigèrent parmi les rayonnages vers la sortie. C’est au détour d’une allée, que Lily vit passer une ombre noire. Elle donna son sac à Remus et commença à courir.
-     Severus ?, cria-t-elle pour le faire arrêter.
           Ce dernier, le corps maigre, la peau pâle accentué par le noir corbeau de ses cheveux lui arrivant aux épaules, s’arrêta dans une allée, loin de Lily. Il la fixa de ses prunelles noires qui semblaient être des puits sans fond quelques instant alors que Remus arrivait à la hauteur de Lily. Les trois étudiants se regardèrent sans un mot. Severus semblait furieux, Lily le regardait avec incompréhension et Remus baissa la tête. Quelques secondes plus tard, Rogue repartait dans un mouvement de cape, disparaissant dans l’ombre des couloirs de pierres.
-     Que lui avez vous fait ?, demanda Lily à Remus.
-     Un sortilège qui lui fait parler avec une voix d’opéra, répondit Remus peu fier de lui.
-     Un simple Finite aurait du lui permettre de mettre fin au sort.
           Voyant la grimace désolée de son ami, Lily l’interrogea du regard. Remus souffla et reprit la parole.
-     Pas si Sirius à indiqué à James comment empêcher qu’il le fasse avant un certain temps.
           Lily regarda le ciel, maudissant les noms de Potter et Black avant de regardait Remus.
-     Combien de temps ?  demanda-t-elle. Remus ? rajouta-t-elle voyant que le Lycanthrope ne semblait pas vouloir lui répondre.
           Face aux yeux verts brillant d’une lueur féroce, Remus se passa une main dans les cheveux, il savait qu’elle ne le lâcherait pas tant qu’elle n’aurait pas toute les réponses à ses questions.
-     3 jours, fini-t-il par avouer.
           Lily souffla une nouvelle fois et se dirigea d’un pas soutenue, traduisant son ras-le-bol, vers la tour des Gryffondor.
———
-     J’essayerai la feinte de Porskoff et …
           James ne termina pas sa phrase alors qu’il fut foudroyé par le regard de Lily qui venait d’arriver dans la tour. Elle traversa la pièce sans un mot avant de rejoindre le dortoir des filles.
-     Si tu reste comme ça, je pense tu vas gober des mouches, James, le prévint Sirius alors que Potter était resté la bouche ouverte regardant dans le vide.
           James ignora Sirius, se levant rapidement vers Remus qui venait lui aussi de faire son apparition.
-     Rem ! As-tu plaidé ma cause ? demanda le garçon aux lunettes en se jetant presque sur Lupin.
-     Crois-moi j’ai essayé. Mais Lily est ce qu’elle est. Bornée, en l'occurrence.
-     Je suis foutu, conclue James en se laissant choir sur le fauteuil le plus proche.
-     C’est moi la DramaQueen, ici. Donc tu te lève et t’essaies de remonter dans sa haute estime, répliqua Sirius en abandonnant son livre de quidditch.
-     Sirius à raison, il faut que tu arrête ta guerre avec Rogue, ça te cause préjudice, essaya de le résonner Remus. 
-     Alors, j’allais plutôt dire : Il faut trouver un moyen pour que Lily ne soit plus au courant des blagues que l’on fait à Monsieur Je-suis-une-bougie-Rogue, reprit Sirius le plus sérieusement du monde alors que les épaules de Remus s’affaissèrent. 
-     Monsieur Je-suis-une-bougie ? demanda Peter faisant remarquer sa présence.
-     Bah, oui avec son teint cireux c’est du pareil au même, il manque plus que la flamme sur la tête. Merlin ! Faut qu’on enflamme la tête de ce petit merdeux et l’illusion sera parfaite !
           Ce fut au tour de Lupin de se laisser tomber dans un canapé alors que les yeux de ses trois amis brillaient déjà d’impatience.
Le groupe resta à parler plus ou moins calmement dans la salle commune de tout et de rien mais surtout de plan pour aider James à conquérir Lily, de quidditch et de futur farce à faire à Rogue. Ce fut lorsque le dernier groupe de Gryffondor en dehors de notre quatruor quitta la pièce que les quatre garçons se rapprochèrent les uns des autres et commencèrent à parler à voix basse. 
-     Bien. Lunard, la pleine lune est dans 9 jours, comment te sens-tu ? demanda Sirius en posant la main sur l’épaule du Loup-garou.
-     Ça va, Sirius. C’est dans 3 jours que ça va se faire ressentir, tu le sais bien.
-     Oui. Mais je voulais être sûr, répondit Sirius avec aplomb.
           Remus baissa la tête, gêné par les paroles de son ami.
-     Bien ! Maintenant que cela est réglé. Peter. Tu en est où ? demanda James.
           Ce dernier, se contenta d’ouvrir la bouche, permettant aux personnes autour de lui de voir la feuille de mandragore qui y reposé sagement. Sirius ne pu caché son expression de dégout. Voir la muqueuse buccale de Peter n’était pas vraiment sa tasse de thé. 
-     Parfait. Je viendrai avec toi l’enterrer lors de la prochaine pleine Lune. Continua James. Pendant ce temps là, Patmol tu sera chargé de faire attention à ce que Lunard ne nous chasse pas.
-     Aucun problème. J’ai de moins en moins de mal à me transformer maintenant. Et toi, toujours en attente d’un orage ?
-     Oui. C’est pas juste. Toi, une semaine après y’en a eu un. Moi ça fait déjà 3 semaines, se plaignit James.
           En effet, depuis le début de leur troisième année, James, Sirius et Peter avaient le projet de devenir des animagi pour soutenir Remus, loup garou depuis sa petite enfance, lors de ses transformations. Sirius avait réussi cet exploit l’année précédente après 2 ans d’essai. Il encourageait désormais James mais surtout Peter qui avait plus de mal, ne serai-ce que pour finir la première étape. James n’avait pas vraiment de chance, il avait réussi à réaliser sa potion l’année précédente mais l’orage étant arrivé durant l’été, en ce début d’année, il avait recommencé le processus du début. Actuellement, sa potion était en train de reposer dans le parc de Poudlard à l’abri des regard attendant patiemment le prochain orage.
-     Je vous remercie les gars, lâcha Remus ému d’avoir des amis comme eux. Pour ce qui est de la carte, il faut encore le faire pour les cachots puis améliorer les sortilèges qui l’entourent. Elle sera bientôt prête.
           Sur ces plus ou moins sages paroles, le quatuor rejoint son dortoir, se laissant aller à leurs songes tombant lentement dans les bras de Morphée.
———
           C’est les premières notes d’un petit groupe de rock moldu nommé Queen qui avait réveillait notre quatuor le lendemain matin. 3 d’entre eux avaient encore la tête dans les chaussettes alors que le dernier se déhanchait debout sur son lit, sa brosse à dent lui servant de micro.
-     Y’ai Twouvé !!! s’exclama Sirius alors qu’une bonne parti de son dentifrice dégoulina de son menton jusqu’au drap.
           Lupin abandonna alors l’idée de réaliser correctement son noeud de cravate. Il n’était déjà pas doué pour cela mais ce matin là, il n’y arrivait vraiment pas. Peter, lui, cherchait ses livres de cours disséminés dans le dortoir et James finissait de se coiffer.
-     Et en français, ça donne quoi ? demanda James qui n’avait pas comprit.
           Sirius traversa alors le dortoir pour cracher dans le lavabo, faisant un clin d’oeil à son propre reflet au passage. Il se rinça rapidement la bouche, vérifia une dernière fois ses boucles et revint dans la chambre arrêtant son gramophone duquel sortait les dernières notes de Killer queen.
-     Mes chers Maraudeurs. Dans 6 jours à lieu la fête d’Halloween. Et j’ai trouvé nos costumes parfait, expliqua-t-il pour attirer l’attention de ses compères. Peter, tu seras Roger Taylor, le petit blond de pile électrique. James, John Deacon, le brun aux doigts de fée. Et toi, Lunard, tu es bien sur le grand et discret Brian May. Quand à moi, dit il en remontant sur son lit, prenant une pause théâtrale. Je serai Freddie. Ensemble, nous serons Queen !
-     Et tu veux qu’on donne une représentation aussi ? demanda Remus d’une voix pleine d’ironie.
-     Par Merlin ! Quel brillante idée. Comme toujours Lunard. Nous jouerons Killer Queen au milieu de la grande salle.
-     Tu es bien conscient que nous ne sommes pas musicien, fit remarquer James qui n’était pas emballé par l’idée.
-     Non, mon cher, nous sommes magicien, lui répondit Sirius en lui faisant un clin d’oeil.
———
La grande salle était bondée en cette matinée, les élèves de toutes maisons et de tout âge si étaient rassemblé pour prendre leur petit-déjeuner mais aussi pour écouter les annonces de leur Directeur, Albus Dumbledore. Lily était assise à côté de Remus lui même à côté des autres Maraudeur, écoutant Sirius parler sans relâche de leur futurs costumes d’Haloween. En face de Lily, se trouvait sa meilleure amie, Mary Macdonald. Elles étaient devenue amie dès leur première année, alors que Mary, maladroite dans l’âme, avait renversé son encrier sur Lily le premier cours, de leur première journée. Mary était un peu plus grande que Lily et avait de longs cheveux cendrés ondulés et de grand yeux bleu ciel. Après cet incident, elles ne s’étaient plus jamais quittée. Pas loin d’elle, il y avait Franck Londubat, grand garçon aux cheveux presque rasés châtain, le regard marron plongé dans celui noisette d’une élève de Poufsouffle à la table d’à côté, Alice Fortescue, une petite brunette, cheveux coupés en carré court et une frange. Ces deux là étaient fou amoureux l’un de l’autre. Personne ne savait depuis quand exactement mais la légende racontait qu’ils s’étaient rencontré dans le train et que le coup de foudre avait été si intense qu’à leur arrivé à Poudlard, ils avaient déjà échangé leur premier baiser. Bien sur, leur histoire connaissait des hauts et des bas mais ils revenait toujours l’un vers l’autre tôt ou tard comme deux aimants.
D’un seul coup, toutes les conversations de la salle, alors que le tintement d’une cuillère contre un verre résonnait encore.
Toutes les têtes se tournèrent alors vers la table professorale où Albus Dumbledore venait de se lever.
-     Bonjour à tous. Pardonnez moi d’interrompre un moment aussi crucial que le petit-déjeuner. Halloween arrivant à grand pas, il serait peut être temps de vous annoncez qu’une sortie pré-au-lard est prévue pout tout le monde, ce weekend. Cette sortie à un but. Trouvez le meilleur costume à présenter lors du concours de meilleur costume qui aura lieu le 31 au soir, ici même. Une affiche comprenant toutes les catégories de ce concours sera affiché dans le couloirs dans le courant de la semaine. Soyez inventif, surprenez nous. Bon appétit.
Il eu un brouhaha assourdissant dans l’ensemble de la salle ( enfin sauf chez les Serpentard), chacun s’imaginaient déjà dans le meilleur costume qui puisse exister, mais le plus heureux de tous à cet instant précis était Sirius.
On ne parla plus que de cette fête durant le reste de la semaine. La sortie pré-au-lard avait été un calvaire, tout poudlard avait débarqué dans les quelques magasins de vêtements, costumes et farces et attrapes. Beaucoup de personne n’avait pas trouvé leur bonheur et à la fin de la journée, les rayons métamorphose des librairies avaient été dévalisées.
En effet, les catégories avaient été rendue public quelques jours auparavant.
 
Cela avait été affiché en grand sur les portes de la grande salle et n’avait eu pour conséquences que de faire grandir l’envie d’arriver à cette fête car chaque gagnant de catégorie gagné quelque chose. Allant un abonnement illimité aux bonbons au citrons de chez HoneyDukes, à des points pour la coupe des maisons en passant par une chouette et même un balais volant ( et pas le premier prix)
———
C’était l’effervescence au château, et particulièrement dans le dortoir des filles de Gryffondor, des vêtements volaient partout et le maquillage tant recherché se trouvait généralement sous les couches de tulles de tissus et de dentelle.
Lily s’évertuait à nouer ses cheveux en deux nattes de chaque côtés de sa tête, elle portait une robe assez monacale verte foncé avec un tablier blanc par dessus, des grosses chaussette et des vielles chaussures en cuir. Elle s’était transformé en l’héroïne de son livre moldu préféré, Anne Shirley. Elle esquissa un faible sourire à son reflet dans le miroir, pensant à Severus. C’est elle qui lui avait fait découvrir le livre lorsqu’ils n’étaient alors que des enfants. Ce souvenir lui serra le coeur quelques instants, ils étaient devenu si distant l’un envers l’autre et elle se rendait compte que son ami lui manquait. Elle ne comprenait plus son attitude depuis la rentrée, ni même depuis le début de leur première année vrai dire, mais cette année en particulier il était encore plus distant, sûrement à cause de l’été précédent.
-     Quelqu’un aurait vu mon serre-tête ? S’écria une voix derrière Lily.
-     La dernière fois que je l’ai vu, il était à côté de la tiare de Mary ! Répondit elle en regardant Alice, déguisée en… Alice, se débattre dans un enchevêtrement de jupons. 
-     MARY ! Cria alors Alice.
S’est alors que le porte de la salle de bain s’ouvrit dans un grand fracas. Mary Mcdonald venait d’en sortir.
-     J’AI FAIT UNE TÂCHE ! Cria-t-elle sous les regards effarés d’Alice et Lily qui avaient stoppé tout mouvement. 
Elles avaient les yeux fixés sur la longue trace de fond de teint sur la robe blanche immaculée de Mary.
           Lily fut la première à réagir, cherchant sans relâche sa baguette dans le capharnaüm qu’était le dortoir. Elle fini par la trouvé et lança un evanesco pour faire disparaitre la tâche.  Au même moment, Alice mit la main sur son serre tête avec un nœud noir sur le dessus.
           Elle avait changé son carré brun en une longue chevelure blonde tenue en arrière par le fameux serre-tête. Elle portait une robe bleue bouffante à manche courte et tout comme Lily, un tablier blanc sur le dessus. Leurs costumes étaient assez similaire mais la différences était quand même flagrante et elles étaient toutes les deux très reconnaissable.
           Mary, quand à elle, avait porté son dévolu sur le costume de Galadriel, une elfe d’un livre fantastique d’un certain Tolkien. Elle porté donc une longue robe blanche avec des manches qui trainaient presque sur le sol, sa taille de guêpe était cintrée par une fine ceinture dorée accordée à son diadème doré et argenté qui tombait quelque peu sur son front. Elle n’avait pas presque pas touché à ses cheveux, les gardant cendré et mais les faisant ondulés en cascade jusqu’au bas de son dos. Elle s’était très légèrement maquillé, surtout pour blanchir un peu son teint et le perfectionner. Comme cela, elle semblait tout droit sortit d’un autre monde.
           Enfin prête, les trois amies décidèrent de se rendre enfin à la fête. Sur le chemin, elles croisèrent des vampires, des monstres en tout genre, des héros de films Moldu comme James Bond, des chanteurs et chanteuses, des choses insolites tel qu’un garçon de troisième année de Poufsouffle déguisé en Grappe de Raisin, mais elles croisèrent aussi tout un groupe de Septième année de différentes maison déguisé en professeur. Elles n’eurent aucun ma à reconnaitre McGonagall, Sulghorn ou même Dumbledore.
           Les tables de la grande salle avaient étaient déplacées en un carré qui permettait d’avoir une grande piste de danse au milieu de la salle. Il y avait certaines décoration à la manière moldue mais le cadre du château donné déjà à la pièce un ambiance particulière. Il y avait des gens dans tout les coins parlant, dansant sur la musique mise par Flitwick, rigolant, mangeant le buffet qu’il y avait sur les différentes tables.
Les trois filles commencèrent par prendre place à une table, regardant autour d’elles les différents costumes.
           Elles virent un époustouflant costume de Scarlett O’Hara dans sa robe de velours verte que portait une cinquième année de Serdaigle. Un costume assez perturbant d’un Homard ou toute l’équipe de quiditch de Serpentard déguisée en équipe de quidditch de Serpentard. L’originalité à l’état pur.
           Les jurys du concours, composé de Dumbledore, Bibine et Mcgonagall déambulaient dans la salle, étudiant les costumes et demandant des précisions lorsque cela était nécessaire. Minerva n’était pas déguisée, Bibine arborait un discret déguisement de gang de Londre et Albus, sans grande surprise, avait opter pour un déguisement assez citronné. Il était en effet déguiser en un immense citron.
-     Où sont les garçons ? Demanda Mary surprise de ne pas avoir croisé les maraudeurs.
-     D’après Franck, ils auraient préparé quelque chose de gros. Expliqua Alice. Il parait qu’ils sont restés enfermés dans leur dortoir toute la semaine et personne ne sait ce qu’ils y ont fait.
-     J’ai hâte qu’ils arrivent alors ! S’exclama Mary.
-     Il me semble avoir entendu une liaison de trop, ma chère Mary. Ne voulais tu pas dire, j’ai hâte qu’IL arrive ? Lui demanda Lily d’une voix pleine de sous-entendu.
           Mary lui tira la langue dans un geste enfantin mais Lily ne l’a regardait déjà plus. Elle avait les yeux fixés sur l’entrée de la salle où Rogue venait d’apparaître. Pantalon noir en jean retroussé, chemine à col mao blanc cassé à fines rayures bleues marine, pull sans manche en laine marron un peu vieilli, cheveux plaqués en arrière sous un béret beige. Elle n’avait pas imaginer qu’il puisse venir déguiser. Encore moins qu’il vienne déguiser en Lui. Gilbert Blythe.
           Depuis qu’il était apparu, leur regard ne s’était pas lâché et sans même s’en rendre compte, Lily s’était levée et marché droit vers lui. Severus ne bougea pas. Trop décontenancé par le costume de Lily. Au fond de lui, il avait voulu rendre hommage à leurs livre d’enfance, il n’avait pas pensé une seule seconde, qu’elle puisse faire de même.
-     Gilbert hein !? Lui dit Lily lorsqu’elle arriva près de lui.
           Elle ne savait pas pourquoi elle venait de lui adresser la parole, après tout, il l’évitait depuis le début de l’année.
-     C’est vraiment parce que j’avais que ça sous la main pour cette stupide soirée.
           Lily tiqua. Severus se maudit. Pourquoi avait il lâché ça ? C’était faux ! Il s’était surpris à choisir son déguisement avec soin alors qu’au fond de lui, il espérait que cela engage la conversation avec Lily.
-     Eh bien, en tout cas c’est réussi… Répondit Lily cachant son amertume. Passe une bonne… (Soirée) s’apprêtait elle à dire en partant alors qu’elle fut interrompu.
-     Bonsoir jeunes gens !, s’exclama Dumbledore. Pourriez vous nous dire, l’origine de vos costume ! S’extasia-t-il en les observant de la tête au pied.
-     Euh… Anne Shirley, du livre Anne of Green Gables. Répondit Lily alors que Dumbledore n’avait aucune idée de ce dont elle parlait.
-     Et vous, jeune homme ? Demanda l’homme au costume de Citron.
-     Gilbert Blythe de…
-     Anne of Green Gables ! Fini Madame Bibine avec un grand sourire. Bien sûr ! C’est très réussi comme costume de couple ! Toutes mes félicitations !  
           Sur ces mots, les trois jurys s’éloignèrent, laissant Lily aussi rouge que les couleurs de sa maison et Severus se triturant les mains seul signe du malaise qui l’habitait. Lily bafouilla quelques mots incompréhensible aux oreilles de Severus et s’éloigna rapidement sans un regard en arrière.  
-     Ton costume fait sensation Rogue
-     La ferme Black. Va te trouvez une Scarlett pour la soirée au lieu de me les brisées. Répliqua Severus en prenant la direction de la sortie, il avait grand besoin de fumer.
           Regulus Black, cheveux tirés en arrière, fine moustache, costume 3 pièces dans les tons gris et noir sans oublier le foulard noir à motif blanc était en effet, déguiser en nul autre que Rhett Butler. Ce costume lui collait à peau, affirmant son image de tombeur auprès des filles de Poudlard.
          Désormais seul à la porte, il laissa son regard ombrageux dérivé sur les personnes face à lui cherchant une cible. Robe verte de velour, cheveux chatain, grande, regard azur mesquin. Une Scarlett O’Hara dans toute sa splendeur.
-     Rem ! T’as pas vu mon micro ? S’exclama Sirius en panique.
-     Tu peux pas faire attention à tes affaires pour une fois Black !, répondit Remus d’un ton abrupte  
           Le silence se fit dans le dortoir des Gryffondors. James venait d’arrêter de toucher à ses cheveux, Peter avait les yeux grand ouvert et Sirius s’était figé au milieu de la pièce, le regard fixé sur Remus.
-     Désolé… reprit ce dernier. Je suis un peu sur les nerfs, tu sais…
-     Oui, c’est bon t’inquiète, c’est rien., lâcha précipitamment Sirius
           Il y eu un moment de silence avant que James ne reprenne les choses en mains, invitant tout le petit groupe à enfin se joindre à la soirée.
           Dans la salle, les jurys avaient commencé à remettre des prix. Celui du déguisement le plus original avait été décerné à une élève de deuxième de poufsouffle qui était venue déguisée en téléviseur moldu. Le plus beau avait été décerné à une fille de serdaigle, une certaine Dorcas Meadowes, déguisée dans un impressionnant costume de Morgane, elle était sublime, avec un côté réservé, mystérieux mais en même tant, on pouvait presque sentir la puissance et la magie noire dans le costume. Le costume le plus drôle avait été pour l’élève déguiser Hot dog. Le trophée du meilleur costume de groupe avait bien entendu était remis aux élèves s’étant déguiser en Professeurs.
-     Bien, félicitation ! Nous allons désormais passé au meilleurs dégui….
           Lily n’écoutait plus, le regard dans le vide, elle pensait à son altercation avec Severus, comment leur relation avait à ce point changé ? Pourquoi agissait il ainsi comme si plus rien ne l’atteignait ?
-     Lily ? LILY ?
           La rousse sentit une main s’abattre sur son bras, Mary était en train de la secoué en appelant son prénom. Lily reprit conscience de la réalité alors que Mary la poussait vers l’estrade des remises de prix.
           Elle se tenait là, debout devant tout le monde, ne sachant pas pourquoi, elle observé Dumbledore lui tendre un abonnement à vie aux bonbons aux citrons de HoneyDukes sans vraiment comprendre pourquoi elle avait gagné.
-     Rapprochez vous ! C’est pour la photos ! S’exclama Bibine avec un appareil sorcier en main.
Lily tourna la tête curieuse alors que Bibine désignait quelqu’un à ses côtés. Elle ne pu pas cacher sa stupeur lorsque ses yeux verts rencontrèrent les prunelles onyx de Rogue.
Elle sentit une main se poser contre sa taille alors que sans s’en rendre compte elle souriait à l’objectif. La photo prise, Severus poussa Lily à descendre l’estrade, il la rattrapa alors qu’elle s’apprêtait à rejoindre ses amies.
-     Lily ?
           Par réflexe elle se retourna.
-     Tout va bien ? Demanda-t-il d’une voix étonnamment douce
-     Oui, y’a aucun problème. Dit elle en regardant autour d’elle cherchant une porte de sortie.
           Comment pouvait elle lui dire qu’elle ne savait plus qui il était, qu’il avait changé depuis leur première année et encore plus depuis cet été. Comment lui dire que ce changement dans leur amitié lui brisait le coeur, lui qui avait été son premier ami, le seul à la comprendre quand elle en avait le plus besoin, le seul qui lui vouait un soutient sans faille. Le seul envers qui elle avait eu pleinement confiance, jusqu’à ce jour où le choixpeau avait crié « Serpentard ». Elle n’avait pas voulu le voir au début, ce changement lent, presque doux, de sa personnalité, elle l’avait ignoré ces dernière vacances mais Severus n’était définitivement plus celui qu’elle avait connu, et cela lui donnait envie de pleurer, de le supplier de redevenir ce garçon solitaire, gentil et parfois drôle qu’elle avait rencontré. Comment lui dire ça ?
           Severus quand à lui regardé le regard perdu de Lily, cette lueur de tristesse dans ses yeux incroyables. À cet instant, planté au milieu de la grande salle, il aurait tout voulu lui dire. Lui dire qu’il l’aimait comme un fou depuis le premier jour, qu’il aurait aimait resté en été, dans cette campagne avec elle, et ne plus repartir, la prendre dans ses bras, lui dire que même si il avait changé, ouvert les yeux, elle restait toujours la même et ses sentiments n’avait pas changé et ne changerait jamais.
-     Lily, il faut que je te dises… Commença-t-il sans vraiment s’en rendre compte.
           Elle le regardait désormais dans les yeux, toujours dans le vague perdue dans ses pensées. Severus se pencha lentement, perdant le sens de la réalité, se rapprochant d’elle centimètres par centimètres. Il n’entendit pas un grand bruit venant de l’entrée de la salle. La seule chose qu’il entendit fut un exclamation venant de la voix de Lily alors qu’elle avait tourné la tête et s’était précipiter vers le bruit. « Potter ? » Avait elle crié, laissant Severus interloqué, choqué au milieu de la salle, une monstrueuse colère s’immisçant dans ses entrailles.
-     C’était triste à voir. Déclara une voix derrière lui reconnaissable entre toute.
Severus fit volte face, dévisageant Regulus qui le dévisageait en retour.
-     Pourquoi ton foulard est en cendre ? Demanda Severus préférant changer de conversation.
           Il vit alors Regulus baisait les yeux sur son costume, un rictus sur les lèvres.
-     Disons que ma Scarlett était en peu plus féroce que ce que je m’attendait.
-     Tu l’as baisé ? Demanda Severus les sourcils froncés.
-     C’est pas faute d’avoir essayé mais la McKinnon à préféré me mettre le feu avec son briquet pour me faire partir.
-     Oh, Black a donc comprit le sens du mot non ?
           Regulus eu un rictus explicite.
-     Tu ne vas donc pas lâcher l’affaire ?  Demanda Severus
-     C’est toi qui demande ça, Rogue ? Avec ta sang-de-bourbe ?, rétorqua Regulus alors que Severus s’évertuait à rester de marbre. Elle est canon, c’est vrai, mais pas assez pour passer au dessus du dégout qu’elle me procure. Cependant pour répondre à ta question, je dois avouer que McKinnon, n’est plus dans mes projets, j’ai en vue quelqu’un d’autre, dit-il en lançant un coup d’oeil derrière Severus.
           Severus ne se retourna même pas pour voir qui Regulus avait en tête et se dirigea rapidement vers la sortie de la salle suivant le chemin que Lily avait prit quelques instants plus tôt.
Il fut stopper dans sa fui…ses réflexions par une foule d’élèves dansant le rock. Severus fit alors attention à son environnement et leva les yeux du sol qu’il n’avait pas eu conscience de fixé.
           Face à lui se trouvait une scène de presque un mètre de hauteur en bois, et au dessus ? Son pire cauchemar. Potter, cheveux en bataille magiquement rallongé balançant la tête au rythme de rock, guitare entre les mains, chemise à motifs grotesque presque totalement ouverte  et pantalon bleu ciel patte d’éléphant. À ses cotés, Black en tenue encore plus moulant et excentrique chantait dans un micro qui avait une tige mais pas de pied. Severus se fit la réflexion que la moustache n’allait pas du tout à Black mais c’était hors de propos. Ses yeux se posèrent alors sur Lupin, grand dans son costume plus ou moins bien coupé alors que ses cheveux semblaient aussi soyeux et bouclé que ceux d’une femme. Il jouait de la base et honnêtement il regardait le sol trop gêné pour se rendre compte de la place qu'il occupait actuellement. Et puis il y avait Peter, caché derrière une batterie. Il tapait dans tout les sens et était étonnamment ou plutôt sorcellement en rythme. Severus n’aurait jamais pensé avoir cette vision, et il aurait préférait ne pas la voir mais elle n’était rien face à celle qu’il eu juste après avoir découvert les maraudeurs version Queen. Au premier rang, tout près de la scène, ses tresses rousses volantes autour d’elle, Lily criait, riait, dansait. Cette vision aurait pu être parfaite car elle était sublime mais c’est vers Black qu’elle tendait les bras, c’est le nom de Potter qu’elle cria lors d’un solo de guitare et c’est les Maraudeurs qu’elle acclamait.
           La chanson prit fin et tout le monde applaudit. Severus en profita pour s’en aller. Il avait besoin d’air.
-     Merci à tous ne nous avoir écouté ! Cria Sirius dans son micro alors que la foule devant lui, dont Albus et Minerva faisait partie, scandait pour en avoir une autre.
           Sirius tout sourire se retourna vers ses amis, tous hochèrent la tête plus ou moins convaincu et ils démarrèrent un nouveau morceau. Alors qu’il chantait et qu’il regardait son public, Sirius comprit. Cette sensation d’exaltation qui s’était emparée de lui, ce sentiment de joie de savoir qu’il produisait quelque chose avec ses amis, qu’ils étaient les stars de cette école, que tout le monde les acclamé. Il comprit. Il comprit qu’il voulait pouvoir ressentir cela dans sa vie, cette même sensation que devait ressentir James en marquant un but. Alors à la fin de la chanson alors que déjà plusieurs filles au premier rang lui faisait des clins d’oeil, il reprit le micro chauffant la salle pour les entendre crier, crier pour eux, les Maraudeurs, crier pour lui.
-     Bien, si cela vous a plu, je vous annonce, que nous lançons notre propre groupe !, il regarda vers le ciel étoilé de la grande salle quelques instant. ASTRONOMY !,cria-t-il d’un seul coup. Souvenez vous de nous ! Et à la fois prochaine !
           Sur ces mots, la salle se rempli d’un épais brouillard noire et lorsqu’il se dissipa, sous les cris de la foule, la scène et le groupe Astronomy s’était volatilisé.
-     C’était tout bonnement GÉ-NIAL !, cria Sirius dans le couloir un peu plus loin que la grande salle alors que les autres arrivaient avec leurs instruments volant derrière eux.
           James affirma, Peter aussi mais il avait mal à la tête, une cyballe était tombé sur lui lors du déménagement.
-     Attend attend Sirius, t’as dit quoi à la fin ? demanda Remus qui n’avait pas tout capter, trop concentré à jeter un sort nébuleux.
-     J’ai crée notre groupe ! ASTRONOMY !, cria Black.
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Le Langage “Poilu”.
“(…) Vous savez que la tête ou trognon se coiffe d'un képi, dit kébrock, pot de fleurs.  Le buste du poilu, la partie de son corps qui contient l'estomac et les entrailles, qui est par conséquent le réceptacle de la nourriture, se nomme pour ce motif: coffre, bide, buffet, lampe. Rien ne fait plaisir comme de s'en flanquer plein la lampe.  Le poilu met ses jambes, ses quilles, ses pattes, ses harpions, son compas, dans un objet appelé par certains pantalon, mais par lui: falzar, frandar, froc, fourreau, grimpant. On voit le geste de l'homme qui s'habille…
A ses pieds, panards, ripalons, il enfile des godillots ou, si vous préférez, des godasses, des grôles, des croquenots, des ribouis, des péniches, des chaussettes à clous, des pompes (à l'usage de l'eau des tranchées, probablement).  Tout le monde connaît Azor, le sac; Mlle Lebel, le fusil, et Rosalie, la baïonnette, trois fidèles amis du trouflon.
Le temps où le poilu se couchait dans un lit, appelé pajot ou plumard, en raison sans doute de l'absence de plumes dans la literie, est maintenant passé. Il dort (quand il dort, et alors il pionce, il roupille, il en écrase) sur la terre, heureux d'avoir de temps en temps un peu de paille en guise de drap ou de sac à viande. Au repos, en arrière, il trouve quelquefois un lit: quelle joie, quelle nouba. Quelle foire! Mais la chose est rare depuis que le poilu habite la tranchée et ses gourbis, ses cagnas, ses calebasses.  Sa grande préoccupation est alors de défendre sa peau. Car il reçoit des visites peu agréables: les gros noire, les marmites, les wagons-lits, les trains de wagons-lits, s'il y en a plusieurs, le métro.. Que sais-je encore? C'est alors que retentissent les:
« Planquez-vous! » Les poilus s'aplatissent sur le sol sans s'émouvoir: faut pas s'en faire! A quoi bon avoir les foies blancs, verts ou tricolores, en d'autres termes, avoir peur? On n'est pas une bleusaille!  Et quand résonne l'éclatement formidable du 105 ou du 120, le poilu apprécie d'un air amusé: C'est un pepère… un maous… un pépère-maous. De petits bourdonnements se font entendre: ce sont les éclats nommés mouches à miel, abeilles (ces qualilicatifs étant d'ailleurs communs aux balles) qui, heurtant un obstacle, cessent brusquement leur ronronnement.
Aussi, on est brave; on en a dans le ventre; on est blessé, attigé, amoché; on meurt, cela s'appelle être occis, clamecé, claboté,bousillé, zigouillé. II en tombe beaucoup, surtout à la charge à la a baïonnette, quand on va à la fourchette.  Notez enfin un autre petit inconvénient de la vie des tranchées. Ces cochons de Boches ont amené avec eux, laissés en liberté, une multitude d'insectes parasites, parmi lesquels on doit signaler, en raison de leur nombre et de leur universelle renommée, les poux, totos ou gos, petites bêtes blanches aux pattes agiles, appelées aussi pour ce motif mies de pain mécaniques… Et je vous assure que pour s'en débarrasser on a bien de da peine: quel boulot !
Ce sont là les ennuis d'un métier qui réserve, par contre, d'agréables moments. La soupe, par exemple… Il faut avoir vécu au front pour être capable de comprendre l'enthousiasme de l'accueil fait à l'homme sale que la guerre a révélé cuisinier, "Ah! te v'ià, l'cuistot! Eh bien! ça va, à la cuistance? Dis donc… vieux, qu'est-ce que tu nous apportes à becqueter?” Le cuisinier, louche en main, procède alors à la distribution. Chacun tend sa galetouse, lisez gamelle, et reçoit sa portion de rata: bidoche ou barbaque cuite avec patates, faillots ou riz. Avec cela, un quart de boule (pain ou bricheton) et de temps en temps, un morceau de frometon ou fromgi (fromage).
Seulement, il arrive parfois que, pour divers motifs, la soupe ne vient pas: attaques, changements imprévus de secteur, culbute du cuisinier et de sa becquetance sous la rafale des obus. Philosophiquement, en s'accompagnant d'un geste des mains qui esquissent un nœud imaginaire sur le ventre, le poilu se met la tringle ou la corde, serre un cran à la ceinture, ou, par antithèse, il se bombe. Et il le fait sans trop se plaindre - rouspéter ou rouscailler, - se réservant d'ailleurs de se tasser une boîte de singe.  Mais quelle n'est pas sa joie lorsqu'il peut se rassasier à son aise, se taper la tête ou la cloche, s'en mettre plein le col, plein le cornet!  Le comble du bien-être est atteint quand paraît le vin, le pinard tant désiré. On ne l'a plus, comme autrefois, en litre, en kil; on en touche - et encore!… - un quart. Sinon, au cas où le pinard a fait le mur, on se contente d'eau dite flotte ou lance. Puis vient le traditionnel jus, dont on ne se passerait pas pour un empire. De temps en temps, enfin, on distribue de l'eau-de-vie: la goutte, la gniole, le criq, le j'te connais bien. Mais généralement le poilu voit là un signe avant-coureur d'une attaque. Alors, malgré le plaisir de l'absorption, il trouve que ça la f…iche mal! Il eût préféré déguster en paix, que diable!
Ce plaisir de la soupe s'adresse à ce qu'Aristole appellerait l'âme inférieure. Il en est un autre d'une essence supérieure: celui de recevoir des lettres. Les babillardes sont toujours bienvenues: celles des parents, des vieux; des frères et sœurs, frangins et frangines; des amis, des copains, des connaissances restées au pays; des parrains et marraines de guerre. Souvent aussi on y trouve de quoi garnir son porte-monnaie Les yeux du poilu, ses mirettes, s'illuminent lorsqu'il voit son morling se remplir de ronds, de balles, de tunes. Bienheureux ceux qui ont du pognon, du pèse !“
Maurice Barrès
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