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#texte d'amour
unsoleiltimide · 4 months
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Il y avait des larmes sur la toile
Mais la palette etait la bonne
Maintenant, pour allumer les étoiles
Il nous suffit d'appuyer sur "ON"
Le soleil dessinait ton portrait
Dun melange doux de craie et d'aquarelle
De les rossignols emporte en été
Pour admirer ces montagnes éternelles
Le vent sifflait encore ton nom
Touchant presque l'ornement d'Orion
Tel que si tu avais etait une constellation, je taurais crée moi même
Ce soir, j'ai observé la nuit.
Tout était si calme comme si le monde s'était mit en pause.
Touchant le voile sombre de vers comme si le jour etait en prose.
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autresphrases · 9 months
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Je t’ai rencontrée alors que je n’étais plus moi-même.
J’avais été blessé, si profondément, que je ne pensais pas pouvoir m’en relever. J’étais en train de devenir quelqu’un de sincèrement mauvais.
Mon cœur entaillé s’est précipité sur toi. Ce n’est pas pour ton corps, ton visage ou tes yeux qu’il a cédé : c’est ton âme qui l’a fait vaciller. Je suis resté en admiration devant elle, n’ayant même pas besoin de la voir à travers tes yeux, tant elle débordait de ton être tout entier.
Tu as bouleversé mon monde, du début à la fin. Tu m’as empêché de me perdre dans la tristesse. Mais je ne voulais pas reproduire les erreurs du passé, j’ai donc suivi les règles que tu imposais et tes sentiments, au risque de camoufler les miens. Mais tes actes n’étaient pas toujours en adéquation avec ces règles; tu me laissais parfois entrevoir la vraie toi, qui vivais par delà les murs que tu avais érigés. Et cette version de toi avait envie de m’aimer. Cela transpirait à travers ses actions et ses paroles, murmurées au creux de mon oreille, comme si elle parlait directement à mon inconscient, à mes sentiments enfouis.
Petit à petit, tu as laissé plus de place à cette partie de toi pour qu’elle puisse s’exprimer, sans même que je ne te le demande. Cela t’effrayait alors, pour te rassurer, je me suis également ouvert à toi. Je ne t’avais pas parlé de toutes mes blessures précédentes, donc tu n’as jamais su à quel point ce fut dur et terrifiant pour moi.
Ce n’est que quand tu as fait marche arrière que mes larmes t’ont fait comprendre à quel point ce fut éprouvant. Au final, ton cœur se sentait plus en sécurité auprès d’un autre. Même si tous les sentiments que nous avions partagés semblaient s’évaporer en un instant, que pouvais-je faire contre cela ?
Même si mon cœur se brise à l’écriture de ces mots, tu m’as sauvé l’espace d’une année, mais il me faut maintenant me reconstruire seul, en acceptant que je doive te laisser partir.
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porcelainerose · 4 months
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Je t'aime sans savoir comment, ni quand, ni d'où, je t'aime sans détour, sans orgueil, sans problèmes : je t'aime ainsi, je ne sais aimer autrement.
Pablo Neruda
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enoramenguy · 4 months
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Une Journée à la Mer
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Rouge
Comme tes joues après avoir passé la journée
Sous le soleil d'une journée d'été
Orange
Comme le fruit dans lequel tu croques
Tout en admirant la plage du Roc'h
Jaune
Comme le sable qui s'est collé à ta peau
Si belle quand elle brille grâce à l'eau
Vert
Comme tes yeux me regardant profondément
Avant de retourner vers l'océan
Bleu
Comme le ciel nous surplombant toutes deux
Sous sa couette, bénédiction des Cieux
Rose
Comme tes lèvres, ce soir au goût salé
Que j'embrasserai pour finir en beauté
Enora Menguy
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fiercynn · 7 days
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queer short cuts: "un chant d'amour | a song of love"
queer short cuts is a biweekly newsletter where i share queer & trans short film recommendations. i’m featuring some of my favorite films on tumblr because why not
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france | 25 minutes | 1950 | experimental film no dialogue; no closed captions
let me start by telling you my impressions of un chant d’amour | a song of love, written and directed by jean genet, before i knew more about the context in which it was created. this captivating short film is black-and-white, with no dialogue and a haunting score, set in a french prison where two incarcerated men have fallen in love despite being locked in adjoining cells where they cannot see or touch each other. they find ways to express their love and desire from sharing what they can (blowing smoke through a hole in the wall, trying to pass a bouquet of flowers between their barred windows) and imagining the rest through phantom touch and vivid fantasies. the inhumanity of incarceration is depicted not only by their separation, but by a prison guard who acts as voyeur, enslaver, and rapist all in one, his eyes dually a tool of surveillance and objectification, his gun and his penis almost one and the same as he enacts violence on the prisoners. still, the two incarcerated men’s dreams of freedom persist, in part because they are dreaming together. un chant d’amour | a song of love, an amazing film at face value, is made even more stunning when you learn that it was made in 1950, and that it was the only film ever made by jean genet, a french writer, playwright, poet, and political activist. genet’s life is a fascinating story on its own – he grew up in poverty and was himself incarcerated for years, almost receiving a life sentence before prominent figures like jean cocteau, jean-paul sartre, and pablo picasso petitioned the french president to pardon him. genet’s writing centered homosexuality and criminality through novels, plays, essays, and poetry. he became more explicitly politically active in the 1960s, fighting the police brutality experienced by algerians in france, working with the black panthers in the united states, visiting palestinian refugee camps in beirut and jordan, and supporting the work of leaders like huey newton, angela davis, george jackson, and michel foucault. un chant d’amour | a song of love is no less remarkable than any other facet of genet’s life – put in context, the connections between incarceration, colonialism (one of the main characters is algerian), and systemic racism (another incarcerated character is black) in the film become even clearer. all cast and crew members apart from genet were uncredited to protect their privacy, a measure that was became all too necessary when the short film was banned in france due to its sexually explicit portrayal of homosexuality. despite being considered a classic of queer film, un chant d’amour | a song of love appears to be broadly unknown, in large part because only one copy of the film remained for years. digitizing the film has made it accessible for a new generation of audiences, and – sadly – its messages about oppression and liberation are as relevant today as they were 73 years ago. - deepa's full review, including content notes at the end
watch on vimeo or on kanopy with a u.s. library card!
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plexussolaire · 1 year
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Tenir ta main
Longtemps je me suis tournée vers l’adolescente que j’étais en n’y voyant qu’une étrangère. Un être vil et mal formé, la voix un peu aigüe, un peu criarde, qui pleure souvent et se plaint tout le temps. Longtemps je lui en ai voulu d’avoir fait des choix et pris des chemins qui m’ont mené à un endroit dans ma vie qui ne fait pas sens, d’avoir choisi la compagnie de personnes qui n’étaient pas bonnes pour moi, des actions qui m’amenaient à ma désolation. Je lui en voulais, d’avoir été si faible, si veule, de ne pas avoir saisi sa chance comme les autres, d’avoir loupé des opportunités fructueuses. Je ressens encore la honte et la douleur qu’elle a ressenti sans véritable distance. Je ressens de la colère quand cette plaie se rouvre. Je n’arrive pas à la comprendre, et je porte sur elle le regard qu’on portait sur moi : une chose pénible et bruyante, inintéressante, qui ne mérite pas d’être aimée tant elle est bizarre, et chiante, et empêche tout le monde d’être tranquille. Une chose qu’on laisse seule et dont on se moque dès qu’elle ouvre la bouche. Une chose qui crève en silence entre les murs épais de sa chambre des heures durant et qui ne fait rien pour y remédier.
A cause d’elle, je gèle tous les après-midi. A cause d’elle je crois que je ne vaux rien, que je ne sais rien faire de mes dix doigts, que je ne m’intéresse à rien. Que je suis gauche, et qu’au fond je n’apprends jamais à bien faire quelque chose car je n’en suis pas capable. A cause d’elle je remets tout au lendemain, et je sens des larmes envahir mon ventre quand il faut réparer quelque chose ou apprendre quelque chose que je ne sais pas faire. Ma colère à son égard à quelque chose de viscéral : je suis prise d’animosité farouche quand je devrais la prendre contre moi.
Ce regard est injuste. Cette animosité n’est pas la mienne, mais celle qu’elle a subi, et subit encore à travers moi. Parce que l’adolescente a été blessée au plus profond de son être, au fond d’une plaie ouverte depuis dix ans qui pourrissait et brûlait déjà en silence. Elle s’est retrouvée seule dans le noir, pendant cinq ans, avec une lame replantée chaque jour, dans la même plaie, chaque heure, sans amour pour lumière. Et je vais choisir aujourd’hui de la remercier avec la révérence la plus basse qui puisse exister, parce qu’elle a été pour la deuxième fois de sa vie brisée avec une violence inénarrable, et puis elle a survécu. Parce que les choix qui ont été faits et qui nous déplaisent, sont ceux d’une jeune fille qui devait survivre envers et contre tout, sans aide, sans soutien, persuadée de fautes qu’elle n’avait pas commises, et qui venaient de toutes parts. Une jeune fille a survécu au travers d’heures plus douloureuses les unes que les autres, (à ce moment de l’écriture, j’ai voulu changer la musique comme si j’étais sur l’ordinateur depuis lequel elle écrivait à tout prix pour respirer). Elle a survécu pour que je me retrouve ici, aujourd’hui, en sécurité, dans un appartement que j’aime et qui m’appartiens, avec un chat qui se repose dans un coin de la pièce, près de la fenêtre, à deux doigts d’aller prendre une douche bien chaude pour aller retrouver mon amie un peu plus tard. Je la remercie d’avoir survécu pour ce moment-là, et pour tous les moments de joie et de connexion qui colorent les journées à venir. Comme une mère qu’on oublie dans un coin de la photo, je la remercie d’avoir été présente, et d’avoir avancé quoiqu’il en coûte, vers la vie. Je rendrai l’animosité à qui elle appartient, et lui verserait sur les épaules l’amour à grands flots qu’elle méritait depuis l’enfance.
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roiallard123 · 11 months
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Samedi 27 juin 23h10
Dans le reflet
Je perd mes idées dans l’eau
Elles ne partent pas du bon sens
Si je les retournes, elles s’y ressemblent
Mais elles se contredisent
La logique est retournée
Comme mon cerveau est retourné
Caché de toute logique
Mais je ne le remarquerai jamais
Ça parait si réel
Je n’ai pas peur du faux
Je l’ai côtoyé toute ma vie
C’est toujours si facile d’être sain
C’est pourquoi l’éloignement m’attire
Les raccourcis, c’est fait pour les rapide
Moi je ne suis qu’une lente petite rivière
Qui ne se ressemble jamais
Elle est toujours différente à chaque jour
Elle évolue
Puis elle ne devient pas mauvaise
Mais pas bonne
L’été me ressemble, je coule dans un endroit si lointain, et si inutile
Je ne traîne pas dans mes pensées
C’est mes pensées qui me traîne
J’ai hâte au lendemain
Car les mains, ça ne me traîne pas
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Un jour, il y a très longtemps, quand j'étais adolescent, j'ai reçu une lettre d'amour, une lettre anonyme et je me souviens qu'à la fin était écrit : "Je t'embrasse de loin en attendant de le faire de près." J'ai pensé si souvent à cette inconnue, jamais je n'ai eu de nouvelles.
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thomaspetitspapiers · 6 months
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Je vis en Adolescence
Ça sentait bon les vacances
C'était hier, des boucles blondes
Au vent du large, qui vagabondent
Sur son vélo, elle tourne et tourne
Si près de moi, je me retourne
Sans une parole elle dit
On se le boit ce Martini?
Nos années quatre-vingt
C'est si proches et si loin
Son vieux pull-over bleu
Sur ma peau je le veux
Et ses lèvres sur ma bouche
Tant rêvées sur ma couche
Et le sable des dunes
Faisait d'elle et moi une...
Une histoire de jeunesse
Et même pas de promesses
Mais la vie continue
Quelles paroles incongrues
C'était plus les vacances
Allez fils, tu avances !
C'est tellement banal
Pourtant ça fait mal
Comme j'ai pu rêver d'elle
Et des larmes et du sel
Pas toujours, pas souvent
Hier, parfois maintenant
Sur la digue là bas
Cours lui prendre le bras!
Et pendant un moment
Retrouvons nos quinze ans.
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blanche-page · 7 months
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Poème pour M #621
Tout est de plume Et de brume de joie Chaque caresse Du bout de tes dix doigts De mon front à mes lèvres Où se pose un baiser Tu me bordes de rêves De sentiers etherés Et de velours doux effleurés De plaisir je me fonds dans ton souffle et ta flamme Mon cœur bat dans ce feu qui embrase mon âme Je t'aime et je frissonne et tu me fais l'amour Et l'amour me façonne et façonne nos jours
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photo de Tabea Edelstein
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unsoleiltimide · 10 months
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Le commerce d'un nous
Construire des moments à nous,
C'est s'engager dans les rayons du flou
Ne pas savoir sur quoi on va tomber
Si l'autre va nous aimer dans notre entièreté
Mais entre les rayons des cris et des pleurs,
On n'y trouve milles et une splendeurs
Ce genre de détails a chérir,
Et honnêtement,Ton sourire
Il ne coûte pas cher au rayon souvenir
En se baladant dans les allées,
On peut trouver des pétales sur le plancher
Celles de mon coeur qui cherche à être premier
Il ne demande pas de gagner ta main
Mais en échange de ses fleurs que tu me donnerais le tien
C'est avec sérieux que j'en prendrais soin
Et ce n'est pas parce qu'il est abîmé que je le rendrais au magasin
Je le cherirai autant que j'aimerais qu'on me cherisse
Je le protégerai jusqu'à ce que tu me choisisse
Mon prix n'est certainement pas bien élevé,
Personne ne veut d'un article fracassé
Mais ce n'est pas pour cela que je n'ai rien à donner
Un cœur en miette ne veut pas dire incapable d'aimer.
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autresphrases · 5 months
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Marché de Noël
Et, d’un coup, je me suis stoppé net. Je t’ai regardée faire quelques pas de plus, me dépassant. Tes cheveux virevoltaient sous la douce brise hivernale, et se mêlaient aux flocons de neige. Ces derniers semblaient d’ailleurs tomber lentement, comme s’ils étaient suspendus dans le temps.
Ils ont repris leur course lorsque tu t’es retournée vers moi. C’est alors que j’ai pu voir tes yeux briller, reflétant la lumière des guirlandes et autres décorations de Noël. Ton regard semblait interrogateur, avant que tu ne me demandes “tout va bien ?” de la manière la plus innocente possible. J’aurais presque pu lire les mots que tu venais de prononcer dans la fumée s’échappant de ta bouche, admirant au passage tes lèvres qui semblaient si douces.
Elles ont dû m’hypnotiser, parce que j’ai instinctivement répondu “j’ai envie de t’embrasser”. Ton visage est instantanément devenu rouge et tu as détourné le regard, gênée. Mais, avant que je n’ai pu réaliser ce que je venais de dire, tu as murmuré, timidement : “qu’est-ce que tu attends ?”
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instagram
La fin Enveloppé dans cette tiède et douce somnolence, Admirer le coucher de soleil pour l'éternité. Occupé à me remémorer la veille, avant le silence … Tes derniers mots : c'est terminer. Loréa Pesnicki, Mardi 18 Avril 2023.
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curlyblondediva · 2 years
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leukagbl · 1 year
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("Nos coeurs se meurent")
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aimeelamouche · 2 years
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